Dans l'alcôvelobile avec le Loup
Récit érotique écrit par MyPiratQueen [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Dans l'alcôvelobile avec le Loup
1: Noël
C'est Noël ! Mais la Queen est une païenne et le petit prince est chez son père. Alors pas catho, peut être, mais notre dame des Pyrénées ne se voit pas passer cette nuit seule.
Un faune amant lui dit détester Noël. Ni une ni deux, l'affaire est dans le baisenville, il vient l'enlever dans son fourgon et ils iront festoyer en copulant joyeusement aux sources sulfureuses des hauts plateaux.
Mais rien ne se passe comme prévu, c'est la vraie vie sauvage qui veut ça : le faune est en panne, elle doit aller le chercher à la gare. Et voilà que le soir du réveillon l'animal boude car la Queen a le rire facile après qu'ils se soient envoyés quelques rasades de rhum!
Non mais quel toupet! Il préférerait donc qu'elle se morfonde ou se taise? Ce qu'il s'empresse d'ailleurs de faire : il rumine en s'installant dans la méridienne planqué derrière son bouquin ! Elle fulmine et crie au Loup !
Celui-ci répond à l'appel et cinq minutes après le voilà dans son alcôvemobile, l'attendant à l'église. Elle a préparé un petit sac de victuailles et la bouteille de rhum dont elle décide qu'elle ne survivra pas à cette soirée, pour lui faire payer cet affront !
Elle traverse le salon en tirant la langue au faune maugréant, et claque la porte au nez du champs de l'impossible. En route pour le sabbat de minuit !
Elle se glisse à côté du Loup qui la charrie: pourquoi s'embarrasser de ce faune boulet alors que le meilleur a sa tanière à deux pas du château? Ce n'est pas tout à fait idiot, mais ce n'est pas parce qu'on a la plus belle queue à 1001 lieux à la ronde, des yeux au sourire angelicarnassier et un aplomb que seule l'impétueuse jeunesse arbore que l'on doit prétendre à l'exclusivité, faudrait voir à pas abuser. Enfin si, abuser, hummmm... (Mais pour la verticalité, tu te foures un doigt dans l'œil ou où tu voudras, my Diavogigolo ! )
Ainsi, tout est bien maintenant, voilà mâle et femelle de l'extrême embarqués pour l'escapade de la plus longue nuit de l'année.
Il l'emmène au col. Le froid est piquant en cette nuit d'hiver, mais la ferveur des deux fripons se fait telle qu'ils sortent de l'habitacle restreint pour se livrer à leur débauche sur le capot de la voiture. Elle s'acoude d'abord sur le métal chaud et, aimant à la prendre sens dessus dessous, il plante son superbe panache dans sa vulve qui gicle sa joie. Il pèse sur elle pour lui susurrer à l'oreille ces mots crûs dont il à le secret, et il l'invite bientôt à se retourner. Elle ne se fait pas prier, ce n'est pas une sainte que nôtre Queen, et pour s'offrir à la frénésie du Loup, jamais elle ne rechigne, son plaisir sera le sien, et vice versa ! Allongée sur le capot, les jambes au cou de la bête il investit profondément ses arrières, en redoublant d'ardeur. Alors, plus de secret: quand le sperme du Loup s'inocule à grands jets dans son fondement, ils hurlent leur extase de concert sous l'oeil rond de la lune.
Ils retournent se cajoler et engloutir les douceurs apportées à l'intérieur, en admirant à travers le pare brise le capot de l'alcôvemobile portant dorénavant la marque du fessier réginal.
Et puis le temps passe...
2: 🐺😎😈
Marqué du sceau 🐺😎😈, ce jour allait être spécial , inévitablement. C'était la Saint Val, un saint comme les autres, guère plus con ou affriolant que Barthélémy ou Ouen (ok, ça ne fait rire que votre narratrice peut être, mais à sa décharge sachez qu'elle compatit du plus profond de son être en pensant que de pauvres types sans doute onnis de leur mère ont dû porter le nom d'Ouen, ou Cloud).
L'atmosphère entière était impudique: un ciel bleu profond avec deci delà une trainée de nuages rose cochon, une bise légère propice à s'engouffrer sous les jupes des filles... Et puis...
Cette chaleur ! Le soleil dardait des rayons d'une indécence rare en ce mois de février. Il rendait éblouissant l'horizon gelé des crêtes Pyrénéenes, tout en réchauffant l'esprit et la peau des amants.
Les ébats avaient déjà été bon train. Ils venaient d'ouvrir la porte de l'alcôvemobile pour adoucir l'air vicié du véhicule. Il était assis sagement comme un passager, à ceci près qu'il était nu et que sa main clapotait dans l'entre cuisses de l'amante. Nue elle aussi, à ceci près qu'elle avait conservé ses bottines, elle venait de gazouiller à son oreille:
"Ô 🐺😎😈, doigte moi encore s'il te plaît"
Elle s'était alors renversée en arrière, la tête sur son torse. Pour s'abandonner pleinement aux jouissances qu'elle savait qu'il n'allait pas manquer de lui prodiguer avec empressement, tant elle avait mis de douceur à le lui demander.
Il clapotais donc dans l'intarrissable Fontaine d'une main et titillait ses tétons de l'autre...
Les yeux mi clos elle se concentrait sur son ressenti (🐺😎😈 ! Tu me fais jouir, tu le sais?)
Elle regardait son visage et ses yeux dont les éclairs percutants la portait toujours plus haut encore, en accord aux pressions des doigts appliqués aux points clés avec une précision d'horloger du coeur. Elle regardait les rayons du soleil qui lui faisait une peau de miel et jouait de 1001 reflets dans le duvet de son torse mâle. Du coin de l'œil elle baignait dans l'azur du septième ciel.
Cette vision était rendue plus brillante et lumineuse encore par les larmes qui couvraient ses cils et le bord de ses yeux après qu'elle ait englouti sa verge démesurée dans sa gorge affamée de lui, 🐺😎😈.
Puissantes extases nimbées de lumière dorée, douce chaleur courant sur les peaux, chuchotements des amants et fébriles attouchements...
Elle toucha l'ultime firmament en s'exclamant
"Mais putain qu'il est jouissif ce Soleil !"
🐺😎😈☀️🍾
Et puis la neige fond...
3: lundi mouillé
La Polaki et ses traditions! Pologne fantasmagorique où s'enracinent les plus émouvants parfums d'enfance de la Queen...
Le lundi mouillé, c'est smigus dingus ; le lundi de Pâques où l'on lave ses péchés à grand renfort de jets de seaux d'eaux. Les enfants s'en amusent tant! Mais quand l'enfant devient adulte et libertine, je vous laisse deviner à quelle eau elle absout les vices de ses amants !
La Fucking Queen est une bonne samaritaine, alors voilà deux mois qu'elle héberge une amie. Aussi, fini, les parties de jambes en l'air dans la méridienne devant le poêle à bois! Fini les mœurs dissolues et les hommes attachés au baldaqueen! Terminés les sex party plurielles autour du bar à rhum dans les hamacs de la Pirate room. Une vraie vie de nonne!
Mais le diable rôde et les loups ont faim, alors quand il hurle dans le lointain elle répond !
" Je viens te prendre avec mon alcôvemobile !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, il l'attend devant le cimetière, avec son éternel et improbable costume de pervers : nu sous sa robe de chambre, bottes aux pieds, décidément pas sortable l'animal. Et pourtant si plaisant de trouver ses attributs si faciles d'accès et de voir son torse délicieusement velu entre les pans de velours...
Il saute dans le break et la guide jusqu'au col, la bouteille de rhum de Noël ne lui ayant pas permis de s'en rappeler la route.
Elle parle à 100 à l'heure pour rattraper le temps perdu, car elle a mijoté plusieurs scénarios pour des rencontres plurielles bientôt. Il l'écoute distraitement, plus axé sur l'instant présent ; il la bouffe des yeux et la tripote.
La petite route est sinueuse comme les mains diaboliques qui s'amusent à exciter le clitoris de la conductrice. Elle s'engage sur le petit chemin et les voilà soudain face au vide, et à la chaîne pyrénéenne, et la voie lactée remplace les dernières lueurs du crépuscule. Elle laisse tourner le moteur, éteint les phares. Les fauteuils avancés et basculés en avant, les amants se retrouvent à l'arrière.
Ils s'enlacent dans quelques préliminaires mais ne s'en embarrassent guère longtemps ; leur voracité réciproque est telle qu'ils ne sauraient tarder à s'entredévorer. Le Loup en veut au cul de la Queen, et elle est affamée de lui. Sous ses caresses habiles, rapidement la Queen couine, pénétrée des vapeurs de poppers qui intensifient son élan à lui tendre sa croupe.
"À quatre pattes, maintenant", gronde t'il
Il libère Fontaine et Salope d'un même geste imparable: glissement à l'orée des orifices de la pointe du dard, puis légère poussée, de plus en plus appuyée sur le liseré sombre auquel il aspire. Elle coule abondamment et change d'attitude : langue qui pointe, yeux qui se voilent. Les amants s'excitent à chaque coulée de foutre féminin d'être ainsi touchés par la grâce. À l'idée de pervertir leurs âmes à peine purifiées à l'élixir cyprin, ils se livrent de plus belle à leur concupiscence dans un cercle infini ou bien et mal n'existent plus et qui les plonge dans des abymes pour les porter à des sommets inviolés jusqu'alors.
Il croustille crûment ses oreilles maîtrisant le pouvoir de ses mots pour la mener au lâcher prise le plus extrême.
Ses paroles font leur effet, et c'est maintenant en spectacle qu'elle va se donner. Elle veut lui brûler les yeux par ses postures obscènes. Elle l'invective à regarder comme elle aime être possédée ainsi par lui.
Elle coulisse sur la verge lentement le plus profondément possible avec un petit à-coups à la fin pour le sentir intensément. Elle est prise de tremblements et effectue alors de petits mouvements rapides, accompagnés de cris et halètements, qu'il poursuit dans ses chuchotements. Parfoisl lui agrippe les hanches pour imprimer des mouvements d'aller retour très fermes ou ajouter des doigts dans sa vulve.
Il calme le tempo et ses doigts lui écartent la chatte, tandis que sa queue est tendue à l'extrême, enfoncée jusqu'à la garde dans son cul. Il lâche son sperme par salves puissantes. L'orgasme qu'elle connait à cet instant crucial restara marqué dans les annales, mais ce n'est encore rien en comparaison de ce qui va arriver ensuite !
Elle s'affale sur la banquette arrière. Elle tente de retrouver ces esprits mais l'extase s'attarde et lui colle à la peau. Ses yeux luisent en couvrant le corps du jeune loup, à chaque expiration elle ressent encore l'intensité de ce coït.
"Le vice appelle le vice", dit-elle en allumant une cigarette qu'elle fume la tête renversée en arrière, les jambes s'étirant, l'une en appui sur le fauteuil avant, l'autre au plafond. La main se faufilant dans le con mouillé comme un lundi.
"Diable, il faut continuer de me rincer, le vice de luxure ne faiblit pas dans mes entrailles. Je pourrais jouir rien que de te regarder et ressentir le souvenir de ta queue en moi!"
Il profite un peu du spectacle. Et puis soudain lui prend la main branleuse, la lèche et fourre la sienne à la place.
Il la fait couler sans répit, il faut qu'elle expie enfin. Elle expire les dernières volutes de la cigarette et ouvre alors le flacon de poppers pour l'inspirer à fond. Elle ferme les yeux et est prise dans une transe vibratoire qui la conduit à s'ouvrir comme jamais. Il la fiste magistralement dans un déversement de stupre torrentiel...
Ils gagnent la félicité.
C'est Noël ! Mais la Queen est une païenne et le petit prince est chez son père. Alors pas catho, peut être, mais notre dame des Pyrénées ne se voit pas passer cette nuit seule.
Un faune amant lui dit détester Noël. Ni une ni deux, l'affaire est dans le baisenville, il vient l'enlever dans son fourgon et ils iront festoyer en copulant joyeusement aux sources sulfureuses des hauts plateaux.
Mais rien ne se passe comme prévu, c'est la vraie vie sauvage qui veut ça : le faune est en panne, elle doit aller le chercher à la gare. Et voilà que le soir du réveillon l'animal boude car la Queen a le rire facile après qu'ils se soient envoyés quelques rasades de rhum!
Non mais quel toupet! Il préférerait donc qu'elle se morfonde ou se taise? Ce qu'il s'empresse d'ailleurs de faire : il rumine en s'installant dans la méridienne planqué derrière son bouquin ! Elle fulmine et crie au Loup !
Celui-ci répond à l'appel et cinq minutes après le voilà dans son alcôvemobile, l'attendant à l'église. Elle a préparé un petit sac de victuailles et la bouteille de rhum dont elle décide qu'elle ne survivra pas à cette soirée, pour lui faire payer cet affront !
Elle traverse le salon en tirant la langue au faune maugréant, et claque la porte au nez du champs de l'impossible. En route pour le sabbat de minuit !
Elle se glisse à côté du Loup qui la charrie: pourquoi s'embarrasser de ce faune boulet alors que le meilleur a sa tanière à deux pas du château? Ce n'est pas tout à fait idiot, mais ce n'est pas parce qu'on a la plus belle queue à 1001 lieux à la ronde, des yeux au sourire angelicarnassier et un aplomb que seule l'impétueuse jeunesse arbore que l'on doit prétendre à l'exclusivité, faudrait voir à pas abuser. Enfin si, abuser, hummmm... (Mais pour la verticalité, tu te foures un doigt dans l'œil ou où tu voudras, my Diavogigolo ! )
Ainsi, tout est bien maintenant, voilà mâle et femelle de l'extrême embarqués pour l'escapade de la plus longue nuit de l'année.
Il l'emmène au col. Le froid est piquant en cette nuit d'hiver, mais la ferveur des deux fripons se fait telle qu'ils sortent de l'habitacle restreint pour se livrer à leur débauche sur le capot de la voiture. Elle s'acoude d'abord sur le métal chaud et, aimant à la prendre sens dessus dessous, il plante son superbe panache dans sa vulve qui gicle sa joie. Il pèse sur elle pour lui susurrer à l'oreille ces mots crûs dont il à le secret, et il l'invite bientôt à se retourner. Elle ne se fait pas prier, ce n'est pas une sainte que nôtre Queen, et pour s'offrir à la frénésie du Loup, jamais elle ne rechigne, son plaisir sera le sien, et vice versa ! Allongée sur le capot, les jambes au cou de la bête il investit profondément ses arrières, en redoublant d'ardeur. Alors, plus de secret: quand le sperme du Loup s'inocule à grands jets dans son fondement, ils hurlent leur extase de concert sous l'oeil rond de la lune.
Ils retournent se cajoler et engloutir les douceurs apportées à l'intérieur, en admirant à travers le pare brise le capot de l'alcôvemobile portant dorénavant la marque du fessier réginal.
Et puis le temps passe...
2: 🐺😎😈
Marqué du sceau 🐺😎😈, ce jour allait être spécial , inévitablement. C'était la Saint Val, un saint comme les autres, guère plus con ou affriolant que Barthélémy ou Ouen (ok, ça ne fait rire que votre narratrice peut être, mais à sa décharge sachez qu'elle compatit du plus profond de son être en pensant que de pauvres types sans doute onnis de leur mère ont dû porter le nom d'Ouen, ou Cloud).
L'atmosphère entière était impudique: un ciel bleu profond avec deci delà une trainée de nuages rose cochon, une bise légère propice à s'engouffrer sous les jupes des filles... Et puis...
Cette chaleur ! Le soleil dardait des rayons d'une indécence rare en ce mois de février. Il rendait éblouissant l'horizon gelé des crêtes Pyrénéenes, tout en réchauffant l'esprit et la peau des amants.
Les ébats avaient déjà été bon train. Ils venaient d'ouvrir la porte de l'alcôvemobile pour adoucir l'air vicié du véhicule. Il était assis sagement comme un passager, à ceci près qu'il était nu et que sa main clapotait dans l'entre cuisses de l'amante. Nue elle aussi, à ceci près qu'elle avait conservé ses bottines, elle venait de gazouiller à son oreille:
"Ô 🐺😎😈, doigte moi encore s'il te plaît"
Elle s'était alors renversée en arrière, la tête sur son torse. Pour s'abandonner pleinement aux jouissances qu'elle savait qu'il n'allait pas manquer de lui prodiguer avec empressement, tant elle avait mis de douceur à le lui demander.
Il clapotais donc dans l'intarrissable Fontaine d'une main et titillait ses tétons de l'autre...
Les yeux mi clos elle se concentrait sur son ressenti (🐺😎😈 ! Tu me fais jouir, tu le sais?)
Elle regardait son visage et ses yeux dont les éclairs percutants la portait toujours plus haut encore, en accord aux pressions des doigts appliqués aux points clés avec une précision d'horloger du coeur. Elle regardait les rayons du soleil qui lui faisait une peau de miel et jouait de 1001 reflets dans le duvet de son torse mâle. Du coin de l'œil elle baignait dans l'azur du septième ciel.
Cette vision était rendue plus brillante et lumineuse encore par les larmes qui couvraient ses cils et le bord de ses yeux après qu'elle ait englouti sa verge démesurée dans sa gorge affamée de lui, 🐺😎😈.
Puissantes extases nimbées de lumière dorée, douce chaleur courant sur les peaux, chuchotements des amants et fébriles attouchements...
Elle toucha l'ultime firmament en s'exclamant
"Mais putain qu'il est jouissif ce Soleil !"
🐺😎😈☀️🍾
Et puis la neige fond...
3: lundi mouillé
La Polaki et ses traditions! Pologne fantasmagorique où s'enracinent les plus émouvants parfums d'enfance de la Queen...
Le lundi mouillé, c'est smigus dingus ; le lundi de Pâques où l'on lave ses péchés à grand renfort de jets de seaux d'eaux. Les enfants s'en amusent tant! Mais quand l'enfant devient adulte et libertine, je vous laisse deviner à quelle eau elle absout les vices de ses amants !
La Fucking Queen est une bonne samaritaine, alors voilà deux mois qu'elle héberge une amie. Aussi, fini, les parties de jambes en l'air dans la méridienne devant le poêle à bois! Fini les mœurs dissolues et les hommes attachés au baldaqueen! Terminés les sex party plurielles autour du bar à rhum dans les hamacs de la Pirate room. Une vraie vie de nonne!
Mais le diable rôde et les loups ont faim, alors quand il hurle dans le lointain elle répond !
" Je viens te prendre avec mon alcôvemobile !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, il l'attend devant le cimetière, avec son éternel et improbable costume de pervers : nu sous sa robe de chambre, bottes aux pieds, décidément pas sortable l'animal. Et pourtant si plaisant de trouver ses attributs si faciles d'accès et de voir son torse délicieusement velu entre les pans de velours...
Il saute dans le break et la guide jusqu'au col, la bouteille de rhum de Noël ne lui ayant pas permis de s'en rappeler la route.
Elle parle à 100 à l'heure pour rattraper le temps perdu, car elle a mijoté plusieurs scénarios pour des rencontres plurielles bientôt. Il l'écoute distraitement, plus axé sur l'instant présent ; il la bouffe des yeux et la tripote.
La petite route est sinueuse comme les mains diaboliques qui s'amusent à exciter le clitoris de la conductrice. Elle s'engage sur le petit chemin et les voilà soudain face au vide, et à la chaîne pyrénéenne, et la voie lactée remplace les dernières lueurs du crépuscule. Elle laisse tourner le moteur, éteint les phares. Les fauteuils avancés et basculés en avant, les amants se retrouvent à l'arrière.
Ils s'enlacent dans quelques préliminaires mais ne s'en embarrassent guère longtemps ; leur voracité réciproque est telle qu'ils ne sauraient tarder à s'entredévorer. Le Loup en veut au cul de la Queen, et elle est affamée de lui. Sous ses caresses habiles, rapidement la Queen couine, pénétrée des vapeurs de poppers qui intensifient son élan à lui tendre sa croupe.
"À quatre pattes, maintenant", gronde t'il
Il libère Fontaine et Salope d'un même geste imparable: glissement à l'orée des orifices de la pointe du dard, puis légère poussée, de plus en plus appuyée sur le liseré sombre auquel il aspire. Elle coule abondamment et change d'attitude : langue qui pointe, yeux qui se voilent. Les amants s'excitent à chaque coulée de foutre féminin d'être ainsi touchés par la grâce. À l'idée de pervertir leurs âmes à peine purifiées à l'élixir cyprin, ils se livrent de plus belle à leur concupiscence dans un cercle infini ou bien et mal n'existent plus et qui les plonge dans des abymes pour les porter à des sommets inviolés jusqu'alors.
Il croustille crûment ses oreilles maîtrisant le pouvoir de ses mots pour la mener au lâcher prise le plus extrême.
Ses paroles font leur effet, et c'est maintenant en spectacle qu'elle va se donner. Elle veut lui brûler les yeux par ses postures obscènes. Elle l'invective à regarder comme elle aime être possédée ainsi par lui.
Elle coulisse sur la verge lentement le plus profondément possible avec un petit à-coups à la fin pour le sentir intensément. Elle est prise de tremblements et effectue alors de petits mouvements rapides, accompagnés de cris et halètements, qu'il poursuit dans ses chuchotements. Parfoisl lui agrippe les hanches pour imprimer des mouvements d'aller retour très fermes ou ajouter des doigts dans sa vulve.
Il calme le tempo et ses doigts lui écartent la chatte, tandis que sa queue est tendue à l'extrême, enfoncée jusqu'à la garde dans son cul. Il lâche son sperme par salves puissantes. L'orgasme qu'elle connait à cet instant crucial restara marqué dans les annales, mais ce n'est encore rien en comparaison de ce qui va arriver ensuite !
Elle s'affale sur la banquette arrière. Elle tente de retrouver ces esprits mais l'extase s'attarde et lui colle à la peau. Ses yeux luisent en couvrant le corps du jeune loup, à chaque expiration elle ressent encore l'intensité de ce coït.
"Le vice appelle le vice", dit-elle en allumant une cigarette qu'elle fume la tête renversée en arrière, les jambes s'étirant, l'une en appui sur le fauteuil avant, l'autre au plafond. La main se faufilant dans le con mouillé comme un lundi.
"Diable, il faut continuer de me rincer, le vice de luxure ne faiblit pas dans mes entrailles. Je pourrais jouir rien que de te regarder et ressentir le souvenir de ta queue en moi!"
Il profite un peu du spectacle. Et puis soudain lui prend la main branleuse, la lèche et fourre la sienne à la place.
Il la fait couler sans répit, il faut qu'elle expie enfin. Elle expire les dernières volutes de la cigarette et ouvre alors le flacon de poppers pour l'inspirer à fond. Elle ferme les yeux et est prise dans une transe vibratoire qui la conduit à s'ouvrir comme jamais. Il la fiste magistralement dans un déversement de stupre torrentiel...
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
"Seul sur le lit dans mes draps bleus froissés
C'est l'insomnie, sommeil cassé"
Je me délecte de vos histoires et suis en train de traverser une nuit d'insomnie en leur compagnie.
My Pirate Queen, merci.
C'est l'insomnie, sommeil cassé"
Je me délecte de vos histoires et suis en train de traverser une nuit d'insomnie en leur compagnie.
My Pirate Queen, merci.
Je vous ai laissé un MP sur votre @ … ☺️
Et moi j'adore vos commentaires, merci Wooten, vous me flattez !
MyPirateQueen ☺️….
Quel texte !!! Bravo !!!
Je retrouve tout vos atouts ici, je reste pantois par vos descriptions à tiroir, je souris en grand de surprise quand je prend en pleine poire votre Audiardstyle…. J’adore encore une fois !!! 🥰
👌
Quel texte !!! Bravo !!!
Je retrouve tout vos atouts ici, je reste pantois par vos descriptions à tiroir, je souris en grand de surprise quand je prend en pleine poire votre Audiardstyle…. J’adore encore une fois !!! 🥰
👌
Cher lecteur
Je suis une grande timide et ne développerai pas le sujet de la mouille ici-bas. Peut être écrirai-je un jour sur le plaisir d'écrire ?
Mais je vous remercie pour ce beau message et je suis toujours contente quand je sais qu'on aime me lire...
Bons baisers à vous
Je suis une grande timide et ne développerai pas le sujet de la mouille ici-bas. Peut être écrirai-je un jour sur le plaisir d'écrire ?
Mais je vous remercie pour ce beau message et je suis toujours contente quand je sais qu'on aime me lire...
Bons baisers à vous
Chère queen,
Vous êtes toujours aussi efficace.
Je ne sais à quel point écrire vous fait mouiller mais en ce qui me concerne, longtemps après vous avoir lue, je bande encore.
Grand merci.
Vous êtes toujours aussi efficace.
Je ne sais à quel point écrire vous fait mouiller mais en ce qui me concerne, longtemps après vous avoir lue, je bande encore.
Grand merci.