Creampie Productions

Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Creampie Productions
21h, j’abandonne, j’ai mieux à faire de ma vie, genre lever un passif encore frais au Gaypard, après cinq jours sans baise, et trois de cure de PrEP en prévision du weekend à me vider les couilles…
J’ai relu en diagonale la liste de recommandations à l’attention de la quiche de comptable qui a salopé les comptes de Creampie Productions, avant d’ajouter le boss en copie de mon mail, et la conclusion ‘’Nous regrettons de ne pouvoir certifier votre comptabilité’’. Qu’ils s’arrangent, merde.
Tellement prévisible, aussi, mon patron me refile les dossiers d’audit pourris, en général parce que je suis le dernier engagé, mais aussi, dans ce cas-ci…
- Creampie Production… soit tarte à la crème, bizarrement innocent pour une boîte de prod de films porno gay, tu devrais être dans ton élément, Jérémie…
Une énième allusion à mes préférences, celle de trop, je lui ai expliqué qu’un creampie consiste en une sodomie avec éjaculation dans le rectum suivie de l’écoulement du sperme, ce qui l’avait laissé bouche bée.
J’ai pensé ‘Note à moi-même, démissionner lundi’, avant de quitter le bureau, pour traverser le truc qu’ils appellent ‘studio’, où un cinquantenaire coiffé de fausses oreilles de loup bourrine mollement en levrette un jeune blond fluet trop mignon juste coiffé d’une casquette écarlate.
- Tu la sens, ma grosse queue, chaperon rouge ?
- Oh oui, grand loup, mets-moi tout, a gémi d’un ton blasé le minet, dont la petite molle pendouille.
- Putain, c’est pas gagné, c’est même mort, a murmuré Roger, le réalisateur.
- Ça a l’air laborieux, c’est quoi le blème ?’’
- Léo bande de plus en plus souvent mou et il éjacule peu, alors, pour du creampie… Et le jeune est nul, a soufflé le grand Black qui tient la caméra.
Le mature s’est immobilisé au fond du rectum indifférent en poussant un grognement ridicule, s’est retiré et… rien.
- Ah ouais… et du coup vous faites quoi, là ?
- On vide un tube de lait concentré N*** © dans le cul du passif et on filme quand ça coule… sauf qu’on n’en a pas, là. Euh… ça ne vous choque pas, j’espère, Jérémie… Ah non, on ne dirait pas trop, a dit le réalisateur, après avoir remarqué le relief qui déforme mon pantalon.
- Ben, il est très mignon, oui… Mais sinon, l’un de vous peut refaire la scène finale, et le… crémer correctement, non ?
- Pas Mamadou, il va me déchirer le cul, a chouiné le petit blond.
- Me regardez pas, je suis hétéro, a dit l’éclairagiste.
- Mon mec m’impose une cage de chasteté… Mais vous, peut-être ? Kevin semble vous plaire.
- Oh ouiiiii ! Lui, je veux bien, a minaudé le minet.
- C’est tenant, il est bandant, mais je ne vais jamais exposer mon visage dans une vidéo porno !
- Mamadou va simplement zoomer sur le jus qui coule, mais si ça peut vous rassurer, on a encore quelques masques de l’époque covid…
Finalement, les rectums anonymes de la cave du Gaypard, c’est juste de la baise hygiénique, des grosses passives sans trop de dignité… Pas que le petit blond en ait bien plus, à se faire troncher par un mec du double de son âge pour un cachet probablement minable, Creampie Prod, c’est pas les studios Helix, non plus… Non, et c’est un peu con à dire, mais il a quelque chose d’attachant, un visage encore juvénile, un corps fluet, un sexe délicat au gland toujours couvert, des jambes fines que j’ai terriblement envie de sentir serrées sur ma taille, des pieds aux orteils adorables…
Je me suis caché des yeux au menton sous le machin en papier bleu pâle pour lentement retirer mon costume et ma chemise devant son sourire qui s’élargissait et sous son regard de plus en plus brillant, qui m’ont fait imaginer que, sans être le plus beau mec au monde, je le suis au moins dans cette pièce, et pour lui.
- Kevin, t’es gentil, tu suces Jérémie, là.
- Ce ne sera pas nécessaire, ne le fais pas si tu n’y tiens pas, ai-je murmuré au garçon. ‘’En fait, tu es d’accord ? Personne ne t’a vraiment demandé…’’
- Oh ! il a soufflé, peut-être étonné d’une attention qu’on lui accorde peu d’habitude, pour ajouter à mi-voix ‘’Avec vous, oui, et ça ne me gêne pas’’ avant de délicatement me décalotter, de poser ses lèvres sur mon gland et d’y entamer un doux ballet de sa langue.
- Bien ! Maintenant, à quatre pattes sur le lit, Kévin, qu’on en finisse.
- Je… préfère pas, en fait, ai-je dit, sans lâcher le regard de l’elfe. ‘’Vous avez besoin de moi, alors on va faire à ma manière. Allonge-toi sur le dos, s’il te plait.’’
J’ai légèrement relevé le masque, pris sa cheville droite et j’ai soulevé son pied à mon visage, pour suçoter ses mignons orteils, avant de faire courir ma langue sur l’intérieur de sa jambe, jusqu’à ses petites couilles, et toucher du nez sa jolie queue fine, désormais raide, de treize centimètres.
- J’ai terriblement envie de te prendre, doucement, profondément, longtemps, Kevin…
- Oh oui ! Je… je me retourne.
- Non… Je voudrais te faire jouir, et le voir sur ton visage.
Je n’ai pas dit ça en l’air, déjà parce qu’il ne doit pas l’entendre souvent pendant les tournages, et surtout… sans parler de procurer un orgasme anal, amener un joli petit mec au plaisir participe au mien. Je devrais pouvoir tenir longtemps, ce bourrin de Léo lui a surement bien dilaté le rectum, il ne sera pas trop serré.
J’ai remonté mon corps sur le sien en tirant sa cuisse gauche sur ma hanche, jusqu’à caler mon regard dans le sien, pour ensuite presser mon gland sur son sphincter et lentement m’enfoncer.
- Ça va ?
- Oui, oui… et… même loiiiiin, oooh !
- Pas tout de suite, ai-je murmuré, pour me retirer des deux-tiers et chercher de mon gland le léger relief de sa prostate sur lequel j’ai appliqué des passages appuyés pendant une ou deux minutes.
- Comme ça… ouiiiii… là, juste là, c’est booon !
J’ai redressé le torse. ‘’Regarde ton gland…’’
- Ça coule, il a gémi, attirant l’attention de Mamadou – et l’objectif de la caméra – sur son méat d’où fuit un filet de présperme.
Ma bite est remontée jusqu’au fond de son rectum et, ses deux jambes maintenant nouées sur ma taille, j’ai porté de longues pénétrations, alors que le corps de Kevin se tortillait sous le mien.
- Gros plan sur ses orteils écartés, Mamadou, les fétichistes des pieds vont adorer !
- OK, boss.
Ses mains calées sur ma nuque, le blondinet a poussé des gémissements modulés, qui ont couvert le murmure du réalisateur ‘’Il…il jouit vraiment… faudra garder cette partie de la bande-son.’’
- Touche-toi, Kevin, je veux voir ton éjac’, ai-je soufflé.
Quelques secondes de masturbation désordonnée lui ont fait cracher trois jets sur son ventre, je ne me suis plus retenu, j’ai tapissé son coude du côlon de quatre… cinq… six décharges de sperme, du moins à en croire les pulsations ressenties dans mon gland.
- Putain, je bande, a murmuré l’éclairagiste hétéro.
- Moi aussi, et ça fait un mal de chien avec cette foutue cage.
Une fois redressé, d’un regard, j’ai conclu que si la bite de Mamadou avait été à la verticale, son gland dépasserait de la ceinture de son pantalon…
Pendant que le grand Black immortalisait en plan rapproché la coulée de fluide épais et blanchâtre qui coule du sphincter palpitant du petit mec, le réalisateur m’a filé un mouchoir en papier, les yeux fixés sur ma demi-molle décalottée. ‘’Dommage, vous auriez pu encore lui mettre un bon centilitre.’’
Je me suis rhabillé, en râlant un peu à l’idée qu’à l’heure qu’il est, les culs les plus accueillants du Gaypard doivent déjà être en train de dégorger. ‘Faich’… à moins que…’
- Dis, euh… Kevin, t’as un truc prévu ce soir… genre porter un pot de miel à ta Mère-Grand ? lui ai-je suggéré.
- Un pot de miel ?
- Hmmm… Je dois te remettre à jour côté contes de fées, ça te dirait de se faire Hansel et Hansel, les deux petits cochons, le Vaillant Petit Tailleur… de pipes, le Beau et la Bête… de sexe, tout ça ?
- Vous… avec moi, vraiment ? Oh oui, oui, tout ce que vous voulez, m’sieur.
- Euh… on vient de baiser, là, alors t’es gentil, tu me tutoies, moi, c’est Jérémie, ‘monsieur’, ça va juste me faire débander…
- Oh nooon… Jérémie, a-t-il murmuré, d’un ton lubrique.
- Pour ma récompense, je vous l’enlève deux jours, c’est bon, Roger ?
- Bien sûr… Pour tout vous dire, Mamadou a tout filmé depuis le début, on va passer le week-end à fignoler le montage, mais c’est déjà très bon, merci encore. Si ça vous dit de recommencer…
Bah, j’allais quand même démissionner…
J’ai relu en diagonale la liste de recommandations à l’attention de la quiche de comptable qui a salopé les comptes de Creampie Productions, avant d’ajouter le boss en copie de mon mail, et la conclusion ‘’Nous regrettons de ne pouvoir certifier votre comptabilité’’. Qu’ils s’arrangent, merde.
Tellement prévisible, aussi, mon patron me refile les dossiers d’audit pourris, en général parce que je suis le dernier engagé, mais aussi, dans ce cas-ci…
- Creampie Production… soit tarte à la crème, bizarrement innocent pour une boîte de prod de films porno gay, tu devrais être dans ton élément, Jérémie…
Une énième allusion à mes préférences, celle de trop, je lui ai expliqué qu’un creampie consiste en une sodomie avec éjaculation dans le rectum suivie de l’écoulement du sperme, ce qui l’avait laissé bouche bée.
J’ai pensé ‘Note à moi-même, démissionner lundi’, avant de quitter le bureau, pour traverser le truc qu’ils appellent ‘studio’, où un cinquantenaire coiffé de fausses oreilles de loup bourrine mollement en levrette un jeune blond fluet trop mignon juste coiffé d’une casquette écarlate.
- Tu la sens, ma grosse queue, chaperon rouge ?
- Oh oui, grand loup, mets-moi tout, a gémi d’un ton blasé le minet, dont la petite molle pendouille.
- Putain, c’est pas gagné, c’est même mort, a murmuré Roger, le réalisateur.
- Ça a l’air laborieux, c’est quoi le blème ?’’
- Léo bande de plus en plus souvent mou et il éjacule peu, alors, pour du creampie… Et le jeune est nul, a soufflé le grand Black qui tient la caméra.
Le mature s’est immobilisé au fond du rectum indifférent en poussant un grognement ridicule, s’est retiré et… rien.
- Ah ouais… et du coup vous faites quoi, là ?
- On vide un tube de lait concentré N*** © dans le cul du passif et on filme quand ça coule… sauf qu’on n’en a pas, là. Euh… ça ne vous choque pas, j’espère, Jérémie… Ah non, on ne dirait pas trop, a dit le réalisateur, après avoir remarqué le relief qui déforme mon pantalon.
- Ben, il est très mignon, oui… Mais sinon, l’un de vous peut refaire la scène finale, et le… crémer correctement, non ?
- Pas Mamadou, il va me déchirer le cul, a chouiné le petit blond.
- Me regardez pas, je suis hétéro, a dit l’éclairagiste.
- Mon mec m’impose une cage de chasteté… Mais vous, peut-être ? Kevin semble vous plaire.
- Oh ouiiiii ! Lui, je veux bien, a minaudé le minet.
- C’est tenant, il est bandant, mais je ne vais jamais exposer mon visage dans une vidéo porno !
- Mamadou va simplement zoomer sur le jus qui coule, mais si ça peut vous rassurer, on a encore quelques masques de l’époque covid…
Finalement, les rectums anonymes de la cave du Gaypard, c’est juste de la baise hygiénique, des grosses passives sans trop de dignité… Pas que le petit blond en ait bien plus, à se faire troncher par un mec du double de son âge pour un cachet probablement minable, Creampie Prod, c’est pas les studios Helix, non plus… Non, et c’est un peu con à dire, mais il a quelque chose d’attachant, un visage encore juvénile, un corps fluet, un sexe délicat au gland toujours couvert, des jambes fines que j’ai terriblement envie de sentir serrées sur ma taille, des pieds aux orteils adorables…
Je me suis caché des yeux au menton sous le machin en papier bleu pâle pour lentement retirer mon costume et ma chemise devant son sourire qui s’élargissait et sous son regard de plus en plus brillant, qui m’ont fait imaginer que, sans être le plus beau mec au monde, je le suis au moins dans cette pièce, et pour lui.
- Kevin, t’es gentil, tu suces Jérémie, là.
- Ce ne sera pas nécessaire, ne le fais pas si tu n’y tiens pas, ai-je murmuré au garçon. ‘’En fait, tu es d’accord ? Personne ne t’a vraiment demandé…’’
- Oh ! il a soufflé, peut-être étonné d’une attention qu’on lui accorde peu d’habitude, pour ajouter à mi-voix ‘’Avec vous, oui, et ça ne me gêne pas’’ avant de délicatement me décalotter, de poser ses lèvres sur mon gland et d’y entamer un doux ballet de sa langue.
- Bien ! Maintenant, à quatre pattes sur le lit, Kévin, qu’on en finisse.
- Je… préfère pas, en fait, ai-je dit, sans lâcher le regard de l’elfe. ‘’Vous avez besoin de moi, alors on va faire à ma manière. Allonge-toi sur le dos, s’il te plait.’’
J’ai légèrement relevé le masque, pris sa cheville droite et j’ai soulevé son pied à mon visage, pour suçoter ses mignons orteils, avant de faire courir ma langue sur l’intérieur de sa jambe, jusqu’à ses petites couilles, et toucher du nez sa jolie queue fine, désormais raide, de treize centimètres.
- J’ai terriblement envie de te prendre, doucement, profondément, longtemps, Kevin…
- Oh oui ! Je… je me retourne.
- Non… Je voudrais te faire jouir, et le voir sur ton visage.
Je n’ai pas dit ça en l’air, déjà parce qu’il ne doit pas l’entendre souvent pendant les tournages, et surtout… sans parler de procurer un orgasme anal, amener un joli petit mec au plaisir participe au mien. Je devrais pouvoir tenir longtemps, ce bourrin de Léo lui a surement bien dilaté le rectum, il ne sera pas trop serré.
J’ai remonté mon corps sur le sien en tirant sa cuisse gauche sur ma hanche, jusqu’à caler mon regard dans le sien, pour ensuite presser mon gland sur son sphincter et lentement m’enfoncer.
- Ça va ?
- Oui, oui… et… même loiiiiin, oooh !
- Pas tout de suite, ai-je murmuré, pour me retirer des deux-tiers et chercher de mon gland le léger relief de sa prostate sur lequel j’ai appliqué des passages appuyés pendant une ou deux minutes.
- Comme ça… ouiiiii… là, juste là, c’est booon !
J’ai redressé le torse. ‘’Regarde ton gland…’’
- Ça coule, il a gémi, attirant l’attention de Mamadou – et l’objectif de la caméra – sur son méat d’où fuit un filet de présperme.
Ma bite est remontée jusqu’au fond de son rectum et, ses deux jambes maintenant nouées sur ma taille, j’ai porté de longues pénétrations, alors que le corps de Kevin se tortillait sous le mien.
- Gros plan sur ses orteils écartés, Mamadou, les fétichistes des pieds vont adorer !
- OK, boss.
Ses mains calées sur ma nuque, le blondinet a poussé des gémissements modulés, qui ont couvert le murmure du réalisateur ‘’Il…il jouit vraiment… faudra garder cette partie de la bande-son.’’
- Touche-toi, Kevin, je veux voir ton éjac’, ai-je soufflé.
Quelques secondes de masturbation désordonnée lui ont fait cracher trois jets sur son ventre, je ne me suis plus retenu, j’ai tapissé son coude du côlon de quatre… cinq… six décharges de sperme, du moins à en croire les pulsations ressenties dans mon gland.
- Putain, je bande, a murmuré l’éclairagiste hétéro.
- Moi aussi, et ça fait un mal de chien avec cette foutue cage.
Une fois redressé, d’un regard, j’ai conclu que si la bite de Mamadou avait été à la verticale, son gland dépasserait de la ceinture de son pantalon…
Pendant que le grand Black immortalisait en plan rapproché la coulée de fluide épais et blanchâtre qui coule du sphincter palpitant du petit mec, le réalisateur m’a filé un mouchoir en papier, les yeux fixés sur ma demi-molle décalottée. ‘’Dommage, vous auriez pu encore lui mettre un bon centilitre.’’
Je me suis rhabillé, en râlant un peu à l’idée qu’à l’heure qu’il est, les culs les plus accueillants du Gaypard doivent déjà être en train de dégorger. ‘Faich’… à moins que…’
- Dis, euh… Kevin, t’as un truc prévu ce soir… genre porter un pot de miel à ta Mère-Grand ? lui ai-je suggéré.
- Un pot de miel ?
- Hmmm… Je dois te remettre à jour côté contes de fées, ça te dirait de se faire Hansel et Hansel, les deux petits cochons, le Vaillant Petit Tailleur… de pipes, le Beau et la Bête… de sexe, tout ça ?
- Vous… avec moi, vraiment ? Oh oui, oui, tout ce que vous voulez, m’sieur.
- Euh… on vient de baiser, là, alors t’es gentil, tu me tutoies, moi, c’est Jérémie, ‘monsieur’, ça va juste me faire débander…
- Oh nooon… Jérémie, a-t-il murmuré, d’un ton lubrique.
- Pour ma récompense, je vous l’enlève deux jours, c’est bon, Roger ?
- Bien sûr… Pour tout vous dire, Mamadou a tout filmé depuis le début, on va passer le week-end à fignoler le montage, mais c’est déjà très bon, merci encore. Si ça vous dit de recommencer…
Bah, j’allais quand même démissionner…
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