Dans les vestiaires
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Dans les vestiaires
Dans les vestiaires
C'est un endroit ou tout peur arriver. Enfin ça dépend aussi de l'établissement dans lequel on se trouve. Ça dépend du jour, il vaut mieux qu'il n'y ait pas trop de monde, mais il faut aussi qu'il y ait un peu de monde sinon le plus grand risque, le pire, est de se retrouver avec de l'eau froide dans les douches. Je vous rassure tout de suite, le pire ne s'est pas produit ce jour là.
Ce jour là il n'y avait pas grand monde, ça devait être un soir de finale de foot ou un truc de ce genre, un Roland Garros nocturne peut être, tout ça c'est pareil.
Après une longue séance d'entraînement je prenait ma douche avant de prendre la route du retour. J'en avais profité, c'est vrai que je n'ose pas encore vraiment me montrer à poil, à cause de mon dispositif de chasteté.
C'est un choix, et surtout ne me demandez pas pourquoi je le porte, on me fait le coup à chaque fois aussi … Je le porte en permanence. J'étais tout propre, je m'étais séché et je portait ma serviette autour de la ceinture.
Au moment ou je revenais dans la salle des vestiaires, il était là. C'était un habitué, un grand brun, il me dépassait de presque une tête, il était plus large et plus balaise que moi, il avait les yeux noir et une peau bronzée, très jolie à regarder. Il était très viril, très mâle.
On se connaissait, on se voyait régulièrement ici. Mais on n'était pas intime, pas encore ...
– Tu étais là, je ne t'avais pas vu. Demandais-je.
– Je viens juste d'arriver. C'est calme ce soir. Ce doit être la finale du mondial de golf en Australie.
Je vous avais bien dit que c'était un truc dans ce genre, j'étais pas loin. Dans tous les cas ça se joue avec une baballe. Enfin moi et le sport, je n'en fais que pour garder la forme, sinon je serais devenu trop gros, et encore c'est une corvée. Sinon je ne serais pas là bien sûr.
Il se déshabillait, il était torse nue et ne portait plus que son pantalon. Il était vraiment beau, tout à fait mon genre, tout à fait à mon goût. Je sentais ma queue qui se contractait dans sa cage, elle manifestait devant ce très beau mec là, juste à côté de moi. Je sentais la chaleur de son corps et je retenais une violente envie de le toucher et de le caresser. Il avait une légère barbe très brune, la peau lisse et imberbe. Et des muscles, je ne vous dis pas … des muscles …
Il n'était pas difforme, il était seulement bien foutu, super bien foutu. Ma queue pleurait, implorait, c'est aussi pour cette frustration que je portais mon dispositif de chasteté. Et puis quand j'en ai pas je passe mon temps à me branler alors …
Je ne sais pas ce qui s'est passé, nos regards se sont croisés, il m'a attrapé par la ceinture, enfin par la serviette au niveau de la ceinture, et m'a attiré vers lui sans rien dire.
Avec son autre main il me caressait le torse, j'étais saisi, sous le charme mais saisi et je ne savais pas comment réagir. Je laissais faire. Il ne lui fallait que quelques secondes pour faire tomber ma serviette sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu devant lui, entièrement nu ou presque. Il y avait toujours ce petit truc, pas bien gros qui recouvrait ma bite. Je bandais, ma queue ne se relevait pas, elle ne pouvait pas et le dispositif parvenait à cacher pratiquement toute réaction, il ne se relevait qu'à peine.
La le gars laissait échapper une '' Oh ! '' de surprise.
– Je ne m'y attendait pas. Continuait-il.
Il faisait alors un large sourire.
– Au moins c'est clair, ça définie clairement les rôles … J'adore !
Il me donnait alors un baiser sur le ventre et me caressait les couilles. Il gardait son sourire. Je lui caressais les épaules, il était assis devant moi, j'étais debout. Il avait la peau douce, j'avais souvent penser y toucher mais sans oser, là c'est lui qui m'y invitait.
Il était imberbe sur le corps et c'était naturel, sa peau était vraiment douce et ma main descendait sur son dos. D'une main il me tripotait les couilles et de l'autre il me caressait le corps. Le désir devenait intense, tellement intense que ma cage se relevait avec un peu plus de force et là on devinait que j'avais une érection. Elle était contrariée cette érection mais elle était réelle, désagréable, presque douloureuse, frustrante, jouissive.
Il se relevait, il retirait son pantalon. Je bavais devant son torse, il était tellement excitant. Il se retrouvait à poil devant moi et là je peux vous dire que ça ne me calmais pas vraiment, dans sa cage ma queue se révoltait encore plus, mon cœur battait fort, fort et vite.
Il s’asseyait sur le petit banc au milieu de la salle, il écartait les cuisses et en me regardant droit dans les yeux.
– Suce moi la queue ! Ensuite tu te la prendras dans le cul.
Je ne lui faisais pas répéter. Dans la seconde je m'accroupissais devant lui. Il avait une queue superbe, bien droite, bien longue, bien large. Il bandait ferme, il était circoncis et déjà je me régalais à l'idée de me la prendre dans le cul.
Pour commencer je la prenais dans la bouche. Je passais ma langue sur son gland en lui caressant le reste de la queue. Ma main fermement refermée autour de sa bite la massait depuis sa base jusqu'à son gland que je gardais dans le bouche. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux.
Il ne m'en fallait pas plus pour m'encourager à continuer. Sa queue s'enfonçait de plus en plus profond. Je sentais son gland découvert qui glissait contre mon palais. Ma langue lui caressait le dessous de la queue.
Il me tirait la tête vers lui. Par moment il me balançait des coups de bassin. Il ne se retenait pas, il ne me ménageait pas mais il n'était pas trop violent. Il avait une grosse queue et ne m'obligeait pas à la prendre en entier dans la bouche. Je n'aurais pas pu.
Par moment son gland s'enfonçait jusque dans ma gorge, mais il en ressortait aussitôt. Il revenait et s'enfonçait de nouveau mais pas toujours à fond. J'arrivais à suivre pourtant elle était grosse et longue.
Il se retirait, je relevais la tête il me regardait avec un grand sourire, il se penchait vers moi et m'embrassait. En même temps il me prenait dans ses bras, quand il se relevait, je suivais le mouvement et me relevait également.
Je refermais mes bras autour de son corps et le caressait, il me caressait aussi tout le corps. Et toujours une main se glissait sur mes couilles, il avait vraiment l'air d'aimer mon dispositif, il me tripotait les couilles avec force mais sans chercher à me faire mal. Ma queue se révoltait et poussait de toutes son désespoir contre ma cage, de l'intérieur, elle tentait comme elle l'avait fait souvent de se libérer en cassant par l'intérieur ma cage de chasteté. Elle est en titane, la tentative était pathétique.
Ma cage se relevait par moment, et se balançait au rythme des battements de mon cœur. Il battait fort mon cœur, il battait fort et vite. Sa queue se relevait entre mes cuisses et me soulevait les couilles. Je le couvrais de baisers, il en faisait de même.
Il me prenait par la main et m'entraînait sous la douche, j'en revenais mais je le suivais quand même. On continuait notre échange sous la douche, on commençait par se savonner l'un l'autre, je lui lavait la bite et les couilles, il s'amusait avec ma bite, enfin la cage de ma bite.
Sous la douche nous étions pris d'une sorte de mouvement de danse, il me lubrifiait généreusement le cul, déjà je devinais ou il voulait en venir. Dans mon corps je tremblais de désir. J'avais un peu peur. Vous savez quand vous vous retrouvez dans les bras d'un mec superbe, vous tremblez de désir mais quand en plus il est très bien monté, vous tremblez tout simplement. Vous vous demandez s'il sera violent, ou s'il sera doux.
Il me retournait, je me retrouvais appuyé contre le mur, il était dans mon dos. Déjà il avait glissé plusieurs doigts dans mon cul et continuait à me lubrifier. C'était bon, il n'était pas violent, il était décidé mais pas violent.
Je baissais la tête en avant, l'eau ne coulait plus et je sentais la pression de sa queue contre mon anus. Je m'angoissais déjà mais je voulait qu'il continue. Je voulais sentir sa queue me pénétrer, déjà je la sentais, je l'imaginais qui poussait.
Je n'imaginais rien, il le faisait, il poussait son gland contre mon cul. Ça résistait, je me détendait, ça résistait encore un peu puis je le sentais se dilater lentement. Trop vite ça fait mal, mais mon compagnon y allait avec douceur et je sentait mon cul se dilater, s'ouvrir sans douleur pour moi. Il était à la limite, mais seulement à la limite et ne la franchissait pas.
Je sentais mon anus se refermer autour de son gland, je le sentais dilaté, tellement dilaté qu'il y avait de quoi paniquer. Je paniquais mais n'en laissait rien paraître. Il continuait à pousser et sa queue glissait plus profond dans mon cul.
J'avais le souffle coupé et sa queue continuait à me pénétrer. Ça résistait, il poussait avec force et douceur et quand mon anus se dilatait un peu plus elle continuait à s'enfoncer. Ma queue ne protestait plus, j'avais totalement débandé et ma queue s'était réfugiée dans un petit recoin de sa cage qui brusquement semblait trop grande … C'était un comble.
J'étais au bord de l'évanouissement au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, je couinais, je poussais des cris bizarres et rigolos. Il me prenait dans ses bras et me faisait un gros, un très gros câlin.
Ses mains me caressaient le torse et descendaient ver ma bite et me caressaient les couilles avec force. Avec son bassin il poussait toujours sa queue dans mon cul. J'avais l'impression que j'allais exploser.
Avec une main il appuyait sur ma nuque pour que je me penche en avant. Je me retenait à une sorte de porte serviette, il me retenait alors par les hanches, il se retirait, je poussais un long gémissement au moment ou sa queue ressortait de mon cul. Puis il revenait, bien à fond, toujours bien à fond.
Mon gémissement se transformait en un cri, long et triste et pourtant plein de plaisir. Puis il revenait et après plusieurs mouvements de ce genre il accélérait. Sa queue glissait bien dans mes entrailles, je manquais d'air, il continuait. Par moment ses mouvements devenaient violents, il faut bien se dire que la seule taille de sa queue était déjà une forme de violence.
Ses mouvements devenaient rapides, il les faisait durer dans le temps, il me limait le cul avec générosité, il se faisait plaisir.
J'ai senti qu'il jouissait quand il gémissait de plaisir et qu'il me donnait quelques violents coups de bite dans les fesses. Il m'a fait un peu mal, j'ai serré les dents, il m'a serré dans ses bras et rapidement il débandait, sa queue ressortait de mon cul.
C'est là que j'ai joui, c'est là que j'ai juté. Je tremblais sous le plaisir qu'il me donnait. Il me lâchait, je m'appuyais contre le mur des douches, j'étais sur le point de m'écrouler.
De nouveau il faisait couler l'eau, et on terminait notre douche. Je récupérais, mon cœur battait toujours fort, mais je me sentais bien terriblement bien.
On a continué à discuter, je me rhabillais, on a pris rendez-vous pour quelques jours plus tard.
– Tu garderas ton truc j'espère ?
– Je le porte tout le temps. Lui répondais-je en faisant oui de la tête.
Il me souriait et passait dans la salle de sport après avoir passé une tenue en lycra qui le rendait particulièrement sexy.
J'étais complètement retourné en sortant de cette salle de sport, je vous jure qu'à cet instant je ne regrettais pas mon abonnement !
Fin de l'épisode
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est un endroit ou tout peur arriver. Enfin ça dépend aussi de l'établissement dans lequel on se trouve. Ça dépend du jour, il vaut mieux qu'il n'y ait pas trop de monde, mais il faut aussi qu'il y ait un peu de monde sinon le plus grand risque, le pire, est de se retrouver avec de l'eau froide dans les douches. Je vous rassure tout de suite, le pire ne s'est pas produit ce jour là.
Ce jour là il n'y avait pas grand monde, ça devait être un soir de finale de foot ou un truc de ce genre, un Roland Garros nocturne peut être, tout ça c'est pareil.
Après une longue séance d'entraînement je prenait ma douche avant de prendre la route du retour. J'en avais profité, c'est vrai que je n'ose pas encore vraiment me montrer à poil, à cause de mon dispositif de chasteté.
C'est un choix, et surtout ne me demandez pas pourquoi je le porte, on me fait le coup à chaque fois aussi … Je le porte en permanence. J'étais tout propre, je m'étais séché et je portait ma serviette autour de la ceinture.
Au moment ou je revenais dans la salle des vestiaires, il était là. C'était un habitué, un grand brun, il me dépassait de presque une tête, il était plus large et plus balaise que moi, il avait les yeux noir et une peau bronzée, très jolie à regarder. Il était très viril, très mâle.
On se connaissait, on se voyait régulièrement ici. Mais on n'était pas intime, pas encore ...
– Tu étais là, je ne t'avais pas vu. Demandais-je.
– Je viens juste d'arriver. C'est calme ce soir. Ce doit être la finale du mondial de golf en Australie.
Je vous avais bien dit que c'était un truc dans ce genre, j'étais pas loin. Dans tous les cas ça se joue avec une baballe. Enfin moi et le sport, je n'en fais que pour garder la forme, sinon je serais devenu trop gros, et encore c'est une corvée. Sinon je ne serais pas là bien sûr.
Il se déshabillait, il était torse nue et ne portait plus que son pantalon. Il était vraiment beau, tout à fait mon genre, tout à fait à mon goût. Je sentais ma queue qui se contractait dans sa cage, elle manifestait devant ce très beau mec là, juste à côté de moi. Je sentais la chaleur de son corps et je retenais une violente envie de le toucher et de le caresser. Il avait une légère barbe très brune, la peau lisse et imberbe. Et des muscles, je ne vous dis pas … des muscles …
Il n'était pas difforme, il était seulement bien foutu, super bien foutu. Ma queue pleurait, implorait, c'est aussi pour cette frustration que je portais mon dispositif de chasteté. Et puis quand j'en ai pas je passe mon temps à me branler alors …
Je ne sais pas ce qui s'est passé, nos regards se sont croisés, il m'a attrapé par la ceinture, enfin par la serviette au niveau de la ceinture, et m'a attiré vers lui sans rien dire.
Avec son autre main il me caressait le torse, j'étais saisi, sous le charme mais saisi et je ne savais pas comment réagir. Je laissais faire. Il ne lui fallait que quelques secondes pour faire tomber ma serviette sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu devant lui, entièrement nu ou presque. Il y avait toujours ce petit truc, pas bien gros qui recouvrait ma bite. Je bandais, ma queue ne se relevait pas, elle ne pouvait pas et le dispositif parvenait à cacher pratiquement toute réaction, il ne se relevait qu'à peine.
La le gars laissait échapper une '' Oh ! '' de surprise.
– Je ne m'y attendait pas. Continuait-il.
Il faisait alors un large sourire.
– Au moins c'est clair, ça définie clairement les rôles … J'adore !
Il me donnait alors un baiser sur le ventre et me caressait les couilles. Il gardait son sourire. Je lui caressais les épaules, il était assis devant moi, j'étais debout. Il avait la peau douce, j'avais souvent penser y toucher mais sans oser, là c'est lui qui m'y invitait.
Il était imberbe sur le corps et c'était naturel, sa peau était vraiment douce et ma main descendait sur son dos. D'une main il me tripotait les couilles et de l'autre il me caressait le corps. Le désir devenait intense, tellement intense que ma cage se relevait avec un peu plus de force et là on devinait que j'avais une érection. Elle était contrariée cette érection mais elle était réelle, désagréable, presque douloureuse, frustrante, jouissive.
Il se relevait, il retirait son pantalon. Je bavais devant son torse, il était tellement excitant. Il se retrouvait à poil devant moi et là je peux vous dire que ça ne me calmais pas vraiment, dans sa cage ma queue se révoltait encore plus, mon cœur battait fort, fort et vite.
Il s’asseyait sur le petit banc au milieu de la salle, il écartait les cuisses et en me regardant droit dans les yeux.
– Suce moi la queue ! Ensuite tu te la prendras dans le cul.
Je ne lui faisais pas répéter. Dans la seconde je m'accroupissais devant lui. Il avait une queue superbe, bien droite, bien longue, bien large. Il bandait ferme, il était circoncis et déjà je me régalais à l'idée de me la prendre dans le cul.
Pour commencer je la prenais dans la bouche. Je passais ma langue sur son gland en lui caressant le reste de la queue. Ma main fermement refermée autour de sa bite la massait depuis sa base jusqu'à son gland que je gardais dans le bouche. Il gémissait de plaisir et me caressait les cheveux.
Il ne m'en fallait pas plus pour m'encourager à continuer. Sa queue s'enfonçait de plus en plus profond. Je sentais son gland découvert qui glissait contre mon palais. Ma langue lui caressait le dessous de la queue.
Il me tirait la tête vers lui. Par moment il me balançait des coups de bassin. Il ne se retenait pas, il ne me ménageait pas mais il n'était pas trop violent. Il avait une grosse queue et ne m'obligeait pas à la prendre en entier dans la bouche. Je n'aurais pas pu.
Par moment son gland s'enfonçait jusque dans ma gorge, mais il en ressortait aussitôt. Il revenait et s'enfonçait de nouveau mais pas toujours à fond. J'arrivais à suivre pourtant elle était grosse et longue.
Il se retirait, je relevais la tête il me regardait avec un grand sourire, il se penchait vers moi et m'embrassait. En même temps il me prenait dans ses bras, quand il se relevait, je suivais le mouvement et me relevait également.
Je refermais mes bras autour de son corps et le caressait, il me caressait aussi tout le corps. Et toujours une main se glissait sur mes couilles, il avait vraiment l'air d'aimer mon dispositif, il me tripotait les couilles avec force mais sans chercher à me faire mal. Ma queue se révoltait et poussait de toutes son désespoir contre ma cage, de l'intérieur, elle tentait comme elle l'avait fait souvent de se libérer en cassant par l'intérieur ma cage de chasteté. Elle est en titane, la tentative était pathétique.
Ma cage se relevait par moment, et se balançait au rythme des battements de mon cœur. Il battait fort mon cœur, il battait fort et vite. Sa queue se relevait entre mes cuisses et me soulevait les couilles. Je le couvrais de baisers, il en faisait de même.
Il me prenait par la main et m'entraînait sous la douche, j'en revenais mais je le suivais quand même. On continuait notre échange sous la douche, on commençait par se savonner l'un l'autre, je lui lavait la bite et les couilles, il s'amusait avec ma bite, enfin la cage de ma bite.
Sous la douche nous étions pris d'une sorte de mouvement de danse, il me lubrifiait généreusement le cul, déjà je devinais ou il voulait en venir. Dans mon corps je tremblais de désir. J'avais un peu peur. Vous savez quand vous vous retrouvez dans les bras d'un mec superbe, vous tremblez de désir mais quand en plus il est très bien monté, vous tremblez tout simplement. Vous vous demandez s'il sera violent, ou s'il sera doux.
Il me retournait, je me retrouvais appuyé contre le mur, il était dans mon dos. Déjà il avait glissé plusieurs doigts dans mon cul et continuait à me lubrifier. C'était bon, il n'était pas violent, il était décidé mais pas violent.
Je baissais la tête en avant, l'eau ne coulait plus et je sentais la pression de sa queue contre mon anus. Je m'angoissais déjà mais je voulait qu'il continue. Je voulais sentir sa queue me pénétrer, déjà je la sentais, je l'imaginais qui poussait.
Je n'imaginais rien, il le faisait, il poussait son gland contre mon cul. Ça résistait, je me détendait, ça résistait encore un peu puis je le sentais se dilater lentement. Trop vite ça fait mal, mais mon compagnon y allait avec douceur et je sentait mon cul se dilater, s'ouvrir sans douleur pour moi. Il était à la limite, mais seulement à la limite et ne la franchissait pas.
Je sentais mon anus se refermer autour de son gland, je le sentais dilaté, tellement dilaté qu'il y avait de quoi paniquer. Je paniquais mais n'en laissait rien paraître. Il continuait à pousser et sa queue glissait plus profond dans mon cul.
J'avais le souffle coupé et sa queue continuait à me pénétrer. Ça résistait, il poussait avec force et douceur et quand mon anus se dilatait un peu plus elle continuait à s'enfoncer. Ma queue ne protestait plus, j'avais totalement débandé et ma queue s'était réfugiée dans un petit recoin de sa cage qui brusquement semblait trop grande … C'était un comble.
J'étais au bord de l'évanouissement au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, je couinais, je poussais des cris bizarres et rigolos. Il me prenait dans ses bras et me faisait un gros, un très gros câlin.
Ses mains me caressaient le torse et descendaient ver ma bite et me caressaient les couilles avec force. Avec son bassin il poussait toujours sa queue dans mon cul. J'avais l'impression que j'allais exploser.
Avec une main il appuyait sur ma nuque pour que je me penche en avant. Je me retenait à une sorte de porte serviette, il me retenait alors par les hanches, il se retirait, je poussais un long gémissement au moment ou sa queue ressortait de mon cul. Puis il revenait, bien à fond, toujours bien à fond.
Mon gémissement se transformait en un cri, long et triste et pourtant plein de plaisir. Puis il revenait et après plusieurs mouvements de ce genre il accélérait. Sa queue glissait bien dans mes entrailles, je manquais d'air, il continuait. Par moment ses mouvements devenaient violents, il faut bien se dire que la seule taille de sa queue était déjà une forme de violence.
Ses mouvements devenaient rapides, il les faisait durer dans le temps, il me limait le cul avec générosité, il se faisait plaisir.
J'ai senti qu'il jouissait quand il gémissait de plaisir et qu'il me donnait quelques violents coups de bite dans les fesses. Il m'a fait un peu mal, j'ai serré les dents, il m'a serré dans ses bras et rapidement il débandait, sa queue ressortait de mon cul.
C'est là que j'ai joui, c'est là que j'ai juté. Je tremblais sous le plaisir qu'il me donnait. Il me lâchait, je m'appuyais contre le mur des douches, j'étais sur le point de m'écrouler.
De nouveau il faisait couler l'eau, et on terminait notre douche. Je récupérais, mon cœur battait toujours fort, mais je me sentais bien terriblement bien.
On a continué à discuter, je me rhabillais, on a pris rendez-vous pour quelques jours plus tard.
– Tu garderas ton truc j'espère ?
– Je le porte tout le temps. Lui répondais-je en faisant oui de la tête.
Il me souriait et passait dans la salle de sport après avoir passé une tenue en lycra qui le rendait particulièrement sexy.
J'étais complètement retourné en sortant de cette salle de sport, je vous jure qu'à cet instant je ne regrettais pas mon abonnement !
Fin de l'épisode
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