Dans le cul, ça porte moins à conséquence
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Dans le cul, ça porte moins à conséquence
Mon confesseur était toujours horrifié quand je lui narrais mes turpitudes sexuelles.
Il me disait, petite, le Bon Dieu n’a pas inventé la baise pour le bonheur des gens mais pour que l’humanité et autres espèces vivantes se perpétuent. Le plaisir qu’on y prend est parfaitement accessoire et n’en est absolument pas justification.
Alors, selon les Saintes Ecritures, dans le cul, c’est péché.
Dans le cul, c’est vain, ça sert à rien. À rien du tout.
Et moi je pensais, l’abbé se trompe.
A genoux dans le confessional de bois sombre à l’odeur de cire, je pensais, l’histoire est bien plus complexe que tu crois, ami abbé.
L’histoire de mon copain, de mes copains et de moi, s’étale sur des décades, des semaines des mois des années. Ça va ça vient on se voit on se parle on se touche on s’aime on se bécote on se mélange en amour au creux des lits ou ailleurs.
C’est sûr que nos pensées sont d’avenir d’enfants de survivance d’éternité. Eux, mes amoureux, comme moi. On a cette chance, ce pouvoir inouï de pouvoir procréer. Et c’est vrai notre vie, notre existence est là et uniquement là.
Pourtant sous la couette, eux et moi, en connivence on pratique des trucs pas très catholiques. Ils me sucent le bouton et je m’éclate longuement en pensant plus à rien qu’à la tendresse du moment. Je leur malaxe la bite et ils s’épanchent en hoquetant dans ma main ou sur le drap, la tête posée sur mon épaule leurs lèvres douces à mon cou.
Surtout, en fin de parcours, ils se finissent dans mon cul en glissant doucement à mon oreille, pour le bébé on verra plus tard, quand le moment sera venu. Peut être un jour. Ou mieux, une nuit.
Le projet l’avenir est bien de fonder un jour famille mais le chemin passe par des voies détournées, là où la main de Dieu reste diablement stérile. Heureusement.
Alors, abbé confesseur, le cul c’est-y vraiment aussi mal que tu dis ? Ou bien est-ce juste étape sur le chemin de notre devenir ? Une sorte de pause, un truc en passant sans grande importance mais qui fait du bien par où ça passe et qui rapproche les êtres en toute amitié.
Comme une introduction une mise en bouche l’annonciation des félicités futures qui seraient la vraie vie éternelle ?
Au delà de l’idée que l’enfant est un projet long shot qui commence au premier sourire du garçon et pas du tout au troisième mois de grossesse, comme le prétendait Simone, je pensais que chaque mot chaque geste chaque bisou chaque promenade était préliminaire indispensable fondamental.
Alors dans le cul en était un aussi et finalement bien plus sympa que la capote latex naturel lubrifié easynike avec réservoir safetank. Surtout l’horreur du noeud de la cuvette de faïence blanche et du bruit de cataracte de la chasse bye-bye.
Je le comprenais l’abbé. Il était de cette génération qui, au séminaire, avait été mise en garde longuement contre les petits garçons du cathéchisme. Les diacres curés évèques archevêques cardinaux même qui en avaient par le passé profondément et longuement profité étaient maintenant rattrapés par le politiquement incorrect.
L’heure était venue où la foi ne se transmettrait plus par complicité sensuelle entre directeur de conscience et ouaille de onze douze ans à peine.
Alors la hiérarchie éclésiastique interdisait dorénavant aux jeunes impétrants du grand séminaire non seulement les penchants naturels vers les jeunes filles en fleur mais aussi les attirances un peu déviantes pour les ados trop réceptifs.
Toujours est-il que mon confesseur, l’abbé, derrière la grille de bois, moi à genoux d’un côté lui de l’autre, assis, probablement en train de se branler avec componction. Toujours est-il qu’il me sermonnait, oui mademoiselle, dans le cul, sûr, c’est péché.
Et moi, à genoux, sous ma jupe de laine épaisse dans mon jupon sage de coton blanc je mouillais abondamment à raconter à ce jeune con mes fantasmes de bites d’hommes fichées bien profond à gicler en pulsions longues et chaudes.
Et ce en toute impunité.
Et ma sérénité conséquente de fille moderne et éclairée.
Il me disait, petite, le Bon Dieu n’a pas inventé la baise pour le bonheur des gens mais pour que l’humanité et autres espèces vivantes se perpétuent. Le plaisir qu’on y prend est parfaitement accessoire et n’en est absolument pas justification.
Alors, selon les Saintes Ecritures, dans le cul, c’est péché.
Dans le cul, c’est vain, ça sert à rien. À rien du tout.
Et moi je pensais, l’abbé se trompe.
A genoux dans le confessional de bois sombre à l’odeur de cire, je pensais, l’histoire est bien plus complexe que tu crois, ami abbé.
L’histoire de mon copain, de mes copains et de moi, s’étale sur des décades, des semaines des mois des années. Ça va ça vient on se voit on se parle on se touche on s’aime on se bécote on se mélange en amour au creux des lits ou ailleurs.
C’est sûr que nos pensées sont d’avenir d’enfants de survivance d’éternité. Eux, mes amoureux, comme moi. On a cette chance, ce pouvoir inouï de pouvoir procréer. Et c’est vrai notre vie, notre existence est là et uniquement là.
Pourtant sous la couette, eux et moi, en connivence on pratique des trucs pas très catholiques. Ils me sucent le bouton et je m’éclate longuement en pensant plus à rien qu’à la tendresse du moment. Je leur malaxe la bite et ils s’épanchent en hoquetant dans ma main ou sur le drap, la tête posée sur mon épaule leurs lèvres douces à mon cou.
Surtout, en fin de parcours, ils se finissent dans mon cul en glissant doucement à mon oreille, pour le bébé on verra plus tard, quand le moment sera venu. Peut être un jour. Ou mieux, une nuit.
Le projet l’avenir est bien de fonder un jour famille mais le chemin passe par des voies détournées, là où la main de Dieu reste diablement stérile. Heureusement.
Alors, abbé confesseur, le cul c’est-y vraiment aussi mal que tu dis ? Ou bien est-ce juste étape sur le chemin de notre devenir ? Une sorte de pause, un truc en passant sans grande importance mais qui fait du bien par où ça passe et qui rapproche les êtres en toute amitié.
Comme une introduction une mise en bouche l’annonciation des félicités futures qui seraient la vraie vie éternelle ?
Au delà de l’idée que l’enfant est un projet long shot qui commence au premier sourire du garçon et pas du tout au troisième mois de grossesse, comme le prétendait Simone, je pensais que chaque mot chaque geste chaque bisou chaque promenade était préliminaire indispensable fondamental.
Alors dans le cul en était un aussi et finalement bien plus sympa que la capote latex naturel lubrifié easynike avec réservoir safetank. Surtout l’horreur du noeud de la cuvette de faïence blanche et du bruit de cataracte de la chasse bye-bye.
Je le comprenais l’abbé. Il était de cette génération qui, au séminaire, avait été mise en garde longuement contre les petits garçons du cathéchisme. Les diacres curés évèques archevêques cardinaux même qui en avaient par le passé profondément et longuement profité étaient maintenant rattrapés par le politiquement incorrect.
L’heure était venue où la foi ne se transmettrait plus par complicité sensuelle entre directeur de conscience et ouaille de onze douze ans à peine.
Alors la hiérarchie éclésiastique interdisait dorénavant aux jeunes impétrants du grand séminaire non seulement les penchants naturels vers les jeunes filles en fleur mais aussi les attirances un peu déviantes pour les ados trop réceptifs.
Toujours est-il que mon confesseur, l’abbé, derrière la grille de bois, moi à genoux d’un côté lui de l’autre, assis, probablement en train de se branler avec componction. Toujours est-il qu’il me sermonnait, oui mademoiselle, dans le cul, sûr, c’est péché.
Et moi, à genoux, sous ma jupe de laine épaisse dans mon jupon sage de coton blanc je mouillais abondamment à raconter à ce jeune con mes fantasmes de bites d’hommes fichées bien profond à gicler en pulsions longues et chaudes.
Et ce en toute impunité.
Et ma sérénité conséquente de fille moderne et éclairée.
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