D'accord 3
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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D'accord 3
On se remit à parler comme d'habitude, le deal était qu'il devait me trouver deux mecs par qui me faire prendre.
Les conversations continuant, peu à peu le deal changeait.
- Tu aimes ça, le truc c'est que pour bien t'éduquer, j'aurais besoin de plus de temps et ça je n'ai pas !
La conversation me trottais un moment en tête, je ne voyais pas comment m'absenter plus longtemps, mais l'occasion se présenta lorsqu'une fois nous étions au restaurant.
On se retrouvait face à l'un de mes plans qui fit de très mauvaises allusions, mon copain s'énervait, se disputait avec et faillit se battre, je le fis sortir et on partit après avoir payé l'addition.
Une fois dans la voiture on se disputait, et je ne savais que dire, même s’il ne savait pas que je m'étais fait prendre par ce gars, je n'étais pas en position où je n'avais aucun tort.
Une fois rentrée, la dispute continuant, je l'entendis me dire qu'il pensait à ce que ça se termine, bien que je cherchais une excuse pour prendre du temps pour moi, cela me blessa complètement et je m’énervais sur lui, lui jetant tout ce qui me passait par la main.
Il me mit une gifle, s'excusa direct et je restais sur place, choquée, c'était le moment.
- Je me casse !
- Non, excuse-moi ! Dit-il.
- Ne cherche pas à me retrouver !
Et claquais la porte, mon téléphone sonnait non stop et les messages arrivait par dizaine, mais je ne voulais rien savoir !
De toute manière, j'avais mon excuse toute faite !
Arriver devant chez mon ami, trempée à cause de la pluie, j'appuyais sur la sonnette, il ouvrit et me vit, étonné il me fit rentrer.
- Tu as un mois devant toi. Dis-je d'un ton neutre.
- O... ok ! Dit-il ne sachant pas vraiment quoi dire !
- Je suis toute à toi...
- Tu es sur et certaine ? Tu peux encore partir !
- Certaine.
- Très bien, commence par retirer tes vêtements, ils ne te servent à rien et tu risques d'attraper de toute façon froid !
J'avais ce jour-là, une jolie petite robe noire flottante légèrement décolletée, après avoir fait glisser les brides le long de mes épaules, je la laissais tomber au sol, il la ramassait ainsi que mon soutien-gorge et mon string,
Il les mit sécher avant de revenir avec un drap qu'il mit autour de moi pour m'essuyer, il me fit m'asseoir et me retiraient mes talons, essuyant mes pieds avec douceurs, y posant deux baisés.
Et mit une couverture sur moi, me disant de me réchauffer avant quoi que ce soit.
10 à 15 minutes plus tard, il revint et me mit un collier au coup, me fit me relever et m'emmena dans la fameuse pièce où il accrochait mes mains à des liens qui descendaient du plafond, les faisant remonter, il me fit me mettre sur la pointe des pieds.
- À partir de maintenant, tu feras tout ce que je veux, tu te plieras à mes demandes, à mes ordres, tu oublies ton prénom et qui tu es, tu n'es personne, tu n'es qu'une chienne ! Est-ce bien compris ?
- Oui, bien compris.
- Je te laisse une dernière chance de TOUT arrêter maintenant.
- Non, je suis d'accord.
- Très bien, commençons dans ce cas.
Il allait sur l'établi derrière moi et revins avec un panier de pinces à linge, il en mit 5 sur mon sein droit, tout autant sur le gauche, et puis en mit un peu partout sur mon corps, mes fesses et mon sexe n'y échappèrent pas.
Je tentais de retenir les cris de douleurs qui sortaient tout de même.
- Hum, tu es belle ainsi ! Dis-moi, comment allons-nous t'appeler ?
- ...
Il déposait le panier et revint avec une cravache pour les chevaux.
- Alors, dis-moi, comment t'appelles-tu ?
- L...
Un coup de cravache se fit sur une pince qui était sur l'une de mes jambes l'éjectant et y lançant une certaine douleur...
- Comment t'appelles-tu ?
- L...
Alors que j'allais une nouvelle fois dire mon nom un second coup se fit et s'écrasait sur mon sein, ratant la pince, il remit alors un coup en attrapant une qui se retirait.
- Je t'écoute ?
- Pute...
- Non, je n'aime pas ! Dit-il mettant un coup de cravache à nouveau sur ma jambe, et un autre sur une fesse, faisant partir deux pinces à linge.
- ...
Il passait derrière moi, et avec la cravache fit partir chacune des pinces à linge, mais ne réussissant pas à tous les coups, je reçus beaucoup de coups de cravaches !
- Je vais te laisser réfléchir à comment je pourrais t'appeler, je vais me faire un café.
Il partit vers la porte, éteignis la lumière et la fermait à clés, je restais là un long moment seule, les pinces à linge sur mon corps, les endroits où elles avaient été retirées me picotant, les fesses brûlantes.
Lorsqu'il revint, il me regardait dans les yeux et me dis :
- Je vais être gentil, je te préviens de ce qui t'arrive si le nom que tu me donnes ne me plaît pas, je te rajouterais encore des pinces et toutes ces pinces seront reliées par un fil que je tirais d'un coup.
Je le regardais la peur que le nom ne plaise pas.
- Tu imagines ce que tu ressentiras ?
- Oui...
- Alors, c'est quoi ton nom ?
- Sac à foutre...
Il se mit à rire et dit :
- J'aime beaucoup !
Il détachait mes mains du plafond et m'amenait près de la croix à côté de la cage où il m'attachait, les pieds écartés et les bras aussi.
- Redis-moi comme tu t'appelles ?
- Sac à foutre monsieur...
- Tu es mignonne sac à foutre !
- Merci...
Il revint ensuite avec le panier de pinces et je dis :
- Mais vous aviez dit que...
- Chut, tais-toi, j'en ai envie finalement ! Tu devrais me remercier que je m'occupe de toi !
- Merci...
Il se remit à placer les pinces, elles descendirent de mes seins à mes jambes en passant par ma chatte, deux lignes bien distinguent !
Il y fit passer son fils et me montrait en s'éloignant qu'il en tenait un dans chaque main tout en tirant un peu dessus pour me faire ressentir.
Son téléphone sonnait, il décrochait, mais de la pièce il avait des problèmes de réseau, il souffla et vint près de moi, me mit un bandeau sur les yeux et déposait un bisou sur la joue avant de me mettre une boule en caoutchouc dans la bouche relier par une sangle qui passe derrière ma tête.
Je l'entendis partir et fermer la porte une nouvelle fois, il revint bien plus tard.
Ne dis aucun moment, je sentais sa main caressait mon corps, un peu titiller les pinces, caresser mon visage.
Il m'enlevait la boule de ma bouche.
- Tu es magnifique en tout cas !
- Merci...
Je sentis qu'il tirait à nouveau sur les fils et puis tirait d'un coup me faisant crier, comme jamais je n'avais cirée, les larmes coulant le long de mes joues.
Il vint près de moi, passant ses mains sur les parties du corps qui me faisait tant mal, s'attardant sur mon sexe, jouant avec.
- Sac à foutre, je vais aller me détendre, ne bouge pas de là hein ! Je te laisse un seau en dessous de toi, si tu as besoin de faire quoi que ce soit !
Et partit une nouvelle fois, mais pas longtemps, il en décidait autrement ! Alors qu'il venait à peine de me détacher de ma croix, mes mains étaient très vite attachées dans mon dos, me tenant par un bras, il me fit avancer et remonter.
Il me mit dans le divan, couchée, mes pieds sur ses genoux.
Il se mit à les embrasser, les lécher, en me disant que j'avais de très beaux pieds, je ne dis rien à part le remercier.
Il tirait un peu sur mes tétons, me rappelant que j'étais à sa merci !
Après un moment ainsi, sans bouger, sans savoir ce qu'il allait m'arriver, il détachait mes mains du dos, les rattachait devant et attachait à présent mes pieds, me laissant peu d'espace entre, assez pour marcher en faisant des petits pas.
Il m'enlevait le bandeau et m'ordonnait d'aller faire à manger.
Je partis vers la cuisine et entrepris de lui faire des pâtes sauce bolognaise.
Une fois que ce fut fait, je lui apportais son plat et il me fit me mettre à genoux à côté de lui pendant qu'il mangeait.
Me renvoyait le servir, mais une fois que j'arrivais me fit tenir l'assiette dans les mains, à genoux, face à lui.
Il sortit son sexe et se mit à se masturber devant moi, me regardant juste, je pense qu'il devait être excité depuis un moment et c'est ce qui fit que ça vint assez vite !
Il envoyait tout dans le plat de pâte.
- Sac à foutre, je t'ai mis un peu de sauce blanche en plus, bon appétit !
Je déposais le plat au sol et me mis à manger les pâtes à 4 pattes avec le sperme dedans.
Après avoir bien léchée l'assiette, je la ramenais ainsi que les couverts dans la cuisine et les lavais.
Il me remit le bandeau et me fit monter dans la salle de bain où il me à genoux pendant qu'il se lavait.
Une fois que ce fut fait, il me brossait les dents, mais ne me fit pas aller me laver, il me fit redescendre et m'enlevait le bandeau.
M'attachant cette fois les mains dans le dos, il me fit rentrer dans la cage.
- Sac à foutre, tu as un seau pour tes besoins et une gamelle avec de l'eau si tu as soif, on se voit demain !
Après avoir pris soins de bien fermer la cage, je me retrouvais seule, je regardais et vis le seau ainsi que la gamelle... Il y avait un petit matelas qui ne devait pas être confortable.
Je me mis au-dessus du seau, et fit le petit besoin dont j'avais tellement besoin...
Je finis par aller me coucher, prise d'une fatigue foudroyante, certainement du au calme et m'endormis.
Le lendemain, il vint, m'ouvrit et me fit m'asseoir sur une chaise à côté du meuble ou tout ses ustensiles étaient mis, il y avait deux tasses de café.
- Ne crois pas que ça sera tous les jours ainsi !
- Je sais... Dis-je alors.
On déjeunait tous les deux tranquillement et puis il me fit m'asseoir sur l'établi, prit l'un de mes pieds qu'il relevait et embrassait, fit de même avec l'autre.
- Je ne sais pas ce que j'ai avec tes pieds, mais je les aime beaucoup sac à foutre !
- Merci...
- Allais descend de là et appuie toi sur l'établi, je vais un peu écarter ton cul !
- Oui, tout de suite. Dis-je alors.
À présent appuyée sur l'établi, le cul vers lui et les jambes écarter, je le sentis jouer avec mon anus, très vite, il arrivait à faire rentrer ses doigts dedans et à y installer un plug, d'une taille plus grosse que la toute première fois.
Il me laissait ainsi et je compris très vite qu'il se mit à se masturber, surtout lorsque son sperme s'écrasait sur mes fesses dégoulinant sur mes jambes.
Il me fit me retourner, à genou et l'essuyais sur mes seins.
- Reste ainsi, ne bouge pas.
Libre de mes mouvements, je restais à genoux, je ne bougeais pas, pleine de sperme sur mon cul et mes jambes, sur mes seins... Il revint et me plaçais un vibromasseur entre les jambes, les mains derrière la tête, je devais tirer la langue.
Il s'assit, me regardait simplement ainsi, pendant que je commençais à avoir chaud et du mal à rester en place.
- Tu as envie de te faire prendre ?
- Oui...
- Pauvre petit sac à foutre.
Il me regardait longuement ainsi et puis me retirait le vibromasseur qu'il me fit lécher ainsi que le plug, qu'il me fit lécher avant de le replacer.
- Debout !
Je me levais et passait sa main derrière moi pour prendre des pinces relier à une chaîne qu'il attachait au bout de mes seins et fit de même avec les lèvres de mon sexe.
Il me fit prendre le seau avec ma pisse et me fit monter, verser le seau dans la toilette, attachait mes pieds pour me laisser peu d'espace et pareil avec les mains.
- Sac à foutre, je te garde en pension, donc passe l'aspirateur dans la maison !
Ce que je fis, lui regardant la télévision, fumant et ne me prêtant aucune attention.
Lorsque ce fut fini, j'allais remettre l'aspirateur et le lui dit.
Il me fit me mettre à genou à côté du divan et redescendit dans la cave, remontant avec un gode fixer à une planche.
- Tiens sac à foutre, fais toi plaisir.
Il le mit par terre, à côté de la table de salon, m'attachait les mains dans le dos et m'enlevait les menottes à mes pieds.
Je me plaçais au dessus du gode et l'insérait en moi, commençait les va et viens dessus.
Après un long moment à jouer avec le gode, il me fit le sucer et puis nous redescendîmes en bas.
Il m'attachait les mains au plafond comme le jour précédent et me remit toutes les pinces, un peu partout sur le corps.
Il disparut et revint avec des glaçons, qu'il en passait tout le long du corps, terminant chacun dans mon sexe.
Il se remit à me retirer les pinces avec la cravache, je devais le remercier à chaque fois, lorsque ce fut fini, il m'expliquait qu'il me donnerait ma récompense.
Celle-ci étant le plan initial, me faire prendre par deux mecs. Mais que je n'étais pas encore prête.
Mais que le lendemain, j'aurais tout de même une surprise.
Il me détachait et m'emmenais à nouveau dans la cage où il attachait mes mains à une chaine relier à la cage, assez longue pour que j'aie accès à mon seau, ma gamelle et mon "lit".
- Bonne nuit sac à foutre.
Les conversations continuant, peu à peu le deal changeait.
- Tu aimes ça, le truc c'est que pour bien t'éduquer, j'aurais besoin de plus de temps et ça je n'ai pas !
La conversation me trottais un moment en tête, je ne voyais pas comment m'absenter plus longtemps, mais l'occasion se présenta lorsqu'une fois nous étions au restaurant.
On se retrouvait face à l'un de mes plans qui fit de très mauvaises allusions, mon copain s'énervait, se disputait avec et faillit se battre, je le fis sortir et on partit après avoir payé l'addition.
Une fois dans la voiture on se disputait, et je ne savais que dire, même s’il ne savait pas que je m'étais fait prendre par ce gars, je n'étais pas en position où je n'avais aucun tort.
Une fois rentrée, la dispute continuant, je l'entendis me dire qu'il pensait à ce que ça se termine, bien que je cherchais une excuse pour prendre du temps pour moi, cela me blessa complètement et je m’énervais sur lui, lui jetant tout ce qui me passait par la main.
Il me mit une gifle, s'excusa direct et je restais sur place, choquée, c'était le moment.
- Je me casse !
- Non, excuse-moi ! Dit-il.
- Ne cherche pas à me retrouver !
Et claquais la porte, mon téléphone sonnait non stop et les messages arrivait par dizaine, mais je ne voulais rien savoir !
De toute manière, j'avais mon excuse toute faite !
Arriver devant chez mon ami, trempée à cause de la pluie, j'appuyais sur la sonnette, il ouvrit et me vit, étonné il me fit rentrer.
- Tu as un mois devant toi. Dis-je d'un ton neutre.
- O... ok ! Dit-il ne sachant pas vraiment quoi dire !
- Je suis toute à toi...
- Tu es sur et certaine ? Tu peux encore partir !
- Certaine.
- Très bien, commence par retirer tes vêtements, ils ne te servent à rien et tu risques d'attraper de toute façon froid !
J'avais ce jour-là, une jolie petite robe noire flottante légèrement décolletée, après avoir fait glisser les brides le long de mes épaules, je la laissais tomber au sol, il la ramassait ainsi que mon soutien-gorge et mon string,
Il les mit sécher avant de revenir avec un drap qu'il mit autour de moi pour m'essuyer, il me fit m'asseoir et me retiraient mes talons, essuyant mes pieds avec douceurs, y posant deux baisés.
Et mit une couverture sur moi, me disant de me réchauffer avant quoi que ce soit.
10 à 15 minutes plus tard, il revint et me mit un collier au coup, me fit me relever et m'emmena dans la fameuse pièce où il accrochait mes mains à des liens qui descendaient du plafond, les faisant remonter, il me fit me mettre sur la pointe des pieds.
- À partir de maintenant, tu feras tout ce que je veux, tu te plieras à mes demandes, à mes ordres, tu oublies ton prénom et qui tu es, tu n'es personne, tu n'es qu'une chienne ! Est-ce bien compris ?
- Oui, bien compris.
- Je te laisse une dernière chance de TOUT arrêter maintenant.
- Non, je suis d'accord.
- Très bien, commençons dans ce cas.
Il allait sur l'établi derrière moi et revins avec un panier de pinces à linge, il en mit 5 sur mon sein droit, tout autant sur le gauche, et puis en mit un peu partout sur mon corps, mes fesses et mon sexe n'y échappèrent pas.
Je tentais de retenir les cris de douleurs qui sortaient tout de même.
- Hum, tu es belle ainsi ! Dis-moi, comment allons-nous t'appeler ?
- ...
Il déposait le panier et revint avec une cravache pour les chevaux.
- Alors, dis-moi, comment t'appelles-tu ?
- L...
Un coup de cravache se fit sur une pince qui était sur l'une de mes jambes l'éjectant et y lançant une certaine douleur...
- Comment t'appelles-tu ?
- L...
Alors que j'allais une nouvelle fois dire mon nom un second coup se fit et s'écrasait sur mon sein, ratant la pince, il remit alors un coup en attrapant une qui se retirait.
- Je t'écoute ?
- Pute...
- Non, je n'aime pas ! Dit-il mettant un coup de cravache à nouveau sur ma jambe, et un autre sur une fesse, faisant partir deux pinces à linge.
- ...
Il passait derrière moi, et avec la cravache fit partir chacune des pinces à linge, mais ne réussissant pas à tous les coups, je reçus beaucoup de coups de cravaches !
- Je vais te laisser réfléchir à comment je pourrais t'appeler, je vais me faire un café.
Il partit vers la porte, éteignis la lumière et la fermait à clés, je restais là un long moment seule, les pinces à linge sur mon corps, les endroits où elles avaient été retirées me picotant, les fesses brûlantes.
Lorsqu'il revint, il me regardait dans les yeux et me dis :
- Je vais être gentil, je te préviens de ce qui t'arrive si le nom que tu me donnes ne me plaît pas, je te rajouterais encore des pinces et toutes ces pinces seront reliées par un fil que je tirais d'un coup.
Je le regardais la peur que le nom ne plaise pas.
- Tu imagines ce que tu ressentiras ?
- Oui...
- Alors, c'est quoi ton nom ?
- Sac à foutre...
Il se mit à rire et dit :
- J'aime beaucoup !
Il détachait mes mains du plafond et m'amenait près de la croix à côté de la cage où il m'attachait, les pieds écartés et les bras aussi.
- Redis-moi comme tu t'appelles ?
- Sac à foutre monsieur...
- Tu es mignonne sac à foutre !
- Merci...
Il revint ensuite avec le panier de pinces et je dis :
- Mais vous aviez dit que...
- Chut, tais-toi, j'en ai envie finalement ! Tu devrais me remercier que je m'occupe de toi !
- Merci...
Il se remit à placer les pinces, elles descendirent de mes seins à mes jambes en passant par ma chatte, deux lignes bien distinguent !
Il y fit passer son fils et me montrait en s'éloignant qu'il en tenait un dans chaque main tout en tirant un peu dessus pour me faire ressentir.
Son téléphone sonnait, il décrochait, mais de la pièce il avait des problèmes de réseau, il souffla et vint près de moi, me mit un bandeau sur les yeux et déposait un bisou sur la joue avant de me mettre une boule en caoutchouc dans la bouche relier par une sangle qui passe derrière ma tête.
Je l'entendis partir et fermer la porte une nouvelle fois, il revint bien plus tard.
Ne dis aucun moment, je sentais sa main caressait mon corps, un peu titiller les pinces, caresser mon visage.
Il m'enlevait la boule de ma bouche.
- Tu es magnifique en tout cas !
- Merci...
Je sentis qu'il tirait à nouveau sur les fils et puis tirait d'un coup me faisant crier, comme jamais je n'avais cirée, les larmes coulant le long de mes joues.
Il vint près de moi, passant ses mains sur les parties du corps qui me faisait tant mal, s'attardant sur mon sexe, jouant avec.
- Sac à foutre, je vais aller me détendre, ne bouge pas de là hein ! Je te laisse un seau en dessous de toi, si tu as besoin de faire quoi que ce soit !
Et partit une nouvelle fois, mais pas longtemps, il en décidait autrement ! Alors qu'il venait à peine de me détacher de ma croix, mes mains étaient très vite attachées dans mon dos, me tenant par un bras, il me fit avancer et remonter.
Il me mit dans le divan, couchée, mes pieds sur ses genoux.
Il se mit à les embrasser, les lécher, en me disant que j'avais de très beaux pieds, je ne dis rien à part le remercier.
Il tirait un peu sur mes tétons, me rappelant que j'étais à sa merci !
Après un moment ainsi, sans bouger, sans savoir ce qu'il allait m'arriver, il détachait mes mains du dos, les rattachait devant et attachait à présent mes pieds, me laissant peu d'espace entre, assez pour marcher en faisant des petits pas.
Il m'enlevait le bandeau et m'ordonnait d'aller faire à manger.
Je partis vers la cuisine et entrepris de lui faire des pâtes sauce bolognaise.
Une fois que ce fut fait, je lui apportais son plat et il me fit me mettre à genoux à côté de lui pendant qu'il mangeait.
Me renvoyait le servir, mais une fois que j'arrivais me fit tenir l'assiette dans les mains, à genoux, face à lui.
Il sortit son sexe et se mit à se masturber devant moi, me regardant juste, je pense qu'il devait être excité depuis un moment et c'est ce qui fit que ça vint assez vite !
Il envoyait tout dans le plat de pâte.
- Sac à foutre, je t'ai mis un peu de sauce blanche en plus, bon appétit !
Je déposais le plat au sol et me mis à manger les pâtes à 4 pattes avec le sperme dedans.
Après avoir bien léchée l'assiette, je la ramenais ainsi que les couverts dans la cuisine et les lavais.
Il me remit le bandeau et me fit monter dans la salle de bain où il me à genoux pendant qu'il se lavait.
Une fois que ce fut fait, il me brossait les dents, mais ne me fit pas aller me laver, il me fit redescendre et m'enlevait le bandeau.
M'attachant cette fois les mains dans le dos, il me fit rentrer dans la cage.
- Sac à foutre, tu as un seau pour tes besoins et une gamelle avec de l'eau si tu as soif, on se voit demain !
Après avoir pris soins de bien fermer la cage, je me retrouvais seule, je regardais et vis le seau ainsi que la gamelle... Il y avait un petit matelas qui ne devait pas être confortable.
Je me mis au-dessus du seau, et fit le petit besoin dont j'avais tellement besoin...
Je finis par aller me coucher, prise d'une fatigue foudroyante, certainement du au calme et m'endormis.
Le lendemain, il vint, m'ouvrit et me fit m'asseoir sur une chaise à côté du meuble ou tout ses ustensiles étaient mis, il y avait deux tasses de café.
- Ne crois pas que ça sera tous les jours ainsi !
- Je sais... Dis-je alors.
On déjeunait tous les deux tranquillement et puis il me fit m'asseoir sur l'établi, prit l'un de mes pieds qu'il relevait et embrassait, fit de même avec l'autre.
- Je ne sais pas ce que j'ai avec tes pieds, mais je les aime beaucoup sac à foutre !
- Merci...
- Allais descend de là et appuie toi sur l'établi, je vais un peu écarter ton cul !
- Oui, tout de suite. Dis-je alors.
À présent appuyée sur l'établi, le cul vers lui et les jambes écarter, je le sentis jouer avec mon anus, très vite, il arrivait à faire rentrer ses doigts dedans et à y installer un plug, d'une taille plus grosse que la toute première fois.
Il me laissait ainsi et je compris très vite qu'il se mit à se masturber, surtout lorsque son sperme s'écrasait sur mes fesses dégoulinant sur mes jambes.
Il me fit me retourner, à genou et l'essuyais sur mes seins.
- Reste ainsi, ne bouge pas.
Libre de mes mouvements, je restais à genoux, je ne bougeais pas, pleine de sperme sur mon cul et mes jambes, sur mes seins... Il revint et me plaçais un vibromasseur entre les jambes, les mains derrière la tête, je devais tirer la langue.
Il s'assit, me regardait simplement ainsi, pendant que je commençais à avoir chaud et du mal à rester en place.
- Tu as envie de te faire prendre ?
- Oui...
- Pauvre petit sac à foutre.
Il me regardait longuement ainsi et puis me retirait le vibromasseur qu'il me fit lécher ainsi que le plug, qu'il me fit lécher avant de le replacer.
- Debout !
Je me levais et passait sa main derrière moi pour prendre des pinces relier à une chaîne qu'il attachait au bout de mes seins et fit de même avec les lèvres de mon sexe.
Il me fit prendre le seau avec ma pisse et me fit monter, verser le seau dans la toilette, attachait mes pieds pour me laisser peu d'espace et pareil avec les mains.
- Sac à foutre, je te garde en pension, donc passe l'aspirateur dans la maison !
Ce que je fis, lui regardant la télévision, fumant et ne me prêtant aucune attention.
Lorsque ce fut fini, j'allais remettre l'aspirateur et le lui dit.
Il me fit me mettre à genou à côté du divan et redescendit dans la cave, remontant avec un gode fixer à une planche.
- Tiens sac à foutre, fais toi plaisir.
Il le mit par terre, à côté de la table de salon, m'attachait les mains dans le dos et m'enlevait les menottes à mes pieds.
Je me plaçais au dessus du gode et l'insérait en moi, commençait les va et viens dessus.
Après un long moment à jouer avec le gode, il me fit le sucer et puis nous redescendîmes en bas.
Il m'attachait les mains au plafond comme le jour précédent et me remit toutes les pinces, un peu partout sur le corps.
Il disparut et revint avec des glaçons, qu'il en passait tout le long du corps, terminant chacun dans mon sexe.
Il se remit à me retirer les pinces avec la cravache, je devais le remercier à chaque fois, lorsque ce fut fini, il m'expliquait qu'il me donnerait ma récompense.
Celle-ci étant le plan initial, me faire prendre par deux mecs. Mais que je n'étais pas encore prête.
Mais que le lendemain, j'aurais tout de même une surprise.
Il me détachait et m'emmenais à nouveau dans la cage où il attachait mes mains à une chaine relier à la cage, assez longue pour que j'aie accès à mon seau, ma gamelle et mon "lit".
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