Croisière à haut risque
Récit érotique écrit par Epistolier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Croisière à haut risque
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les vacances avaient pourtant bien commencées. Nous étions partis depuis déjà 15 jours pour une croisière en Afrique. Nous avions déjà fait escale dans plusieurs ports dont celui de Nairobi. Nous venions de quitter le Kenya et faisions route vers le Golfe d’Aden, direction l’Egypte en contournant l’Ethiopie et le Yémen qui n’étaient pas vraiment des pays touristiques. Et surtout, nous voulions nous éloigner le plus possibles des côtes somaliennes réputées pour leurs actes de pirateries… Le Morvan, splendide voilier trois mâts de 88 mètres filait à la vitesse de 12 nœuds dans l’océan Indien. Nous étions 5 à bord plus les 4 membres d’équipage qui étaient tous des hommes. Je m’appelle Pierre, j’ai 50 ans, je suis médecin. Ma femme, Chantal a le même âge que moi. C’est encore une belle femme, très sexy; Quand elle se promène dans cette ville très bourgeoise ou nous habitons en France, il est fréquent qu’on la drague. Elle est toujours en jupe et en talons. Je l’adore. Coté sexe, elle a de l’imagination à revendre. Nos amis, Sophie et Franck ont le même âge que nous. Nous accompagnions Eliane, 58 ans qui nous offre cette croisière. Grâce au sports et à une bonne hygiène de vie et aussi quelques retouches données par des chirurgiens plasticiens de renom (mais ça, il ne faut pas le dire) elle avait encore un corps de rêve… Elle est riche, très riche. Son mari brutalement décédé lui ayant laissé un très bel héritage. Accoudé au bastingage, je regardais l’horizon. Le soleil tapait dur mais une petite brise marine le rendait supportable. J’entendis des rires et je jetais un œil sur le pont. Chantal et Sophie en bikini et Eliane en maillot une pièce, bronzaient en papotant sous le regard concupiscent des deux membres d’équipages qui faisaient de leur mieux pour ne pas trop regarder ces superbes femmes à peine vêtus. Ce n’était pas la première fois que je remarquais qu’ils mataient soit l’une ou soit l’autre mais curieusement, je ne leur en voulais pas.
Je sentis mon sexe durcir dans mon maillot de bain en repensant à hier soir quand ma femme et moi avions fait l’amour, le hublot de notre cabine ouvert. J’étais presque sûr d’avoir vu un des membres d’équipage en train de nous mater pendant que je prenais Chantal en levrette. Je souris en repensant à ce moment agréable. J’étais loin de me douter que la croisière de rêve allait se transformer en cauchemar….
Le Skipper a vu la petite embarcation arriver vers nous et nous a prévenu mais nous n’avons pu éviter l’abordage et l’assaut des pirates. Les six hommes, peut-être des Somaliens venus de Mogadiscio, montèrent à bord sans aucune résistance de notre part. Ils étaient tous armés de fusils d’assaut et de pistolets. Une lueur mauvaise dans leurs regards. Ils visitèrent toutes les cabines en criant. Quelques coups de feu furent tirés mais personne ne fut blessé. Nous sommes tous rassemblés sur le pont. Les femmes pleurent, paniquées. Celui qui parait être le chef des pirates, un grand black au crâne rasé donna un ordre et le capitaine et le skipper furent attachés et disparurent dans la calle, les 2 autre marins semblaient de connivence avec les pirates. Franck et moi furent solidement attachés au mât. Impuissant, je craignais pour les femmes. Chantal Eliane et Sophie me jetaient des regards désespérés. Finalement les pirates semblaient de plusieurs nationalités et ils communiquaient entre eux dans un mauvais anglai. C’est dans cette langue que celui qui paraissait leur chef nous expliqua que nous étions leurs otages et qu’une rançon allait être demandée. Il entraîna les trois femmes dans la cabine de pilotage et j’entendis des cris qui me glacèrent le sang. Mon Dieu, qu’allait il leur faire?
Elles revinrent et mon épouse m’expliqua qu’elle avait dû passer sous la contrainte un appel radio à Djibouti pour expliquer notre situation à un représentant des français en Afrique. Le chef des pirates lui donna une claque sur les fesses. Rouge de honte, elle balbutia « Pendant que je passais l’appel, il a mis ses doigts dans mon string et m’a tripoté… » Je serais les poings de rages et d’impuissance… Le chef lança « Continue! » « Il m’a enfoncé ses doigts dans ma chatte et m’a tripoté le cli... clitoris… » Les hommes du chef étaient morts de rire… Deux pirates s’emparèrent d’Eliane et l’emmenèrent dans sa cabine. Heureusement, ils revinrent rapidement. Eliane avait dû se changer et mettre un bikini emprunté à ma femme ce qui fait qu’il était beaucoup trop petit pour elle. Ses seins débordaient littéralement du soutien-gorge. Les pirates sortirent une grande table qu’ils installèrent sur le pont. Le chef expliqua qu’ils avaient faim et que les femmes aller leurs faire à manger! Tous les pirates éclatent de rire. Les femmes firent le service. A chaque passage, les pirates pelotaient l’une ou l’autre. Les mains remontent sur les jambes, s’introduisent dans le string. Ils malaxaient des seins, notamment ceux d’Eliane sous notre regard tant et si bien qu’à la fin du repas toutes les trois se retrouvèrent débarrassées de leur maillot.
Le repas fut bien arrosé. On obligea plusieurs fois les trois femmes à boire ce qui semblait de l’alcool fort, le chef leur expliquant que ce mélange ne manquerait pas de leur donner de l’ardeur A la fin le chef leur expliqua qu’elles avaient intérêt à leur obéir si elles ne voulaient pas que les maris fassent les frais de leur manque d’entrain. Il claqua des doigts et les pirates obligèrent Eliane, Chantal et Sophie à se placer à genoux face à eux. Le chef et deux de ses hommes sortirent leurs sexes tendus. En pleine érection. Les femmes voulurent détourner la tête mais les autres marins les obligèrent à rester penchées en avant. Eliane engouffra la première le sexe dans sa bouche en poussant un gémissement, le pirate appuyant fermement sur sa tête. Celle-ci commença sa fellation, sa tête montant et descendant sur la bite dressée. Le chef, releva Sophie et la courba sur le bastingage. Il lui caressa la vulve et lui enfonçant ses doigts dans sa chatte. Elle tenta de se débattre mais le chef lui donna une claque sur les fesses. Il s’accroupit et lui lécha la fente. Je voyais sa langue s’enfoncer dans son intimité. Ma femme poussa un grognement, étouffée par l’énorme queue qu’un grand noir tentait d’enfoncer dans sa bouche. Un autre lui malaxait les seins. Le chef, sa queue dure comme du bois, se masturba un peu et s’enfonça dans la chatte de Sophie qui poussa un cri. Les mains crocheté sur les hanches, il donna de violents coups de reins en la besognant. Il grognât en s’agitant. Sophie gémissait.
Chantal était prise à partie par trois pirates. Debout, en équilibre, elle subissait les attouchements d’un d’entre eux qui lui enfonçait les doigts dans la chatte, les faisant coulisser rapidement. Un autre lui suçait les seins. Le troisième la courba en avant et lui enfonça sa queue dans la bouche. Celui qui branlait Chantal éclatât de rire et lança quelque chose en somali qui fut traduit par le chef qui besognait toujours Sophie. « Elle mouille ta femme, elle a l’air d’aimer ça… » Effondré, je ne répondais pas…
Eliane, allongée sur le dos, les jambes relevés à la verticale se faisait maintenant ramoner par l’énorme queue noire et luisante du noir qui rentrait et sortait de son con… Elle tournait la tête de droite à gauche en gémissant. Je commençais à entendre des commentaires dans les rangs des hommes d’équipage qui traitaient Eliane, ma femme et Sophie de salopes. Peut-être que l’alcool ou ce mélange inconnu aidant, les trois femmes n’avait plus vraiment l’air terrorisé. A quatre pattes, Chantal se faisait prendre en levrette devant moi. On l’avait positionné de façon à ce qu’elle me regarde. Je voyais ses yeux exorbités. Elle ouvrait la bouche haletante sous les coups de boutoir du pirate. Ses gros seins ballottaient sans soutien-gorge. On traîna Eliane devant un autre pirate et elle dut lui administrer une fellation malgré ses supplications. Elle le pompa doucement d’abord puis de plus en plus vite salivant sur la bite, elle dû lui malaxer les couilles avec la main. Je vis le pirate se raidir, il bloqua la tête d’Eliane contre son ventre en donnant de petit coup de reins. Je compris qu’il était en train d’éjaculer dans sa bouche. La bite bien callée au fond de sa gorge, je vis Eliane déglutir à chaque coup de rein du pirate. Lorsqu’il eut terminé de décharger, il retira sa queue, elle avait été obligé d’avaler tout son sperme, seul un petit filet poisseux coulait sur son menton.
Le chef se retira de la chatte de Sophie et la mettant à genoux, se masturba en grognant. Il lâcha des traînées de sperme sur son visage, il y en avait tellement que cela coula jusque sur ces seins. Aussitôt, deux pirates traînèrent Sophie devant les deux hommes d’équipage complices qu’elle dut sucer à tour de rôle. Une bite dans chaque main, elle les pompait avec un empressement qui me faisait douter de sa réticence… Le pirate qui baisait ma femme explosa en grognant et un autre le remplaça aussitôt.
On obligea ensuite Eliane et Chantal à suivre Sophie et à sucer les hommes d’équipage. Le deux éjaculèrent dans la bouche d’Eliane qui avait du mal à avaler le sperme tant la quantité était importante. Elle le recrachait discrètement mais ça ne plaisait pas aux pirates qui lui claquaient les fesses à chaque fois. Ma femme, elle, reçut quantité de foutres sur son visage. Elle en a dans les cheveux et sur le front, autour de la bouche. Littéralement remaquillée au foutre….Sophie fut placé devant le plus grand et on lui donnait l’ordre de le sucer. Elle le regarda et le masturba. Sa queue devint vite dure et grosse entre ses mains. Elle l’avala, le suçant avec application. Elle dû lui caressait les couilles en même temps. Elle enfonçait sa bite au fond de sa gorge. Puis la ressortait, le masturbant de nouveau. Il ne put tenir longtemps. Il a joui en poussant un cri, son sperme gicla dans sa bouche éclaboussant son palais, se répandant au fond de sa gorge….Elles pensaient surement en avoir terminé mais ces hommes ne semblaient pas repus. Certains bandaient toujours autant et après avoir profité tour à tour de leur bouches et de leur chattes, j’avais peur pour la suite. Je ne me trompais pas.
Les autres pirates et les hommes d’équipage complice se ruèrent sur Eliane, Sophie et ma femme et les baisèrent comme des chiennes devant Franck et moi toujours attachés au mât. Eliane, empalée sur une bite, suçait un deuxième homme en haletant. Un troisième vint se placer derrière elle, il l’obligea à écarter ces fesses à deux mains et pointant son gland sur son petit trou, il l’encula puissamment. Son corps était secoué violemment sous les coups de ces trois bites cela faisant rires les autres pirates. Ma femme et Sophie durent s’embrasser sous les applaudissements des pirates et hommes d’équipage complices. Horrifié, écœuré, je vois leurs langues s’entremêler. On allongea ma femme, et Sophie dut lui sucer la chatte. Sa langue lui titillant le clitoris. Ma femme donnait des coups de reins et gémissant. Pendant que Sophie, a genoux les fesses relevées suce Chantal, un des hommes d’équipage la pénétra et la baisa en levrette. Cela dura des heures. On humilia ma femme et Sophie de toutes les façons. Ma femme, à genoux, se faisait enculer pendant qu’elle devait sucer une bite en même temps. Heureusement pour elle les deux engins étaient de taille normale. Sophie, déjà une belle bite dans sa chatte, dut accepter une queue dans son anus. Par contre, pour elle ce fut le plus grand de l’équipe, le noir colossal, qui l’encula. Sa queue était en rapport avec sa taille, un énorme gourdin noir et épais. Les yeux hors de la tête, Sophie gémissait, et moi, je voyais cette grosse bite s’enfoncer dans son anus. Puis les deux hommes bougèrent la baisant et l’enculant en même temps. Elle poussa de petits cris...Mais a voir son visage je pense que ce n’était plus de la douleur…
La pauvre Eliane se retrouva avec une main en partie enfoncé dans sa chatte. Son corps s’arquait sous les aller et retour de la main qui essayait de s’introduire. Eliane semblai maintenant crier de jouissance …Tous voulurent essayer, chacun leur tour, de lui enfoncer la main dans la chatte. Elle se retrouva fistée un long moment…Elle eut un orgasme qui la fit hurler et elle s’effondra… Pendant ce temps, ils éjaculèrent tous arrosant ma femme et Sophie de leurs spermes. Ils laissaient ensuite les trois femmes rejoindre leur cabine, les hommes dormirent sur le pont.
La nuit fut plus calme, les hommes après s’être soulagés un si grand nombre de fois semblaient enfin repus. Frank et moi nous passement une mauvaise nuit toujours attaché au mat. Au matin, ils étaient tous à nouveaux en forme. Le chef ordonnât que les femmes reviennent sur le pont pour leur servir à manger comme la veille au soir. Elles arrivèrent toutes les trois avec une petite mine, et en guise de petit déjeuner on les obligea à nouveau à boire le même breuvage que la veille. Si Chantal et Sophie obéirent pour ne pas fâcher les hommes, Eliane tenta de se rebeller et de refuser de boire. Le chef exigea qu’elle soit maintenue par deux pirates pendant qu’un troisième la faisait boire de force. Ensuite, pour bien montrer qu’il ne valait mieux pas désobéir, Il fit pencher Eliane sur la table, les seins nus s’écrasant sur celle-ci. Il lui fit écarter les jambes, et ces chevilles furent liées aux pieds de la table par de petites cordelettes. Ces bras tendus vers l’avant furent eux aussi reliés aux deux autres pieds. Ainsi maintenue, elle ne pouvait plus bouger et exposait à la vue de tous sa chatte et son anus. Servis par les deux autres femmes, les pirates burent et mangèrent en laissant trainer leurs mains aux grés du passage de leurs serveuses qui n’osaient plus protester.
A la fin de leur repas, le chef se leva, vint se positionner derrière Eliane, lui claqua les fesses et après s’être déboutonné, sorti sa bite qui bandait déjà et l’enfourna dans sa chatte sous les rires de ces hommes. Il la baisa un long moment et avec des râles roques il déchargea son foutre à l’intérieur de la chatte. Il se retira, aussitôt remplacé par un autre homme qui après quelques vas et vient déchargea a son tour. A peine eu t’il sorti sa queue de la chatte qu’un autre le remplaça. Le suivant se branlait déjà attendant impatiemment son tour en regardant son collègue aller et venir entre les cuisses. L’un après l’autre les six pirates et les deux complices vinrent se soulager dans la chatte d’Eliane. Cela dura une partie de la matinée. Lorsque le dernier retira sa bite, le sperme dégorgeait de sa chatte poisseuse et coulait le long de ces cuisses pour gouter jusque sur le pont du bateau. Le chef ordonna à Chantal de nettoyer l’entrejambe d’Eliane. Je cru tout d’abord qu’il l’obligerai a le faire avec sa bouche et sa langue, mais il y avait tellement de sperme qu’il lui permis de faire avec une éponge et de l’eau. Je pensais que la punition était terminée mais ils laissèrent Eliane dans sa position inconfortable, liée à la table. La punition d’Eliane permis à Chantal et à Sophie d’éviter la lubricité de ces hommes pendant cette journée.
Pour notre part, on ordonna à nos épouses de nous faire manger et de nous faire boire. Ensuite, le chef ordonna au grand noir de faire boire Eliane toujours attachée sur la table. Au lieu de l’eau, elle eut droit au breuvage habituel. « Fait toi payer de ton service » s’entendit il dire. Il ne se fit pas prier, il passa derrière elle, il mouilla copieusement sa main avec sa langue et il humidifia abondamment la chatte toujours ouverte. Il pointa son gland et l’introduisit d’une poussée. « Tu trouves qu’elle en a pas assez reçut par-là, tu pourrais changer un peu ». A nouveau, il ne se fit pas prier, il mouilla ses doigts avec sa salive et les introduisit dans le cul d’Eliane. D’abord un, puis deux, puis trois. Il les faisait coulisser en même temps que sa bite dans la chatte. Enfin, il s’est dégagé a pointé son gland sur l’anus et d’une poussée a introduit toute sa grosse queue noire, venant plaquer son ventre contre les fesse. Eliane s’est tendue dans ses liens sous la poussée et s’est mise à gémir. Il l’a longuement enculée entrant et sortant à un rythme soutenu, tant et si bien qu’il se fit dire de ne pas abuser, elle devait encore pouvoir servir. Il dégagea sa bite et se mis à se masturber, en branlant en cadence le clitoris d’Eliane avec son autre main. Cela ne dura pas très longtemps, Il éjacula puissamment avec de profond grognements. De longs jets de spermes maculèrent les fesses et le dos d’Eliane, un jet arrivant même jusque dans ses cheveux. En même temps, son autre main s’était appesantie sur la chatte et Eliane se mit à jouir en remuant sa tête de droite à gauche avec des grands cris. Voyant qu’elle était revenue à de meilleurs sentiments, le chef ordonna au deux autres femmes de la détacher et de la reconduire dans sa cabine.
Elle y resta la nuit et toute la journée du lendemain. Par contre, pendant cette nouvelle journée ce sont elles deux qui durent à nouveaux satisfaire tous les hommes. Comme la veille, en guise de petit déjeuner on les obligea à nouveau à boire le même breuvage. Ensuite elles durent servir le déjeuner et le chef leur expliqua d’un ton sans appel que si elles se comportaient docilement avec eux il n’y aurait pas de problème ni pour elles ni pour nous toujours attaché au pied du mat. Elles restèrent toute la journée nue sur le pont à la disposition des uns ou des autres suivant leur bon vouloir. A un moment, ils les firent mettre en soixante-neuf, Sophie couchée sur le dos et Chantal à quatre pattes pardessus, le visage de l’une dans la chatte de l’autre. La position des deux femmes les excita forcément, surtout la position de Chantal. Un des hommes s’approcha et après avoir sorti sa queue, il l’en fourra dans la chatte luisante de mouille et de la salive de Sophie. Il la baisait lentement, d’un vas et vient régulier, il s’arrêta, se retira et introduit sa bite dans la bouche a Sophie. Après quelque vas et vient il revint dans la chatte plu haut. Il fit ces changements plusieurs fois jusqu'à temps qu’il jouisse, ce qu’il fit en grognant puissamment. Il colla son ventre contre les fesses de ma femme en donnant un petit coup de rein à chaque éjaculation. Il reprit son souffle et se retira en laissant trainer sa bite poisseuse sur le visage de Sophie. Certainement excité par le spectacle, un autre le remplaça aussitôt. Lui aussi fit des aller et retour entre la chatte de l’une et la bouche de l’autre. Il prit son temps, cela déplut à deux de leur complices Le premier bouscula le baiseur en place tant et si bien qu’il l’obligea à se retirer de la chatte a Chantal au moment où il déchargeait, et c’est Sophie qui reçut tout le sperme sur la figure. Qu’à cela ne tienne, l’autre homme pris aussitôt le relai, une fois dans la chatte, une fois dans la bouche. Le quatrième, de guerre lasse contourna le trio et sans attendre, enfourna sa queue dans la bouche à ma femme. Il lui prit la tête a deux main et avec d’ample mouvement du bassin, il se servit de sa bouche comme d’un vagin. Les choses s’accélérèrent. Excité, un autre homme se branlait prés de celui qui besognait dans la bouche. Celui-ci se mit à jouir puissamment en arrosant le visage et les cheveux de Chantal et le ventre de Sophie. Celui qui se branlait a eu a peine le temps de s’introduire dans la bouche qu’il se mit à jouir à grands jets à son tour en continuant à la tenir par les épaules. Ma femme avait le visage maculé de sperme mais cela n’était pas fini. Celui qui lui labourait la chatte a fini par jouir à son tour bien callé contre les fesses. Lorsqu’il se retira, on voyait le trop plein de sperme suinter de la chatte, restée entrouverte à force de couts de queue, et couler doucement sur le visage à Sophie. Chantal avait pu s’éviter, jusqu'à présent, les assauts du sodomite noir, mais le voyant s’approcher, je compris que son tour allait arriver.
Effectivement, nu lui aussi, il s’approcha son énorme sexe pointant en avant. Il plongea les mains entre les fesses ouvert de ma femme, s’enduisis grassement les doigts et commença remonter vers son petit trou. Il enfonça un doigt puis deux et les fit aller et venir tout en se branlant avec son autre main enduite elle aussi de sperme et de mouille mêlé. Il pointa ensuite son gland sur le passage resserré et d’une poussée il introduit sa queue jusqu'à buter son ventre contre les fesses. Ma femme s’est tendue sous la poussée mais ne put se d’égarer maintenue qu’elle était par les épaules. Il commença alors un lent mouvement de vas et viens avec son bassin, prenant son temps, profitant du serrement de l’anneau étroit sur sa bite. Petit à petit, il me sembla que Chantal se détendait et elle commença à son tour à onduler en cadence d’avant en arrière venant à la rencontre du ventre de son enculeur chaque fois que celui-ci avançait. Sous l’effet conjugué des deux mouvements, il ne u se retenir longtemps, avec un grognement roque, il projeta plusieurs fois son bassin en avant, je compris qu’il était en train de décharger. En même temps elle se mit à feuler en tremblant de tout son corps, il me sembla quelle était en train de jouir comme jamais. Quand il a eu bien fini de se vider, il se retira et essuya son sexe sur le visage a Sophie qui, tétanisée par le spectacle, n’osait pas bouger. On lui lâcha les épaule et sans soutient, elle s’écroula sur Sophie toujours allongée en dessous, sa chatte écrasée sur son visage. Au bout d’un moment, on leur permis de se lever et de regagner leur cabine, ce qu’elles firent, Sophie soutenant Chantal par les épaules.
Cette situation dura plusieurs jours ou Chantal, Sophie et Eliane devinrent les objets sexuels des pirates et des deux hommes d’équipage. Toujours le même rituel, d’abord la boisson, puis le repas et ensuite, libre court aux envie de tous les hommes qui ne manquaient pas d’imagination. Au bout d’une dizaine de jours les négociations menées par le quai d’Orsay aboutirent et la rançon fut payée. Les pirates partirent aussitôt avec leurs complices nous abandonnant sur le navire. Les femmes nous libérèrent ainsi que les deux marins prisonniers en fond de cale. Ils tachèrent aussitôt de remette de l’ordre sur le bateau afin de pouvoir reprendre la route. Pour notre part, nous avons rejoint chacun notre cabine. Chantal a tenu à me soigner les poignets blessés par les cordages. J’ai eu beau lui dire qu’il valait mieux s’occuper d’elle rien ni fit. Une fois soigné, nous nous sommes serrés dans les bras l’un de l’autre. Je lui demandai comment elle pourrait oublier cette épreuve, et là, elle me fit un aveu, « Certainement que ce breuvage y est pour quelque chose, il était très fort, certainement alcoolisé avec en plus je ne saurais dire quoi, mais grâce à cela, ce ne fut pas vraiment une épreuve. Peut-être à part le premier jour et les premiers moments de peur, chaque fois qu’un de ces homme me touchait, je sentais ma chatte s’humidifier et mon clitoris se mettre à bander, tant et si bien que chaque fois que je me suis faite prendre, j’ai joui autant qu’eux. Nous avons parlé entre nous, cela à été pareil pour Sophie. Quant à Eliane, elle est morte de honte d’avoir elle aussi succombé et pris du plaisir avec tous leur tourments » Je n’en revenais pas, mais cela me mis un peu de baume au cœur. Après une nuit de repos qui a permis à tout le monde de retrouver ses esprits, nous sommes remontés tous les quatre sur le pont, il ne manquait qu’Eliane.
Chantal et Sophie allèrent la chercher, et nous dûment ensemble la réconforter en disant que dans ces circonstances, les réactions de chacun ne comptaient pas et qu’elle pouvait compter sur notre discrétion quant aux « aléas » de ce voyage. Par la suite, les deux marins avec notre aide nous ramenèrent sain et sauf à Nairobi.
Les vacances avaient pourtant bien commencées. Nous étions partis depuis déjà 15 jours pour une croisière en Afrique. Nous avions déjà fait escale dans plusieurs ports dont celui de Nairobi. Nous venions de quitter le Kenya et faisions route vers le Golfe d’Aden, direction l’Egypte en contournant l’Ethiopie et le Yémen qui n’étaient pas vraiment des pays touristiques. Et surtout, nous voulions nous éloigner le plus possibles des côtes somaliennes réputées pour leurs actes de pirateries… Le Morvan, splendide voilier trois mâts de 88 mètres filait à la vitesse de 12 nœuds dans l’océan Indien. Nous étions 5 à bord plus les 4 membres d’équipage qui étaient tous des hommes. Je m’appelle Pierre, j’ai 50 ans, je suis médecin. Ma femme, Chantal a le même âge que moi. C’est encore une belle femme, très sexy; Quand elle se promène dans cette ville très bourgeoise ou nous habitons en France, il est fréquent qu’on la drague. Elle est toujours en jupe et en talons. Je l’adore. Coté sexe, elle a de l’imagination à revendre. Nos amis, Sophie et Franck ont le même âge que nous. Nous accompagnions Eliane, 58 ans qui nous offre cette croisière. Grâce au sports et à une bonne hygiène de vie et aussi quelques retouches données par des chirurgiens plasticiens de renom (mais ça, il ne faut pas le dire) elle avait encore un corps de rêve… Elle est riche, très riche. Son mari brutalement décédé lui ayant laissé un très bel héritage. Accoudé au bastingage, je regardais l’horizon. Le soleil tapait dur mais une petite brise marine le rendait supportable. J’entendis des rires et je jetais un œil sur le pont. Chantal et Sophie en bikini et Eliane en maillot une pièce, bronzaient en papotant sous le regard concupiscent des deux membres d’équipages qui faisaient de leur mieux pour ne pas trop regarder ces superbes femmes à peine vêtus. Ce n’était pas la première fois que je remarquais qu’ils mataient soit l’une ou soit l’autre mais curieusement, je ne leur en voulais pas.
Je sentis mon sexe durcir dans mon maillot de bain en repensant à hier soir quand ma femme et moi avions fait l’amour, le hublot de notre cabine ouvert. J’étais presque sûr d’avoir vu un des membres d’équipage en train de nous mater pendant que je prenais Chantal en levrette. Je souris en repensant à ce moment agréable. J’étais loin de me douter que la croisière de rêve allait se transformer en cauchemar….
Le Skipper a vu la petite embarcation arriver vers nous et nous a prévenu mais nous n’avons pu éviter l’abordage et l’assaut des pirates. Les six hommes, peut-être des Somaliens venus de Mogadiscio, montèrent à bord sans aucune résistance de notre part. Ils étaient tous armés de fusils d’assaut et de pistolets. Une lueur mauvaise dans leurs regards. Ils visitèrent toutes les cabines en criant. Quelques coups de feu furent tirés mais personne ne fut blessé. Nous sommes tous rassemblés sur le pont. Les femmes pleurent, paniquées. Celui qui parait être le chef des pirates, un grand black au crâne rasé donna un ordre et le capitaine et le skipper furent attachés et disparurent dans la calle, les 2 autre marins semblaient de connivence avec les pirates. Franck et moi furent solidement attachés au mât. Impuissant, je craignais pour les femmes. Chantal Eliane et Sophie me jetaient des regards désespérés. Finalement les pirates semblaient de plusieurs nationalités et ils communiquaient entre eux dans un mauvais anglai. C’est dans cette langue que celui qui paraissait leur chef nous expliqua que nous étions leurs otages et qu’une rançon allait être demandée. Il entraîna les trois femmes dans la cabine de pilotage et j’entendis des cris qui me glacèrent le sang. Mon Dieu, qu’allait il leur faire?
Elles revinrent et mon épouse m’expliqua qu’elle avait dû passer sous la contrainte un appel radio à Djibouti pour expliquer notre situation à un représentant des français en Afrique. Le chef des pirates lui donna une claque sur les fesses. Rouge de honte, elle balbutia « Pendant que je passais l’appel, il a mis ses doigts dans mon string et m’a tripoté… » Je serais les poings de rages et d’impuissance… Le chef lança « Continue! » « Il m’a enfoncé ses doigts dans ma chatte et m’a tripoté le cli... clitoris… » Les hommes du chef étaient morts de rire… Deux pirates s’emparèrent d’Eliane et l’emmenèrent dans sa cabine. Heureusement, ils revinrent rapidement. Eliane avait dû se changer et mettre un bikini emprunté à ma femme ce qui fait qu’il était beaucoup trop petit pour elle. Ses seins débordaient littéralement du soutien-gorge. Les pirates sortirent une grande table qu’ils installèrent sur le pont. Le chef expliqua qu’ils avaient faim et que les femmes aller leurs faire à manger! Tous les pirates éclatent de rire. Les femmes firent le service. A chaque passage, les pirates pelotaient l’une ou l’autre. Les mains remontent sur les jambes, s’introduisent dans le string. Ils malaxaient des seins, notamment ceux d’Eliane sous notre regard tant et si bien qu’à la fin du repas toutes les trois se retrouvèrent débarrassées de leur maillot.
Le repas fut bien arrosé. On obligea plusieurs fois les trois femmes à boire ce qui semblait de l’alcool fort, le chef leur expliquant que ce mélange ne manquerait pas de leur donner de l’ardeur A la fin le chef leur expliqua qu’elles avaient intérêt à leur obéir si elles ne voulaient pas que les maris fassent les frais de leur manque d’entrain. Il claqua des doigts et les pirates obligèrent Eliane, Chantal et Sophie à se placer à genoux face à eux. Le chef et deux de ses hommes sortirent leurs sexes tendus. En pleine érection. Les femmes voulurent détourner la tête mais les autres marins les obligèrent à rester penchées en avant. Eliane engouffra la première le sexe dans sa bouche en poussant un gémissement, le pirate appuyant fermement sur sa tête. Celle-ci commença sa fellation, sa tête montant et descendant sur la bite dressée. Le chef, releva Sophie et la courba sur le bastingage. Il lui caressa la vulve et lui enfonçant ses doigts dans sa chatte. Elle tenta de se débattre mais le chef lui donna une claque sur les fesses. Il s’accroupit et lui lécha la fente. Je voyais sa langue s’enfoncer dans son intimité. Ma femme poussa un grognement, étouffée par l’énorme queue qu’un grand noir tentait d’enfoncer dans sa bouche. Un autre lui malaxait les seins. Le chef, sa queue dure comme du bois, se masturba un peu et s’enfonça dans la chatte de Sophie qui poussa un cri. Les mains crocheté sur les hanches, il donna de violents coups de reins en la besognant. Il grognât en s’agitant. Sophie gémissait.
Chantal était prise à partie par trois pirates. Debout, en équilibre, elle subissait les attouchements d’un d’entre eux qui lui enfonçait les doigts dans la chatte, les faisant coulisser rapidement. Un autre lui suçait les seins. Le troisième la courba en avant et lui enfonça sa queue dans la bouche. Celui qui branlait Chantal éclatât de rire et lança quelque chose en somali qui fut traduit par le chef qui besognait toujours Sophie. « Elle mouille ta femme, elle a l’air d’aimer ça… » Effondré, je ne répondais pas…
Eliane, allongée sur le dos, les jambes relevés à la verticale se faisait maintenant ramoner par l’énorme queue noire et luisante du noir qui rentrait et sortait de son con… Elle tournait la tête de droite à gauche en gémissant. Je commençais à entendre des commentaires dans les rangs des hommes d’équipage qui traitaient Eliane, ma femme et Sophie de salopes. Peut-être que l’alcool ou ce mélange inconnu aidant, les trois femmes n’avait plus vraiment l’air terrorisé. A quatre pattes, Chantal se faisait prendre en levrette devant moi. On l’avait positionné de façon à ce qu’elle me regarde. Je voyais ses yeux exorbités. Elle ouvrait la bouche haletante sous les coups de boutoir du pirate. Ses gros seins ballottaient sans soutien-gorge. On traîna Eliane devant un autre pirate et elle dut lui administrer une fellation malgré ses supplications. Elle le pompa doucement d’abord puis de plus en plus vite salivant sur la bite, elle dû lui malaxer les couilles avec la main. Je vis le pirate se raidir, il bloqua la tête d’Eliane contre son ventre en donnant de petit coup de reins. Je compris qu’il était en train d’éjaculer dans sa bouche. La bite bien callée au fond de sa gorge, je vis Eliane déglutir à chaque coup de rein du pirate. Lorsqu’il eut terminé de décharger, il retira sa queue, elle avait été obligé d’avaler tout son sperme, seul un petit filet poisseux coulait sur son menton.
Le chef se retira de la chatte de Sophie et la mettant à genoux, se masturba en grognant. Il lâcha des traînées de sperme sur son visage, il y en avait tellement que cela coula jusque sur ces seins. Aussitôt, deux pirates traînèrent Sophie devant les deux hommes d’équipage complices qu’elle dut sucer à tour de rôle. Une bite dans chaque main, elle les pompait avec un empressement qui me faisait douter de sa réticence… Le pirate qui baisait ma femme explosa en grognant et un autre le remplaça aussitôt.
On obligea ensuite Eliane et Chantal à suivre Sophie et à sucer les hommes d’équipage. Le deux éjaculèrent dans la bouche d’Eliane qui avait du mal à avaler le sperme tant la quantité était importante. Elle le recrachait discrètement mais ça ne plaisait pas aux pirates qui lui claquaient les fesses à chaque fois. Ma femme, elle, reçut quantité de foutres sur son visage. Elle en a dans les cheveux et sur le front, autour de la bouche. Littéralement remaquillée au foutre….Sophie fut placé devant le plus grand et on lui donnait l’ordre de le sucer. Elle le regarda et le masturba. Sa queue devint vite dure et grosse entre ses mains. Elle l’avala, le suçant avec application. Elle dû lui caressait les couilles en même temps. Elle enfonçait sa bite au fond de sa gorge. Puis la ressortait, le masturbant de nouveau. Il ne put tenir longtemps. Il a joui en poussant un cri, son sperme gicla dans sa bouche éclaboussant son palais, se répandant au fond de sa gorge….Elles pensaient surement en avoir terminé mais ces hommes ne semblaient pas repus. Certains bandaient toujours autant et après avoir profité tour à tour de leur bouches et de leur chattes, j’avais peur pour la suite. Je ne me trompais pas.
Les autres pirates et les hommes d’équipage complice se ruèrent sur Eliane, Sophie et ma femme et les baisèrent comme des chiennes devant Franck et moi toujours attachés au mât. Eliane, empalée sur une bite, suçait un deuxième homme en haletant. Un troisième vint se placer derrière elle, il l’obligea à écarter ces fesses à deux mains et pointant son gland sur son petit trou, il l’encula puissamment. Son corps était secoué violemment sous les coups de ces trois bites cela faisant rires les autres pirates. Ma femme et Sophie durent s’embrasser sous les applaudissements des pirates et hommes d’équipage complices. Horrifié, écœuré, je vois leurs langues s’entremêler. On allongea ma femme, et Sophie dut lui sucer la chatte. Sa langue lui titillant le clitoris. Ma femme donnait des coups de reins et gémissant. Pendant que Sophie, a genoux les fesses relevées suce Chantal, un des hommes d’équipage la pénétra et la baisa en levrette. Cela dura des heures. On humilia ma femme et Sophie de toutes les façons. Ma femme, à genoux, se faisait enculer pendant qu’elle devait sucer une bite en même temps. Heureusement pour elle les deux engins étaient de taille normale. Sophie, déjà une belle bite dans sa chatte, dut accepter une queue dans son anus. Par contre, pour elle ce fut le plus grand de l’équipe, le noir colossal, qui l’encula. Sa queue était en rapport avec sa taille, un énorme gourdin noir et épais. Les yeux hors de la tête, Sophie gémissait, et moi, je voyais cette grosse bite s’enfoncer dans son anus. Puis les deux hommes bougèrent la baisant et l’enculant en même temps. Elle poussa de petits cris...Mais a voir son visage je pense que ce n’était plus de la douleur…
La pauvre Eliane se retrouva avec une main en partie enfoncé dans sa chatte. Son corps s’arquait sous les aller et retour de la main qui essayait de s’introduire. Eliane semblai maintenant crier de jouissance …Tous voulurent essayer, chacun leur tour, de lui enfoncer la main dans la chatte. Elle se retrouva fistée un long moment…Elle eut un orgasme qui la fit hurler et elle s’effondra… Pendant ce temps, ils éjaculèrent tous arrosant ma femme et Sophie de leurs spermes. Ils laissaient ensuite les trois femmes rejoindre leur cabine, les hommes dormirent sur le pont.
La nuit fut plus calme, les hommes après s’être soulagés un si grand nombre de fois semblaient enfin repus. Frank et moi nous passement une mauvaise nuit toujours attaché au mat. Au matin, ils étaient tous à nouveaux en forme. Le chef ordonnât que les femmes reviennent sur le pont pour leur servir à manger comme la veille au soir. Elles arrivèrent toutes les trois avec une petite mine, et en guise de petit déjeuner on les obligea à nouveau à boire le même breuvage que la veille. Si Chantal et Sophie obéirent pour ne pas fâcher les hommes, Eliane tenta de se rebeller et de refuser de boire. Le chef exigea qu’elle soit maintenue par deux pirates pendant qu’un troisième la faisait boire de force. Ensuite, pour bien montrer qu’il ne valait mieux pas désobéir, Il fit pencher Eliane sur la table, les seins nus s’écrasant sur celle-ci. Il lui fit écarter les jambes, et ces chevilles furent liées aux pieds de la table par de petites cordelettes. Ces bras tendus vers l’avant furent eux aussi reliés aux deux autres pieds. Ainsi maintenue, elle ne pouvait plus bouger et exposait à la vue de tous sa chatte et son anus. Servis par les deux autres femmes, les pirates burent et mangèrent en laissant trainer leurs mains aux grés du passage de leurs serveuses qui n’osaient plus protester.
A la fin de leur repas, le chef se leva, vint se positionner derrière Eliane, lui claqua les fesses et après s’être déboutonné, sorti sa bite qui bandait déjà et l’enfourna dans sa chatte sous les rires de ces hommes. Il la baisa un long moment et avec des râles roques il déchargea son foutre à l’intérieur de la chatte. Il se retira, aussitôt remplacé par un autre homme qui après quelques vas et vient déchargea a son tour. A peine eu t’il sorti sa queue de la chatte qu’un autre le remplaça. Le suivant se branlait déjà attendant impatiemment son tour en regardant son collègue aller et venir entre les cuisses. L’un après l’autre les six pirates et les deux complices vinrent se soulager dans la chatte d’Eliane. Cela dura une partie de la matinée. Lorsque le dernier retira sa bite, le sperme dégorgeait de sa chatte poisseuse et coulait le long de ces cuisses pour gouter jusque sur le pont du bateau. Le chef ordonna à Chantal de nettoyer l’entrejambe d’Eliane. Je cru tout d’abord qu’il l’obligerai a le faire avec sa bouche et sa langue, mais il y avait tellement de sperme qu’il lui permis de faire avec une éponge et de l’eau. Je pensais que la punition était terminée mais ils laissèrent Eliane dans sa position inconfortable, liée à la table. La punition d’Eliane permis à Chantal et à Sophie d’éviter la lubricité de ces hommes pendant cette journée.
Pour notre part, on ordonna à nos épouses de nous faire manger et de nous faire boire. Ensuite, le chef ordonna au grand noir de faire boire Eliane toujours attachée sur la table. Au lieu de l’eau, elle eut droit au breuvage habituel. « Fait toi payer de ton service » s’entendit il dire. Il ne se fit pas prier, il passa derrière elle, il mouilla copieusement sa main avec sa langue et il humidifia abondamment la chatte toujours ouverte. Il pointa son gland et l’introduisit d’une poussée. « Tu trouves qu’elle en a pas assez reçut par-là, tu pourrais changer un peu ». A nouveau, il ne se fit pas prier, il mouilla ses doigts avec sa salive et les introduisit dans le cul d’Eliane. D’abord un, puis deux, puis trois. Il les faisait coulisser en même temps que sa bite dans la chatte. Enfin, il s’est dégagé a pointé son gland sur l’anus et d’une poussée a introduit toute sa grosse queue noire, venant plaquer son ventre contre les fesse. Eliane s’est tendue dans ses liens sous la poussée et s’est mise à gémir. Il l’a longuement enculée entrant et sortant à un rythme soutenu, tant et si bien qu’il se fit dire de ne pas abuser, elle devait encore pouvoir servir. Il dégagea sa bite et se mis à se masturber, en branlant en cadence le clitoris d’Eliane avec son autre main. Cela ne dura pas très longtemps, Il éjacula puissamment avec de profond grognements. De longs jets de spermes maculèrent les fesses et le dos d’Eliane, un jet arrivant même jusque dans ses cheveux. En même temps, son autre main s’était appesantie sur la chatte et Eliane se mit à jouir en remuant sa tête de droite à gauche avec des grands cris. Voyant qu’elle était revenue à de meilleurs sentiments, le chef ordonna au deux autres femmes de la détacher et de la reconduire dans sa cabine.
Elle y resta la nuit et toute la journée du lendemain. Par contre, pendant cette nouvelle journée ce sont elles deux qui durent à nouveaux satisfaire tous les hommes. Comme la veille, en guise de petit déjeuner on les obligea à nouveau à boire le même breuvage. Ensuite elles durent servir le déjeuner et le chef leur expliqua d’un ton sans appel que si elles se comportaient docilement avec eux il n’y aurait pas de problème ni pour elles ni pour nous toujours attaché au pied du mat. Elles restèrent toute la journée nue sur le pont à la disposition des uns ou des autres suivant leur bon vouloir. A un moment, ils les firent mettre en soixante-neuf, Sophie couchée sur le dos et Chantal à quatre pattes pardessus, le visage de l’une dans la chatte de l’autre. La position des deux femmes les excita forcément, surtout la position de Chantal. Un des hommes s’approcha et après avoir sorti sa queue, il l’en fourra dans la chatte luisante de mouille et de la salive de Sophie. Il la baisait lentement, d’un vas et vient régulier, il s’arrêta, se retira et introduit sa bite dans la bouche a Sophie. Après quelque vas et vient il revint dans la chatte plu haut. Il fit ces changements plusieurs fois jusqu'à temps qu’il jouisse, ce qu’il fit en grognant puissamment. Il colla son ventre contre les fesses de ma femme en donnant un petit coup de rein à chaque éjaculation. Il reprit son souffle et se retira en laissant trainer sa bite poisseuse sur le visage de Sophie. Certainement excité par le spectacle, un autre le remplaça aussitôt. Lui aussi fit des aller et retour entre la chatte de l’une et la bouche de l’autre. Il prit son temps, cela déplut à deux de leur complices Le premier bouscula le baiseur en place tant et si bien qu’il l’obligea à se retirer de la chatte a Chantal au moment où il déchargeait, et c’est Sophie qui reçut tout le sperme sur la figure. Qu’à cela ne tienne, l’autre homme pris aussitôt le relai, une fois dans la chatte, une fois dans la bouche. Le quatrième, de guerre lasse contourna le trio et sans attendre, enfourna sa queue dans la bouche à ma femme. Il lui prit la tête a deux main et avec d’ample mouvement du bassin, il se servit de sa bouche comme d’un vagin. Les choses s’accélérèrent. Excité, un autre homme se branlait prés de celui qui besognait dans la bouche. Celui-ci se mit à jouir puissamment en arrosant le visage et les cheveux de Chantal et le ventre de Sophie. Celui qui se branlait a eu a peine le temps de s’introduire dans la bouche qu’il se mit à jouir à grands jets à son tour en continuant à la tenir par les épaules. Ma femme avait le visage maculé de sperme mais cela n’était pas fini. Celui qui lui labourait la chatte a fini par jouir à son tour bien callé contre les fesses. Lorsqu’il se retira, on voyait le trop plein de sperme suinter de la chatte, restée entrouverte à force de couts de queue, et couler doucement sur le visage à Sophie. Chantal avait pu s’éviter, jusqu'à présent, les assauts du sodomite noir, mais le voyant s’approcher, je compris que son tour allait arriver.
Effectivement, nu lui aussi, il s’approcha son énorme sexe pointant en avant. Il plongea les mains entre les fesses ouvert de ma femme, s’enduisis grassement les doigts et commença remonter vers son petit trou. Il enfonça un doigt puis deux et les fit aller et venir tout en se branlant avec son autre main enduite elle aussi de sperme et de mouille mêlé. Il pointa ensuite son gland sur le passage resserré et d’une poussée il introduit sa queue jusqu'à buter son ventre contre les fesses. Ma femme s’est tendue sous la poussée mais ne put se d’égarer maintenue qu’elle était par les épaules. Il commença alors un lent mouvement de vas et viens avec son bassin, prenant son temps, profitant du serrement de l’anneau étroit sur sa bite. Petit à petit, il me sembla que Chantal se détendait et elle commença à son tour à onduler en cadence d’avant en arrière venant à la rencontre du ventre de son enculeur chaque fois que celui-ci avançait. Sous l’effet conjugué des deux mouvements, il ne u se retenir longtemps, avec un grognement roque, il projeta plusieurs fois son bassin en avant, je compris qu’il était en train de décharger. En même temps elle se mit à feuler en tremblant de tout son corps, il me sembla quelle était en train de jouir comme jamais. Quand il a eu bien fini de se vider, il se retira et essuya son sexe sur le visage a Sophie qui, tétanisée par le spectacle, n’osait pas bouger. On lui lâcha les épaule et sans soutient, elle s’écroula sur Sophie toujours allongée en dessous, sa chatte écrasée sur son visage. Au bout d’un moment, on leur permis de se lever et de regagner leur cabine, ce qu’elles firent, Sophie soutenant Chantal par les épaules.
Cette situation dura plusieurs jours ou Chantal, Sophie et Eliane devinrent les objets sexuels des pirates et des deux hommes d’équipage. Toujours le même rituel, d’abord la boisson, puis le repas et ensuite, libre court aux envie de tous les hommes qui ne manquaient pas d’imagination. Au bout d’une dizaine de jours les négociations menées par le quai d’Orsay aboutirent et la rançon fut payée. Les pirates partirent aussitôt avec leurs complices nous abandonnant sur le navire. Les femmes nous libérèrent ainsi que les deux marins prisonniers en fond de cale. Ils tachèrent aussitôt de remette de l’ordre sur le bateau afin de pouvoir reprendre la route. Pour notre part, nous avons rejoint chacun notre cabine. Chantal a tenu à me soigner les poignets blessés par les cordages. J’ai eu beau lui dire qu’il valait mieux s’occuper d’elle rien ni fit. Une fois soigné, nous nous sommes serrés dans les bras l’un de l’autre. Je lui demandai comment elle pourrait oublier cette épreuve, et là, elle me fit un aveu, « Certainement que ce breuvage y est pour quelque chose, il était très fort, certainement alcoolisé avec en plus je ne saurais dire quoi, mais grâce à cela, ce ne fut pas vraiment une épreuve. Peut-être à part le premier jour et les premiers moments de peur, chaque fois qu’un de ces homme me touchait, je sentais ma chatte s’humidifier et mon clitoris se mettre à bander, tant et si bien que chaque fois que je me suis faite prendre, j’ai joui autant qu’eux. Nous avons parlé entre nous, cela à été pareil pour Sophie. Quant à Eliane, elle est morte de honte d’avoir elle aussi succombé et pris du plaisir avec tous leur tourments » Je n’en revenais pas, mais cela me mis un peu de baume au cœur. Après une nuit de repos qui a permis à tout le monde de retrouver ses esprits, nous sommes remontés tous les quatre sur le pont, il ne manquait qu’Eliane.
Chantal et Sophie allèrent la chercher, et nous dûment ensemble la réconforter en disant que dans ces circonstances, les réactions de chacun ne comptaient pas et qu’elle pouvait compter sur notre discrétion quant aux « aléas » de ce voyage. Par la suite, les deux marins avec notre aide nous ramenèrent sain et sauf à Nairobi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Epistolier pour ce récit que j'ai, pour ma part trouvé très "bandant", très excitant et m'a permis de passer une
très bonne nuit !
Didier, toujours candauliste...
très bonne nuit !
Didier, toujours candauliste...
Histoire bandante
le port de Nairobi...la jetée est longue, environ 500km...