Dans mon lit, tu fais ce que je te dis
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 48 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Minpass ont reçu un total de 384 597 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 531 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Dans mon lit, tu fais ce que je te dis
23h. La soirée est déjà bien emballée ce qui me surprend – la nuit est encore jeune. Mais tant mieux. Ce soir j’ai bien l’intention de profiter. Je loge chez un bon ami. Depuis mon départ de Paris il y a maintenant deux mois je ne me sens plus réellement chez moi lors de ces weekends occasionnels passés à dormir sur les canapés des uns et des autres. Mon studio me manque. Ma vie à Londres me plait, sur ce sujet je n’ai rien à redire mais je ne peu m’empêcher de ressentir une certaine nostalgie à l’égard de la capitale française. Ce soir cependant j’ai bien l’intention de me faire oublier mes regrets. Mon ami m’a laissé son appartement – passant la nuit chez un collègue. Même si les soirées ne manquent pas dans la métropole anglaise, je n’ai pas couché depuis mon départ. C’est la plus longue période d’abstinence depuis mes 17 ans. Je compte rectifier la situation. Je passe donc ce début de nuit à flirter, faire rire, parfois même frôler d’une caresse taquine. Rien n’y fait, mes avances sont gentiment mais clairement refusées. La situation me déprime. Je m’isole dans une chambre non occupée, pensant sérieusement à partir. Au moins je pourrais profiter d’un lit ce soir. C’est alors que je reçois un sms de mon ami/hôte.
Désolé de te faire ça mais j’ai besoin de l’appart ce soir. Y’a moyen que tu dormes à la soirée ?
Le message est clair – je serai le seul à poursuivre ma période de célibat cette nuit. Je suis assis sur le lit double occupant la grande partie de la pièce. Je m’allonge en arrière, soupirant.
J’ouvre les yeux, la chambre enveloppée dans le noir satiné de la nuit. Je n’entends plus de musique ni de voix. La soirée s’est terminée. Je me laisse aller à nouveau, voulant au moins profiter du lit libre. Une main se pose fermement sur mon ventre. Je sursaute, cherchant à m’éloigner.
« Détends toi. Après tout c’est toi qui es dans mon lit. »
La voix est grave, rauque. Je me retourne. L’homme est allongé prêt de moi, nu. Mon regard longe son corps – de sa nuque au torse musclé, au bas ventre et pubis rasé et puis enfin son sexe, épais et long, mou entre ses cuisses. Il me semble, mes yeux s’ajustant toujours au noir, qu’il a la quarantaine.
« La moindre des choses serait de te mettre en tenue adéquate. »
Sous l’obscurité j’aperçois un sourire. Je n’hésite pas – je vais jouer le jeu. Je me lève, déboutonne mon jean, retire mon t-shirt et laisse tomber le pantalon. Le caleçon le suit de prêt. Cet homme est là, visiblement me désirant, ce serait gâcher de ne pas lui rendre le compliment. Je m’allonge prêt de lui sur le ventre.
« Petite coquine. »
Il pose sa main sur ma fesse gauche. Il la caresse brièvement avant de la claquer. Je sens un frisson traverser mon corps. Me plaçant sur le côté, je glisse une main le long de sa cuisse. Mes doigts découvrent les plis de sa peau, la chaleur de ses testicules, la lourdeur de sa verge. Pendant ce temps les siens s’initient entre la raie de mes fesses. Il me taquine l’anus tandis que je m’empare de son sexe. Je le masturbe, ma main courant le long de cette belle verge. Elle durcit rapidement. Je la décalotte. Puis il se colle à moi. Sa bouche se plaque contre la mienne, sa langue s’initiant entre mes lèvres. Nous nous entortillons. Ma main le chauffe, l’excite, le fait craquer. Les siennes prennent possession de moi. Il n’a pas besoin de me dire quoi que ce soit. Nous avons tous les deux envi que je le prenne en bouche alors j’exécute. Je glisse vers le bas, ma main gauche toujours fermement tenant son membre. Je commence par le lécher, suivant les veines qui parcourent se membre sublime. Le bout de ma langue se pose sur ses boulles tandis que ma main continue de se charger de son pénis. Je les prends en bouche une par une, lourdes et lisses. Enfin je remonte, lance un regard vers ce nouvel amant qui me fixe avec un petit sourire en coin. Son gland franchi mes lèvres, enflé et rouge. Je le sens se caller contre mon palet, remplir peu à peu ma bouche. Je commence par téter cet objet sensible. Progressivement je prends de plus en plus de son membre en bouche, chaque vas et viens plus profond que le précédent. Entre mes cuisses je sens mon propre sexe raide. Je me masturbe tandis que je le suce. La fellation dure un petit moment – mes caresses faisant soupirer mon homme. Il me fait ensuite remonter. Nous nous embrassons à nouveau. Tandis que sa langue se love à la mienne il me pousse contre le lit, puis, me prenant par surprise, se place à califourchon sur moi, son sexe s’approchant de mon visage à nouveau.
« Ouvre la bouche. »
J’exécute. Sa queue se fraye à nouveau un passage. Mes yeux s’écartent tandis qu’elle continue son chemin jusqu’à taper contre le fond de ma gorge. Je tente de reculer mais il me maintient la tête. Il reste ainsi quelques instants avant de se retirer. Je prends une bouffée d’air. Puis je lève mon regard vers le sien et, souriant, lui fait oui de la tête. Il me baise ainsi la bouche, ses testicules venant tapoter contre mon menton. Son liquide pré séminal se mélange à ma salive. Après de longs instants rythmés par les vas et viens rapides et profonds de sa verge, il se retire. Je remonte et nous nous enlaçons à nouveau. Sa verge se plaque à la mienne, raide elle aussi. La sienne, épaisse et lourde, écrase mon propre membre. Je sens ses mains s’emparer de mes fesses. Il les malaxe d’une poigne de fer. Son index se colle à mon anus rasé. Il me titille puis je sens une phalange rentrer. Il glisse son doigt en entier en moi et ensuite un deuxième. J’ai envi qu’il me baise, me prenne longuement. J’ai envi de lui appartenir. Je me saisis à nouveau de son membre et le branle doucement.
« Prend moi. »
Un instant plus tard et je suis sur mon ventre, contre les draps. Il se frotte à moi, sa queue passant entre mes cuisses, tapotant contre mon scrotum. S’emparant d’un tube de vaseline sur la table de chevet, d’une main rapide il lubrifie à la fois son gland enflé et mon trou. Ne perdant pas un instant, il se positionne à nouveau. Son gland fait pression contre mon sphincter. Il ne peine pas à entrer en moi cependant. Je laisse échapper un gémissement de soulagement. Je me sens rassuré et excité à la fois. Cet inconnu me plaque contre le lit, une main sur ma hanche, l’autre sur le dos de ma nuque. Les vas et viens prennent très rapidement un rythme soutenu. L’homme se satisfait, ses grognements sourds m’excitant encore d’avantage. La position change. Je le chevauche, mes fesses venant se poser contre son bassin. Sa verge m’emplit. Je suis proche de la jouissance. Tandis que le plaisir remonte vers mon ventre je m’empare de mon pénis. L’homme me fait basculer en arrière en missionnaire. Je continu ma masturbation au rythme de ses coups de hanches. Son bassin se colle à la peau de mes fesses et cuisses. Le contact de sa peau me rend fou.
Je jouis, mon sperme s’étalant contre mon bas ventre. Puis c’est à son tour. Le rythme s’accélère – trois derniers grands coups et il gicle en moi. Je me sens m’emplir d’un foutre chaud.
Nous passons le restant de la nuit ensemble. Je quitte la chambre le lendemain – mon désespoir de la veille oublié.
Désolé de te faire ça mais j’ai besoin de l’appart ce soir. Y’a moyen que tu dormes à la soirée ?
Le message est clair – je serai le seul à poursuivre ma période de célibat cette nuit. Je suis assis sur le lit double occupant la grande partie de la pièce. Je m’allonge en arrière, soupirant.
J’ouvre les yeux, la chambre enveloppée dans le noir satiné de la nuit. Je n’entends plus de musique ni de voix. La soirée s’est terminée. Je me laisse aller à nouveau, voulant au moins profiter du lit libre. Une main se pose fermement sur mon ventre. Je sursaute, cherchant à m’éloigner.
« Détends toi. Après tout c’est toi qui es dans mon lit. »
La voix est grave, rauque. Je me retourne. L’homme est allongé prêt de moi, nu. Mon regard longe son corps – de sa nuque au torse musclé, au bas ventre et pubis rasé et puis enfin son sexe, épais et long, mou entre ses cuisses. Il me semble, mes yeux s’ajustant toujours au noir, qu’il a la quarantaine.
« La moindre des choses serait de te mettre en tenue adéquate. »
Sous l’obscurité j’aperçois un sourire. Je n’hésite pas – je vais jouer le jeu. Je me lève, déboutonne mon jean, retire mon t-shirt et laisse tomber le pantalon. Le caleçon le suit de prêt. Cet homme est là, visiblement me désirant, ce serait gâcher de ne pas lui rendre le compliment. Je m’allonge prêt de lui sur le ventre.
« Petite coquine. »
Il pose sa main sur ma fesse gauche. Il la caresse brièvement avant de la claquer. Je sens un frisson traverser mon corps. Me plaçant sur le côté, je glisse une main le long de sa cuisse. Mes doigts découvrent les plis de sa peau, la chaleur de ses testicules, la lourdeur de sa verge. Pendant ce temps les siens s’initient entre la raie de mes fesses. Il me taquine l’anus tandis que je m’empare de son sexe. Je le masturbe, ma main courant le long de cette belle verge. Elle durcit rapidement. Je la décalotte. Puis il se colle à moi. Sa bouche se plaque contre la mienne, sa langue s’initiant entre mes lèvres. Nous nous entortillons. Ma main le chauffe, l’excite, le fait craquer. Les siennes prennent possession de moi. Il n’a pas besoin de me dire quoi que ce soit. Nous avons tous les deux envi que je le prenne en bouche alors j’exécute. Je glisse vers le bas, ma main gauche toujours fermement tenant son membre. Je commence par le lécher, suivant les veines qui parcourent se membre sublime. Le bout de ma langue se pose sur ses boulles tandis que ma main continue de se charger de son pénis. Je les prends en bouche une par une, lourdes et lisses. Enfin je remonte, lance un regard vers ce nouvel amant qui me fixe avec un petit sourire en coin. Son gland franchi mes lèvres, enflé et rouge. Je le sens se caller contre mon palet, remplir peu à peu ma bouche. Je commence par téter cet objet sensible. Progressivement je prends de plus en plus de son membre en bouche, chaque vas et viens plus profond que le précédent. Entre mes cuisses je sens mon propre sexe raide. Je me masturbe tandis que je le suce. La fellation dure un petit moment – mes caresses faisant soupirer mon homme. Il me fait ensuite remonter. Nous nous embrassons à nouveau. Tandis que sa langue se love à la mienne il me pousse contre le lit, puis, me prenant par surprise, se place à califourchon sur moi, son sexe s’approchant de mon visage à nouveau.
« Ouvre la bouche. »
J’exécute. Sa queue se fraye à nouveau un passage. Mes yeux s’écartent tandis qu’elle continue son chemin jusqu’à taper contre le fond de ma gorge. Je tente de reculer mais il me maintient la tête. Il reste ainsi quelques instants avant de se retirer. Je prends une bouffée d’air. Puis je lève mon regard vers le sien et, souriant, lui fait oui de la tête. Il me baise ainsi la bouche, ses testicules venant tapoter contre mon menton. Son liquide pré séminal se mélange à ma salive. Après de longs instants rythmés par les vas et viens rapides et profonds de sa verge, il se retire. Je remonte et nous nous enlaçons à nouveau. Sa verge se plaque à la mienne, raide elle aussi. La sienne, épaisse et lourde, écrase mon propre membre. Je sens ses mains s’emparer de mes fesses. Il les malaxe d’une poigne de fer. Son index se colle à mon anus rasé. Il me titille puis je sens une phalange rentrer. Il glisse son doigt en entier en moi et ensuite un deuxième. J’ai envi qu’il me baise, me prenne longuement. J’ai envi de lui appartenir. Je me saisis à nouveau de son membre et le branle doucement.
« Prend moi. »
Un instant plus tard et je suis sur mon ventre, contre les draps. Il se frotte à moi, sa queue passant entre mes cuisses, tapotant contre mon scrotum. S’emparant d’un tube de vaseline sur la table de chevet, d’une main rapide il lubrifie à la fois son gland enflé et mon trou. Ne perdant pas un instant, il se positionne à nouveau. Son gland fait pression contre mon sphincter. Il ne peine pas à entrer en moi cependant. Je laisse échapper un gémissement de soulagement. Je me sens rassuré et excité à la fois. Cet inconnu me plaque contre le lit, une main sur ma hanche, l’autre sur le dos de ma nuque. Les vas et viens prennent très rapidement un rythme soutenu. L’homme se satisfait, ses grognements sourds m’excitant encore d’avantage. La position change. Je le chevauche, mes fesses venant se poser contre son bassin. Sa verge m’emplit. Je suis proche de la jouissance. Tandis que le plaisir remonte vers mon ventre je m’empare de mon pénis. L’homme me fait basculer en arrière en missionnaire. Je continu ma masturbation au rythme de ses coups de hanches. Son bassin se colle à la peau de mes fesses et cuisses. Le contact de sa peau me rend fou.
Je jouis, mon sperme s’étalant contre mon bas ventre. Puis c’est à son tour. Le rythme s’accélère – trois derniers grands coups et il gicle en moi. Je me sens m’emplir d’un foutre chaud.
Nous passons le restant de la nuit ensemble. Je quitte la chambre le lendemain – mon désespoir de la veille oublié.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Minpass
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est ma femme qui m'a obligé à me laisser baiser par ses amants lors de ses baises par des groupes d'hommes, j'aime surtout quand il éjaculent dans mon cul, maintenant je ne peux plus m'en passer