Cours très particuliers - histoire érotique

La vie avait bien entendu repris son cours normal, mais nos dernières vacances m’avaient laissé comme un goût de trop peu. Tout y avait été parfait et je m’étais découverte assez « garce ». Allumer et exciter Marc au point qu’il débourse beaucoup d’argent pour profiter de mes charmes m’avaient beaucoup plu et je ne sais pourquoi l’idée d’offrir mon corps contre rémunération me faisait encore frissonner.
Cette envie ne quitta pas mon esprit pendant des semaines et je me décidai d’en parler à Alexis.
- Ça te plairait de recommencer ?
- Oui, beaucoup…
- Tu as déjà un scénario en tête ?
- Oui…j’ai envie d’éduquer des puceaux…
Au Club, j’avais remarqué que pas mal de jeunes hommes me mataient la poitrine lorsque je faisais du monokini… Mes seins sont certes beaucoup plus gros que la moyenne, mais je ne savais pas qu’ils fascinaient autant. Me sentir belle et attirante aux yeux de petits jeunes de 18 ou 20 ans alors que j’en ai quarante me flattait ! Alors pourquoi ne pas joindre l’utile (pour eux) à l’agréable (pour moi) ?
- Tu vois ça comment ?
- Je voudrais qu’ils soient 2 ou 3 et que je leur apprenne à me caresser et à me baiser…contre payement bien sûr…
- Toujours aussi gourmande je vois !
- Cela m’excite d’être avec plusieurs hommes, tu le sais bien…
Il ne fallut pas longtemps à Alexis pour trouver le site internet où il plaça l’annonce suivante accompagnée d’une photo de moi (visage caché) entièrement nue dans une pose très suggestive mettant mes seins en valeur :
Cours pratiques d’éducation sexuelle

Magnifique femme de 40 ans sans tabou fera de votre première expérience sexuelle un moment divin.
Par 2 ou par 3, si vous avez entre 18 et 25 ans et êtes encore puceaux, je vous apprendrai tout du corps d’une femme et de la sexualité… Contre 250€/personne, mon corps sera à vous pour 1h30 de plaisirs partagés.

Contactez-moi vite…
Bises
- Voilà, je pense qu’avec ça et ta photo, les demandes vont pleuvoir…
- Tu crois ?
- Certain, mais je ferai le tri, comme d’habitude.
- Ça m’excite à crever…
Je mouillais comme une malade et me voyais déjà leur apprendre à me caresser, à me lécher, à me pénétrer la chatte et le cul… Je devenais de plus en plus nymphomane !
En deux jours, nous avions reçu plus de 40 demandes ! Je choisis une dizaine de candidats sur base des photos et du descriptif qu’ils avaient communiqué et Alexis prit ensuite contact avec eux.
- Voilà mon cœur, c’est fait, tu vas pouvoir donner tes « cours ».
- Ils sont bien ? Tu en as choisis combien ?
- Tu découvriras tout ça samedi. J’ai réservé au Smart Hôtel et ils t’attendront à 18h, chambre 27.
- Tu veux être présent ?
- Non, ça les gênerait, mais je ne serai pas loin et viendrai te chercher à 19h30.
- Je te raconterai…
- J’y compte bien, avec tous les détails…
Il restait encore deux jours à tenir et je ne pensais plus qu’à cela ! Même au boulot j’éprouvais des difficultés à me concentrer. Je me déplaçais de réunion en réunion la chatte en feu et, de retour dans mon bureau fermé, tentais d’éteindre l’incendie en me faisant jouir. Rien n’y faisait, dix minutes plus tard, les mêmes images m’envahissaient et je dégoulinais à nouveau.
Le samedi arriva et Alexis m’emmena acheter une petite robe très sexy comme il les aime… Très transparente au niveau de la poitrine, c’était un véritable appel aux caresses. Elle dévoilait ostensiblement mes seins gonflés de désir.
- Tu veux que je la porte tout à l’heure ?
- Non, tu iras en lingerie très sexy sous ton imper noir.
- Bas noirs, hauts-talons et redresses seins ?
- Exactement, n’oublie pas qu’ils doivent en avoir pour leur argent.
- Compte sur moi, ils ne seront pas déçus !
De retour à la maison, je m’apprêtai donc pour ce rendez-vous un peu particulier. Je forçai un peu le maquillage car j’avais envie de faire un peu pute ; normal quand on va se faire payer, non ? Enfin prête, devant le miroir, je me trouvais plus excitante que jamais. Gorgé de cyprine, mon sexe suintait à nouveau. J’étais dans un état pas croyable. Enfin prête, je me présentai devant mon homme qui me caressa délicatement les seins et le pubis…
- Tu es divine ! Pour une première fois, ils seront gâtés !
- Heureuse de te plaire…je suis déjà très excitée.
- Je m’n suis rendu compte, tu es trempée. Prends ton imper, nous y allons.
Alexis me conduisit à l’hôtel et, toujours dans la voiture, introduisit un doigt dans ma chatte avant de m’embrasser et de me laisser sortir. Je traversai la rue, entrai dans cette belle demeure et me dirigeai vers la réception où la clé de la chambre 27 m’attendait sur le comptoir. Sans un mot, je pris l’escalier jusqu’au deuxième étage et pénétrai dans la chambre.
Ils étaient trois. Agés d’une vingtaine d’années, ils semblaient gênés et ne disaient mot.
Je m’approchai alors de chacun d’eux et, prenant leur tête entre mes mains, déposai un petit baiser sur le coin de leurs lèvres. Ensuite, ouvrant délicatement mon imper, je leur offris de voir la première femme nue de leur vie en chair et en os. Leurs yeux se fixèrent sans détour sur ma chatte nue et mon imposante poitrine mise en valeur par ce magnifique redresses-seins en dentelle. Mes tétons pointaient…
Je commençais alors à les frôler. Tournant lentement autour d’eux, j’appuyais ma poitrine contre leurs torses, leurs dos,… Aussi timides qu’impressionnés, ils n’osaient pas bouger. J’ouvris ensuite la bouteille de Champagne qui trônait sur la table et les servis un à un ; j’espérais que cela détende un peu l’atmosphère et les désinhiberait. Ce fût le cas assez rapidement.
Décidée à ne pas perdre de temps, j’ôtai alors mon demi-soutien-gorge. Passant de l’un à l’autre, je prenais leurs mains, les posais sur mes seins et les laissais me peloter outrageusement. Je leur apprenais comment s’attarder sur les aréoles et sur les tétons qu’ils commençaient à pincer délicatement. C’était très bon. Ensuite, c’est avec leur bouche qu’ils me léchèrent. Ça me plaisait, me faisaient gémir…
Ils se déshabillèrent rapidement laissant tous les trois apparaître d’impressionnantes érections. Alexis avait bien choisi, j’adorais les gros sexes qui vous procurent d’incroyables sensations quand ils vous pénètrent. J’allais donc être la première à profiter de ces beaux pénis tendus. Maintenant à genou devant eux, je les suçais goulument. Passant de l’un à l’autre, je leur lapais le gland avant de les introduire dans ma bouche qui se refermait sur leurs queues. Leur imprimant un va-et-vient sensuel, je les sentais déjà prêt à jouir et j’arrêtai donc immédiatement mes caresses buccales.
Ils me suivirent sur le grand lit où, étendue sur le dos, je leur fournissais une vue imprenable sur ma vulve béante. C’est John qui s’installa le premier entre mes jambes pour me dévorer la chatte. Il était très habile et n’eut aucun mal à repérer mon clitoris sur lequel il s’attardait avec appétit. Les deux autres, couchés à mes côtés, m’embrassaient et me caressaient la poitrine pendant que je les masturbais. Louis et Ethan se relayèrent ensuite devant ma chatte pendant de longues minutes. Ils étaient aussi excités que moi et même si nous avions déjà tous envie de nous lâcher, je décidai d’interrompre ces caresses.
Le couchant, les cuisses trempées, je me mis en 69 au-dessus de John.
- Tu vas maintenant me lécher la vulve et l’anus.
Il faisait cela très bien, tout en délicatesse. Les deux autres se masturbaient devant ma croupe ainsi offerte à leurs regards. Quant à moi, je me délectais de ce phallus dressé. Trop grand que pour entrer profondément dans ma bouche, je le dégustais à grands coups de langue, de haut en bas. Afin d’éviter qu’ils éjaculent, je changeais de partenaire assez rapidement et c’est Louis qui se montra le plus entreprenant. Il s’attarda plus que les autres sur mon anus dans lequel il entrait sa langue presqu’entièrement.
- Tu aimes mon cul ?
- Il me rend dingue…
- Alors introduis-y un tes doigts !
L’anus déjà parfaitement lubrifié par la cyprine qui s’échappait de mon vagin, il n’eut aucun mal à y introduire un, puis deux doigts. Tout en me léchant le clitoris, il me les entrait très profondément dans le cul avant de les ressortir rapidement. C’est maintenant moi qui devais faire attention de ne pas me laisser emporter par un orgasme…mais c’est par leurs queues en érection que je voulais me faire défoncer.
Je me remis sur le dos et, les cuisses grandes ouvertes, demandai à Ethan, Louis et John de se relayer pour me faire l’amour…tout en se retenant d’éjaculer bien sûr. Rapide ou plus lent, tendre ou bestial, ils avaient pris beaucoup d’assurance et jouaient avec mon corps alors que je me tordais de plaisir. Ces trois étalons me faisaient l’amour sans relâche et m’arrachaient des spasmes. Au bout d’un quart d’heure de folles pénétrations, j’étais en transe ; il était temps de les achever !
Louis et Ethan avaient envie de me sodomiser alors que John voulais éjaculer dans mon sexe béant. J’allais pouvoir mêler leurs envies aux miennes ! Couchant John sur le dos, je montai sur lui à califourchon, pris sa queue en main et la fourrai au fond de mon sexe. Penchée en avant vers lui, mes gros seins ballants lui massaient le torse alors que je commençais à me frotter sensuellement le pubis. Il était en admiration devant cette poitrine qui balançait en tous sens au gré de mes mouvements. Les emprisonnant maintenant de ses mains, il les léchait et les malaxait sans fin. Il était déjà au bord de l’explosion lorsque je demandai à Ethan de venir nous rejoindre.
- Place-toi derrière moi. Tu vas me sodomiser en même temps.
Il ne se fit pas prier et plaça sa grosse queue tout contre mon anus qu’il défonça centimètre par centimètre. Criant de plaisir à chaque poussée, je le laissais s’introduire tout entier au fond de moi. Sentir simultanément leurs deux membres tendus me déflorer était grisant, je planais et sentis l’orgasme arriver. Bien décidée à ce qu’ils se lâchent en même temps que moi, je leur demandai de ne pas se retenir tandis que je balançais ma croupe de plus en plus fort afin qu’ils éjaculent au fond de mes entrailles. Vingt secondes plus tard, ma chatte et mon cul étaient inondés par des torrents de spermes. Jamais aucun homme n’avait déversé autant de semence en moi et cette idée mêlée aux incroyables sensations d’une double pénétration me fit jouir à mon tour. Comme à mon habitude, tremblante, haletante je me révélais être une véritable femme fontaine… John en avait partout !
Cela avait été d’une extrême intensité et nous restâmes collés l’un dans l’autre plusieurs minutes sans trop bouger. Puis, me dégageant, je demandai à Louis de venir me rejoindre. Les flots de sperme qui sortaient de moi ne semblaient pas le déranger et il me demanda de me remettre à quatre pattes ; il voulait me sodomiser en levrette.
Obéissante, je lui offris mon cul et il y pénétra d’une seule traite. Son phallus était encore plus gros que les deux autres et il se déchainait sur mon petit trou… Mon excitation étant remontée d’un cran, je commençai à me masturber le clitoris d’une main experte alors que ma tête s’était effondrée dans l’oreiller. Il était bestial et ses assauts répétés eurent très vite raison de moi. Je pris une nouvelle fois mon pied dans un concert de cris, de gémissement et de spasmes. Louis aussi se laissa aller et je sentis son sexe se gonfler avant de se répandre de longues secondes au fond de mon anus.
Encore ailleurs, savourant mon plaisir, je récupérais doucement lorsqu’ils vinrent tous les trois près de moi. Toujours nus et n’ayant pas encore débandé, ils me couvrirent le corps de baisers affectueux.
- Tu es une femme incroyable Salomé, tu nous as tout appris.
- Merci, c’était le but…
- Nous avons adoré jouir en toi, te caresser,…
- Moi aussi j’ai adoré, j’ai jouis comme une malade, vous serez de très bons amants.
Me caressant les seins, ils m’embrassèrent une dernière fois, se rhabillèrent et quittèrent la chambre. Leur sperme chaud s’échappait toujours de mes orifices et dégoulinait partout sur mes fesses et entre mes cuisses. Cela me procurait une douce sensation et je savourais encore le moment exceptionnel passé en leur compagnie. J’avais été un professeur très appliqué à tâche…
Reprenant mes esprits, je me dirigeai vers la salle de bain et pris une douche bien méritée. Revenue dans la chambre je découvris qu’Alexis était là.
Il me serra dans ses bras et m’embrassa. Je me sentais bien…