Dans la cabane de jardin 2 / 2
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Dans la cabane de jardin 2 / 2
Dans la cabane de jardin 2 / 2
JE VIENS DE ME RENDRE COMPTE EN METTANT A JOUR MES FICHIER QUE J'AVAIS DIFFUSÉ LE PREMIER ÉPISODE MAIS QUE J'AVAIS OUBLIÉ LE SECOND ÉPISODE VOILA QUI EST CORRIGÉ. UN PEU TARD MAIS VAUT MIEUX TARD QUE JAMAIS
Je me réveillais en sursaut. La porte de ma chambre était ouverte et Xavier était là, il frappait à la porte doucement. J'ouvrais les yeux, je le regardais, il me saluait de la tête, ne bougeait pas, ne disait rien …
Brusquement, sans prévenir il retirait les vêtements que je lui avais donné la veille, s'approchait de mon lit et en écartant les bras …
– Je n'ai rien de plus à te donner !
J'étais tétanisé, je ne pouvais pas bouger, il était tellement beau, un instant j'ai pensé que je devais encore dormir, que je rêvais et ce rêve me plaisait. Sa queue se balançait lentement, lourdement elle était longue, et bien proportionnée, bien large. Il n'était pas vraiment circoncis, juste à moitié. La veille dans la pénombre c'est un détail que je ne pouvais pas remarquer mais seule la moitié de son prépuce était coupé. C'est peut être encore plus beau que si on avait tout retiré. J'étais sous le charme.
Il m'interrogeait de son regard, je soulevais ma couette, j'étais nu en dessous. Il me souriait avant de faire comme une petite grimace, il venait de voir mon dispositif de chasteté.
Vous vous souvenez que je vous ai dit à plusieurs reprise que je bandais et que rien ne transparaissait … ?
La surprise passée, il s'approchait, puis me caressant les couilles il me demandait.
– Tu ne le retires pas ?
Je faisais non de la tête. Il s'allongeait à côté de moi puis refermait la couette sur nous.
Son corps était doux, sa fourrure était largement aussi douce que je l'avais rêvé. Je le prenais dans mes bras, il refermait les siens sur moi. On s'embrassait avec passion.
Je ne vous cacherais pas que je ne me suis pas demandé s'il se dévouait, s'il se sacrifiait ou si c'était par pur plaisir je m'en moquais un peu, moi j'en profitais et c'est tout ce qui comptait pour moi à ce moment. Je profitais de la situation avec d'autant plus de plaisir que je ne le lui avait rien demandé. Dehors, il faisait froid, il neigeait, c'était Noël !
Dehors il faisait froid mais là, sou la couette il faisait chaud. On y allait tout en douceur, au début il bandait mou, mais lentement sa queue durcissait, nous étions serrés l'un contre l'autre et je la sentais qui prenait du volume.
Je l'embrassait sur les lèvres, puis dans le cou, il en faisait de même. Nos lèvres descendaient sur le corps de l'autre. Je l'embrassait sur l'épaule, il m'embrassait sur la joue. Je l'embrassait sur le téton, il m'embrassai sur l'épaule. Je lui mordillais doucement le téton, je le sentais frémir et je l'entendait gémir.
Il s'allongeait sur le dos, je m'allongeais sur lui, je le caressais partout et le couvrait de baiser. Mon visage descendait vers sa queue, elle avait pris toutes sa taille et était impressionnante. Je dégageais son gland, c'était rapide et amusant. Il n'avait plus que la moitié de son prépuce. Je m'amusais un moment avec son gland, je passais ma langue dessus.
Un instant, j'ai failli lui demander de m'en faire autant . J'avais oublié que c'était sans issue. Je continuais alors à le sucer avec encore plus de passion. J'adorais cette queue, j'avais un peu de mal à la faire entrer en entier dans ma bouche, mais j'adorais son contact.
Elle était bien ferme mais pas totalement dure, elle était agréable à tripoter et je la branlais avec un grand plaisir. Xavier se laissait faire. Je lui gobais les couilles et là je le sentais se contracter. Ça fait toujours un drôle d'effet au début. Puis c'est la queue que je prenais, le plus profond que je pouvais.
Mes mains se promenaient depuis sont torse, ses tétons jusque sur ses cuisses. Il me caressait la tête, j'ai eu peur qu'il n’appuie sur ma tête, je me serait trouvé bien embarrassé avec un truc pareil dans la gorge mais il était vraiment très doux. Ses gestes, ses manières étaient aussi douces que l'était la peau de sa bite ou son gland.
Il me caressait le dos de la tête, juste pour m'encourager, juste pour me dire qu'il aimait. Il gémissait fort également. Je continuais, j'y mettais du cœur, c'est vrai, je l'avoue, j'aime bien sucer une queue moi. Surtout que celle là était belle. Je la caressait, je le masturbais avec douceur quand je ressortais sa bite de ma bouche. Ça aussi je devinais qu'il appréciait, il gémissait tellement fort.
J'allais gober sa queue une fois encore quand il me retenait.
– Arrête, tu va me faire jouir !
Je relevais la tête.
– C'est un peu le but tu sais !
– Oui mais là c'est trop tôt.
Je le laissais reprendre son souffle. Je m'allongeais contre lui et on se faisait un gros câlin. Ses baisers étaient chauds, suaves, doux et terriblement excitants. Je bandais, je ne sentais plus que ça. Ma queue était écrasée dans sa cage, je sentais se refermer sur la base de mon sexe l'anneau cock-ring. C'était un de ces moments étranges ou j'avais envie de retirer mon dispositif et de me branler et de l'enculer et de prendre mon pied et … Oui je sais, ça fait plein de ''et'' mais il y a des jours, il y a des moment comme ça.
En même temps, j'avais envie que rien ne bouge, j'avais envie de n'être que son jouet sexuel. N'être là que pour son plaisir, que pour le sucer, que pour me faire prendre. J'avais envie de me faire enculer.
Il se retournait sur moi, je me retrouvais allongé sur le dos sous lui, il m'écrasait avec douceur de tout son poids. Il m'embrassait partout, il me pinçait les tétons, il savait faire monter le plaisir autant que le désir.
Il s'amusait avec moi, me caressait, me faisait rire en me chatouillant, me mordillait, je sentais la douceur de ses dents, il ne mordait pas trop fort mais je vous jure qu'il me faisait de l'effet.
Il me regardait bien en face, m'embrassait et me disait de m'allonger sur le ventre. Je me retournais.
– Écarte les cuisses .
J'obtempérais.
Il ne cessait de me caresser, il insistait sur mes fesses, je le sentais il me lubrifiait le cul, il y glissait un doigt avec douceur. Il observait mes réaction. Je sentais sa respiration juste à côté de moi, j'ouvrai un œil et je voyais son visage. Il était concentré, il me souriait, il observait mes réactions, je lui souriais, il me glissait un autre doigt dans le cul. Je soupirais de plaisir.
Il agitait alors des deux doigts et les frappait contre la prostate. Je relevais la tête et gémissait de plaisir, il insistait, plus fort. Je tremblait et commençait à me tortiller. Ça le faisait rire, il m'embrassait puis retirait ses doigts et se laissait retomber sur moi.
Je sentais sa queue pousser contre l'ouverture de mon cul, j'étais bien lubrifié, il poussait. Il poussait doucement pour commencer, puis plus fort et mon cul s'ouvrait.
Il poussait doucement mais il poussait fermement, je sentais sa queue se frayer un passage. Elle glissait lentement, elle s'enfonçait avec force. Je sentais toujours son visage près du mien, je sentais sa respiration, elle était forte et contrôlée.
Je paniquais un peu, sa queue n'en finissait pas de glisser, de s'enfoncer dans mon cul. C'est vrai qu'il y allait doucement, lentement mais elle était grosse et je ne savais pas, je ne savais plus ou il en était. je me sentais envahi, je savais que ça ne passerait pas plus loin, il était au fond et je sentais toujours sa queue glisser. J'allais crier quand son ventre s'est écrasé sur mes fesses.
A ce moment j'ai manqué d'air, je ne bougeais plus puis j'ai hurlé. C'était intense, c'était bon vraiment bon, j'ai joui, c'est à ce moment que j'ai commencé à jouir.
J'avais l'impression de juter en même temps que je jouissais du cul. Tous mes muscles se détendaient et je retombais de tout mon poids. Xavier poussait, il écrasait son ventre contre mes fesses, je couinais. Puis il se retirait, là encore il le faisait lentement.
J'ai poussé un long, un très long gémissement qui se terminait par une longue plainte.
– Eh bien dis donc ! Me disait Xavier . Ça va ?
Je faisais oui de la tête, il m'embrassait et y retournait, il enfonçait sa queue de nouveau, un peu plus vite, mais toujours avec la même tendresse. De nouveau il écrasait son ventre contre mes fesses et nouveau je couinais fort, très fort, jusqu'à manquer d'air.
Il recommençait un peu plus vite, et encore une fois, toujours un peu plus vite. Je gémissait au début, je gueulait par la suite, j'avais toujours l'impression de juter mais l'orgasme venait de mon anus, de ma prostate et durait dans le temps. Cette sensation de jouir par la bite aussi. Elle aussi durait dans le temps et je respirais fort, vraiment très fort.
Xavier avait toujours le visage au dessus de mon épaule, il me regardait. Par moment il m'embrassait. C'était violent, enfin, seule la taille de sa queue était violente. Pour le reste, il était tendre, doux, câlin mais quand il enfonçait sa queue … Je la sentais passer ! C'était intense mais tellement bon.
Il accélérait ses mouvements, je paniquais de nouveau, je jutais, je jouissait avec ma queue, c'était bon mais un peu affolant. Il gémissait, je gueulais plus fort que lui. C'est à ce moment qu'il a hurlé, il a joui dans mon cul.
Il a continué à me limer doucement pendant encore un long moment, là il s'appuyait sur moi de tout son poids, il se laissait aller et moi je trouvais ça très agréable. On ne bougeait plus, je sentais sa force, son poids, sa chaleur, sa douceur et toujours sa queue qui était restée bien plantée en moi. Elle avait ramolli et sa présence dans mon cul était comme un douce caresse, une présence agréable.
Un peu plus tard il s'est relevé, j'ai senti sa queue sortir de mon corps, je me sentais vidé mais c'était toujours très agréable. C'est à ce moment là que j'ai juté, avant, ça n'avait été qu'une impression. Mais là je jutais sans jouir, même si ce que je ressentais restait très agréable.
Encore un peu plus tard on est passé sous la douche et on s'est lavé l'un l'autre, on prenait bien notre temps, on prenait le temps de bien profiter du corps de l'autre.
– Tu encaisse bien dis donc !
– Tu as une super belle queue toi dis donc !
On s'embrassait, l'eau coulait sur nos corps, et ma langue courait sur ses lèvres. De nouveau je bandais, ma cage retenait toute réaction mais je le sentais bien. Il valait mieux que je me calme, c'était agréable avec cette sensation qui venait de mon cul. Je sentais encore sa queue dans mon cul, pourtant elle n'y était plus mais je me sentais toujours dilaté.
Après ça on s'est séché, on à pris notre petit déjeuner et on a discuté.
Vous vous doutez bien qu'il ne savait pas ou aller … Vous vous doutez bien que je n'avais plus envie de le laisser repartir … Vous vous doutez bien qu'il n'avait pas vraiment envie de repartir, surtout si c'était pour aller dormir dans le froid …
On a donc décidé qu'il resterait ici … Pour le moment, dans l'immédiat, provisoirement.
Puis le provisoire s'est allongé, surtout que le boulot qu'il espérait a marché, qu'il lui fallait un logement et ma maison n'était pas loin.
Alors , il est resté, je ne l'ai pas chassé, vous vous doutez bien !
Il est toujours là ! Vous savez. Enfin vous vous doutez bien !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
JE VIENS DE ME RENDRE COMPTE EN METTANT A JOUR MES FICHIER QUE J'AVAIS DIFFUSÉ LE PREMIER ÉPISODE MAIS QUE J'AVAIS OUBLIÉ LE SECOND ÉPISODE VOILA QUI EST CORRIGÉ. UN PEU TARD MAIS VAUT MIEUX TARD QUE JAMAIS
Je me réveillais en sursaut. La porte de ma chambre était ouverte et Xavier était là, il frappait à la porte doucement. J'ouvrais les yeux, je le regardais, il me saluait de la tête, ne bougeait pas, ne disait rien …
Brusquement, sans prévenir il retirait les vêtements que je lui avais donné la veille, s'approchait de mon lit et en écartant les bras …
– Je n'ai rien de plus à te donner !
J'étais tétanisé, je ne pouvais pas bouger, il était tellement beau, un instant j'ai pensé que je devais encore dormir, que je rêvais et ce rêve me plaisait. Sa queue se balançait lentement, lourdement elle était longue, et bien proportionnée, bien large. Il n'était pas vraiment circoncis, juste à moitié. La veille dans la pénombre c'est un détail que je ne pouvais pas remarquer mais seule la moitié de son prépuce était coupé. C'est peut être encore plus beau que si on avait tout retiré. J'étais sous le charme.
Il m'interrogeait de son regard, je soulevais ma couette, j'étais nu en dessous. Il me souriait avant de faire comme une petite grimace, il venait de voir mon dispositif de chasteté.
Vous vous souvenez que je vous ai dit à plusieurs reprise que je bandais et que rien ne transparaissait … ?
La surprise passée, il s'approchait, puis me caressant les couilles il me demandait.
– Tu ne le retires pas ?
Je faisais non de la tête. Il s'allongeait à côté de moi puis refermait la couette sur nous.
Son corps était doux, sa fourrure était largement aussi douce que je l'avais rêvé. Je le prenais dans mes bras, il refermait les siens sur moi. On s'embrassait avec passion.
Je ne vous cacherais pas que je ne me suis pas demandé s'il se dévouait, s'il se sacrifiait ou si c'était par pur plaisir je m'en moquais un peu, moi j'en profitais et c'est tout ce qui comptait pour moi à ce moment. Je profitais de la situation avec d'autant plus de plaisir que je ne le lui avait rien demandé. Dehors, il faisait froid, il neigeait, c'était Noël !
Dehors il faisait froid mais là, sou la couette il faisait chaud. On y allait tout en douceur, au début il bandait mou, mais lentement sa queue durcissait, nous étions serrés l'un contre l'autre et je la sentais qui prenait du volume.
Je l'embrassait sur les lèvres, puis dans le cou, il en faisait de même. Nos lèvres descendaient sur le corps de l'autre. Je l'embrassait sur l'épaule, il m'embrassait sur la joue. Je l'embrassait sur le téton, il m'embrassai sur l'épaule. Je lui mordillais doucement le téton, je le sentais frémir et je l'entendait gémir.
Il s'allongeait sur le dos, je m'allongeais sur lui, je le caressais partout et le couvrait de baiser. Mon visage descendait vers sa queue, elle avait pris toutes sa taille et était impressionnante. Je dégageais son gland, c'était rapide et amusant. Il n'avait plus que la moitié de son prépuce. Je m'amusais un moment avec son gland, je passais ma langue dessus.
Un instant, j'ai failli lui demander de m'en faire autant . J'avais oublié que c'était sans issue. Je continuais alors à le sucer avec encore plus de passion. J'adorais cette queue, j'avais un peu de mal à la faire entrer en entier dans ma bouche, mais j'adorais son contact.
Elle était bien ferme mais pas totalement dure, elle était agréable à tripoter et je la branlais avec un grand plaisir. Xavier se laissait faire. Je lui gobais les couilles et là je le sentais se contracter. Ça fait toujours un drôle d'effet au début. Puis c'est la queue que je prenais, le plus profond que je pouvais.
Mes mains se promenaient depuis sont torse, ses tétons jusque sur ses cuisses. Il me caressait la tête, j'ai eu peur qu'il n’appuie sur ma tête, je me serait trouvé bien embarrassé avec un truc pareil dans la gorge mais il était vraiment très doux. Ses gestes, ses manières étaient aussi douces que l'était la peau de sa bite ou son gland.
Il me caressait le dos de la tête, juste pour m'encourager, juste pour me dire qu'il aimait. Il gémissait fort également. Je continuais, j'y mettais du cœur, c'est vrai, je l'avoue, j'aime bien sucer une queue moi. Surtout que celle là était belle. Je la caressait, je le masturbais avec douceur quand je ressortais sa bite de ma bouche. Ça aussi je devinais qu'il appréciait, il gémissait tellement fort.
J'allais gober sa queue une fois encore quand il me retenait.
– Arrête, tu va me faire jouir !
Je relevais la tête.
– C'est un peu le but tu sais !
– Oui mais là c'est trop tôt.
Je le laissais reprendre son souffle. Je m'allongeais contre lui et on se faisait un gros câlin. Ses baisers étaient chauds, suaves, doux et terriblement excitants. Je bandais, je ne sentais plus que ça. Ma queue était écrasée dans sa cage, je sentais se refermer sur la base de mon sexe l'anneau cock-ring. C'était un de ces moments étranges ou j'avais envie de retirer mon dispositif et de me branler et de l'enculer et de prendre mon pied et … Oui je sais, ça fait plein de ''et'' mais il y a des jours, il y a des moment comme ça.
En même temps, j'avais envie que rien ne bouge, j'avais envie de n'être que son jouet sexuel. N'être là que pour son plaisir, que pour le sucer, que pour me faire prendre. J'avais envie de me faire enculer.
Il se retournait sur moi, je me retrouvais allongé sur le dos sous lui, il m'écrasait avec douceur de tout son poids. Il m'embrassait partout, il me pinçait les tétons, il savait faire monter le plaisir autant que le désir.
Il s'amusait avec moi, me caressait, me faisait rire en me chatouillant, me mordillait, je sentais la douceur de ses dents, il ne mordait pas trop fort mais je vous jure qu'il me faisait de l'effet.
Il me regardait bien en face, m'embrassait et me disait de m'allonger sur le ventre. Je me retournais.
– Écarte les cuisses .
J'obtempérais.
Il ne cessait de me caresser, il insistait sur mes fesses, je le sentais il me lubrifiait le cul, il y glissait un doigt avec douceur. Il observait mes réaction. Je sentais sa respiration juste à côté de moi, j'ouvrai un œil et je voyais son visage. Il était concentré, il me souriait, il observait mes réactions, je lui souriais, il me glissait un autre doigt dans le cul. Je soupirais de plaisir.
Il agitait alors des deux doigts et les frappait contre la prostate. Je relevais la tête et gémissait de plaisir, il insistait, plus fort. Je tremblait et commençait à me tortiller. Ça le faisait rire, il m'embrassait puis retirait ses doigts et se laissait retomber sur moi.
Je sentais sa queue pousser contre l'ouverture de mon cul, j'étais bien lubrifié, il poussait. Il poussait doucement pour commencer, puis plus fort et mon cul s'ouvrait.
Il poussait doucement mais il poussait fermement, je sentais sa queue se frayer un passage. Elle glissait lentement, elle s'enfonçait avec force. Je sentais toujours son visage près du mien, je sentais sa respiration, elle était forte et contrôlée.
Je paniquais un peu, sa queue n'en finissait pas de glisser, de s'enfoncer dans mon cul. C'est vrai qu'il y allait doucement, lentement mais elle était grosse et je ne savais pas, je ne savais plus ou il en était. je me sentais envahi, je savais que ça ne passerait pas plus loin, il était au fond et je sentais toujours sa queue glisser. J'allais crier quand son ventre s'est écrasé sur mes fesses.
A ce moment j'ai manqué d'air, je ne bougeais plus puis j'ai hurlé. C'était intense, c'était bon vraiment bon, j'ai joui, c'est à ce moment que j'ai commencé à jouir.
J'avais l'impression de juter en même temps que je jouissais du cul. Tous mes muscles se détendaient et je retombais de tout mon poids. Xavier poussait, il écrasait son ventre contre mes fesses, je couinais. Puis il se retirait, là encore il le faisait lentement.
J'ai poussé un long, un très long gémissement qui se terminait par une longue plainte.
– Eh bien dis donc ! Me disait Xavier . Ça va ?
Je faisais oui de la tête, il m'embrassait et y retournait, il enfonçait sa queue de nouveau, un peu plus vite, mais toujours avec la même tendresse. De nouveau il écrasait son ventre contre mes fesses et nouveau je couinais fort, très fort, jusqu'à manquer d'air.
Il recommençait un peu plus vite, et encore une fois, toujours un peu plus vite. Je gémissait au début, je gueulait par la suite, j'avais toujours l'impression de juter mais l'orgasme venait de mon anus, de ma prostate et durait dans le temps. Cette sensation de jouir par la bite aussi. Elle aussi durait dans le temps et je respirais fort, vraiment très fort.
Xavier avait toujours le visage au dessus de mon épaule, il me regardait. Par moment il m'embrassait. C'était violent, enfin, seule la taille de sa queue était violente. Pour le reste, il était tendre, doux, câlin mais quand il enfonçait sa queue … Je la sentais passer ! C'était intense mais tellement bon.
Il accélérait ses mouvements, je paniquais de nouveau, je jutais, je jouissait avec ma queue, c'était bon mais un peu affolant. Il gémissait, je gueulais plus fort que lui. C'est à ce moment qu'il a hurlé, il a joui dans mon cul.
Il a continué à me limer doucement pendant encore un long moment, là il s'appuyait sur moi de tout son poids, il se laissait aller et moi je trouvais ça très agréable. On ne bougeait plus, je sentais sa force, son poids, sa chaleur, sa douceur et toujours sa queue qui était restée bien plantée en moi. Elle avait ramolli et sa présence dans mon cul était comme un douce caresse, une présence agréable.
Un peu plus tard il s'est relevé, j'ai senti sa queue sortir de mon corps, je me sentais vidé mais c'était toujours très agréable. C'est à ce moment là que j'ai juté, avant, ça n'avait été qu'une impression. Mais là je jutais sans jouir, même si ce que je ressentais restait très agréable.
Encore un peu plus tard on est passé sous la douche et on s'est lavé l'un l'autre, on prenait bien notre temps, on prenait le temps de bien profiter du corps de l'autre.
– Tu encaisse bien dis donc !
– Tu as une super belle queue toi dis donc !
On s'embrassait, l'eau coulait sur nos corps, et ma langue courait sur ses lèvres. De nouveau je bandais, ma cage retenait toute réaction mais je le sentais bien. Il valait mieux que je me calme, c'était agréable avec cette sensation qui venait de mon cul. Je sentais encore sa queue dans mon cul, pourtant elle n'y était plus mais je me sentais toujours dilaté.
Après ça on s'est séché, on à pris notre petit déjeuner et on a discuté.
Vous vous doutez bien qu'il ne savait pas ou aller … Vous vous doutez bien que je n'avais plus envie de le laisser repartir … Vous vous doutez bien qu'il n'avait pas vraiment envie de repartir, surtout si c'était pour aller dormir dans le froid …
On a donc décidé qu'il resterait ici … Pour le moment, dans l'immédiat, provisoirement.
Puis le provisoire s'est allongé, surtout que le boulot qu'il espérait a marché, qu'il lui fallait un logement et ma maison n'était pas loin.
Alors , il est resté, je ne l'ai pas chassé, vous vous doutez bien !
Il est toujours là ! Vous savez. Enfin vous vous doutez bien !
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