Cricri
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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Cricri
Il fait doux ce soir. Huguette, mon épouse et Cricri, sa cousine, me sortent. Pas loin au parc d’à coté. Je les tiens chacune par un bras. Ce n’est pas tous les jours que j’ai deux magnifiques femmes à mes cotés. Mon coté macho ressort. Tout irait bien si elles ne bavardaient pas comme si je n’étais pas là. Elles parlent de petits riens au début, puis tout s’aggrave quand Huguette entame les questions de sexe : elle raconte tout ce que nous faisons ensemble. Ce n’est pas triste. Elle confirme ce que je sais : que nous baisons bien, qu’elle aime m’avoir dans le vagin, la bouche, et, elle hésite un peu, le cul. Elle ajoute que c’est elle qui la première fois m’a demande de l’enculer : elle voulait savoir ce que ça faisait. Qu’elle aime aussi me mettre un gode dans le cul en me branlant, c’est vrai, je n’ai pas honte de l’avouer.
Cricri répond qu’elle aime aussi les mêmes choses, mais qu’elle ne sait pas quel plaisir elle pourrait avoir de la sodomie : elle est vierge du cul. Huguette la plaint. Puis la conversation dévie vers je ne sais quelle domaine
Nous sommes assis sur un banc, au centre du parc. Deux amoureux s’embrassent, se caresse. Nous voyons que la main du garçon file facilement sous la jupe de la fille qui, c’est visible se laisse masturber avant de rendre la pareille. Cricri regarde non pas étonnée, mais plutôt attirée.
- J’aimerai, dit Cricri.
- Quoi ?
- Me faire enculer.
- C’est le lieu, juste ici en plein parc.
- Et alors, j’ai envie. Toi tu t’en fiche, ton mari te la mettra tout à l’heure et moi, tiens tintin. Si encore tu me le prêtais.
- Prêter qui, mon mari ?
- Non sa queue pour me la mettre au cul, tiens, tu surveillerais.
J’avoue que je le laisserais faire, elle a un beau, cul un tempérament de feu. Si Huguette se laisse convaincre, je suis partant, à moins que ma femme veuille participer, là je suis partant de suite. Pour être sure de mon accord, Cricri pose sa main sur ma bite, me masse même pour que je bande : une attaque indigne, lâche même. Huguette sait que je bande. Elle fait une drôle de tête en me regardant, comme si j’y étais pour quelque chose ; je bande et alors !
Nous rentrons à la maison. Cricri nous dit bonsoir à sa façon : elle embrasse sa cousine, ma femme donc directement sur le bouche, m’en fait autant. Huguette éclate :
- Après tout pourquoi pas à trois.
Je reste étonné, scotché sur place. Cricri ne dit pas non, elle embrasse encore une fois, cette fois avec la langue, ma femme qui réagit positivement. Cette fois personne ne pourra m’accuser de bander pour rien.
Huguette, dans la chambre commence par ouvrir les volets : nous sommes en vue des voisins, qui pourrons se rincer l’œil en nous regardant. C’est même elle qui est nue la première. Elle qui déshabille sa cousine. Elles s’embrassent encore pendant qu’à mon tour j’enlève les oripeaux. Elles regardent bien ma queue. Huguette ne la connait bien : pas Cricri. C’est Huguette qui attaque, bille en tête :
- Tu vas te faire enculer a chérie. Et devant moi encore. Je serais gentille si te me le demande, je te sucerais le con.
- Pourquoi tu ne me mettrais pas le gode dans le cul ? J’aimerais que te le fasse pendant que je me paierais ta salope de cousine.
Les femmes décident, comme souvent, elles décident de s’aimer devant moi, que je serais simplement le faire valoir avec ma queue dans un cul. Mazette ! Ma bite un faire valoir. Elle ne dit pas ça quand je la baise, qu’elle me supplie de ne pas arrêter de la lui mettre encore. Enfin, le faire valoir va leur montrer ce qu’il sait faire. Je prends Cricri dans mes bras avant ma femme. Je me colle à elle pour qu’elle sente ma queue contre elle. La queue du faire valoir va lui montrer. J’ai la grande surprise quand Cricri se tourne pour me présenter ses fesses. Du coup je me trouve avec la bite dans sa raie. Je pourrai me contenter de faire glisser la bite dans la raie, d’oublier le cul de la fille.
Huguette est presque à genoux, comme quand elle veut lécher ma colonne que je ne suis pas encore nu. Je sais ce qu’elle fait quand je sens le bas ventre de Cricri s’avancer. Elle lui lèche le petit oiseau. Je touche au but, le cul est juste sur la bout de la queue. A deux mains Cricri écarte ses fesses. Je force comme un damné pour entrer Cricri pousse un cri quand je la défonce, je comprends. Huguette faisait pareille la première fois. Le gland écarte les chairs qu’il trouve. Je cul s’élargit seul. Je suis en entier dans les boyaux de la belle. Elle arrête ses pleurnicheries pour trouver enfin du plaisir. Être enculée et léchée doit être sacrément agréable. Ma queue prend sa place, je profite de l’étroitesse de l’endroit, puis d’un coup déverse son trop plein. Je sors du cul avec un peu de sperme. Huguette lèche toujours le sexe, récupère en plus deux gouttes de mon jus.
Elles continuent un bon moment seules sans moi. Je les vois jouir plusieurs fois.
Deux semaines plus tard Cricri part vers un nouveau travail. Ce n’est que pour ses vacances que nous sommes réunis en trio.
A propos, les voisins ne se sont jamais manifestés
Cricri répond qu’elle aime aussi les mêmes choses, mais qu’elle ne sait pas quel plaisir elle pourrait avoir de la sodomie : elle est vierge du cul. Huguette la plaint. Puis la conversation dévie vers je ne sais quelle domaine
Nous sommes assis sur un banc, au centre du parc. Deux amoureux s’embrassent, se caresse. Nous voyons que la main du garçon file facilement sous la jupe de la fille qui, c’est visible se laisse masturber avant de rendre la pareille. Cricri regarde non pas étonnée, mais plutôt attirée.
- J’aimerai, dit Cricri.
- Quoi ?
- Me faire enculer.
- C’est le lieu, juste ici en plein parc.
- Et alors, j’ai envie. Toi tu t’en fiche, ton mari te la mettra tout à l’heure et moi, tiens tintin. Si encore tu me le prêtais.
- Prêter qui, mon mari ?
- Non sa queue pour me la mettre au cul, tiens, tu surveillerais.
J’avoue que je le laisserais faire, elle a un beau, cul un tempérament de feu. Si Huguette se laisse convaincre, je suis partant, à moins que ma femme veuille participer, là je suis partant de suite. Pour être sure de mon accord, Cricri pose sa main sur ma bite, me masse même pour que je bande : une attaque indigne, lâche même. Huguette sait que je bande. Elle fait une drôle de tête en me regardant, comme si j’y étais pour quelque chose ; je bande et alors !
Nous rentrons à la maison. Cricri nous dit bonsoir à sa façon : elle embrasse sa cousine, ma femme donc directement sur le bouche, m’en fait autant. Huguette éclate :
- Après tout pourquoi pas à trois.
Je reste étonné, scotché sur place. Cricri ne dit pas non, elle embrasse encore une fois, cette fois avec la langue, ma femme qui réagit positivement. Cette fois personne ne pourra m’accuser de bander pour rien.
Huguette, dans la chambre commence par ouvrir les volets : nous sommes en vue des voisins, qui pourrons se rincer l’œil en nous regardant. C’est même elle qui est nue la première. Elle qui déshabille sa cousine. Elles s’embrassent encore pendant qu’à mon tour j’enlève les oripeaux. Elles regardent bien ma queue. Huguette ne la connait bien : pas Cricri. C’est Huguette qui attaque, bille en tête :
- Tu vas te faire enculer a chérie. Et devant moi encore. Je serais gentille si te me le demande, je te sucerais le con.
- Pourquoi tu ne me mettrais pas le gode dans le cul ? J’aimerais que te le fasse pendant que je me paierais ta salope de cousine.
Les femmes décident, comme souvent, elles décident de s’aimer devant moi, que je serais simplement le faire valoir avec ma queue dans un cul. Mazette ! Ma bite un faire valoir. Elle ne dit pas ça quand je la baise, qu’elle me supplie de ne pas arrêter de la lui mettre encore. Enfin, le faire valoir va leur montrer ce qu’il sait faire. Je prends Cricri dans mes bras avant ma femme. Je me colle à elle pour qu’elle sente ma queue contre elle. La queue du faire valoir va lui montrer. J’ai la grande surprise quand Cricri se tourne pour me présenter ses fesses. Du coup je me trouve avec la bite dans sa raie. Je pourrai me contenter de faire glisser la bite dans la raie, d’oublier le cul de la fille.
Huguette est presque à genoux, comme quand elle veut lécher ma colonne que je ne suis pas encore nu. Je sais ce qu’elle fait quand je sens le bas ventre de Cricri s’avancer. Elle lui lèche le petit oiseau. Je touche au but, le cul est juste sur la bout de la queue. A deux mains Cricri écarte ses fesses. Je force comme un damné pour entrer Cricri pousse un cri quand je la défonce, je comprends. Huguette faisait pareille la première fois. Le gland écarte les chairs qu’il trouve. Je cul s’élargit seul. Je suis en entier dans les boyaux de la belle. Elle arrête ses pleurnicheries pour trouver enfin du plaisir. Être enculée et léchée doit être sacrément agréable. Ma queue prend sa place, je profite de l’étroitesse de l’endroit, puis d’un coup déverse son trop plein. Je sors du cul avec un peu de sperme. Huguette lèche toujours le sexe, récupère en plus deux gouttes de mon jus.
Elles continuent un bon moment seules sans moi. Je les vois jouir plusieurs fois.
Deux semaines plus tard Cricri part vers un nouveau travail. Ce n’est que pour ses vacances que nous sommes réunis en trio.
A propos, les voisins ne se sont jamais manifestés
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