D'une réunion d'Elus à la soumission
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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D'une réunion d'Elus à la soumission
D'une réunion d'Elus à la soumission -
Mûriana était loin de se douter du grand changement dans sa vie qui allait arriver en ce jour et qui aurait pu être banal comme un autre jour. Changement qui se profilait quand elle prit le train en direction du Beaujolais. En effet elle avait un rendez-vous professionnel avec les Elus d’une Communauté de Commune située près de Villefranche sur Saône au Nord de Lyon. Après un voyage sans encombre, elle finit son déplacement en taxi jusqu’à la commune où avait lieu la réunion à caractère purement professionnel, s’il y avait besoin de le rappeler. Il pleuvait abondement déjà depuis plusieurs heures et sans interruption quand elle franchit la porte d’entrée de la mairie concernée. Elle fut très bien accueillie par la secrétaire de Mairie qui la conduisit à la grande salle du Conseil Municipal où une vingtaine d’Elus de la Communauté de Communes l’attendait. La réunion se passa fort bien. Mûriana trouva parmi l’assemblée un interlocuteur à l’éloquence prestigieuse en la personne du premier adjoint de la commune qui accueillait la réunion. Ce premier adjoint n’était autre que le fameux Monsieur le Marquis d’Evans célèbre par son château, ses terres et domaines forestiers entourant le village. A l’issue de la longue réunion et par souci de bien accueillir les intervenants, un pot fut proposé où chaque participant pu se désaltérer et se régaler devant un copieux apéritif dînatoire en cette fin d’après-midi. Une certaine convivialité régnait quand la secrétaire de Mairie entra pour se diriger vers Monsieur le Maire pour lui annoncer discrètement une information à l’oreille. Le premier magistrat de la commune remercia sa secrétaire et demanda le silence pour s’exclamer :
- Mesdames et Messieurs, on vient de m’annoncer que la Mairie vient de recevoir un nouveau niveau d’alerte de la préfecture. En effet Météo France annonce de fortes pluies sur notre belle région. L’alerte passe d’orange à rouge pour cette nuit et de ce fait tous les transports sont immobilisés dès à présent que ce soient les trains comme les avions en partance de Lyon.
Un brouhaha confus se fit entendre dans l’assemblée. Tellement surprise, Mûriana ne put s’empêcher de parler tout haut de ce qu’elle pensait :
- Mais ? Je devais rentrer ce soir par mon train, se dit-elle … Faut donc que je me trouve un hôtel pas très loin, et nous verrons demain matin si le temps s’arrange …
Puis ne sachant pas trop à qui s’adresser, elle aperçut le Marquis d’Evans en train de déguster une coupe de champagne et donc elle se permis de l’interpeller car elle a été charmée par son charisme et son savoir-vivre lors de la réunion.
- Pardonnez-moi, Monsieur, mais y a-t’il un hôtel dans une de vos communes ?
Le Marquis se retourna. Il dévisagea d’abord de la tête au pied la femme qui venait l’interrompre dans sa dégustation, puis il pris un large sourire :
- Un hôtel ? Non et c’est un de nos gros soucis à la Com Com, essayer de redynamiser le commerce local en retrouvant au moins un restaurant à défaut d’un hôtel …- Ah ? … Mais ou vais-je dormir alors, je devais reprendre mon train ce soir et je ne sais que faire …- Vous cherchez un endroit pour dormir ? A part les hôtels à Villefranche/Saône, il n’y a rien par ici. Mais je doute qu’il soit bien prudent de vous y rendre en voiture maintenant car si la Saône est en crue, ce qui fort probable pour avoir une alerte rouge et si elle déborde sur la route vous risquez de ne jamais arriver …- Mais ? … Me voila donc coincée ici … Que faire … ?
- Vous n’avez aucun endroit pour vous loger cette nuit ? … (il réfléchit quelques secondes) Si vous le désirez, je peux vous offrir mon hospitalité, je suis le Marquis d’Evans et le propriétaire du château que vous avez dû apercevoir en arrivant ici. Si ça vous dit j’ai largement de quoi loger ! Ce ne sont pas les chambres qui manquent au château !
- Je ne sais pas … je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité …- Avouez que vous n’avez pas trop de choix ! Alors ne soyez pas gênée et acceptez sans réserves, vous serez bien logée et à l’abri des intempéries !
- Alors c’est d’accord ! Je vous remercie infiniment de votre hospitalité qui je l’avoue m’enlève une belle épine du pied- Je vous en prie. D’ailleurs je vous propose de partir de suite avant que la route du château soit inondée à son tour par la rivière qui la longe …- Merci. Le temps de prendre mon sac laissé ici à l’accueil et je vous suis, cher Monsieur.
La nuit venait de tomber en ce mois d’octobre et le voyage d’une quinzaine de minutes habituellement du village au château dura plutôt le double tellement la pluie battante ralentissait la voiture obligée à rouler prudemment. La visibilité nulle, les essuie-glaces actionnés à plein régime, c’est sous une trombe d’eau inouïe que la voiture de sport du Marquis arriva dans la cour du Château quasiment au pas tant on ne distinguait à peine l’allée centrale. Walter déboula rapidement les escaliers du perron avec un large parapluie ouvert pour venir accueillir son patron. Tous les trois entrèrent le plus vite possible à l’intérieur de la vieille demeure afin de se mettre à l’abri du déluge de pluie qui redoublait d’intensité
- Merci Walter, je te présente Madame Estier. Nous allons lui offrir l’hospitalité suite à ces intempéries. Occupe toi bien d’elle, veille à ce qu’elle ne manque rien. Donne lui la chambre bleue. Donne lui aussi des habits secs et montre lui la salle de bain N°3. (puis à Murîana) Madame, soyez la bienvenue, vous êtes ici chez vous et vous pouvez aller et venir dans les couloirs du château ! La seule chose que je vous demande est de ne pas aller de ce coté-ci, à l’aile gauche du château, vous risqueriez de … non rien .... (et saluant poliment Mûriana) … Je vous laisse entre les mains de Walter, il sera à votre disposition pour quoi que ce soit. Nous dînerons à 21h dans la grande Salle. A tout à l’heure.
- Je vous remercie Monsieur le Marquis mais …
Elle aurait voulu mieux lui exprimer sa reconnaissance mais le Marquis d’Evans avait déjà tourné les talons.
Le soir venu, après un bon bain salvateur dans une luxueuse baignoire aux robinets en or massif. Mûriana était détendue, si bien qu’elle resta nue sous son chaud, épais et si doux peignoir éponge aux liserés d’Or qui lui descendait jusqu’au talon. Sur sa poche poitrine il y avait les armoiries bleues et jaunes des Evans brodées de toute beauté. La ceinture de ce peignoir était aussi magnifique car elle avait l’apparence d’une longue tresse également brodée de filets d’or sur l’éponge blanche. Mûriana était bien. Elle appréciait cet amical accueil. Cependant une seule chose l’intriguait et elle n’arrêtait pas d’y penser. Pourquoi son hôte lui avait interdit d’aller dans l’aile gauche du château ? Et pourquoi n’avait-il pas voulu continuer sa phrase ‘’ … vous risqueriez de … non rien ....’’. De nature curieuse, trop peut-être, Mûriana après avoir réfléchi décida de déambuler dans le château et de se diriger avec prudence vers l’aile gauche se disant qu’après tout, l’accueil de Monsieur le Marquis était assez courtois pour qu’Il lui reproche quoi que ce soit. Et puis elle voulait trop étancher sa curiosité ! Qu’est-ce qu il y avait de si secret dans cette partie du château laquelle le châtelain lui avait interdit de s’y rendre ? … Il restait une trentaine de minutes avant le repas juste le temps d’aller jeter un petit coup d’œil ! C’est ainsi qu’elle sortit de sa chambre, qu’elle longea le couloir feutré, elle ne rencontra personne. Arrivée au fond, elle descendit les larges escaliers au tapis rouge pour se retrouver dans le vaste hall d’entrée. Personne … Alors après avoir hésité un petit peu, elle se dirigea vers l’aile gauche de la bâtisse. Elle osa ouvrir une épaisse porte massive de chêne vernis. Rien, personne encore et donc encouragée de ne trouver âme qui vive, elle avança le cœur battant tout de même, sachant qu’en principe cet endroit lui était interdit.
Au fond du couloir, un épais pilier circulaire soutenait un autre escalier mais celui-ci en colimaçon. Et ce qu’elle vit, était absolument surprenant à ses yeux, elle resta figée par la surprise, elle s’immobilisa. Là à quelques mètres d’elle, elle reconnut Walter debout en train de baiser par derrière une femme nue portant simplement un épais collier. Le majordome lui tirait les cheveux par la queue de cheval de la belle. La femme pliait ses reins en se baissant par le devant afin de donner de la rondeur à sa croupe laquelle subissait les assauts virils du sexe gonflé et dur de Walter. Mais ce qui commençait à exciter Mûrina après l’effet de surprise, était ce que disait le domestique ‘ :
- Allez petite chienne, tiens prend ça dans ton cul de salope, tu n’es qu’une soumise parmi les autres, qu’une esclave du cheptel de Monsieur le Marquis, une chienne bonne à baiser’’
A ce moment là Mûriana compris ce que vous dire le Marquis par ‘’ … vous risqueriez de … non rien ....’’ Elle compris ce qu’en réalité était son hôte. Mûriana aurait pu s’enfuir en silence mais elle était comme hypnotisée par la scène. Ses yeux regardaient cet accouplement pervers et elle n’arrivait pas à détourner son regard. La soumise haletait de plaisir, ses mains appuyées contre le pilier. Alors commença en cachette pour Mûriana une douce excitation qui montait en elle. Et c’est derrière un autre pilier à proximité qu’elle se dirigea en silence afin de se masturber tout en ne perdant rien de la scène si érotique si excitante. Elle défit la ceinture de son peignoir pour passer directement sa main sur son clitoris déjà bien excité. Elle se branla tel une voyeuse qu’elle était à cet instant. Ses doigts s’aventurèrent dans son sexe fort humide et elle commença à se doigter sa chatte si émoustillée quand elle entendit des pas derrière elle. Elle voulu au plus vite se retourner mais elle n’eut pas le temps de réagir, ni de voir cette présence énigmatique. Elle sentit simplement des mains qui lui bandaient les yeux d’un long bandeau noir puis on lui bâillonnait la bouche tandis qu’on la maintenait les bras avec force. Elle n’eut même pas le temps de crier qu’elle se sentit soulever puis emmener dans des longs couloirs .. Puis Mûriana comprit qu'on la descendit par des escaliers en colimaçon. Elle avait peur mais aussi une incompréhensible excitation d’être ainsi emmenée montait en elle. Puis elle entendit le bruit d'une porte qui grinça … Mûriana sentit qu’on la déposa puis qu'on l'attacha exhibée nue à une croix Saint Andrée, son peignoir lui ayant été retiré. Elle entendit que l’on parlait pas très loin et elle comprit qu’il y avait des gens proches, certainement dans la même pièce. Alors on lui enleva son bandeau ...
(à suivre …)
Mûriana était loin de se douter du grand changement dans sa vie qui allait arriver en ce jour et qui aurait pu être banal comme un autre jour. Changement qui se profilait quand elle prit le train en direction du Beaujolais. En effet elle avait un rendez-vous professionnel avec les Elus d’une Communauté de Commune située près de Villefranche sur Saône au Nord de Lyon. Après un voyage sans encombre, elle finit son déplacement en taxi jusqu’à la commune où avait lieu la réunion à caractère purement professionnel, s’il y avait besoin de le rappeler. Il pleuvait abondement déjà depuis plusieurs heures et sans interruption quand elle franchit la porte d’entrée de la mairie concernée. Elle fut très bien accueillie par la secrétaire de Mairie qui la conduisit à la grande salle du Conseil Municipal où une vingtaine d’Elus de la Communauté de Communes l’attendait. La réunion se passa fort bien. Mûriana trouva parmi l’assemblée un interlocuteur à l’éloquence prestigieuse en la personne du premier adjoint de la commune qui accueillait la réunion. Ce premier adjoint n’était autre que le fameux Monsieur le Marquis d’Evans célèbre par son château, ses terres et domaines forestiers entourant le village. A l’issue de la longue réunion et par souci de bien accueillir les intervenants, un pot fut proposé où chaque participant pu se désaltérer et se régaler devant un copieux apéritif dînatoire en cette fin d’après-midi. Une certaine convivialité régnait quand la secrétaire de Mairie entra pour se diriger vers Monsieur le Maire pour lui annoncer discrètement une information à l’oreille. Le premier magistrat de la commune remercia sa secrétaire et demanda le silence pour s’exclamer :
- Mesdames et Messieurs, on vient de m’annoncer que la Mairie vient de recevoir un nouveau niveau d’alerte de la préfecture. En effet Météo France annonce de fortes pluies sur notre belle région. L’alerte passe d’orange à rouge pour cette nuit et de ce fait tous les transports sont immobilisés dès à présent que ce soient les trains comme les avions en partance de Lyon.
Un brouhaha confus se fit entendre dans l’assemblée. Tellement surprise, Mûriana ne put s’empêcher de parler tout haut de ce qu’elle pensait :
- Mais ? Je devais rentrer ce soir par mon train, se dit-elle … Faut donc que je me trouve un hôtel pas très loin, et nous verrons demain matin si le temps s’arrange …
Puis ne sachant pas trop à qui s’adresser, elle aperçut le Marquis d’Evans en train de déguster une coupe de champagne et donc elle se permis de l’interpeller car elle a été charmée par son charisme et son savoir-vivre lors de la réunion.
- Pardonnez-moi, Monsieur, mais y a-t’il un hôtel dans une de vos communes ?
Le Marquis se retourna. Il dévisagea d’abord de la tête au pied la femme qui venait l’interrompre dans sa dégustation, puis il pris un large sourire :
- Un hôtel ? Non et c’est un de nos gros soucis à la Com Com, essayer de redynamiser le commerce local en retrouvant au moins un restaurant à défaut d’un hôtel …- Ah ? … Mais ou vais-je dormir alors, je devais reprendre mon train ce soir et je ne sais que faire …- Vous cherchez un endroit pour dormir ? A part les hôtels à Villefranche/Saône, il n’y a rien par ici. Mais je doute qu’il soit bien prudent de vous y rendre en voiture maintenant car si la Saône est en crue, ce qui fort probable pour avoir une alerte rouge et si elle déborde sur la route vous risquez de ne jamais arriver …- Mais ? … Me voila donc coincée ici … Que faire … ?
- Vous n’avez aucun endroit pour vous loger cette nuit ? … (il réfléchit quelques secondes) Si vous le désirez, je peux vous offrir mon hospitalité, je suis le Marquis d’Evans et le propriétaire du château que vous avez dû apercevoir en arrivant ici. Si ça vous dit j’ai largement de quoi loger ! Ce ne sont pas les chambres qui manquent au château !
- Je ne sais pas … je ne voudrai pas abuser de votre hospitalité …- Avouez que vous n’avez pas trop de choix ! Alors ne soyez pas gênée et acceptez sans réserves, vous serez bien logée et à l’abri des intempéries !
- Alors c’est d’accord ! Je vous remercie infiniment de votre hospitalité qui je l’avoue m’enlève une belle épine du pied- Je vous en prie. D’ailleurs je vous propose de partir de suite avant que la route du château soit inondée à son tour par la rivière qui la longe …- Merci. Le temps de prendre mon sac laissé ici à l’accueil et je vous suis, cher Monsieur.
La nuit venait de tomber en ce mois d’octobre et le voyage d’une quinzaine de minutes habituellement du village au château dura plutôt le double tellement la pluie battante ralentissait la voiture obligée à rouler prudemment. La visibilité nulle, les essuie-glaces actionnés à plein régime, c’est sous une trombe d’eau inouïe que la voiture de sport du Marquis arriva dans la cour du Château quasiment au pas tant on ne distinguait à peine l’allée centrale. Walter déboula rapidement les escaliers du perron avec un large parapluie ouvert pour venir accueillir son patron. Tous les trois entrèrent le plus vite possible à l’intérieur de la vieille demeure afin de se mettre à l’abri du déluge de pluie qui redoublait d’intensité
- Merci Walter, je te présente Madame Estier. Nous allons lui offrir l’hospitalité suite à ces intempéries. Occupe toi bien d’elle, veille à ce qu’elle ne manque rien. Donne lui la chambre bleue. Donne lui aussi des habits secs et montre lui la salle de bain N°3. (puis à Murîana) Madame, soyez la bienvenue, vous êtes ici chez vous et vous pouvez aller et venir dans les couloirs du château ! La seule chose que je vous demande est de ne pas aller de ce coté-ci, à l’aile gauche du château, vous risqueriez de … non rien .... (et saluant poliment Mûriana) … Je vous laisse entre les mains de Walter, il sera à votre disposition pour quoi que ce soit. Nous dînerons à 21h dans la grande Salle. A tout à l’heure.
- Je vous remercie Monsieur le Marquis mais …
Elle aurait voulu mieux lui exprimer sa reconnaissance mais le Marquis d’Evans avait déjà tourné les talons.
Le soir venu, après un bon bain salvateur dans une luxueuse baignoire aux robinets en or massif. Mûriana était détendue, si bien qu’elle resta nue sous son chaud, épais et si doux peignoir éponge aux liserés d’Or qui lui descendait jusqu’au talon. Sur sa poche poitrine il y avait les armoiries bleues et jaunes des Evans brodées de toute beauté. La ceinture de ce peignoir était aussi magnifique car elle avait l’apparence d’une longue tresse également brodée de filets d’or sur l’éponge blanche. Mûriana était bien. Elle appréciait cet amical accueil. Cependant une seule chose l’intriguait et elle n’arrêtait pas d’y penser. Pourquoi son hôte lui avait interdit d’aller dans l’aile gauche du château ? Et pourquoi n’avait-il pas voulu continuer sa phrase ‘’ … vous risqueriez de … non rien ....’’. De nature curieuse, trop peut-être, Mûriana après avoir réfléchi décida de déambuler dans le château et de se diriger avec prudence vers l’aile gauche se disant qu’après tout, l’accueil de Monsieur le Marquis était assez courtois pour qu’Il lui reproche quoi que ce soit. Et puis elle voulait trop étancher sa curiosité ! Qu’est-ce qu il y avait de si secret dans cette partie du château laquelle le châtelain lui avait interdit de s’y rendre ? … Il restait une trentaine de minutes avant le repas juste le temps d’aller jeter un petit coup d’œil ! C’est ainsi qu’elle sortit de sa chambre, qu’elle longea le couloir feutré, elle ne rencontra personne. Arrivée au fond, elle descendit les larges escaliers au tapis rouge pour se retrouver dans le vaste hall d’entrée. Personne … Alors après avoir hésité un petit peu, elle se dirigea vers l’aile gauche de la bâtisse. Elle osa ouvrir une épaisse porte massive de chêne vernis. Rien, personne encore et donc encouragée de ne trouver âme qui vive, elle avança le cœur battant tout de même, sachant qu’en principe cet endroit lui était interdit.
Au fond du couloir, un épais pilier circulaire soutenait un autre escalier mais celui-ci en colimaçon. Et ce qu’elle vit, était absolument surprenant à ses yeux, elle resta figée par la surprise, elle s’immobilisa. Là à quelques mètres d’elle, elle reconnut Walter debout en train de baiser par derrière une femme nue portant simplement un épais collier. Le majordome lui tirait les cheveux par la queue de cheval de la belle. La femme pliait ses reins en se baissant par le devant afin de donner de la rondeur à sa croupe laquelle subissait les assauts virils du sexe gonflé et dur de Walter. Mais ce qui commençait à exciter Mûrina après l’effet de surprise, était ce que disait le domestique ‘ :
- Allez petite chienne, tiens prend ça dans ton cul de salope, tu n’es qu’une soumise parmi les autres, qu’une esclave du cheptel de Monsieur le Marquis, une chienne bonne à baiser’’
A ce moment là Mûriana compris ce que vous dire le Marquis par ‘’ … vous risqueriez de … non rien ....’’ Elle compris ce qu’en réalité était son hôte. Mûriana aurait pu s’enfuir en silence mais elle était comme hypnotisée par la scène. Ses yeux regardaient cet accouplement pervers et elle n’arrivait pas à détourner son regard. La soumise haletait de plaisir, ses mains appuyées contre le pilier. Alors commença en cachette pour Mûriana une douce excitation qui montait en elle. Et c’est derrière un autre pilier à proximité qu’elle se dirigea en silence afin de se masturber tout en ne perdant rien de la scène si érotique si excitante. Elle défit la ceinture de son peignoir pour passer directement sa main sur son clitoris déjà bien excité. Elle se branla tel une voyeuse qu’elle était à cet instant. Ses doigts s’aventurèrent dans son sexe fort humide et elle commença à se doigter sa chatte si émoustillée quand elle entendit des pas derrière elle. Elle voulu au plus vite se retourner mais elle n’eut pas le temps de réagir, ni de voir cette présence énigmatique. Elle sentit simplement des mains qui lui bandaient les yeux d’un long bandeau noir puis on lui bâillonnait la bouche tandis qu’on la maintenait les bras avec force. Elle n’eut même pas le temps de crier qu’elle se sentit soulever puis emmener dans des longs couloirs .. Puis Mûriana comprit qu'on la descendit par des escaliers en colimaçon. Elle avait peur mais aussi une incompréhensible excitation d’être ainsi emmenée montait en elle. Puis elle entendit le bruit d'une porte qui grinça … Mûriana sentit qu’on la déposa puis qu'on l'attacha exhibée nue à une croix Saint Andrée, son peignoir lui ayant été retiré. Elle entendit que l’on parlait pas très loin et elle comprit qu’il y avait des gens proches, certainement dans la même pièce. Alors on lui enleva son bandeau ...
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