Dans mon école à Paris
Récit érotique écrit par Douceurdivine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Dans mon école à Paris
<p>Cette histoire s’est passée il y a six mois dans mon école, rue des Ursulines à Paris. J’étais étudiante en section BTS. J’étais en deuxième année et nous approchions de la fin de l’année scolaire. Dan est un ami à moi. Nous travaillons ensemble depuis plusieurs mois. Nous nous retrouvons souvent le midi pour papoter, discuter et travailler.
Il était beau et drôle. Je m’entendais si bien avec lui jusqu’au jour où il m’a dit avoir envie de moi. J’étais flattée au début. Je le trouvais touchant mais très vite il m’en reparla puis encore et encore. Cela devenait insistant mais je le laissais faire car il restait un ami que j’appréciais beaucoup. Nous nous sommes retrouvés un jour dans les couloirs de notre école. C’était une cage d’escalier qui menait aux bureaux de la direction. Je descendais et il montait.
Il me prit soudainement par la main et me dit « viens ». Je l’ai suivi. Je tenais mes livres contre moi. Il courrait vite, m’entraînant dans un placard dont je ne savais rien. Il faisait sombre mais nous étions éclairés par une petite lumière au dessus de la porte. On devinait nos formes.
Il me dit : « Stéphanie, j’ai trop envie de toi. Je tiens plus. »
-Mais je n’ peux pas moi. Tu sais bien.
-Si tu peux. On ne dira rien. Ce sera notre secret à nous.
-Viens.
Il commença à se débrailler et à sortir son sexe.
-Tu es fou lui dis-je, Si on nous voit.
-Il n’y a personne et on est mercredi.
J’observais son sexe. Il était gros mais pas très long.
-Dan… lui dis-je avec indignation.
-Viens me répéta –il.
Il appuya sur les épaules pour me faire descendre vers son sexe.
-Dan, ce n’est pas sérieux.
J’étais accroupie devant lui. Je regardais son sexe. Il était beau et doux à la fois.
Je le caressais sachant que je faisais une grosse bêtise puis leva les yeux vers Dan. Quand soudain je sentis sa main pousser sur ma nuque pour que je le suce. Son sexe m’est entré dans la bouche, un peu surprise mais au fond de moi-même je n’attendais que ça. Qu’il fasse le premier pas, qu’il se dévoile lui-même et qu’il me prenne. J’en avais envie tant il me plaisait par son humour et son attention pour moi.
Je lui ai fait une fellation pendant un bon quart d’heure. Il voulait me prendre mais j’ai dit non que je n’avais pas de préservatif. Il en a sorti un. A voulu me sodomiser.
Je lui ai dit que je n’étais pas prête mais il s’y est pris comme un chef. Il m’a retourné contre le mur. Je lui ai tendu mes fesses et il m’a prise. Il a joui au fond de moi. Il était heureux, moi aussi. Je n’imaginais pas à ce moment ce qu’il allait m'arriver la semaine suivante.
Fin de mon histoire.
Note : La rue des Ursulines à Paris n’existe pas. C’est une pure invention de ma part pour ne pas citer le lieu exact. Je vous embrasse tous.
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Il était beau et drôle. Je m’entendais si bien avec lui jusqu’au jour où il m’a dit avoir envie de moi. J’étais flattée au début. Je le trouvais touchant mais très vite il m’en reparla puis encore et encore. Cela devenait insistant mais je le laissais faire car il restait un ami que j’appréciais beaucoup. Nous nous sommes retrouvés un jour dans les couloirs de notre école. C’était une cage d’escalier qui menait aux bureaux de la direction. Je descendais et il montait.
Il me prit soudainement par la main et me dit « viens ». Je l’ai suivi. Je tenais mes livres contre moi. Il courrait vite, m’entraînant dans un placard dont je ne savais rien. Il faisait sombre mais nous étions éclairés par une petite lumière au dessus de la porte. On devinait nos formes.
Il me dit : « Stéphanie, j’ai trop envie de toi. Je tiens plus. »
-Mais je n’ peux pas moi. Tu sais bien.
-Si tu peux. On ne dira rien. Ce sera notre secret à nous.
-Viens.
Il commença à se débrailler et à sortir son sexe.
-Tu es fou lui dis-je, Si on nous voit.
-Il n’y a personne et on est mercredi.
J’observais son sexe. Il était gros mais pas très long.
-Dan… lui dis-je avec indignation.
-Viens me répéta –il.
Il appuya sur les épaules pour me faire descendre vers son sexe.
-Dan, ce n’est pas sérieux.
J’étais accroupie devant lui. Je regardais son sexe. Il était beau et doux à la fois.
Je le caressais sachant que je faisais une grosse bêtise puis leva les yeux vers Dan. Quand soudain je sentis sa main pousser sur ma nuque pour que je le suce. Son sexe m’est entré dans la bouche, un peu surprise mais au fond de moi-même je n’attendais que ça. Qu’il fasse le premier pas, qu’il se dévoile lui-même et qu’il me prenne. J’en avais envie tant il me plaisait par son humour et son attention pour moi.
Je lui ai fait une fellation pendant un bon quart d’heure. Il voulait me prendre mais j’ai dit non que je n’avais pas de préservatif. Il en a sorti un. A voulu me sodomiser.
Je lui ai dit que je n’étais pas prête mais il s’y est pris comme un chef. Il m’a retourné contre le mur. Je lui ai tendu mes fesses et il m’a prise. Il a joui au fond de moi. Il était heureux, moi aussi. Je n’imaginais pas à ce moment ce qu’il allait m'arriver la semaine suivante.
Fin de mon histoire.
Note : La rue des Ursulines à Paris n’existe pas. C’est une pure invention de ma part pour ne pas citer le lieu exact. Je vous embrasse tous.
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