Daniel 3 - histoire érotique

Bon tu as du temps à passer pour m’aider un peu à rendre mon petit chez moi habitable et propre ?
-Bah en ce moment c’est calme alors ok il te faut quoi ?
Ben, un matelas propre des draps, une couette et un peu de trucs pour me préparer à manger. Un petit frigo-congélo je pense aussi.
-Ok je vois, on va prendre la fourgonnette. Elle est propre et il y aura de la place.
Une fois sorti du garage il m’a un peu perdu dans les petites rues et s’est arrêté sur une place.
-Passe derrière, il faut me remercier. Il me fixait vicieusement, la main sur son paquet. Je sais ce que tu vaux avec ta bouche mais avec ton cul ?
Je ne suis pas puceau tout à fait je me suis déjà godé. Mais pas de vraies bites en moi.
-Je vais arranger ça de suite. A genoux et suce moi, bave bien sur le gland. Démerde toi pour virer ton froc et ton boxer que je puisse le voir et le baiser.
Il me faisait bander comme un fou de me parler comme ça. J’ai bien sur obéis en me tortillant pour tout ôter.
-Redresse toi et appuie toi sur le siège avant, creuse les reins.
Des mecs peuvent voir par le pare-brise !
-Et alors ? Souris et gémis doucement, ne crie pas je vais entrer dans tes fesses.
Il en avait de bonnes. Sourire, crispé plutôt quand j’ai senti son gland pousse sur mon trou. J’ai retenu un petit cri quand il est entré et j’ai fermé les yeux. Il est entré en forçant et j’ai eu l’impression qu’on me rentrait du fer rouge. Il n’a pas bougé un moment le temps que je m’habitue.
-Ça va ? Je sens bien que je suis le premier mais tes poils me gênent on arrangera ça plus tard.
Il a commencé en remuer en moi. Passant la main sur mon sexe je l’ai trouvé raide et humide. Pendant qu’il me ramonait doucement je me suis branlé et comme ça allait bien je me suis appuyé sur lui.
-Tu as l’air d’aimer ça. Moi j’aime ton trou et en bossant chez nous je l’aurais à disposition.
Je, je vais jouir Éric !
-Retiens toi encore un peu et je me retire.
J’ai laissé ma main sur mon gland, mes doigts glissaient dans ma bave et une fois qu’il s’est retiré j’ai relâché la pression, en deux coups j’ai joui devant moi, Éric lui giclait sur mon dos.
-Je suis sur que tu vas faire une bonne salope avec des trous faits pour la pine.
Il a passé un chiffon sur mon dos et par terre.
-Allons faire tes courses. Il a repris le volant et s’est arrêté sur le parking d’un Conforama.
Au début je sentais encore sa queue et mon trou ouvert mais rapidement tout a été comme avant.
-Choisis ton matelas et je trouve un vendeur.
J’étais con je ne connaissais pas la largeur mais Éric si et j’en ai vu un que le vendeur m’a conseillé
-Ce n’est pas de la mousse et il convient, souple mais pas trop et vous vous habituerez.
Ok il me faut aussi un petit réfrigérateur-congélateur, pas grand et pas cher pour équiper un mobile home.
-Ok je suppose que vous emportez le tout ? J’ai celui-ci, pas large mais convenable et je l’ai en stock.
Bien, Éric tu pourrais payer, je n’ai pas encore mis le chèque de ton père à la banque.
-Oui bien sur je passe à la caisse et je vais attendre au quai ?
-Tout à fait. Dans dix minutes ce sera prêt et on vous appellera.
C’est dingue comme les choses sont facile quand on a du fric.
-Et quand on a un beau cul aussi.
Je ne te remercierais jamais assez.
On a été appelé et après la signature et vu la camionnette, ils nous ont conseillés de garder le frigo droit. Une fois chargé il a roulé un peu plus loin vers un centre commercial pour les ustensiles et puis on est passé au rayon fringues.
-Tu vas avoir chaud là-dedans, prends deux shorts larges et deux tee-shirts. On a encore à passer à la banque et j’ai la fringale avec toi j’ai sauté me repas de midi.
J’ai souri. Pas que le repas de sauté !
La banque était dans le centre et là ce fut rapide grâce à Éric car je ne connaissais même pas l’adresse du garage. J’aurais un chéquier et une carte sous peu mais je pouvais avoir cinq cents euros en dépannage avant de recevoir le tout.
On est retourné au garage sortir tout le fatras et jeter dans une benne le vieux matelas qui puait la sueur. Une fois tout en place il m’a dit de le suivre au Mac do du coin, il avait trop la dalle.
-Il faut que tu sois rentré pour 18 heures, pour fermer la grille si personne ne travaille et que tu lâches le chien. Ensuite t’es cool jusqu’à ce que le chien te prévienne que les mécanos rentrent. Et là tu fais l’inverse tu rentres ton chien et tu les laisses entrer. Ce soir je reste avec toi.
On a mangé comme des affamés au Mac do avant de rentrer.
-Bon il faut que tu connaisses tout le monde alors mets-toi au bureau devant la vitre coulissante. Pour le moment il n’y a personne et tu peux virer ton jean et ton boxer. On ne verra pas que tu es nu sous le bureau.
J’ai flippé pour me dessaper et m’installer. Il s’est mis à côté de moi.
Regarde sur le mur tu as les photos du personnel. Le patron et la secrétaire tu les connais. La plupart habites le coin et partes à pied. Tu sortiras fermer le portail ensuite.
A poil ?
Ton tee-shirt suffira.
Les mecs ont défilé l’un après l’autre, bavardant entre eux, me jetant un coup d’œil en passant. La nana elle est sortie en voiture avec un sourire et le patron est passé, descendant la fenêtre pour me dire que tout le monde était parti que je pouvais fermer au cadenas. J’ai attendu de ne plus voir sa voiture pour aller fermer, tirant sur mon tee-shirt pour ne pas qu’un passant voie ma queue. Et je suis allé lâcher le chien.
En revenant, Éric était à quatre pattes fixant des anneaux aux quatre coins du montant du lit.
Tu fais quoi là ?
-Tu ne devines pas ?
Euh non, enfin j’espère que non.
-Eh bien si. C’est pour t’attacher quelquefois. J’aime bien le côté soumis que ça donne nu, en croix sur le lit. En attendant sors du sac que j’ai amené une canule. J’ai trouvé ton cul pas très propre tout à l’heure. Va à la douche te laver l’intérieur. Tu pourras sucer après que je t’ai bourriné le cul.
En fouillant le sac je n’ai pas vu que la canule mais je n’ai pu m’empêcher de bander. Je l’ai trouvé au fond et une fois nu j’ai ajusté la canule et me suis lavé l’intérieur avec peu de pression et j’ai laisser couler. En effet je n’étais pas très propre et une fois la canule retirée je me suis savonné partout et rincé Il avait fini de fixer les anneaux.
-Tu ne t’es pas séché ? Tu as raison avec la chaleur. En pus ce sera plus facile pour raser autour de ton petit trou. Mets-toi sur le lit, à genoux, écarte les, et mets ta tête sur tes genoux que je voie bien ta raie et ton trou qui me donne du plaisir, comme à toi je suis sur !
Dans cette position je ne pouvais qu’exposer mon anus et j’ai frémis sous la caresse bien ciblée sur la partie la plus sensible.
-Je n’avais pas trop vu mais là oui, tu as peu de poils mais sans aucuns tu auras un très beau cul. Une vraie petite chatte pour mecs.
Pour toi en tout cas.
-Pas que. Mais on verra par la suite.
Il a mis une noix de gel sur mes poils humides et a rasé autour. Le rasoir à lames vibrait et ma queue était raide. A la fin il a mis une petite glace devant et j’ai pu voir mon trou brun tout plissé sans poils pour le cacher, entre mes genoux.