Croisière 1 - histoire érotique

Jeunes et insouciants, à bord d'un voilier de 9 mètres, nous cinglons pour trois semaines vers la Corse au départ de Toulon.
Nous sommes trois à bord et connaissons bien ce bateau familial.
Il y a François, le fils du propriétaire, Paul, un cousin et moi Prunelle une amie.
L'histoire se passe en Septembre 83.
Nous filons à bonne allure au portant vers Calvi. Partis à l'aube, je prépare à manger dans la cambuse rejoint par Paul. L'espace est exigu et nous nous frôlons à plusieurs reprises. Je ne le repousse pas et viens au contraire au contact. Nous sommes un peu ballottés par les mouvements du bateau et naturellement ses bras m'entourent pour plus de stabilité.
J'apprécie le contact, Paul est un beau garçon frisé et blond d'1.80m. au visage d'ange. Il est très séduisant et séducteur avec quelque chose de féminin dans ses gestes.
Ses mains glissent sur ma peau et remontent vers ma poitrine pendant qu'il me fait des petits bisous dans le cou. Il prend mes seins à pleines mains, je n'ai pas de soutien gorge sous mon pull. Il les malaxe doucement, je me retourne er l'embrasse fougueusement.
François est à la barre et ne peut nous voir, mais je sais qu'il en pince pour moi d'où ma présence à bord. Ayant passé tout l'été en plein air, il est bien bronzé, mat de peau, il est gouailleur et plein d'énergie sous sa barbe. Il est aussi très séduisant avec son look de vieux loup de mer.
Nous remontons pour répondre à son appel. Le vent est tombé et nous affalons les voiles pour continuer à naviguer au moteur.
Nous déjeunons puis nous nous octroyons une petite sieste. Paul est à la barre et nous en profitons pour nous bronzer à l'avant.
Nous avons sorti les matelas et nos têtes son adossés au roof. J'en profite pour ne garder qu'un bas de maillot minimaliste.
François me fait remarquer que je vais avoir des marques et me suggère de l'enlever.
J'accepte à condition qu'il fasse de même. Notre croisière devient naturiste.
Son sexe au repos est un beau morceau assez long. Lui est intégralement bronzé et semble très à l'aise à mes côtés. Ma toison noire , bouclée est très fournie, tranche avec le blanc de ma peau.
Nous devisons de choses et d'autres quand il me fait remarquer que je vais prendre un coup de soleil.
Il part et revient avec un flacon de crème qu' il m'étale généreusement sur le dos.
J'apprécie le contact qui se transforme en massage il insiste sur les fesses en m'expliquant qu'elles sont blanches et plus vulnérables. Il en profite pour bien les écarter. Puis il me demande de me retourner et je constate que sa verge a doublé de volume. Je lui en fait la remarque et il me dit de la toucher.
Je le prends en main, en apprécie la douceur, la chaleur, la vie qui palpite en elle. Il s'allonge et s'étire sur le dos en soupirant. Son sexe a encore grandi et durci. Je le caresse sur toute la longueur, je prends un peu de crème et l'étale sur l'extrémité du gland et fait des petits cercles avec mon doigt.
Une goutte transparente perle, je l'étale aussi et fait coulisser son prépuce d'une main. De l'autre j'enserre la base et je soupèse ses testicules.
Maintenant je suis assise en tailleur, concentrée sur ma tâche, mon sexe coule littéralement.
Je m'active encore quelques minutes quand je le sens se raidir, son sexe tressaille et plusieurs jets de sperme giclent sur sa poitrine et son visage en traînées blanches.
Je suis étonnée par la quantité et la force de son éjaculation hors du commun, privilège de la jeunesse et de la chasteté. Ce qu'il me confirme.
Il part se nettoyer et Paul en profite pour prendre la place. Aussitôt, il raconte ce qu'il a vu et se met à poil. Sa verge, longue et fine, très recourbée jaillit de son short et vient frapper son nombril.
Le spectacle l'a excité et je suis moi-même très excitée par la situation. Deux garçons magnifiques rien que pour moi. Aussi je ne m'offusque pas bien au contraire, je lui fais un grand sourire en lui disant que moi , j'étais restée sur ma faim.
Il me fait remarquer que si mon dos est bien protégé du soleil, ce n'est pas le cas du devant et il me pousse légèrement pour que je m'allonge.
A son tour, il étale la crème solaire sur mon ventre, mes épaules, mes seins qu'il commence à connaître puis les jambes et les pieds pour finir par mon bassin.
Ses mains caressent les cuisses, effleurent mes grandes lèvres, évitent ma toison pour rechercher mon clitoris. Ses doigts me font sursauter aussi il fait des cercles légers. Je coule abondamment, il s'en aperçoit ce qui l'encourage. Je saisis son sexe et le masturbe puis j'écarte les cuisses et l'invite à me pénétrer. Son sexe frotte à l'entrée puis m'investit lentement. Je sens ses couilles battre mon périnée, il entame des va et viens de plus en plus rapides. Il prend mes jambes sur ses épaules, je sens mon plaisir augmenter, je mouille mon index pour caresser mon clitoris, soudain c'est l'explosion, je crie mon plaisir, Paul se retire et éjacule sur mon ventre et mes seins.
A mon tour, je vais me nettoyer puis toujours à poil, nous sommes en pleine mer et j'entame la confection du repas du soir : soupe lyophilisée, poulet rôti, ships, fond de taboulé du midi, fruits…
Le soleil se couche, nous apprécions ce moment de sérénité, je suis entre mes deux hommes, comblés. Nous nous répartissons les quarts pour la nuit.
La mer est calme, de temps à autre nous apercevons un ferry .
Le carré a été transformé en lit double, je m'endors avec Paul puis François me rejoindra. Au petit matin, je fais chauffer l'eau dans la cambuse quand Paul m'annonce qu'on voit le phare de la Revellata droit devant.
Il s'avance à l'entrée de la descente, je suis face à lui pour sortir, le nez à la hauteur de ses attributs quand il sort sa bite. Je lui dit d'abord tu me fais minette et ensuite tu vas te laver…. Non mais, ce garçon pour qui me prend t il ?
Et la tendresse bordel !