Cousin Mourad 2/2

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Cousin Mourad 2/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cousin Mourad 2/2
Bonjour,
Toujours cette petite précision à faire... J’ai toujours gardé pour moi, mes expériences que nous avons vécu, ma femme et moi, tout au fond de ma bulle (mon carnet intime), ou du moins je ne les ai pas exposé au grand jour, mais avec les années qui passent et surtout avec ou grâce à l’autorisation de la principale actrice de nos jeux, qui n'est autre que ma femme, je mets noir sur blanc quelques unes de nos histoires de sexe.

Au début je voulais vous exposer nos aventures par ordre chronologique, car ou parce que j'avais déjà noté nos aventures sur mon/mes journal(aux) intime et avec cette envie de vous exposer mes-nos aventures vécues, j'ai commencé à les romancer. J'en commence à rédiger une de nos histoires vécues et avant de finir je commence à romancer une autre histoire, que je redécouvre en feuilletant négligement mes carnets, et qui me paraît alors interessante à vous faire lire mais qui a eu lieu plus tard dans le temps. Une fois que je fini d'écrire pour une raison ou une autre que je ne publie pas, voulant respecter la chronologie des aventures, et donc je perds les pédales et l'histoire que j'avais commencé à écrire je n'arrive plus à la finir ou bien je la bâcle... Et je tarde alors à publier!
Bref,
Jusqu'à maintenant j'ai respecter la chronologie de nos histoires vécues et là, j'ai résolu que je vais à partir d'ici ne plus trop suivre la chronologie de mes aventures mais qu'à partir du 01.01.2025 je vais écrire mon journal intime (coquin) sur ce site... Vous serez alors aux premières loges, si je puis dire !

Voilà une première précision !

Et rappel toute aussi important pour notre survie qui est :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
Protégez vous car c'est trop stupide de courir un risque rien que pour satisfaire un plaisir !


Maintenant voici la fin de cette aventure :

Je vous ai raconté comment, à l’occasion d’une visite de mon cousin Mourad, ma compagne Caline s’était retrouvée dans mes bras, a moitié nue, se laissant sucer son joli minou par son nouvel amant, pourtant très timide et sans doute puceau.

Voici donc la suite :

Lorsque nous avons rejointe ma douce Caline dans notre chambre, elle nous attendait, nue sur son lit, les yeux brillants de plaisir, prête à être comblée, car je sais que les deux petits orgasmes qu'elle a eu ne sont pas suffisants pour la calmer, et que seule une vraie et vigoureuse pénétration pouvait apaiser ses sens, fortements enflammés par la présence de ce beau gosse que nous soupçonnons d'être encore puceau augmentait notre excitation, qui est aussi attisée par tout ce champagne bu.
Nous nous sommes allongés, chacun de part dautre du corps offert de la miss et l’avons tendrement caressée. Je profite du spectacle très excitant de la voir allongée nue près mon petit cousin (pas si jeune que ça... Il est juste de 3 ans mon cadet !) qui s’enhardit à découvrir du bout de ses doigts les seins, la chatte de ma dévoreuse de bites.
Elle l'encourage en l’embrassant, en lui caressant la nuque, et ouvrant gentiment ses cuisses sous le poids de sa main. Excitanté que je suis, mais je suis aussi troublé, car je me sens un peu exclu devant cet abandon qu'ils m'obligent à vivre ainsi en voyant la tendresse qu’elle témoignait à son nouvel amant. Rarement j'ai pu ressentir une telle jalousie, qui m'a vite abandonné.
Et là j'ouvre une petite parenthèse en exposant ma définition de l'amour :
C'est comme pour des joueurs de foot : ils sont 22 (plus les remplaçants) à taper dans le ballon et ils ont alors le plaisir de sueur, de faire des dribbles, de tirer des coup francs, marquer un ou des buts... mais une seule équipe gagne le match.
Les joueurs : moi et ses amants.
Le gagnant : moi, moi et rien que moi !
Je n'ai jamais douté que ce jeu est dangereux, mais où est le plaisir s'il n'y a pas de danger.
Et puis... Quel est le danger ?
Qu'elle tombe amoureuse d'une autre queue ?
Tant pis pour elle si c'est le cas, car cette bite ne lui offrira jamais le même amour que je suis capable de couvrir avec, le cœur ma princesse. La vie est courte, et après des heures et des heures de réflexions, méditations et échange d'idées, je suis arrivé à la conclusion qu'il me fallait jouer avec le feu et surtout de jouer jusqu’au bout.
Bon... Ça c'est ma philosophie sur l'amour...
Bref,

Visiblement Mourad n'ose pas prendre le taureau par les cornes et se contente de l’embrasser, de lui rouler des pelles et la peloter. Peu surpris, je vois qu'exaspérée, c’est elle qui glisse sa main jusqu’à l’entrejambe de Mourad et entreprend de défaire son pantalon sans trop m'accorder d'importance ou plutôt me maudissant pour se mauvais coup.
Réalisant qu’il enfin que ce charmant jeune homme est plus que puceau, il est carrément perdu, c'est une situation qu'il n'a jamais imaginé ou même vu dans un film de "chattes farcies" et je doute même qu'il en ait vu (oui je sais... Chui mauvaise langue... Quoique c'est pas se que dit Caline... Hihihi).
Ou alors... Ma présence lui coupe toute envie de...
Après un petit moment d'hésitation, je me lève et les laisse.
Je suis assis au salon depuis une dizaine de minutes, essayant de comprendre cet état des faits, analyser les défauts de mon approche, lorsque Caline apparaît, seule, nue, les yeux chavirés et les joues roses.

— Viens Hamed... Viens... Et baises-moi maintenant, tout de suite !

Je me lève et la prend par la main pour l’emmener dans notre chambre.

— Non... Ici... Prend moi ici... Maintenant !

Elle s’allonge et ouvert les jambes, me révélant sa cramouille béante et luisante de foutre. Je me déssape, m'allonge sur elle et l'enconne d’un seul coup de reins. Elle est hot, brûlante et distendue comme jamais. A la pression de ses jambes, nouées dans mon dos, j’ai senti qu’il me faut que je la défoncer, que je la fasse hurler... Je lui glisse sauvagement mon petit serpent, qui la pistonne à grands coups de reins. Faisant coulisser mon dard dans sa cave à jus, Caline ne peut se retenir de gémir, de clamer plus de force, de bestialitédans l'unionde nos sexes.
Je ne sais combien de temps a duré mes coups de zobs, mais à la fin nous avons finit essoufflé, imbriqués l’un dans l’autre.
Après un repos mérité, main dans la main, nous regagnons notre chambre, et elle m'a fait un débriffing détaillé. Elle m’a raconté que Mourad était, jusqu’à il y a quelques minutes puceau, qu’il était très ému par cette aventure inhabituelle, et qu’après avoir fait glisser ses mains sur le corps de ma déesse qui lui a rendu la monnaie de sa pièce, en le caressant, le masturbant... Il a préféré se retirer dans sa chambre car elle suppose qu'il ne savait pas comment faire.
Elle suppose comme je l'avais pensé, que ma présence l'avait troublé vu que cette "liberté sexuelle" il ne la connaît pas même s'il vit depuis près d'un an à Londre...

16.03.2000

On est samedi !
Ce matin, Mourad, que je retrouve à la cuisine, me dit qu'il souhaitait partir pour ne pas "ennuyer" Caline de sa présence.

— Que me dis-tu là ? Et tu ira où ?
— Tu connais pas ça ? Il y a des bâtiments qu'on nomme "HÔTEL"... Ils te louent une chambre pour une ou plusieurs nuits !
— Yooo zincou... Tu débloques là ! C'est ce qu'on a vécu hier qui te fait prendre cette décision ?
— Pour rien te cacher...
— Écoutes moi bien... De un : on est 3 adultes majeurs et vacciné ! De deux : il est vrai que ce mode de vie, cette liberté "sexuelle" que ma chérie et moi pratiquons, ne rentre pas dans le modèle éducatif que nos parents... Que tes parents t'ont enseigner, mais c'est comme ça, qu'elle et moi envisageons de vivre ! Et de trois : nous ne partagerons ces aventures qu'avec des personnes que nous savons qu'ils sauront garder notre secret... Et je pense bien que tu en fais parti ? Sinon il me faudra te... Tuer ! Hihihi...

J’ai pu ainsi le convaincre de rester, lui assurant que nous allons encore vivre quelques folies, qu'il aura beaucoup de mal à revivre !

Lorsque Caline nous rejoint, Mourad me confie qu'il ne partagera ce secret qu'avec... Comme on dit chez nous en Tunisie "avec celui qui creusera ma tombe !". Et qu'au fond de lui, il regrette, quand même un peu de ne pas avoir osé... Car :

— Je ne l'ai jamais fait ! Dit-il avec le regard fixant le plancher.

Avec Caline on s'est regardé et on pouvait lire dans nos yeux un soulagement certain, que le petit couac de la veille était causé par l'inexpérience de mon cousin.
Nous sommes tout d'un coup plus détendu même que Caline se précipite pour coller ses lèvres aux siennes... Si je n'avais jugé que cela ne ferai qu'empirer les choses, je m'imagine que j'aurais pu faire la même chose, lui rouler un patin bien baveux (à Mourad !)
Cette tension s’est vite atténuée, et nous avons passé une bonne journée, en tout bien, tout honneur en se balladant, avec un resto et du shopping.
Ma Caline a mis une tenue plus sage que la veille, hormis son décolleté qui lui est permanent.
Je surprends par moment, des regards un peu brillants de mon cousin, mais durant la journée, aucune allusion n’a été faite à notre folle soirée.
Le soir venu, nous sommes allés voir un spectacle à St.Michel. Caline est assise entre nous et l’envie de lui faire l’amour, que NOUS lui faisons l'amour, me tenaille à nouveau. Au moment d'une petite pause, Mourad s’est absenté pour nous offrir une boisson.

— Hé bien, lui dis-je, je vois que mon petit cousin est un gentleman !
— Lui oui... Mais toi j’en suis pas certaine ! Me répond-elle en souriant
— Ok... Tu m'as eu là... Mais lui, il meurt d’envie de te faire l’amour ! Et tu sais que c'est toi qui dois le guider !
— Tu es machiavélique ! Tu ne veux pas non plus... Que je le viole ?
— J'y avais pas pensé... Non, sérieux... Il te faut seulement l’encourage ! Quand on a dans sa vie une aussi jolie fleur, notre plus grand souhait est de pouvoir partager son parfum avec quelqu’un qu’on aime bien et qui saura apprécier un si délicieux cadeau ! Lui dis-je avec plein d'amour dans les yeux.
— Tu es le plus joli et le plus beau des salauds... Et elle a serre la main en posant la tête sur mon épaule, avant d'ajouter : Tu joues un jeu qui peut être dangereux !
— Où est le danger ? Que tu tombe amoureuse de lui ou du prochain ?
— Oui ! Dit-elle d'une petite voix.
— Et tu crois que... Lui ou les autres... Arriveront à t'offrir autant d'amour que je t'offre ?

Sa réponse est restée suspendue vu que Mourad est de retour avec nos boissons et que le spectacle reprend son jeu. Je sens comme si Caline est entrain de peser le pour et le contre.
Me penchant à son oreille, je lui dis :

— Arrêtes de faire ta "Sainte-nitouche"... Il t'a vu nu, il t'a bouffé la moule... Et tu hésite à baiser avec ce gentil homme ?

Sa main me serre à me briser les doigts (bon... elle est encore loin d'en avoir cette force !). Puis elle pose son autre bras sur la cuisse de mon cousin, sa main frôlant celle de Mourad avant que leurs doigts se nouent.
J’ai alors posé la main sur sa cuisse lui imprimant quelques pressions de mes doigts comme pour l'encourager, lui faire du moins comprendre qu'elle n'a nullement besoin de mon accord.
Au bout d’un moment (assez court dois-je dire), elle a amené la main de Mourad sur son autre cuisse. L’atmosphère est devenue soudain très hot-hot. Heureusement que la salle est sombre, car je m'imagine les commentaires que les voyeurs auraient pu faire. Mais peu m'importe, cela fait partie des régles du jeu que je veux jouer. Nous l’avons donc caressée, remontant progressivement ses cuisses, jusqu’à toucher le fond de son slip, nos doigts se frôlant. Nos yeux avaient quitté la scène qui est devant nous pour mieux suivre la danse endiablée de nos serrent pinces.
Caline coule de plaisir et s'enfonce dans son fauteuil en avançant ses fesses au bord du siège, les jambes légèrement ouvertes et se laissant faire. Je doute fort que quelqu'un ait pu imaginer le jeu de dépravation que nous avons orchestré tant la scène qui se joue dans la salle est captivante... Mais n'allez pas me demander de vous faire un résumé car je ne peux pas faire 2 choses à la fois "zieuter la scène et chauffer ma belle !".
Nos caresses ont eu pour effet de remonter la jupe de notre muse un peu au-dessus des lèvres intimes qui mouillent ce string. Caline est superbe quand elle nage dans les vagues de son plaisir, elle s'abandonne, toute consentante. Et pour mon plus grand plaisir, il me semble que mon voisin a remarqué notre manège et semble s’y intéresser.
Au bout d’un moment, je sens du bout des doigts le fond de son slip qui s’humidifie. Elle a ouvert un peu plus les jambes et sa respiration s'est accélérée.
Nous avons quitté la salle dès la fin de la représentation, sans un mot, en bousculant les autres spectateurs.
Dans la voiture, Caline pris place à l'arrière et un silence lourd et excitant s'installe.
Arrivés à la maison, j’ai pris sa main pour l’entraîner directement dans notre chambre. Elle a tendu son autre main vers Mourad en lui disant, d’une toute petite voix :

— Viens !

Je l’ai allongée sur le lit, Mourad est venu s’étendre à ses cotés. Sur le dos, entre nous, ma tigresse semble vouloir se laisser faire. Je déboutonne son chemisier et fais glisser son soutien gorge par-dessus ses seins, puis me suis un peu écarté. Mourad s’est penché sur elle. Elle lui a offert ses lèvres qu'il mordille tandis qu’il empaume ses seins et les pelote délicatement tour à tour.
Je me glisse au pied du lit, à ses pieds, et passant les mains sous sa jupe, je retire son slip. Elle souleve les reins pour me laisser la déculotter. Je lui écarte alors ses jambes et soude mes lèvres à sa chatte. Elle est plus que trempée, offerte et ouverte. Je l’entends gémir dans les bras de Mourad quand ma langue glisse entre ses lèvres roses et humides.
En relevant les yeux, j’aperçois mon cousin l’embrasser à pleine bouche en lui tripotant les seins... C'est très excitant.
Je me lève et me déshabille, ordonnant à Mourad de faire de même.

— Hummm... Vous m'avez chauffé grave ! Nous crie t-elle tout en se débarrassant de son chemisier.

Nue qu'elle est, ne gardant que ses bas, elle nous expose un corps envoûtant... Superbement dessiné... Une envie folle nous ordonne de nous jetter sur son corps pour en abuser, couvrir de baisers...
Mais je ne sais pas par quelle force j'ai réussi à me retenir et me suis allongé sur elle, mais sans la pénétrer. Je veux laisser ce plaisir à notre complice.
Dès que Mourad est enfin nu, il ne pouvait pas cacher qu’il bande comme un âne. J'ai donc roulé à coté d’elle, et timidement, il s’est rallongé aux cotés de Caline avant de ramper sur ce corps offert. Elle le guide de ses bras et a même dû saisir la queue raide de son cavalier pour l’introduire très lentement dans sa grotte toute luisante de son jus.
Je suis complètement sous le charme de cette vision de ma petite coquine écartelée sous un autre homme. Ils sont restés longtemps soudés, sans bouger.
Puis de ses jambes nouées dans le dos de son amant, elle lui indique le rythme qu'il se doit d'imprimer pour la combler avec de légers mouvements de va-et-vient.
Ils ont jouis ensemble, sans un mot, et elle l’a gardé longtemps en elle, très tendrement pour cette première fois, et je suis resté silencieux et un peu ému.
Puis voilà qu'il lui amorce de nouveaux va-et-vient ; plus profonds, saccadés et rapides. À nouveau ils ont jouis après une très longue chevauchée.
Quand il s’est dégagé, je suis dans un tel état que je me suis abattu sur elle et l’ai prise d’une seule poussée, jusqu’au fond de son vagin. Je la baise comme un forcené et elle crie, hurle de bonheur, disant des obscénités, griffant mon dos de toute ses forces.

— Alors... C’est bon ma salope ? Tu as là deux bites pour toi toute seule comme tu aimes en avoir pour qu'ils te ramonnent le conduit de ta petite chatte de pute toute la nuit ! Lui lance ai-je.
— Oh oui... Mes salauds ! J’aime ça et tu le sais Hamed ! Baisez-moi .. Baisez-moi tous les deux !

Quand je me suis retiré, Mourad a retrouvé la pleine forme de son membre reproducteur et s’est à nouveau allongé sur elle. Lui aussi s’est déchaîné et leur chevauchée a durée longtemps. Elle est là, à délirer, abandonnant toute retenue :

— Oh oui ! Vas-y, fort... Plus fort ! Je te sens bien ! Tu me baises bien ! Tu me fais encore jouir ! Oh... Que c’est boooooon !

Puis, nous nous sommes calmés, avons pris une douche, et au moment où Mourad voulait regagner la chambre d'amis, elle lui dit :

— Reste, si tu veux ?

Nous avons continué à la caresser longtemps avant de nous endormir chacun d’un coté d’elle.
Plus tard au petit matin, le lit qui bouge m'a réveillé. Mourad, couché sur Caline est à nouveau entrain de la baiser en missionnaire.
Je la vois jouir en silence, puis elle se dégage de l'emprise de son amant et vient s’empaler sur ma queue. Je la laisse faire... C'est une pro !

17.03.2000

Tout ce dimanche est une journée où on a fourniquer comme des bêtes.
Une fois elle m'embouche la queue alors que Mourad la prend en levrette.
À la pose suivante elle est en 69 au dessus de Mourad entrain de lui pomper la verge alors que je lui bourre la chatte.
Où bien elle s'empale sur son amant et sans hésiter me demande :

— Prends-moi le cul !

Inutile de vous dire que le jour de son départ, Mourad est devenu une autre personne.

À la prochaine aventure...

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