Covoiturage
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Covoiturage
Bonjour, amis lecteurs, je reviens vers vous avec cette nouvelle histoire vraie, agrémentée de quelques arrangements, bonne lecture.
Nous venons de passer quatre semaines dans le Var, le pied mais le temps à passer beaucoup trop vite. Au programme plongé, club libertin pour les après-midis gang bang dans un club proche de Toulon, sortie avec nos amis Varois et beaucoup de temps passé avec notre amie de longue date que j’appellerai Lilou.
Nous avons beaucoup échangé avec Lilou sur le fait de redescendre en septembre par le train pour plonger et effectuer ma cinq centièmes plongées et fêté cela. Je sais qu’à la reprise du travail, j’aurai une semaine de chômage partiel dans le mois suivant, date à définir.
La reprise est passée, l’idée de Lilou me trotte dans la tête et l’envie est bien présente mais la réalité financière, les billets de train viennent de prendre une belle hausse. Je suis aussi tiraillée par l’envie de repartir et je ne veux pas laisser mon Doudou seul une semaine.
Mon homme me propose une alternative, le covoiturage. Il a déjà regardé et me propose un trajet, départ d’une gare proche de chez nous à 6h 30 le samedi matin, mais dépose à Brignoles aux alentours de 14H. Je m’empresse de contacter mon amie afin de savoir si c’est possible pour elle de venir me récupérer, pas de soucis.
Nous prenons contact avec mon futur chauffeur, Philippe, le courant passe bien et rendez-vous est pris.
La nuit du départ restera mémorable, je suis affamée de sexe, je pompe sa bite et me la prend partout. J’en veux encore et encore, je lui assèche les couilles.
Doudou m’amène au point de rendez-vous et nos échanges vont bon train.
- Tu ne dépenses pas trop pendant ta semaine, me dit-il.
- Bien entendu.
- Mais tu peux quand même aller au club mercredi pour le gang bang.
- Es-tu sur de ce que tu dis ?
- Bien entendu, pour le cocktail, tu arriveras bien à te le faire payer, rire.
- Ne m’incite pas de trop, j’avais déjà cette idée dans le coin de la tête.
- Tu crois que je ne le savais pas, petite salope, rire. A la seule condition que tu me racontes tout et surtout que tu me l’écrives dans une de tes histoires que j’aimerai tant que tu publies un jour.
- Promis.
A notre arrivée, Philippe nous attend, dans une Toyota Proace, je comprends qu’il n’était pas inquiet quand je lui ai parlé de l’encombrement de mon sac de plongée.
Nous faisons plus ample connaissance avec Philippe car nous avions juste échangé lors d’un bref contact téléphonique. Je suis détendue après ces quelques minutes d’échange, Philippe me met à l’aise en me demandant si mon stress disparait car ce n’est surement pas facile pour une femme de partir pour un voyage de 7 heures avec un parfait inconnu. Je me détends au vu de la sympathie de Philippe et commence même à afficher une certaine assurance. Doudou le remarque et se sent aussi rassurer.
Il est temps de partir, après un long baiser avec ma moitié, nous prenons la route avec un petit pincement au cœur, heureuse de la semaine qui se profil mais malheureuse d’attendre une semaine pour retrouver les bras de mon mari.
Nous ne sommes pas sortis de la ville qu’un SMS arrive
« Profite un max et ne sois pas triste, je t’aime »
Ce petit mot me fait du bien et je pense déjà à nos retrouvailles avec Lilou et à la plongée de demain matin.
Philippe m’annonce que nous prenons un autre passager à la barrière de péage et un autre à Langres. Je suis un peu étonnée qu’il ne nous a pas communiqué cette information au préalable. Je lui réponds que dans un véhicule de 9 places, cela devrait bien se passer tout en informant mon homme par SMS de cette nouvelle.
Nous roulons depuis quinze minutes et passons au tutoiement avec l’impression que nous nous connaissons depuis un bon moment.
Nous arrivons au rond-point du péage, un homme attend et nous stoppons à sa hauteur.
Un grand black, la cinquantaine, bien foutu se nommant Juste se présente à nous. Je ne peux m’empêcher de jeter un œil sur son beau petit cul, tout en pensant que je le claquerai bien.
Mais au fait, je ne vous ai pas indiqué ma tenue, choisit par mon homme. Il a souhaité que je porte ma min i jupe blanche accompagné de mon haut noir en dentelle et d’un gilet de la même couleur au cas ou la clim serait trop forte, sans oublier pas de superflus donc pas de string.
J’ai encore en tête notre nuit d’amour, vous rajoutez la vue de ce beau cul de black et l’air arrivant sur mon sexe. Le cocktail est détonant, je mouille et les picotements dans mon bas ventre sont bien présent. Je n’avais pas prévu cela même si je ne comptais pas rentrer dans les ordres cette semaine. Juste me fait immédiatement rire et je lui réponds en prenant l’accent des Antilles que je sais bien imiter.
Nous sortons de l’autoroute pour prendre notre dernier passager qui est du même tonneau que le précédent. Grand noir se prénommant Yves. J’informe Doudou de l’arrivée du deuxième passager.
« Petite kokine, tu dois être toute trempée, ne reste pas comme cela »
J’interprète cette réponse comme un feu vert, à vrai dire cela m’arrange bien.
Yves est très débridé et après quelques minutes amène la discussion sous la ceinture, pas intimidée la fille je réponds plus vite que je le voudrais et laisse entrevoir à ces messieurs qu’une ouverture est loin d’être impossible. Ma petite voix me dit ressaisis toi !!!
Nous comprenons que ces deux lascars passent souvent leurs vacances ensemble. Ils nous racontent que l’an passé, ils ont descendu par ce moyen de locomotion avec une femme. Celle-ci aurait connu le bonheur grâce à eux. Je ne peux m’empêcher de leur répondre que la légende des blacks et de leurs attributs est du pur fantasme. Une provocation de plus de ma part, incorrigible !
Philippe, notre chauffeur qui ne prenait pas part à la discussion, dit que la seule solution pour clore le débat c’est de vérifier. Juste profite pour me glisser qu’en tant que plongeuse, je dois être habituée à avoir quelque chose dans la bouche, rire de tous. Mon esprit se met en marche, deux solutions se présentent à moi, je ne réponds plus et l’orage passe, pas trop mon genre. Ou je fais comme d’habitude et je fonce et je contente ma minette qui coule.
Avant même la fin de ma réflexion, je leur lance qu’ils vont être obligé de se mettre à deux pour me faire jouir, pas bon pour la légende !!
Au vu de la tête de chacun, personne ne s’attendait à ma réplique. Philippe dit que de son côté son sexe est normal mais qu’il n’a besoin de personne pour l’aider à faire jouir une femme. Une fois de plus et sans réfléchir, je balance « prétentieux ».
Voila comment perdre le seul allié, tous s’engouffrent dans la brèche et me disant que je suis comme toutes les femmes, de la gueule et point. Un peu vexée, je retorque, vous ne pensez pas que je vais m’échauffer pour des cures dents. Yves descend son bermuda et un braquemard de très belle taille en sort, long et de bon diamètre. J’ai un peu d’expérience, rarement ne veux pas dire jamais, j’ai vu une aussi belle bite. Son voisin, juste, sort quasi la jumelle.
Je propose d’appeler mon homme par WhatsApp, Yves s’exécute. Doudou un peu surpris, je le sens dans sa voix, peur que quelque chose soit arrivé. Je prends la parole et lui explique la situation, il me dit que je suis une superbe femme et d’en profiter. Il invite les hommes à passer la main sous ma jupe et de lui dire ce qui se passe. Il s’exécute et s’exclame « elle est trempée la salope », n'y tenant plus j’ai glissé ma main dans le short du conducteur, sexe de plus petite taille mais pas mal du tout. Il m’invite de passer à l’arrière afin de ne pas risquer un accident, qu’il s’arrêtera à la prochaine aire de repos. Nous raccrochons et je me retrouve entre nos deux compagnons de route, une verge dans chaque main.
Yves me triture les seins tout en m’allongeant sur ses cuisses, ce qui permet à l’autre de venir déguster mon abricot et de m’enfiler deux doigts, je coule sous ce traitement.
Je me retourne et prend en bouche le pieu d’Yves et je fais courir ma langue sur toute la longueur, alternant quelques gorges profondes qui me mettent les larmes aux yeux.
Notre conducteur s’arrête et vient ouvrir la porte arrière, je descends et m’agenouille devant lui invitant les deux autres à bien regarder. Je saisis sa bite et l’embouche, au vu de son excitation il ne va pas tenir longtemps. Je le pompe, agaçant son frein de la pointe de ma langue, son gland prend encore du volume. Je ne faiblis pas jusqu’à que je sente les prémices de son orgasme. Je sens son corps se raidir, une première giclée m’inondent la bouche. Je retire sa queue et la dirige sur mes seins et le masturbe violemment pour le finir et déclencher mon orgasme, j’aime sentir le chaud sur mes tétons.
Je remercie Philippe pour ce moment tout en m’essuyant et en regardant mes deux blacks, je leur annonce que nous allons passer au plat de résistance après l’apéro.
Nous reprenons la route mais en remontant je me suis empalée directement sur le mat de Juste, je suis tellement trempée que son dard me perfore directement jusqu’au fond de ma minette. Yves se place pour me donner l’objet de mes désirs à sucer et je ne m’en prive pas. Juste me ramone et c’est du lourd, il va m’exploser ma chatte, le bougre. Yves réclame son tour, je change de partenaire, toujours aussi bon mais il ne me laisse pas une seconde de répits au vu de la cadence qu’il imprime. Il me soulève et me laisse retomber sur sa bite, j’hurle de jouissance. Il arrête et se présente tous les deux devant ma bouche, je les suces à tour de rôle, je fais même une tentative de prendre les deux glands ensemble mais impossible, ma bouche n’est pas assez grande. Juste s’allonge, je viens monter sur lui et il me pénètre d’une longue poussée. Il me baise bien et fort sans arrêter, les orgasmes s’enchaine, surtout qu’Yves se met à doigter ma petite porte, quel régal. Mais deux bites de cette taille vont-elles pouvoir ma prendre en doublette sans dégât ? Je ne suis pas une novice mes amis, j’en ai connu des grosses mais jamais deux aussi belles en même temp, je pense que je ne pourrai bientôt plus le dire. J’invite Yves à venir investir ma petit porte, folle la fille, mais trop envie. Je me cambre bien empalée sur l’autre pieu, il s’enfonce en moi. Les larmes me montent aux yeux, j’ai l’impression que la paroi entre mes deux orifices a lâché et que les glands se touchent.
Il est enfin calé au fond, une sensation de bien-être m’envahit et je les invite à bouger. Ils ne se font pas prier et me démonte mais cette fois-ci c’est moi qui leur demande d’aller plus vite, plus au fond. Je suis plus qu’une poupée de chiffon. Mes orgasmes s’accumulent et mon cul me chauffe fortement.
Je sonne la fin de la récré tout en restant bien calé sur Juste dans ma chatte. J’invite Yves a changé de préservatif et de venir se glisser dans celle-ci pour y rejoindre son collègue. Il ne se fait pas prier, changement du couvre-chef et son gros gland se présente. Je le guide me contorsionne, il rentre tout doucement. Oh mon dieu, je suis écartelée et les deux salops ne sont pas à leurs coups d’essai, ils savent y faire, moi non plus et je sais qu’ils ne vont pas tenir longtemps avec le frottement de leurs deux bites dans ma chatte. Allez-y messieurs défoncez la salope que je suis, ne se faisant pas prier ils engagent un rodéo de folie, mon orgasme est continu. J’entends leurs râles annonciateurs de leurs orgasmes et je sens le chaud m’envahir au travers des capotes ou leurs réservoirs doivent être bien remplis. Je m’effondre dans un ultime orgasme.
A mon réveil, nous sommes presque arrivées, je suis à l’arrière endormi sur l’épaule d’Yves, sa bite dans ma main. Juste est passé devant et me demande si je suis remise. Je réponds par l’affirmative et me rhabille en les remerciant de cette charmante escapade.
Nous sortons de l’autoroute pour me déposer au péage de Brignoles et je remercie encore l’ensemble de l’équipage qui me propose de refaire un covoiturage à l’occasion, qui sait ? Un dernier coucou, la voiture disparait de ma vue mais le voyage restera imprimer dans ma tête longtemps.
Lilou m’attend et je m’empresse de la rejoindre, elle me trouve fatiguée, étonnant. Ma pauvre Lilou si tu avais pris ce que j’ai pris, tu le serais sans doute aussi, mais chut !!!
J’espère que cette petite aventure va vous plaire, bises.
Nous venons de passer quatre semaines dans le Var, le pied mais le temps à passer beaucoup trop vite. Au programme plongé, club libertin pour les après-midis gang bang dans un club proche de Toulon, sortie avec nos amis Varois et beaucoup de temps passé avec notre amie de longue date que j’appellerai Lilou.
Nous avons beaucoup échangé avec Lilou sur le fait de redescendre en septembre par le train pour plonger et effectuer ma cinq centièmes plongées et fêté cela. Je sais qu’à la reprise du travail, j’aurai une semaine de chômage partiel dans le mois suivant, date à définir.
La reprise est passée, l’idée de Lilou me trotte dans la tête et l’envie est bien présente mais la réalité financière, les billets de train viennent de prendre une belle hausse. Je suis aussi tiraillée par l’envie de repartir et je ne veux pas laisser mon Doudou seul une semaine.
Mon homme me propose une alternative, le covoiturage. Il a déjà regardé et me propose un trajet, départ d’une gare proche de chez nous à 6h 30 le samedi matin, mais dépose à Brignoles aux alentours de 14H. Je m’empresse de contacter mon amie afin de savoir si c’est possible pour elle de venir me récupérer, pas de soucis.
Nous prenons contact avec mon futur chauffeur, Philippe, le courant passe bien et rendez-vous est pris.
La nuit du départ restera mémorable, je suis affamée de sexe, je pompe sa bite et me la prend partout. J’en veux encore et encore, je lui assèche les couilles.
Doudou m’amène au point de rendez-vous et nos échanges vont bon train.
- Tu ne dépenses pas trop pendant ta semaine, me dit-il.
- Bien entendu.
- Mais tu peux quand même aller au club mercredi pour le gang bang.
- Es-tu sur de ce que tu dis ?
- Bien entendu, pour le cocktail, tu arriveras bien à te le faire payer, rire.
- Ne m’incite pas de trop, j’avais déjà cette idée dans le coin de la tête.
- Tu crois que je ne le savais pas, petite salope, rire. A la seule condition que tu me racontes tout et surtout que tu me l’écrives dans une de tes histoires que j’aimerai tant que tu publies un jour.
- Promis.
A notre arrivée, Philippe nous attend, dans une Toyota Proace, je comprends qu’il n’était pas inquiet quand je lui ai parlé de l’encombrement de mon sac de plongée.
Nous faisons plus ample connaissance avec Philippe car nous avions juste échangé lors d’un bref contact téléphonique. Je suis détendue après ces quelques minutes d’échange, Philippe me met à l’aise en me demandant si mon stress disparait car ce n’est surement pas facile pour une femme de partir pour un voyage de 7 heures avec un parfait inconnu. Je me détends au vu de la sympathie de Philippe et commence même à afficher une certaine assurance. Doudou le remarque et se sent aussi rassurer.
Il est temps de partir, après un long baiser avec ma moitié, nous prenons la route avec un petit pincement au cœur, heureuse de la semaine qui se profil mais malheureuse d’attendre une semaine pour retrouver les bras de mon mari.
Nous ne sommes pas sortis de la ville qu’un SMS arrive
« Profite un max et ne sois pas triste, je t’aime »
Ce petit mot me fait du bien et je pense déjà à nos retrouvailles avec Lilou et à la plongée de demain matin.
Philippe m’annonce que nous prenons un autre passager à la barrière de péage et un autre à Langres. Je suis un peu étonnée qu’il ne nous a pas communiqué cette information au préalable. Je lui réponds que dans un véhicule de 9 places, cela devrait bien se passer tout en informant mon homme par SMS de cette nouvelle.
Nous roulons depuis quinze minutes et passons au tutoiement avec l’impression que nous nous connaissons depuis un bon moment.
Nous arrivons au rond-point du péage, un homme attend et nous stoppons à sa hauteur.
Un grand black, la cinquantaine, bien foutu se nommant Juste se présente à nous. Je ne peux m’empêcher de jeter un œil sur son beau petit cul, tout en pensant que je le claquerai bien.
Mais au fait, je ne vous ai pas indiqué ma tenue, choisit par mon homme. Il a souhaité que je porte ma min i jupe blanche accompagné de mon haut noir en dentelle et d’un gilet de la même couleur au cas ou la clim serait trop forte, sans oublier pas de superflus donc pas de string.
J’ai encore en tête notre nuit d’amour, vous rajoutez la vue de ce beau cul de black et l’air arrivant sur mon sexe. Le cocktail est détonant, je mouille et les picotements dans mon bas ventre sont bien présent. Je n’avais pas prévu cela même si je ne comptais pas rentrer dans les ordres cette semaine. Juste me fait immédiatement rire et je lui réponds en prenant l’accent des Antilles que je sais bien imiter.
Nous sortons de l’autoroute pour prendre notre dernier passager qui est du même tonneau que le précédent. Grand noir se prénommant Yves. J’informe Doudou de l’arrivée du deuxième passager.
« Petite kokine, tu dois être toute trempée, ne reste pas comme cela »
J’interprète cette réponse comme un feu vert, à vrai dire cela m’arrange bien.
Yves est très débridé et après quelques minutes amène la discussion sous la ceinture, pas intimidée la fille je réponds plus vite que je le voudrais et laisse entrevoir à ces messieurs qu’une ouverture est loin d’être impossible. Ma petite voix me dit ressaisis toi !!!
Nous comprenons que ces deux lascars passent souvent leurs vacances ensemble. Ils nous racontent que l’an passé, ils ont descendu par ce moyen de locomotion avec une femme. Celle-ci aurait connu le bonheur grâce à eux. Je ne peux m’empêcher de leur répondre que la légende des blacks et de leurs attributs est du pur fantasme. Une provocation de plus de ma part, incorrigible !
Philippe, notre chauffeur qui ne prenait pas part à la discussion, dit que la seule solution pour clore le débat c’est de vérifier. Juste profite pour me glisser qu’en tant que plongeuse, je dois être habituée à avoir quelque chose dans la bouche, rire de tous. Mon esprit se met en marche, deux solutions se présentent à moi, je ne réponds plus et l’orage passe, pas trop mon genre. Ou je fais comme d’habitude et je fonce et je contente ma minette qui coule.
Avant même la fin de ma réflexion, je leur lance qu’ils vont être obligé de se mettre à deux pour me faire jouir, pas bon pour la légende !!
Au vu de la tête de chacun, personne ne s’attendait à ma réplique. Philippe dit que de son côté son sexe est normal mais qu’il n’a besoin de personne pour l’aider à faire jouir une femme. Une fois de plus et sans réfléchir, je balance « prétentieux ».
Voila comment perdre le seul allié, tous s’engouffrent dans la brèche et me disant que je suis comme toutes les femmes, de la gueule et point. Un peu vexée, je retorque, vous ne pensez pas que je vais m’échauffer pour des cures dents. Yves descend son bermuda et un braquemard de très belle taille en sort, long et de bon diamètre. J’ai un peu d’expérience, rarement ne veux pas dire jamais, j’ai vu une aussi belle bite. Son voisin, juste, sort quasi la jumelle.
Je propose d’appeler mon homme par WhatsApp, Yves s’exécute. Doudou un peu surpris, je le sens dans sa voix, peur que quelque chose soit arrivé. Je prends la parole et lui explique la situation, il me dit que je suis une superbe femme et d’en profiter. Il invite les hommes à passer la main sous ma jupe et de lui dire ce qui se passe. Il s’exécute et s’exclame « elle est trempée la salope », n'y tenant plus j’ai glissé ma main dans le short du conducteur, sexe de plus petite taille mais pas mal du tout. Il m’invite de passer à l’arrière afin de ne pas risquer un accident, qu’il s’arrêtera à la prochaine aire de repos. Nous raccrochons et je me retrouve entre nos deux compagnons de route, une verge dans chaque main.
Yves me triture les seins tout en m’allongeant sur ses cuisses, ce qui permet à l’autre de venir déguster mon abricot et de m’enfiler deux doigts, je coule sous ce traitement.
Je me retourne et prend en bouche le pieu d’Yves et je fais courir ma langue sur toute la longueur, alternant quelques gorges profondes qui me mettent les larmes aux yeux.
Notre conducteur s’arrête et vient ouvrir la porte arrière, je descends et m’agenouille devant lui invitant les deux autres à bien regarder. Je saisis sa bite et l’embouche, au vu de son excitation il ne va pas tenir longtemps. Je le pompe, agaçant son frein de la pointe de ma langue, son gland prend encore du volume. Je ne faiblis pas jusqu’à que je sente les prémices de son orgasme. Je sens son corps se raidir, une première giclée m’inondent la bouche. Je retire sa queue et la dirige sur mes seins et le masturbe violemment pour le finir et déclencher mon orgasme, j’aime sentir le chaud sur mes tétons.
Je remercie Philippe pour ce moment tout en m’essuyant et en regardant mes deux blacks, je leur annonce que nous allons passer au plat de résistance après l’apéro.
Nous reprenons la route mais en remontant je me suis empalée directement sur le mat de Juste, je suis tellement trempée que son dard me perfore directement jusqu’au fond de ma minette. Yves se place pour me donner l’objet de mes désirs à sucer et je ne m’en prive pas. Juste me ramone et c’est du lourd, il va m’exploser ma chatte, le bougre. Yves réclame son tour, je change de partenaire, toujours aussi bon mais il ne me laisse pas une seconde de répits au vu de la cadence qu’il imprime. Il me soulève et me laisse retomber sur sa bite, j’hurle de jouissance. Il arrête et se présente tous les deux devant ma bouche, je les suces à tour de rôle, je fais même une tentative de prendre les deux glands ensemble mais impossible, ma bouche n’est pas assez grande. Juste s’allonge, je viens monter sur lui et il me pénètre d’une longue poussée. Il me baise bien et fort sans arrêter, les orgasmes s’enchaine, surtout qu’Yves se met à doigter ma petite porte, quel régal. Mais deux bites de cette taille vont-elles pouvoir ma prendre en doublette sans dégât ? Je ne suis pas une novice mes amis, j’en ai connu des grosses mais jamais deux aussi belles en même temp, je pense que je ne pourrai bientôt plus le dire. J’invite Yves à venir investir ma petit porte, folle la fille, mais trop envie. Je me cambre bien empalée sur l’autre pieu, il s’enfonce en moi. Les larmes me montent aux yeux, j’ai l’impression que la paroi entre mes deux orifices a lâché et que les glands se touchent.
Il est enfin calé au fond, une sensation de bien-être m’envahit et je les invite à bouger. Ils ne se font pas prier et me démonte mais cette fois-ci c’est moi qui leur demande d’aller plus vite, plus au fond. Je suis plus qu’une poupée de chiffon. Mes orgasmes s’accumulent et mon cul me chauffe fortement.
Je sonne la fin de la récré tout en restant bien calé sur Juste dans ma chatte. J’invite Yves a changé de préservatif et de venir se glisser dans celle-ci pour y rejoindre son collègue. Il ne se fait pas prier, changement du couvre-chef et son gros gland se présente. Je le guide me contorsionne, il rentre tout doucement. Oh mon dieu, je suis écartelée et les deux salops ne sont pas à leurs coups d’essai, ils savent y faire, moi non plus et je sais qu’ils ne vont pas tenir longtemps avec le frottement de leurs deux bites dans ma chatte. Allez-y messieurs défoncez la salope que je suis, ne se faisant pas prier ils engagent un rodéo de folie, mon orgasme est continu. J’entends leurs râles annonciateurs de leurs orgasmes et je sens le chaud m’envahir au travers des capotes ou leurs réservoirs doivent être bien remplis. Je m’effondre dans un ultime orgasme.
A mon réveil, nous sommes presque arrivées, je suis à l’arrière endormi sur l’épaule d’Yves, sa bite dans ma main. Juste est passé devant et me demande si je suis remise. Je réponds par l’affirmative et me rhabille en les remerciant de cette charmante escapade.
Nous sortons de l’autoroute pour me déposer au péage de Brignoles et je remercie encore l’ensemble de l’équipage qui me propose de refaire un covoiturage à l’occasion, qui sait ? Un dernier coucou, la voiture disparait de ma vue mais le voyage restera imprimer dans ma tête longtemps.
Lilou m’attend et je m’empresse de la rejoindre, elle me trouve fatiguée, étonnant. Ma pauvre Lilou si tu avais pris ce que j’ai pris, tu le serais sans doute aussi, mais chut !!!
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