Couvre-feu
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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Couvre-feu
Soirée pyjama sous couvre-feu
L’invitation était pour 20h30, comme pour un dîner en ville normal. Mais avec cette affaire de couvre-feu, il ne fallait pas trop exagérer le quart d’heure montpelliérain et pousser le retard de politesse au delà de 21h, au risque de prendre PV à 135€.
La maîtresse de maison avait ajouté au bas de l’email d’invitation, vu les obligations actuelles, venez, toi avec ton pyjama et ta partenaire sa chemise de nuit. Si tant est que vous utilisiez ce genre de vêture de nuit.
Vu qu’il ne vous sera pas possible de rentrer chez vous après souper à cause du couvre-feu, on vous gardera à dormir dans la chambre d’amis.
Le lendemain dimanche on fera brunch après grasse matinée et vous pourrez retourner at home, en suivant, en toute légalité dans l’après-midi.
En plus de ça, vous aurez pu laisser votre automobile toute la nuit stationner impunément dans la zone piétonne vu que les préposés aux PV n’auront pas le droit eux-mêmes d’y circuler. Si vous chopez une amende, on s’amusera à les faire traduire en justice et exiger du juge qu’ils payent la contravention de 135€ annoncée par Macron.
La Loi est écrite et nul ne peut s’y soustraire, surtout pas le juge ... non plus que ces petits cons de préposés municipaux.
Et nous tous, on bichera en rigolant. En gilets jaunes de haute couture, facétieux et ravis, purs anarchistes.
Si par bonheur, ils ont mis contravention aux deux voitures de nos amis invités, nous obtiendrons qualification de récidive et le montant sera alors de 1500€. Sûr qu’ils l’auront mauvaise d’autant que ces amendes de non respect du couvre-feu sont personnelles et que leur employeur, la municipalité, ne peut légalement se substituer.
Ce dîner en ville était réunion de robes : un couple d’avocats, les hôtes, un magistrat et sa femme, nous, et enfin le procureur avec sa toute jeune épouse en guest stars.
Aussi les questions de respect des consignes règlementaires avaient importance. Surtout que l’art d’enculer en finesse les autorités était le sport favori des édiles locales montpelliéraines et fières de l’être.
Ma femme m’a dit, va falloir qu’on s’achète, toi un pyjama, moi une chemise de nuit.
Ces gens-là sont bien gentils de nous inviter mais tout de même ils pourraient s’enquérir au préalable des habitudes nocturnes de leurs invités.
Crois-tu que nous pourrions leur répondre que nous ne possédons pas ce genre d’accessoire vu que, nous, on dort toujours tous nus en vue de contacter nos corps de peau toute la nuit durant afin de nous réveiller désireux et amoureux à matines et conclure par une épopée de sexe effrénée sans retenue aucune, à couilles rabattues.
Dis leur combien c’est bon et combien la journée qui suit est tendre quand on s’est bien baisés mutuellement au réveil.
Ils ont dit, on a le droit d’être six à table, six ensemble chez soi, alors respectons les consignes Macron et faisons des fêtes à trois couples tous les soirs que Dieu fait durant le temps que ce couvre-feu durera. Pour notre plus grand bonheur. Avec finition copulatoire en pyjamas parties. Adultes.
Ils devaient, disait-elle, inviter ainsi au souper avec nous les Dupont. Le fameux procureur Dupont, veuf de fraîche date, accompagné de la gamine qu’il venait tout juste d’épouser en justes noces bien qu’elle fût de trente ans sa cadette.
Crois-tu que ce couple sera, également, convié à rester coucher ?
Ont-ils, dans leur petit appartement du centre-ville, tant de chambres d’amis qu’ils puissent ainsi inviter plusieurs ménages simultanément à la fois ?
Finalement, vu que cette invitation à dîner s’était transformée en pyjama-partie, comme en son époque trouble et coquine d’adolescence, mon épouse a visité le site de princesse tam.tam puis est allée au magasin pour acheter les pyjamas requis pour nous deux.
Elle était excitée comme une puce à l’idée de se retrouver, en couvre-feu, avec deux autres filles, elles aussi vaguement vêtues de léger, avec des garçons qui n’étaient plus, depuis belle lurette, des garçons timides de lycée mais maintenant des hommes solides expérimentés et surtout pleins d’audace et sans retenue aucune.
Elle présumait, ma chère et tendre, que ce dîner en gentry montpelliéraine allait être chaud. Et même pire en suivant, si l’on restait coucher plus ou moins en vrac malgré la protection des pyjamas, dans la chambre d’amis annoncée.
Faut dire qu’à l’époque de ses treize printemps elle avait connu les pyjamas-parties entre filles, roudoudous et autres friandises sucrées mais surtout tripotages de tétés, ombres de seins de fillettes et doigts en visite courtoise d’abricots encore glabres ou à peine vêtus de fin duvet clair, mais déjà fort juteux et accueillants.
Alors, chez princesse tam.tam, elle avait choisi pour elle, non pas une chemise de nuit, trop classique, ou une nuisette légère et courte, mais un vrai pyjama.
Haut prude manches longues et col serré de catho pratiquante assumée. Plastron simple et droit sans pince ni rien, malmené par les nibars leur volume leurs mamelons mous saillants et les tétons pointus qui déchiraient le fin coton.
Bas en corsaire, jambette courte juste au dessous du genou avec sangle et petit noeud pour fermer. Quasiment une sorte de pantacourt de rando, mais très fin très léger, sans poches ni rien. Ceinture similaire de fine lanière et noeud sur le devant. Et entre les cuisses un ouvrant vaguement fermé de deux boutons, comme braguette de garçon mais ouvert, largement, du nombril au coccyx.
Pour, lui, dans la collection princesse tam.tam il n’y avait rien. Princesse tam.tam, c’est rien que vêtures de filles. Alors elle est allée, pour lui, sur le site Le Slip français. Là elle a trouvé son bonheur.
Le samedi 21h, heure limite, nous, sommes arrivés, main dans la main, à l’appart de nos amis avocats, ceux qui ce soir recevaient.
Je portai un petit baise-en-ville de cuir fauve de magistrat avec les habits de nuit requis et nos trousses de toilette.
Notre auto était garée effrontément dans la rue devant la porte, en toute illégalité, entre deux autres caisses, SUV du même acabit, gros lourds inutilement énormes, incorrects et polluants.
Madame apportait un petit bouquet de fleurs et une grande bouteille de bon vin. Un magnum.
Nous fûmes conduits par la jolie maîtresse de maison sur la terrasse et présentés aux autres convives, les Dupont, couple moderne. Couple jeune et charmant. Femme sexy un peu bimbette et mari solide mais bien plus âgé. On aurait dit un père et sa fille. Et encore la cadette de ses filles, tant elle semblait gamine.
Lui, procureur, musculeux grand sévère, elle petite rousse bien découplée, fillette souriante accorte.
Eux aussi avaient un petit sac Vuitton posé au pied de la chaise longue et je pensais, ils ont probablement apporté leurs habits de nuit, eux aussi.
Et je me prêtais à rêveries ... grand pyjama deux pièces pour lui, le bas du pantalon jusqu’en dessous des mollets, le haut façon veston avec des boutons du col à la ceinture.
Pour elle j’avais plus d’imagination. Je la voyais en shorty coton clair court et sans gousset, rien qu’un fil, en fait quasiment rien. Et sur son thorax large pour emballer ses beaux nibars épanouis de bimbo saine et sportive une camisole à manches longues fermée du devant enfilée comme un pull over.
Camisole craquante d’un contenu qu’elle avait bigrement du mal à contenir.
Nos hôtes s’affairaient sur la table basse et servaient, outre les petits tapas montpelliérains, de grands verres d’un liquide bleu des mers du sud, baptisé par eux Mer Turquoise.
Les tapas étaient petits pâtés de Pézenas, toasts de brandade de Nîmes, anchoïade camarguaise aux légumes crus, tellines du Grau du Roi, huîtres de Bouzigues, lucques vertes et noires petites et goûteuses.
Les vins muscats secs de Saint-Georges Terres blanches et le Viognier de Condrieu Ardèche le disputaient au breuvage bizarre bleu. Qu’était-il donc ce breuvage ?
Moi je pensais, et nos hôtes, les deux avocats à robe noire, lui et sa copine, que vont-ils nous produire, eux, comme habits de nuit ? Eux les hôtes de céans ? Je pensais, eux n’auront pas de réticence à proposer, après les mignardises, partie carrée, vu qu’ils ne sont pas, eux, couple légitime mais seulement, modestement, à la colle.
Finalement, on est passés à table après l’apéro, en habits de ville, et le dîner a longuement duré. On était bien seulement six convives et les règles du confinement macronien étaient convenablement respectées.
Les discussions portaient sur Dupont-Moretti et la pétasse chanteuse québécoise qu’il tirait. Enfin, pour vous dire que ces discussions de table montpelliéraine étaient bien sérieuses, en tous cas au goût du jour et politiquement correctes. Gala, Voici comme références.
La petite avocate, cheveux courts et fesses callipyges, qui nous recevait a proposé, vu qu’il n’y avait qu’une seule salle de bain dans cet appart ancien de Montpellier écusson, que nous passions à la douche en couples, et ce immédiatement, avant café et digestifs.
Digestifs devant être pris au coin du feu avant petite partie de Mastermind préalable au coucher, chacun dans la chambre à lui dévolue.
On a tous compris que cette partie de Mastermind serait déterminante dans l’affectation des chambrées.
Les deux avocats s’affairaient à préparer le salon, à garnir la cheminée de petits rondins de chêne vert, à dresser sur la table basse les bouteilles de Fernet-Branca, Chartreuse, Schnaps et autres alcools rares sans oublier le vin de noix des Cévennes titrant 60° et plus et le trois-six d’Ardèche encore pire.
Les cafés étaient de machine Nespresso mais personne n’a pris de capsules à point rouge. On savait que la nuit ne serait point décaféinée.
La petite rousse est arrivée la première. Femme de procureur, elle se devait d’être hors norme. Et elle l’était.
Elle ne portait pas de pyjama.
Toute nue toute fraîche d’après sa doucheElle respirait le printemps et sa nuisette minimale ne cachait pas grand chose de son petit corps replet.
La tignasse rousse qu’elle arborait normalement dans le civil, ici paraissait totalement indécente tant elle était en concordance en harmonie de ses aisselles, rousses luxuriantes inouïes et de sa touffe épaisse sombre sous le coton fin de la nuisette.
Elle a choisi le grand fauteuil profond de cuir pour s’y asseoir et ouvrir son cœur.
Cette pilosité extrême noyait ses intimités en chasteté absolue et aucun de nous n’a même imaginé plus encore.
Enfin, tous on pensait que les rousses avaient ici-bas bien du charme...
Son mari, le procureur, bel homme au demeurant, solide athlète, avait choisi un habit de déguisement. Tenez-vous bien, il était affublé d’un bonnet de nuit et portait une chemise de nuit du siècle dernier en bure beige claire. Chacun ici en était sur le cul.
On avait tous compris que l’affaire irait plus loin qu’un simple hébergement de circonstance suite à couvre-feu.
Le procureur nous indiquait clairement la dimension épique de l’affaire.
D’autant qu’il bandait, le con, comme un âne.
La chemise en était tendue en avant comme la toile du cirque Bouglione au mât principal.
Chacune pensait, l’est sacrément bien monté le procureur...
Nous, mon épouse et moi, avons pris le tour suivant.
Au sortir de la douche, on a vu que nos hôtes, le mignon couple d’avocats, s’apprêtaient eux aussi à filer à la salle de bain. Ils se tenaient par la main et on voyait qu’ils allaient y trouver bonheur.
La cheminée ouverte crépitait et la jeune épousée du procureur nous accueillait de ses cuisses largement ouvertes noyées de crinière rousse épaisse.
Son sourire était chaleureux et ma femme a serré ma main. Comme une invite comme une suggestion.
Mon envie était forte mais j’ai pensé, il serait correct d’attendre avant d’agir que nous soyons tous les six ensemble.
Avant de démarrer les hostilités.
Les hôtes avocats étaient à leur tour sous les flux chauds de leur douche.
Comment seraient-ils sapés eux, ... de pyjamas ?
Le procureur avait une gueule d’enfer avec en sus son érection phénoménale qu’il promenait devant la platine en lisant les labels de grands vinyles noirs. Il a choisi un Johnny, Retiens la nuit.
La petite m’a regardé de ses yeux chavirés. J’ai compris qu’elle en voulait. Surtout intéressée par ma partenaire, qu’il m’a semblé.
Sa façon de la mater a attiré mon amie sur l’accoudoir du grand fauteuil de cuir. Elle s’y est assise, cuisses serrées, droite et sérieuse, lors que la gamine riait, basculée en arrière la matant effrontément.
La scène était étonnante de cette fillette exprimant éveil de sa libido naissante vs une grande qui, en sus, ne se dérobait pas, pas du tout...
Et ce sous les yeux du mari procureur et de moi-même, son propre mari.
Les avocats ont tardé à rejoindre leurs invités du week end. Vues leurs mines ravies on a tous compris qu’ils avaient consommé.
La grande hôtesse portait une chemise de nuit immense qui lui descendait jusqu’aux chevilles, cintrée à la taille aux hanches, avec manches longues aux poignets et col fermé.
Une chemise de nuit chaste et pudique. Qui couvrait son corps de partout, absolument. Sans la moindre ouverture, sans la moindre invite.
Sauf que la matière de viscose de la dite chemise était parfaitement translucide comme ces voiles Plein Jour des rideaux Tergal.
On détaillait tout. Ses épaules larges et son cou fin, sa taille et ses hanches, ses fesses hors normes qui plus est étaient ouvertes en dessous et cambrées comme appas appétissants, ses cuisses fines longues et ses petits mollets musclés.
Petite avocate qui faisait semblant d’être fille sage mais qui pointait de deux tétons pointus, accessoires habituels de sa volonté de convaincre par devant et au delà de toute démonstration.
Heureusement son pubis était glabre, rasé de chez rasé, et on ne voyait rien, dans les transparences, de son abricot. Ou du moins, on se contentait d’imaginer.
Son copain, notre hôte, était penché sur la cheminée et posait délicatement dans l’âtre de petites bûches de chêne vert. Ses fesses velues gonflaient le slip bleu de son pyjama et ses roupes, deux grosses roupes, pendaient lourdement devant nos museaux prégnants.
Les trois filles étaient là à saliver…
L’avocate en habit de lumière a servi les cafés dans de petites tasses Nespresso. Personne ne s’est dérobé non plus qu’a demandé à décaféiné. L’ambiance du groupe était bonne.
Les chaleurs rouge et or de la cheminée révélaient, impudiques, dans le creux des cuisses le papillon tout ouvert qui pendouillait. On était, filles et garçons, toute ouïe devant ce petit miracle, cette merveille de nature.
Elle s’est tournée vers le groupe, dos à la cheminée crépitante. Nous étions tous sans voix, les yeux braqués sur le contre-jour.
Elle a dit, voilà, nous n’avons à vous offrir qu’une unique chambre d’amis. Néanmoins nos deux chambres sont meublées de lits King Size. La chambre d’amis et notre propre chambre.
Aussi, la bonne idée est-elle que nous dormions à trois dans chacun des deux lits.
C’est la raison pour laquelle je vous ai prié chacun d’apporter un pyjama.
Pour éviter certaines dérives.
La vraie question est comment nous devons organiser la répartition. Cela mérite discussion.
Mon copain est d’avis qu’il faut éviter les couples établis. Maris, épouses, copines, sexfriends et autres partenaires ou comparses du moment.
C’est facile ici car nous ne sommes que six à répartir en deux groupes de trois. Cela rappelle les cours de statistique de Sciences Po. Les arrangements, permutations, combinaisons et tutti quanti.
Il y a donc deux possibilités seulement. En quelque sorte, une seule alternative.
Une fille avec deux garçons et un garçon avec deux filles.
J’explique, si l’on part du principe que l’on casse les couples établis, chacun de nous ne peut aller qu’avec quatre personnes. Il lui faut donc choisir deux parmi quatre.
Si, par exemple un garçon choisi deux filles, alors l’autre fille prendra deux garçons.
Mais si ce garçon choisi une fille et un garçon, alors la fille devra prendre un garçon et une fille.
Je vous laisse réfléchir et vous rappelle que c’est l’ami Macron qui nous a fourré dans cet embarras avec son affaire de souper à six convives et les combinaisons qui s’en suivent.
Moi, magistrat, habitué rompu à choisir à décider, j’ai juste pensé, à tout prendre, je prendrais bien la petite avocate et son cul majestueux et pour compléter un garçon, par exemple le procureur, histoire de me faire sucer par quelqu’un de compétent en la matière.
Le procureur, lui, pensait, moi je prends les deux gonzesses disponibles, la femme du magistrat avec son pantacourt tout ouvert et l’avocate aux villosités accueillantes. Blindé de Viagra comme je suis, je les mènerai au paradis.
Mais la petite avocate avait en tête de rester avec les deux mecs, le magistrat et le procureur. Procureur qui promettait longuement… et moi-même magistrat, qui n’en pensait pas moins.
Avait-elle alors compris qu’elle condamnait alors ses congénères à goûter aux plaisirs lesbiens ?
L’affaire étant complexe, il a été décidé de s’en remettre aux jeux de hasard pour en décider.
Les trois filles étaient du tonnerre.
La gamine rousse au fond du grand fauteuil, sa nuisette indigente remontée quasiment au nombril, exhibait une pilosité étonnante depuis bas jusqu’au pubis et dont les vagues épaisses et frisées nappaient l’intimité entre ses cuisses.
L’avocate, fille grande et mince, ne cachait rien de sa silhouette sous le voile, laissant à peine l’imagination construire ses trésors de chairs ourlées et suintantes.
Mon épouse était, elle, probablement la plus sage des trois filles. Sauf que ce corsaire ouvert à l’entre-cuisse qu’elle arborait était pousse au crime. Tout un chacun pensait, il est fermé de deux boutons. Mais, elle la coquine, glissait dans l’oreille de ceux-ci, saurez-vous les déboutonner avec la bouche avec les dents avec les lèvres ?
Interrogativement.
Pensez si les gars si les filles s’émouvaient…
Le Mastermind qui devait à l’origine permettre de départager les candidats tout en offrant une distraction d’après souper à été abandonné au profit du jeu de dés, meilleur garant d’équité pour départager les candidats.
L’avocat apporta la piste et trois dés.
Tous étaient autour de la table basse, tasse à café en main et aussi petit verre d’alcool fort pour les hommes.
Le procureur pensait, je laisse ma petite aux deux mecs. Seront pas trop de deux pour la contenter. En sus c’est même pas sûr qu’ils y arrivent vu que cette gamine est insatiable. En contre-partie, moi, je prends les deux filles dans la chambre d’amis. On fera soirée pyjama à trois, sans pyjama aucun. N’en déplaise à notre hôtesse.
La jeune avocate se savait fort attirante toute de voile transparent vêtue. Mais elle avait en tête de tomber cet accoutrement pour se retrouver toute nue dans les bras d’un homme, un vrai, qui la serrerait et la garderait ainsi prisonnière toute la nuit durant. Lourd sur son ventre et profond en elle. Cette jeune femme avait des idées simples et savait son destin.
Son mari, l’hôte, bandait depuis longtemps, depuis le hors d’œuvre et même avant, depuis les petites mises en bouche, pour cette rousse aux aisselles odorantes dont la nuisette ne cachait rien des profonds secrets touffus. De plus la fille semblait fort dévergondée et matait son paquet avec concupiscence, prête à y mettre la main sans vergogne pour serrer.
Mon épouse se réjouissait de l’opportunité d’une nuit, femme seule avec deux hommes. Alternative ou bien simultanéité, l’un dans le cul l’autre en voie naturelle, pipe pompier en intro, en préliminaire avant méli mélo plus profond. Ma femme rêvait et mouillait intensément.
Pour ma part, j’avais compris que mon lot serait partage avec l’avocat des faveurs de la gamine. Laquelle m’avait paru subjuguée par les énormes roupes de notre hôte.
Mais mon appétence pour la jeunesse faisait fi de ce handicap. Je pensais avec tendresse à la chanson de Jean Ferrat,Lorsque tu les verras sur les neiges en penteEcrire en noir et blanc et le risque et l’effortLorsque je faisais ça, moi j’avais dix-sept ansMoi, je partais gagnant à l’assaut de cette soirée pyjama.
La petite, qui faisait flamber l’imagination des mâles de la soirée, n’avait dans sa tête rien de bien rare. Sa belle santé et sa jeunesse parlaient pour elle et sa simplicité de jeune mariée avide de découverte a déclenché l’hallali.
Son procureur de mari lui a servi une grosse lampée de Cointreau dans un verre ballon genre verre à Cognac. Avant même d’y avoir trempé ses lèvres, elle a renversé le verre sur son ventre dans sa touffe rousse. Malhabile, gauchère ou bien diablesse coquine ?
La touffe était frisée était épaisse et, Dieu merci, le fauteuil n’a pas été taché.
Elle a dit, le 421 et cette piste sont inutiles, les dés sont jetés, aléa jacta est, moi j’embarque ces deux mecs et ils vont me brouter la motte parfumée aux écorces d’orange, décoction en esprit d’alcool.
Et elle riait.
Et on s’est laissé faire.
Le procureur a entraîné les deux femmes dans la chambre d’ami lors que sa petite épouse tenait les deux hommes par la main direction le grand king size matrimonial de nos hôtes.
Deux semaines plus tard, ce pauvre Macron reconnaissait humblement que sa politique de couvre-feu était échec patent vu ces millions de pyjama-parties endiablées, chaque nuit, en le royaume de France.
L’invitation était pour 20h30, comme pour un dîner en ville normal. Mais avec cette affaire de couvre-feu, il ne fallait pas trop exagérer le quart d’heure montpelliérain et pousser le retard de politesse au delà de 21h, au risque de prendre PV à 135€.
La maîtresse de maison avait ajouté au bas de l’email d’invitation, vu les obligations actuelles, venez, toi avec ton pyjama et ta partenaire sa chemise de nuit. Si tant est que vous utilisiez ce genre de vêture de nuit.
Vu qu’il ne vous sera pas possible de rentrer chez vous après souper à cause du couvre-feu, on vous gardera à dormir dans la chambre d’amis.
Le lendemain dimanche on fera brunch après grasse matinée et vous pourrez retourner at home, en suivant, en toute légalité dans l’après-midi.
En plus de ça, vous aurez pu laisser votre automobile toute la nuit stationner impunément dans la zone piétonne vu que les préposés aux PV n’auront pas le droit eux-mêmes d’y circuler. Si vous chopez une amende, on s’amusera à les faire traduire en justice et exiger du juge qu’ils payent la contravention de 135€ annoncée par Macron.
La Loi est écrite et nul ne peut s’y soustraire, surtout pas le juge ... non plus que ces petits cons de préposés municipaux.
Et nous tous, on bichera en rigolant. En gilets jaunes de haute couture, facétieux et ravis, purs anarchistes.
Si par bonheur, ils ont mis contravention aux deux voitures de nos amis invités, nous obtiendrons qualification de récidive et le montant sera alors de 1500€. Sûr qu’ils l’auront mauvaise d’autant que ces amendes de non respect du couvre-feu sont personnelles et que leur employeur, la municipalité, ne peut légalement se substituer.
Ce dîner en ville était réunion de robes : un couple d’avocats, les hôtes, un magistrat et sa femme, nous, et enfin le procureur avec sa toute jeune épouse en guest stars.
Aussi les questions de respect des consignes règlementaires avaient importance. Surtout que l’art d’enculer en finesse les autorités était le sport favori des édiles locales montpelliéraines et fières de l’être.
Ma femme m’a dit, va falloir qu’on s’achète, toi un pyjama, moi une chemise de nuit.
Ces gens-là sont bien gentils de nous inviter mais tout de même ils pourraient s’enquérir au préalable des habitudes nocturnes de leurs invités.
Crois-tu que nous pourrions leur répondre que nous ne possédons pas ce genre d’accessoire vu que, nous, on dort toujours tous nus en vue de contacter nos corps de peau toute la nuit durant afin de nous réveiller désireux et amoureux à matines et conclure par une épopée de sexe effrénée sans retenue aucune, à couilles rabattues.
Dis leur combien c’est bon et combien la journée qui suit est tendre quand on s’est bien baisés mutuellement au réveil.
Ils ont dit, on a le droit d’être six à table, six ensemble chez soi, alors respectons les consignes Macron et faisons des fêtes à trois couples tous les soirs que Dieu fait durant le temps que ce couvre-feu durera. Pour notre plus grand bonheur. Avec finition copulatoire en pyjamas parties. Adultes.
Ils devaient, disait-elle, inviter ainsi au souper avec nous les Dupont. Le fameux procureur Dupont, veuf de fraîche date, accompagné de la gamine qu’il venait tout juste d’épouser en justes noces bien qu’elle fût de trente ans sa cadette.
Crois-tu que ce couple sera, également, convié à rester coucher ?
Ont-ils, dans leur petit appartement du centre-ville, tant de chambres d’amis qu’ils puissent ainsi inviter plusieurs ménages simultanément à la fois ?
Finalement, vu que cette invitation à dîner s’était transformée en pyjama-partie, comme en son époque trouble et coquine d’adolescence, mon épouse a visité le site de princesse tam.tam puis est allée au magasin pour acheter les pyjamas requis pour nous deux.
Elle était excitée comme une puce à l’idée de se retrouver, en couvre-feu, avec deux autres filles, elles aussi vaguement vêtues de léger, avec des garçons qui n’étaient plus, depuis belle lurette, des garçons timides de lycée mais maintenant des hommes solides expérimentés et surtout pleins d’audace et sans retenue aucune.
Elle présumait, ma chère et tendre, que ce dîner en gentry montpelliéraine allait être chaud. Et même pire en suivant, si l’on restait coucher plus ou moins en vrac malgré la protection des pyjamas, dans la chambre d’amis annoncée.
Faut dire qu’à l’époque de ses treize printemps elle avait connu les pyjamas-parties entre filles, roudoudous et autres friandises sucrées mais surtout tripotages de tétés, ombres de seins de fillettes et doigts en visite courtoise d’abricots encore glabres ou à peine vêtus de fin duvet clair, mais déjà fort juteux et accueillants.
Alors, chez princesse tam.tam, elle avait choisi pour elle, non pas une chemise de nuit, trop classique, ou une nuisette légère et courte, mais un vrai pyjama.
Haut prude manches longues et col serré de catho pratiquante assumée. Plastron simple et droit sans pince ni rien, malmené par les nibars leur volume leurs mamelons mous saillants et les tétons pointus qui déchiraient le fin coton.
Bas en corsaire, jambette courte juste au dessous du genou avec sangle et petit noeud pour fermer. Quasiment une sorte de pantacourt de rando, mais très fin très léger, sans poches ni rien. Ceinture similaire de fine lanière et noeud sur le devant. Et entre les cuisses un ouvrant vaguement fermé de deux boutons, comme braguette de garçon mais ouvert, largement, du nombril au coccyx.
Pour, lui, dans la collection princesse tam.tam il n’y avait rien. Princesse tam.tam, c’est rien que vêtures de filles. Alors elle est allée, pour lui, sur le site Le Slip français. Là elle a trouvé son bonheur.
Le samedi 21h, heure limite, nous, sommes arrivés, main dans la main, à l’appart de nos amis avocats, ceux qui ce soir recevaient.
Je portai un petit baise-en-ville de cuir fauve de magistrat avec les habits de nuit requis et nos trousses de toilette.
Notre auto était garée effrontément dans la rue devant la porte, en toute illégalité, entre deux autres caisses, SUV du même acabit, gros lourds inutilement énormes, incorrects et polluants.
Madame apportait un petit bouquet de fleurs et une grande bouteille de bon vin. Un magnum.
Nous fûmes conduits par la jolie maîtresse de maison sur la terrasse et présentés aux autres convives, les Dupont, couple moderne. Couple jeune et charmant. Femme sexy un peu bimbette et mari solide mais bien plus âgé. On aurait dit un père et sa fille. Et encore la cadette de ses filles, tant elle semblait gamine.
Lui, procureur, musculeux grand sévère, elle petite rousse bien découplée, fillette souriante accorte.
Eux aussi avaient un petit sac Vuitton posé au pied de la chaise longue et je pensais, ils ont probablement apporté leurs habits de nuit, eux aussi.
Et je me prêtais à rêveries ... grand pyjama deux pièces pour lui, le bas du pantalon jusqu’en dessous des mollets, le haut façon veston avec des boutons du col à la ceinture.
Pour elle j’avais plus d’imagination. Je la voyais en shorty coton clair court et sans gousset, rien qu’un fil, en fait quasiment rien. Et sur son thorax large pour emballer ses beaux nibars épanouis de bimbo saine et sportive une camisole à manches longues fermée du devant enfilée comme un pull over.
Camisole craquante d’un contenu qu’elle avait bigrement du mal à contenir.
Nos hôtes s’affairaient sur la table basse et servaient, outre les petits tapas montpelliérains, de grands verres d’un liquide bleu des mers du sud, baptisé par eux Mer Turquoise.
Les tapas étaient petits pâtés de Pézenas, toasts de brandade de Nîmes, anchoïade camarguaise aux légumes crus, tellines du Grau du Roi, huîtres de Bouzigues, lucques vertes et noires petites et goûteuses.
Les vins muscats secs de Saint-Georges Terres blanches et le Viognier de Condrieu Ardèche le disputaient au breuvage bizarre bleu. Qu’était-il donc ce breuvage ?
Moi je pensais, et nos hôtes, les deux avocats à robe noire, lui et sa copine, que vont-ils nous produire, eux, comme habits de nuit ? Eux les hôtes de céans ? Je pensais, eux n’auront pas de réticence à proposer, après les mignardises, partie carrée, vu qu’ils ne sont pas, eux, couple légitime mais seulement, modestement, à la colle.
Finalement, on est passés à table après l’apéro, en habits de ville, et le dîner a longuement duré. On était bien seulement six convives et les règles du confinement macronien étaient convenablement respectées.
Les discussions portaient sur Dupont-Moretti et la pétasse chanteuse québécoise qu’il tirait. Enfin, pour vous dire que ces discussions de table montpelliéraine étaient bien sérieuses, en tous cas au goût du jour et politiquement correctes. Gala, Voici comme références.
La petite avocate, cheveux courts et fesses callipyges, qui nous recevait a proposé, vu qu’il n’y avait qu’une seule salle de bain dans cet appart ancien de Montpellier écusson, que nous passions à la douche en couples, et ce immédiatement, avant café et digestifs.
Digestifs devant être pris au coin du feu avant petite partie de Mastermind préalable au coucher, chacun dans la chambre à lui dévolue.
On a tous compris que cette partie de Mastermind serait déterminante dans l’affectation des chambrées.
Les deux avocats s’affairaient à préparer le salon, à garnir la cheminée de petits rondins de chêne vert, à dresser sur la table basse les bouteilles de Fernet-Branca, Chartreuse, Schnaps et autres alcools rares sans oublier le vin de noix des Cévennes titrant 60° et plus et le trois-six d’Ardèche encore pire.
Les cafés étaient de machine Nespresso mais personne n’a pris de capsules à point rouge. On savait que la nuit ne serait point décaféinée.
La petite rousse est arrivée la première. Femme de procureur, elle se devait d’être hors norme. Et elle l’était.
Elle ne portait pas de pyjama.
Toute nue toute fraîche d’après sa doucheElle respirait le printemps et sa nuisette minimale ne cachait pas grand chose de son petit corps replet.
La tignasse rousse qu’elle arborait normalement dans le civil, ici paraissait totalement indécente tant elle était en concordance en harmonie de ses aisselles, rousses luxuriantes inouïes et de sa touffe épaisse sombre sous le coton fin de la nuisette.
Elle a choisi le grand fauteuil profond de cuir pour s’y asseoir et ouvrir son cœur.
Cette pilosité extrême noyait ses intimités en chasteté absolue et aucun de nous n’a même imaginé plus encore.
Enfin, tous on pensait que les rousses avaient ici-bas bien du charme...
Son mari, le procureur, bel homme au demeurant, solide athlète, avait choisi un habit de déguisement. Tenez-vous bien, il était affublé d’un bonnet de nuit et portait une chemise de nuit du siècle dernier en bure beige claire. Chacun ici en était sur le cul.
On avait tous compris que l’affaire irait plus loin qu’un simple hébergement de circonstance suite à couvre-feu.
Le procureur nous indiquait clairement la dimension épique de l’affaire.
D’autant qu’il bandait, le con, comme un âne.
La chemise en était tendue en avant comme la toile du cirque Bouglione au mât principal.
Chacune pensait, l’est sacrément bien monté le procureur...
Nous, mon épouse et moi, avons pris le tour suivant.
Au sortir de la douche, on a vu que nos hôtes, le mignon couple d’avocats, s’apprêtaient eux aussi à filer à la salle de bain. Ils se tenaient par la main et on voyait qu’ils allaient y trouver bonheur.
La cheminée ouverte crépitait et la jeune épousée du procureur nous accueillait de ses cuisses largement ouvertes noyées de crinière rousse épaisse.
Son sourire était chaleureux et ma femme a serré ma main. Comme une invite comme une suggestion.
Mon envie était forte mais j’ai pensé, il serait correct d’attendre avant d’agir que nous soyons tous les six ensemble.
Avant de démarrer les hostilités.
Les hôtes avocats étaient à leur tour sous les flux chauds de leur douche.
Comment seraient-ils sapés eux, ... de pyjamas ?
Le procureur avait une gueule d’enfer avec en sus son érection phénoménale qu’il promenait devant la platine en lisant les labels de grands vinyles noirs. Il a choisi un Johnny, Retiens la nuit.
La petite m’a regardé de ses yeux chavirés. J’ai compris qu’elle en voulait. Surtout intéressée par ma partenaire, qu’il m’a semblé.
Sa façon de la mater a attiré mon amie sur l’accoudoir du grand fauteuil de cuir. Elle s’y est assise, cuisses serrées, droite et sérieuse, lors que la gamine riait, basculée en arrière la matant effrontément.
La scène était étonnante de cette fillette exprimant éveil de sa libido naissante vs une grande qui, en sus, ne se dérobait pas, pas du tout...
Et ce sous les yeux du mari procureur et de moi-même, son propre mari.
Les avocats ont tardé à rejoindre leurs invités du week end. Vues leurs mines ravies on a tous compris qu’ils avaient consommé.
La grande hôtesse portait une chemise de nuit immense qui lui descendait jusqu’aux chevilles, cintrée à la taille aux hanches, avec manches longues aux poignets et col fermé.
Une chemise de nuit chaste et pudique. Qui couvrait son corps de partout, absolument. Sans la moindre ouverture, sans la moindre invite.
Sauf que la matière de viscose de la dite chemise était parfaitement translucide comme ces voiles Plein Jour des rideaux Tergal.
On détaillait tout. Ses épaules larges et son cou fin, sa taille et ses hanches, ses fesses hors normes qui plus est étaient ouvertes en dessous et cambrées comme appas appétissants, ses cuisses fines longues et ses petits mollets musclés.
Petite avocate qui faisait semblant d’être fille sage mais qui pointait de deux tétons pointus, accessoires habituels de sa volonté de convaincre par devant et au delà de toute démonstration.
Heureusement son pubis était glabre, rasé de chez rasé, et on ne voyait rien, dans les transparences, de son abricot. Ou du moins, on se contentait d’imaginer.
Son copain, notre hôte, était penché sur la cheminée et posait délicatement dans l’âtre de petites bûches de chêne vert. Ses fesses velues gonflaient le slip bleu de son pyjama et ses roupes, deux grosses roupes, pendaient lourdement devant nos museaux prégnants.
Les trois filles étaient là à saliver…
L’avocate en habit de lumière a servi les cafés dans de petites tasses Nespresso. Personne ne s’est dérobé non plus qu’a demandé à décaféiné. L’ambiance du groupe était bonne.
Les chaleurs rouge et or de la cheminée révélaient, impudiques, dans le creux des cuisses le papillon tout ouvert qui pendouillait. On était, filles et garçons, toute ouïe devant ce petit miracle, cette merveille de nature.
Elle s’est tournée vers le groupe, dos à la cheminée crépitante. Nous étions tous sans voix, les yeux braqués sur le contre-jour.
Elle a dit, voilà, nous n’avons à vous offrir qu’une unique chambre d’amis. Néanmoins nos deux chambres sont meublées de lits King Size. La chambre d’amis et notre propre chambre.
Aussi, la bonne idée est-elle que nous dormions à trois dans chacun des deux lits.
C’est la raison pour laquelle je vous ai prié chacun d’apporter un pyjama.
Pour éviter certaines dérives.
La vraie question est comment nous devons organiser la répartition. Cela mérite discussion.
Mon copain est d’avis qu’il faut éviter les couples établis. Maris, épouses, copines, sexfriends et autres partenaires ou comparses du moment.
C’est facile ici car nous ne sommes que six à répartir en deux groupes de trois. Cela rappelle les cours de statistique de Sciences Po. Les arrangements, permutations, combinaisons et tutti quanti.
Il y a donc deux possibilités seulement. En quelque sorte, une seule alternative.
Une fille avec deux garçons et un garçon avec deux filles.
J’explique, si l’on part du principe que l’on casse les couples établis, chacun de nous ne peut aller qu’avec quatre personnes. Il lui faut donc choisir deux parmi quatre.
Si, par exemple un garçon choisi deux filles, alors l’autre fille prendra deux garçons.
Mais si ce garçon choisi une fille et un garçon, alors la fille devra prendre un garçon et une fille.
Je vous laisse réfléchir et vous rappelle que c’est l’ami Macron qui nous a fourré dans cet embarras avec son affaire de souper à six convives et les combinaisons qui s’en suivent.
Moi, magistrat, habitué rompu à choisir à décider, j’ai juste pensé, à tout prendre, je prendrais bien la petite avocate et son cul majestueux et pour compléter un garçon, par exemple le procureur, histoire de me faire sucer par quelqu’un de compétent en la matière.
Le procureur, lui, pensait, moi je prends les deux gonzesses disponibles, la femme du magistrat avec son pantacourt tout ouvert et l’avocate aux villosités accueillantes. Blindé de Viagra comme je suis, je les mènerai au paradis.
Mais la petite avocate avait en tête de rester avec les deux mecs, le magistrat et le procureur. Procureur qui promettait longuement… et moi-même magistrat, qui n’en pensait pas moins.
Avait-elle alors compris qu’elle condamnait alors ses congénères à goûter aux plaisirs lesbiens ?
L’affaire étant complexe, il a été décidé de s’en remettre aux jeux de hasard pour en décider.
Les trois filles étaient du tonnerre.
La gamine rousse au fond du grand fauteuil, sa nuisette indigente remontée quasiment au nombril, exhibait une pilosité étonnante depuis bas jusqu’au pubis et dont les vagues épaisses et frisées nappaient l’intimité entre ses cuisses.
L’avocate, fille grande et mince, ne cachait rien de sa silhouette sous le voile, laissant à peine l’imagination construire ses trésors de chairs ourlées et suintantes.
Mon épouse était, elle, probablement la plus sage des trois filles. Sauf que ce corsaire ouvert à l’entre-cuisse qu’elle arborait était pousse au crime. Tout un chacun pensait, il est fermé de deux boutons. Mais, elle la coquine, glissait dans l’oreille de ceux-ci, saurez-vous les déboutonner avec la bouche avec les dents avec les lèvres ?
Interrogativement.
Pensez si les gars si les filles s’émouvaient…
Le Mastermind qui devait à l’origine permettre de départager les candidats tout en offrant une distraction d’après souper à été abandonné au profit du jeu de dés, meilleur garant d’équité pour départager les candidats.
L’avocat apporta la piste et trois dés.
Tous étaient autour de la table basse, tasse à café en main et aussi petit verre d’alcool fort pour les hommes.
Le procureur pensait, je laisse ma petite aux deux mecs. Seront pas trop de deux pour la contenter. En sus c’est même pas sûr qu’ils y arrivent vu que cette gamine est insatiable. En contre-partie, moi, je prends les deux filles dans la chambre d’amis. On fera soirée pyjama à trois, sans pyjama aucun. N’en déplaise à notre hôtesse.
La jeune avocate se savait fort attirante toute de voile transparent vêtue. Mais elle avait en tête de tomber cet accoutrement pour se retrouver toute nue dans les bras d’un homme, un vrai, qui la serrerait et la garderait ainsi prisonnière toute la nuit durant. Lourd sur son ventre et profond en elle. Cette jeune femme avait des idées simples et savait son destin.
Son mari, l’hôte, bandait depuis longtemps, depuis le hors d’œuvre et même avant, depuis les petites mises en bouche, pour cette rousse aux aisselles odorantes dont la nuisette ne cachait rien des profonds secrets touffus. De plus la fille semblait fort dévergondée et matait son paquet avec concupiscence, prête à y mettre la main sans vergogne pour serrer.
Mon épouse se réjouissait de l’opportunité d’une nuit, femme seule avec deux hommes. Alternative ou bien simultanéité, l’un dans le cul l’autre en voie naturelle, pipe pompier en intro, en préliminaire avant méli mélo plus profond. Ma femme rêvait et mouillait intensément.
Pour ma part, j’avais compris que mon lot serait partage avec l’avocat des faveurs de la gamine. Laquelle m’avait paru subjuguée par les énormes roupes de notre hôte.
Mais mon appétence pour la jeunesse faisait fi de ce handicap. Je pensais avec tendresse à la chanson de Jean Ferrat,Lorsque tu les verras sur les neiges en penteEcrire en noir et blanc et le risque et l’effortLorsque je faisais ça, moi j’avais dix-sept ansMoi, je partais gagnant à l’assaut de cette soirée pyjama.
La petite, qui faisait flamber l’imagination des mâles de la soirée, n’avait dans sa tête rien de bien rare. Sa belle santé et sa jeunesse parlaient pour elle et sa simplicité de jeune mariée avide de découverte a déclenché l’hallali.
Son procureur de mari lui a servi une grosse lampée de Cointreau dans un verre ballon genre verre à Cognac. Avant même d’y avoir trempé ses lèvres, elle a renversé le verre sur son ventre dans sa touffe rousse. Malhabile, gauchère ou bien diablesse coquine ?
La touffe était frisée était épaisse et, Dieu merci, le fauteuil n’a pas été taché.
Elle a dit, le 421 et cette piste sont inutiles, les dés sont jetés, aléa jacta est, moi j’embarque ces deux mecs et ils vont me brouter la motte parfumée aux écorces d’orange, décoction en esprit d’alcool.
Et elle riait.
Et on s’est laissé faire.
Le procureur a entraîné les deux femmes dans la chambre d’ami lors que sa petite épouse tenait les deux hommes par la main direction le grand king size matrimonial de nos hôtes.
Deux semaines plus tard, ce pauvre Macron reconnaissait humblement que sa politique de couvre-feu était échec patent vu ces millions de pyjama-parties endiablées, chaque nuit, en le royaume de France.
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