Cousinade
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cousinade
Nathalie et moi sommes libertins depuis que l’on a une vingtaine d’année.
Bien sûr, au fil des ans, notre libertinage a évolué et nous avons essayé plein de chose afin de voir ce qui nous convenais le mieux.
Je pense que je suis candauliste depuis le début, d’ailleurs notre première rencontre libertine était avec un homme.
Le plus dur au début est de minimiser la jalousie pour qu’elle soit dépassée par l’excitation.
Une fois cette étape passée tout est plus facile.
Après chaque nouvelle expérience nous parlions beaucoup pour exprimer notre ressenti et corriger nos fautes.
Ce qui fait qu’au bout d’un moment nous n’avions même plus à nous dire les choses, nous savions ce qu’il fallait faire pour que l’on prenne chacun notre plaisir, un regard, un geste, une mimique suffisait pour nous comprendre.
De ce fait, nous avons fait beaucoup de trio car c’est là où nous nous sentions le mieux.
Nathalie a aussi fait beaucoup de rencontre seule, la condition était qu’elle me raconte après.
Dès le début je l’ai poussé à rencontrer d’autres hommes.
Un peu réticente les premières fois, elle a fini par y prendre gout.
Voici donc une histoire parmi les nombreuses que nous avons vécu.
Un jour par l’intermédiaire d’une de ses cousine assez éloignée et que nous ne fréquentions pas beaucoup, nous sommes invités à une cousinade.
Venez, nous a-t-elle dit, ça fera l’occasion de se voir et de découvrir d’autres personnes de la famille.
Après quelques jours de réflexion nous avons rappelé la cousine pour lui confirmer notre présence à cette réunion.
C’était une grosse organisation car nous étions environ quatre-vingts.
Bien sûr nous n’avions pas tous des liens de sang car il y avait aussi des cousins par alliance, c’est pour cela que nous étions autant bien que beaucoup d’autres avait décliné l’invitation.
Le lieu était dans une autre région mais il y avait un hébergement sur place.
Une grande bâtisse qui servait pour des réceptions et qui pouvait accueillir une centaine de personne.
Il y avait une grande salle ou nous avons mangé et danser.
A l’étage, plusieurs pièces qui nous servais de dortoir, nous étions une dizaine par chambrée.
Il y avait aussi plusieurs pièces avec des rangées de plusieurs douches et une multitude de toilettes.
Certainement une ancienne pension ou école.
Chacun d’entre nous avait amené un matelas mousse ou gonflable et nous les avons posés les uns à côté des autres.
Arrivé en milieu d’après-midi, le temps d’installer nos matelas, déposer nos affaires, prendre une douche et nous apprêter pour la soirée, nous sommes alors descendus pour rejoindre les autres.
On reconnaissait quelques visages, nous avons discuté à droite à gauche, retrouvé quelques cousins que nous avions perdu de vue, bref l’ambiance était bonne enfant et agréable.
Nathalie avait repéré un homme d’une trentaine d’année qu’elle trouvait très beau, un corps qui semblait athlétique, un belle carrure et une gueule d’ange.
Naviguant tranquillement dans la salle, son verre à la main, elle s’en est approchée doucement.
Il y avait pas mal de femme autour de lui et elle a commencée à l’écouteur parler.
Il était certes très beau mais très imbu de sa personne, une arrogance sans limite et un dédain pour les « moches » comme il les appelait.
Bien qu’elle ne se sentais pas visé, elle fût déçue de ce genre de comportement plus que machiste.
Le bellâtre avait sa cour de midinettes mais il n’y prêtait guerre attention cherchant sans doute la bombe atomique qu’il méritait.
Nathalie a continué sa promenade au travers des gens puis est revenue vers moi.
Elle m’a alors raconté le comportement du bellâtre en me disant « dommage il était beau je m’en serais bien fait un quatre heure »Je lui ai dit que je l’avais regardé se promener dans la salle et qu’il y avait un garçon qui ne la lâché pas des yeux.
Discrètement je lui ai montré, mais c’est un gamin me dit-elle il doit avoir vingt ans (nous en avions 42 pour Nathalie et 45 pour moi)Je ne te dis pas de te le faire répondis-je en rigolant, je te dis juste que tu dois lui plaire parce qu’il ne te lâche pas.
Ouf m’a-t-elle répondu en riant elle aussi, j’ai cru que tu voulais me jeter dans les bras d’un puceau.
C’est vrai qu’il avait l’air timide et que son regard était fuyant, tout l’inverse du bellâtre.
Nous avons alors continué à boire quelques punch puis comme tout le monde nous avons commencé à nous servir pour manger.
C’était un buffet froid ou nous allions nous servir et ensuite nous installer à table ou nous voulions.
Nous nous sommes alors installés pour manger et comme par hasard, le jeune homme et ses parents sont venus s’installer près de nous, il avait précédé ses parents ne leur laissant pas le choix de l’endroit où s’assoir à table.
Timide mais mateur.
Il faut dire que Nathalie, comme à son habitude, était vêtue d’une mini-jupe, moins courte que parfois et d’un décolleté qui avec sa poitrine opulente attiré beaucoup l’œil de la gente masculine.
Ses parents ont alors engagé la conversation, nous avons échangé sur les liens de parenté que l’on pouvait avoir, mais apparemment il n’y en avait pas.
Une bonne cinquantaine et demie tous les deux, ils n’avaient qu’un fils, Kevin, que sa maman couvait apparemment beaucoup trop.
Plus tard dans la soirée l’alcool commençait à faire effet sur pas mal de monde, les gens dansaient, chantaient, s’amusaient.
Nathalie alternait entre la danse et les pauses pour se rafraichir.
Moi de mon côté je refaisais le monde un verre à la main avec quelques autres gars.
Kevin profitant de voir ma femme assise seule est venu la rejoindre, jetant un coup d’œil à ses parents qui semblait avoir disparu, il s’est servi un verre de whisky qu’il a bu d’un trait.
Assis maintenant à côté d’elle il lui dit :« Vous êtes vraiment très belle, c’est une femme comme vous que j’aimerais »« Merci, c’est gentil, mais je suis mariée et bien trop vieille pour toi, je pourrais être ta mère »« Franchement Madame je fantasme sur vous depuis que je vous ai vu »« Cesse donc de m’appeler Madame je vais vraiment finir par croire que je suis vieille » lui dit-elle en riant.
« Tu devrais plutôt t’intéresser aux filles de ton âge, tu as combien ? Vingt ans ? »« Oui vingt ans et deux mois Madame… heuuuu pardon…Nathalie »« Les filles de mon âge ne veulent pas de moi, elles me traitent de puceau et me dises que je ne dois pas être un bon coup »« Et c’est vrai ? »« Bein… heuuuuu…. Puceau …. Oui mais il faut toujours une première fois »« C’est vrai, donc il faut persister, tu va bien trouver un jour la jeune fille que tu feras craquer, surtout que bien relooker je suis sûr que tu dois être assez mignon »« J’aimerais tant pouvoir vous caresser, vous serrer dans mes bras… »Aïe il commence à se lâcher un peu trop.
« Fait gaffe tu va finir par avoir une érection » lui dit-elle en riant et en se levant pour aller danser.
Déçu il est resté assis tout penaud mais en continuant à la regarder.
Vers trois heures du matin, Nathalie est venue près de moi en me demandant si je ne voulais pas aller me coucher car elle était fatiguée.
Nous sommes donc montés vers notre dortoir pour y rejoindre notre couchage.
A la lumière du portable nous avons retrouvé nos matelas, il ne restait que trois matelas de libre, les notre et un à côté.
Tout le monde avait l’air de dormir.
Nous nous sommes déshabillés pour rentrer sous la couette.
J’ai laissé ma femme se mettre du côté ou le matelas était vide en me disant que si personne ne venait elle serait plus à l’aise.
J’avais gardé mon caleçon et ma femme son soutien-gorge et son string.
« Enlève donc tout ça » lui dis-je « J’aime te sentir nue »Elle s’est exécutée sans broncher.
On s’est caressé un peu puis une personne est rentrée dans la pièce.
Kevin, je l’ai de suite reconnu.
La place libre à côté de Nathalie est donc la sienne.
Je commence à me demander s’il n’a pas attendu que l’on s’installe en arrivant pour aller ensuite déposer son matelas près des nôtres.
Non ce n’est pas possible, en plus il avait une chance sur deux d’être près de moi et pas de Nathalie.
Lui aussi s’avance à la lumière de son téléphone et il m’a semblait le voir sourire en voyant que c’était Nathalie sur le matelas d’à côté.
Ma femme lui tournait le dos et avait posé sa main sur mon ventre, je la sentais un peu aux aguets comme si elle appréhendait que son voisin de lit s’enhardisse avec l’obscurité.
Je lui pris la main pour la réconforter.
Je calais alors ma respiration comme si je m’endormais.
Au bout de quelques minutes, je l’ai senti se raidir d’un coup, Kevin avait posé sa main sur ses fesses.
Elle lui a pris la main pour l’enlever.
Quelques secondes plus tard, nouvelle tentative.
Elle se tourne alors vers lui pour lui remettre bien gentiment mais fermement sa main à sa place.
Il a alors retourné la situation en lui tenant fermement la main à son tour pour la poser sur son sexe.
Il bandait.
Sa bite était très dure.
Nathalie ne sachant plus trop quoi faire avait quand même sans s’en rendre compte enserrer son sexe dans sa main.
Elle n’arrivait pas à faire le tour avec ses doigts.
Bon, allez, je vais lui faire une petite branlette comme ça je serais tranquille se dit-elle.
Elle s’est relevée un peu pour écouter et voir si tout le monde dormais et lentement elle a commencé à le branler.
Se doutant que je ne dormais pas, la situation commençait à lui plaire.
Tous les deux allongés sur le dos, elle le branlait et lui a commencé à promener ses mains sur les seins et le sexe de ma femme.
Un doigt puis deux à l’intérieur de sa fente imberbe et bien qu’il soit inexpérimenté elle commençait à ressentir quelques frissons lui parcourir le corps.
Sa bite était trempée tellement il était excité.
La main de ma femme en était toute mouillée.
Doucement elle s’est glissée vers son sexe pour l’apporter jusqu’à sa bouche.
Un coup de langue tout autour du gland pour lécher le jus d’excitation qui en sortait, elle a ensuite fait glisser sa langue le long de sa bite pour bien l’exciter et a enfin enfournée cette grosse bite le plus loin possible au fond de sa bouche.
Elle savait qu’il ne durerait pas longtemps, alors elle lui a prodiguée le meilleur de ce qu’elle sait faire en fellation pour qu’il se souvienne toujours de sa première pipe.
Cinq minute au plus ont eu raison de lui.
Il a alors posé ses mains sur la tête de ma femme, pour lui maintenir sa bite dans la bouche, afin d’éjaculer.
De longs jets de sperme épais sont venus finir leur course dans la bouche de ma femme.
Elle a dû s’y reprendre à plusieurs fois pour tout avaler.
Elle lui a bien nettoyer la bite en la pressant et en aspirant les dernières goutes.
Elle s’est ensuite retournée vers moi en avançant sa main vers mon sexe.
Moi aussi j’avais une érection d’enfer, elle a alors entrepris de me branler.
Je commençais à sentir ma jouissance arriver quand soudain je l’ai de nouveau senti se raidir.
Kevin s’était blotti contre elle et avait entrepris de la pénétrer.
Rétissante une nouvelle fois au départ, elle a alors relevée un peu une jambe pour le laisser glisser dans son fourreau.
Au fur et à mesure que le sexe de Kevin pénétrait ma femme, je la sentais serrer le miens de plus en plus fort.
Maladroitement mais fermement il la baisait.
J’ai senti jouir Nathalie plusieurs fois de suite jusqu’à ce que lui a son tour éjacule au fond de sa chatte.
Elle sentait ses jets de sperme inonder le fond de sa grotte.
Heureusement qu’il était puceau, car jamais un autre homme que moi ne l’avait pris sans capote.
J’ai moi aussi joui dans la main de ma femme en même temps sans faire de bruit.
Tant pis pour la couette.
Je pense que cinq minutes plus tard nous dormions tous les trois.
Le lendemain quand nous nous sommes levés, Kevin dormais toujours.
Une bonne douche et nous sommes descendu.
Arrivée dans la salle plusieurs personnes étaient là à prendre un petit déjeuner, nous en avons fait de même.
Le bellâtre était là tout seul dans son coin, il avait dû faire choux blanc cette nuit.
Il regardait cependant discrètement mais d’un œil intéressé Nathalie.
Je me suis alors rapproché d’un groupe de personne à l’extérieur qui commençais une partie de boule pour me joindre à eux.
Nathalie était restée dans la salle et regardais ses messages sur son téléphone.
Le bellâtre (Jean Michel) s’est approché d’elle pour engager la conversation.
Ils étaient un peu à l’écart des autres ce qui lui permit d’être plus directe.
« Je crois qu’on a dormi dans la même pièce cette nuit » lui dit-il.
« Je t’ai entendu avec le p’tit jeune, tu t’es bien éclaté je crois »Ma femme ne savait plus trop quoi dire.
« T’es quand même une belle salope, tu te fais baiser par un mec alors que ton mari dort juste à côté, j’aime les femmes comme toi »Et avant qu’elle ne réponde, il reprit :« D’ailleurs, je pense que tu ne veux pas qu’il le sache, n’est-ce pas ? »Bon, il est un peu con, prétentieux, mais il est quand même canon, je pense que si je rentre dans son jeux je risque de me taper un beau mec se dit Nathalie, jamais contre un coup de bite.
« Non il ne faut surtout pas que mon mari soit au courant » lui répondit-elle.
« Tu va devoir payer de ta personne si tu veux que je reste discret, rejoins-moi la haut j’ai repéré une pièce où il n’y a personne, c’est la dernière porte au bout du couloir »Elle lui fit signe Ok de la tête.
Il est monté et Nathalie avant de le rejoindre est venue me faire un bisou.
C’est un de nos code, je savais alors qu’elle allait faire des coquineries.
Une fois arrivée dans la pièce indiquée, il était affalé dans un canapé la bite à l’air et en érection.
Ferme la porte lui dit-il et viens me sucer.
Elle obéit sans aucune hésitation.
Sa bite était de taille moyenne et bien dure.
A genoux entre ses cuisses, elle l’a de suite pris dans sa bouche pour commencer à le sucer.
Après de longue minute à lui prodiguer une superbe pipe, ne voulant pas jouir tout de suite il lui a dit de se retourner car il avait envi de la baiser comme une salope qu’elle était.
Elle s’est alors mise à quatre pattes, il a pris un préservatif dans sa poche de pantalon, l’a enfilé et s’est mis derrière elle pour la baiser.
Il l’a attrapé fermement par les hanches pour lui enfoncer sa bite jusqu’à la garde.
Il a ensuite commencé à faire des va et viens dans sa chatte, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement, puis de nouveau lentement et ainsi de suite.
Nathalie a alors commencé à prendre son pied plusieurs fois de suite.
Pendant plus d’une demi-heure il l’a faites jouir sans répit.
Se sentant lui aussi proche de l’explosion, il s’est arrêté de la baiser et lui a dit :« Je vais me vider dans ta bouche, j’aime éjaculer dans la bouche des salopes que je baise et tu va tout avaler ma p’tite pute »Il est sorti de sa chatte, a retiré son préservatif et est venu devant ma femme pour lui enfourner sa bite dans la bouche.
Elle l’a alors sucé quelques minutes jusqu’à ce qu’il lui explose dans la bouche.
De grands jets de sperme qu’elle a avaler sans rechigner.
Elle est descendue aussitôt après pour venir me rejoindre et me faire sentir et gouter en m’embrassant ce qu’elle venait de faire.
Bien sûr, au fil des ans, notre libertinage a évolué et nous avons essayé plein de chose afin de voir ce qui nous convenais le mieux.
Je pense que je suis candauliste depuis le début, d’ailleurs notre première rencontre libertine était avec un homme.
Le plus dur au début est de minimiser la jalousie pour qu’elle soit dépassée par l’excitation.
Une fois cette étape passée tout est plus facile.
Après chaque nouvelle expérience nous parlions beaucoup pour exprimer notre ressenti et corriger nos fautes.
Ce qui fait qu’au bout d’un moment nous n’avions même plus à nous dire les choses, nous savions ce qu’il fallait faire pour que l’on prenne chacun notre plaisir, un regard, un geste, une mimique suffisait pour nous comprendre.
De ce fait, nous avons fait beaucoup de trio car c’est là où nous nous sentions le mieux.
Nathalie a aussi fait beaucoup de rencontre seule, la condition était qu’elle me raconte après.
Dès le début je l’ai poussé à rencontrer d’autres hommes.
Un peu réticente les premières fois, elle a fini par y prendre gout.
Voici donc une histoire parmi les nombreuses que nous avons vécu.
Un jour par l’intermédiaire d’une de ses cousine assez éloignée et que nous ne fréquentions pas beaucoup, nous sommes invités à une cousinade.
Venez, nous a-t-elle dit, ça fera l’occasion de se voir et de découvrir d’autres personnes de la famille.
Après quelques jours de réflexion nous avons rappelé la cousine pour lui confirmer notre présence à cette réunion.
C’était une grosse organisation car nous étions environ quatre-vingts.
Bien sûr nous n’avions pas tous des liens de sang car il y avait aussi des cousins par alliance, c’est pour cela que nous étions autant bien que beaucoup d’autres avait décliné l’invitation.
Le lieu était dans une autre région mais il y avait un hébergement sur place.
Une grande bâtisse qui servait pour des réceptions et qui pouvait accueillir une centaine de personne.
Il y avait une grande salle ou nous avons mangé et danser.
A l’étage, plusieurs pièces qui nous servais de dortoir, nous étions une dizaine par chambrée.
Il y avait aussi plusieurs pièces avec des rangées de plusieurs douches et une multitude de toilettes.
Certainement une ancienne pension ou école.
Chacun d’entre nous avait amené un matelas mousse ou gonflable et nous les avons posés les uns à côté des autres.
Arrivé en milieu d’après-midi, le temps d’installer nos matelas, déposer nos affaires, prendre une douche et nous apprêter pour la soirée, nous sommes alors descendus pour rejoindre les autres.
On reconnaissait quelques visages, nous avons discuté à droite à gauche, retrouvé quelques cousins que nous avions perdu de vue, bref l’ambiance était bonne enfant et agréable.
Nathalie avait repéré un homme d’une trentaine d’année qu’elle trouvait très beau, un corps qui semblait athlétique, un belle carrure et une gueule d’ange.
Naviguant tranquillement dans la salle, son verre à la main, elle s’en est approchée doucement.
Il y avait pas mal de femme autour de lui et elle a commencée à l’écouteur parler.
Il était certes très beau mais très imbu de sa personne, une arrogance sans limite et un dédain pour les « moches » comme il les appelait.
Bien qu’elle ne se sentais pas visé, elle fût déçue de ce genre de comportement plus que machiste.
Le bellâtre avait sa cour de midinettes mais il n’y prêtait guerre attention cherchant sans doute la bombe atomique qu’il méritait.
Nathalie a continué sa promenade au travers des gens puis est revenue vers moi.
Elle m’a alors raconté le comportement du bellâtre en me disant « dommage il était beau je m’en serais bien fait un quatre heure »Je lui ai dit que je l’avais regardé se promener dans la salle et qu’il y avait un garçon qui ne la lâché pas des yeux.
Discrètement je lui ai montré, mais c’est un gamin me dit-elle il doit avoir vingt ans (nous en avions 42 pour Nathalie et 45 pour moi)Je ne te dis pas de te le faire répondis-je en rigolant, je te dis juste que tu dois lui plaire parce qu’il ne te lâche pas.
Ouf m’a-t-elle répondu en riant elle aussi, j’ai cru que tu voulais me jeter dans les bras d’un puceau.
C’est vrai qu’il avait l’air timide et que son regard était fuyant, tout l’inverse du bellâtre.
Nous avons alors continué à boire quelques punch puis comme tout le monde nous avons commencé à nous servir pour manger.
C’était un buffet froid ou nous allions nous servir et ensuite nous installer à table ou nous voulions.
Nous nous sommes alors installés pour manger et comme par hasard, le jeune homme et ses parents sont venus s’installer près de nous, il avait précédé ses parents ne leur laissant pas le choix de l’endroit où s’assoir à table.
Timide mais mateur.
Il faut dire que Nathalie, comme à son habitude, était vêtue d’une mini-jupe, moins courte que parfois et d’un décolleté qui avec sa poitrine opulente attiré beaucoup l’œil de la gente masculine.
Ses parents ont alors engagé la conversation, nous avons échangé sur les liens de parenté que l’on pouvait avoir, mais apparemment il n’y en avait pas.
Une bonne cinquantaine et demie tous les deux, ils n’avaient qu’un fils, Kevin, que sa maman couvait apparemment beaucoup trop.
Plus tard dans la soirée l’alcool commençait à faire effet sur pas mal de monde, les gens dansaient, chantaient, s’amusaient.
Nathalie alternait entre la danse et les pauses pour se rafraichir.
Moi de mon côté je refaisais le monde un verre à la main avec quelques autres gars.
Kevin profitant de voir ma femme assise seule est venu la rejoindre, jetant un coup d’œil à ses parents qui semblait avoir disparu, il s’est servi un verre de whisky qu’il a bu d’un trait.
Assis maintenant à côté d’elle il lui dit :« Vous êtes vraiment très belle, c’est une femme comme vous que j’aimerais »« Merci, c’est gentil, mais je suis mariée et bien trop vieille pour toi, je pourrais être ta mère »« Franchement Madame je fantasme sur vous depuis que je vous ai vu »« Cesse donc de m’appeler Madame je vais vraiment finir par croire que je suis vieille » lui dit-elle en riant.
« Tu devrais plutôt t’intéresser aux filles de ton âge, tu as combien ? Vingt ans ? »« Oui vingt ans et deux mois Madame… heuuuu pardon…Nathalie »« Les filles de mon âge ne veulent pas de moi, elles me traitent de puceau et me dises que je ne dois pas être un bon coup »« Et c’est vrai ? »« Bein… heuuuuu…. Puceau …. Oui mais il faut toujours une première fois »« C’est vrai, donc il faut persister, tu va bien trouver un jour la jeune fille que tu feras craquer, surtout que bien relooker je suis sûr que tu dois être assez mignon »« J’aimerais tant pouvoir vous caresser, vous serrer dans mes bras… »Aïe il commence à se lâcher un peu trop.
« Fait gaffe tu va finir par avoir une érection » lui dit-elle en riant et en se levant pour aller danser.
Déçu il est resté assis tout penaud mais en continuant à la regarder.
Vers trois heures du matin, Nathalie est venue près de moi en me demandant si je ne voulais pas aller me coucher car elle était fatiguée.
Nous sommes donc montés vers notre dortoir pour y rejoindre notre couchage.
A la lumière du portable nous avons retrouvé nos matelas, il ne restait que trois matelas de libre, les notre et un à côté.
Tout le monde avait l’air de dormir.
Nous nous sommes déshabillés pour rentrer sous la couette.
J’ai laissé ma femme se mettre du côté ou le matelas était vide en me disant que si personne ne venait elle serait plus à l’aise.
J’avais gardé mon caleçon et ma femme son soutien-gorge et son string.
« Enlève donc tout ça » lui dis-je « J’aime te sentir nue »Elle s’est exécutée sans broncher.
On s’est caressé un peu puis une personne est rentrée dans la pièce.
Kevin, je l’ai de suite reconnu.
La place libre à côté de Nathalie est donc la sienne.
Je commence à me demander s’il n’a pas attendu que l’on s’installe en arrivant pour aller ensuite déposer son matelas près des nôtres.
Non ce n’est pas possible, en plus il avait une chance sur deux d’être près de moi et pas de Nathalie.
Lui aussi s’avance à la lumière de son téléphone et il m’a semblait le voir sourire en voyant que c’était Nathalie sur le matelas d’à côté.
Ma femme lui tournait le dos et avait posé sa main sur mon ventre, je la sentais un peu aux aguets comme si elle appréhendait que son voisin de lit s’enhardisse avec l’obscurité.
Je lui pris la main pour la réconforter.
Je calais alors ma respiration comme si je m’endormais.
Au bout de quelques minutes, je l’ai senti se raidir d’un coup, Kevin avait posé sa main sur ses fesses.
Elle lui a pris la main pour l’enlever.
Quelques secondes plus tard, nouvelle tentative.
Elle se tourne alors vers lui pour lui remettre bien gentiment mais fermement sa main à sa place.
Il a alors retourné la situation en lui tenant fermement la main à son tour pour la poser sur son sexe.
Il bandait.
Sa bite était très dure.
Nathalie ne sachant plus trop quoi faire avait quand même sans s’en rendre compte enserrer son sexe dans sa main.
Elle n’arrivait pas à faire le tour avec ses doigts.
Bon, allez, je vais lui faire une petite branlette comme ça je serais tranquille se dit-elle.
Elle s’est relevée un peu pour écouter et voir si tout le monde dormais et lentement elle a commencé à le branler.
Se doutant que je ne dormais pas, la situation commençait à lui plaire.
Tous les deux allongés sur le dos, elle le branlait et lui a commencé à promener ses mains sur les seins et le sexe de ma femme.
Un doigt puis deux à l’intérieur de sa fente imberbe et bien qu’il soit inexpérimenté elle commençait à ressentir quelques frissons lui parcourir le corps.
Sa bite était trempée tellement il était excité.
La main de ma femme en était toute mouillée.
Doucement elle s’est glissée vers son sexe pour l’apporter jusqu’à sa bouche.
Un coup de langue tout autour du gland pour lécher le jus d’excitation qui en sortait, elle a ensuite fait glisser sa langue le long de sa bite pour bien l’exciter et a enfin enfournée cette grosse bite le plus loin possible au fond de sa bouche.
Elle savait qu’il ne durerait pas longtemps, alors elle lui a prodiguée le meilleur de ce qu’elle sait faire en fellation pour qu’il se souvienne toujours de sa première pipe.
Cinq minute au plus ont eu raison de lui.
Il a alors posé ses mains sur la tête de ma femme, pour lui maintenir sa bite dans la bouche, afin d’éjaculer.
De longs jets de sperme épais sont venus finir leur course dans la bouche de ma femme.
Elle a dû s’y reprendre à plusieurs fois pour tout avaler.
Elle lui a bien nettoyer la bite en la pressant et en aspirant les dernières goutes.
Elle s’est ensuite retournée vers moi en avançant sa main vers mon sexe.
Moi aussi j’avais une érection d’enfer, elle a alors entrepris de me branler.
Je commençais à sentir ma jouissance arriver quand soudain je l’ai de nouveau senti se raidir.
Kevin s’était blotti contre elle et avait entrepris de la pénétrer.
Rétissante une nouvelle fois au départ, elle a alors relevée un peu une jambe pour le laisser glisser dans son fourreau.
Au fur et à mesure que le sexe de Kevin pénétrait ma femme, je la sentais serrer le miens de plus en plus fort.
Maladroitement mais fermement il la baisait.
J’ai senti jouir Nathalie plusieurs fois de suite jusqu’à ce que lui a son tour éjacule au fond de sa chatte.
Elle sentait ses jets de sperme inonder le fond de sa grotte.
Heureusement qu’il était puceau, car jamais un autre homme que moi ne l’avait pris sans capote.
J’ai moi aussi joui dans la main de ma femme en même temps sans faire de bruit.
Tant pis pour la couette.
Je pense que cinq minutes plus tard nous dormions tous les trois.
Le lendemain quand nous nous sommes levés, Kevin dormais toujours.
Une bonne douche et nous sommes descendu.
Arrivée dans la salle plusieurs personnes étaient là à prendre un petit déjeuner, nous en avons fait de même.
Le bellâtre était là tout seul dans son coin, il avait dû faire choux blanc cette nuit.
Il regardait cependant discrètement mais d’un œil intéressé Nathalie.
Je me suis alors rapproché d’un groupe de personne à l’extérieur qui commençais une partie de boule pour me joindre à eux.
Nathalie était restée dans la salle et regardais ses messages sur son téléphone.
Le bellâtre (Jean Michel) s’est approché d’elle pour engager la conversation.
Ils étaient un peu à l’écart des autres ce qui lui permit d’être plus directe.
« Je crois qu’on a dormi dans la même pièce cette nuit » lui dit-il.
« Je t’ai entendu avec le p’tit jeune, tu t’es bien éclaté je crois »Ma femme ne savait plus trop quoi dire.
« T’es quand même une belle salope, tu te fais baiser par un mec alors que ton mari dort juste à côté, j’aime les femmes comme toi »Et avant qu’elle ne réponde, il reprit :« D’ailleurs, je pense que tu ne veux pas qu’il le sache, n’est-ce pas ? »Bon, il est un peu con, prétentieux, mais il est quand même canon, je pense que si je rentre dans son jeux je risque de me taper un beau mec se dit Nathalie, jamais contre un coup de bite.
« Non il ne faut surtout pas que mon mari soit au courant » lui répondit-elle.
« Tu va devoir payer de ta personne si tu veux que je reste discret, rejoins-moi la haut j’ai repéré une pièce où il n’y a personne, c’est la dernière porte au bout du couloir »Elle lui fit signe Ok de la tête.
Il est monté et Nathalie avant de le rejoindre est venue me faire un bisou.
C’est un de nos code, je savais alors qu’elle allait faire des coquineries.
Une fois arrivée dans la pièce indiquée, il était affalé dans un canapé la bite à l’air et en érection.
Ferme la porte lui dit-il et viens me sucer.
Elle obéit sans aucune hésitation.
Sa bite était de taille moyenne et bien dure.
A genoux entre ses cuisses, elle l’a de suite pris dans sa bouche pour commencer à le sucer.
Après de longue minute à lui prodiguer une superbe pipe, ne voulant pas jouir tout de suite il lui a dit de se retourner car il avait envi de la baiser comme une salope qu’elle était.
Elle s’est alors mise à quatre pattes, il a pris un préservatif dans sa poche de pantalon, l’a enfilé et s’est mis derrière elle pour la baiser.
Il l’a attrapé fermement par les hanches pour lui enfoncer sa bite jusqu’à la garde.
Il a ensuite commencé à faire des va et viens dans sa chatte, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement, puis de nouveau lentement et ainsi de suite.
Nathalie a alors commencé à prendre son pied plusieurs fois de suite.
Pendant plus d’une demi-heure il l’a faites jouir sans répit.
Se sentant lui aussi proche de l’explosion, il s’est arrêté de la baiser et lui a dit :« Je vais me vider dans ta bouche, j’aime éjaculer dans la bouche des salopes que je baise et tu va tout avaler ma p’tite pute »Il est sorti de sa chatte, a retiré son préservatif et est venu devant ma femme pour lui enfourner sa bite dans la bouche.
Elle l’a alors sucé quelques minutes jusqu’à ce qu’il lui explose dans la bouche.
De grands jets de sperme qu’elle a avaler sans rechigner.
Elle est descendue aussitôt après pour venir me rejoindre et me faire sentir et gouter en m’embrassant ce qu’elle venait de faire.
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