Danièle, de la réticence à la jouissance

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Danièle, de la réticence à la jouissance Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Danièle, de la réticence à la jouissance
Danièle rentrait de son travail à l'agence de voyage quand elle découvrit son mari Bernard, tout récent retraité, devant son ordinateur train de regarder une vidéo porno. Agacée mais tolérante, elle s'approcha de lui pour lui faire la bise tout en lui disant ;
- Tu n'as rien d'autre à faire que regarder ces cochonneries ? Je te rappelle que la pelouse attend d'être tondue.
- Je vais la tondre, ta pelouse et je te rappelle que ces "cochonneries", tu les regardes parfois avec moi.

Allusion un peu perfide au fait qu'avant de faire l'amour, le couple visionnait une de ces vidéos, même si ce n'était pas arrivé depuis un bon bout de temps. Leur libido avait pris un coup de vieux et si Bernard tentait de la ranimer par ces visions, Danièle n'en profitait guère sans que cela l'affecte particulièrement. Elle n'était pas loin de penser qu'elle avait rendu les armes bien que son allure de petite blonde menue à cheveux courts, assez sophistiquée, démontrait une volonté de ne pas se laisser aller.

- Au lieu de me faire la morale, regarde plutôt ça, lui dit Bernard.
- Tu y tiens vraiment ? Attends au moins que je pose mon sac et me déchausse.
Ainsi disponible, sinon emballée, Danièle découvrit la scène. Une femme mûre se faisait prendre dans diverses positions par un homme noir supérieurement membre sous l'oeil du mari, auquel elle s'adressait pour clamer son plaisir et le remercier de ce beau cadeau.
- Je n'y crois pas une seconde, dit Danièle. Jamais un mari aimant sa femme n'accepterait ça.
- Eh bien moi si. J'ai toujours rêvé de te regarder baiser avec un étalon dans ce genre.
- Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ?
- Ne sois pas hypocrite. Avoue qu'un type comme ce Noir dans ton lit ne te déplairait pas.
- C'est sûr qu'il a des arguments que tu n'as plus.
- Donc tu baiserais bien avec lui, si je te donnais mon accord.
- Encore faudrait il que je le fasse bander.
- Mais tu es encore bandante, ma chérie. Et tu baises bien.
- Mais où veux tu en venir à la fin ?
- Je veux qu'on fasse comme le couple de la vidéo. Je veux que tu baises avec un étalon devant moi.
- Même pas en rêve. Ces cochonneries ne sont plus de mon âge, espèce de voyeur libidineux. Bon, laisse moi me déshabiller maintenant, je dois préparer le dîner.
****
Bernard n'évoqua plus le sujet mais le dimanche suivant, sur le coup de midi, on sonna à la porte. Danièle vint ouvrir en tablier de cuisine, s'attendant à quelque visite familiale. Elle tomba nez à nez avec un métis en débardeur et coiffure rasta, tout sourire :
- C'est bien ici chez Bernard et Danièle ?
- Euh oui je suis Danièle, c'est pourquoi ?
Bernard intervint alors :
- Entrez Moïse, oui c'est bien ici.

Danièle tomba des nues. Elle avait tout de suite compris que Bernard la mettait devant le fait accompli pour satisfaire son fantasme. Il avait payé une espèce d'escort boy. Elle pouvait encore congédier le jeune homme, mais elle ne fit pas. Au contraire, elle obéit à son mari d'ajouter un couvert. Elle lui en voulait de ne pas l'avoir prévenue. Elle aurait pu au moins mettre une vraie robe et du rouge à lèvres au lieu de se présenter en tablier de cuisine et pas maquillée, en ménagère du dimanche face à ce beau garçon qui leur faisait l'honneur de à visite dominicale.

C'est que depuis l'idée émise par Bernard et jugée "inconvenante, déplacée, immorale" etc. une vieille histoire lui était revenue en mémoire. Elle avait alors une vingtaine d'années, en pleine révolution sexuelle. Débutante dans sa profession, elle avait été entraînée par sa cheffe d'agence dans un voyage d'études hivernal en Côte d'Ivoire. Bien que mariée, sa cheffe prénommée Josette, quadragénaire délurée, avait organisé une virée avec deux correspondants ivoiriens qui s'était achevée après le dîner par un "plan à quatre" auquel Danièle n'avait pas osé se dérober.

Or, cette transgression inédite s'était traduite par un panard monumental dont elle n'avait jamais retrouvé l'intensité. Du sexe à l'état brut qui lui avait mis la tête à l'envers et le corps en feu devant sa cheffe, elle aussi au septième ciel. Leurs relations n'avaient des lors plus été les mêmes parce qu'elles avaient été baisées dans le même lit et mêle leurs cris de plaisir.

Elle n'en avait jamais parlé à Bernard après son mariage où elle s'était conformée à la morale traditionnelle, sauf un soir en Espagne où Bernard avait voulu l'entraîner dans un sauna libertin. Elle s'était tapée goulument trois types dans la même soirée et c'est un peu ce souvenir, sans lendemain, qui avait incite Bernard à tenter le coup de Moïse, bien que Danièle s'estimait "rangée des wagons". Ils ne faisaient plus l'amour qu'épisodiquement, quasi par hygiène. Bernard était surtout devenu voyeur et amateurs de vidéo porno.

L'attitude de Danièle le rassura. Non seulement elle n'avait pas viré le métis mais elle s'était changée pour une courte robe à boutons qu'elle ne mettait plus. Elle avait ajouté un couvert sans barguigner et participe à la conversation sur quelques banalités. La situation était insolite. Danièle savait que le jeune homme était venu la baiser devant son mari et que tout reposait sur son bon vouloir.

Mais le voulait elle vraiment ? Là était la question. Elle se sentait d'un âge canonique et son sexe était comme asséché faute de pratique. Or, au fil du déjeuner, elle sentait que quelque chose se passait dans son corps. La belle musculature de Moïse, son sourire éclatant, sa jovialité, le fait qu'il la draguait ouvertement en lui disant qu'elle était "belle et sexy", qu'il préférait les femmes d'expérience à celles de son âge et sous le regard approbateur de Bernard, tout concourut à provoquer dans son intimité des sécrétions qu'elle croyait obsolètes. Son regard trouble n'échappa pas à Bernard et Moïse mais de là à passer à l'acte, le fossé était encore large.
Il fallait précipiter les choses.

Apres le café Bernard se leva, prit Danièle par la main et l'entraîna dans la chambre conjugale. Elle protesta, résista un peu mollement et se retrouva sur le lit tandis que Moïse se déshabillait, dévoilant un corps qu'elle fut bien obligée de qualifier "de rêve" avec une érection qui lui était le plus bel hommage rendu.
- Mets toi à poil et suce-le.

La voix de Bernard la sortit de sa torpeur. Elle ne pouvait plus reculer. Moïse l'aida à se dévêtir et suça ses petits seins pour la désinhiber. Ce fut comme un déclic. Comment pouvait elle résister à une occasion pareille, faire l'amour ou plutôt baiser avec un si magnifique étalon à un âge qui était le sien, qui plus est sans la culpabilité de l'adultère ?

Alors, elle prit le pénis de Moïse en bouche et retrouva des sensations enfouies. Elle suça et même pompa avec délectation, yeux clos ou tournes vers le visage du métis. Mais quand celui-ci la bascula sur le lit avec l'intention de passer à la phase suivante, elle regimba. Pas question d'être pénétrée. A la fois par un reste de scrupule mais aussi et peut-être surtout par crainte de ne plus satisfaire et d'être satisfaite.

Alors, Bernard brandit un tube de gel dont Moïse se saisit. En vrai pro, il réussit à enduire le déduit de Danièle qui s'abandonna à cette masturbation déguisée au point qu'elle accepta aussi le gel dans son anus.

Quand Moïse jugea le sexe suffisamment ouvert et lubrifié, il se munit d'un préservatif et se positionna en surplomb de Danièle. Tout allait se jouer là.
Il constata le visage crispé de l'allongée, pas vraiment celui d'une partenaire sexuelle malgré la masturbation préalable. Il se sentit le mauvais rôle du prestataire appelé et même payé pour satisfaire le fantasme du mari cocu. Il devrait expédier l'affaire, empocher son argent et saluer la compagnie en s'excusant auprès de madame.

Sa bite se positionna à l'entrée du déduit avec prudence. Au moins ne pas faire mal. Alors se produisit un fait inattendu. A peine son gland fut il entré que Moïse sentit les talons de Danièle exercer une forte pression sur ses fesses si bien qu'il entra entièrement, jusqu'à la garde, plus facilement qu'il ne l'aurait cru. Entamant sa cadence, verrouillé par deux talons impatients, il se dit en regardant le visage concentré de Danièle qu'elle souhaitait en terminer au plus vite avec cette corvée. De fait, ses pieds quittèrent ses fesses pour se poser sur le lit et elle rua sous lui avec une surprenante énergie chez ce petit corps.

Mais quelque chose s'était transformé dans le visage de Danièle. Elle se léchait les lèvres, faisait mmm mmm avec sa bouche en fermant les yeux et ses coups de reins se faisaient de plus en plus toniques à tel point que Moïse devait s'employer pour ne pas être dégagé. Puis Danièle écarquilla les yeux, mit ses pieds en l'air les plantes dirigées vers le plafond, très ouverte, cria "encore encore vas y plus fort" et Moïse la pilonna en se disant "ma parole elle baise !" et se retint de justesse de gicler, désormais convaincu qu'il devait honorer jusqu'au bout ce petit corps en fusion.

Un cri strident marquant l'orgasme de Danièle vrilla les tympans tout proches de Moïse qui se tourna vers Bernard. Il se masturbait frénétiquement la bouche ouverte ce qui rassura l'étalon. Pas de risque d'une jalousie exponentielle à la découverte de son cocufiage manifeste.

Mais il n'était pas au bout de ses surprises. Danièle l'embrassa sur la bouche, se dégagea et le fit s'allonger.
- Je veux voir ton beau corps, expliqua t elle.
Et de s'empaler avec une délectation manifeste sur la queue verticale. Moïse put également visionner le corps de Danièle dans l'amour avec sa chair encore ferme à l'image de ses petits seins, son ventre à peine bombe, mais surtout son visage où une surprenante animalité avait chassé la tension initiale. A l'évidence, Danièle baisait, tressautant sur la bite, roulant des hanches, profondément pénétrée et jubilant de l'être à en juger par ses exclamations de plaisir où surgissait parfois un mot cru comme lorsqu'elle lui caressa les "couilles" tout en le chevauchant ou qu'elle célébra "sa bite bien dure".

- Il me baise bien, hein ? lança-t-elle à Bernard, toujours la queue dans la main.
Danièle était manifestement transfigurée par le retour en force de sa vie sexuelle, avec ses réflexes enfouis, telle sa position à quatre pattes, cul en l'air, en attente d'un nouvel hommage face à Bernard.

Celui-ci était tout aussi exalté. Il retrouvait sa Danièle autrefois et jubilait de la voir jouir avec son substitut masculin en la personne de Moïse. Sa bite était la sienne, les mains de Danièle crispées sur les fesses
de l'étalon était comme sur son cul. Quand elle cria sa joie d'être "baisée", mot qui revenait dans sa bouche humide, il prit pour lui cette exaltation.

C'est pourquoi quand il vit Moïse sur le point de prendre Danièle par derrière comme elle le souhaitait, il lui lança :
- Encule-la !
Il ne l'avait pas sodomisée depuis une éternité et il voulait retrouver cette sensation par procuration. Fendre son joli petit cul, nager dans son rectum, faire claquer la peau de son ventre sur ses fesses et l'entendre pousser son brame d'enculée.

Sauf que ce fut Moïse le bénéficiaire, couvrant Danièle comme un clébard en rut, indifférent au regard exorbite de Bernard et à sa main poisseuse des son sperme. Moïse gicla le museau sur le cou de Danièle, rincé et lessive par cette sexa sexy qui l'avait fait bien plus jubiler qu'une fille de night club.
Danièle fut longue à revenir à la surface. Puis elle courut aux toilettes soulager ses intestins surmenés par cette visite aussi massive qu'inattendue.
Quand elle revint, le métis avait disparu. Elle l'aurait bien embrassée en remerciement de ses "services" mais Bernard ne tenait pas à ce qu'il s'attarde.

Il avait si bien réussi son coup que Danièle ne souhaitait pas en rester là. Sommé d'exercer son devoir conjugal, Bernard s'en était honorablement sorti mais pas au point de faire grimper son épouse aux rideaux. Elle voulait retrouver Moïse mais Bernard ne fit rien pour faciliter ses recherches. Alors, elle se mit en chasse elle-même en postant son profil sur un site internet proposant des femmes mûres aux amateurs. Elle ne fut pas longue à trouver son bonheur. Un jeune gars la contacta pour un rendez-vous dans un hôtel. Prénommé Boris, il était plutôt bien de sa personne et ils prirent un verre au bar avant de "monter". Mais elle fut déçue. Le gars la sauta en dix minutes sans qu'elle ait eu le temps de jouir, remit le couvert mais sans plus de succès. Danièle s'était rendue compte qu'il manquait le facteur indispensable à sa jouissance : la présence de Bernard.

Voilà pourquoi, au grand étonnement de ce dernier, elle lui annonça un jour son intention de recommencer l'expérience candauliste. Et c'est ainsi que Moïse réapparut comme par enchantement.
La suite fut conforme à l'épisode initial, pour le plaisir des trois protagonistes. En particulier de Danièle, régénérée par ses hormones femelles. Mais à tous ceux qui lui demandaient l'explication de sa bonne mine, elle répondait :
- Avec Bernard, nous vivons une nouvelle jeunesse.
En occultant évidemment Moïse...

Les avis des lecteurs

Merci Micky pour cet excellent texte candauliste et c'est une experte qui l'affirme!
Je confirme la conclusion de Danièle: la présence, la complicité du mari est un puissant facteur de jouissance!

Histoire Erotique
Merci pour cette belle histoire Micky, qui saisit à la fois l'érotisme d'une femme mature comblée et aussi l'aspect psychologique du candaulisme. Surtout d'un point de vue féminin- la sensation d’être vu, regardé. Et l'histoire évite de tomber dans la piège des stéréotypes, qui serait si facile à faire.
John

Histoire Erotique
Micky,
merci et bravo pour cette belle histoire axée sur la renaissance sexuelle et le candaulisme.
Didier



Texte coquin : Danièle, de la réticence à la jouissance
Histoire sexe : Une rose rouge
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