Curieuse rencontre
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Curieuse rencontre
CURIEUSE RENCONTRECette histoire réelle s’est passée il y a quelques années. J’ai alors découvert que certaines pratiques , que j’apparentais plutôt à des fantasmes ou à des légendes urbaines, étaient bien réelles.
J’étais en déplacement d’affaires en Suède, pour négocier de gros contrats d’approvisionnement. Ce voyage était organisé par un potentiel fournisseur . J’étais invité pour visiter les usines et le pays, en compagnie d’un autre de leurs gros clients.
La première journée, sur les quatre prévues, avait été bien remplie, entrele voyage en avion, l’arrivée à Stockholm, puis le transfert vers une guest House plus au nord.
Mon compagnon de voyage Robert, et moi, découvrons alors que nous ne serons pas logé dans un hôtel, mais bien dans cette vaste maison qui peut accueillir jusqu’à 15 personnes.
Située au milieu d’un parc, c’est un endroit assez luxueux et cosy. Le personnel est dédié à notre bien-être. Les chambres que nous découvrons sont des suites très spacieuses au parquet de bois blond. Au rez-de-chaussée, un vaste salon, équipé de canapés profonds, d’un bar et d’un piano, communique avec une salle-à-manger, et une bibliothèque fournie en livres variés dans de nombreuses langues. A quelques mêtre de l’habitation principale, un batiment isolé abrite le traditionnel sauna, et une piscine de 25 mêtres, un solarium, et la possiblilité de se faire servir café ou thé.
La seule contrainte (mais en est-ce une) est que le personnel quitte les lieux à 17 heures jusqu’au lendemain. Ce qui signifie que les repas du soir ne sont pas servis sur place, et que le bar est en auto-service.
Après un rapide déjeuner l’après-midi commence par une visite d’un site de production, suivi de réunions commerciales, où on commence à entrer dans le vif du sujet.
La journée terminée, on nous confie au directeur commercial qui va se transformer en guide de luxe. Après être passés au Guest House nous rafraichir, nous voici partis pour un restaurant situé en bord de mer. La cuisine est typiquement scandinave : saumon Gravlax, Hareng, etc., le tout arrosé par de très bons vins français. Après ce diner agréable notre commercial nous propose à Bernard (mon compagnon de voyage, directeur d’une boite d’édition) et moi de finir la soirée dans un « Dancing » ouvert.
Nous découvrons en arrivant sur place qu’un dancing « ouvert » est en fait une sorte de Discothèque dont l’essentiel, en cette saison d’été, se passe en extérieur. La soirée est douce et nous apprécions de ne pas nous retrouver dans un espace enfumé.
La piste de danse est noire de monde, qui se trémousse au rythme de succès des années 70 et 80. Elle est entourée de massifs de fleurs et plantes et des allées dallées forment un labyrinthe, percé, ça et là, d’espaces plus ou moins grands regroupant deux ou plusieurs tables autours de banquettes disposées en arc de cercle.
Nous nous attablons avec notre hôte. La musique est assez forte, mais, avantage de l’extérieur, elle n’est pas assourdissante, dès lors qu’on est pas sur la piste de danse.
Après avoir siroté nos cocktails, nous voici partis sur le dance floor. La clientèle est assez mixée : jeunes, vieux, fille garçons, de toutes origines visiblement, mais avec une dominante de blonds. Tout le monde s’agite de manière assez débridée. Les tenues des filles sont parfois minimalistes et les jupes très courtes dévoilent un peu plus que les cuisses. La mode est au Boléro et les nombrils découverts.
De retour à table, la conversation roule sur les discothèques en Suède et les usages. Le commercial nous explique que les boites comme celle-ci sont ouvertes uniquement trois mois par an. La population profite largement de ces mois de chaleur estivale, et les gens se dénudent facilement, au moindre rayon de soleil. Le fait de bronzer au soleil n’est pas une pratique réservée à la plage. En ville, par ces jours ensoleillés, dès que les gens ont un peu de temps libre, ils s’installent aux terrasses des cafés, dans les parcs, ou sur les marches des escaliers publics, pour s’exposer aux morsures de ce soleil qui leur fait tant défaut , le reste de l’année. La pudeur, n’est pas la même que sous nos latitudes, et une employée de bureau peut très bien s’exposer, chemisier oté, jupe remontée au maximum, pendant sa pause déjeuner, comme nous l’avons déjà observé en ville.
Après un moment, Bart, notre hôte, nous informe qu’il a des choses à organiser pour le lendemain et nous laisse , en nous enjoignant de bien profiter. Le monospace et son chauffeur nous attendrons devant la porte, et les boissons sont toutes prises en charge.
Après son départ, nous restons à échanger nos impressions de voyage avec Robert.
-« Would you be so kind to give me a light » nous interromp une voix féminineRobert tend aussitôt son briquet pour allumer la cigarette d’une jeune femme, brune, au teint mat, et aux yeux d’un bleu profond, que j’ai tout le temps d’observer pendant qu’il lui allume sa clope.
Elle reste quelques instants, penchée vers nous, sa robe à bretelles baillant sur un décolleté bien rempli qui tranche avec le blanc du tissu-« What if we have a glasse together ? » lui demandai-jeElle tourne la tête vers moi, et ses lèvres charnues s’entrouvrent pour un sourire.
-« Yes, but, I’m not alone » dit elle en désigna tune table ; à quelques mêtres de làD’un coup d’œil j’aperçois une ravissante blonde à la table, et je me demande si elles ne sont pas accompagnées. Robert a tourné la tête et sa mimique me dit qu’il apprécie ce qu’il voit.
La brune fait demi-tour et d’une démarche qui fait danser sa courte robe blanche, sur ses hanches, se dirige vers l’autre table.
« Ils nous invitent pour un verre » entends-jeLa blonde se lève et se dirige vers nous avec sa copine. Elle est un peu plus grande que la brune, mais elles sont toutes deux perchées sur des stilettos qui ne font qu’allonger encore leurs longues jambes. Sa robe noire, bordée de strass, descend jusqu’aux genoux.
Elle est fendue de chaque côté pour laisser de l’amplitude à ses mouvements et s’entrouvre à chaque pas, dévoilant des cuisses musclées.
Elles viennent s’asseoir sur la banquette, la brune côté Robert, et le blonde à ma droite.
- « Bonsoir, je suis Vera. » dit la brune- « Et moi Janis » ajoute la blonde- « Je suis Steve, et mon ami Robert » dis-je pour compléter les présentations.
- « Que souhaitez vous boire ? » demande RobertJe me déplace au bar pour commander les Mojitos pour tout le monde, et les retrouve en pleine conversation. Heureusement pour nous, elles parlent Français. Je m’étonne un peu de tomber sur deux francophone au milieu de cette boite.
Vera est suédoise, mais a fait ses études à la Sorbonne, avant de devenir traductrice.
Janis est Néerlandaise, et travaille en Suède pour un groupe Français.
Nos verres engloutis, nous partons nous trémousser sur la piste, où, il faut bien l’avouer, ces demoiselles attirent bien plus l’attention que nous. Leur plastique et leur prestation effacent heureusement nos dandinements pathétiques. La musique s’adoucit, et je me retrouve dans les bras de Vera, pendant que Robert a invité Janis. Visiblement, la pulpeuse brunette est partisane du rapprochement des peuples. Elle s’incruste contre moi et je n’ai pas besoin du moindre geste pour évaluer ses courbes. Ses seins pointus s’écrasent sur mon torse. Ses bras sont accrochés à mon cou et sa tête se réfugie naturellement au creux de mon épaule. Son bassin se frotte contre moi, et elle ne peut ignorer la réaction physiologique qui se manifeste dans mon pantalon. Cela n’a pas l’air de l’inquiéter, et quand mes mains descendent sur ses reins, elle se cambre en avant, et lève vers moi son visagé au sourire moqueur que je viens cueillir des lèvres. Le fruit mur de sa bouche s’entrouvre et sa langue s’insinue entre mes dents, en un long baiser.
Mes mains s’emparent passent sur ses fesses et vont chercher, plus bas l’ourlet de sa robe, pour passer dessous. Rapidement, mes doigts palpent la rondeur ferme et musclée de son cul. La pénombre et les danseurs environnants cachent notre manège. A la fin de la série de slows, nous rejoignons notre table, et y retrouvons Robert, en pleine conversation, mi-verbale, mi-tactile avec la jolie blonde dont le long fourreau dévoile une jambe élégante découverte jusqu’à l’aine. Je commande d’autres cocktails, car la soirée promet d’être longue.
La discussion est un peu compliquée, car nos cavalières n’ont qu’un maigre vernis de Français, et parlent un anglais bizarre avec un accent guttural qui gène la compréhension, surtout pour Robert qui m’avoue n’être pas un linguiste. Face à ces difficultés, il parle avec les mains à la blonde Janis.
Vera, qui semble avoir des vues sur lui, se rapproche et finalement l’invite à danser.
Les voilà partis à s’agiter sur la piste au son de vieux rocks endiablés. Robert fait preuve de réels talents de danseur, et fait virevolter Vera, qui semble s’amuser comme une folle, sa courte robe tournoyant autour dévoile un fessier musclé, qu’un string n’arrive pas à cacher. J’invite la blonde Janis qui m’accompagne sur un rock.
Heureusement, le tempo ralentit et se fait plus chaloupé sur une rumba. Janis se blottit dans mes bras et passe les siens autour de mon cou. Ma main gauche vient se plaquer sur la cambrure de ses reins, tandis que la droite se pose sur la peau nue de sa hanche. Mes doigts se faufilent sous le tissu et découvrent une fesse libre de toute entrave. Janis se plaque contre moi et me tend ses lèvres pour un premier baiser, ses hanches se frottant contre moi. Très vite, je suis dans un état qu’elle ne peut ignorer, et elle profite de nos pas de danse pour agiter son pubis contre le mien. Nous regagnons notre box où nous continuons de nous embrasser dans la pénombre. Sa robe fendue dégage complètement sa jambe et je n’ai qu’à glisser mes doigts pour atteindre son sexe mouillé, qui accueille dans un soupir, une exploration digitale qui n’a pas l’air de lui déplaire.
Son bassin se tend vers l’avant, découvrant son bas-ventre , et son sexe qui a absorbé deux de mes doigts sur lesquels elle s’agite en haletant, tantôt ouvrant les cuisses, tantôt les refermant, jusqu’à ce qu’elle se crispe en lâchant un petit cri de jouissance, avant de retomber sur la banquette, rabattant, dans le même geste, le pan de sa robe sur sa féminité, à peine libérée de mes phalanges intrusives.
Robert revient peu après avec sa cavalière, un peu essoufflés. En sirotant nos verres, nous décidons de rentrer. Les jeunes femmes nous demandent si nous pouvons les raccompagner, et, conscient de l’image de galanterie qui nous a précédé, nous ne pouvons refuser.
A la sortie de la discothèque, le Van qui nous a amenés est facile à retrouver. Le chauffeur bondit au dehors pour nous ouvrir la large porte coulissante, à peine étonné des deux présences féminines. Il referme derrière nous et rejoint le volant. Le poste de conduite est séparé de la partie passagers par une vitre teintée, et il ne doit pas voir grand chose de nous. La partie médiane du véhicule comporte quatre fauteuils entourant une table centrale fixée au sol, et la partie arrière se termine par une sorte de matelas assez large. Robert va s’y installer avec Vera, tandis que je m’installe dans les fauteuils avec Janis. Nous roulons depuis quelques minutes seulement que Robert repousse Vera, l’allongeant sur le matelas. Il lui caresse les cuisses en troussant sa courte robe. Vera soulève complaisamment les hanches pour l’aider à la débarrasser de son string, Il s’agenouille ensuite entre ses cuisses et nous voyons les jambes de la brune, passer au dessus de ses épaules, et la tête du gars qui remue entre les cuisses de Vera, qui gémit sous la caresse. Janis tournée vers ce spectacle me tourne le dos. Je pose mes mains sur ses épaules et fait glisser les bretelles de sa robe, libérant ses seins que je viens empoigner pour les maltraiter doucement. Elle tourne la tête pour m’embrasser. Mes mains quittent sa poitrine pour, la guider, face à la table. Observant l’autre couple, elle s’appuie sur le plateau. J’écarte les pans de sa robe et découvre son postérieur bien cambré, vers moi. Le temps de déboucler ma ceinture, je fais descendre mes vêtements et positionne mon sexe bien bandé contre son cul., après avoir enfilé un préservatif qu’elle m’a tendu. Elle écarte un peu les jambes, et, lançant un bras pour saisir ma cuisse, me tire à elle en une invite claire. Mon sexe se fraie un passage dans sa vulve brulante, et s’y enfonce d’un trait, provoquant un Haaa ! Puis je commence à la limer profondément, accroché à ses hanches.
Face à nous Robert , à poil, termine l’effeuillage de Vera. Elle s’incline vers lui et se sert de sa bouche pour dérouler une capote sur un mandrin de belle taille.Il la fait mettre à quatre pattes et entame une levrette bien sentie. Les deux protagonistes, ont le regard tourné vers nous, et, chacun bénéficie de l’excitation provoquée par cette vision érotique.
Janis halète sous mes coups de boutoir. J’ai saisi ses longs cheveux dans un de mes poings, comme les rènes d’une pouliche rétive. Devant nos yeux, Vera se fait défoncer et ses cris emplissent l’habitacle autant que les claquement de peaux. Robert eructe de plus en plus fort et finit par s’abattre sur son dos en râlant.
Ils restent ainsi, l’un sur l’autre, le regard fiévreux sur les seins de Janis qui se balancent au rythme de nos hanches, tandis que son cul répercute en surface les chocs que je lui impose.
Janis, transportée par ce qu’elle vient de voir, donne de la voix et jouit rapidement.Je ressors ma queue inondée, et viens la frotter dans sa raie, lubrifiant celle –ci. Je vais graisser mes doigts à la source de son plaisir et les introduit dans son back-office. Le premier la fait sursauter légèrement, mais elle me laisse faire. Un deuxième doigt entre sans plus de difficulté dans ce trou qui s’évase petit à petit. Il est temps maintenant, et j’appuie mon gland sur la rosette entrebaillée qui cède sous ma pression. La fille geint, mais ne bouge pas. Je pousse mon avantage et l’investis peu à peu, provoquant quelques larmes. Quand enfin, mon pubis vient stopper contre son fessier. Je m’arrête pour lui laisser le temps de s’habituer. Robert et Vera se sont approchés, et contemplent son anus dilaté autour de ma queue-« Aie, it hurts » se plaint la blonde « he is deep in my ass. »Sa copine Vera, passe son bras sous elle et vint titiller le clitoris de la blonde« it’s gonna be allright » lui dit elle alors que je commence doucement à coulisser dans cette étroire gaine.
Vera caresse Janis, alors que j’amplifie mes mouvements, et Robert vient prendre la brune en levrette. Quelques longs va et vient, ont raison de moi et je jouis abondamment, avant de me dégager.
Elle se relève, et se défait de sa robe, avant d’aller s’allonger sur le Matelas.
Robert continue à limer Vera en levrette. Celle-ci s’incline et ses lèvres se referment sur mon sexe ramolli, qu’elle entreprend de raviver avec application. Je reprends un peu de vigueur et je vais m’allonger sur le matelas, aux côtés de Janis. Vera nous rejoint et m’enjambe avant de s’empaler sur ma queue. Elle se sert de ses jambes pour faire monter et descendre son bassin, le long de mon sceptre, jusqu’à ce qu’il soit parfaitement érigé. Robert la pousse alors sur moi, et tenant son chibre, assez impressionnant, il le pointe sur l’anus de Vera, et l’embroche avec un « han » de bucheron. Je sens parfaitement son sexe au travers de la fine membrane qui nous sépare à l’intérieur de la jeune femme. Vera prend les choses en main et , nous faisant signe de ne plus bouger, imprime elle-même son rythme, en nous faisant entrer et sortir de concert dans ses deux orifices, de plus en plus vite. Janis contemple en souriant ce double coit et lui pince les tétons. La cadence s’intensifie et nous nous mettons à crier ensemble jusqu’à ce que la jouissance cueille Vera qui s’immobilise. Robert la laisse exprimer son orgasme, puis se désengage juste à temps pour envoyer de longues giclées de sperme sur son dos. Ayant déjà joui une fois, j’ai du mal à réitérer, mais Janis pousse Vera de côté, et vient me prendre en bouche. Elle enroule ses longs cheveux autour de mon sexe, et me lèche longuement, s’attardant sur mon frein, gobant mes bourses un instant, avant de m’engloutir tout au fond de sa gorge, en titillant mon anus du bout des doigts. La montée est irrépressible et je la repousse pour jouir sur son visage et ses seins, avant de m’écrouler à mon tour.
Quelques instants plus tard, je regarde vers l’avant du véhicule, où le chauffeur a considérablement ralenti. Peut-être que la vitre n’est pas si opaque, après tout. Le bruit l’aura surement alerté également.
Les filles ont avec elles des mouchoirs en papier et font une toilette rapide. Tout le monde se rhabille à la va-vite, et les capotes usagées disparaissent dans la poubelle de bord.
A l’arrivée devant notre Guest House le chauffeur nous ouvre la porte, et nous laisse passer en nous souhaitant une bonne nuit, avec un sourire complice.
Je propose à nos partenaires de prendre un dernier verre au bar, qui semble ouvert en permanence. En fait c’est le réceptionniste de nuit qui vient nous servir. Vodka Finlandaise pour tout le monde.
Nous sirotons en silence nos verres glacés, et l’alcool se réchauffe progressivement en nous ; sensation de chaleur intense. Vera est face à moi, dans un fauteuil assez profond et sa courte robe dévoile sa chatte épilée, encore béante, qu’elle n’a pas recouverte.
Elle surprend mon regard et semble me défier. Sa main descend entre ses cuisses qu’elle écarte un peu plus, et le bout de ses doigts attraper son clitoris qu’elle caresse d’un mouvement circulaire. Nous sommes trois spectateurs attentifs à ce spectacle érotique.
Mon pantalon commence à se déformer , et un coup d’œil à celui de Robert , m’indique que je ne suis pas le seul. Janis croise et décroise nerveusement les jambes, sans quitter du regard, le jeu des mains de Vera.
Le serveur, qui arrive pour débarrasser les verres, se fige, les yeux rivés sur le sexe offert de la brune. Celle-ci, lève les yeux vers lui, et introduit deux doigts dans sa chatte, en le fixant, avant de commencer à se masturber.
Le pauvre gars reste tétanisé quelques secondes, avant de s’ébrouer, et de repartir, subitemment avec son plateau vide.
-« Je crois que je vais aller me coucher » déclare Robert en se levant « demain nous avons une rude journée. »Il tend la main à Vera qui cesse son jeu et se laisse entrainer avec lui. Sa robe rabattue nous cache ses trésors, mais tandis qu’elle s’éloigne, elle soulève l’arrière de la robe et dandine, sous nos yeux son postérieur rebondi.
Nous sirotons notre verre de vodka en flirtant, puis j’entraine Janis pour rejoindre ma chambre. Dès que nous atteignons l’étage, j’enlace Janis qui se pend à mon cou et me rend mon baiser avant de se reculer d’un pas et de chasser les bretelles de son fourreau, qui tombe à ses pieds, avant de venir se coller contre moi.
J’ai juste le temps de passer mes mains sur son corps somptueux, qu’elle se recule et majestueusement nue dans ses escarpins, longe le le corridor, heureusement désert.
Je la précède dans ma chambre, et, la porte, à peine refermée, je la plaque contre le mur. Elle relève une jambe en l’écartant, pour se frotter à moi, tandis que fébrilement je descend mon pantalon et me bagarre avec l’emballage d’une capote que j’enfile avant de l’embrocher debout, son sexe à hauteur idéale grace aux stilettos. Je la pistonne avec force. Son corps cogne contre la cloison à chaque coup de hanches, ses mains agrippées à mes cheveux. Elle souffle et gémit en murmurant, de plus en plus fort des mots que je ne saurais traduire, mais que je comprends si bien.
Sans nous désunir, je la porte jusqu’au lit où nous nous abattons. Ses longues jambes encerclent mes reins, m’attirant à elle, ses reins dansant une gigue endiablée en osmose avec les miens. Nos mots se mélangent dans un dialogue de plaisir qui va crescendo jusqu’à ce qu’elle crie son orgasme qui libère le mien.
Enlacés, nous éclatons de rire, encore essoufflés. Elle se lève la première et disparaît dans la salle de bains juste avant que je ne sombre dans le sommeil.
Je me réveille. La chambre est plongée dans l’obscurité, à part un rai de lumière qui filtre entre deux rideaux. Janis dort, à plat ventre, une serviette enroulée autour de sa tête pour tout vètement. On cogne à la porte.
J’allume une lampe de chevet. Cinq heures. Qui cela peut-il être ? Janis se retourne et ouvre un œil alors que je me lève pour aller à la porte. J’entrouvre la porte qui est repoussée, et laisse s’infiltrer une forme vétue d’un peignoir de l’hotel.
Je referme et découvre Vera, en peignoir dans ses souliers.
-« Robert dormait, et je m’ennuyais » dit elle en éjectant ses escarpins, avant de faire tomber le peignoir et de se glisser nue dans le lit. Elle se pelotonne contre Janis et lui prodigue des baisers dans le cou, tout en lui caressant les seins. Janis encore endormie, ne réagit pas, tout d’abord, mais s’éveille peu à peu sous les caresses de son amie. Ses mains, à son tour, partent à la découverte des formes opulentes de la brune Vera. Elle masse les lourds globes de ses seins, et fait dresser des tétons gros comme des bouts de crayons, faisant gémir la brune. Celle-ci n’est pas en reste et ses doigts s’agitent déjà dans l’entrejambe de Janis, leurs deux langues dardant l’une contre l’autre.
J’arrive à me caser, à l’autre bout du lit, et m’allonge sans éteindre la lumière pour profiter de ce que je vois. Les deux filles sont visiblement un peu plus que des amies.
Elles se retrouvent vite, en 69, leurs phalanges aidant leurs langues pour donner du plaisir à l’autre. C’est un concert de gémissements qui enfle et emplit la pièce , alors qu’elles rampent et se contorsionnent l’une sur l’autre, jusqu’à atteindre un orgasme quasi simultané. Alors que Janis récupère, Véra, plus Vorace rampe vers moi et s’empare de ma virilité qui a pris des proportions intéressantes. Elle s’applique à me sucer en gorge profonde avant de me délaisser pour m’enjamber et, tenant mon chibre , l’enfoncer dans sa chatte avant de s’empaler d’un coup jusqu’à la garde. Commence alors une chevauchée fantastique où Véra se démène en haletant, son corps claquant sur le mien, ses seins ballotant au rythme de ses allers et retours. Elle se penche en arrière et s’aidant du bassin, m’offre la vision de ma queue qui la pourfend, sa vulve ouverte l’avalant encore et encore.. Elle jouit brutalement, et se tétanise, avant de repartir de plus belle. Elle se penche sur moi et me fait sortir de son sexe, pour me positionner un peu plus loin, et pousse avec un grognement. Mon gland se replie un peu , puis le chemin s’entrouvre et je pénêtre d’un coup son anus. Elle a le visage crispé et appuie en continu, ses fesses jusqu’à ce que mon sexe soit totalement en elle. Nous soufflons tous les deux, et elle entame un mouvement de bassin que j’accompagne au mieux, forant mon passage dans son cul somptueux. Nous limons ainsi, de longues minutes, savourant ces sensations diffuses de plaisir, un peu atténué par le fait d’avoir déjà joui, et pourtant si imprimé dans nos muqueuses, dans nos mouvements, dans nos têtes, qu’il en devient permanent, et ne monte que petit à petit. Tandis que mon bas-ventre claque contre son cul régulièrement, je sens mon bonheur monter . Vera râle en douceur, et ponctue nos gestes, de « yeeees » et de « so good » qui enflent et finissent par un cri modulé et long annonçant son orgasme. Je la sens se dégager. Une main habile enlève la capote et la remplace par une neuve. J’entrouvre les yeux et je vois Janis qui vient prendre la place de Vera. Elle me dirige directement vers son petit trou qui s’élargit sur mon passage, et accroupie au dessus de moi, imprime un tempo rapide à ma pénétration. Le lit grince sous les secousses, elle tressaute littéralement sur ma queue en geignant, mais sans jamais s’arrêter. Je sens la lave monter en moi, mon sexe grossit et se tend dans un ultime effort.
Elle le sent et se dégage pour enlever le préservatif et me prendre en bouche , me pompant très vite , et obtenant une explosion de plusieurs salves qui lui tapissent la gorge et dégoulinent sur son menton. Elle avale et s’essuie avec le drap avant de se coucher contre sa copine.
Au matin, je me lève péniblement et commande trois petits déjeuner, avant de me jeter sous la douche. A mon retour, mon téléphone portable se met à sonner. C’est le directeur commercial de mon fournisseur qui me propose de passer me chercher dans une heure. En lui répondant, je jette un œil sur le lit .
Une longue fille nue dort jambes légèrement écartées, le duvet blond renvoie au blé mur de sa crinière, qui se mèle sur le drap au jais des cheveux de sa brune amie, qui dort contre elle, le visage dissimulé par sa chevelure, mais le corps, tout en courbes exposé de dos, son fessier callipyge entrouvert, laissant deviner son intimité.
-« Plutôt une heure et demie » dis-je à mon interlocuteur en me rapprochant du litUn peu plus tard, ma valise bouclée, je laisse les deux graces endormies et rejoins Robert dans le hall . Toute trace de nos réjouissances de la veille a miraculeusement disparu.
Dans le van qui nous emmène vers une autre usine, je remercie, d’un air entendu, notre hôte, pour son cadeau. Il me dévisage en haussant les sourcils :« Un cadeau ! mais quel cadeau ? » s’étonne t’ilJe croise le regard de Robert, qui a l’air de me dire : tu vois ?
Soit notre hôte est un as de la dissimulation, soit nous n’avons pas la moindre idée des personnes qui occupent ma chambre.
J’étais en déplacement d’affaires en Suède, pour négocier de gros contrats d’approvisionnement. Ce voyage était organisé par un potentiel fournisseur . J’étais invité pour visiter les usines et le pays, en compagnie d’un autre de leurs gros clients.
La première journée, sur les quatre prévues, avait été bien remplie, entrele voyage en avion, l’arrivée à Stockholm, puis le transfert vers une guest House plus au nord.
Mon compagnon de voyage Robert, et moi, découvrons alors que nous ne serons pas logé dans un hôtel, mais bien dans cette vaste maison qui peut accueillir jusqu’à 15 personnes.
Située au milieu d’un parc, c’est un endroit assez luxueux et cosy. Le personnel est dédié à notre bien-être. Les chambres que nous découvrons sont des suites très spacieuses au parquet de bois blond. Au rez-de-chaussée, un vaste salon, équipé de canapés profonds, d’un bar et d’un piano, communique avec une salle-à-manger, et une bibliothèque fournie en livres variés dans de nombreuses langues. A quelques mêtre de l’habitation principale, un batiment isolé abrite le traditionnel sauna, et une piscine de 25 mêtres, un solarium, et la possiblilité de se faire servir café ou thé.
La seule contrainte (mais en est-ce une) est que le personnel quitte les lieux à 17 heures jusqu’au lendemain. Ce qui signifie que les repas du soir ne sont pas servis sur place, et que le bar est en auto-service.
Après un rapide déjeuner l’après-midi commence par une visite d’un site de production, suivi de réunions commerciales, où on commence à entrer dans le vif du sujet.
La journée terminée, on nous confie au directeur commercial qui va se transformer en guide de luxe. Après être passés au Guest House nous rafraichir, nous voici partis pour un restaurant situé en bord de mer. La cuisine est typiquement scandinave : saumon Gravlax, Hareng, etc., le tout arrosé par de très bons vins français. Après ce diner agréable notre commercial nous propose à Bernard (mon compagnon de voyage, directeur d’une boite d’édition) et moi de finir la soirée dans un « Dancing » ouvert.
Nous découvrons en arrivant sur place qu’un dancing « ouvert » est en fait une sorte de Discothèque dont l’essentiel, en cette saison d’été, se passe en extérieur. La soirée est douce et nous apprécions de ne pas nous retrouver dans un espace enfumé.
La piste de danse est noire de monde, qui se trémousse au rythme de succès des années 70 et 80. Elle est entourée de massifs de fleurs et plantes et des allées dallées forment un labyrinthe, percé, ça et là, d’espaces plus ou moins grands regroupant deux ou plusieurs tables autours de banquettes disposées en arc de cercle.
Nous nous attablons avec notre hôte. La musique est assez forte, mais, avantage de l’extérieur, elle n’est pas assourdissante, dès lors qu’on est pas sur la piste de danse.
Après avoir siroté nos cocktails, nous voici partis sur le dance floor. La clientèle est assez mixée : jeunes, vieux, fille garçons, de toutes origines visiblement, mais avec une dominante de blonds. Tout le monde s’agite de manière assez débridée. Les tenues des filles sont parfois minimalistes et les jupes très courtes dévoilent un peu plus que les cuisses. La mode est au Boléro et les nombrils découverts.
De retour à table, la conversation roule sur les discothèques en Suède et les usages. Le commercial nous explique que les boites comme celle-ci sont ouvertes uniquement trois mois par an. La population profite largement de ces mois de chaleur estivale, et les gens se dénudent facilement, au moindre rayon de soleil. Le fait de bronzer au soleil n’est pas une pratique réservée à la plage. En ville, par ces jours ensoleillés, dès que les gens ont un peu de temps libre, ils s’installent aux terrasses des cafés, dans les parcs, ou sur les marches des escaliers publics, pour s’exposer aux morsures de ce soleil qui leur fait tant défaut , le reste de l’année. La pudeur, n’est pas la même que sous nos latitudes, et une employée de bureau peut très bien s’exposer, chemisier oté, jupe remontée au maximum, pendant sa pause déjeuner, comme nous l’avons déjà observé en ville.
Après un moment, Bart, notre hôte, nous informe qu’il a des choses à organiser pour le lendemain et nous laisse , en nous enjoignant de bien profiter. Le monospace et son chauffeur nous attendrons devant la porte, et les boissons sont toutes prises en charge.
Après son départ, nous restons à échanger nos impressions de voyage avec Robert.
-« Would you be so kind to give me a light » nous interromp une voix féminineRobert tend aussitôt son briquet pour allumer la cigarette d’une jeune femme, brune, au teint mat, et aux yeux d’un bleu profond, que j’ai tout le temps d’observer pendant qu’il lui allume sa clope.
Elle reste quelques instants, penchée vers nous, sa robe à bretelles baillant sur un décolleté bien rempli qui tranche avec le blanc du tissu-« What if we have a glasse together ? » lui demandai-jeElle tourne la tête vers moi, et ses lèvres charnues s’entrouvrent pour un sourire.
-« Yes, but, I’m not alone » dit elle en désigna tune table ; à quelques mêtres de làD’un coup d’œil j’aperçois une ravissante blonde à la table, et je me demande si elles ne sont pas accompagnées. Robert a tourné la tête et sa mimique me dit qu’il apprécie ce qu’il voit.
La brune fait demi-tour et d’une démarche qui fait danser sa courte robe blanche, sur ses hanches, se dirige vers l’autre table.
« Ils nous invitent pour un verre » entends-jeLa blonde se lève et se dirige vers nous avec sa copine. Elle est un peu plus grande que la brune, mais elles sont toutes deux perchées sur des stilettos qui ne font qu’allonger encore leurs longues jambes. Sa robe noire, bordée de strass, descend jusqu’aux genoux.
Elle est fendue de chaque côté pour laisser de l’amplitude à ses mouvements et s’entrouvre à chaque pas, dévoilant des cuisses musclées.
Elles viennent s’asseoir sur la banquette, la brune côté Robert, et le blonde à ma droite.
- « Bonsoir, je suis Vera. » dit la brune- « Et moi Janis » ajoute la blonde- « Je suis Steve, et mon ami Robert » dis-je pour compléter les présentations.
- « Que souhaitez vous boire ? » demande RobertJe me déplace au bar pour commander les Mojitos pour tout le monde, et les retrouve en pleine conversation. Heureusement pour nous, elles parlent Français. Je m’étonne un peu de tomber sur deux francophone au milieu de cette boite.
Vera est suédoise, mais a fait ses études à la Sorbonne, avant de devenir traductrice.
Janis est Néerlandaise, et travaille en Suède pour un groupe Français.
Nos verres engloutis, nous partons nous trémousser sur la piste, où, il faut bien l’avouer, ces demoiselles attirent bien plus l’attention que nous. Leur plastique et leur prestation effacent heureusement nos dandinements pathétiques. La musique s’adoucit, et je me retrouve dans les bras de Vera, pendant que Robert a invité Janis. Visiblement, la pulpeuse brunette est partisane du rapprochement des peuples. Elle s’incruste contre moi et je n’ai pas besoin du moindre geste pour évaluer ses courbes. Ses seins pointus s’écrasent sur mon torse. Ses bras sont accrochés à mon cou et sa tête se réfugie naturellement au creux de mon épaule. Son bassin se frotte contre moi, et elle ne peut ignorer la réaction physiologique qui se manifeste dans mon pantalon. Cela n’a pas l’air de l’inquiéter, et quand mes mains descendent sur ses reins, elle se cambre en avant, et lève vers moi son visagé au sourire moqueur que je viens cueillir des lèvres. Le fruit mur de sa bouche s’entrouvre et sa langue s’insinue entre mes dents, en un long baiser.
Mes mains s’emparent passent sur ses fesses et vont chercher, plus bas l’ourlet de sa robe, pour passer dessous. Rapidement, mes doigts palpent la rondeur ferme et musclée de son cul. La pénombre et les danseurs environnants cachent notre manège. A la fin de la série de slows, nous rejoignons notre table, et y retrouvons Robert, en pleine conversation, mi-verbale, mi-tactile avec la jolie blonde dont le long fourreau dévoile une jambe élégante découverte jusqu’à l’aine. Je commande d’autres cocktails, car la soirée promet d’être longue.
La discussion est un peu compliquée, car nos cavalières n’ont qu’un maigre vernis de Français, et parlent un anglais bizarre avec un accent guttural qui gène la compréhension, surtout pour Robert qui m’avoue n’être pas un linguiste. Face à ces difficultés, il parle avec les mains à la blonde Janis.
Vera, qui semble avoir des vues sur lui, se rapproche et finalement l’invite à danser.
Les voilà partis à s’agiter sur la piste au son de vieux rocks endiablés. Robert fait preuve de réels talents de danseur, et fait virevolter Vera, qui semble s’amuser comme une folle, sa courte robe tournoyant autour dévoile un fessier musclé, qu’un string n’arrive pas à cacher. J’invite la blonde Janis qui m’accompagne sur un rock.
Heureusement, le tempo ralentit et se fait plus chaloupé sur une rumba. Janis se blottit dans mes bras et passe les siens autour de mon cou. Ma main gauche vient se plaquer sur la cambrure de ses reins, tandis que la droite se pose sur la peau nue de sa hanche. Mes doigts se faufilent sous le tissu et découvrent une fesse libre de toute entrave. Janis se plaque contre moi et me tend ses lèvres pour un premier baiser, ses hanches se frottant contre moi. Très vite, je suis dans un état qu’elle ne peut ignorer, et elle profite de nos pas de danse pour agiter son pubis contre le mien. Nous regagnons notre box où nous continuons de nous embrasser dans la pénombre. Sa robe fendue dégage complètement sa jambe et je n’ai qu’à glisser mes doigts pour atteindre son sexe mouillé, qui accueille dans un soupir, une exploration digitale qui n’a pas l’air de lui déplaire.
Son bassin se tend vers l’avant, découvrant son bas-ventre , et son sexe qui a absorbé deux de mes doigts sur lesquels elle s’agite en haletant, tantôt ouvrant les cuisses, tantôt les refermant, jusqu’à ce qu’elle se crispe en lâchant un petit cri de jouissance, avant de retomber sur la banquette, rabattant, dans le même geste, le pan de sa robe sur sa féminité, à peine libérée de mes phalanges intrusives.
Robert revient peu après avec sa cavalière, un peu essoufflés. En sirotant nos verres, nous décidons de rentrer. Les jeunes femmes nous demandent si nous pouvons les raccompagner, et, conscient de l’image de galanterie qui nous a précédé, nous ne pouvons refuser.
A la sortie de la discothèque, le Van qui nous a amenés est facile à retrouver. Le chauffeur bondit au dehors pour nous ouvrir la large porte coulissante, à peine étonné des deux présences féminines. Il referme derrière nous et rejoint le volant. Le poste de conduite est séparé de la partie passagers par une vitre teintée, et il ne doit pas voir grand chose de nous. La partie médiane du véhicule comporte quatre fauteuils entourant une table centrale fixée au sol, et la partie arrière se termine par une sorte de matelas assez large. Robert va s’y installer avec Vera, tandis que je m’installe dans les fauteuils avec Janis. Nous roulons depuis quelques minutes seulement que Robert repousse Vera, l’allongeant sur le matelas. Il lui caresse les cuisses en troussant sa courte robe. Vera soulève complaisamment les hanches pour l’aider à la débarrasser de son string, Il s’agenouille ensuite entre ses cuisses et nous voyons les jambes de la brune, passer au dessus de ses épaules, et la tête du gars qui remue entre les cuisses de Vera, qui gémit sous la caresse. Janis tournée vers ce spectacle me tourne le dos. Je pose mes mains sur ses épaules et fait glisser les bretelles de sa robe, libérant ses seins que je viens empoigner pour les maltraiter doucement. Elle tourne la tête pour m’embrasser. Mes mains quittent sa poitrine pour, la guider, face à la table. Observant l’autre couple, elle s’appuie sur le plateau. J’écarte les pans de sa robe et découvre son postérieur bien cambré, vers moi. Le temps de déboucler ma ceinture, je fais descendre mes vêtements et positionne mon sexe bien bandé contre son cul., après avoir enfilé un préservatif qu’elle m’a tendu. Elle écarte un peu les jambes, et, lançant un bras pour saisir ma cuisse, me tire à elle en une invite claire. Mon sexe se fraie un passage dans sa vulve brulante, et s’y enfonce d’un trait, provoquant un Haaa ! Puis je commence à la limer profondément, accroché à ses hanches.
Face à nous Robert , à poil, termine l’effeuillage de Vera. Elle s’incline vers lui et se sert de sa bouche pour dérouler une capote sur un mandrin de belle taille.Il la fait mettre à quatre pattes et entame une levrette bien sentie. Les deux protagonistes, ont le regard tourné vers nous, et, chacun bénéficie de l’excitation provoquée par cette vision érotique.
Janis halète sous mes coups de boutoir. J’ai saisi ses longs cheveux dans un de mes poings, comme les rènes d’une pouliche rétive. Devant nos yeux, Vera se fait défoncer et ses cris emplissent l’habitacle autant que les claquement de peaux. Robert eructe de plus en plus fort et finit par s’abattre sur son dos en râlant.
Ils restent ainsi, l’un sur l’autre, le regard fiévreux sur les seins de Janis qui se balancent au rythme de nos hanches, tandis que son cul répercute en surface les chocs que je lui impose.
Janis, transportée par ce qu’elle vient de voir, donne de la voix et jouit rapidement.Je ressors ma queue inondée, et viens la frotter dans sa raie, lubrifiant celle –ci. Je vais graisser mes doigts à la source de son plaisir et les introduit dans son back-office. Le premier la fait sursauter légèrement, mais elle me laisse faire. Un deuxième doigt entre sans plus de difficulté dans ce trou qui s’évase petit à petit. Il est temps maintenant, et j’appuie mon gland sur la rosette entrebaillée qui cède sous ma pression. La fille geint, mais ne bouge pas. Je pousse mon avantage et l’investis peu à peu, provoquant quelques larmes. Quand enfin, mon pubis vient stopper contre son fessier. Je m’arrête pour lui laisser le temps de s’habituer. Robert et Vera se sont approchés, et contemplent son anus dilaté autour de ma queue-« Aie, it hurts » se plaint la blonde « he is deep in my ass. »Sa copine Vera, passe son bras sous elle et vint titiller le clitoris de la blonde« it’s gonna be allright » lui dit elle alors que je commence doucement à coulisser dans cette étroire gaine.
Vera caresse Janis, alors que j’amplifie mes mouvements, et Robert vient prendre la brune en levrette. Quelques longs va et vient, ont raison de moi et je jouis abondamment, avant de me dégager.
Elle se relève, et se défait de sa robe, avant d’aller s’allonger sur le Matelas.
Robert continue à limer Vera en levrette. Celle-ci s’incline et ses lèvres se referment sur mon sexe ramolli, qu’elle entreprend de raviver avec application. Je reprends un peu de vigueur et je vais m’allonger sur le matelas, aux côtés de Janis. Vera nous rejoint et m’enjambe avant de s’empaler sur ma queue. Elle se sert de ses jambes pour faire monter et descendre son bassin, le long de mon sceptre, jusqu’à ce qu’il soit parfaitement érigé. Robert la pousse alors sur moi, et tenant son chibre, assez impressionnant, il le pointe sur l’anus de Vera, et l’embroche avec un « han » de bucheron. Je sens parfaitement son sexe au travers de la fine membrane qui nous sépare à l’intérieur de la jeune femme. Vera prend les choses en main et , nous faisant signe de ne plus bouger, imprime elle-même son rythme, en nous faisant entrer et sortir de concert dans ses deux orifices, de plus en plus vite. Janis contemple en souriant ce double coit et lui pince les tétons. La cadence s’intensifie et nous nous mettons à crier ensemble jusqu’à ce que la jouissance cueille Vera qui s’immobilise. Robert la laisse exprimer son orgasme, puis se désengage juste à temps pour envoyer de longues giclées de sperme sur son dos. Ayant déjà joui une fois, j’ai du mal à réitérer, mais Janis pousse Vera de côté, et vient me prendre en bouche. Elle enroule ses longs cheveux autour de mon sexe, et me lèche longuement, s’attardant sur mon frein, gobant mes bourses un instant, avant de m’engloutir tout au fond de sa gorge, en titillant mon anus du bout des doigts. La montée est irrépressible et je la repousse pour jouir sur son visage et ses seins, avant de m’écrouler à mon tour.
Quelques instants plus tard, je regarde vers l’avant du véhicule, où le chauffeur a considérablement ralenti. Peut-être que la vitre n’est pas si opaque, après tout. Le bruit l’aura surement alerté également.
Les filles ont avec elles des mouchoirs en papier et font une toilette rapide. Tout le monde se rhabille à la va-vite, et les capotes usagées disparaissent dans la poubelle de bord.
A l’arrivée devant notre Guest House le chauffeur nous ouvre la porte, et nous laisse passer en nous souhaitant une bonne nuit, avec un sourire complice.
Je propose à nos partenaires de prendre un dernier verre au bar, qui semble ouvert en permanence. En fait c’est le réceptionniste de nuit qui vient nous servir. Vodka Finlandaise pour tout le monde.
Nous sirotons en silence nos verres glacés, et l’alcool se réchauffe progressivement en nous ; sensation de chaleur intense. Vera est face à moi, dans un fauteuil assez profond et sa courte robe dévoile sa chatte épilée, encore béante, qu’elle n’a pas recouverte.
Elle surprend mon regard et semble me défier. Sa main descend entre ses cuisses qu’elle écarte un peu plus, et le bout de ses doigts attraper son clitoris qu’elle caresse d’un mouvement circulaire. Nous sommes trois spectateurs attentifs à ce spectacle érotique.
Mon pantalon commence à se déformer , et un coup d’œil à celui de Robert , m’indique que je ne suis pas le seul. Janis croise et décroise nerveusement les jambes, sans quitter du regard, le jeu des mains de Vera.
Le serveur, qui arrive pour débarrasser les verres, se fige, les yeux rivés sur le sexe offert de la brune. Celle-ci, lève les yeux vers lui, et introduit deux doigts dans sa chatte, en le fixant, avant de commencer à se masturber.
Le pauvre gars reste tétanisé quelques secondes, avant de s’ébrouer, et de repartir, subitemment avec son plateau vide.
-« Je crois que je vais aller me coucher » déclare Robert en se levant « demain nous avons une rude journée. »Il tend la main à Vera qui cesse son jeu et se laisse entrainer avec lui. Sa robe rabattue nous cache ses trésors, mais tandis qu’elle s’éloigne, elle soulève l’arrière de la robe et dandine, sous nos yeux son postérieur rebondi.
Nous sirotons notre verre de vodka en flirtant, puis j’entraine Janis pour rejoindre ma chambre. Dès que nous atteignons l’étage, j’enlace Janis qui se pend à mon cou et me rend mon baiser avant de se reculer d’un pas et de chasser les bretelles de son fourreau, qui tombe à ses pieds, avant de venir se coller contre moi.
J’ai juste le temps de passer mes mains sur son corps somptueux, qu’elle se recule et majestueusement nue dans ses escarpins, longe le le corridor, heureusement désert.
Je la précède dans ma chambre, et, la porte, à peine refermée, je la plaque contre le mur. Elle relève une jambe en l’écartant, pour se frotter à moi, tandis que fébrilement je descend mon pantalon et me bagarre avec l’emballage d’une capote que j’enfile avant de l’embrocher debout, son sexe à hauteur idéale grace aux stilettos. Je la pistonne avec force. Son corps cogne contre la cloison à chaque coup de hanches, ses mains agrippées à mes cheveux. Elle souffle et gémit en murmurant, de plus en plus fort des mots que je ne saurais traduire, mais que je comprends si bien.
Sans nous désunir, je la porte jusqu’au lit où nous nous abattons. Ses longues jambes encerclent mes reins, m’attirant à elle, ses reins dansant une gigue endiablée en osmose avec les miens. Nos mots se mélangent dans un dialogue de plaisir qui va crescendo jusqu’à ce qu’elle crie son orgasme qui libère le mien.
Enlacés, nous éclatons de rire, encore essoufflés. Elle se lève la première et disparaît dans la salle de bains juste avant que je ne sombre dans le sommeil.
Je me réveille. La chambre est plongée dans l’obscurité, à part un rai de lumière qui filtre entre deux rideaux. Janis dort, à plat ventre, une serviette enroulée autour de sa tête pour tout vètement. On cogne à la porte.
J’allume une lampe de chevet. Cinq heures. Qui cela peut-il être ? Janis se retourne et ouvre un œil alors que je me lève pour aller à la porte. J’entrouvre la porte qui est repoussée, et laisse s’infiltrer une forme vétue d’un peignoir de l’hotel.
Je referme et découvre Vera, en peignoir dans ses souliers.
-« Robert dormait, et je m’ennuyais » dit elle en éjectant ses escarpins, avant de faire tomber le peignoir et de se glisser nue dans le lit. Elle se pelotonne contre Janis et lui prodigue des baisers dans le cou, tout en lui caressant les seins. Janis encore endormie, ne réagit pas, tout d’abord, mais s’éveille peu à peu sous les caresses de son amie. Ses mains, à son tour, partent à la découverte des formes opulentes de la brune Vera. Elle masse les lourds globes de ses seins, et fait dresser des tétons gros comme des bouts de crayons, faisant gémir la brune. Celle-ci n’est pas en reste et ses doigts s’agitent déjà dans l’entrejambe de Janis, leurs deux langues dardant l’une contre l’autre.
J’arrive à me caser, à l’autre bout du lit, et m’allonge sans éteindre la lumière pour profiter de ce que je vois. Les deux filles sont visiblement un peu plus que des amies.
Elles se retrouvent vite, en 69, leurs phalanges aidant leurs langues pour donner du plaisir à l’autre. C’est un concert de gémissements qui enfle et emplit la pièce , alors qu’elles rampent et se contorsionnent l’une sur l’autre, jusqu’à atteindre un orgasme quasi simultané. Alors que Janis récupère, Véra, plus Vorace rampe vers moi et s’empare de ma virilité qui a pris des proportions intéressantes. Elle s’applique à me sucer en gorge profonde avant de me délaisser pour m’enjamber et, tenant mon chibre , l’enfoncer dans sa chatte avant de s’empaler d’un coup jusqu’à la garde. Commence alors une chevauchée fantastique où Véra se démène en haletant, son corps claquant sur le mien, ses seins ballotant au rythme de ses allers et retours. Elle se penche en arrière et s’aidant du bassin, m’offre la vision de ma queue qui la pourfend, sa vulve ouverte l’avalant encore et encore.. Elle jouit brutalement, et se tétanise, avant de repartir de plus belle. Elle se penche sur moi et me fait sortir de son sexe, pour me positionner un peu plus loin, et pousse avec un grognement. Mon gland se replie un peu , puis le chemin s’entrouvre et je pénêtre d’un coup son anus. Elle a le visage crispé et appuie en continu, ses fesses jusqu’à ce que mon sexe soit totalement en elle. Nous soufflons tous les deux, et elle entame un mouvement de bassin que j’accompagne au mieux, forant mon passage dans son cul somptueux. Nous limons ainsi, de longues minutes, savourant ces sensations diffuses de plaisir, un peu atténué par le fait d’avoir déjà joui, et pourtant si imprimé dans nos muqueuses, dans nos mouvements, dans nos têtes, qu’il en devient permanent, et ne monte que petit à petit. Tandis que mon bas-ventre claque contre son cul régulièrement, je sens mon bonheur monter . Vera râle en douceur, et ponctue nos gestes, de « yeeees » et de « so good » qui enflent et finissent par un cri modulé et long annonçant son orgasme. Je la sens se dégager. Une main habile enlève la capote et la remplace par une neuve. J’entrouvre les yeux et je vois Janis qui vient prendre la place de Vera. Elle me dirige directement vers son petit trou qui s’élargit sur mon passage, et accroupie au dessus de moi, imprime un tempo rapide à ma pénétration. Le lit grince sous les secousses, elle tressaute littéralement sur ma queue en geignant, mais sans jamais s’arrêter. Je sens la lave monter en moi, mon sexe grossit et se tend dans un ultime effort.
Elle le sent et se dégage pour enlever le préservatif et me prendre en bouche , me pompant très vite , et obtenant une explosion de plusieurs salves qui lui tapissent la gorge et dégoulinent sur son menton. Elle avale et s’essuie avec le drap avant de se coucher contre sa copine.
Au matin, je me lève péniblement et commande trois petits déjeuner, avant de me jeter sous la douche. A mon retour, mon téléphone portable se met à sonner. C’est le directeur commercial de mon fournisseur qui me propose de passer me chercher dans une heure. En lui répondant, je jette un œil sur le lit .
Une longue fille nue dort jambes légèrement écartées, le duvet blond renvoie au blé mur de sa crinière, qui se mèle sur le drap au jais des cheveux de sa brune amie, qui dort contre elle, le visage dissimulé par sa chevelure, mais le corps, tout en courbes exposé de dos, son fessier callipyge entrouvert, laissant deviner son intimité.
-« Plutôt une heure et demie » dis-je à mon interlocuteur en me rapprochant du litUn peu plus tard, ma valise bouclée, je laisse les deux graces endormies et rejoins Robert dans le hall . Toute trace de nos réjouissances de la veille a miraculeusement disparu.
Dans le van qui nous emmène vers une autre usine, je remercie, d’un air entendu, notre hôte, pour son cadeau. Il me dévisage en haussant les sourcils :« Un cadeau ! mais quel cadeau ? » s’étonne t’ilJe croise le regard de Robert, qui a l’air de me dire : tu vois ?
Soit notre hôte est un as de la dissimulation, soit nous n’avons pas la moindre idée des personnes qui occupent ma chambre.
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