D'ISABELLE. soumise à Moussa 3

- Par l'auteur HDS SAM BOTTE -
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : D'ISABELLE.  soumise à Moussa 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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D'ISABELLE. soumise à Moussa 3
La nuit commence à tomber. Il est plus de vingt heures.
Sofiane propose de continuer en boite. Isabelle est d’accord, les autres aussi évidemment.
Elle téléphone à ses parents pour avertir qu’elle reste dormir chez une copine.
Puis, elle s’approche de Moussa, elle lui lèche l’oreille et lui murmure :
- Merci mon chéri pour cette après midi.
- Ce n'est pas encore fini, on va en boite. Je suis sûr que tu vas t’éclater.
- OH ! OH ! M’éclater ou me faire éclater mon chéri ?

Moussa est éberlué par la réplique. Elle est en train de se soumettre à vitesse grand V. A ce train-là, elle va bientôt pouvoir tourner dans les caves ?
Il est tiré de ses pensées par Malik.
- Bon, on y va ? Tu montes avec moi Isabelle ?
- NON ! Mais oh ! Elle est avec moi, c'est ma pute, elle reste avec moi !
Moussa se doutait que ce salopard allait essayer de se faire sucer pendant le trajet !
- Bon ! On va avec Moussa reprennent à la volée Omar et Sofiane.

Tout le monde se rhabille. Isabelle n’a pas pris de change, elle doit remettre son débardeur et son short sans rien dessous.
Omar et Sofiane montent l’arriéré de la voiture.
Quelle n'est pas leur agréable surprise de voir Isabelle monter à l’arrière avec eux.
Les voitures démarrent, elles se mettent en route vers le secteur des boites.

Les deux voitures filent en direction de la zone des boites.
Dans l’une, Moussa au volant observe sa Isabelle dans le rétroviseur, au milieu de la banquette arrière elle se fait sévèrement tripoter par Omar et Sofiane.
Omar a une main dans le short d'isabelle et ses mouvements ne laissent aucun doute sur son activité de pistonnage dans sa chatte. Sofiane a une main sous le débardeur de la belle, il malaxe ses seins, en lui roulant un patin d’enfer qui étouffe les gémissements de plaisir de la jeune femme.

Isabelle a saisi leurs bites, elle les branle frénétiquement.
- Elle est vraiment chaude comme la braise ta petite pute ! S'exclame Omar.
- Vous êtes vraiment des chiens et dire que je suis obligé de conduire pendant que vous prenez du bon temps sous mon nez !
- Arrête de râler, qu'Isabelle se fasse baiser par nous, c'est ce que tu veux ? Alors laisse nous en profiter un peu !
- Ouais ? Ça ne manque pas les frères qui désirent baiser les jeunes femmes blanches.

Isabelle ne participe pas à la conversation, elle est en train d'administrer une sublime fellation à un Sofiane aux anges. Léchage de la hampe, engobage de testicules et gorge profonde, tout l'éventail de la parfaite petite pute soumise y passe.
Sofiane en peut résister longtemps à ce traitement, il crache sa purée dans la gorge d'Isabelle, que l'on entend avaler en déglutissant.
Elle dit à Omar qui a continué à lui branler la chatte.
- A ton tour, on va voir si ton sperme a le même goût que celui de Sofiane.
Sans attendre, elle engloutit le sexe érigé du jeune beur, pour son plus grand plaisir.

A l'avant, Moussa a de plus en plus de mal à se concentrer sur la route, sa bite semble vouloir déchirer son bermuda tellement elle est tendue.
Isabelle est devenue une véritable affamée, de l’avoir baisée à cinq au bord de la rivière l'a totalement désinhibée, à présent, elle veut du sexe, encore que du sexe.

Le petit convoi arrive finalement sur le parking de la discothèque.
En se garant, Moussa entend un profond râle de contentement sortant de la bouche d'Omar ? Isabelle semble être parvenue à ses fins !
Elle se redresse tout sourire en s’essuyant les lèvres.
- Ça se confirme ! Le goût du sperme diffère suivant les mecs.
Le petit groupe est rejoint par Malik et Abdou garés plus loin, ils sont dégoûtés, au récit du trajet raconté par Sofiane.
A l'entrée de la boite se trouve un videur, colosse black nommé Mamadou, que connaît bien les cinq gugusses puisqu’il vient du même quartier qu’eux.

A leur vue, il les interpelle.
- Eh les mecs, c'est ne même pas faisable. En bermuda et Tee-shirt ! Vous ne pouvez pas au moins vous acheter une chemise ?
- Sois cool, mon pote, on n'a pas eu le temps de repasser à nos piaules, aussi, on est accompagnés.
Dit Moussa dans un clin d’œil en désigne Isabelle qui se faufile entre les types et vient se planter devant Mamadou, qui a ainsi une vue imprenable sur le décolleté du débardeur qui laissait facilement deviner la taille respectable de ses seins et surtout l'absence de tout soutien.

- S'il vous plaît ? Si vous nous laissez entrer, je vous promets de vous récompenser. Minaude Isabelle de sa plus jolie voix, en se passant la langue sur les lèvres.
Mamadou adore les blanches, c'est son péché mignon. Il avale sa salive et articule. - Bon, OK, c'est bien parce que la jeune fille est là et que ça manque de filles à l'intérieur.
Ravi, le petit groupe se précipite dans la boite. C'est une boite orientale, beaucoup de RAÏ et de reggae en guise de musique.
Moussa entraîne sa Isabelle sur la piste de danse, il se lance dans une danse collée-serré en empoignant ses fesses à pleines mains.
Les autres se mettent en quête d'une cavalière pour partager la danse.

Moussa embrasse passionnément Isabelle tout en lui caressant les fesses. Il sait que cela la fait fondre. Il sent que sa bite reprend de la vigueur, il veut en faire profiter la belle.
- J'ai la trique, il faut que je te baise ?
- Allons aux toilettes mon chéri. J’ai toujours fantasmé sur le fait de baiser dans les toilettes d’une boite de nuit.

Les deux amants se précipitent aux toilettes hommes où ils s’enferment dans une des cabines. Elle descend son short, elle appuie ses mains contre le mur en se cambrant. Elle offre sa croupe aux virils assauts de son Moussa.
Celui-ci ne se le fait pas dire deux fois, il pénètre fougueusement cette moule si généreusement offerte, donnant de puissants et profonds coups de reins, il pousse son sexe tout au fond du puits d'amour de sa petite pute d'Isabelle.

Malik a vu le manège. Il entre dans les toilettes, il n'a pas de mal à repérer les fornicateurs, leurs soupirs langoureux et leurs gémissements étouffés les trahissent.
Il entend Moussa pousser le grognement significatif de l’orgasme, il vient encore une fois de remplir le vagin d'Isabelle.

Malik tape à la porte.
- Police ! On cherche une salope et un sérial niqueur !
Moussa ouvre.
- Malik ! T'es vraiment con quand tu t’y mets ! Fais une annonce au micro tant que tu y es !
- Vas-y, égoïste ! Tu vas tirer ton coup en crevard pendant que tu nous laisses comme des clebs !
Isabelle interrompt la dispute. - Arrête de râler, viens prendre sa place, j’ai encore envie.
Elle n’a pas changé de position, ses fesses toujours tendues, quelques gouttes du sperme de Moussa coule de sa chatte.

Malik se précipite vers Isabelle, il enfourne sans autre préliminaire son sexe dans sa moule baveuse, il commence un va-et-vient furieux.
Il agrémente sa pénétration d’insultes qui ont pour effet d’exciter encore plus Isabelle. - Salope, Pute, Vide couilles, Kabha, Kabha, Kabha !
Elle finit par jouir bruyamment, juste avant que Malik se vide lui aussi.
Heureusement, personne n'est entré dans les toilettes, la musique est trop forte en salle.

Tous les trois sortent des toilettes, ils vont se remettent à danser.
Elle sent le sperme de ses deux amants lui couler entre les cuisses. Elle ne s'est jamais sentie aussi épanouie et surtout aussi salope.
Malik lui offre un verre, il lui dit. - Tu as l’air d’être encore chaude ? Ça te dirait de rentrer avec nous au quartier ? On pourrait continuer à s’amuser, après, on te ramène chez toi demain matin.

Isabelle hésite, elle a lu dans les journaux que leur quartier, sans être une zone de non-droit, est quand même un lieu de trafic assez connu, elle a entendu des choses assez malsaines sur ce qui se passe dans les caves.
Pour être honnête, quand on lui a raconté, en imaginant la scène, elle en a mouillé.

Moussa, qui sent ses doutes, essaie de la rassurer. - T’inquiète pas, ma belle, c'est moi qui te le demande, personne ne te fera quelque chose que je ne voudrais pas. Tu es à moi dorénavant.
- Alors si c'est pour toi, je suis d’accord mon amour.
Malik va avertir Omar, Sofiane et Abdou.
Éberlués par la situation, mais ravis, ils se rejoignent et tout le monde se met en route.

A la sortie de la boite, Mamadou interpelle Isabelle. - Hé ! Poupée ! Tu m’as promis que si je vous laisse rentrer, tu me récompenseras ?
Elle regarde Moussa qui fait un oui de la tête. Elle répond, tout sourire.
- Attendez-moi là les gars ?
Elle prend Mamadou par le bras pour l’entraîner au vestiaire tout proche.
Au bout de cinq minutes, Moussa et Malik, intrigués, vont voir ce qui se passe.

Au fond du vestiaire, ils trouvent Isabelle entièrement nue, assise au bord d’une table. Mamadou, le pantalon sur les chevilles, entre les cuisses écartées d'Isabelle. Il la laboure à grands coups de bite. Spectacle est saisissant, cette grosse tige noire coulisse dans le vagin d'albâtre soigneusement entretenu.
- Alors, elle te plaît ma grosse poutre ? Demande Mamadou en la besognant.
- Oh oui, vas-y, continue, que c’est bon ! Répond Isabelle entre deux râles de plaisir.

Mamadou continue à pistonner le vagin de la jeune femme pendant quelques minutes sous les yeux envieux de ses deux amants, il finit par décharger son foutre dans la moule de la petite pute.
Il se rajuste pendant qu'elle reprend ses esprits, assise sur la table, son vagin déborde de sperme.
- Avec une récompense comme ça, tu peux venir tous les soirs si tu veux ?
Lui glisse Mamadou avant de retourner à son poste à l'entrée de la boite.

Moussa et Malik sont eux déjà retournés sur le parking en racontant sur ce qu'ils viennent de voir.
- Tu as vu ça ? Elle se fait sauter par n'importe qui a présent ! Attends, au quartier elle va se faire éclater. Il y a au moins quinze ou vingt mecs qui doivent attendre de tirer leur coup ?
- Oh ! Calme-toi ? La tournante c'est ton idée, je te rappelle que c'est ma pute, pas la tienne. Les caves, c'est bon pour avoir des emmerdes.

Tempère Moussa.
- Arrête ! Rappelle-toi la petite blonde binoclarde que j'avais levée dans une soirée étudiante. Je vous l'avais ramenée après l'avoir tirée dans ma bagnole. Et elle a adoré ! elle me l'a dit le lendemain.
- Ouais, enfin au départ, tu lui avais fait croire à un jeu sexuel. Attachée à des anneaux et les yeux bandés, elle a compris le traquenard quand elle a senti quatre bites se frotter à elle. Heureusement pour nous qu'on a réalisé un de ses fantasmes sans le savoir, sinon on serait tous en taule aujourd'hui.

Leur conversation est interrompue par l'arrivée d'Isabelle, titubante, encore sous le choc de son étreinte avec Mamadou. Elle s'approche de Moussa, elle lui dit. - Excuse-moi mon chéri, je n'en peux plus. Je préfère rentrer chez moi.
- Pas de problème, ma belle, je te ramène.
Malik et les autres sont visiblement déçus, cependant ils en ont quand même bien profité.
Tout le monde se dit au revoir sur le parking, après Moussa part avec sa Isabelle vers le domicile de ses parents.

Arrivés en bas, elle a encore assez de forces pour remercier son maquereau d'amoureux en lui prodiguant une fellation dont elle a le secret, agrémenté d'une cravate de notaire des plus agréables, avant de le faire éjaculer sur ses seins.
- Merci pour cette journée mon Moussa adoré, tu me rappelles ! J'ai bien vu que tes copains sont un peu déçus que je ne vienne pas avec vous dans votre quartier, mais promis, on se fait ça dès que possible. Tu pourras même choisir comment je m'habille. Soit en tenue de salope, petite écolière, secrétaire docile. C'est toi qui choisis, je suis à toi, tu le sais à présent.
Elle lui fait un clin d’œil en se passant la langue sur les lèvres, avant de disparaître dans le hall d'entrée de l'immeuble.

Après une bonne nuit de repos, elle se lève en pleine forme. Ses lèvres intimes sont un peu irritées tout de même. Elle va donc prendre une douche revigorante et passer une crème réparatrice sur sa chatte malmenée.
Elle pense la soirée d'hier. Elle s'est fait défoncer par une demi-douzaine de mecs, elle en a joui comme une petite pute.
Mais quelle salope, je suis se dit-elle. Hors le pire, c'est qu'elle languit recommencer.

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