Croisière de rêve
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Croisière de rêve
Cet été avec ma copine Pricillia qui comme moi va avoir dix huit ans il nous est arrivé un truc de ‘ ouff ‘ ! mais commençons par le début
Je m’appelle Solène, Pricillia fille de chirurgien n’a que moi comme amie et confidente, les autre filles la voient comme une princesse inaccessible et pourtant elle est très très sympas, pas fière du tout, je vais souvent chez elle, son père, Bertrand, est tellement absorbé par son boulot que sa mère s’est tirée avec un copain a lui, apparemment il se satisfait avec les infirmières de l’établissement, je ne le vois pas souvent
Nous rendons fou le pauvre jardinier employé de la maison, vieux et tout vouté il ne présente aucun danger pour nous, nues dans la piscine il nous épie depuis la remise, il n’ignore rien de nos anatomies, sous la fenêtre du bâtiment a l’intérieur il y a plein de taches douteuse sur le plancher …..
Les garçons ? Pour l’instant ce n’est pas notre préoccupation principale, nous ne sommes plus vierges, d’un commun accord un après midi, l’une après l’autre notre pucelage a sauté avec un sextoys oublié par sa mère qui ne plus avoir que ça pour se procurer du plaisir, nous nous endormons souvent les jambes encore imbriquées, enlacées, sexuellement apaisées, mais cet été tout a changé …..
- Solenne cet été je pars en croisière dans les Seychelles avec mon père
- …. Ah …. Tu pars longtemps ?
- Huit jours de rêve sur un catamaran de vingt mètres qu’il a loué avec un skipper pour nous seuls, ne fait pas la tête idiote tu viens avec nous ! rassure toi tu n’a rien a débourser mon vieux est plein aux as, il ne manque que l’autorisation de tes parents
- C’est vrai ? !!!!! chouette, tu pense bien que mes parents seront d’accord si je suis perdue au milieu d’un océan sans garçons autour !
- Qui sait peut être que nous en trouverons, faire des galipettes entre nous c’est bien mais une vraie queue ce doit être super non ?
- Huuummm c’est vrai souvent je m’imagine avoir un homme, un vrai avec une queue ‘comme ça’ dans la chatte
- Cochonne !vient un peu par ici je vais t’en faire passer l’envie
C’est comme ça que nous avons embarqués un beau matin sur ce magnifique bateau, mais une chose a fait râler de suite son père, au fait Bertrand, un homme d’apparence bourru mais assez bel homme de la cinquantaine, dés qu’il a vu le skipper il a dit en marmonnant
- Les cons ils ne pouvaient pas m’envoyer comme skipper un vieux barbu plutôt que minet blond ?
En me poussant du coude Pricillia me dit
- Regarde ça, c’est vrai qu’il est beau gosse ! yeux bleus, les cheveux blonds aux épaules, en short pieds nus, bronzé, doré, à croquer ! le surfeur dans toute sa splendeur !
Mais il ne parle qu’un genre de patois, boff la barrière des langues ce n’est rien !
- Les filles, règle numéro un : se tenir éloignées du skipper, on ne le connaît pas et puis un marin c’est sal, il ne doit pas se laver souvent et l’eau de mer, qui sait peut être a-t- il des maladies !
Après ce numéro il se figure que ça va nous couper l’envie ?? !!!!
- Oui papa t’a raison quelle horreur !
Puis nous somment partis sur les eaux turquoises sous un soleil de plomb… mon dieu quel calvaire la première journée c’est vomir par-dessus bord et allongées sur le lit, je dis bien sur un lit non sur une vulgaire couchette ce rafiot a tout le confort, le père occupe la coque bâbord avec le skipper John et nous deux la coque tribord
Heureusement Georges le père de Pricillia a tout prévus, le lendemain nous somment ragaillardies prêtes à affronter le soleil étendues en maillots échancrés a la brésilienne sur le filet central sous les yeux affolés de John !, encore plus affolés c’est les yeux du père lorsque nous avons ôté le haut
- Vous êtes folles ? vous voulez ma mort les filles ?
- Papa ont ne va pas rester habillées par une chaleur comme ça, et tien puisque tu ronchonne, voilà j’enlève le bas aussi ! fait comme moi Solène
- Je préfère aller pêcher a l’arrière, soyez quand même discrètes envers John
- Promis papa chéri bonne pêche
- Regarde le blondinet il est excité comme une puce ! je crois même qu’il bande t’a vue la bosse du short ?
- Ouais, je me le mettrais bien entre les cuisses mais comment faire pour éloigner mon père ???
- J’ai bien une idée mais je doute que ça te plaise …
- Dis toujours
- Nous sommes deux femmes pour deux hommes le calcul est simple, je m’occupe de ton père pendant que tu t’occupe de John
- Quoi ? tu parle de baiser avec mon père ?
- Je pense que se serait plus facile que tu ne le pense, seuls en pleine mer ils vont avoir des envies a force de nous voir a poil, ton père me jette des coups d’œil qui ne trompent pas
- Vouuff, tu te vois avec un vieux ? laisse-moi le temps de m’habituer à cette idée,
- Il n’est pas si vieux que ça il me plait bien et l’expérience qu’il doit avoir houa ! Ne réfléchie pas trop longtemps nous n’avons que quelques jours
- Comment t’y prendrais-tu ?
- C’est mon affaire …..demain nous mouillons en face d’une ile ou nous ne pouvons pas accoster a cause des récifs c’est bien ça ?
- Oui et alors ?
- A un moment donné je vais me tordre de douleur tu appelle ton père qui va m’emmener dans sa cabine pour me visiter du moins je l’espère …une fois seuls a toi de voir avec John ce qui est possible, mais si ça marche tu me raconte et tu me le prêteras ?
- Bien sur ma chère complice !
Le lendemain en début d’après midi le bateau est ancré nous voyons le sable blanc, des poissons multicolores dans l’eau limpide et chaude, avant d’aller plonger nous nous prélassons nues dans le filet sous les yeux intéressés de John qui ne peu que contempler, le papa doit faire la sieste dans sa cabine, tout à coup je me plie en deux hurlant de douleur
- Vite Pricillia appelle ton père je souffre trop !
- PAPA !! PAPA !! vite vient voir
- Que se passe t il ?
- REGARDE ! ma copine a très mal
Il se penche sur moi,
- Ou a tu mal chérie ?
- Au bas du ventre AIE !! AIE ! AIE !!!!
- Viens avec moi je vais t’aider a marcher …
Collée contre son corps presque nu il me soutient jusqu’a sa chambre ou je me jette sur le lit en position du fœtus
- Détend toi, montre moi d’ou tu souffre
- Là en bas du ventre
- Tu a tes règles ?
- Non pas encore
- Elles sont douloureuses d’habitude ?
- non, mais ce n’est pas ça, c’est plus bas
- essais d’allonger tes jambes … ouvre les … c’est le docteur qui va t’examiner pas le papa de ta copine ok ?
- oui
Il palpe consciencieusement mon ventre au dessus de mon pubis puis les aines
- c’est par là ?
- non plus bas au milieu
- le sexe ?
- oui
Il me tourne le dos un genou sur le lit l’autre pied au sol j’ai en gros plant ses fesses moulées dans le maillot de bain, je n’aurais qu’a tendre la main pour saisir ses couilles, j’ai de la peine à retenir un fou- rire
- je vais ouvrir tes lèvres … ce n’est pas rouge ….
Sa voix a changé subitement, elle tremble légèrement, ses doigts effleurent mes petites lèvres, mon méat
- et là ?
Exaspérée je prends son poignet pour le guider
- c’est là ici … LA !!
Son pouce effleure mon clito je réagis sous l’arc électrique que ça produit
- bien, je vois … le clitoris sort de son capuchon, les glandes de Fallope sont en pleines sécrétions, tu es excitée c’est tout !... je ne suis pas dupe que veut tu ?
- CA !
Ne tenant plus je chope son paquet entre ses fesses, le sexe est tendu dans le maillot devenu étroit
- Tu es folle lâche moi !
- Non
- Baisez-moi !
- Pas question, je comprends qu’a ton âge sans garçon ça peut être dur, au fait est tu vierge ?
- Non depuis combien de temps ?
- Depuis qu’avec Pricillia nous nous le somment fait avec un gode
- Avec Pricillia ? avec un gode ? je rêve !
- Je vous en prie ne la grondez pas et faite quelque chose pour moi, je ne céderais pas
- Bon, dans l’immédiat je vais te masturber ça va aller ?
- Pas même lécher ? juste un peu s’il vous plait….
- Écarte bien les cuisses, remonte tes genoux, je vais mettre une serviette sous toi sinon tu va me niquer le dessus de lit tellement tu mouille !
A demi allongé entre mes cuisses l’homme écarte mon vagin de ses pouces, je soupire d’aise quand deux doigts me pénètrent virilement, peu à peu je sens son souffle chaud plus présent sur ma vulve, je pousse un cri de joie quand sa langue attaque mon clicli d’amour ! J’AI GAGNE !!!!!! Hhhuuuummmm qu’il le fait bien j’ai une petite pensée pour ma copine …que fait elle en ce moment ?
Je m’appelle Solène, Pricillia fille de chirurgien n’a que moi comme amie et confidente, les autre filles la voient comme une princesse inaccessible et pourtant elle est très très sympas, pas fière du tout, je vais souvent chez elle, son père, Bertrand, est tellement absorbé par son boulot que sa mère s’est tirée avec un copain a lui, apparemment il se satisfait avec les infirmières de l’établissement, je ne le vois pas souvent
Nous rendons fou le pauvre jardinier employé de la maison, vieux et tout vouté il ne présente aucun danger pour nous, nues dans la piscine il nous épie depuis la remise, il n’ignore rien de nos anatomies, sous la fenêtre du bâtiment a l’intérieur il y a plein de taches douteuse sur le plancher …..
Les garçons ? Pour l’instant ce n’est pas notre préoccupation principale, nous ne sommes plus vierges, d’un commun accord un après midi, l’une après l’autre notre pucelage a sauté avec un sextoys oublié par sa mère qui ne plus avoir que ça pour se procurer du plaisir, nous nous endormons souvent les jambes encore imbriquées, enlacées, sexuellement apaisées, mais cet été tout a changé …..
- Solenne cet été je pars en croisière dans les Seychelles avec mon père
- …. Ah …. Tu pars longtemps ?
- Huit jours de rêve sur un catamaran de vingt mètres qu’il a loué avec un skipper pour nous seuls, ne fait pas la tête idiote tu viens avec nous ! rassure toi tu n’a rien a débourser mon vieux est plein aux as, il ne manque que l’autorisation de tes parents
- C’est vrai ? !!!!! chouette, tu pense bien que mes parents seront d’accord si je suis perdue au milieu d’un océan sans garçons autour !
- Qui sait peut être que nous en trouverons, faire des galipettes entre nous c’est bien mais une vraie queue ce doit être super non ?
- Huuummm c’est vrai souvent je m’imagine avoir un homme, un vrai avec une queue ‘comme ça’ dans la chatte
- Cochonne !vient un peu par ici je vais t’en faire passer l’envie
C’est comme ça que nous avons embarqués un beau matin sur ce magnifique bateau, mais une chose a fait râler de suite son père, au fait Bertrand, un homme d’apparence bourru mais assez bel homme de la cinquantaine, dés qu’il a vu le skipper il a dit en marmonnant
- Les cons ils ne pouvaient pas m’envoyer comme skipper un vieux barbu plutôt que minet blond ?
En me poussant du coude Pricillia me dit
- Regarde ça, c’est vrai qu’il est beau gosse ! yeux bleus, les cheveux blonds aux épaules, en short pieds nus, bronzé, doré, à croquer ! le surfeur dans toute sa splendeur !
Mais il ne parle qu’un genre de patois, boff la barrière des langues ce n’est rien !
- Les filles, règle numéro un : se tenir éloignées du skipper, on ne le connaît pas et puis un marin c’est sal, il ne doit pas se laver souvent et l’eau de mer, qui sait peut être a-t- il des maladies !
Après ce numéro il se figure que ça va nous couper l’envie ?? !!!!
- Oui papa t’a raison quelle horreur !
Puis nous somment partis sur les eaux turquoises sous un soleil de plomb… mon dieu quel calvaire la première journée c’est vomir par-dessus bord et allongées sur le lit, je dis bien sur un lit non sur une vulgaire couchette ce rafiot a tout le confort, le père occupe la coque bâbord avec le skipper John et nous deux la coque tribord
Heureusement Georges le père de Pricillia a tout prévus, le lendemain nous somment ragaillardies prêtes à affronter le soleil étendues en maillots échancrés a la brésilienne sur le filet central sous les yeux affolés de John !, encore plus affolés c’est les yeux du père lorsque nous avons ôté le haut
- Vous êtes folles ? vous voulez ma mort les filles ?
- Papa ont ne va pas rester habillées par une chaleur comme ça, et tien puisque tu ronchonne, voilà j’enlève le bas aussi ! fait comme moi Solène
- Je préfère aller pêcher a l’arrière, soyez quand même discrètes envers John
- Promis papa chéri bonne pêche
- Regarde le blondinet il est excité comme une puce ! je crois même qu’il bande t’a vue la bosse du short ?
- Ouais, je me le mettrais bien entre les cuisses mais comment faire pour éloigner mon père ???
- J’ai bien une idée mais je doute que ça te plaise …
- Dis toujours
- Nous sommes deux femmes pour deux hommes le calcul est simple, je m’occupe de ton père pendant que tu t’occupe de John
- Quoi ? tu parle de baiser avec mon père ?
- Je pense que se serait plus facile que tu ne le pense, seuls en pleine mer ils vont avoir des envies a force de nous voir a poil, ton père me jette des coups d’œil qui ne trompent pas
- Vouuff, tu te vois avec un vieux ? laisse-moi le temps de m’habituer à cette idée,
- Il n’est pas si vieux que ça il me plait bien et l’expérience qu’il doit avoir houa ! Ne réfléchie pas trop longtemps nous n’avons que quelques jours
- Comment t’y prendrais-tu ?
- C’est mon affaire …..demain nous mouillons en face d’une ile ou nous ne pouvons pas accoster a cause des récifs c’est bien ça ?
- Oui et alors ?
- A un moment donné je vais me tordre de douleur tu appelle ton père qui va m’emmener dans sa cabine pour me visiter du moins je l’espère …une fois seuls a toi de voir avec John ce qui est possible, mais si ça marche tu me raconte et tu me le prêteras ?
- Bien sur ma chère complice !
Le lendemain en début d’après midi le bateau est ancré nous voyons le sable blanc, des poissons multicolores dans l’eau limpide et chaude, avant d’aller plonger nous nous prélassons nues dans le filet sous les yeux intéressés de John qui ne peu que contempler, le papa doit faire la sieste dans sa cabine, tout à coup je me plie en deux hurlant de douleur
- Vite Pricillia appelle ton père je souffre trop !
- PAPA !! PAPA !! vite vient voir
- Que se passe t il ?
- REGARDE ! ma copine a très mal
Il se penche sur moi,
- Ou a tu mal chérie ?
- Au bas du ventre AIE !! AIE ! AIE !!!!
- Viens avec moi je vais t’aider a marcher …
Collée contre son corps presque nu il me soutient jusqu’a sa chambre ou je me jette sur le lit en position du fœtus
- Détend toi, montre moi d’ou tu souffre
- Là en bas du ventre
- Tu a tes règles ?
- Non pas encore
- Elles sont douloureuses d’habitude ?
- non, mais ce n’est pas ça, c’est plus bas
- essais d’allonger tes jambes … ouvre les … c’est le docteur qui va t’examiner pas le papa de ta copine ok ?
- oui
Il palpe consciencieusement mon ventre au dessus de mon pubis puis les aines
- c’est par là ?
- non plus bas au milieu
- le sexe ?
- oui
Il me tourne le dos un genou sur le lit l’autre pied au sol j’ai en gros plant ses fesses moulées dans le maillot de bain, je n’aurais qu’a tendre la main pour saisir ses couilles, j’ai de la peine à retenir un fou- rire
- je vais ouvrir tes lèvres … ce n’est pas rouge ….
Sa voix a changé subitement, elle tremble légèrement, ses doigts effleurent mes petites lèvres, mon méat
- et là ?
Exaspérée je prends son poignet pour le guider
- c’est là ici … LA !!
Son pouce effleure mon clito je réagis sous l’arc électrique que ça produit
- bien, je vois … le clitoris sort de son capuchon, les glandes de Fallope sont en pleines sécrétions, tu es excitée c’est tout !... je ne suis pas dupe que veut tu ?
- CA !
Ne tenant plus je chope son paquet entre ses fesses, le sexe est tendu dans le maillot devenu étroit
- Tu es folle lâche moi !
- Non
- Baisez-moi !
- Pas question, je comprends qu’a ton âge sans garçon ça peut être dur, au fait est tu vierge ?
- Non depuis combien de temps ?
- Depuis qu’avec Pricillia nous nous le somment fait avec un gode
- Avec Pricillia ? avec un gode ? je rêve !
- Je vous en prie ne la grondez pas et faite quelque chose pour moi, je ne céderais pas
- Bon, dans l’immédiat je vais te masturber ça va aller ?
- Pas même lécher ? juste un peu s’il vous plait….
- Écarte bien les cuisses, remonte tes genoux, je vais mettre une serviette sous toi sinon tu va me niquer le dessus de lit tellement tu mouille !
A demi allongé entre mes cuisses l’homme écarte mon vagin de ses pouces, je soupire d’aise quand deux doigts me pénètrent virilement, peu à peu je sens son souffle chaud plus présent sur ma vulve, je pousse un cri de joie quand sa langue attaque mon clicli d’amour ! J’AI GAGNE !!!!!! Hhhuuuummmm qu’il le fait bien j’ai une petite pensée pour ma copine …que fait elle en ce moment ?
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