Dans le lit conjugal
Récit érotique écrit par Mimi43a [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Dans le lit conjugal
Première fois avec un ami dans le lit conjugal :
Je connaissais bien René, il était mon dentiste depuis toute petite et en plus le père d’une amie d’enfance. il était veuf, à cette époque.
Il avait 57 ans. Moi, 39 ans.
En juin 2010, le soir des 40 ans de sa fille, j’étais invitée, seule car mon mari était à l‘exposition internationale de Shanghai. Sylvie m’avait placé à côté de son père. Après le repas, nous avions dansés presque toute la soirée, je me laissais aller dans les bras de mon cavalier lors des slows. Lorsque la fête s’est terminée, vers deux heures et demi du matin, René m’a proposé de me raccompagner avec sa voiture chez moi... Arrivé à la maison, je lui ai demandé s‘il voulait entrer prendre un café, il a accepté mon invitation, je l’ai fais entrer au salon, j'ai servi le café et nous avons parlé jusqu’à plus de quatre heures du matin, lorsque je me suis rendu compte de l’heure, je lui ai dit, sans arrière pensée : « Il est bien tard René, voulez-vous rester dormir ici dans la chambre d’amis ? »Il m’a répondu : « Oui c’est vrai qu’il est tard, je veux bien, si ça ne te dérange pas ». Les chambres sont à l’étage, je lui ai montré la chambre d'amis et la salle de bain, je lui ai donné des serviettes et un peignoir en éponge, il m’a dit : « Si tu veux bien, je vais aller prendre une douche et je viendrai te dire bonsoir avant de me coucher. »Nous avons deux salles de bain, une attenante à la chambre conjugale et l'autre dans le couloir pour la chambre d'amis. je me suis déshabillées seule dans ma chambre, j’ai pris une douche puis j’ai enfilé une chemise de nuit courte, j’avais mis dessous une petite culotte en coton blanc, et me suis couchée dans le lit où je dors habituellement avec mon mari, les draps relevés jusqu’au menton. Je l’entendais dans la salle de bain prendre sa douche. J’essayais de ne pas trop réfléchir. J’étais un peu anxieuse de savoir qu’il allait entrer dans ma chambre. Je regardais le crucifix qui semblait m’observer.
Ce n’était pas fait pour me déculpabiliser, bien au contraire. J’ai frissonné quand je l’ai entendu sortir de la salle de bain. Il est d'abord allé dans sa chambre puis je l'ai entendu ressortir et il a frappé à la porte de ma chambre, je lui ai dit d’entrer, il était vêtu d'un peignoir blanc emprunté à mon mari.Il s’est assis sur le bord de mon lit, s’est penché sur moi pour me dire bonsoir et à ce moment-là, ses lèvres se sont posées sur les miennes, sa langue a tenté de glissée entre mes lèvres, j’ai d’abord détourné la tête puis après quelques instants d’hésitation, j’ai répondu à son baiser... Il en a profité pour passer sa main sous la couette et caresser, en même temps, mes petits seins au travers du fin tissus de ma nuisette... Puis j’ai senti sa main descendre doucement sur mon ventre jusqu’à ma petite culotte...
Sa langue tournoyaient dans ma bouche, nous étions unis dans un long baiser profond, mes bras autour de son cou...Tout en me caressant, il m’a dit : « Ma petite Michelle tu es toute seule dans ce grand lit, Veux-tu que je m’allonge quelques instants près de toi pour te câliner ? Tu veux bien ?…»
J’ai répondu doucement et timidement : « Oui mais juste un câlin !.. » Il s’est levé, à ôté son peignoir qu’il a laissé tombé au sol. Là, surprise !
Il était entièrement nu dessous. A ce moment, j’ai eu peur quand j’ai vu son sexe en érection, il était plus long et beaucoup plus gros et plus épais que celui de mon mari. Son gland entièrement décalotté de couleur presque violette était humide.
Il s’est de nouveau assit sur le lit avant de venir sous la couette pour me prendre dans ses bras et m‘embrasser, de nouveau, à pleine bouche.... Mon cœur allait, d’un coup, un peu plus vite. Je lui demandais de bien vouloir éteindre la lampe de chevet, que cela m’aiderait.
Il voulait bien, et me comprenait...
A l’extérieur, le silence...
Il a soulevé la couette pour se glisser dans le lit près de moi.
Il s’est collé contre moi, son corps contre le mien, il m’a prise dans ses bras. Je sentais son visage contre le mien. Sa bouche qui venait sur mes yeux, mon front, mes lèvres.... Ses lèvres, son souffle sur mon visage, j’étais dans ses bras.... Je sentais son sexe contre ma cuisse... Ses lèvres sur les miennes, puis son visage dans mon cou, il respirait mon odeur, me mordillait doucement, me léchait. Je le suppliais à voix basses de ne surtout pas me faire de suçon. Il me le promis. Sa main venait sur mes bras nus, puis sur mon corps sous ma nuisette. Elle descendait sur mes hanches, le long de ma cuisse nue et remontait jusqu'à mes petits seins. Il frottait doucement son corps contre le mien. Je sentais son sexe devenir très dur contre ma cuisse. Il pinçait mes petits bouts de seins doucement.
Il me murmurait qu’il aimait mes petits seins. Je le serrais contre moi. Je lui donnais mes lèvres dès que je sentais qu’il les cherchait. Je caressais son dos, ses hanches, ses reins. Il était chaud, doux. Sa main est descendue sur ma petite culotte, j’ai écarté mes jambes doucement.
Ma chemise de nuit le gênait. Je l’aidais à la remonter en soulevant mes fesses. Je lui demandais s’il voulait que je l’enlève entièrement. Non, il voulait que je la garde encore, mais il a remonté le bas sur mon ventre. Sa main est passée sous ma petite chemise de nuit remontant sur mes petits seins,
J’ai une toute petite poitrine, mes seins tenaient dans sa main ouverte. Il me les pétrissait doucement. Il les comprimait en remontant, titillait mes petits bouts.
Puis sa main est redescendue sur mon ventre. Consentante, j’ai ouvert un peu plus mes jambes, remontant un genou. Sa main, ses doigts sont passés, sur ma culotte, il caressait ma fente, puis l’intérieur de mes cuisses ouvertes pour revenir sur mon pubis qu‘il caressait au travers du fin tissus de ma culotte. Je sentais qu’il cherchait les contours de mes lèvres intimes. Pendant un long moment, il m’a caressé doucement comme-ça. Il me parlait tout le temps à voix basse. Me complimentant sur mes petits seins, caressait mon ventre, il me demandait si cela allait, si j’étais bien, m’encourageait doucement, il me disait que j’étais douce, que je sentais bon. Il m’a demandé si mon mari me parlait et si je lui parlais pendant l’amour. Sa main est passée sous ma culotte puis tout en me caressant doucement, il l'a baissé en la faisant glisser le long de mes cuisses et de mes jambes. Je l’aidais à l’enlever entièrement avec mes pieds.
Ses doigts caressaient doucement ma fente humide qui s‘ouvrait comme une fleur après la rosée...
Son sexe était très dur contre ma cuisse. J’osais le caresser je touchais timidement son sexe. Je le tenais doucement comme me l’avait appris mon mari. Il était très gros, tellement plus épais que le sexe de mon mari… Sa main sur mon ventre, entre mes cuisses allait et venait tout doucement. Il appuyait légèrement, il cherchait mon petit bouton, il ouvrait mes petites lèvres humides avec ses doigts. J’avais envie de lui. Malgré l’obscurité, je fermais les yeux. J’entendais sa respiration dans mon cou.Il m'a dit à voix basse : "Mimi, ma petite chérie, j’ai envie de toi… J’aimerai te faire l’amour… Qu’on fasse l’Amour… Tu veux ? Tu as envie ? Je sens que tu as envie… Je pénétrerais doucement ta petite chatte, et si tu as mal j’arrêterai. Tu veux bien ?"."René, je n’ai jamais trompé mon mari mais prenez moi doucement, il est si gros... Faites-moi l’amour... J'ai envie René, J’ai envie de vous sentir dans moi…"
« As-tu une contraception Mimi ? »
« Oui je prends l, vous pouvez rester et jouir dans moi »Il est venu sur moi. Je le prenais dans mes bras, j’ouvrais et relevais mes cuisses. L’obscurité aidant, j’osais lui murmurer des mots doux, des mots d’amours. Je lui disais et redisais de me prendre, de me faire l’amour... Je l’appelais ‘‘mon amour’’ je lui dis plusieurs fois que je l’aimais. C’est lui qui a guidé son sexe à l’entrée de ma petite chatte... Il fit glisser doucement son gland entre mes petites lèvres durant quelques secondes qui me paraissaient trop longues, tant je désirais être pénétrée.
Je le serrais de toutes mes forces, alors qu’il s’introduisit doucement dans mon ventre, je sentais les parois de mon vagin s’écartaient sous la pénétration de son sexe qui était si gros dans ma petite chatte serrée. Lui aussi me murmurait des mots d’amour, il cherchait mes lèvres pour de longs baisers profonds. Il est resté un long moment immobile une fois tout au fond de moi. Il me parlait, caressait mon corps, mes petits seins, m’embrassait mais ne bougeait pas. Je sentais son sexe vivre en moi, je le sentais gros et chaud. Je contractais mes muscles vaginaux pour bien serré son sexe. Puis, il a commencé à bouger très lentement.
Il allait et venait tout doucement en moi. Mais chaque fois, j’avais l’impression qu’il voulait s'enfoncer plus loin dans moi. Qu’il voulait venir jusqu’au fond de mon ventre. Il forçait, il appuyait avec ses reins, me remontant sur le lit. Je me tenais à lui. Je le sentais en moi comme je n’avais jamais senti mon mari. J’entendais, je recevais son souffle sa respiration dans mon cou à chaque mouvement.
Il avait soulevé ma petite chemise de nuit au dessus de mes seins. Je me tenais toujours à lui. Je gémissais à chaque fois qu’il butait au font de mon ventre, j‘avais un peu mal mais j‘aimais. Ses mouvements étaient amples, lents, profonds. J’avais l’impression parfois qu’il voulait aller encore plus profondément dans mon corps… Il pétrissait mes petits seins avec plus de force. Je continuais à lui murmurer des mots d‘amour. J’ai senti que j’atteindrais l’orgasme très vite. J’essayais de ne pas y penser, d’attendre, de repousser cet instant. Je m’en sentais incapable. Je lui murmurais que j’allais jouir. Je crois qu’il a répondu : « Donne-toi ma petite chérie... Jouis… Je t’Aime !... », je ne sais plus...
Doucement je me suis senti partir. Je l’ai serré très très fort en criant :
« Renééééé ! Ohhhhhhhh ça y est ! Je jouiiiiiiiis ! Ouiiiiiiiii ! Ohhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii !».
Puis la délivrance une fois le point de non retour franchi. Je me suis laissé glisser dans le bonheur. Ce que j’aime dans l’amour ce sont ces quelques secondes qui suivent l’orgasme. Cette impression de n’être plus maître de soit. J’aime m’abandonner ainsi. Je me relâche complètement, et suis incapable de faire le moindre geste durant quelques minutes.Il est resté un moment sans bouger, tout au fond de moi. Il caressait mes cheveux, mon visage, prenait mes lèvres. Il m’a demandé tout bas, si cela allait. Puis lentement il a recommencé à bouger dans moi. Je ne sais pas combien de temps il m’a fait l’amour. De temps en temps il pressait un de mes petits seins. Ou, il soulevait et écartait une de mes cuisses. A voix basses toujours, il me demandait de me laissée aller. Il m’appelait ‘‘mon Poussin’’, ‘‘ma petite Chérie’’, ‘‘mon Amour’’...
Il me disait des mots tendres, très souvent : « Je t’Aime ! ». Cela me faisait étrange de lui murmurer des mots d’amour, de lui dire moi aussi : « Je vous aime... ». Puis, je me suis senti partir encore une fois, l‘orgasme montait. Je le serrais très, très fort, je lui ai dit que je venais, que j‘allais encore jouir... A cet instant il a accéléré ses mouvements. Sa respiration est devenue plus rauque. J’ai compris que lui aussi allait jouir. J’ai essayé de toutes mes forces de ne pas partir, de me retenir encore quelques secondes. Mais c’était impossible. Je suis partie et dans le même instant, j’ai senti que lui aussi se contractait puis j’ai senti les spasmes de son sexe quant il a éjaculait plusieurs jets importants de sperme au fond de moi.
Il murmurai : « Ma petite chérie, je jouis... Je jouis dans toi... Je jouis dans ton ventre mon amour, je te mets plein de petits René dans ton ventre ma Mimi chérie… Je t’aime mon petit Amour... Il y avait si longtemps que j’avais envie de toi... ». J’étais morte. Il est resté un long moment sur moi, dans moi sans bouger. Sa tête dans mon cou ses lèvres contrent ma peau. Je le sentais toujours dans mon ventre. Puis, je me suis assoupie sans m’en rendre vraiment compte lui toujours dans moi. Je me souviens uniquement lorsqu’il s’est retiré, qu’il avait rallumé la lumière et l’impression érotique que l’on suçait mes petits seins si sensibles tout en caressant ma vulve... Je me réveillais le lendemain matin. J’étais seule dans mon lit, entièrement nue, ma chemise de nuit à côté de moi. Les volets étaient entrouverts et la clarté du jour rentrait dans la chambre. Il m’a fallu un certain temps pour comprendre et me souvenir de ce que j‘avais fait cette nuit. Je me levais, j’avais la pointe des seins beaucoup plus sensibles, J‘ai passé ma main entre mes cuisses, j‘étais encore toute poisseuse, j'avais l'impression que ma petite chatte était ouverte et insensible. Je mis le peignoir qui était toujours sur mes affaires et suis sortie de la chambre.
Je suis descendue, mon amant était là, dans la cuisine.
Il m'a souri en me disant bonjour, il a déposé un petit baiser sur mes lèvres.
J’avais honte de ce que j’avais fait dans la nuit…
Je suis remontée et j’ai filais à la salle de bain pour prendre un bain bien chaud.
Je suis redescendue après avoir mis une culotte et mon peignoir sur moi.
Il m’attendait dans le salon, devant un plateau sur lequel il avait préparé un petit déjeuner. Il avait déjà pris sa douche, il avait sur lui le peignoir que je lui avait prêté. Il m’a souri et m’a demandé si cela allait…
Il m’a dit que je m’étais endormie trop vite, que je semblais épuisée par tant de jouissance. Il m’avoua qu’il en avait profité pour me caresser, m’embrasser et me scruter avec beaucoup d’attentions.
Je n’osais imaginer son examen... Nous avons déjeuné tout les deux sagement. Le petit déjeuner terminé depuis un moment déjà, il s’est levé, a pris ma main, m’entraînant dans l’escalier qui monte aux chambres. Nous nous sommes assis au bord du lit, il m’a prise dans ses bras pour m’embrasser, il caressait mes petits seins… Il m’a fait allonger sur le lit. Il s’est penché sur moi. A dénouer la ceinture de mon peignoir, en a écarté les pans.
Il regardait mon corps. Sa main est venue sur mon ventre, entre mes cuisses qu’il a ouvertes, un doigt caressait ma fente au travers de ma culotte qu’il a écartée pour me pénétrer doucement.
Il s’est penché sur moi, il a ôté ma culotte en la faisant glisser le long de mes jambes. Il a posé ses lèvres sur mes seins, puis sur mon nombril. Son visage sa bouche sont venues à l’intérieur de mes cuisses. Je regardais le crucifix alors que ses lèvres humides et chaudes, se posaient sur ma fente. Je serrais les draps, je caressais sa tête, je regardais les murs de ma chambre. Je me soulevais pour le voir, pour voir cet homme qui n’était pas mon mari, qui léchait ma petite chatte dans le lit conjugal...Sa langue venait autour de mes lèvres. Puis, elle les a écarté, cherchant ma petite perle d’amour. C’était bon, je le guidais à voix basse. J’aime lorsque le bout de la langue humide effleure mon petit clitoris. De temps en temps sa langue me pénétrait et revenait exacerber ma petite perle en la prenant entre ses lèvres pour l’aspirer. Je me suis laissé aller aux plaisirs sans essayer de me retenir. C’était bon, merveilleux, de me sentir dans cette chambre sous cet homme.
Puis il est venu sur moi. Il m’embrassait, sa bouche avait le goût et l’odeur intime de ma vulve, son sexe a caressé ma fente puis s’est enfoncé dans moi plus facilement que cette nuit. J'ai eu, aussitôt, un orgasme très fort. Après m’avoir fait jouir ainsi, il s’est retiré et s’est allongé sur le dos. Son sexe était gros et dur. J’ai attendu de reprendre un peu mes esprits. Puis, il m’a fait venir sur lui. Je me suis mise à genoux au dessus de lui, face à lui, mes genoux de chaque coté de son corps. Mon peignoir est tombé dans mon dos. Il me regardait, regardait mon corps, mes petits seins, mon ventre. Son sexe était devant moi, contre le bas de mon ventre. Je me suis relevée sur les genoux, j’ai pris son sexe entre mes doigts, et je l’ai dirigé entre mes cuisses, à l‘entrée de ma petite chatte toute mouillée. Il me regardait faire. Je suis descendu dessus pour me pénétrée doucement. Je bougeais à mon rythme. Il me regardait. Il me tenait et serrait ma taille, mes hanches. De temps en temps il caressait mes petits seins.
Il serrait aussi mes cuisses, ou prenait mes bras et me tirait vers lui. Ses mains caressaient alors mon dos, mes fesses. Il appuyait et me massait tout doucement entre les fesses, parfois le bout de son doigt caressait et tentait de pénétrer mon anus.
De le voir lui, de voir son regard, ses yeux sur moi sur mon corps, de sentir ses mains, ses doigts accentuaient mon désir. Je me sentais partir doucement. Il m’encourageait de la voix avec des mots doux : « Vas-y donne toi ma Mimi... Jouis ma petite chérie... Jouis sur mon sexe qui est au fond de toi, dans ton ventre ma chérie !... »
Qu’il puisse me voir ainsi, dans cette attitude, dans ce moment, cela me gênait terriblement et cela avait aussi un très fort pouvoir érotique et stimulant.
J’ai pris mon plaisir en le regardant. Il a pris mes bras et m’a tiré contre son corps. Je me suis blottie contre lui, dans son cou, il me serrait, les derniers soubresauts de mon orgasme finissaient... Il ne m’a pas laissé trop de temps pour revenir. Il m’a retourné sur le lit, m'a mise sur le dos... Il est venu sur moi, et son gros sexe s'est enfoncé dans ma petite chatte trempée de ma jouissance, j’avais les jambes écartées. De nouveau une pénétration profonde mais à un rythme plus intense que la veille. De nouveau je le serrais de toutes mes forces. De nouveaux il me murmurait que j’étais une adorable petite coquine.... Soudain, j’ai senti les spasmes de son sexe et de longues giclées de sperme se répandre dans moi. Il jouissait, il se vidait dans ma petite chatte, dans mon ventre dans ce corps qui n’avais connu, avant lui, qu’un seul homme : mon mari. Nous sommes restés un long, très long moment tout les deux nus l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, lui sur moi à me parler doucement, à voix basses. Il me parlait de lui, de sa femme disparue. Je lui parlais plus intimement de moi, de mon couple, qu'il était le premier après mon mari à avoir pénétrer mon corps. Je répondais à ses questions parfois très indiscrètes sur mes fantasmes, ma vie sexuelle…
Mais l’heure avançait inexorablement.... Nous avons pris une douche réparatrice ensemble, c’est lui qui savonnais ma petite chatte, et mon anus qu’il pénétrait de temps en temps avec ses doigts plein de savon. Puis, nous nous sommes rhabillés. Après un long baiser profond et quelques caresses intimes, nous nous sommes quittés, il est rentré chez lui en début d’après-midi...Moi, je me suis recouchée et j’ai dormis toute l’après-midi, je me suis réveillée en fin de journée, honteuse de ce que j’avais fait dans ce lit que je partage depuis si longtemps avec mon mari.
Je connaissais bien René, il était mon dentiste depuis toute petite et en plus le père d’une amie d’enfance. il était veuf, à cette époque.
Il avait 57 ans. Moi, 39 ans.
En juin 2010, le soir des 40 ans de sa fille, j’étais invitée, seule car mon mari était à l‘exposition internationale de Shanghai. Sylvie m’avait placé à côté de son père. Après le repas, nous avions dansés presque toute la soirée, je me laissais aller dans les bras de mon cavalier lors des slows. Lorsque la fête s’est terminée, vers deux heures et demi du matin, René m’a proposé de me raccompagner avec sa voiture chez moi... Arrivé à la maison, je lui ai demandé s‘il voulait entrer prendre un café, il a accepté mon invitation, je l’ai fais entrer au salon, j'ai servi le café et nous avons parlé jusqu’à plus de quatre heures du matin, lorsque je me suis rendu compte de l’heure, je lui ai dit, sans arrière pensée : « Il est bien tard René, voulez-vous rester dormir ici dans la chambre d’amis ? »Il m’a répondu : « Oui c’est vrai qu’il est tard, je veux bien, si ça ne te dérange pas ». Les chambres sont à l’étage, je lui ai montré la chambre d'amis et la salle de bain, je lui ai donné des serviettes et un peignoir en éponge, il m’a dit : « Si tu veux bien, je vais aller prendre une douche et je viendrai te dire bonsoir avant de me coucher. »Nous avons deux salles de bain, une attenante à la chambre conjugale et l'autre dans le couloir pour la chambre d'amis. je me suis déshabillées seule dans ma chambre, j’ai pris une douche puis j’ai enfilé une chemise de nuit courte, j’avais mis dessous une petite culotte en coton blanc, et me suis couchée dans le lit où je dors habituellement avec mon mari, les draps relevés jusqu’au menton. Je l’entendais dans la salle de bain prendre sa douche. J’essayais de ne pas trop réfléchir. J’étais un peu anxieuse de savoir qu’il allait entrer dans ma chambre. Je regardais le crucifix qui semblait m’observer.
Ce n’était pas fait pour me déculpabiliser, bien au contraire. J’ai frissonné quand je l’ai entendu sortir de la salle de bain. Il est d'abord allé dans sa chambre puis je l'ai entendu ressortir et il a frappé à la porte de ma chambre, je lui ai dit d’entrer, il était vêtu d'un peignoir blanc emprunté à mon mari.Il s’est assis sur le bord de mon lit, s’est penché sur moi pour me dire bonsoir et à ce moment-là, ses lèvres se sont posées sur les miennes, sa langue a tenté de glissée entre mes lèvres, j’ai d’abord détourné la tête puis après quelques instants d’hésitation, j’ai répondu à son baiser... Il en a profité pour passer sa main sous la couette et caresser, en même temps, mes petits seins au travers du fin tissus de ma nuisette... Puis j’ai senti sa main descendre doucement sur mon ventre jusqu’à ma petite culotte...
Sa langue tournoyaient dans ma bouche, nous étions unis dans un long baiser profond, mes bras autour de son cou...Tout en me caressant, il m’a dit : « Ma petite Michelle tu es toute seule dans ce grand lit, Veux-tu que je m’allonge quelques instants près de toi pour te câliner ? Tu veux bien ?…»
J’ai répondu doucement et timidement : « Oui mais juste un câlin !.. » Il s’est levé, à ôté son peignoir qu’il a laissé tombé au sol. Là, surprise !
Il était entièrement nu dessous. A ce moment, j’ai eu peur quand j’ai vu son sexe en érection, il était plus long et beaucoup plus gros et plus épais que celui de mon mari. Son gland entièrement décalotté de couleur presque violette était humide.
Il s’est de nouveau assit sur le lit avant de venir sous la couette pour me prendre dans ses bras et m‘embrasser, de nouveau, à pleine bouche.... Mon cœur allait, d’un coup, un peu plus vite. Je lui demandais de bien vouloir éteindre la lampe de chevet, que cela m’aiderait.
Il voulait bien, et me comprenait...
A l’extérieur, le silence...
Il a soulevé la couette pour se glisser dans le lit près de moi.
Il s’est collé contre moi, son corps contre le mien, il m’a prise dans ses bras. Je sentais son visage contre le mien. Sa bouche qui venait sur mes yeux, mon front, mes lèvres.... Ses lèvres, son souffle sur mon visage, j’étais dans ses bras.... Je sentais son sexe contre ma cuisse... Ses lèvres sur les miennes, puis son visage dans mon cou, il respirait mon odeur, me mordillait doucement, me léchait. Je le suppliais à voix basses de ne surtout pas me faire de suçon. Il me le promis. Sa main venait sur mes bras nus, puis sur mon corps sous ma nuisette. Elle descendait sur mes hanches, le long de ma cuisse nue et remontait jusqu'à mes petits seins. Il frottait doucement son corps contre le mien. Je sentais son sexe devenir très dur contre ma cuisse. Il pinçait mes petits bouts de seins doucement.
Il me murmurait qu’il aimait mes petits seins. Je le serrais contre moi. Je lui donnais mes lèvres dès que je sentais qu’il les cherchait. Je caressais son dos, ses hanches, ses reins. Il était chaud, doux. Sa main est descendue sur ma petite culotte, j’ai écarté mes jambes doucement.
Ma chemise de nuit le gênait. Je l’aidais à la remonter en soulevant mes fesses. Je lui demandais s’il voulait que je l’enlève entièrement. Non, il voulait que je la garde encore, mais il a remonté le bas sur mon ventre. Sa main est passée sous ma petite chemise de nuit remontant sur mes petits seins,
J’ai une toute petite poitrine, mes seins tenaient dans sa main ouverte. Il me les pétrissait doucement. Il les comprimait en remontant, titillait mes petits bouts.
Puis sa main est redescendue sur mon ventre. Consentante, j’ai ouvert un peu plus mes jambes, remontant un genou. Sa main, ses doigts sont passés, sur ma culotte, il caressait ma fente, puis l’intérieur de mes cuisses ouvertes pour revenir sur mon pubis qu‘il caressait au travers du fin tissus de ma culotte. Je sentais qu’il cherchait les contours de mes lèvres intimes. Pendant un long moment, il m’a caressé doucement comme-ça. Il me parlait tout le temps à voix basse. Me complimentant sur mes petits seins, caressait mon ventre, il me demandait si cela allait, si j’étais bien, m’encourageait doucement, il me disait que j’étais douce, que je sentais bon. Il m’a demandé si mon mari me parlait et si je lui parlais pendant l’amour. Sa main est passée sous ma culotte puis tout en me caressant doucement, il l'a baissé en la faisant glisser le long de mes cuisses et de mes jambes. Je l’aidais à l’enlever entièrement avec mes pieds.
Ses doigts caressaient doucement ma fente humide qui s‘ouvrait comme une fleur après la rosée...
Son sexe était très dur contre ma cuisse. J’osais le caresser je touchais timidement son sexe. Je le tenais doucement comme me l’avait appris mon mari. Il était très gros, tellement plus épais que le sexe de mon mari… Sa main sur mon ventre, entre mes cuisses allait et venait tout doucement. Il appuyait légèrement, il cherchait mon petit bouton, il ouvrait mes petites lèvres humides avec ses doigts. J’avais envie de lui. Malgré l’obscurité, je fermais les yeux. J’entendais sa respiration dans mon cou.Il m'a dit à voix basse : "Mimi, ma petite chérie, j’ai envie de toi… J’aimerai te faire l’amour… Qu’on fasse l’Amour… Tu veux ? Tu as envie ? Je sens que tu as envie… Je pénétrerais doucement ta petite chatte, et si tu as mal j’arrêterai. Tu veux bien ?"."René, je n’ai jamais trompé mon mari mais prenez moi doucement, il est si gros... Faites-moi l’amour... J'ai envie René, J’ai envie de vous sentir dans moi…"
« As-tu une contraception Mimi ? »
« Oui je prends l, vous pouvez rester et jouir dans moi »Il est venu sur moi. Je le prenais dans mes bras, j’ouvrais et relevais mes cuisses. L’obscurité aidant, j’osais lui murmurer des mots doux, des mots d’amours. Je lui disais et redisais de me prendre, de me faire l’amour... Je l’appelais ‘‘mon amour’’ je lui dis plusieurs fois que je l’aimais. C’est lui qui a guidé son sexe à l’entrée de ma petite chatte... Il fit glisser doucement son gland entre mes petites lèvres durant quelques secondes qui me paraissaient trop longues, tant je désirais être pénétrée.
Je le serrais de toutes mes forces, alors qu’il s’introduisit doucement dans mon ventre, je sentais les parois de mon vagin s’écartaient sous la pénétration de son sexe qui était si gros dans ma petite chatte serrée. Lui aussi me murmurait des mots d’amour, il cherchait mes lèvres pour de longs baisers profonds. Il est resté un long moment immobile une fois tout au fond de moi. Il me parlait, caressait mon corps, mes petits seins, m’embrassait mais ne bougeait pas. Je sentais son sexe vivre en moi, je le sentais gros et chaud. Je contractais mes muscles vaginaux pour bien serré son sexe. Puis, il a commencé à bouger très lentement.
Il allait et venait tout doucement en moi. Mais chaque fois, j’avais l’impression qu’il voulait s'enfoncer plus loin dans moi. Qu’il voulait venir jusqu’au fond de mon ventre. Il forçait, il appuyait avec ses reins, me remontant sur le lit. Je me tenais à lui. Je le sentais en moi comme je n’avais jamais senti mon mari. J’entendais, je recevais son souffle sa respiration dans mon cou à chaque mouvement.
Il avait soulevé ma petite chemise de nuit au dessus de mes seins. Je me tenais toujours à lui. Je gémissais à chaque fois qu’il butait au font de mon ventre, j‘avais un peu mal mais j‘aimais. Ses mouvements étaient amples, lents, profonds. J’avais l’impression parfois qu’il voulait aller encore plus profondément dans mon corps… Il pétrissait mes petits seins avec plus de force. Je continuais à lui murmurer des mots d‘amour. J’ai senti que j’atteindrais l’orgasme très vite. J’essayais de ne pas y penser, d’attendre, de repousser cet instant. Je m’en sentais incapable. Je lui murmurais que j’allais jouir. Je crois qu’il a répondu : « Donne-toi ma petite chérie... Jouis… Je t’Aime !... », je ne sais plus...
Doucement je me suis senti partir. Je l’ai serré très très fort en criant :
« Renééééé ! Ohhhhhhhh ça y est ! Je jouiiiiiiiis ! Ouiiiiiiiii ! Ohhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii !».
Puis la délivrance une fois le point de non retour franchi. Je me suis laissé glisser dans le bonheur. Ce que j’aime dans l’amour ce sont ces quelques secondes qui suivent l’orgasme. Cette impression de n’être plus maître de soit. J’aime m’abandonner ainsi. Je me relâche complètement, et suis incapable de faire le moindre geste durant quelques minutes.Il est resté un moment sans bouger, tout au fond de moi. Il caressait mes cheveux, mon visage, prenait mes lèvres. Il m’a demandé tout bas, si cela allait. Puis lentement il a recommencé à bouger dans moi. Je ne sais pas combien de temps il m’a fait l’amour. De temps en temps il pressait un de mes petits seins. Ou, il soulevait et écartait une de mes cuisses. A voix basses toujours, il me demandait de me laissée aller. Il m’appelait ‘‘mon Poussin’’, ‘‘ma petite Chérie’’, ‘‘mon Amour’’...
Il me disait des mots tendres, très souvent : « Je t’Aime ! ». Cela me faisait étrange de lui murmurer des mots d’amour, de lui dire moi aussi : « Je vous aime... ». Puis, je me suis senti partir encore une fois, l‘orgasme montait. Je le serrais très, très fort, je lui ai dit que je venais, que j‘allais encore jouir... A cet instant il a accéléré ses mouvements. Sa respiration est devenue plus rauque. J’ai compris que lui aussi allait jouir. J’ai essayé de toutes mes forces de ne pas partir, de me retenir encore quelques secondes. Mais c’était impossible. Je suis partie et dans le même instant, j’ai senti que lui aussi se contractait puis j’ai senti les spasmes de son sexe quant il a éjaculait plusieurs jets importants de sperme au fond de moi.
Il murmurai : « Ma petite chérie, je jouis... Je jouis dans toi... Je jouis dans ton ventre mon amour, je te mets plein de petits René dans ton ventre ma Mimi chérie… Je t’aime mon petit Amour... Il y avait si longtemps que j’avais envie de toi... ». J’étais morte. Il est resté un long moment sur moi, dans moi sans bouger. Sa tête dans mon cou ses lèvres contrent ma peau. Je le sentais toujours dans mon ventre. Puis, je me suis assoupie sans m’en rendre vraiment compte lui toujours dans moi. Je me souviens uniquement lorsqu’il s’est retiré, qu’il avait rallumé la lumière et l’impression érotique que l’on suçait mes petits seins si sensibles tout en caressant ma vulve... Je me réveillais le lendemain matin. J’étais seule dans mon lit, entièrement nue, ma chemise de nuit à côté de moi. Les volets étaient entrouverts et la clarté du jour rentrait dans la chambre. Il m’a fallu un certain temps pour comprendre et me souvenir de ce que j‘avais fait cette nuit. Je me levais, j’avais la pointe des seins beaucoup plus sensibles, J‘ai passé ma main entre mes cuisses, j‘étais encore toute poisseuse, j'avais l'impression que ma petite chatte était ouverte et insensible. Je mis le peignoir qui était toujours sur mes affaires et suis sortie de la chambre.
Je suis descendue, mon amant était là, dans la cuisine.
Il m'a souri en me disant bonjour, il a déposé un petit baiser sur mes lèvres.
J’avais honte de ce que j’avais fait dans la nuit…
Je suis remontée et j’ai filais à la salle de bain pour prendre un bain bien chaud.
Je suis redescendue après avoir mis une culotte et mon peignoir sur moi.
Il m’attendait dans le salon, devant un plateau sur lequel il avait préparé un petit déjeuner. Il avait déjà pris sa douche, il avait sur lui le peignoir que je lui avait prêté. Il m’a souri et m’a demandé si cela allait…
Il m’a dit que je m’étais endormie trop vite, que je semblais épuisée par tant de jouissance. Il m’avoua qu’il en avait profité pour me caresser, m’embrasser et me scruter avec beaucoup d’attentions.
Je n’osais imaginer son examen... Nous avons déjeuné tout les deux sagement. Le petit déjeuner terminé depuis un moment déjà, il s’est levé, a pris ma main, m’entraînant dans l’escalier qui monte aux chambres. Nous nous sommes assis au bord du lit, il m’a prise dans ses bras pour m’embrasser, il caressait mes petits seins… Il m’a fait allonger sur le lit. Il s’est penché sur moi. A dénouer la ceinture de mon peignoir, en a écarté les pans.
Il regardait mon corps. Sa main est venue sur mon ventre, entre mes cuisses qu’il a ouvertes, un doigt caressait ma fente au travers de ma culotte qu’il a écartée pour me pénétrer doucement.
Il s’est penché sur moi, il a ôté ma culotte en la faisant glisser le long de mes jambes. Il a posé ses lèvres sur mes seins, puis sur mon nombril. Son visage sa bouche sont venues à l’intérieur de mes cuisses. Je regardais le crucifix alors que ses lèvres humides et chaudes, se posaient sur ma fente. Je serrais les draps, je caressais sa tête, je regardais les murs de ma chambre. Je me soulevais pour le voir, pour voir cet homme qui n’était pas mon mari, qui léchait ma petite chatte dans le lit conjugal...Sa langue venait autour de mes lèvres. Puis, elle les a écarté, cherchant ma petite perle d’amour. C’était bon, je le guidais à voix basse. J’aime lorsque le bout de la langue humide effleure mon petit clitoris. De temps en temps sa langue me pénétrait et revenait exacerber ma petite perle en la prenant entre ses lèvres pour l’aspirer. Je me suis laissé aller aux plaisirs sans essayer de me retenir. C’était bon, merveilleux, de me sentir dans cette chambre sous cet homme.
Puis il est venu sur moi. Il m’embrassait, sa bouche avait le goût et l’odeur intime de ma vulve, son sexe a caressé ma fente puis s’est enfoncé dans moi plus facilement que cette nuit. J'ai eu, aussitôt, un orgasme très fort. Après m’avoir fait jouir ainsi, il s’est retiré et s’est allongé sur le dos. Son sexe était gros et dur. J’ai attendu de reprendre un peu mes esprits. Puis, il m’a fait venir sur lui. Je me suis mise à genoux au dessus de lui, face à lui, mes genoux de chaque coté de son corps. Mon peignoir est tombé dans mon dos. Il me regardait, regardait mon corps, mes petits seins, mon ventre. Son sexe était devant moi, contre le bas de mon ventre. Je me suis relevée sur les genoux, j’ai pris son sexe entre mes doigts, et je l’ai dirigé entre mes cuisses, à l‘entrée de ma petite chatte toute mouillée. Il me regardait faire. Je suis descendu dessus pour me pénétrée doucement. Je bougeais à mon rythme. Il me regardait. Il me tenait et serrait ma taille, mes hanches. De temps en temps il caressait mes petits seins.
Il serrait aussi mes cuisses, ou prenait mes bras et me tirait vers lui. Ses mains caressaient alors mon dos, mes fesses. Il appuyait et me massait tout doucement entre les fesses, parfois le bout de son doigt caressait et tentait de pénétrer mon anus.
De le voir lui, de voir son regard, ses yeux sur moi sur mon corps, de sentir ses mains, ses doigts accentuaient mon désir. Je me sentais partir doucement. Il m’encourageait de la voix avec des mots doux : « Vas-y donne toi ma Mimi... Jouis ma petite chérie... Jouis sur mon sexe qui est au fond de toi, dans ton ventre ma chérie !... »
Qu’il puisse me voir ainsi, dans cette attitude, dans ce moment, cela me gênait terriblement et cela avait aussi un très fort pouvoir érotique et stimulant.
J’ai pris mon plaisir en le regardant. Il a pris mes bras et m’a tiré contre son corps. Je me suis blottie contre lui, dans son cou, il me serrait, les derniers soubresauts de mon orgasme finissaient... Il ne m’a pas laissé trop de temps pour revenir. Il m’a retourné sur le lit, m'a mise sur le dos... Il est venu sur moi, et son gros sexe s'est enfoncé dans ma petite chatte trempée de ma jouissance, j’avais les jambes écartées. De nouveau une pénétration profonde mais à un rythme plus intense que la veille. De nouveau je le serrais de toutes mes forces. De nouveaux il me murmurait que j’étais une adorable petite coquine.... Soudain, j’ai senti les spasmes de son sexe et de longues giclées de sperme se répandre dans moi. Il jouissait, il se vidait dans ma petite chatte, dans mon ventre dans ce corps qui n’avais connu, avant lui, qu’un seul homme : mon mari. Nous sommes restés un long, très long moment tout les deux nus l’un contre l’autre, l’un dans l’autre, lui sur moi à me parler doucement, à voix basses. Il me parlait de lui, de sa femme disparue. Je lui parlais plus intimement de moi, de mon couple, qu'il était le premier après mon mari à avoir pénétrer mon corps. Je répondais à ses questions parfois très indiscrètes sur mes fantasmes, ma vie sexuelle…
Mais l’heure avançait inexorablement.... Nous avons pris une douche réparatrice ensemble, c’est lui qui savonnais ma petite chatte, et mon anus qu’il pénétrait de temps en temps avec ses doigts plein de savon. Puis, nous nous sommes rhabillés. Après un long baiser profond et quelques caresses intimes, nous nous sommes quittés, il est rentré chez lui en début d’après-midi...Moi, je me suis recouchée et j’ai dormis toute l’après-midi, je me suis réveillée en fin de journée, honteuse de ce que j’avais fait dans ce lit que je partage depuis si longtemps avec mon mari.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour à Tous, c'est moi, Michelle, je vous promets que ce que j'ai écrit est vécu est la réelle vérité,
j'ai revu René, pendant plusieurs années, chez lui en cachette de mon mari et de sa fille...
j'ai revu René, pendant plusieurs années, chez lui en cachette de mon mari et de sa fille...
Bonjour pourquoi tu te remets a écrire ?
Superbe texte mais il faut toujours une mère là moral c est insupportable
c est tres interessant et excitant, j aimerais beaucoup echanger avec vous pour discuter fantasme ou tout autres chose, si vous en avez envie bien sur.
Magnifique histoire érotique et sensuelle, quel bonheur de lire ces lignes....
Cyrille
Cyrille
12 ans après elle prends son mari pour 1 con encore. 🤦♀️😞
Si elle s’emmerde le divorce existe !!!!!
Si elle s’emmerde le divorce existe !!!!!