Cousine Berthe
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Cousine Berthe
C’est bien plus tard après notre mariage que Jean rencontre ma cousine Berthe. Il s’aperçoit qu’elle est attirée par les filles, surtout par une lesbienne qui réunit sur elle tous les aspects négatifs : velue, presque pas de sein, voix grave. Quand Berthe vient passer quelques jours chez nous, elle y est bien accueillie, surtout par Jean. Au cours du repas j’interroge Berthe sur les façons de faire des filles entre elles. Elle est rétive, quand j’insiste elle répond enfin.
- Tu sais, entre filles c’est comme un couple normal. Nous avons des envies de caresser l’autre. J’aime bien ce genre de câlins toujours doux, même s’il manque quelque chose.
- Quoi ?
- Une bite pour entrer. Maintenant c’est plus facile avec les godes comme on fait qui permettent de baiser et d’être baisée ensemble.
- Vous vous les mettez où ces godes ?
- Comme toi une bite, dans le sexe.
Je m’interpose :
- Si je te donne ma queue, là devant ma femme, tu la prends ?
- Avec elle bien sûr.
- Alors je vais te baiser devant ma femme.
- Non, avec elle.
Et voilà, je me trouve au milieu de cinglé : Berthe qui accepte de baiser en trio et mon mari qui le lui propose. Je ne sais pas du tout comment faire à trois. Mais ils m’excitent de parler de baise comme ça ; naturellement. Je suis définitivement vaincue quand Yves m’embrasse profondément sur la bouche : je ne sais rien lui refuser. Et puis pourquoi ne pas essayer ? Et Berthe qui en plus vient me caresser les seins. Yves pose sa main sur le genou : j’écarte les jambes. Ils peuvent me faire ce qu’ils veulent ces cinglés
- Et puis je veux faire jouir ta femme seule te peux regarder mais ne pas te mêler de ce que je lui ferais : elle jouira comme jamais.
- Comment alors ?
- Je ne la toucherais presque pas.
J’accepte finalement tentée par ce genre de caresses.
Nous débarrassons totalement la table. Berthe me fait coucher dessus, sur le ventre. C’est un peu dur, mais j’accepte. Elle m’autorise un coussin pour le mettre sous le ventre. J’ai ainsi les fesses surélevées. Yves regarde, il a sorti sa queue qui se développe comme s’il allait me la mettre (ce que je ne refuserais pas, même devant la cousine) Berthe sort de son sac une petite bouteille de produit bizarre, elle en fait couler un peu sur moi. Elle l’étale sur tout le corps. Ses mains deviennent plus douces encore.
Elle masse les épaules, le dos, les fesses les jambes pour remonter doucement vers les fesses. Yves me dit qu’on peut voir mon cul et le con. C’est le but de Berthe qui en remontant écarte les fesses. Je suis à sa merci. Je tends ma main vers la queue de mon mari, j’y ai droit quand même. Je le prends dans mes doigts. Il est dur comme s’il allait me la mettre au cul. Je le branle lentement, je veux que son plaisir soit au moins égal à celui que je vais prendre. Le prépuce descend doucement, je découvre le gland violacé. Ma main voltige sur la bite. Je voulais le faire durer, mais la présence d’une autre le fait jouir. Son jet vient sur moi et Berthe qui en rit.
Elle passe la main dans la raie. C’est trop lent. Elle ne fait que toucher, comme ça, au passage le petit trou. J’aurais bien aimé qu’elle s’y arrête même pour un cour bonjour. Berthe continue son travail de caresses particulières. Elle caresse les cuisses, l’oublie pour revenir plus haut. Je sens ses doigts autour et dans ma chatte, vers le cul également. Tous ses mouvements sont lents, très lents. Une main entoure mes lèvres, les masse, monte en les abandonnant vers le clitoris. Elle m’y caresse toujours de façon lente : je veux jouir, je vais jouir. Elle arrête tout pour aller taquiner l’anus. Elle en caresse le tour, les bords, le dessus, y reste le doigt immobile sur l’anus. Je voudrais qu’elle elle rentre. Elle repart.
Elle me fait mettre sur le dos, écarte les jambes selon l’angle qu’elle désire. Je vois qu’Yves bande encore. Je le fais venir près de ma bouche : j’ai besoin de son jus un peu salé. Il me donne la bite, je ferme mes lèvres sur lui. Il est dans ma bouche, je le caresse avec la langue et une joue. Je le fait éjacule au fond de la bouche ; Il me remplit, vient, c’est bon, je déguste sa semence doucement. Je garde longtemps son gout.
Et Berthe, elle caresse à sa façon ce qu’elle a sous les mains. Elle prend une lèvre de bas en haut, ses doigts me serrent un peu, c’est bon. Quand elle arrive en haut, tout près de bouton, elle descend recommencer avec l’autre lèvre. Je dois mouiller comme ne fontaine et elle ne me caresse toujours pas : je crève d’envie de jouir. Ses doigts descendent vers l’anus. Elle pince la fesse juste à l’entrée. Enfin elle pose un doigt qui caresse cet endroit que j’ai sensible depuis que j’ai demandé à Yves me la mettre au cul la première fois. C’est fichtrement bon. Qu’elle accentue sa caresse et je vais jouir. Non, elle passe lentement un doigt (toujours le même ?) sur le périnée. Elle arrive sur mon entrée du vagin. Elle va entrer enfin. Non, elle remonte vers le pubis, elle le passe pour monter vers la poitrine. Qu’est-ce que j’ai fait à Eros pour qu’elle me fasse quoi au fait : me faire jouir c’est sa promesse.
Elle redescend lentement, comme si elle comptait mes cotes. Elle est là, sur les hanches, sur mes jambes, entre mes cuisses toujours ouvertes, en attente. Si elle posait sa bouche sur ma chatte, si elle pensait à me lécher un peu. Non ses doigts, toujours ses doigts seuls qui interviennent. Elle recommence sa ronde infernale. J’ai mal au fond du ventre : je dois jouir.
Elle plonge sa main dans la raie. Je pense qu’enfin elle va me doigter le cul. Elle s’en approche petit à petit, elle le touche aussi, oh une demi-seconde, à la suite d’un oubli de sa part, sans doute. Je la sens sur la figue. Je la veux, là, où elle est. Pourquoi Yves m’a laissé dans ses mains tortueuses. Et Yves qui s’approche de ses fesses à elle. Je la vois s’ouvrir. Il ne force même pas, il l’a sodomise devant moi en plus. S’il avait un peu pitié de moi, il serait venu me baiser, là sous sa figure à elle.
Mais non elle continue son manège. Elle commence enfin. Un doigt est venu en haut de mes lèvres. Un deuxième vient lentement. Ils écartent les lèvres. Mon bouton prend l’air quand elles le décapuchonnent. Et enfin elle me caresse avec intelligence. Je suis tendue sous cette caresse attendue.
Elle me récompense en posant sa bouche dessus. Elle m’aspire longtemps. Je n’attends plus, je jouis une fois puis une deuxième fois. Quand Berthe vient sur moi, en 69. Je lèche ce qu’elle me donne : son anus. C’est chaud, doux, presque comme l’intérieur de son sexe. Elle me demande de l’enculer avec le bout de la langue. Je force pas mal pour le faire. Yves rode autour de nous. Sa queue bande encore. Je me tourne pour lui présenter mes fesses. Il mouille avec sa salive mon entrée arrière. Je le reçois avec un énorme plaisir. J’aime me faire sodomiser par sa queue.
Nous verrons après si Berthe est capable de faire l’amour comme les autres. Moi je ne me plains pas de ses façon, j’ai attendu un trop long moment : mon plaisir était conséquent.
- Tu sais, entre filles c’est comme un couple normal. Nous avons des envies de caresser l’autre. J’aime bien ce genre de câlins toujours doux, même s’il manque quelque chose.
- Quoi ?
- Une bite pour entrer. Maintenant c’est plus facile avec les godes comme on fait qui permettent de baiser et d’être baisée ensemble.
- Vous vous les mettez où ces godes ?
- Comme toi une bite, dans le sexe.
Je m’interpose :
- Si je te donne ma queue, là devant ma femme, tu la prends ?
- Avec elle bien sûr.
- Alors je vais te baiser devant ma femme.
- Non, avec elle.
Et voilà, je me trouve au milieu de cinglé : Berthe qui accepte de baiser en trio et mon mari qui le lui propose. Je ne sais pas du tout comment faire à trois. Mais ils m’excitent de parler de baise comme ça ; naturellement. Je suis définitivement vaincue quand Yves m’embrasse profondément sur la bouche : je ne sais rien lui refuser. Et puis pourquoi ne pas essayer ? Et Berthe qui en plus vient me caresser les seins. Yves pose sa main sur le genou : j’écarte les jambes. Ils peuvent me faire ce qu’ils veulent ces cinglés
- Et puis je veux faire jouir ta femme seule te peux regarder mais ne pas te mêler de ce que je lui ferais : elle jouira comme jamais.
- Comment alors ?
- Je ne la toucherais presque pas.
J’accepte finalement tentée par ce genre de caresses.
Nous débarrassons totalement la table. Berthe me fait coucher dessus, sur le ventre. C’est un peu dur, mais j’accepte. Elle m’autorise un coussin pour le mettre sous le ventre. J’ai ainsi les fesses surélevées. Yves regarde, il a sorti sa queue qui se développe comme s’il allait me la mettre (ce que je ne refuserais pas, même devant la cousine) Berthe sort de son sac une petite bouteille de produit bizarre, elle en fait couler un peu sur moi. Elle l’étale sur tout le corps. Ses mains deviennent plus douces encore.
Elle masse les épaules, le dos, les fesses les jambes pour remonter doucement vers les fesses. Yves me dit qu’on peut voir mon cul et le con. C’est le but de Berthe qui en remontant écarte les fesses. Je suis à sa merci. Je tends ma main vers la queue de mon mari, j’y ai droit quand même. Je le prends dans mes doigts. Il est dur comme s’il allait me la mettre au cul. Je le branle lentement, je veux que son plaisir soit au moins égal à celui que je vais prendre. Le prépuce descend doucement, je découvre le gland violacé. Ma main voltige sur la bite. Je voulais le faire durer, mais la présence d’une autre le fait jouir. Son jet vient sur moi et Berthe qui en rit.
Elle passe la main dans la raie. C’est trop lent. Elle ne fait que toucher, comme ça, au passage le petit trou. J’aurais bien aimé qu’elle s’y arrête même pour un cour bonjour. Berthe continue son travail de caresses particulières. Elle caresse les cuisses, l’oublie pour revenir plus haut. Je sens ses doigts autour et dans ma chatte, vers le cul également. Tous ses mouvements sont lents, très lents. Une main entoure mes lèvres, les masse, monte en les abandonnant vers le clitoris. Elle m’y caresse toujours de façon lente : je veux jouir, je vais jouir. Elle arrête tout pour aller taquiner l’anus. Elle en caresse le tour, les bords, le dessus, y reste le doigt immobile sur l’anus. Je voudrais qu’elle elle rentre. Elle repart.
Elle me fait mettre sur le dos, écarte les jambes selon l’angle qu’elle désire. Je vois qu’Yves bande encore. Je le fais venir près de ma bouche : j’ai besoin de son jus un peu salé. Il me donne la bite, je ferme mes lèvres sur lui. Il est dans ma bouche, je le caresse avec la langue et une joue. Je le fait éjacule au fond de la bouche ; Il me remplit, vient, c’est bon, je déguste sa semence doucement. Je garde longtemps son gout.
Et Berthe, elle caresse à sa façon ce qu’elle a sous les mains. Elle prend une lèvre de bas en haut, ses doigts me serrent un peu, c’est bon. Quand elle arrive en haut, tout près de bouton, elle descend recommencer avec l’autre lèvre. Je dois mouiller comme ne fontaine et elle ne me caresse toujours pas : je crève d’envie de jouir. Ses doigts descendent vers l’anus. Elle pince la fesse juste à l’entrée. Enfin elle pose un doigt qui caresse cet endroit que j’ai sensible depuis que j’ai demandé à Yves me la mettre au cul la première fois. C’est fichtrement bon. Qu’elle accentue sa caresse et je vais jouir. Non, elle passe lentement un doigt (toujours le même ?) sur le périnée. Elle arrive sur mon entrée du vagin. Elle va entrer enfin. Non, elle remonte vers le pubis, elle le passe pour monter vers la poitrine. Qu’est-ce que j’ai fait à Eros pour qu’elle me fasse quoi au fait : me faire jouir c’est sa promesse.
Elle redescend lentement, comme si elle comptait mes cotes. Elle est là, sur les hanches, sur mes jambes, entre mes cuisses toujours ouvertes, en attente. Si elle posait sa bouche sur ma chatte, si elle pensait à me lécher un peu. Non ses doigts, toujours ses doigts seuls qui interviennent. Elle recommence sa ronde infernale. J’ai mal au fond du ventre : je dois jouir.
Elle plonge sa main dans la raie. Je pense qu’enfin elle va me doigter le cul. Elle s’en approche petit à petit, elle le touche aussi, oh une demi-seconde, à la suite d’un oubli de sa part, sans doute. Je la sens sur la figue. Je la veux, là, où elle est. Pourquoi Yves m’a laissé dans ses mains tortueuses. Et Yves qui s’approche de ses fesses à elle. Je la vois s’ouvrir. Il ne force même pas, il l’a sodomise devant moi en plus. S’il avait un peu pitié de moi, il serait venu me baiser, là sous sa figure à elle.
Mais non elle continue son manège. Elle commence enfin. Un doigt est venu en haut de mes lèvres. Un deuxième vient lentement. Ils écartent les lèvres. Mon bouton prend l’air quand elles le décapuchonnent. Et enfin elle me caresse avec intelligence. Je suis tendue sous cette caresse attendue.
Elle me récompense en posant sa bouche dessus. Elle m’aspire longtemps. Je n’attends plus, je jouis une fois puis une deuxième fois. Quand Berthe vient sur moi, en 69. Je lèche ce qu’elle me donne : son anus. C’est chaud, doux, presque comme l’intérieur de son sexe. Elle me demande de l’enculer avec le bout de la langue. Je force pas mal pour le faire. Yves rode autour de nous. Sa queue bande encore. Je me tourne pour lui présenter mes fesses. Il mouille avec sa salive mon entrée arrière. Je le reçois avec un énorme plaisir. J’aime me faire sodomiser par sa queue.
Nous verrons après si Berthe est capable de faire l’amour comme les autres. Moi je ne me plains pas de ses façon, j’ai attendu un trop long moment : mon plaisir était conséquent.
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