Cours particulier d’Alexandra
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cours particulier d’Alexandra
Cours particulier d’Alexandra
Alexandra est une jeune étudiante de 18 ans qui suit des cours particuliers avec son professeur de mathématiques, pour améliorer ses résultats.
Il faut dire qu'elle pense plus à la plaisanterie grivoise qu'à potasser ses cours.
Depuis qu'elle est entrée à l'université, on ne sait comment ? Elle ne fait pas vraiment d'étincelles… Ou plutôt si, dans les slips des garçons, elle est la première, les yeux fermés elle reconnait le propriétaire du manche qu'elle tient en main.
Elle a découvert le sexe au moment où elle a quitté le domicile parental pour intégrer le campus d'une grande faculté en Ile de France où elle est devenu une vraie catin qui a beaucoup de mal à passer une journée sans faire l'amour.
Son prof l'a compris et il ne voit pas bien pourquoi il ne pourrait pas en profiter lui aussi, malgré ses cinquante ans bien tassés.
Pourquoi serait-il le seul homme de son entourage à ne pas bénéficier de ses faveurs ? Aujourd'hui, c'est décidé, il tente sa chance.
Quand Alexandra entre chez lui, il ne lui laisse pas le temps de réagir. La dernière fois, il a bien senti qu'elle n'était pas totalement insensible à son charme. Il l'a testée et il sait bien qu'il ne prend pas beaucoup de risques.
Au lieu de l'embrasser affectueusement sur la joue comme à son habitude, il pose ses lèvres sur celles d’Alexandra et lui ouvre la bouche avec sa langue fureteuse.
Comme il l'espérait, elle ne résiste pas. Elle en a sans doute autant envie que lui. Sinon, pourquoi aurait-elle enfilé une jupe aussi courte et un tee-shirt aussi moulant ?
L'étudiante vicieuse prend juste le temps de retirer la bandoulière de son sac de ses épaules et de jeter celui-ci dans un coin de la pièce.
Elle se dit qu'il est mieux, avant de vérifier les crayons qui sont dans son sac, de voir l'état du crayon de son prof.
Alexandra se retrouve très vite sur le lit du prof. Elle écarte bien les cuisses sans rechigner quand le vieux soulevant sa jupe écossaise lui colle sa main entre les jambes, pour aller toucher sa petite culotte.
L'homme est heureux de sentir sous ses doigts la motte rebondie déjà un peu humide de son élève. Il touche l'auréole de mouille sur le coton et dégage finalement la vulve trempée du slip qui la protégeait jusqu'alors.
Du bout du pouce, il monte tout de suite en haut de la fente et masse un peu le clitoris d'Alexandra qu'il découvre bien décalotté. C'est gagné, l'étudiante commence à gémir.
Le prof de maths connaît son point fort, son incroyable jeu de langue. Il ôte rapidement ses vêtements, s'allonge sur le lit et, d'autorité, après avoir retiré sa culotte, place la chatte d'Alexandra au-dessus de sa bouche.
Elle ne s'est pas fait prier pour enjamber son visage et plaquer sa foufoune sur les lèvres de son prof.
D'une main, celui-ci lui après avoir relevé le tee-shirt de son élève, masse ses nichons En appui sur ses genoux, l'étudiante savoure des sensations divines.
Peu à peu, elle se retourne pour redonner à son prof une partie du plaisir qu'il lui offre. En position de 69, ils se mangent mutuellement le sexe. Le prof est au paradis quand il sent les lèvres humides de son élève entourer son gros gland bien raide.
Alexandra pompe avec agilité le manche de son compagnon. Elle apprécie la vigueur et la taille de l'engin qui lui remplit les joues.
Elle fait tout pour satisfaire cet homme qui pourrait être largement son père et ça l'excite.
C'est elle qui change de position pour donner le trou de son ventre à son vieux cochon préféré.
Le prof bande de plus belle en comprenant qu'il va enfin pouvoir l'enfiler comme il en rêve depuis si longtemps.
Sa queue entre sans peine entre les lèvres de la chatte d’Alexandra.
La fille relève les cuisses au maximum pour qu'il puisse la prendre bien à fond, il la pilonne violemment tandis qu'elle se masse elle-même le clito pour ajouter à son plaisir. L'étudiante n'en peut plus. Elle s'empale littéralement sur la pine du prof.
Les bras en arrière, les pieds posés à plat, elle monte et descend sur le pieu de chair, criant son plaisir à chaque fois que le gland de son prof maintenant ultra-gonflé lui cogne au fond du vagin.
Ses déhanchements ravissent le prof qui sent qu'il va avoir du mal à se contenir longtemps. Il ne veut pas décevoir sa jeune élève et prend l'initiative de changer de position.
Il profite de ce court moment de répit pour se calmer un peu mais reprend son rythme dès qu'il se trouve débout derrière Alexandra.
La fille est à genoux sur le lit, lui, derrière, la prend en levrette. C'est là qu'il savoure pleinement sa victoire, quand il la tient par les hanches et laboure son ventre de femelle en chaleur.
Prudent, le vieux cochon sort un peu à regret du cocon chaleureux qui lui enserrait si bien la pine.
Il se met devant la jeune élève et lui fourre à nouveau son engin dans la bouche, ou il va se finir. Les yeux d’Alexandra pétillent d'excitation pendant qu'elle jouit.
Elle sait ce qu'elle va prendre. Ca ne la dérange pas, elle a l'habitude d'avaler le foutre chaud de ses petits camarades.
Ce jour-là on ce demande bien qui était le prof ?
Alexandra est une jeune étudiante de 18 ans qui suit des cours particuliers avec son professeur de mathématiques, pour améliorer ses résultats.
Il faut dire qu'elle pense plus à la plaisanterie grivoise qu'à potasser ses cours.
Depuis qu'elle est entrée à l'université, on ne sait comment ? Elle ne fait pas vraiment d'étincelles… Ou plutôt si, dans les slips des garçons, elle est la première, les yeux fermés elle reconnait le propriétaire du manche qu'elle tient en main.
Elle a découvert le sexe au moment où elle a quitté le domicile parental pour intégrer le campus d'une grande faculté en Ile de France où elle est devenu une vraie catin qui a beaucoup de mal à passer une journée sans faire l'amour.
Son prof l'a compris et il ne voit pas bien pourquoi il ne pourrait pas en profiter lui aussi, malgré ses cinquante ans bien tassés.
Pourquoi serait-il le seul homme de son entourage à ne pas bénéficier de ses faveurs ? Aujourd'hui, c'est décidé, il tente sa chance.
Quand Alexandra entre chez lui, il ne lui laisse pas le temps de réagir. La dernière fois, il a bien senti qu'elle n'était pas totalement insensible à son charme. Il l'a testée et il sait bien qu'il ne prend pas beaucoup de risques.
Au lieu de l'embrasser affectueusement sur la joue comme à son habitude, il pose ses lèvres sur celles d’Alexandra et lui ouvre la bouche avec sa langue fureteuse.
Comme il l'espérait, elle ne résiste pas. Elle en a sans doute autant envie que lui. Sinon, pourquoi aurait-elle enfilé une jupe aussi courte et un tee-shirt aussi moulant ?
L'étudiante vicieuse prend juste le temps de retirer la bandoulière de son sac de ses épaules et de jeter celui-ci dans un coin de la pièce.
Elle se dit qu'il est mieux, avant de vérifier les crayons qui sont dans son sac, de voir l'état du crayon de son prof.
Alexandra se retrouve très vite sur le lit du prof. Elle écarte bien les cuisses sans rechigner quand le vieux soulevant sa jupe écossaise lui colle sa main entre les jambes, pour aller toucher sa petite culotte.
L'homme est heureux de sentir sous ses doigts la motte rebondie déjà un peu humide de son élève. Il touche l'auréole de mouille sur le coton et dégage finalement la vulve trempée du slip qui la protégeait jusqu'alors.
Du bout du pouce, il monte tout de suite en haut de la fente et masse un peu le clitoris d'Alexandra qu'il découvre bien décalotté. C'est gagné, l'étudiante commence à gémir.
Le prof de maths connaît son point fort, son incroyable jeu de langue. Il ôte rapidement ses vêtements, s'allonge sur le lit et, d'autorité, après avoir retiré sa culotte, place la chatte d'Alexandra au-dessus de sa bouche.
Elle ne s'est pas fait prier pour enjamber son visage et plaquer sa foufoune sur les lèvres de son prof.
D'une main, celui-ci lui après avoir relevé le tee-shirt de son élève, masse ses nichons En appui sur ses genoux, l'étudiante savoure des sensations divines.
Peu à peu, elle se retourne pour redonner à son prof une partie du plaisir qu'il lui offre. En position de 69, ils se mangent mutuellement le sexe. Le prof est au paradis quand il sent les lèvres humides de son élève entourer son gros gland bien raide.
Alexandra pompe avec agilité le manche de son compagnon. Elle apprécie la vigueur et la taille de l'engin qui lui remplit les joues.
Elle fait tout pour satisfaire cet homme qui pourrait être largement son père et ça l'excite.
C'est elle qui change de position pour donner le trou de son ventre à son vieux cochon préféré.
Le prof bande de plus belle en comprenant qu'il va enfin pouvoir l'enfiler comme il en rêve depuis si longtemps.
Sa queue entre sans peine entre les lèvres de la chatte d’Alexandra.
La fille relève les cuisses au maximum pour qu'il puisse la prendre bien à fond, il la pilonne violemment tandis qu'elle se masse elle-même le clito pour ajouter à son plaisir. L'étudiante n'en peut plus. Elle s'empale littéralement sur la pine du prof.
Les bras en arrière, les pieds posés à plat, elle monte et descend sur le pieu de chair, criant son plaisir à chaque fois que le gland de son prof maintenant ultra-gonflé lui cogne au fond du vagin.
Ses déhanchements ravissent le prof qui sent qu'il va avoir du mal à se contenir longtemps. Il ne veut pas décevoir sa jeune élève et prend l'initiative de changer de position.
Il profite de ce court moment de répit pour se calmer un peu mais reprend son rythme dès qu'il se trouve débout derrière Alexandra.
La fille est à genoux sur le lit, lui, derrière, la prend en levrette. C'est là qu'il savoure pleinement sa victoire, quand il la tient par les hanches et laboure son ventre de femelle en chaleur.
Prudent, le vieux cochon sort un peu à regret du cocon chaleureux qui lui enserrait si bien la pine.
Il se met devant la jeune élève et lui fourre à nouveau son engin dans la bouche, ou il va se finir. Les yeux d’Alexandra pétillent d'excitation pendant qu'elle jouit.
Elle sait ce qu'elle va prendre. Ca ne la dérange pas, elle a l'habitude d'avaler le foutre chaud de ses petits camarades.
Ce jour-là on ce demande bien qui était le prof ?
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