covoiturage et début d'un séminaire coquin

Récit érotique écrit par Sofi [→ Accès à sa fiche auteur]
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covoiturage et début d'un séminaire coquin
fiction ou réalité - a votre guise - je garderai pour moi et Arnaud la véracité des faits.
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Arnaud vient me retrouver dans mon bureau pour m’annoncer qu’il va avoir besoin de moi lors du dernier week-end de mai.
En effet, notre société fait partie d’un groupe de franchisés et un séminaire est organisé lors d’une croisière – Départ de Marseille puis escale en Italie et Espagne.
Nous devons partir le vendredi et ne rentrer que le jeudi suivant.
Deux taches me sont imposées : préparer un dossier sur nos agences de l’Essonne, les impératifs sont mentionnés dans une note de service qu’il me met à disposition.
La seconde tache moins fastidieuse est de trouver deux robes de soirée.
L’une pigeonnante avec un décolleté profond. La seconde avec dos nu.
Je dois également trouver plusieurs paires de talons aiguilles, des sous-vêtements qui ne devront comprendre que porte-jarretelles, bas et soutien-gorge, le noir et le blanc sont à privilégier. Deux mini-jupes et corsages devront être trouvés.
Mission : Être sexy et attirante lorsqu’il me l’ordonnera et au profit de celui qu’il m’indiquera.
Une enveloppe m’est attribuée pour effectuer ces achats mais également pour me rendre chez l’esthéticienne et la coiffeuse le vendredi matin avant que nous ne prenions la route ensemble. Départ prévu pour 04 H.
Je vais avoir 4 semaines pour tous les préparatifs.
Le jour est arrivé, nous devons quitter l’ile de France pour nous rendre sur Marseille. Arnaud doit passer me prendre devant chez moi. J’ai eu plusieurs consignes que je me dois de respecter concernant notamment le voyage.
Je l’image coquin car je dois être vêtue d’une jupe assez courte, de talons et d’une chemise qui devra être nouée et je n’ai pas l’autorisation de mettre les 4 premiers boutons. Mon décolleté sera donc profond sur mes seins nus. J’ai la permission de prendre un imper assez court.
C’est donc avec une tenue coquine que je quitte le domicile dans le petit matin.
Arnaud a été prévenant, il a mis le chauffage et les sièges en cuir sont bien chauds.
Cela est agréable pour qui se trouve sans sous vêtement et court vêtue.
Il charge ma valise dans le coffre où sont déjà deux autres valises dont une que je reconnais pour y avoir déposé les effets qu’il m’avait demandé – le voyage « d’affaires » s’annonce bien organisé par mon chef d’entreprise et maitre.
Le doute n’est pas de mise, je vais, sous ses directives, assouvir des fantasmes que je n’osais à peine imaginer il y a quelques mois.
Nous roulons depuis plus d’une heure et je commence à m’assoupir. Arnaud au volant, de sa main droite posée sur ma cuisse est déjà venu vérifier de sers doigts que ses directives étaient respectées. Oui j’étais fesses nues.
Nous sommes sortis de l’autoroute et nous nous sommes arrêtés pour ce que je pensais être une pause-café mais avant d’entrer dans la station-service, il m’a demandé de mettre une paire de cuissardes. J’avais autorisation de garder mon petit imper mais ordre de le laisser ouvert.
On pouvait distinctement voir mon profond décolleté et l’absence de soutien.
Après avoir chaussé ces botes, mon allure était des plus provocantes.
Il m’explique que nous sommes à proximité de Troyes et que deux jeunes étudiants vont se joindre à nous pour le voyage, un co-voiturage jusqu’au port de Marseille.
Nous prenons un café, je suis assise sur l’un des seuls tabourets à disposition et il s’agit de tabourets de type mange debout et la position que j’ai met en valeur mes grandes bottes et donne une vue imprenable sur mes cuisses. Ma jupe déjà courte est légèrement remontée et je ne peux pas y remédier.
C’est l’heure pour les routiers présents ou artisans de faire leur pause. Ils sont nombreux à me regarder du coin de l’œil et Arnaud ne manque pas de me le faire remarquer. Je sens que cette situation m’émoustille et me plait. Je m’abstiens toutefois d’être plus provocante, cela serait incongru.
Deux jeunes hommes se présentent à nous. Ils ont environ 25 ans et le premier est un beau brun aux épaules larges,1M80 et la puissance émane de son allure.
Le second est grand il doit mesurer plus d’1m90. Son regard bleu est profond sous ses bouclettes blondes. Il m’apparait être également sportif. Ils sont mignons et souriants.
La discussion s’engage sur les présentations d’usage. Le feeling passe bien et les heures qui vont suivre dans cet espace réduit de l’habitacle devraient être placées sous de bons auspices.
Nous reprenons la route tranquillement 07 heures nous attendent et nous avons pris quelques heures de marge, nous devrions arriver largement avant l’heure d’embarquement.
Arnaud me demande de monter derrière pour que notre grand passager ait un peu d’espace aux jambes et il me demande également de mettre mon imper dans le coffre où les deux sacs de nos passagers trouvent également place. Ils aperçoivent dans la valise « coquine » laissée ouverte pour prendre les cuissardes, quelques accessoires qui leur amènent un sourire aux lèvres. Je sens que je pique un fard.
Nous prenons place et une discussion informelle mais courtoise s’installe. J’apprends que les deux jeunes sont étudiants en IA, qu’ils jouent au rugby, qu’ils se rendent sur la cote pour profiter de quelques jours de vacances. Je constate que ma jupe est légèrement remontée. Mon voisin a des yeux qui se portent régulièrement vers mes cuisses. Le plus grand installé vers l’avant s’est déjà retourné pour discuter avec nous et ses yeux aussi sont venus vers ma jupe. Je ne pense pas qu’il est constaté que je ne portais rien au-dessous, je garde mes jambes serrées et reste sage.
Je sens que la fatigue arrive et je commence à m’assoupir. Je laisse les garçons et Arnaud à leur conversation sportive. Je commence à être dans les vapes, je somnole.
Dans mon état semi-comateux, j’entend que le co-voiturage était convenu de longue date, qu’ils ont pris attache avec Arnaud sur une site spécialisé. Ils évoquent ma présence et ma tenue de coquine qu’ils apprécient. Arnaud indique à mon voisin qu’il peut doucement en découvrir un peu plus. Je me rends compte que je me suis légèrement déplacée et que j’ai avancé mon bassin pour poser la tête sur le montant de porte.
Mon corsage s’est également légèrement entre-ouvert. Je sens que celui qui se trouve à ma droite pose sa main vers mes seins très doucement. Celui qui est sur la place de passager avant vient quant à lui poser ses mains sur mon genou qu’il écarte lentement. Il cherche à avoir une vue sur mon entre-jambe.
Les manœuvres finissent de me sortir de ma torpeur.
- « Ah tu as fini de dormir » me dit Arnaud. « Nous évoquions ton cas. Nos passagers que j’ai contacté sur un site de co-voiturage libertin, me demandait si nous étions joueurs ? Ils débutent aussi et n’ont participé qu’à quelques soirées en club. Je leur ai dit que toi aussi tu débutais et que tu étais curieuse dans le domaine ».
- « En tout cas tu es ravissante » me complimente le grand blond. « Ton grain de peau est très doux » renchéri mon voisin.
- « Merci pour ces compliments les garçons. J’avoue que oui je suis encore timide dans le domaine et mon maitre et responsable, Arnaud, me conduit vers des chemins que je ne connaissais pas ».
- - « Je lui fais découvrir d’autres types de jeux sexuels qu’elle n’osait approcher ni évoquer, je l’ai prise en main, qu’à la condition qu’elle se laisse guider sans rechigner. Je ne pense pas qu’elle puisse se plaindre de cette prise en main ».
Je n’avais effectivement pas à me plaindre sur les qualités des prestations qu’il me proposait et qui m’amenaient à me révéler.
Il en tirait certes de nombreux avantages de tous ordres et qui d’ailleurs lui avait permis de gagner ce voyage par la franchise immobilière que nous représentions, mais également de profiter de moi comme il l’entendait.
La discussion devenait torride, les garçons évoquaient divers pratiques et Arnaud leur expliquait ce qu’il attendait de ses interlocuteurs, hommes ou femmes, lors de soirées ou moments qu’il organisait. Un univers se dévoilait à eux et si je ne prenais que peu la parole, les garçons tournaient régulièrement leur tête vers moi et je faisais un signe approbateur sur les propos et scénarios que leur évoquait Arnaud.
Je constatais que ces échanges ne laissaient pas mon voisin impassible. Une grosseur faisait une apparition dans son pantalon et ce qui se développait était de bon augure. Les regards du passager avant se faisaient plus réguliers et plus ciblés.
- « Sofi, peux-tu en montrer un peu plus à nos passagers s’il te plait » me demanda Arnaud.
Je commençais donc à écarter légèrement mes jambes et regardant le grand blond qui s’était immédiatement retourné.
- « On peut toucher me demanda ?» me demanda mon voisin.
- « Il me semble que vu le site sur lequel vous avez contacté mon Maitre, vous êtes ici pour cela aussi et donc oui tu peux me toucher » Je disais cela et je sentais qu’avec les discussions antérieures et ses regards, je commençais à mouiller fortement. Mes tétons se tendaient et cela était bien visible sous le fin tissu qui recouvrait mon torse.
- « Tes seins sont doux, tu sens bon » me dit mon voisin en se collant à moi et en ouvrant plus largement mon corsage qui ne couvrait plus mes seins. Le grand blond devant remontait sa main en direction de mon entre-jambe. Je lui facilitais la tache en glissant sur la banquette dans sa direction.
- « Suce mon pote » me demanda-t-il et j’obtempérai sans sourciller, je penchais ma tête pour prendre en bouche ce sexe qu’il venait de dégager et qui présentait un volume conséquent.
Je sens son sexe qui durcit encore sous mes coups de langues.
Je sais que ma bouche bien chaude et douce produit son effet et je lève les yeux vers mon nouvel amant qui a maintenant le souffle plus court. Je commence à le branler tout en le suçant tandis que les doigts de son camarade viennent de rompre les derniers remparts et s’introduisent en moi. Je sens un doigt puis plusieurs qui prennent possession de mon antre bien lubrifiée.
Les premiers bruits de clappements font leur apparition. Je gémis. Ma jupe est maintenant retroussée sur mes anches, je n’ai plus de corsage et il me reste mes cuissardes.
Je dois représenter pour ces jeunes la vraie chienne qu’ils escomptaient rencontrer. Je sens le désir monter, mes sens sont en éveil. Mon voisin a besoin d’un temps de pause, je sens le plaisir qui monte son sexe turgescent commence à montrer les signes d’une jouissance imminente.
Il relève mon visage et m’embrasse pleine bouche. Nos langues s’entrecroisent, ses mains sont baladeuses et il joue avec mes tétons ce qui continue de me faire monter. Je suis trempée.
Je reprends son sexe en bouche, un doigt que j’imagine être le pouce vient à la lisière de mon anus. Humm que c’est bon ce qu’ils me font.
Arnaud entend et profite de quelques images via son rétroviseur qui perd sa fonction de surveiller la route.
Je reprends le sexe en bouche et je monte et descend lentement avec délice. Je sens que la voiture ralentie, Arnaud est surement en train de me regarder, quel vicieux mais que c’est bon.
J’entends un coup de klaxon et relève la tête. Son ralentissement était lié à un dépassement d’un camion et au fait qu’il restait à hauteur de la cabine du chauffeur. Ce dernier ne perdait rien du spectacle et il me gratifia d’un grand sourire et d’un pouce levé en signe d’approbation. Quelques appels de phare clôturent ce dépassement. Je comprendrai pourquoi plus tard.
Arnaud continue sa route mais son allure est plus modérée. Le grand blond assis à ses cotés continue de me doigter et je commence à mouiller abondamment.
Mon dieu que c’est bon cette situation. Je me lève comme je peux et tend mon buste vers l’avant de l’habitacle pour gouter le sexe du blond. Mes fesses sont bien relevées, visibles du camion qui nous suit et mon voisin en profite pour m’octroyer un anulingus. Sa langue vient lubrifier mon petit conduit. Quel délice !!
Arnaud ralenti encore et met son clignotant.
Nous voici arrivés sur une aire de repos, Arnaud passe lentement entre les camions. Je suis toujours les seins à l’air, la jupe retroussée à me faire peloter par les deux garçons. Quelques regards haut perchés dans les cabines se tournent vers nous.
- « Les jeunes, vous allez tester la soumission de Sofi, prends dans la boite à gants le collier en cuir et la laisse et passez-lui. Toi tu te laisses guider et offrir par les garçons, tu dois être aguicheuse et provoquer quelques routiers. Ces pauvres garçons doivent avoir les couilles bien pleines. Tu as le droit que de nouer le bas de ton chemisier. Voici une boite de préservatifs, vous pouvez la proposer à qui vous semble bon. Il y a quelques tables que l’on devine là-bas vers le bosquet à proximité de la zone des camions.
Fais-toi salope dans ta tête et tu vas y trouver ton compte, tu auras du plaisir à te sentir la pute de ces types. »
Ces termes n’étaient pas de ceux usités couramment par mon patron. Il testait ma soumission et je ne devais pas le décevoir.
- « Sofi tu suis les Baptiste (le grand blond) et Eric (les belles épaules), tu te mets à leur disposition pour réalise leurs fantasmes et peut-être des tiens. Je reste à coté, comme je m’y suis engagé, pour vérifier que tout se passe bien.
Tu sors et nous allons te diriger. N’oublie pas : On te veut provocante et salope ».
Je quitte l’habitacle protecteur de la voiture pour me rendre, tenue en laisse, vers les toilettes. Mes pas se font chaloupés. J’ai remonté de quelques centimètres ma jupe déjà courte et j’ai noué le bas de mon chemisier ce qui le rend très très échancré.
On me fait passer entre les camions a proximité et je dois encore passer devant 3 autres. Ils me demandent de regarder les chauffeurs et de leur sourire.
Avec mes cuissardes, mes vêtements et ma laisse, ne laissent aucun doute sur nos activités.
Une fois arrivés derrière le bloc toilettes Baptiste et Eric recommencent à me peloter, mes seins sont pétris et leurs doigts reprennent possession de ma chatte.
Nous n’avons pas beaucoup à attendre pour voir apparaitre un premier homme, nous avons entendu un claquement de portière. Un premier chauffeur regarde ce qu’il se passe sans oser intervenir. Il est de stature standard et trapu.
Un coup de klaxon se fait entendre, le routier que nous avions doublé vient de se garer vers notre voiture. Seconde portière qui claque.
Un autre homme vient se positionner à proximité de notre groupe. Je reconnais le visage du chauffeur ayant profité de notre exhibition mais je constate qu’il est très grand avoisinant plus d’un mètre 90 et la puissance émane de sa personne.
On tire sur ma laisse et je dois me plier. Le sexe de Eric est de nouveau sorti, je le prends en bouche tandis que Baptiste s’accroupie pour me gratifier de sa langue et de ses doigts. Elle fouille mon petit trou et ses doigts jouent avec mon clitoris. La situation fait qu’outre ces agréables caresses avec ma tenue plus me sentir sous le regard d’inconnus, le plaisir se fait rapidement sentir.
Je commence à haleter et gémir. Je regarde Eric dans les yeux. Il me pelote les seins dont les tétons sont bien ressortis. C’est très agréable. Mon regard se pose sur les chauffeurs qui ont sortis leur sexe. Le plus petit possède une queue dans la normalité mais au diamètre conséquent. C’est certain il va bien sentir mes parois humides. Le plus grand à est hors normes. Je n’ai encore jamais vu un tel engin. Il ne bande pas encore complétement mais taille et circonférence sont déjà très largement supérieures ce que j’ai connu. Je m’inquiète un peu…. C’est du lourd !!
Il constate mon regard et s’adresse à Arnaud en anglais : « I’m unusual. Girls don’t always want to play with me. What do I do ? »
Arnaud regarde également ce sexe énorme et lui répond en lui tendant un tube : « You ca stay and enjoy like the others. She’s a submissive and here’s some cream ».
« Ma Sofi ton week end va commencer sur les chapeaux de roues et tu vas ramasser mais tu n’oublieras pas cette pause ». Il nous indique que nous devrions nous rendre vers les tables qu’il nous avait désigné. Nous nous y rendons et sommes à l’abris des regards du parking des véhicules légers. Les chauffeurs poids-lourds ont par contre une vue en contre plongée vers ces tables de pic « nique ».
Eric s’assoie en bout de table, les pieds pendant et je reprends une fellation pour laquelle je m’applique particulièrement. Ma bouche se fait très accueillante. Je salive, je lèche la trique des bourses jusqu’à la tête. Ma langue se promène sur le méat puis je suce, aspire doucement dans des mouvements de tête et mes mains branle lentement la tige. Je sens qu’il n’est pas insensible et de légers soubresauts se font sentir dans ma bouche.
Baptiste vient de prendre possession de ma chatte. Sa bite cogne dans ma matrice et je sens mes parois s’étirer. Je suis chaude. Ses bourses viennent heurter dans un rythme soutenu, mon anus. Je prends mon pied, je sens que je m’humidifie encore d’avantage.
Mes seins ballotent et sur un signe de tête d’Arnaud ce sont les 2 chauffeurs qui viennent les caresser, les prendre en main, les malaxer. Les tétons roulent entre les doigts. Le plaisir monte de plus en plus. Je jouis une première fois.
Eric avec qui je joue commence à avoir les stigmates de celui qui va jouir. Sa queue se tend, je sens qu’il va partir et c’est plusieurs giclées qui viennent remplir son préservatif. J’aurais aimé le boire mais sans l’aval d’Arnaud, je joue la prudence.
Baptiste quitte ma chatte et je sens son gland remonter vers mon autre orifice. Il pousse lentement et s’introduit dans mes fesses qu’il écarte. Son sexe est bien lubrifié. Le conduit ayant déjà été sollicité et visité par leurs doigts et leurs langues, je n’ai pas trop de mal à l’accueillir. Rapidement il peut, sous mon invitation, commencer ses coups de reins.
Les capotes transmises par Arnaud comportaient de petites aspérités et la sensation était décuplée. Mon Dieu, le plaisir a été très vite au rendez-vous. J’ai une nouvelle fois joui par le cul. Baptiste accroché à mes anches vient se coller et dans un soubresaut remplit également la protection. J’étais en sueur et ravie.
Les chauffeurs questionnaient du regard Arnaud. Certes il était incontestable que le spectacle les avait ravis, le fait de prendre mes seins également mais ils en voulaient plus.
- « Les garçons à vous de guider Sofi sur ce que vous voudriez qu’elle fasse ».
- « Oui cette salope a bien pris son pied, on l’a senti mais elle peut remettre les couverts. Tu commences par les sucer » m’indiqua Baptiste.
Je m’agenouille face aux chauffeurs. Les souris font leur apparition sur leur visage. L’homme au sexe épais fut le premier à me présenter son membre. Mes lèvres s’ouvrent avec délectation. Je commence à le traiter avec beaucoup d’attention et je sens qu’il possède un membre conséquent et bien raide. Apres quelques délicatesses, il a atteint son paroxysme et un préservatif lui est remis par mon maitre.
Je dois maintenant prendre soins du géant. Son sexe est vraiment énorme et j’ai un peu de mal à le mettre en bouche. Il ne bande pas complétement et déjà je suis en difficulté. J’arrive à le mettre en bouche mais je ne peux que coulisser que jusqu’à un tiers de la longueur. Je m’applique, le gland est au niveau de la glotte et je prends sur moi pour l’introduire encore plus. J’étouffe, quelques soubresauts, je recule mais j’y retourne. Je prends mon souffle, l’engouffre, l’enserre de mes lèvres, des larmes commencent à pointer. Je salive au maximum, je le sens à la commissure de mes lèvres.
Il prend encore du volume. Le membre se redresse encore, la tête prend bien la direction du 7eme ciel. Le liquide séminal arrive, il est à point mais quel engin !!
Le préservatif qu’il lui est également offert ne couvre pas la totalité de la colonne et je m’applique pourtant à le dérouler du mieux possible avec la bouche pour maintenir mon partenaire en forme.
- « Humm, what a bitch. She nows how to do it. If she is submissiive, I would like to do her what many refuse me … You guess ?»
Les garçons demanden,t dans un anglais impeccable, à celui qui possède un physique de rugbyman de s’allonger sur la table et de poser ses pieds sur le banc.
Il est là face à moi, sur le dos, son mandrin pointant vers le ciel.
- « Sofi puisque tu dois nous obéir, tu vas t’enculer toi-même sur ce pieu. Tu vas l’enjamber face à nous » Eric est clair dans ses directives mais la tâche me fait peur. Comment une telle colonne de chair pourrait rentrer ?
- « Tiens dis-lui d’utiliser le tube. C’est de la vaseline. Sofi a encore quelques jours devant elle où elle sera mise à l’honneur » Arnaud a tout prévu comme a son habitude.
Je m’exécute, il vient de poser une belle pointe de vaseline sur la capote. Là aussi je ne dois pas ménager les efforts. Son gland reste à l’entrée de la grotte. Il est énorme mais je vois les regards des 3 hommes face à moi dont mon maitre. Je pousse doucement, j’ai mal. Je me concentre essaie de relâcher mes sphincters. Je pense que je suis distendue au maximum.
Ses mains sont sur mes épaules. Je vois un acquiescement de la tête d’Arnaud et d’un seul coup, mon partenaire m’attire vers lui. Il me déchire le cul. Je pousse un cri. Il attend un peu. J’ai la moitié de sa queue dans mon fondement. Pour l’instant le plaisir n’est pas là. Seule la douleur est présente.
Quel spectacle je dois donner. Je suis empalée sur un sexe énorme. Il est dans mon cul, j’ai les jambes largement écartées. Mon partenaire dos sur la table les pieds sur le banc où les miens sont également posés pour me maintenir la croupe bien ouverte. Le sexe béant d’avoir subit des assauts quelques instants avant. La mouille doit être bien visible. Mes seins dans les mains du géant. Ce sont de vrais battoirs et il me triture à nouveau les tétons.
Arnaud filme la scène. Les garçons sont aux anges. Le second chauffeur s’approche et joue avec mon clitoris, chahute le capuchon. Bonne idée, cela me redonne du plaisir et je me relâche, la douleur se fait moins violente.
Je recommence à gémir et c’est surement ce signale qui amène Baptiste à demander au second chauffeur de me baiser la chatte.
Il monte sur le banc, plie les genoux et s’introduit sans trop de délicatesse. J’ai de nouveau une bite de fort calibre dans un orifice. Je sens qu’il commence à me saillir. Les deux queues en moi me procure des sensations physiques où douleurs et plaisirs alternent et c’est en tournant la tête vers les cabines où je vois deux autres chauffeurs qui nous observent que je recommence à jouir. La situation m’excite.
Arnaud a raison, j’ai besoin d’être guidée pour découvrir de nouveau plaisir moi qui était, il y a peu de temps, si pudibonde. Je suis habillée comme une pute, offerte à 4 hommes, pratiquant une sexualité que je n’aurais jamais imaginée et j’y prend du plaisir.
Celui qui est dans ma chatte commence à descendre sa main vers mon sexe, totalement trempé de cyprine, il me caresse doucement mes lèvres intimes, puis insère trois doigts en remplacement de son sexe épais. Il ressort ses doigts trempés de cyprine, qu'il me fait gouter. Je les suce avec avidité, imaginant qu’il s’agit d’un sexe.
Puis il me reprend avec violence, je sens son sexe se frotter contre celui du géant à travers la mince paroi qui les sépare. C'est divin.
- « Tu aimes ça hein ? Que qu’il te défonce ta grotte. Tu en veux encore ? » Arnaud m’encourage
- « OOH ! Oui mon Maître, dites-lui qu’il n’arrête pas ? »
- « Je vais faire mieux ».Arnaud donne son téléphone a Eric pour qu’il continue de filmer et se dirige vers moi.
Le chauffeur dans ma chatte continue de me défoncer à grand coup de reins. La douleur anale s'atténue pour laisser place à une sensation de plaisir de plus en plus grandissante. Mon anus se détend et les coups de reins reçus me font coulisser de plus en plus sur cette immense queue. Je suis empalée et je suis en train de prendre du plaisir à ce traitement ! Un plaisir immense m'envahit. Arnaud est debout sur la table, il me présente son sexe. Je fais être saillie par tous les orifices. Je mouille mon majeur, lui introduit dans le fondement tandis que son sexe envahit ma bouche. Il me pilonne a son tour.
Le géant se déchaîne dans mon anus le rythme étant donné par celui qui s’occupe de mon sexe en incandescence. Je tremble sous les coups de boutoirs de ce dernier, mon torse tressaute faisant ressortir mes pointes de seins érigées. Je gémis.
Arnaud avec mon doigt dans le cul se donne plaisir avec ma bouche et ma langue pendant que je lui titille la prostate. Le petit trapu écarte bien mes fesses pour que son copain voit sa bite me pistonner mon cul malmené. Le muscle anal est dilaté au maximum et les trois hommes sont sur le point de jouir mais je pars la première et cela semble leur avoir donné le signal. Arnaud ressort et m’asperge le visage de longues giclées. Je me délecte du trop plein présent sur mes lèvres. Voyant cela le plus trapu se cramponne et jouit à son tour. Sentant les soubresauts de son homologue de la route le géant se raidit dans un dernier soubresaut et joui dans mon boyau qu’il aura eu tout loisir de bien élargir après m’avoir déchiré pour son plaisir initial.
Quel coït !!!
Je dois maintenant regagner la voiture et traverser le parking des professionnels de la route toujours tenue en laisse, le visage plein de sperme, ma jupe retroussée et mes seins apparents, juchée sur les talons hauts de mes cuissardes.
On aperçoit un routier qui se branle en me regardant, un rottweiler est a ses côtés. Baptiste et Eric demandent si mon travail de chienne prend fin en désignant l’animal.
Je reste stoïque quand Arnaud leur répond que pour l’instant je n’en suis pas a ce stade dans ma formation. Je ne sais que penser et je reste dans le plaisir des minutes que je viens de passer.
Nous reprenons la route en direction du Sud. Le reste du trajet est beaucoup plus calme même si les garçons continuent par épisodes à me caresser sexe, cuisse et seins. Ils se souviendrons comme nous de ce co-voiturage.
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Arnaud vient me retrouver dans mon bureau pour m’annoncer qu’il va avoir besoin de moi lors du dernier week-end de mai.
En effet, notre société fait partie d’un groupe de franchisés et un séminaire est organisé lors d’une croisière – Départ de Marseille puis escale en Italie et Espagne.
Nous devons partir le vendredi et ne rentrer que le jeudi suivant.
Deux taches me sont imposées : préparer un dossier sur nos agences de l’Essonne, les impératifs sont mentionnés dans une note de service qu’il me met à disposition.
La seconde tache moins fastidieuse est de trouver deux robes de soirée.
L’une pigeonnante avec un décolleté profond. La seconde avec dos nu.
Je dois également trouver plusieurs paires de talons aiguilles, des sous-vêtements qui ne devront comprendre que porte-jarretelles, bas et soutien-gorge, le noir et le blanc sont à privilégier. Deux mini-jupes et corsages devront être trouvés.
Mission : Être sexy et attirante lorsqu’il me l’ordonnera et au profit de celui qu’il m’indiquera.
Une enveloppe m’est attribuée pour effectuer ces achats mais également pour me rendre chez l’esthéticienne et la coiffeuse le vendredi matin avant que nous ne prenions la route ensemble. Départ prévu pour 04 H.
Je vais avoir 4 semaines pour tous les préparatifs.
Le jour est arrivé, nous devons quitter l’ile de France pour nous rendre sur Marseille. Arnaud doit passer me prendre devant chez moi. J’ai eu plusieurs consignes que je me dois de respecter concernant notamment le voyage.
Je l’image coquin car je dois être vêtue d’une jupe assez courte, de talons et d’une chemise qui devra être nouée et je n’ai pas l’autorisation de mettre les 4 premiers boutons. Mon décolleté sera donc profond sur mes seins nus. J’ai la permission de prendre un imper assez court.
C’est donc avec une tenue coquine que je quitte le domicile dans le petit matin.
Arnaud a été prévenant, il a mis le chauffage et les sièges en cuir sont bien chauds.
Cela est agréable pour qui se trouve sans sous vêtement et court vêtue.
Il charge ma valise dans le coffre où sont déjà deux autres valises dont une que je reconnais pour y avoir déposé les effets qu’il m’avait demandé – le voyage « d’affaires » s’annonce bien organisé par mon chef d’entreprise et maitre.
Le doute n’est pas de mise, je vais, sous ses directives, assouvir des fantasmes que je n’osais à peine imaginer il y a quelques mois.
Nous roulons depuis plus d’une heure et je commence à m’assoupir. Arnaud au volant, de sa main droite posée sur ma cuisse est déjà venu vérifier de sers doigts que ses directives étaient respectées. Oui j’étais fesses nues.
Nous sommes sortis de l’autoroute et nous nous sommes arrêtés pour ce que je pensais être une pause-café mais avant d’entrer dans la station-service, il m’a demandé de mettre une paire de cuissardes. J’avais autorisation de garder mon petit imper mais ordre de le laisser ouvert.
On pouvait distinctement voir mon profond décolleté et l’absence de soutien.
Après avoir chaussé ces botes, mon allure était des plus provocantes.
Il m’explique que nous sommes à proximité de Troyes et que deux jeunes étudiants vont se joindre à nous pour le voyage, un co-voiturage jusqu’au port de Marseille.
Nous prenons un café, je suis assise sur l’un des seuls tabourets à disposition et il s’agit de tabourets de type mange debout et la position que j’ai met en valeur mes grandes bottes et donne une vue imprenable sur mes cuisses. Ma jupe déjà courte est légèrement remontée et je ne peux pas y remédier.
C’est l’heure pour les routiers présents ou artisans de faire leur pause. Ils sont nombreux à me regarder du coin de l’œil et Arnaud ne manque pas de me le faire remarquer. Je sens que cette situation m’émoustille et me plait. Je m’abstiens toutefois d’être plus provocante, cela serait incongru.
Deux jeunes hommes se présentent à nous. Ils ont environ 25 ans et le premier est un beau brun aux épaules larges,1M80 et la puissance émane de son allure.
Le second est grand il doit mesurer plus d’1m90. Son regard bleu est profond sous ses bouclettes blondes. Il m’apparait être également sportif. Ils sont mignons et souriants.
La discussion s’engage sur les présentations d’usage. Le feeling passe bien et les heures qui vont suivre dans cet espace réduit de l’habitacle devraient être placées sous de bons auspices.
Nous reprenons la route tranquillement 07 heures nous attendent et nous avons pris quelques heures de marge, nous devrions arriver largement avant l’heure d’embarquement.
Arnaud me demande de monter derrière pour que notre grand passager ait un peu d’espace aux jambes et il me demande également de mettre mon imper dans le coffre où les deux sacs de nos passagers trouvent également place. Ils aperçoivent dans la valise « coquine » laissée ouverte pour prendre les cuissardes, quelques accessoires qui leur amènent un sourire aux lèvres. Je sens que je pique un fard.
Nous prenons place et une discussion informelle mais courtoise s’installe. J’apprends que les deux jeunes sont étudiants en IA, qu’ils jouent au rugby, qu’ils se rendent sur la cote pour profiter de quelques jours de vacances. Je constate que ma jupe est légèrement remontée. Mon voisin a des yeux qui se portent régulièrement vers mes cuisses. Le plus grand installé vers l’avant s’est déjà retourné pour discuter avec nous et ses yeux aussi sont venus vers ma jupe. Je ne pense pas qu’il est constaté que je ne portais rien au-dessous, je garde mes jambes serrées et reste sage.
Je sens que la fatigue arrive et je commence à m’assoupir. Je laisse les garçons et Arnaud à leur conversation sportive. Je commence à être dans les vapes, je somnole.
Dans mon état semi-comateux, j’entend que le co-voiturage était convenu de longue date, qu’ils ont pris attache avec Arnaud sur une site spécialisé. Ils évoquent ma présence et ma tenue de coquine qu’ils apprécient. Arnaud indique à mon voisin qu’il peut doucement en découvrir un peu plus. Je me rends compte que je me suis légèrement déplacée et que j’ai avancé mon bassin pour poser la tête sur le montant de porte.
Mon corsage s’est également légèrement entre-ouvert. Je sens que celui qui se trouve à ma droite pose sa main vers mes seins très doucement. Celui qui est sur la place de passager avant vient quant à lui poser ses mains sur mon genou qu’il écarte lentement. Il cherche à avoir une vue sur mon entre-jambe.
Les manœuvres finissent de me sortir de ma torpeur.
- « Ah tu as fini de dormir » me dit Arnaud. « Nous évoquions ton cas. Nos passagers que j’ai contacté sur un site de co-voiturage libertin, me demandait si nous étions joueurs ? Ils débutent aussi et n’ont participé qu’à quelques soirées en club. Je leur ai dit que toi aussi tu débutais et que tu étais curieuse dans le domaine ».
- « En tout cas tu es ravissante » me complimente le grand blond. « Ton grain de peau est très doux » renchéri mon voisin.
- « Merci pour ces compliments les garçons. J’avoue que oui je suis encore timide dans le domaine et mon maitre et responsable, Arnaud, me conduit vers des chemins que je ne connaissais pas ».
- - « Je lui fais découvrir d’autres types de jeux sexuels qu’elle n’osait approcher ni évoquer, je l’ai prise en main, qu’à la condition qu’elle se laisse guider sans rechigner. Je ne pense pas qu’elle puisse se plaindre de cette prise en main ».
Je n’avais effectivement pas à me plaindre sur les qualités des prestations qu’il me proposait et qui m’amenaient à me révéler.
Il en tirait certes de nombreux avantages de tous ordres et qui d’ailleurs lui avait permis de gagner ce voyage par la franchise immobilière que nous représentions, mais également de profiter de moi comme il l’entendait.
La discussion devenait torride, les garçons évoquaient divers pratiques et Arnaud leur expliquait ce qu’il attendait de ses interlocuteurs, hommes ou femmes, lors de soirées ou moments qu’il organisait. Un univers se dévoilait à eux et si je ne prenais que peu la parole, les garçons tournaient régulièrement leur tête vers moi et je faisais un signe approbateur sur les propos et scénarios que leur évoquait Arnaud.
Je constatais que ces échanges ne laissaient pas mon voisin impassible. Une grosseur faisait une apparition dans son pantalon et ce qui se développait était de bon augure. Les regards du passager avant se faisaient plus réguliers et plus ciblés.
- « Sofi, peux-tu en montrer un peu plus à nos passagers s’il te plait » me demanda Arnaud.
Je commençais donc à écarter légèrement mes jambes et regardant le grand blond qui s’était immédiatement retourné.
- « On peut toucher me demanda ?» me demanda mon voisin.
- « Il me semble que vu le site sur lequel vous avez contacté mon Maitre, vous êtes ici pour cela aussi et donc oui tu peux me toucher » Je disais cela et je sentais qu’avec les discussions antérieures et ses regards, je commençais à mouiller fortement. Mes tétons se tendaient et cela était bien visible sous le fin tissu qui recouvrait mon torse.
- « Tes seins sont doux, tu sens bon » me dit mon voisin en se collant à moi et en ouvrant plus largement mon corsage qui ne couvrait plus mes seins. Le grand blond devant remontait sa main en direction de mon entre-jambe. Je lui facilitais la tache en glissant sur la banquette dans sa direction.
- « Suce mon pote » me demanda-t-il et j’obtempérai sans sourciller, je penchais ma tête pour prendre en bouche ce sexe qu’il venait de dégager et qui présentait un volume conséquent.
Je sens son sexe qui durcit encore sous mes coups de langues.
Je sais que ma bouche bien chaude et douce produit son effet et je lève les yeux vers mon nouvel amant qui a maintenant le souffle plus court. Je commence à le branler tout en le suçant tandis que les doigts de son camarade viennent de rompre les derniers remparts et s’introduisent en moi. Je sens un doigt puis plusieurs qui prennent possession de mon antre bien lubrifiée.
Les premiers bruits de clappements font leur apparition. Je gémis. Ma jupe est maintenant retroussée sur mes anches, je n’ai plus de corsage et il me reste mes cuissardes.
Je dois représenter pour ces jeunes la vraie chienne qu’ils escomptaient rencontrer. Je sens le désir monter, mes sens sont en éveil. Mon voisin a besoin d’un temps de pause, je sens le plaisir qui monte son sexe turgescent commence à montrer les signes d’une jouissance imminente.
Il relève mon visage et m’embrasse pleine bouche. Nos langues s’entrecroisent, ses mains sont baladeuses et il joue avec mes tétons ce qui continue de me faire monter. Je suis trempée.
Je reprends son sexe en bouche, un doigt que j’imagine être le pouce vient à la lisière de mon anus. Humm que c’est bon ce qu’ils me font.
Arnaud entend et profite de quelques images via son rétroviseur qui perd sa fonction de surveiller la route.
Je reprends le sexe en bouche et je monte et descend lentement avec délice. Je sens que la voiture ralentie, Arnaud est surement en train de me regarder, quel vicieux mais que c’est bon.
J’entends un coup de klaxon et relève la tête. Son ralentissement était lié à un dépassement d’un camion et au fait qu’il restait à hauteur de la cabine du chauffeur. Ce dernier ne perdait rien du spectacle et il me gratifia d’un grand sourire et d’un pouce levé en signe d’approbation. Quelques appels de phare clôturent ce dépassement. Je comprendrai pourquoi plus tard.
Arnaud continue sa route mais son allure est plus modérée. Le grand blond assis à ses cotés continue de me doigter et je commence à mouiller abondamment.
Mon dieu que c’est bon cette situation. Je me lève comme je peux et tend mon buste vers l’avant de l’habitacle pour gouter le sexe du blond. Mes fesses sont bien relevées, visibles du camion qui nous suit et mon voisin en profite pour m’octroyer un anulingus. Sa langue vient lubrifier mon petit conduit. Quel délice !!
Arnaud ralenti encore et met son clignotant.
Nous voici arrivés sur une aire de repos, Arnaud passe lentement entre les camions. Je suis toujours les seins à l’air, la jupe retroussée à me faire peloter par les deux garçons. Quelques regards haut perchés dans les cabines se tournent vers nous.
- « Les jeunes, vous allez tester la soumission de Sofi, prends dans la boite à gants le collier en cuir et la laisse et passez-lui. Toi tu te laisses guider et offrir par les garçons, tu dois être aguicheuse et provoquer quelques routiers. Ces pauvres garçons doivent avoir les couilles bien pleines. Tu as le droit que de nouer le bas de ton chemisier. Voici une boite de préservatifs, vous pouvez la proposer à qui vous semble bon. Il y a quelques tables que l’on devine là-bas vers le bosquet à proximité de la zone des camions.
Fais-toi salope dans ta tête et tu vas y trouver ton compte, tu auras du plaisir à te sentir la pute de ces types. »
Ces termes n’étaient pas de ceux usités couramment par mon patron. Il testait ma soumission et je ne devais pas le décevoir.
- « Sofi tu suis les Baptiste (le grand blond) et Eric (les belles épaules), tu te mets à leur disposition pour réalise leurs fantasmes et peut-être des tiens. Je reste à coté, comme je m’y suis engagé, pour vérifier que tout se passe bien.
Tu sors et nous allons te diriger. N’oublie pas : On te veut provocante et salope ».
Je quitte l’habitacle protecteur de la voiture pour me rendre, tenue en laisse, vers les toilettes. Mes pas se font chaloupés. J’ai remonté de quelques centimètres ma jupe déjà courte et j’ai noué le bas de mon chemisier ce qui le rend très très échancré.
On me fait passer entre les camions a proximité et je dois encore passer devant 3 autres. Ils me demandent de regarder les chauffeurs et de leur sourire.
Avec mes cuissardes, mes vêtements et ma laisse, ne laissent aucun doute sur nos activités.
Une fois arrivés derrière le bloc toilettes Baptiste et Eric recommencent à me peloter, mes seins sont pétris et leurs doigts reprennent possession de ma chatte.
Nous n’avons pas beaucoup à attendre pour voir apparaitre un premier homme, nous avons entendu un claquement de portière. Un premier chauffeur regarde ce qu’il se passe sans oser intervenir. Il est de stature standard et trapu.
Un coup de klaxon se fait entendre, le routier que nous avions doublé vient de se garer vers notre voiture. Seconde portière qui claque.
Un autre homme vient se positionner à proximité de notre groupe. Je reconnais le visage du chauffeur ayant profité de notre exhibition mais je constate qu’il est très grand avoisinant plus d’un mètre 90 et la puissance émane de sa personne.
On tire sur ma laisse et je dois me plier. Le sexe de Eric est de nouveau sorti, je le prends en bouche tandis que Baptiste s’accroupie pour me gratifier de sa langue et de ses doigts. Elle fouille mon petit trou et ses doigts jouent avec mon clitoris. La situation fait qu’outre ces agréables caresses avec ma tenue plus me sentir sous le regard d’inconnus, le plaisir se fait rapidement sentir.
Je commence à haleter et gémir. Je regarde Eric dans les yeux. Il me pelote les seins dont les tétons sont bien ressortis. C’est très agréable. Mon regard se pose sur les chauffeurs qui ont sortis leur sexe. Le plus petit possède une queue dans la normalité mais au diamètre conséquent. C’est certain il va bien sentir mes parois humides. Le plus grand à est hors normes. Je n’ai encore jamais vu un tel engin. Il ne bande pas encore complétement mais taille et circonférence sont déjà très largement supérieures ce que j’ai connu. Je m’inquiète un peu…. C’est du lourd !!
Il constate mon regard et s’adresse à Arnaud en anglais : « I’m unusual. Girls don’t always want to play with me. What do I do ? »
Arnaud regarde également ce sexe énorme et lui répond en lui tendant un tube : « You ca stay and enjoy like the others. She’s a submissive and here’s some cream ».
« Ma Sofi ton week end va commencer sur les chapeaux de roues et tu vas ramasser mais tu n’oublieras pas cette pause ». Il nous indique que nous devrions nous rendre vers les tables qu’il nous avait désigné. Nous nous y rendons et sommes à l’abris des regards du parking des véhicules légers. Les chauffeurs poids-lourds ont par contre une vue en contre plongée vers ces tables de pic « nique ».
Eric s’assoie en bout de table, les pieds pendant et je reprends une fellation pour laquelle je m’applique particulièrement. Ma bouche se fait très accueillante. Je salive, je lèche la trique des bourses jusqu’à la tête. Ma langue se promène sur le méat puis je suce, aspire doucement dans des mouvements de tête et mes mains branle lentement la tige. Je sens qu’il n’est pas insensible et de légers soubresauts se font sentir dans ma bouche.
Baptiste vient de prendre possession de ma chatte. Sa bite cogne dans ma matrice et je sens mes parois s’étirer. Je suis chaude. Ses bourses viennent heurter dans un rythme soutenu, mon anus. Je prends mon pied, je sens que je m’humidifie encore d’avantage.
Mes seins ballotent et sur un signe de tête d’Arnaud ce sont les 2 chauffeurs qui viennent les caresser, les prendre en main, les malaxer. Les tétons roulent entre les doigts. Le plaisir monte de plus en plus. Je jouis une première fois.
Eric avec qui je joue commence à avoir les stigmates de celui qui va jouir. Sa queue se tend, je sens qu’il va partir et c’est plusieurs giclées qui viennent remplir son préservatif. J’aurais aimé le boire mais sans l’aval d’Arnaud, je joue la prudence.
Baptiste quitte ma chatte et je sens son gland remonter vers mon autre orifice. Il pousse lentement et s’introduit dans mes fesses qu’il écarte. Son sexe est bien lubrifié. Le conduit ayant déjà été sollicité et visité par leurs doigts et leurs langues, je n’ai pas trop de mal à l’accueillir. Rapidement il peut, sous mon invitation, commencer ses coups de reins.
Les capotes transmises par Arnaud comportaient de petites aspérités et la sensation était décuplée. Mon Dieu, le plaisir a été très vite au rendez-vous. J’ai une nouvelle fois joui par le cul. Baptiste accroché à mes anches vient se coller et dans un soubresaut remplit également la protection. J’étais en sueur et ravie.
Les chauffeurs questionnaient du regard Arnaud. Certes il était incontestable que le spectacle les avait ravis, le fait de prendre mes seins également mais ils en voulaient plus.
- « Les garçons à vous de guider Sofi sur ce que vous voudriez qu’elle fasse ».
- « Oui cette salope a bien pris son pied, on l’a senti mais elle peut remettre les couverts. Tu commences par les sucer » m’indiqua Baptiste.
Je m’agenouille face aux chauffeurs. Les souris font leur apparition sur leur visage. L’homme au sexe épais fut le premier à me présenter son membre. Mes lèvres s’ouvrent avec délectation. Je commence à le traiter avec beaucoup d’attention et je sens qu’il possède un membre conséquent et bien raide. Apres quelques délicatesses, il a atteint son paroxysme et un préservatif lui est remis par mon maitre.
Je dois maintenant prendre soins du géant. Son sexe est vraiment énorme et j’ai un peu de mal à le mettre en bouche. Il ne bande pas complétement et déjà je suis en difficulté. J’arrive à le mettre en bouche mais je ne peux que coulisser que jusqu’à un tiers de la longueur. Je m’applique, le gland est au niveau de la glotte et je prends sur moi pour l’introduire encore plus. J’étouffe, quelques soubresauts, je recule mais j’y retourne. Je prends mon souffle, l’engouffre, l’enserre de mes lèvres, des larmes commencent à pointer. Je salive au maximum, je le sens à la commissure de mes lèvres.
Il prend encore du volume. Le membre se redresse encore, la tête prend bien la direction du 7eme ciel. Le liquide séminal arrive, il est à point mais quel engin !!
Le préservatif qu’il lui est également offert ne couvre pas la totalité de la colonne et je m’applique pourtant à le dérouler du mieux possible avec la bouche pour maintenir mon partenaire en forme.
- « Humm, what a bitch. She nows how to do it. If she is submissiive, I would like to do her what many refuse me … You guess ?»
Les garçons demanden,t dans un anglais impeccable, à celui qui possède un physique de rugbyman de s’allonger sur la table et de poser ses pieds sur le banc.
Il est là face à moi, sur le dos, son mandrin pointant vers le ciel.
- « Sofi puisque tu dois nous obéir, tu vas t’enculer toi-même sur ce pieu. Tu vas l’enjamber face à nous » Eric est clair dans ses directives mais la tâche me fait peur. Comment une telle colonne de chair pourrait rentrer ?
- « Tiens dis-lui d’utiliser le tube. C’est de la vaseline. Sofi a encore quelques jours devant elle où elle sera mise à l’honneur » Arnaud a tout prévu comme a son habitude.
Je m’exécute, il vient de poser une belle pointe de vaseline sur la capote. Là aussi je ne dois pas ménager les efforts. Son gland reste à l’entrée de la grotte. Il est énorme mais je vois les regards des 3 hommes face à moi dont mon maitre. Je pousse doucement, j’ai mal. Je me concentre essaie de relâcher mes sphincters. Je pense que je suis distendue au maximum.
Ses mains sont sur mes épaules. Je vois un acquiescement de la tête d’Arnaud et d’un seul coup, mon partenaire m’attire vers lui. Il me déchire le cul. Je pousse un cri. Il attend un peu. J’ai la moitié de sa queue dans mon fondement. Pour l’instant le plaisir n’est pas là. Seule la douleur est présente.
Quel spectacle je dois donner. Je suis empalée sur un sexe énorme. Il est dans mon cul, j’ai les jambes largement écartées. Mon partenaire dos sur la table les pieds sur le banc où les miens sont également posés pour me maintenir la croupe bien ouverte. Le sexe béant d’avoir subit des assauts quelques instants avant. La mouille doit être bien visible. Mes seins dans les mains du géant. Ce sont de vrais battoirs et il me triture à nouveau les tétons.
Arnaud filme la scène. Les garçons sont aux anges. Le second chauffeur s’approche et joue avec mon clitoris, chahute le capuchon. Bonne idée, cela me redonne du plaisir et je me relâche, la douleur se fait moins violente.
Je recommence à gémir et c’est surement ce signale qui amène Baptiste à demander au second chauffeur de me baiser la chatte.
Il monte sur le banc, plie les genoux et s’introduit sans trop de délicatesse. J’ai de nouveau une bite de fort calibre dans un orifice. Je sens qu’il commence à me saillir. Les deux queues en moi me procure des sensations physiques où douleurs et plaisirs alternent et c’est en tournant la tête vers les cabines où je vois deux autres chauffeurs qui nous observent que je recommence à jouir. La situation m’excite.
Arnaud a raison, j’ai besoin d’être guidée pour découvrir de nouveau plaisir moi qui était, il y a peu de temps, si pudibonde. Je suis habillée comme une pute, offerte à 4 hommes, pratiquant une sexualité que je n’aurais jamais imaginée et j’y prend du plaisir.
Celui qui est dans ma chatte commence à descendre sa main vers mon sexe, totalement trempé de cyprine, il me caresse doucement mes lèvres intimes, puis insère trois doigts en remplacement de son sexe épais. Il ressort ses doigts trempés de cyprine, qu'il me fait gouter. Je les suce avec avidité, imaginant qu’il s’agit d’un sexe.
Puis il me reprend avec violence, je sens son sexe se frotter contre celui du géant à travers la mince paroi qui les sépare. C'est divin.
- « Tu aimes ça hein ? Que qu’il te défonce ta grotte. Tu en veux encore ? » Arnaud m’encourage
- « OOH ! Oui mon Maître, dites-lui qu’il n’arrête pas ? »
- « Je vais faire mieux ».Arnaud donne son téléphone a Eric pour qu’il continue de filmer et se dirige vers moi.
Le chauffeur dans ma chatte continue de me défoncer à grand coup de reins. La douleur anale s'atténue pour laisser place à une sensation de plaisir de plus en plus grandissante. Mon anus se détend et les coups de reins reçus me font coulisser de plus en plus sur cette immense queue. Je suis empalée et je suis en train de prendre du plaisir à ce traitement ! Un plaisir immense m'envahit. Arnaud est debout sur la table, il me présente son sexe. Je fais être saillie par tous les orifices. Je mouille mon majeur, lui introduit dans le fondement tandis que son sexe envahit ma bouche. Il me pilonne a son tour.
Le géant se déchaîne dans mon anus le rythme étant donné par celui qui s’occupe de mon sexe en incandescence. Je tremble sous les coups de boutoirs de ce dernier, mon torse tressaute faisant ressortir mes pointes de seins érigées. Je gémis.
Arnaud avec mon doigt dans le cul se donne plaisir avec ma bouche et ma langue pendant que je lui titille la prostate. Le petit trapu écarte bien mes fesses pour que son copain voit sa bite me pistonner mon cul malmené. Le muscle anal est dilaté au maximum et les trois hommes sont sur le point de jouir mais je pars la première et cela semble leur avoir donné le signal. Arnaud ressort et m’asperge le visage de longues giclées. Je me délecte du trop plein présent sur mes lèvres. Voyant cela le plus trapu se cramponne et jouit à son tour. Sentant les soubresauts de son homologue de la route le géant se raidit dans un dernier soubresaut et joui dans mon boyau qu’il aura eu tout loisir de bien élargir après m’avoir déchiré pour son plaisir initial.
Quel coït !!!
Je dois maintenant regagner la voiture et traverser le parking des professionnels de la route toujours tenue en laisse, le visage plein de sperme, ma jupe retroussée et mes seins apparents, juchée sur les talons hauts de mes cuissardes.
On aperçoit un routier qui se branle en me regardant, un rottweiler est a ses côtés. Baptiste et Eric demandent si mon travail de chienne prend fin en désignant l’animal.
Je reste stoïque quand Arnaud leur répond que pour l’instant je n’en suis pas a ce stade dans ma formation. Je ne sais que penser et je reste dans le plaisir des minutes que je viens de passer.
Nous reprenons la route en direction du Sud. Le reste du trajet est beaucoup plus calme même si les garçons continuent par épisodes à me caresser sexe, cuisse et seins. Ils se souviendrons comme nous de ce co-voiturage.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dans la même veine une soumise qui se découvre adorer le sexe . Mang
Toujours aussi lamentable... Mais on a bien compris que vous vous en fichez, tout comme de votre mari et de vos enfants....
Très excitant...
Cyrille
Cyrille

