Cul nu
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2022 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Cul nu
Cul nu sans culotte aucune
Dans ma famille depuis nuit des temps on pratique le naturisme. Mes parents, mes frères, mes oncles mes tantes et mes cousines, tous vivons toujours le mois d’août en naturistes.
Maman disait, c’est impec, pas besoin de laver les chemisiers, les shorts, les pantalons, les polos. Et mieux encore, rien à repasser ... c’est vacances pour mon fer aussi.
En sus toute l’année durant à la maison, depuis petite je dormais toute nue. Alors que dans les autres familles les fillettes de mon âge portaient toutes qui des pyjamas qui des chemises de nuit, chez moi, rien de tout ça, tout nu était la règle.
Même ma grande sœur qui avait déjà du poil sombre fin et frisé au bas du ventre avait devoir, elle aussi, de dormir toute nue sous sa couette. Le teeshirt/culotte lui était interdit. Maman disait que la minette des filles ça devait respirer et qu’il n’était pas trop de la nuit pour assurer aération de l’entre-cuisse.
Aussi, au collège, quand ces affaires d’entrejambe ont commencé à me démanger, onze-douze ans peut être, j’ai trouvé normal et tout naturel de tomber le slip Petit Bateau de coton côtelé.
Passé le premier palier de l’escalier de l’immeuble, je troussais ma jupe plissée bleu marine d’écolière pour mener à mes chevilles le chiffon blanc et le remiser bien plié dans mon cartable avant de poursuivre ma route en réenfilant les bretelles de celui-ci sur mon dos.
Sorte de philosophie familiale... Conformisme parisien.
Je passais ainsi la journée entière l’abricot à l’air mais bien sage bien pudique sous ma jupe de grande fille qui cachait bien tout.
Vous n’imaginez pas le plaisir que l’on éprouve à traduire Virgile, l’Eneïde, cul nu sur sa chaise de collège, classe de cinquième, en volant en pensées dans d’autres poèmes ... je vole, Michel Sardou.
Personne d’autre ne savait que moi.
Mais il est des secrets que l’on aime à partager. Surtout qu’entre collégiennes on cherche des complicités de filles sur ce genre de sujets. Mes bonnes camarades avaient des idées qui rejoignaient les miennes. J’en étais toute surprise. Moi, je croyais que ce besoin qui me taraudait de vivre la fente à l’air était émulation familiale, conséquence d’éducation, caractère acquis par exemplarité. Et bien je constatais qu’au contraire il était inscrit dans les gènes, de l’ordre de l’héréditaire et commun aux individus de l’espèce. Surtout de l’espèce féminine qui frayait en mon collège.
Mes copines, quand je leur glissai à l’oreille que, toujours, je vaquais cul nu, puis quand, quelques jours plus tard je leur faisais toucher du doigt la réalité du fantasme, n’en pouvaient plus, subjuguées par mon audace. Et j’avais aura et cela me plaisait beaucoup.
Très vite elles ont été plusieurs à suivre le mouvement et étonnamment ce furent, toutes, comme moi, des premières de classe.
Les trois ou quatre filles avec grosses notes en maths et félicitations du conseil de classe en fin de trimestre, c’étaient nous, les filles au cul nu, sorte de petite mafia de société secrète de rosicruciennes de franc-maçonnes.
Tout le monde disait de nous, elles, elles sont bonnes.
Mais personne ne savait ce qui nous valait appartenance à ce club très fermé. En tous cas personne n’a jamais rien vu rien su du secret de notre rite païen.
Nous n’avions pas d’autre obsession que celle d’être les meilleures, nous qui nous distinguions déjà du troupeau conformiste et médiocre par notre refus de porter un slip.
Je n’ai jamais su ce qui justifiait la corrélation. Etait-ce parce que nous avions le cul nu que nous étions bonnes élèves ou bien, à contrario, parce qu’une bonne élève se doit d’avoir le cul nu ?
C’est l’histoire de la poule antérieure à l’œuf ou l’inverse.
Bien sûr le groupe s’est défait quand chacune est partie vers son destin, qui ingénieur qui médecin, ou science-po ÉNA pour moi. Mais aucune d’entre nous n’a renoncé à sa martingale à succès, vivre abricot à l’air libre.
Comme un air de liberté entre les cuisses qui libérait notre esprit conséquemment de toute autre contingence.
Etonnammant, je n’ai plus cherché à rallier d’autres impétrantes complices. J’avais compris que, dans ce monde de concurrence effrénée, il valait mieux ne pas donner des atouts aux collègues toujours promptes à vous doubler, à vous faire l’intérieur au virage suivant.
A l’ENA, je suis restée coite sur mon statut de fille aérée du croupion sous sa longue jupe sage de militaire polytechnicienne. Même les gars qui me sautaient n’en n’ont jamais rien su, bas les pattes sous mes jupons et puis je passais à la douche rapidos sans rien en montrer.
Dans ma famille depuis nuit des temps on pratique le naturisme. Mes parents, mes frères, mes oncles mes tantes et mes cousines, tous vivons toujours le mois d’août en naturistes.
Maman disait, c’est impec, pas besoin de laver les chemisiers, les shorts, les pantalons, les polos. Et mieux encore, rien à repasser ... c’est vacances pour mon fer aussi.
En sus toute l’année durant à la maison, depuis petite je dormais toute nue. Alors que dans les autres familles les fillettes de mon âge portaient toutes qui des pyjamas qui des chemises de nuit, chez moi, rien de tout ça, tout nu était la règle.
Même ma grande sœur qui avait déjà du poil sombre fin et frisé au bas du ventre avait devoir, elle aussi, de dormir toute nue sous sa couette. Le teeshirt/culotte lui était interdit. Maman disait que la minette des filles ça devait respirer et qu’il n’était pas trop de la nuit pour assurer aération de l’entre-cuisse.
Aussi, au collège, quand ces affaires d’entrejambe ont commencé à me démanger, onze-douze ans peut être, j’ai trouvé normal et tout naturel de tomber le slip Petit Bateau de coton côtelé.
Passé le premier palier de l’escalier de l’immeuble, je troussais ma jupe plissée bleu marine d’écolière pour mener à mes chevilles le chiffon blanc et le remiser bien plié dans mon cartable avant de poursuivre ma route en réenfilant les bretelles de celui-ci sur mon dos.
Sorte de philosophie familiale... Conformisme parisien.
Je passais ainsi la journée entière l’abricot à l’air mais bien sage bien pudique sous ma jupe de grande fille qui cachait bien tout.
Vous n’imaginez pas le plaisir que l’on éprouve à traduire Virgile, l’Eneïde, cul nu sur sa chaise de collège, classe de cinquième, en volant en pensées dans d’autres poèmes ... je vole, Michel Sardou.
Personne d’autre ne savait que moi.
Mais il est des secrets que l’on aime à partager. Surtout qu’entre collégiennes on cherche des complicités de filles sur ce genre de sujets. Mes bonnes camarades avaient des idées qui rejoignaient les miennes. J’en étais toute surprise. Moi, je croyais que ce besoin qui me taraudait de vivre la fente à l’air était émulation familiale, conséquence d’éducation, caractère acquis par exemplarité. Et bien je constatais qu’au contraire il était inscrit dans les gènes, de l’ordre de l’héréditaire et commun aux individus de l’espèce. Surtout de l’espèce féminine qui frayait en mon collège.
Mes copines, quand je leur glissai à l’oreille que, toujours, je vaquais cul nu, puis quand, quelques jours plus tard je leur faisais toucher du doigt la réalité du fantasme, n’en pouvaient plus, subjuguées par mon audace. Et j’avais aura et cela me plaisait beaucoup.
Très vite elles ont été plusieurs à suivre le mouvement et étonnamment ce furent, toutes, comme moi, des premières de classe.
Les trois ou quatre filles avec grosses notes en maths et félicitations du conseil de classe en fin de trimestre, c’étaient nous, les filles au cul nu, sorte de petite mafia de société secrète de rosicruciennes de franc-maçonnes.
Tout le monde disait de nous, elles, elles sont bonnes.
Mais personne ne savait ce qui nous valait appartenance à ce club très fermé. En tous cas personne n’a jamais rien vu rien su du secret de notre rite païen.
Nous n’avions pas d’autre obsession que celle d’être les meilleures, nous qui nous distinguions déjà du troupeau conformiste et médiocre par notre refus de porter un slip.
Je n’ai jamais su ce qui justifiait la corrélation. Etait-ce parce que nous avions le cul nu que nous étions bonnes élèves ou bien, à contrario, parce qu’une bonne élève se doit d’avoir le cul nu ?
C’est l’histoire de la poule antérieure à l’œuf ou l’inverse.
Bien sûr le groupe s’est défait quand chacune est partie vers son destin, qui ingénieur qui médecin, ou science-po ÉNA pour moi. Mais aucune d’entre nous n’a renoncé à sa martingale à succès, vivre abricot à l’air libre.
Comme un air de liberté entre les cuisses qui libérait notre esprit conséquemment de toute autre contingence.
Etonnammant, je n’ai plus cherché à rallier d’autres impétrantes complices. J’avais compris que, dans ce monde de concurrence effrénée, il valait mieux ne pas donner des atouts aux collègues toujours promptes à vous doubler, à vous faire l’intérieur au virage suivant.
A l’ENA, je suis restée coite sur mon statut de fille aérée du croupion sous sa longue jupe sage de militaire polytechnicienne. Même les gars qui me sautaient n’en n’ont jamais rien su, bas les pattes sous mes jupons et puis je passais à la douche rapidos sans rien en montrer.
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