dans le train
Récit érotique écrit par Pornogirl02 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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dans le train
Récemment j'ai entrepris de dresser une liste des situations les plus scandaleuses que je connaisse, et qui mettent en scène des flics, des contrôleur, et ce genre de personnages...
Et j'ai décidé de vous raconter une histoire qui est arrivée à ma copine Caroline il y a de ça quelques mois. Je la tiens d'elle-même, et elle m'a expliqué tous les détails avec un soin que seule une parfaite exhibitionniste peut manifester. Je vous laisse juger!
Il y a de ça quelques temps donc, Caroline est un jour arrivée à la gare Montparnasse avec l'intention de prendre un omnibus d'après-midi pour se rendre en week end sur la côte ouest. Par flemme plus que pour une raison pécuniaire, elle s'est dispensée d'acheter un billet et elle s'est directement installée dans un wagon à compartiments, le style de voitures qui semblent servir la SNCF depuis 70 ans.
En fait Caroline aimait bien les compartiments car elle trouvait que ça donnait un certain cachet à n'importe quel wagon de 3ème classe.
Tout était parfait jusqu'au moment ou un contrôleur s'est profilé à l'horizon. Honnêtement, Caroline avait pensé qu'elle était en sécurité: on était en plein milieu de l'après midi, le train était quasi désert...
Seulement ce n'était pas son jour de chance.
Alors que le contrôleur entrait dans son compartiment, Caroline a fait son plus beau sourire, et elle a croisé les jambes façon Sharon Stone dans vous-savez-quoi (notons qu'elle avait le même style de sous- vêtements).
Elle espérait s'en tirer avec deux ou trois ronds de jambe mais ça n'a pas marché.
"Votre titre de transport,Mademoiselle?" a demandé le type avec son petit air le plus satisfait.
Caroline a fait mine de chercher dans son sac à main mais l'autre n'a pas été dupe très longtemps. C'était le contrôleur typique, d'après ce qu'elle m'a raconté par la suite. Sans doute pas dans le métier depuis très longtemps, encore très impressionné par le "pouvoir" qu'il confère. Et ayant envie d'en profiter un tout petit peu plus souvent qu'à son tour.
Caroline, tout de suite très aguichée par la situation, n'a pas pu s'empêcher de se demander comment le mec réagirait si elle lui faisait quelques propositions malhonnêtes.
Elle a pris son air le plus mutin pour chuchoter d'une voie sucrée:
"je vous en supplie, je ferai ce que vous voudrez..."
Le résultat ne s'est pas fait attendre.
"Tout, vraiment?"s'est exclamé le contrôleur, (à tel point que Caro a eu peur que d'autres aient entendu) "Vous croyez qu'il suffit d'être une jeune et belle chienne pour voyager à l'oeil sur le réseau ferroviaire français?"
Apparemment il s'énervait rapidement, et Caroline avait presque l'impression qu'il perdait la maitrise de lui-même.
"Si j'étais un homme, je ne pourrais pas essayer de me faire pardonner de la même façon", a t'elle dit d'un air candide, sans paraitre prendre au sérieux la prétendue colère de l'autre.
Ce n'était peut être qu'une mise en scène.
"Vraiment?" a dit le contrôleur d'un ton brusque. Il a baissé les stores du compartiment, puis il a saisi Caroline par la nuque, d'un geste tout aussi brusque.
"Tu vas te deshabiller, pour commencer, chienne. Je vais voir si tu es assez bien pour prétendre voyager à l'oeil dans MON train..."
Pendant ce temps il passait une main légère sur son entrejambe, où une bosse imposante commençait déjà à se remarquer.
Obéissante, voire même excitée par la situation qu'elle avait bien cherchée, Caroline a défait ses fringues, lentement, faisant onduler son corps comme une stripteaseuse en plein boulot. Quelques secondes plus tard, elle était nue, offrant à son "agresseur" la vision de son corps pulpeux, de sa taille fine, de ses seins imposants... Elle s'était bien cambrée, de manière à adopter la posture la plus evocatrice possible, et de la main gauche elle caressait ses têtons, tournant autour du bout de l'index, les titillant jusqu'à les rendre bien durs.
Ahuri devant ce spectacle inattendu (ça devait être la première fois que ça lui arrivait), le leur s'était laissé tomber sur une banquette, sans quitter Caroline des yeux. Décidant de continuer son rôle de mâle viril, il a sorti sa queue de son pantalon, et a commencé à se branler, tout en disant:
"ah oui, je crois que je n'avais encore jamais croisé une salope comme toi..."
Caroline a vite compris que c'était pour ce jeune homme le plus grand jour de sa vie, qu'il avait l'impression de jouer dans un film porno en direct live, sans trop oser y croire quand même.
Ca l'excitait elle aussi. Elle aimait bien jouer le rôle de la salope de film porno de temps en temps.
"Touche toi, montre moi comment tu te touches pour commencer..." a t'il ordonné, tout en continuant à se toucher lui-même (il était vraiment bien monté)
Caroline s'est assise en face de son "tortionnaire" et elle a largement écarté les jambes, ouvrant ses cuisses sur sa chatte notoirement et intégralement épilée.
je pouvais imaginer les yeux du gars ventousés à sa chatte, et à ses doigts tandis qu'elle les faisait courir sur sa fente déjà chaude et humide.
Elle m'a avoué par la suite qu'à ce moment même, alors qu'elle était en train d'exhiber ainsi sa chatte et de se toucher pour cet inconnu, elle était déjà super excitée, et vraiment mouillée. Le contrôleur n'aurait jamais pu douter de sa bonne foi. En cet instant précis, elle incarnait totalement la succube dont elle jouait le rôle.
"Enfonce tes doigts dans ta chatte, je veux te voir te branler" a commandé le type.
Sans hésiter, Caroline a obtempéré, caressant doucement son clitoris déjà bien gonflé puis titillant du bout de l'index l'entrée de son vagin. Elle a commencé par se pénétrer de l'index, puis elle y a ajouté le majeur, et bientôt de ces deux doigts elle était en train de se rammoner joyeusement.
La position qu'elle avait adoptée, assise les jambes largement relevées, l'excitait encore plus, elle avait envie de sentir des mains viriles, chaudes et caleuses appuyer sur ses mollets et les contraindre davantage encore en arrière.
Tandis qu'elle se doigtait ainsi, elle ne quittait pas son partenaire des yeux et elle se léchait lascivement les lèvres, prommenant son petit bout de langue rose sur sa bouche pulpeuse, appelant le baiser, voire même peut-être appelant la pipe...
Elle se doigtait toujours la chatte de la main gauche et s'était mise à se caresser le clito de la droite, se faisant tellement plaisir qu'elle ne pensait pas pouvoir se retenir de jouir très longtemps.
"Tu aimes me regarder comme ça?" a t'elle demandé.
Sans répondre, l'homme s'est levé d'un seul bond et est venu lui poser sa queue sur les lèvres. Sans se faire prier, Caroline a avalé d'abord le gland, l'a léché, titilé du bout de sa langue durcie, en a carressé le frein tout en savourant les petits mouvements involontaires qu'elle lui procurait.
Elle avait très envie de caresser et de lécher aussi ses couilles, mais il lui aurait fallu pour ça une autre main et elle utilisait pour l'heure les deux à son propre plaisir.
Décidant finalement de se sacrifier pour la beauté du geste, elle a arrêté de se toucher pour masser les couilles du mec, d'un geste diaboliquement approprié à la question.
Sa queue a aussitôt commencé à grandir encore, comme si la taille déjà honorable atteinte précédemment n'était qu'un petit hors d'oeuvre.
Caro était vraiment heureuse, elle aimait les étalons à grosse bite plus que tout.
Attrappant brusquement toute cette bite dans sa bouche, elle s'est mise à la pomper avec enthousiasme, s'extasiant de chaque petite goutte de foutre qui s'échappait, de chaque soubresaut, de chaque gémissement.
Très rapidement, elle a senti la verge du contrôleur devenir plus dure encore, et ses couilles se rétracter dans sa paume, comme si il allait jouir, comme s'il allait jouir en lâchant des litres et des litres de sperme.
Très excitée par cette perspective, elle a recommencé à se toucher, sentant ses doigts déclencher une véritable tempête dans son bas ventre.
A chaque fois que la queue du type sortait de sa bouche elle ressentait comme un manque terrible, et à chaque fois que cette queue s'enfonçait à nouveau dans sa gorge elle se sentait plus proche de l'orgasme.
Le contrôleur s'est mis à haleter et soudain il a sorti sa bite de l'écrin qui la renfermait. Il s'est aggrippé les couilles de la main d'un geste convulsif, et de sa queue est sorti un long jet de foutre, puis un autre, puis un autre encore, qui tous ont fini sur le visage de Caroline, qui dans le même temps avait repris ses jeux de mains et s'était ammenée au bord de la jouissance.
Elle a explosé au moment où elle recevait ce sperme inconnu sur le visage, se mordant la lèvre pour ne pas crier, enfonçant une dernière fois ses doigts au plus profond d'elle même.
Elle a passé sa main sur son visage et puis elle a léché ses doigts, l'air complêtement dans les vappes. "Ho, comme tu m'as bien excitée..." a t'elle murmuré au contrôleur.
Celui-ci restait sans voix.
"Vous feriez mieux de vous rhabiller mademoiselle", a t-il dit."Pour votre titre de transport, je crois qu'on peut passer pour cette fois..."
Il n'avait plus l'air de si bien gérer la situation. Caroline a supposé que comme beaucoup d'hommes, une fois soulagé, il ne voyait plus très bien pourquoi ça avait été tellement nécéssaire.
Jusqu'à la prochaine fois...
Elle s'est rhabillée et a feuilleté un magazine jusqu'à sa station. Elle avait vraiment bien joui, m'a t'elle dit plus tard.
De toute façon elle avait toujours eu un faible pour le genre brute en uniforme.
Et j'ai décidé de vous raconter une histoire qui est arrivée à ma copine Caroline il y a de ça quelques mois. Je la tiens d'elle-même, et elle m'a expliqué tous les détails avec un soin que seule une parfaite exhibitionniste peut manifester. Je vous laisse juger!
Il y a de ça quelques temps donc, Caroline est un jour arrivée à la gare Montparnasse avec l'intention de prendre un omnibus d'après-midi pour se rendre en week end sur la côte ouest. Par flemme plus que pour une raison pécuniaire, elle s'est dispensée d'acheter un billet et elle s'est directement installée dans un wagon à compartiments, le style de voitures qui semblent servir la SNCF depuis 70 ans.
En fait Caroline aimait bien les compartiments car elle trouvait que ça donnait un certain cachet à n'importe quel wagon de 3ème classe.
Tout était parfait jusqu'au moment ou un contrôleur s'est profilé à l'horizon. Honnêtement, Caroline avait pensé qu'elle était en sécurité: on était en plein milieu de l'après midi, le train était quasi désert...
Seulement ce n'était pas son jour de chance.
Alors que le contrôleur entrait dans son compartiment, Caroline a fait son plus beau sourire, et elle a croisé les jambes façon Sharon Stone dans vous-savez-quoi (notons qu'elle avait le même style de sous- vêtements).
Elle espérait s'en tirer avec deux ou trois ronds de jambe mais ça n'a pas marché.
"Votre titre de transport,Mademoiselle?" a demandé le type avec son petit air le plus satisfait.
Caroline a fait mine de chercher dans son sac à main mais l'autre n'a pas été dupe très longtemps. C'était le contrôleur typique, d'après ce qu'elle m'a raconté par la suite. Sans doute pas dans le métier depuis très longtemps, encore très impressionné par le "pouvoir" qu'il confère. Et ayant envie d'en profiter un tout petit peu plus souvent qu'à son tour.
Caroline, tout de suite très aguichée par la situation, n'a pas pu s'empêcher de se demander comment le mec réagirait si elle lui faisait quelques propositions malhonnêtes.
Elle a pris son air le plus mutin pour chuchoter d'une voie sucrée:
"je vous en supplie, je ferai ce que vous voudrez..."
Le résultat ne s'est pas fait attendre.
"Tout, vraiment?"s'est exclamé le contrôleur, (à tel point que Caro a eu peur que d'autres aient entendu) "Vous croyez qu'il suffit d'être une jeune et belle chienne pour voyager à l'oeil sur le réseau ferroviaire français?"
Apparemment il s'énervait rapidement, et Caroline avait presque l'impression qu'il perdait la maitrise de lui-même.
"Si j'étais un homme, je ne pourrais pas essayer de me faire pardonner de la même façon", a t'elle dit d'un air candide, sans paraitre prendre au sérieux la prétendue colère de l'autre.
Ce n'était peut être qu'une mise en scène.
"Vraiment?" a dit le contrôleur d'un ton brusque. Il a baissé les stores du compartiment, puis il a saisi Caroline par la nuque, d'un geste tout aussi brusque.
"Tu vas te deshabiller, pour commencer, chienne. Je vais voir si tu es assez bien pour prétendre voyager à l'oeil dans MON train..."
Pendant ce temps il passait une main légère sur son entrejambe, où une bosse imposante commençait déjà à se remarquer.
Obéissante, voire même excitée par la situation qu'elle avait bien cherchée, Caroline a défait ses fringues, lentement, faisant onduler son corps comme une stripteaseuse en plein boulot. Quelques secondes plus tard, elle était nue, offrant à son "agresseur" la vision de son corps pulpeux, de sa taille fine, de ses seins imposants... Elle s'était bien cambrée, de manière à adopter la posture la plus evocatrice possible, et de la main gauche elle caressait ses têtons, tournant autour du bout de l'index, les titillant jusqu'à les rendre bien durs.
Ahuri devant ce spectacle inattendu (ça devait être la première fois que ça lui arrivait), le leur s'était laissé tomber sur une banquette, sans quitter Caroline des yeux. Décidant de continuer son rôle de mâle viril, il a sorti sa queue de son pantalon, et a commencé à se branler, tout en disant:
"ah oui, je crois que je n'avais encore jamais croisé une salope comme toi..."
Caroline a vite compris que c'était pour ce jeune homme le plus grand jour de sa vie, qu'il avait l'impression de jouer dans un film porno en direct live, sans trop oser y croire quand même.
Ca l'excitait elle aussi. Elle aimait bien jouer le rôle de la salope de film porno de temps en temps.
"Touche toi, montre moi comment tu te touches pour commencer..." a t'il ordonné, tout en continuant à se toucher lui-même (il était vraiment bien monté)
Caroline s'est assise en face de son "tortionnaire" et elle a largement écarté les jambes, ouvrant ses cuisses sur sa chatte notoirement et intégralement épilée.
je pouvais imaginer les yeux du gars ventousés à sa chatte, et à ses doigts tandis qu'elle les faisait courir sur sa fente déjà chaude et humide.
Elle m'a avoué par la suite qu'à ce moment même, alors qu'elle était en train d'exhiber ainsi sa chatte et de se toucher pour cet inconnu, elle était déjà super excitée, et vraiment mouillée. Le contrôleur n'aurait jamais pu douter de sa bonne foi. En cet instant précis, elle incarnait totalement la succube dont elle jouait le rôle.
"Enfonce tes doigts dans ta chatte, je veux te voir te branler" a commandé le type.
Sans hésiter, Caroline a obtempéré, caressant doucement son clitoris déjà bien gonflé puis titillant du bout de l'index l'entrée de son vagin. Elle a commencé par se pénétrer de l'index, puis elle y a ajouté le majeur, et bientôt de ces deux doigts elle était en train de se rammoner joyeusement.
La position qu'elle avait adoptée, assise les jambes largement relevées, l'excitait encore plus, elle avait envie de sentir des mains viriles, chaudes et caleuses appuyer sur ses mollets et les contraindre davantage encore en arrière.
Tandis qu'elle se doigtait ainsi, elle ne quittait pas son partenaire des yeux et elle se léchait lascivement les lèvres, prommenant son petit bout de langue rose sur sa bouche pulpeuse, appelant le baiser, voire même peut-être appelant la pipe...
Elle se doigtait toujours la chatte de la main gauche et s'était mise à se caresser le clito de la droite, se faisant tellement plaisir qu'elle ne pensait pas pouvoir se retenir de jouir très longtemps.
"Tu aimes me regarder comme ça?" a t'elle demandé.
Sans répondre, l'homme s'est levé d'un seul bond et est venu lui poser sa queue sur les lèvres. Sans se faire prier, Caroline a avalé d'abord le gland, l'a léché, titilé du bout de sa langue durcie, en a carressé le frein tout en savourant les petits mouvements involontaires qu'elle lui procurait.
Elle avait très envie de caresser et de lécher aussi ses couilles, mais il lui aurait fallu pour ça une autre main et elle utilisait pour l'heure les deux à son propre plaisir.
Décidant finalement de se sacrifier pour la beauté du geste, elle a arrêté de se toucher pour masser les couilles du mec, d'un geste diaboliquement approprié à la question.
Sa queue a aussitôt commencé à grandir encore, comme si la taille déjà honorable atteinte précédemment n'était qu'un petit hors d'oeuvre.
Caro était vraiment heureuse, elle aimait les étalons à grosse bite plus que tout.
Attrappant brusquement toute cette bite dans sa bouche, elle s'est mise à la pomper avec enthousiasme, s'extasiant de chaque petite goutte de foutre qui s'échappait, de chaque soubresaut, de chaque gémissement.
Très rapidement, elle a senti la verge du contrôleur devenir plus dure encore, et ses couilles se rétracter dans sa paume, comme si il allait jouir, comme s'il allait jouir en lâchant des litres et des litres de sperme.
Très excitée par cette perspective, elle a recommencé à se toucher, sentant ses doigts déclencher une véritable tempête dans son bas ventre.
A chaque fois que la queue du type sortait de sa bouche elle ressentait comme un manque terrible, et à chaque fois que cette queue s'enfonçait à nouveau dans sa gorge elle se sentait plus proche de l'orgasme.
Le contrôleur s'est mis à haleter et soudain il a sorti sa bite de l'écrin qui la renfermait. Il s'est aggrippé les couilles de la main d'un geste convulsif, et de sa queue est sorti un long jet de foutre, puis un autre, puis un autre encore, qui tous ont fini sur le visage de Caroline, qui dans le même temps avait repris ses jeux de mains et s'était ammenée au bord de la jouissance.
Elle a explosé au moment où elle recevait ce sperme inconnu sur le visage, se mordant la lèvre pour ne pas crier, enfonçant une dernière fois ses doigts au plus profond d'elle même.
Elle a passé sa main sur son visage et puis elle a léché ses doigts, l'air complêtement dans les vappes. "Ho, comme tu m'as bien excitée..." a t'elle murmuré au contrôleur.
Celui-ci restait sans voix.
"Vous feriez mieux de vous rhabiller mademoiselle", a t-il dit."Pour votre titre de transport, je crois qu'on peut passer pour cette fois..."
Il n'avait plus l'air de si bien gérer la situation. Caroline a supposé que comme beaucoup d'hommes, une fois soulagé, il ne voyait plus très bien pourquoi ça avait été tellement nécéssaire.
Jusqu'à la prochaine fois...
Elle s'est rhabillée et a feuilleté un magazine jusqu'à sa station. Elle avait vraiment bien joui, m'a t'elle dit plus tard.
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