Daniel 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Daniel 4
Humm cette fois tu es vraiment fait pour ma queue. Ne bouges plus je vais te la mettre tout de suite, sans poils et avec le reste de gel ça va entrer tout seul. Il s’est mis à genoux derrière moi et a posé son gland sur mon petit trou.
Il a eu beau dire j’ai quand même râlé quand il a forcé l’ouverture et sans même attendre, donné des coups de rein en me ramonant. Lentement d’abord, de plus en plus loin puis de plus en plus vite me faisant haleter et mes doigts glissaient sur mon gland sans jouir. Cette fois il m’a fait retourner pour me faire sucer et a craché son jus dans ma bouche.
-Branle toi, tu baves de plaisir comme une vraie lope. Regarde-moi, ne ferme pas les yeux.
Il pelotait mes couilles et d’un coup j’ai tout envoyé sur mon ventre.
-T’es une bonne lopette et j’aime bien ton côté obéissant. En revanche un de ces jours je te ferais comme moi et passerai la tondeuse dans tes poils autour de la bite. Une fois dégagée elle sera plus belle à voir. Je vais me doucher tu iras après, il ne faudrait pas que tu ne te réveilles pas le premier jour. Un peu de sommeil nous fera du bien et le chien surveille lui.
Pendant sa douche je me suis touché l’anus, surpris de le trouver fermé mais plus souple qu’avant, le doigt passait sans presque forcer. Il est sorti juste quand je me touchais.
-Alors tu vérifies s’il reste ouvert ? Mais non pas encore assez baisé pour ça. Tu revérifieras dans quinze jours. File à la douche.
Au retour, sec, j’ai réalisé que c’était la première fois que j’allais dormir une nuit entière avec un mec. Je me suis allongé, il a voulu que je lui tourne le dos et s’est collé à moi, emboités comme deux cuillères il m’a claqué la fesse.
-Dors ta première journée ou de nuit commence. Si le chien grogne c’est que quelqu’un passe. S’il aboie tu iras voir.
Daniel4
Fatigué de ma journée si changeante à tout point de vue je me suis endormi contre lui. Réveillé parfois par les grognements du chien et la queue d’Éric qui se raidissait dans son sommeil. Sans rideau j’ai été réveillé assez vite le matin et j’ai fait du café, passant un tee-shirt et un des shorts sur moi. Je rêvassais à ma situation et à mon devenir. J’ai entendu du bruit dans les toilettes et Éric est venu à poil.
Quand tu te réveilles pour te lever tu me suces en premier.
Sa queue était raide et dégageait une petite odeur d’urine mais j’ai sucé avec plaisir son beau membre raide jusqu’à l’explosion dans ma bouche.
-Je vais me recoucher. Quand ils seront tous entrés tu viendras me réveiller pour que je t’encule.
Il a dit ça sur le ton d’un maître et je n’ai fait qu’acquiescer.
Un peu plus tard un coup de klaxon m’a fait sursauter. J’ai fait signe au patron que je rentrais le chien et je suis revenu ouvrir la grille. Il s’est arrêté à ma hauteur.
-Rien à signaler ?
Non monsieur la nuit a été tranquille.
-Laisse ouvert les ouvriers vont arriver et tu seras libre jusqu’à ce soir. Mon fils est là évidemment ?
Euh oui il dort encore.
-Quand il sera réveillé envoie le moi au bureau. Toi t’as l’air de bien lui plaire.
La secrétaire est arrivée avec le sourire et les ouvriers ensuite. Le dernier passé je suis allé donner à manger au chien puis j’ai réveillé Éric.
Il bandait quand j’ai approché. J’ai ôté mon short, Il était beau nu et je lui ai fait un bisou sur le front.
-Ah c’est toi. Assieds-toi sur moi une cuisse de chaque côté et tu guides toi-même ma queue entre tes fesses. J’ai toujours envie le matin.
Comme moi aussi j’avais envie il est entré facilement, je m’appuyais doucement puis de tout mon poids.
-Branle toi dessus, tu bandes mais ne te touches pas.
Oh le salaud ce qu’il me faisait du bien avec son sexe, je me soulevais à peine pour retomber sur lui. Il a passé le doigt sur mon gland et me l’a tendu à sucer.
C’était vicieux mais j’ai souri en suçant son doigt.
-Ce n’est pas pour te faire de la peine mais t’es une vraie chienne quand je te baise !
Je prends mon pied et en fait dans cette position c’est toi que je viole. Je profite de ta queue un maximum. Quand j’ai dit ça il a eu un sursaut, sa queue a grossie un peu, il jouissait dans mon cul.
-Maintenant branle toi, garde ma queue dans tes fesses.
Je n’ai pas été long à jouir devant moi sur son ventre.
-Maintenant tu te retires et tu nettoies mon ventre de ton sperme !
J’avais déjà gouté mon propre sperme et je l’ai fait sans hésitation. Une fois fini je lui ai dis que son père voulait le voir à son réveil.
-Je m’habille et j’y vais. Arrange les draps et nettoie un peu que ce ne soit pas une porcherie. J’ai d’abord été aux toilettes évacuer son jus avant de redresser les draps chiffonnés et nettoyer les tasses et la machine à café en ayant remis mon short.
J’avais refermé la vitre et je voyais des clients passer en voiture. Éric est revenu.
-Mon père a bien compris que tu étais mon amant. Les vieux n’ont pas nos mots pour savoir que t’es ma chienne. Bon on va faire un tour que tu connaisses un peu le coin et que je te donne tes leçons de conduite. Il va faire chaud et on pourra se baigner emporte une serviette.
La voiture où il m’a entrainé n’était pas neuve mais était électrique avec deux seules pédales.
-Pour toi plus tard ce sera plus facile. Je vais vers la plage où on ira tout à l’heure s’y baigner. Il y a surtout des bars le long et j’ai des potes à saluer.
En fait elle n’était qu’à deux rues du garage et il s’est garé. Descend que je te présente mes potes.
Dehors en terrasse des hommes fumait la chicha et à l’intérieur à une table deux mecs discutaient dans un coin. Éric c’est dirigé vers eux.
-Salut les mecs ça va ?
-Ouais ça roule mon pote. C’est qui lui ?
-Ma chienne, elle était toute neuve hier mais commence à savoir que lui ne fait pas l’homme.
Il y a eu des rires gras.
-Elle connait sa place ?
J’étais jaugé par deux jeunes typés Afrique du nord et le plus près a passé la main sous mon short. J’ai senti son doigt passer entre mes fesses et toucher mon trou.
-Tout beau et presque neuf. Il sera au point assez vite surement. Il bosse chez ton père ?
-Depuis hier oui.
-Pas farouche en tout cas. Tu nous l’amèneras un de ces jours ?
-A vous de voir combien je vais y gagner.
-Bah tel qu’il est, il vaut cher. Hein ma poule.
Il avait pris ma main et la posait sur sa braguette.
-Tu sens la différence avec celle de ton pote ? Palpe ne te gêne pas !
C’était gros, chaud mais surement trop pour moi.
-Bon les mecs maintenant vous savez qu’il est à moi alors pas touche ok ?
-Fais pas le méchant, on tâte la marchandise. On a d’autres salopes pour nos services. Il aura un beau trou de pute après.
-Ouais, après mais pour le moment je me le fais comme il est. Un peu serré mais il s’améliore. Aller vient on va marcher un peu.
J’étais content de sortir de ce bar et on a marché vers ce qui devait être le centre commercial. Éric connu un peu partout répondait aux différents saluts et s‘est arrêté devant une boutique de sport.
-Jean est là ?
Ah oui il doit être au fond. Tu veux que je l’appelle ?
-Non j’y vais avec lui.
Au fond du magasin un jeune rangeait des cartons.
-Salut lopette. T’as deux minutes ?
-Euh oui bien sur pour vous oui.
-Ce soir tu n’as rien de prévu ?
-Rien qui m’embête vous avez envie ?
Éric a souri.
-Toujours tu sais bien mais je voudrais vous voir vous gouiner tous les deux, toi et lui mon nouveau.
-Ah ! Donc je suis remplacé.
-Oui mais je te verrais de temps en temps. Viens avant la fermeture et entre dans le mobile home du gardien tu le reconnaîtras. Je devrais être là aussi. A ce soir.
Il a eu beau dire j’ai quand même râlé quand il a forcé l’ouverture et sans même attendre, donné des coups de rein en me ramonant. Lentement d’abord, de plus en plus loin puis de plus en plus vite me faisant haleter et mes doigts glissaient sur mon gland sans jouir. Cette fois il m’a fait retourner pour me faire sucer et a craché son jus dans ma bouche.
-Branle toi, tu baves de plaisir comme une vraie lope. Regarde-moi, ne ferme pas les yeux.
Il pelotait mes couilles et d’un coup j’ai tout envoyé sur mon ventre.
-T’es une bonne lopette et j’aime bien ton côté obéissant. En revanche un de ces jours je te ferais comme moi et passerai la tondeuse dans tes poils autour de la bite. Une fois dégagée elle sera plus belle à voir. Je vais me doucher tu iras après, il ne faudrait pas que tu ne te réveilles pas le premier jour. Un peu de sommeil nous fera du bien et le chien surveille lui.
Pendant sa douche je me suis touché l’anus, surpris de le trouver fermé mais plus souple qu’avant, le doigt passait sans presque forcer. Il est sorti juste quand je me touchais.
-Alors tu vérifies s’il reste ouvert ? Mais non pas encore assez baisé pour ça. Tu revérifieras dans quinze jours. File à la douche.
Au retour, sec, j’ai réalisé que c’était la première fois que j’allais dormir une nuit entière avec un mec. Je me suis allongé, il a voulu que je lui tourne le dos et s’est collé à moi, emboités comme deux cuillères il m’a claqué la fesse.
-Dors ta première journée ou de nuit commence. Si le chien grogne c’est que quelqu’un passe. S’il aboie tu iras voir.
Daniel4
Fatigué de ma journée si changeante à tout point de vue je me suis endormi contre lui. Réveillé parfois par les grognements du chien et la queue d’Éric qui se raidissait dans son sommeil. Sans rideau j’ai été réveillé assez vite le matin et j’ai fait du café, passant un tee-shirt et un des shorts sur moi. Je rêvassais à ma situation et à mon devenir. J’ai entendu du bruit dans les toilettes et Éric est venu à poil.
Quand tu te réveilles pour te lever tu me suces en premier.
Sa queue était raide et dégageait une petite odeur d’urine mais j’ai sucé avec plaisir son beau membre raide jusqu’à l’explosion dans ma bouche.
-Je vais me recoucher. Quand ils seront tous entrés tu viendras me réveiller pour que je t’encule.
Il a dit ça sur le ton d’un maître et je n’ai fait qu’acquiescer.
Un peu plus tard un coup de klaxon m’a fait sursauter. J’ai fait signe au patron que je rentrais le chien et je suis revenu ouvrir la grille. Il s’est arrêté à ma hauteur.
-Rien à signaler ?
Non monsieur la nuit a été tranquille.
-Laisse ouvert les ouvriers vont arriver et tu seras libre jusqu’à ce soir. Mon fils est là évidemment ?
Euh oui il dort encore.
-Quand il sera réveillé envoie le moi au bureau. Toi t’as l’air de bien lui plaire.
La secrétaire est arrivée avec le sourire et les ouvriers ensuite. Le dernier passé je suis allé donner à manger au chien puis j’ai réveillé Éric.
Il bandait quand j’ai approché. J’ai ôté mon short, Il était beau nu et je lui ai fait un bisou sur le front.
-Ah c’est toi. Assieds-toi sur moi une cuisse de chaque côté et tu guides toi-même ma queue entre tes fesses. J’ai toujours envie le matin.
Comme moi aussi j’avais envie il est entré facilement, je m’appuyais doucement puis de tout mon poids.
-Branle toi dessus, tu bandes mais ne te touches pas.
Oh le salaud ce qu’il me faisait du bien avec son sexe, je me soulevais à peine pour retomber sur lui. Il a passé le doigt sur mon gland et me l’a tendu à sucer.
C’était vicieux mais j’ai souri en suçant son doigt.
-Ce n’est pas pour te faire de la peine mais t’es une vraie chienne quand je te baise !
Je prends mon pied et en fait dans cette position c’est toi que je viole. Je profite de ta queue un maximum. Quand j’ai dit ça il a eu un sursaut, sa queue a grossie un peu, il jouissait dans mon cul.
-Maintenant branle toi, garde ma queue dans tes fesses.
Je n’ai pas été long à jouir devant moi sur son ventre.
-Maintenant tu te retires et tu nettoies mon ventre de ton sperme !
J’avais déjà gouté mon propre sperme et je l’ai fait sans hésitation. Une fois fini je lui ai dis que son père voulait le voir à son réveil.
-Je m’habille et j’y vais. Arrange les draps et nettoie un peu que ce ne soit pas une porcherie. J’ai d’abord été aux toilettes évacuer son jus avant de redresser les draps chiffonnés et nettoyer les tasses et la machine à café en ayant remis mon short.
J’avais refermé la vitre et je voyais des clients passer en voiture. Éric est revenu.
-Mon père a bien compris que tu étais mon amant. Les vieux n’ont pas nos mots pour savoir que t’es ma chienne. Bon on va faire un tour que tu connaisses un peu le coin et que je te donne tes leçons de conduite. Il va faire chaud et on pourra se baigner emporte une serviette.
La voiture où il m’a entrainé n’était pas neuve mais était électrique avec deux seules pédales.
-Pour toi plus tard ce sera plus facile. Je vais vers la plage où on ira tout à l’heure s’y baigner. Il y a surtout des bars le long et j’ai des potes à saluer.
En fait elle n’était qu’à deux rues du garage et il s’est garé. Descend que je te présente mes potes.
Dehors en terrasse des hommes fumait la chicha et à l’intérieur à une table deux mecs discutaient dans un coin. Éric c’est dirigé vers eux.
-Salut les mecs ça va ?
-Ouais ça roule mon pote. C’est qui lui ?
-Ma chienne, elle était toute neuve hier mais commence à savoir que lui ne fait pas l’homme.
Il y a eu des rires gras.
-Elle connait sa place ?
J’étais jaugé par deux jeunes typés Afrique du nord et le plus près a passé la main sous mon short. J’ai senti son doigt passer entre mes fesses et toucher mon trou.
-Tout beau et presque neuf. Il sera au point assez vite surement. Il bosse chez ton père ?
-Depuis hier oui.
-Pas farouche en tout cas. Tu nous l’amèneras un de ces jours ?
-A vous de voir combien je vais y gagner.
-Bah tel qu’il est, il vaut cher. Hein ma poule.
Il avait pris ma main et la posait sur sa braguette.
-Tu sens la différence avec celle de ton pote ? Palpe ne te gêne pas !
C’était gros, chaud mais surement trop pour moi.
-Bon les mecs maintenant vous savez qu’il est à moi alors pas touche ok ?
-Fais pas le méchant, on tâte la marchandise. On a d’autres salopes pour nos services. Il aura un beau trou de pute après.
-Ouais, après mais pour le moment je me le fais comme il est. Un peu serré mais il s’améliore. Aller vient on va marcher un peu.
J’étais content de sortir de ce bar et on a marché vers ce qui devait être le centre commercial. Éric connu un peu partout répondait aux différents saluts et s‘est arrêté devant une boutique de sport.
-Jean est là ?
Ah oui il doit être au fond. Tu veux que je l’appelle ?
-Non j’y vais avec lui.
Au fond du magasin un jeune rangeait des cartons.
-Salut lopette. T’as deux minutes ?
-Euh oui bien sur pour vous oui.
-Ce soir tu n’as rien de prévu ?
-Rien qui m’embête vous avez envie ?
Éric a souri.
-Toujours tu sais bien mais je voudrais vous voir vous gouiner tous les deux, toi et lui mon nouveau.
-Ah ! Donc je suis remplacé.
-Oui mais je te verrais de temps en temps. Viens avant la fermeture et entre dans le mobile home du gardien tu le reconnaîtras. Je devrais être là aussi. A ce soir.
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