D'aventures en aventures épisodes 8
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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D'aventures en aventures épisodes 8
La semaine précédant le nouvel an, je mets en place ma petite vengeance personnelle. J’ai déjà commencé par convertir Chantal, la tante de Marina mon ancienne copine au sexe à plusieurs.
De plus, elle a aimé ça sans complexe.
Pour une femme un peu, bon chic bon genre, cela peut paraître surprenant, mais bon, c’est comme ça.
Dès la fin de la partie de jambes en l’air, j’ai été victime d’insultes de sa part, mais à ma grande surprise lors de notre dernier bisou, elle a fini par me remercier. Incompréhensible !
Nous sommes mardi, il est dix-heure et demi, et je ne peux m’empêcher de me masturber en repensant à cette scène. Après ma petite affaire terminée, je descends dans la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner. Puis mon téléphone sonne, c’est un message de Chantal, elle souhaite me voir en début d’après-midi dans un parc, elle veut discuter dit-elle.
J’accepte sans aucun souci cette invitation.
Il me reste environ quatre heures, je vais me doucher, me préparer, puis partir en direction du centre-ville. Effectivement, en période de vacances scolaire, les transports en commun sont beaucoup moins nombreux, donc je préfère partir en avance. Donc forcément les choix sont limités.
Je passe ma commande auprès d’une jolie jeune fille, Claire, c’est marqué sur son badge, puis je vais m’asseoir à l’extérieur. Au bout de dix minutes, cette fille aux cheveux rouges se positionne sur une autre table. Dans un élan de confiance, je l’invite à venir avec moi.
Nous discutons de tout et de rien, j’apprends qu’elle travaille ici pour payer ses études en biologie, qu’elle a vingt-deux ans, elle est passionnée de sport, de cinéma et de voyage.
Sa pause est terminée, nous en profitons pour échanger nos numéros de téléphone.
De mon côté, je reçois un message de Chantal qui m’indique qu’elle est sur un banc du parc et qu’elle m’attend. J’y vais assez rapidement. Je l’aperçois de loin, elle est toujours aussi belle, malgré sa veste, je vois clairement qu’elle a une jupe qui lui arrive à peine au-dessus du genou. Elle tourne la tête, me voit, me faire un sourire timide, se lève puis je l’embrasse.
Elle ne recule pas et accepte ce geste sans aucun souci.
Dans un premier temps, nous parlons de la pluie et du beau temps, mais rapidement notre escapade sur l’aire de repos intervient dans notre conversation. Elle me dit qu’elle a apprécié, qu’elle n’avait jamais autant pris de plaisir dans le passé, et qu’elle aimerait bien recommencer ce genre d’aventures. Je lui indique que j’ai le numéro de nos deux copains routiers et qu’ils sont invités pour le jour de l’an. Elle semble satisfaite d’apprendre cette nouvelle, et accepte de les revoir.
En écoutant ses paroles, je sens bien que mon membre ne reste pas insensible. Intérieurement, par contre je jubile, je sens que mon plan va pouvoir se mettre en place.
Maintenant que je connais ses intentions et ses envies, je regarde autour de nous histoire d’être un peu tranquille et je me permets de l’embrasser sur la bouche comme le ferait des amoureux sur un banc public. Je caresse ses cuisses nues, ce qui ne manque pas de lui procurer des frissons. Elle me demande d’arrêter, car nous sommes en public et qu’elle ne souhaite pas être vue.
Je réfléchis cinq minutes, et je lui indique qu’il y a une sorte de grotte au fond du parc, et que si elle le souhaite, on peut y aller pour se câliner en toute discrétion.
Un peu hésitante, comme toujours lorsque nous sommes à l’extérieur, elle finit par accepter cette proposition. Nous marchons bras dessus, bras dessous, puis au bout de cinq minutes, nous arrivons dans cet endroit secret. Je vérifie qu’il n’y est personne, puis nous nous asseyons sur un matelas de feuilles.
Nous reprenons nos baisers fougueux. Cette fois-ci, Chantal est beaucoup plus entreprenante.
Elle enlève sa veste, pour m’offrir une surprise incroyable, elle est en débardeur sans soutien-gorge, avec son cent dix F, j’en reste bouche bée.
Je n’ai qu’une seule envie, dévoré sa poitrine comme un mort de faim.
Ce que je ne tarde pas à faire en descendant les bretelles de son vêtement. Je les malaxe, les caresse, les dévore comme un fou. Je sens que sa respiration est beaucoup plus saccadée.
Et dans mon pantalon, mon pieu se lève fièrement.
Je glisse malicieusement une main sous sa jupe, je sens bien que sa culotte est humide.
J’en écarte une partie du tissu pour lui caresser ses lèvres, mais étant mal à l’aise, elle se soulève pour l’enlever. Maintenant que l’accès est totalement libre, je joue avec son clitoris, je mets deux doigts dans sa fente.
Je fais plusieurs allers-retours, elle me demande d’arrêter, car elle ne va pas pouvoir retenir sa jouissance. Mais je ne l’écoute pas, j’insiste, je continue, je l’entends alors grogner.
Ses jambes tremblent, je sens bien qu’elle ne va pas pouvoir se retenir, ma main est inondée à cause de sa cyprine. Et dans une contraction incroyable, elle jouit avec une puissance incroyable.
Je continue mon manège, j’ai à présent quatre doigts dans ses entrailles, puis je m’arrête.
Je me relève un peu pour libérer ma verge qui me fait atrocement mal dans mon pantalon, je me mets devant sa bouche, qui s’ouvre sans aucune difficulté. Sa fellation est d’une divinité absolue, puis je décide de me mettre entre ses jambes.
La jupe retroussée, les seins apparents la voilà offerte à moi. Je présente mon gland à l’entrée de sa vulve, puis je la pénètre. C’est toujours aussi doux, et délicieux. Je fais des allers-retours à la fois lents et rapides, puis la positionne à quatre pattes.
Je la prends maintenant en levrette, le claquement de ses fesses sur le bas de mon ventre résonne dans cette sorte de grotte, c’est terriblement excitant. Et si je ne me trompe pas, Chantal prend aussi son pied, mon sexe est tellement humide que je me demande comment il fait pour rester encore aussi dur.
Celle-ci veut à présent changer de position pour faire le chandelier, elle est au-dessus de moi, elle monte descend, et la vision de cette poitrine énorme me rend complètement hystérique.
D’ailleurs, je n’hésite pas à les lécher quand je le peux, à les malaxer. Dans cette position, mon sexe est à son apogée, jamais je n’ai autant été aussi gros.
Au bout de dix minutes, ma partenaire tremble de nouveau, et n’arrive pas à retenir un cri strident. De mon côté, je me lâche complètement au fond de ses entrailles. Elle se couche sur moi par la fatigue, mais aussi par la puissance de notre escapade.
Je sens que mon sexe se ramolli, Chantal se relève, et je vois clairement le filet de sperme sortir de son vagin. Nous nous rhabillons, puis nous faisons comme si de rien n’était.
Et nous sortons du parc. Nous nous embrassons. Je lui demande si elle souhaite me revoir avant le nouvel an, elle me répond par l’affirmative, nous fixons donc un rendez-vous pour le jeudi qui suit.
De plus, elle a aimé ça sans complexe.
Pour une femme un peu, bon chic bon genre, cela peut paraître surprenant, mais bon, c’est comme ça.
Dès la fin de la partie de jambes en l’air, j’ai été victime d’insultes de sa part, mais à ma grande surprise lors de notre dernier bisou, elle a fini par me remercier. Incompréhensible !
Nous sommes mardi, il est dix-heure et demi, et je ne peux m’empêcher de me masturber en repensant à cette scène. Après ma petite affaire terminée, je descends dans la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner. Puis mon téléphone sonne, c’est un message de Chantal, elle souhaite me voir en début d’après-midi dans un parc, elle veut discuter dit-elle.
J’accepte sans aucun souci cette invitation.
Il me reste environ quatre heures, je vais me doucher, me préparer, puis partir en direction du centre-ville. Effectivement, en période de vacances scolaire, les transports en commun sont beaucoup moins nombreux, donc je préfère partir en avance. Donc forcément les choix sont limités.
Je passe ma commande auprès d’une jolie jeune fille, Claire, c’est marqué sur son badge, puis je vais m’asseoir à l’extérieur. Au bout de dix minutes, cette fille aux cheveux rouges se positionne sur une autre table. Dans un élan de confiance, je l’invite à venir avec moi.
Nous discutons de tout et de rien, j’apprends qu’elle travaille ici pour payer ses études en biologie, qu’elle a vingt-deux ans, elle est passionnée de sport, de cinéma et de voyage.
Sa pause est terminée, nous en profitons pour échanger nos numéros de téléphone.
De mon côté, je reçois un message de Chantal qui m’indique qu’elle est sur un banc du parc et qu’elle m’attend. J’y vais assez rapidement. Je l’aperçois de loin, elle est toujours aussi belle, malgré sa veste, je vois clairement qu’elle a une jupe qui lui arrive à peine au-dessus du genou. Elle tourne la tête, me voit, me faire un sourire timide, se lève puis je l’embrasse.
Elle ne recule pas et accepte ce geste sans aucun souci.
Dans un premier temps, nous parlons de la pluie et du beau temps, mais rapidement notre escapade sur l’aire de repos intervient dans notre conversation. Elle me dit qu’elle a apprécié, qu’elle n’avait jamais autant pris de plaisir dans le passé, et qu’elle aimerait bien recommencer ce genre d’aventures. Je lui indique que j’ai le numéro de nos deux copains routiers et qu’ils sont invités pour le jour de l’an. Elle semble satisfaite d’apprendre cette nouvelle, et accepte de les revoir.
En écoutant ses paroles, je sens bien que mon membre ne reste pas insensible. Intérieurement, par contre je jubile, je sens que mon plan va pouvoir se mettre en place.
Maintenant que je connais ses intentions et ses envies, je regarde autour de nous histoire d’être un peu tranquille et je me permets de l’embrasser sur la bouche comme le ferait des amoureux sur un banc public. Je caresse ses cuisses nues, ce qui ne manque pas de lui procurer des frissons. Elle me demande d’arrêter, car nous sommes en public et qu’elle ne souhaite pas être vue.
Je réfléchis cinq minutes, et je lui indique qu’il y a une sorte de grotte au fond du parc, et que si elle le souhaite, on peut y aller pour se câliner en toute discrétion.
Un peu hésitante, comme toujours lorsque nous sommes à l’extérieur, elle finit par accepter cette proposition. Nous marchons bras dessus, bras dessous, puis au bout de cinq minutes, nous arrivons dans cet endroit secret. Je vérifie qu’il n’y est personne, puis nous nous asseyons sur un matelas de feuilles.
Nous reprenons nos baisers fougueux. Cette fois-ci, Chantal est beaucoup plus entreprenante.
Elle enlève sa veste, pour m’offrir une surprise incroyable, elle est en débardeur sans soutien-gorge, avec son cent dix F, j’en reste bouche bée.
Je n’ai qu’une seule envie, dévoré sa poitrine comme un mort de faim.
Ce que je ne tarde pas à faire en descendant les bretelles de son vêtement. Je les malaxe, les caresse, les dévore comme un fou. Je sens que sa respiration est beaucoup plus saccadée.
Et dans mon pantalon, mon pieu se lève fièrement.
Je glisse malicieusement une main sous sa jupe, je sens bien que sa culotte est humide.
J’en écarte une partie du tissu pour lui caresser ses lèvres, mais étant mal à l’aise, elle se soulève pour l’enlever. Maintenant que l’accès est totalement libre, je joue avec son clitoris, je mets deux doigts dans sa fente.
Je fais plusieurs allers-retours, elle me demande d’arrêter, car elle ne va pas pouvoir retenir sa jouissance. Mais je ne l’écoute pas, j’insiste, je continue, je l’entends alors grogner.
Ses jambes tremblent, je sens bien qu’elle ne va pas pouvoir se retenir, ma main est inondée à cause de sa cyprine. Et dans une contraction incroyable, elle jouit avec une puissance incroyable.
Je continue mon manège, j’ai à présent quatre doigts dans ses entrailles, puis je m’arrête.
Je me relève un peu pour libérer ma verge qui me fait atrocement mal dans mon pantalon, je me mets devant sa bouche, qui s’ouvre sans aucune difficulté. Sa fellation est d’une divinité absolue, puis je décide de me mettre entre ses jambes.
La jupe retroussée, les seins apparents la voilà offerte à moi. Je présente mon gland à l’entrée de sa vulve, puis je la pénètre. C’est toujours aussi doux, et délicieux. Je fais des allers-retours à la fois lents et rapides, puis la positionne à quatre pattes.
Je la prends maintenant en levrette, le claquement de ses fesses sur le bas de mon ventre résonne dans cette sorte de grotte, c’est terriblement excitant. Et si je ne me trompe pas, Chantal prend aussi son pied, mon sexe est tellement humide que je me demande comment il fait pour rester encore aussi dur.
Celle-ci veut à présent changer de position pour faire le chandelier, elle est au-dessus de moi, elle monte descend, et la vision de cette poitrine énorme me rend complètement hystérique.
D’ailleurs, je n’hésite pas à les lécher quand je le peux, à les malaxer. Dans cette position, mon sexe est à son apogée, jamais je n’ai autant été aussi gros.
Au bout de dix minutes, ma partenaire tremble de nouveau, et n’arrive pas à retenir un cri strident. De mon côté, je me lâche complètement au fond de ses entrailles. Elle se couche sur moi par la fatigue, mais aussi par la puissance de notre escapade.
Je sens que mon sexe se ramolli, Chantal se relève, et je vois clairement le filet de sperme sortir de son vagin. Nous nous rhabillons, puis nous faisons comme si de rien n’était.
Et nous sortons du parc. Nous nous embrassons. Je lui demande si elle souhaite me revoir avant le nouvel an, elle me répond par l’affirmative, nous fixons donc un rendez-vous pour le jeudi qui suit.
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