D'aventures en aventure, épisode 6
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 74 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Santiano ont reçu un total de 946 553 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 389 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
D'aventures en aventure, épisode 6
Je suis à présent dans ma chambre à faire les cent pas. Je rumine, je crie, je tape sur les murs jusqu’à ce que mes parents rentrent pour me calmer. Les deux essayent de canaliser ma colère. En ce jour de Noël, je ne pensais pas que j’allais vivre un tel enfer.
Ma mère me donne un tranquillisant, je me plonge sous la couette, puis m’endors petit à petit.
Au bout d’une petite heure de sommeil, mon cerveau se remet en état de fonctionnement. Et le film de cette soirée défile, je me retrouve à la fois intrus et cocu. En effet, ma compagne a subi quelques « chatouilles » attouchements bien voulus de la part de ses cousins, puis après le repas de Noël, c’est avec une partie de jambes en l’air endiablée qu’ils ont terminé cette soirée dans la salle de jeu qui se trouve au sous-sol de la maison de ses parents.
Résultat des courses, après une grosse engueulade avec Marina, je suis parti dès six heures du matin. J’ai même fait un détour dans ce qui était encore à ce jour notre appartement pour récupérer mes affaires. Et ne plus jamais revenir avec cette fille.
Je ne savais pas, et je n’aurais même pas imaginé que ce cas de figure aurait pu nous arriver.
J’avais le sentiment que c’était une fille sage, mais je m’étais trompé sur cette analyse.
Bref, je suis sorti de mon sommeil réparateur par le sifflement de mon téléphone portable. J’y lis des messages d’excuses de la part de Marina, je ne réponds pas, je n’ai pas envie. Puis surprise, deux autres contacts m’ont écrit. Il s’agit dans un premier temps de la mère de mon ancienne compagne, et d’une de ses tantes avec qui j’avais dansé au cours de la soirée, Chantal.
Toutes les deux me proposent un rendez-vous dans une brasserie de la ville, il se fera le lundi aux alentours de midi.
Malgré tout, j’accepte, même si les motifs de ce comportement me paraissent flous, ou du moins inacceptables.
Le jour j arrive, je m’allume une cigarette en attendant que les deux femmes arrivent. Au bout de dix minutes, elles sont enfin là, je ne me prive pas de faire une réflexion sur le retard, puis nous entrons dans la brasserie. Elles m’expliquent que Marina est au bord du gouffre, qu’elle s’en veut de m’avoir fait du mal, qu’elle n’aurait jamais dû, bref, toutes les excuses possibles y passent.
Je reste inflexible et explique, que je me vois mal faire l’amour avec mes cousines, juste parce qu’elles sont sexy et attirantes, on appelle ça le respect du couple. Que j’aurais aussi du mal à vivre les repas de famille et j’en passe. Alors la réponse sera négative.
Chantal qui semble être présente plus pour la forme que pour me convaincre d’une éventuelle réconciliation m’invite à aller fumer une cigarette. Nous sortons de l’établissement, puis nous conversons de tout et de rien, j’apprends par la même occasion qu’elle a prêté à Marina l’appartement qu’elle possède à la montagne. Elle me propose même d’y aller pour fêter le nouvel an.
Je trouve cette proposition osée, car je ne veux pas vivre la même aventure qu’à Noël.
Après avoir consommé nos blondes, nous retrouvons Corinne qui insiste de nouveau sur les qualités de sa fille. J’ai un peu de mal à me concentrer. La proposition de Chantal me trouble.
Serait-ce une invitation ? Un rancard ? Un juste retour des choses ? Mon regard se plonge dans le néant. Il est vrai que cette femme de quarante-cinq ans ne peut laisser de marbre le jeune homme que je suis. Elle a des formes généreuses, un parfum envoûtant, et encore, je n’ai pas parlé de la mini-jupe qu’elle porte aujourd’hui.
Soudainement, je suis sorti de cette sorte de rêverie à cause d’un élément chaud qui parcourt mon mollet de haut jusqu’en bas. Je sors du brouillard. Corinne qui est à ma droite ne peut être la responsable de cet acte. En regardant Chantal, j’aperçois un sourire enjôleur sur son visage qui en dit long.
La mère de Marina voyant qu’elle n’arrive pas à me convaincre, décide de partir. Elle me fait malgré tout la bise, puis s’en va de l’établissement. Je me retrouve donc seul avec la fameuse tante. Je suis dans le même temps en train d’imaginer ma petite vengeance envers mon ancienne copine, et je crois que Chantal sera parfaite pour ça.
Je regarde ma montre, puis j’indique à celle-ci qu’il est l’heure de partir. Elle souhaite me ramener à la maison, j’accepte volontiers. Nous montons dans sa voiture, un monospace assez spacieux et je peux vous dire qu’en voyant la taille de ce véhicule des idées plus que coquines sont apparus dans mon esprit.
Habitant à environ trente minutes de la brasserie, je tente une première approche, je pose ma main sur la cuisse dénudée de Chantal qu’elle repousse dans un premier temps. J’insiste, monte et descends de son genou jusqu’à la lisière de son aine. Je vois ses joues rougir. Elle ne peut pas serrer ses jambes alors je continue mon petit manège. J’en profite même pour effleurer son string puis je m’arrête. Vu que nous sommes maintenant sur une voie rapide, je prends sa main que je pose sur ma verge qui est dressée fièrement.
Je la sens hésitante au début, puis elle finit par faire des légers va et vient. La chaleur monte à une vitesse éclair dans la voiture. Un panneau indique une aire de repos dans cinq kilomètres, je lui propose de faire une petite pause. Je sens qu’elle hésite assez fortement, mais arrivé à l’indication des cinq cents mètres, elle enclenche le clignotant à ma grande surprise et elle se gare dans un endroit un peu discret.
Dans la région, cette aire est réputée pour être un endroit coquin pour les routiers ou les couples souhaitant vivre un adultère. Il est maintenant presque dix-huit heures.
Le soleil commence à se coucher légèrement. Ma petite vengeance va pouvoir se mettre en place…
À suivre
Ma mère me donne un tranquillisant, je me plonge sous la couette, puis m’endors petit à petit.
Au bout d’une petite heure de sommeil, mon cerveau se remet en état de fonctionnement. Et le film de cette soirée défile, je me retrouve à la fois intrus et cocu. En effet, ma compagne a subi quelques « chatouilles » attouchements bien voulus de la part de ses cousins, puis après le repas de Noël, c’est avec une partie de jambes en l’air endiablée qu’ils ont terminé cette soirée dans la salle de jeu qui se trouve au sous-sol de la maison de ses parents.
Résultat des courses, après une grosse engueulade avec Marina, je suis parti dès six heures du matin. J’ai même fait un détour dans ce qui était encore à ce jour notre appartement pour récupérer mes affaires. Et ne plus jamais revenir avec cette fille.
Je ne savais pas, et je n’aurais même pas imaginé que ce cas de figure aurait pu nous arriver.
J’avais le sentiment que c’était une fille sage, mais je m’étais trompé sur cette analyse.
Bref, je suis sorti de mon sommeil réparateur par le sifflement de mon téléphone portable. J’y lis des messages d’excuses de la part de Marina, je ne réponds pas, je n’ai pas envie. Puis surprise, deux autres contacts m’ont écrit. Il s’agit dans un premier temps de la mère de mon ancienne compagne, et d’une de ses tantes avec qui j’avais dansé au cours de la soirée, Chantal.
Toutes les deux me proposent un rendez-vous dans une brasserie de la ville, il se fera le lundi aux alentours de midi.
Malgré tout, j’accepte, même si les motifs de ce comportement me paraissent flous, ou du moins inacceptables.
Le jour j arrive, je m’allume une cigarette en attendant que les deux femmes arrivent. Au bout de dix minutes, elles sont enfin là, je ne me prive pas de faire une réflexion sur le retard, puis nous entrons dans la brasserie. Elles m’expliquent que Marina est au bord du gouffre, qu’elle s’en veut de m’avoir fait du mal, qu’elle n’aurait jamais dû, bref, toutes les excuses possibles y passent.
Je reste inflexible et explique, que je me vois mal faire l’amour avec mes cousines, juste parce qu’elles sont sexy et attirantes, on appelle ça le respect du couple. Que j’aurais aussi du mal à vivre les repas de famille et j’en passe. Alors la réponse sera négative.
Chantal qui semble être présente plus pour la forme que pour me convaincre d’une éventuelle réconciliation m’invite à aller fumer une cigarette. Nous sortons de l’établissement, puis nous conversons de tout et de rien, j’apprends par la même occasion qu’elle a prêté à Marina l’appartement qu’elle possède à la montagne. Elle me propose même d’y aller pour fêter le nouvel an.
Je trouve cette proposition osée, car je ne veux pas vivre la même aventure qu’à Noël.
Après avoir consommé nos blondes, nous retrouvons Corinne qui insiste de nouveau sur les qualités de sa fille. J’ai un peu de mal à me concentrer. La proposition de Chantal me trouble.
Serait-ce une invitation ? Un rancard ? Un juste retour des choses ? Mon regard se plonge dans le néant. Il est vrai que cette femme de quarante-cinq ans ne peut laisser de marbre le jeune homme que je suis. Elle a des formes généreuses, un parfum envoûtant, et encore, je n’ai pas parlé de la mini-jupe qu’elle porte aujourd’hui.
Soudainement, je suis sorti de cette sorte de rêverie à cause d’un élément chaud qui parcourt mon mollet de haut jusqu’en bas. Je sors du brouillard. Corinne qui est à ma droite ne peut être la responsable de cet acte. En regardant Chantal, j’aperçois un sourire enjôleur sur son visage qui en dit long.
La mère de Marina voyant qu’elle n’arrive pas à me convaincre, décide de partir. Elle me fait malgré tout la bise, puis s’en va de l’établissement. Je me retrouve donc seul avec la fameuse tante. Je suis dans le même temps en train d’imaginer ma petite vengeance envers mon ancienne copine, et je crois que Chantal sera parfaite pour ça.
Je regarde ma montre, puis j’indique à celle-ci qu’il est l’heure de partir. Elle souhaite me ramener à la maison, j’accepte volontiers. Nous montons dans sa voiture, un monospace assez spacieux et je peux vous dire qu’en voyant la taille de ce véhicule des idées plus que coquines sont apparus dans mon esprit.
Habitant à environ trente minutes de la brasserie, je tente une première approche, je pose ma main sur la cuisse dénudée de Chantal qu’elle repousse dans un premier temps. J’insiste, monte et descends de son genou jusqu’à la lisière de son aine. Je vois ses joues rougir. Elle ne peut pas serrer ses jambes alors je continue mon petit manège. J’en profite même pour effleurer son string puis je m’arrête. Vu que nous sommes maintenant sur une voie rapide, je prends sa main que je pose sur ma verge qui est dressée fièrement.
Je la sens hésitante au début, puis elle finit par faire des légers va et vient. La chaleur monte à une vitesse éclair dans la voiture. Un panneau indique une aire de repos dans cinq kilomètres, je lui propose de faire une petite pause. Je sens qu’elle hésite assez fortement, mais arrivé à l’indication des cinq cents mètres, elle enclenche le clignotant à ma grande surprise et elle se gare dans un endroit un peu discret.
Dans la région, cette aire est réputée pour être un endroit coquin pour les routiers ou les couples souhaitant vivre un adultère. Il est maintenant presque dix-huit heures.
Le soleil commence à se coucher légèrement. Ma petite vengeance va pouvoir se mettre en place…
À suivre
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Santiano
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...