Dans un train de banlieue
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Dans un train de banlieue
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La petite gare de cette ville de banlieue, un soir de décembre, était presque déserte. J'étais seule dans la salle d'attente. Le dernier train vers la gare principale du centre ville, un trajet sans escale d'environ 30 minutes, était en retard. Le vent à l’extérieur était glacial, la neige et la glace encombraient les rues depuis plusieurs jours. L’hiver maintenait son emprise de froidure, paralysant le trafic. Je savais que mon mari m’attendrait dans la voiture bien chaude quand j'arriverais, et j'avais hâte de le retrouver.
J'étais venue rejoindre une vieille copine de fac qui fêtait ses 30 ans. Elle s’était mariée jeune, il y a plus de huit ans, et nous nous étions perdues de vue. Nous avions repris contact par hasard, depuis quelques mois, grâce aux réseaux sociaux. Nous avons beaucoup ri, toute la journée, en nous remémorant nos bêtises de jeunesse, et puis, l’alcool aidant, nous en sommes venues à échanger des confidences.
Elle m’a sidérée quand elle m’a avoué qu’elle avait un amant, un noir, que son mari le connaissait, qu’il acceptait, et que cette liaison lui convenait. Elle m’a répondu, en devançant la question qui me brûlait les lèvres « comment est-ce possible ? »
En fait, au départ, c’est lui qui souhaitait faire entrer un élément extérieur dans leur couple. Elle s’y refusait, en pensant préserver son ménage. Mais les fantasmes de son mari se précisaient, il lui demandait d’avoir un amant, noir de préférence, et de tout lui raconter. Sur un site spécialisé, ils ont choisi ensemble le candidat idéal, elle l’a rencontré la première fois dans un bar, avec son mari discrètement installé à une table proche. Ils avaient mis en place un signal, au cas où …
Mais le gars était tout à fait à son goût, et elle l’avait emmené dans un hôtel proche. Elle avait passé un délicieux moment et, après avoir rejoint son mari, elle lui avait tout raconté. Ce qui avait eu un effet immédiat, puisque son mari n’avait pas pu attendre d’être rentré chez eux, il l’avait prise dans la voiture. Et puis, il lui avait remis une nouvelle tournée quand ils étaient arrivés à la maison.
Depuis, à une fréquence d’une fois par mois, elle disposait d’une nuit de libre pour retrouver son macho noir et s’envoyer en l’air. J'étais bouche bée, et légèrement incrédule, alors elle m’a montré quelques photos. Sur l’une d’elle, en gros plan, on voyait la bite du mec en érection et l’avant-bras de ma copine, côte à côte. Impressionnant. Et impossible de se tromper, elle a remonté sa manche pour me montrer son tatouage qui prouvait que c’était bien son avant-bras à elle.
Elle m’a avoué qu’elle ne racontait pas tout à son mari, parce qu’elle acceptait de son amant des choses qu’elle refusait à son mari. J’étais incrédule, comment pouvait-elle ? La bite était tellement énorme ! Elle a eu un drôle de petit sourire, presque un rictus, et elle m’a avoué s’être adaptée.
« Adaptée ? » J’ai compris que cela n’avait pas dû être qu’une partie de plaisir. J’ai essayé de percer son secret, et elle m’a confié en soupirant : « Ces mecs sont des machos, tu sais, ils ont des exigences, et les souhaits de la femme, ils s’en branlent. Ouais, j’en ai essayé plusieurs, sans le dire à mon mari. Ils sont tous pareils, tu sais. Au final, ils te font grimper aux rideaux, et c’est ça qui compte »
J'ai été agréablement surprise de constater que son récit éveillait quelque chose en moi. Patrick, mon mari, m’avait raconté son fantasme de plan à trois. Bien entendu, je l’avais rembarré. Sèchement. N’empêche, sans que je puisse parler de fantasme, plutôt de curiosité, j’avais déjà pensé essayer le sexe avec un africain au membre surdimensionné.
La question qui me brûlait les lèvres, c’était de savoir si son mari avait du plaisir en passant après ce monstre ? Elle m’a dit en riant qu’elle était suffisamment jeune pour que ses chairs soient élastiques, et que ses orifices redevenaient « normaux » après quelques minutes. Je devais bien admettre que je l'enviais un peu.
Seule dans la salle d’attente, je repensais à toutes ses confidences, et comme tout à l’heure, quand elle m’avait tout raconté, cela m’émoustillait un peu. Ma chatte devenait lancinante, et j’ai commencé à agiter mes jambes, écartant mes genoux puis les resserrant, à toute vitesse, pour me rafraîchir les idées.
C’est à ce moment là que trois jeunes loubards de banlieue sont entrés dans la salle d’attente. Ils essayaient d'avoir l'air méchant, offensant ou intimidant, mais c’était de jeunes adultes, à peine sortis de l’adolescence. J’avais les mêmes au lycée où j’exerçais, et ils ne m’impressionnaient pas. Je pensais seulement qu’ils ne devraient pas traîner dehors, si tard dans la soirée.
Ils se sont assis sur le banc face au mien, et m’ont dévisagée hardiment. Ne pas baisser les yeux, soutenir leur regard, c’est le secret pour les tenir à distance. Je sais que je suis attirante, même pour les jeunes hommes, plusieurs ados au lycée me l’ont bien fait comprendre.
Je ne me suis pas méfiée que le mouvement que j’avais imprimé à mes jambes avait ouvert mon manteau et ma jupe portefeuille sur mes jambes gainées de nylon. Les trois paires d’yeux se sont concentrées sur mes jambes, et ils cherchaient à voir un peu plus haut que la limite de mes bas retenus par des jarretelles.
En observant leurs visages heureux quoique boutonneux, j’ai agi impulsivement, espérant les mettre dans l’embarras, et j’ai recommencé à remuer mes jambes. L'effet a été instantané. Leurs yeux se sont écarquillés et l’un des gars a glissé à ses potes une stupidité qui les a fait rire. Un autre a posé la main sur ses couilles et il a secoué le paquet, pour un commentaire qui n’a pas besoin de traduction.
J’ai fait la moue, en prenant un air dédaigneux, pour lui faire comprendre qu’il me fallait un mâle bien mieux équipé. Ce qui ne lui a pas fait plaisir, surtout que les autres se sont moqués de lui. La tension sexuelle dans le hall de gare devenait palpable, mais l’arrivée du train en gare a tout interrompu.
Les trois gars se sont levés d’un bond et se sont précipité dehors, mais le gars vexé m’a jeté un regard dur avant de suivre ses potes. Je me suis dis qu’il ne fallait pas que je traîne, si je ne voulais pas passer la nuit ici. Je suis sortie à mon tour pour constater que le train s’était arrêté un peu trop loin, et que c’était la dernière voiture qui se trouvait devant moi. Sans réfléchir, je suis montée dans cette voiture, à la suite des trois jeunes crapules. Les portes se sont fermées automatiquement, et le train a redémarré immédiatement.
C’est à ce moment-là que je me suis aperçue que la voiture était vide d’occupants avant que nous montions tous les quatre, les trois gars et moi. La meilleure défense, c’est l’attaque. Le train était équipé de banquettes qui se faisaient face, deux par deux. Chacun des mecs était vautré sur une banquette.
Je suis venue m’installer sur la banquette qui faisait face au gars qui m’avait jeté le regard dur. Il faisait très chaud dans le compartiment, alors j’ai quitté mon manteau pour ne pas avoir froid en sortant. Je l’ai plié et je me suis levée pour le mettre dans le porte-bagages au-dessus de ma tête.
À ce moment-là, le train est passé sur un aiguillage, la voiture a été agitée dans tous les sens, et j’ai perdu l’équilibre. Le gars n’a pas manqué de réflexe, et il m’a retenue alors que je trébuchais sur lui. Il me tenait par les hanches, une main presque sur ma fesse, l’autre presque sur mon pubis. Ma robe s’était ouverte et montrait une bonne partie de ma cuisse, jusqu’à la chair nue au-dessus du bas retenu par les jarretelles.
J’ai gardé les mains en l’air, et l’on s’est dévisagé pendant un court instant. Il a été le plus prompt. Il a glissé ses mains sous ma jupe, pour immiscer ses doigts dans ma culotte. Il me regardait les yeux dans les yeux et, comme je n'essayais pas de m’écarter ou de le dissuader, ses doigts s’insérèrent dans ma chatte écumeuse.
À une vitesse étourdissante, ses doigts dansaient dans ma fente. Sans plus me préoccuper de mon manteau, j’ai baissé mes bras pour prendre appui sur ses épaules. Voyant que la confrontation ne tournait pas au pugilat, les autres se sont relevés de leurs banquettes pour s’approcher du spectacle. D’une main, il a tiré ma culotte juste au-dessus des genoux.
Quelques secondes plus tard, ses doigts envahissaient ma vulve. Deux, puis trois doigts glissaient en moi. Avec son autre main, il a troussé ma jupe au-dessus de mes hanches, découvrant mon cul à l’attention générale. Voulait-il montrer à ses potes ce qu’il me faisait ? Je l’ai libéré de cette corvée en dégrafant prestement ma jupe et en la jetant dans le porte-bagages au-dessus de nos têtes.
Mon spectacle a dû bien les stimuler, car les deux autres ont attrapé leurs propres bites, tandis que leurs yeux restaient rivés sur ma chatte en train de se faire doigter. J’ai rapidement décidé, étant donné le temps de trajet limité, d’abréger les préliminaires. Je me sentais suffisamment émoustillée pour être pénétrée sans attendre.
En me penchant, je tirais sur son poignet pour retire ses doigts de moi. J'ai rapidement ôté ma culotte. Penchée sur lui, j’ai dégrafé son jean. Il s’est soulevé pour que je puisse faire glisser son pantalon et son caleçon jusqu’aux genoux. En m’agenouillant sur la banquette, de part et d’autre de ses cuisses, j’ai pu me positionner au-dessus de sa bite tendue, face à lui.
En tirant ses vêtements vers le bas, un gros pénis a jailli, s’érigeant en une tige dure et sombre. Penchée sur lui, je l’ai pris à pleines mains pour masser sa longueur avec tendresse et fermeté. Ses deux copains avaient pris place près de nous, de part et d’autre, pour ne rien manquer de notre démonstration.
Les yeux fixés sur nos parties génitales, ils caressaient lentement leurs organes en parfait état de marche. Je m’alignais sur son sexe en pleine érection, prête à m’asseoir dessus. Mais ce vaurien n’était pas pressé de me satisfaire, et il a remis ses doigts dans mon vagin pour les faire coulisser rapidement.
Dans l’impossibilité de terminer mon projet, et parce que ce contretemps me retardait, j’ai déboutonné mon chemisier, puis j’ai sorti mes seins de mon soutif, et j’ai agité mes nichons sous son nez. Aussitôt, il s’est jeté dessus, bouche en avant, pour sucer, téter et malaxer ma poitrine dénudée.
Délivrée de ses doigts dans ma vulve, je me suis laissée glisser lentement jusqu’à engloutir la totalité de sa bite en moi. Lorsque j'ai été complètement empalée, j'ai retiré mon chemisier, que j’ai jeté dans le porte-bagages comme le reste de mes vêtements. Tellement occupé à mordiller et à malaxer mes mamelons, je ne sais pas s’il s’est rendu compte que sa bite était prisonnière de ma chatte.
Je le laissai s'amuser avec ma poitrine pendant un moment, avant de me redresser légèrement et de commencer à glisser de haut en bas sur son bâton de chair. J’avais d’excellentes sensations à l'intérieur de ma chatte brûlante, mais le fait d’être presque nue et de chevaucher ce gredin presque complètement vêtu, me procurait une exaltation proche de l’ivresse.
J'étais tellement émoustillée par mon audace que j'ai été surprise de l'entendre panteler bruyamment. J'ai réalisé qu'il allait jouir en moi, mais avant que je puisse faire quoi que ce soit, une giclée puissante m’a arrosée jusqu’au fond de ma vulve. Un sentiment de puissance m’a envahie. Une langueur très agréable est montée de mes reins jusqu’à mon cerveau, j’ai perdu mes esprits, et je n’ai pas pu retenir des petits cris féminins pour exprimer ma joie et ma reconnaissance.
Ma vulve ne pouvait pas retenir l’énorme quantité de semence que la fougue de sa jeunesse déversait en moi. Je me suis soulevée au sommet de sa bite, presque à le laisser s’échapper, et je me suis laissée retomber lourdement sur lui. J’ai recommencé plusieurs fois, jusqu’à sentir sa bite mollir en moi.
Ronronnante mais pas repue, mon regard s’est reporté sur les deux autres. Celui-là étant hors service momentanément, il me fallait de la chair fraîche pour m’envoyer en l’air. Le premier avait une bite courte mais large, comme le personnage, le second l’avait beaucoup plus longue et plus mince.
Sans plus de cérémonie, j'ai choisi le gros et court en premier et, sans perdre de temps, dans une position similaire, je l'ai monté. Quand sa queue est entrée j'ai eu le souffle coupé. Heureusement que j’étais bien lubrifiée par le précédent, parce qu’il était très gros, et j’ai senti ma chatte s’élargir considérablement.
Il a décidé de prendre les choses en main. Attrapant mes hanches, il m’a maintenue immobile lorsque j'étais entrée à mi-chemin. Il a alors commencé à remuer ses hanches en me pistonnant comme une poupée. Il l'a fait par des mouvements courts et rapides, avec seulement la pointe de sa bite entrant et sortant.
Cela m’a ouverte, et il appréciait évidemment cela, alors je l'ai laissé faire. En quelques minutes, ses mouvements son devenus désordonnés, et j'ai senti son sperme gicler dans ma chatte. Sa bite a giclé plusieurs fois et il s'est arrêté, puis quelques secondes plus tard, il m'a soulevée puis percutée jusqu’au bout.
Une douleur aiguë m’a traversée. Il a continué plusieurs fois, jusqu'à ce que sa bite ramollisse et qu’il glisse hors de moi. Ma copine m’avait dit qu’elle s’était adaptée. Adaptée ? C’est le mot qui convient. Je me suis adaptée.
Le troisième m’a allongée sur la banquette, sur le dos, avec les jambes relevées et largement écartées. Il a regardé longuement ma chatte martyrisée, mes lèvres boursouflées et mousseuses. Le sperme s’échappait de mon ouverture élargie. Il s’est agenouillé sur la banquette, il a soulevé encore plus mes jambes, pour les poser sur ses épaules, il a aligné sa longue bite sur mon puits d’amour, et d’un seul mouvement, sans hâte mais sans hésitation, il s’est enfoncé jusqu’au bout.
Une fois dedans, il m'a baisé avec énergie. La sensation était merveilleuse, son pubis qui heurtait mon mont de vénus faisait vibrer mon clitoris. Cela augmentait mon trouble. Tout mon être bourdonnait et je n’ai pas pu m’empêcher d’agiter ma tête en tous sens en poussant de petits cris féminins. On dit que la taille ne compte pas, mais je me sentais remplie et utilisée comme une garce.
Son long bâton s'enfonçait en moi en faisant gicler le sperme contenu dans ma vulve. L’effet était tout simplement indescriptible. Chaque télescopage de son pubis contre le mien augmentait ma fièvre, jusqu'à ce que mon ardeur soit au paroxysme. Quand j'ai commencé à exulter, c’était comme si je m'entendais de loin. J’entendais mes propres gémissements et mes cris comme si c’était une autre femme qui jouissait à côté de moi. Cette sensation étrange a multiplié mon trouble, et des vagues de plaisir extatiques traversaient tout mon être.
Quand j’ai finalement émergé de mon orgasme, il continuait toujours de me baiser à plein régime. À ce moment là, le train pénétrait en ville, et sa vitesse a diminué rapidement, jusqu’à circuler à petite vitesse. L’avenue qui bordait la voie ferrée la surplombait légèrement, la voiture était éclairée comme en plein jour, et nous offrions un spectacle impudique aux badauds qui se promenaient. Heureusement, il faisait très froid, et il y avait peu de spectateurs. Malheureusement, une bande de fêtards sortaient d’un bar, et ils se sont mis à courir à côté du train en poussant des cris et des sifflements.
J’essayais de me débattre pour lui échapper mais, après un court instant, de petites vibrations de plaisir ont traversé mon corps. Il ne fallut pas longtemps avant que mon trouble atteigne un niveau qui m’empêche de me défendre, et je savais que j'allais jouir à nouveau. J'ai coopérer jusqu'à ce que je sente le premier jaillissement brûlant de son sperme gicler en moi.
Pour la première fois de ma vie, j'ai senti les muscles de ma chatte se contracter pour attraper une bite et la retenir. Ils se contractaient et se détendaient tout autour de sa tige, et à chaque fois, un énorme flot de sperme chaud m’aspergeait profondément. C'était différent de tout ce que j'avais vécu auparavant. À chaque vague, mes reins se soulevaient à sa rencontre. Lorsqu’il a fini, je pataugeais dans une mare de sperme et je suffoquais comme un poisson hors de l'eau.
Quand il s'est retiré, je me suis assise pour reprendre mes esprits. Nous n’étions plus qu’à quelques minutes de notre destination. Les garçons regardaient des vidéos sur leurs téléphones. J'ai demandé à voir, et ils m'ont montré un clip de ma petite personne en pleine baise, complètement empalée et délirante.
Je me suis levée pour me rhabiller, et le trop-plein de sperme a immédiatement coulé à l'intérieur de mes cuisses. J'étais si pleine de foutre. Je me suis rapidement rhabillée, sans pouvoir retrouver ma culotte. J'ai donné mon numéro de portable à l’un deux en lui demandant de me faire passer les vidéos. J’ai essayé de réparer les dégâts avec un paquet de mouchoirs en papiers, et j’ai roulé en boule le dernier pour le fourrer dans ma chatte, en espérant arrêter les fuites.
À ce moment, mon premier lascar, qui avait retrouvé toute sa forme, m'a brusquement penchée en avant et s’est dégrafé. Soulevant mon manteau et ma jupe, il a exposé mon cul avant de me prendre sans plus de cérémonie, sa bite enfonçant profondément le mouchoir en papier dans ma chatte.
Même dans cette position, je pouvais voir que le train entrait en gare. Il a continué de me baiser, même lorsque ses copains ont ouvert la porte et sont sortis sur la plate-forme. Avec la porte grande ouverte et le train arrêté, il a continué de me baiser pendant encore deux minutes avant d’éjaculer en moi. Terminé, il s’est retiré, il a rangé sa bite, puis refermé le zip, et il est sorti.
A peine étais-je sortie du train, que j'ai vu mon mari venir à ma rencontre, en croisant mes trois voyous. Une fois rentrés au chaud dans la voiture, il m'a demandé si j’avais passé une agréable journée, et si j'avais fait bon voyage. Bien sûr, il m'a dit qu'il n’aimait pas me voir voyager seule à une heure aussi tardive.
Je lui ai répondu qu’il avait tout à fait raison, d’ailleurs les trois jeunes canailles qu’il avait croisés sur le quai de gare, m’avaient violée à tour de rôle.
Il m'a regardé avec un grand sourire : « Ouais, c’est çà, bien sûr ! » Puis : « C'est quelque chose que je paierais pour voir »
Apparemment, il ne me croyait pas. J'avais bien sûr ma chatte dégoulinante de sperme pour prouver mes dires. Mes pensées ont été occupées par mon portable qui bipait. Plusieurs messages vidéos arrivaient. Le titre du premier était « notre gang a baisé une bourgeoise ». Peut-être qu'une fois rentrés à la maison, j'alimenterai son fantasme en lui permettant de visionner mes exploits, ou peut-être que non.
La petite gare de cette ville de banlieue, un soir de décembre, était presque déserte. J'étais seule dans la salle d'attente. Le dernier train vers la gare principale du centre ville, un trajet sans escale d'environ 30 minutes, était en retard. Le vent à l’extérieur était glacial, la neige et la glace encombraient les rues depuis plusieurs jours. L’hiver maintenait son emprise de froidure, paralysant le trafic. Je savais que mon mari m’attendrait dans la voiture bien chaude quand j'arriverais, et j'avais hâte de le retrouver.
J'étais venue rejoindre une vieille copine de fac qui fêtait ses 30 ans. Elle s’était mariée jeune, il y a plus de huit ans, et nous nous étions perdues de vue. Nous avions repris contact par hasard, depuis quelques mois, grâce aux réseaux sociaux. Nous avons beaucoup ri, toute la journée, en nous remémorant nos bêtises de jeunesse, et puis, l’alcool aidant, nous en sommes venues à échanger des confidences.
Elle m’a sidérée quand elle m’a avoué qu’elle avait un amant, un noir, que son mari le connaissait, qu’il acceptait, et que cette liaison lui convenait. Elle m’a répondu, en devançant la question qui me brûlait les lèvres « comment est-ce possible ? »
En fait, au départ, c’est lui qui souhaitait faire entrer un élément extérieur dans leur couple. Elle s’y refusait, en pensant préserver son ménage. Mais les fantasmes de son mari se précisaient, il lui demandait d’avoir un amant, noir de préférence, et de tout lui raconter. Sur un site spécialisé, ils ont choisi ensemble le candidat idéal, elle l’a rencontré la première fois dans un bar, avec son mari discrètement installé à une table proche. Ils avaient mis en place un signal, au cas où …
Mais le gars était tout à fait à son goût, et elle l’avait emmené dans un hôtel proche. Elle avait passé un délicieux moment et, après avoir rejoint son mari, elle lui avait tout raconté. Ce qui avait eu un effet immédiat, puisque son mari n’avait pas pu attendre d’être rentré chez eux, il l’avait prise dans la voiture. Et puis, il lui avait remis une nouvelle tournée quand ils étaient arrivés à la maison.
Depuis, à une fréquence d’une fois par mois, elle disposait d’une nuit de libre pour retrouver son macho noir et s’envoyer en l’air. J'étais bouche bée, et légèrement incrédule, alors elle m’a montré quelques photos. Sur l’une d’elle, en gros plan, on voyait la bite du mec en érection et l’avant-bras de ma copine, côte à côte. Impressionnant. Et impossible de se tromper, elle a remonté sa manche pour me montrer son tatouage qui prouvait que c’était bien son avant-bras à elle.
Elle m’a avoué qu’elle ne racontait pas tout à son mari, parce qu’elle acceptait de son amant des choses qu’elle refusait à son mari. J’étais incrédule, comment pouvait-elle ? La bite était tellement énorme ! Elle a eu un drôle de petit sourire, presque un rictus, et elle m’a avoué s’être adaptée.
« Adaptée ? » J’ai compris que cela n’avait pas dû être qu’une partie de plaisir. J’ai essayé de percer son secret, et elle m’a confié en soupirant : « Ces mecs sont des machos, tu sais, ils ont des exigences, et les souhaits de la femme, ils s’en branlent. Ouais, j’en ai essayé plusieurs, sans le dire à mon mari. Ils sont tous pareils, tu sais. Au final, ils te font grimper aux rideaux, et c’est ça qui compte »
J'ai été agréablement surprise de constater que son récit éveillait quelque chose en moi. Patrick, mon mari, m’avait raconté son fantasme de plan à trois. Bien entendu, je l’avais rembarré. Sèchement. N’empêche, sans que je puisse parler de fantasme, plutôt de curiosité, j’avais déjà pensé essayer le sexe avec un africain au membre surdimensionné.
La question qui me brûlait les lèvres, c’était de savoir si son mari avait du plaisir en passant après ce monstre ? Elle m’a dit en riant qu’elle était suffisamment jeune pour que ses chairs soient élastiques, et que ses orifices redevenaient « normaux » après quelques minutes. Je devais bien admettre que je l'enviais un peu.
Seule dans la salle d’attente, je repensais à toutes ses confidences, et comme tout à l’heure, quand elle m’avait tout raconté, cela m’émoustillait un peu. Ma chatte devenait lancinante, et j’ai commencé à agiter mes jambes, écartant mes genoux puis les resserrant, à toute vitesse, pour me rafraîchir les idées.
C’est à ce moment là que trois jeunes loubards de banlieue sont entrés dans la salle d’attente. Ils essayaient d'avoir l'air méchant, offensant ou intimidant, mais c’était de jeunes adultes, à peine sortis de l’adolescence. J’avais les mêmes au lycée où j’exerçais, et ils ne m’impressionnaient pas. Je pensais seulement qu’ils ne devraient pas traîner dehors, si tard dans la soirée.
Ils se sont assis sur le banc face au mien, et m’ont dévisagée hardiment. Ne pas baisser les yeux, soutenir leur regard, c’est le secret pour les tenir à distance. Je sais que je suis attirante, même pour les jeunes hommes, plusieurs ados au lycée me l’ont bien fait comprendre.
Je ne me suis pas méfiée que le mouvement que j’avais imprimé à mes jambes avait ouvert mon manteau et ma jupe portefeuille sur mes jambes gainées de nylon. Les trois paires d’yeux se sont concentrées sur mes jambes, et ils cherchaient à voir un peu plus haut que la limite de mes bas retenus par des jarretelles.
En observant leurs visages heureux quoique boutonneux, j’ai agi impulsivement, espérant les mettre dans l’embarras, et j’ai recommencé à remuer mes jambes. L'effet a été instantané. Leurs yeux se sont écarquillés et l’un des gars a glissé à ses potes une stupidité qui les a fait rire. Un autre a posé la main sur ses couilles et il a secoué le paquet, pour un commentaire qui n’a pas besoin de traduction.
J’ai fait la moue, en prenant un air dédaigneux, pour lui faire comprendre qu’il me fallait un mâle bien mieux équipé. Ce qui ne lui a pas fait plaisir, surtout que les autres se sont moqués de lui. La tension sexuelle dans le hall de gare devenait palpable, mais l’arrivée du train en gare a tout interrompu.
Les trois gars se sont levés d’un bond et se sont précipité dehors, mais le gars vexé m’a jeté un regard dur avant de suivre ses potes. Je me suis dis qu’il ne fallait pas que je traîne, si je ne voulais pas passer la nuit ici. Je suis sortie à mon tour pour constater que le train s’était arrêté un peu trop loin, et que c’était la dernière voiture qui se trouvait devant moi. Sans réfléchir, je suis montée dans cette voiture, à la suite des trois jeunes crapules. Les portes se sont fermées automatiquement, et le train a redémarré immédiatement.
C’est à ce moment-là que je me suis aperçue que la voiture était vide d’occupants avant que nous montions tous les quatre, les trois gars et moi. La meilleure défense, c’est l’attaque. Le train était équipé de banquettes qui se faisaient face, deux par deux. Chacun des mecs était vautré sur une banquette.
Je suis venue m’installer sur la banquette qui faisait face au gars qui m’avait jeté le regard dur. Il faisait très chaud dans le compartiment, alors j’ai quitté mon manteau pour ne pas avoir froid en sortant. Je l’ai plié et je me suis levée pour le mettre dans le porte-bagages au-dessus de ma tête.
À ce moment-là, le train est passé sur un aiguillage, la voiture a été agitée dans tous les sens, et j’ai perdu l’équilibre. Le gars n’a pas manqué de réflexe, et il m’a retenue alors que je trébuchais sur lui. Il me tenait par les hanches, une main presque sur ma fesse, l’autre presque sur mon pubis. Ma robe s’était ouverte et montrait une bonne partie de ma cuisse, jusqu’à la chair nue au-dessus du bas retenu par les jarretelles.
J’ai gardé les mains en l’air, et l’on s’est dévisagé pendant un court instant. Il a été le plus prompt. Il a glissé ses mains sous ma jupe, pour immiscer ses doigts dans ma culotte. Il me regardait les yeux dans les yeux et, comme je n'essayais pas de m’écarter ou de le dissuader, ses doigts s’insérèrent dans ma chatte écumeuse.
À une vitesse étourdissante, ses doigts dansaient dans ma fente. Sans plus me préoccuper de mon manteau, j’ai baissé mes bras pour prendre appui sur ses épaules. Voyant que la confrontation ne tournait pas au pugilat, les autres se sont relevés de leurs banquettes pour s’approcher du spectacle. D’une main, il a tiré ma culotte juste au-dessus des genoux.
Quelques secondes plus tard, ses doigts envahissaient ma vulve. Deux, puis trois doigts glissaient en moi. Avec son autre main, il a troussé ma jupe au-dessus de mes hanches, découvrant mon cul à l’attention générale. Voulait-il montrer à ses potes ce qu’il me faisait ? Je l’ai libéré de cette corvée en dégrafant prestement ma jupe et en la jetant dans le porte-bagages au-dessus de nos têtes.
Mon spectacle a dû bien les stimuler, car les deux autres ont attrapé leurs propres bites, tandis que leurs yeux restaient rivés sur ma chatte en train de se faire doigter. J’ai rapidement décidé, étant donné le temps de trajet limité, d’abréger les préliminaires. Je me sentais suffisamment émoustillée pour être pénétrée sans attendre.
En me penchant, je tirais sur son poignet pour retire ses doigts de moi. J'ai rapidement ôté ma culotte. Penchée sur lui, j’ai dégrafé son jean. Il s’est soulevé pour que je puisse faire glisser son pantalon et son caleçon jusqu’aux genoux. En m’agenouillant sur la banquette, de part et d’autre de ses cuisses, j’ai pu me positionner au-dessus de sa bite tendue, face à lui.
En tirant ses vêtements vers le bas, un gros pénis a jailli, s’érigeant en une tige dure et sombre. Penchée sur lui, je l’ai pris à pleines mains pour masser sa longueur avec tendresse et fermeté. Ses deux copains avaient pris place près de nous, de part et d’autre, pour ne rien manquer de notre démonstration.
Les yeux fixés sur nos parties génitales, ils caressaient lentement leurs organes en parfait état de marche. Je m’alignais sur son sexe en pleine érection, prête à m’asseoir dessus. Mais ce vaurien n’était pas pressé de me satisfaire, et il a remis ses doigts dans mon vagin pour les faire coulisser rapidement.
Dans l’impossibilité de terminer mon projet, et parce que ce contretemps me retardait, j’ai déboutonné mon chemisier, puis j’ai sorti mes seins de mon soutif, et j’ai agité mes nichons sous son nez. Aussitôt, il s’est jeté dessus, bouche en avant, pour sucer, téter et malaxer ma poitrine dénudée.
Délivrée de ses doigts dans ma vulve, je me suis laissée glisser lentement jusqu’à engloutir la totalité de sa bite en moi. Lorsque j'ai été complètement empalée, j'ai retiré mon chemisier, que j’ai jeté dans le porte-bagages comme le reste de mes vêtements. Tellement occupé à mordiller et à malaxer mes mamelons, je ne sais pas s’il s’est rendu compte que sa bite était prisonnière de ma chatte.
Je le laissai s'amuser avec ma poitrine pendant un moment, avant de me redresser légèrement et de commencer à glisser de haut en bas sur son bâton de chair. J’avais d’excellentes sensations à l'intérieur de ma chatte brûlante, mais le fait d’être presque nue et de chevaucher ce gredin presque complètement vêtu, me procurait une exaltation proche de l’ivresse.
J'étais tellement émoustillée par mon audace que j'ai été surprise de l'entendre panteler bruyamment. J'ai réalisé qu'il allait jouir en moi, mais avant que je puisse faire quoi que ce soit, une giclée puissante m’a arrosée jusqu’au fond de ma vulve. Un sentiment de puissance m’a envahie. Une langueur très agréable est montée de mes reins jusqu’à mon cerveau, j’ai perdu mes esprits, et je n’ai pas pu retenir des petits cris féminins pour exprimer ma joie et ma reconnaissance.
Ma vulve ne pouvait pas retenir l’énorme quantité de semence que la fougue de sa jeunesse déversait en moi. Je me suis soulevée au sommet de sa bite, presque à le laisser s’échapper, et je me suis laissée retomber lourdement sur lui. J’ai recommencé plusieurs fois, jusqu’à sentir sa bite mollir en moi.
Ronronnante mais pas repue, mon regard s’est reporté sur les deux autres. Celui-là étant hors service momentanément, il me fallait de la chair fraîche pour m’envoyer en l’air. Le premier avait une bite courte mais large, comme le personnage, le second l’avait beaucoup plus longue et plus mince.
Sans plus de cérémonie, j'ai choisi le gros et court en premier et, sans perdre de temps, dans une position similaire, je l'ai monté. Quand sa queue est entrée j'ai eu le souffle coupé. Heureusement que j’étais bien lubrifiée par le précédent, parce qu’il était très gros, et j’ai senti ma chatte s’élargir considérablement.
Il a décidé de prendre les choses en main. Attrapant mes hanches, il m’a maintenue immobile lorsque j'étais entrée à mi-chemin. Il a alors commencé à remuer ses hanches en me pistonnant comme une poupée. Il l'a fait par des mouvements courts et rapides, avec seulement la pointe de sa bite entrant et sortant.
Cela m’a ouverte, et il appréciait évidemment cela, alors je l'ai laissé faire. En quelques minutes, ses mouvements son devenus désordonnés, et j'ai senti son sperme gicler dans ma chatte. Sa bite a giclé plusieurs fois et il s'est arrêté, puis quelques secondes plus tard, il m'a soulevée puis percutée jusqu’au bout.
Une douleur aiguë m’a traversée. Il a continué plusieurs fois, jusqu'à ce que sa bite ramollisse et qu’il glisse hors de moi. Ma copine m’avait dit qu’elle s’était adaptée. Adaptée ? C’est le mot qui convient. Je me suis adaptée.
Le troisième m’a allongée sur la banquette, sur le dos, avec les jambes relevées et largement écartées. Il a regardé longuement ma chatte martyrisée, mes lèvres boursouflées et mousseuses. Le sperme s’échappait de mon ouverture élargie. Il s’est agenouillé sur la banquette, il a soulevé encore plus mes jambes, pour les poser sur ses épaules, il a aligné sa longue bite sur mon puits d’amour, et d’un seul mouvement, sans hâte mais sans hésitation, il s’est enfoncé jusqu’au bout.
Une fois dedans, il m'a baisé avec énergie. La sensation était merveilleuse, son pubis qui heurtait mon mont de vénus faisait vibrer mon clitoris. Cela augmentait mon trouble. Tout mon être bourdonnait et je n’ai pas pu m’empêcher d’agiter ma tête en tous sens en poussant de petits cris féminins. On dit que la taille ne compte pas, mais je me sentais remplie et utilisée comme une garce.
Son long bâton s'enfonçait en moi en faisant gicler le sperme contenu dans ma vulve. L’effet était tout simplement indescriptible. Chaque télescopage de son pubis contre le mien augmentait ma fièvre, jusqu'à ce que mon ardeur soit au paroxysme. Quand j'ai commencé à exulter, c’était comme si je m'entendais de loin. J’entendais mes propres gémissements et mes cris comme si c’était une autre femme qui jouissait à côté de moi. Cette sensation étrange a multiplié mon trouble, et des vagues de plaisir extatiques traversaient tout mon être.
Quand j’ai finalement émergé de mon orgasme, il continuait toujours de me baiser à plein régime. À ce moment là, le train pénétrait en ville, et sa vitesse a diminué rapidement, jusqu’à circuler à petite vitesse. L’avenue qui bordait la voie ferrée la surplombait légèrement, la voiture était éclairée comme en plein jour, et nous offrions un spectacle impudique aux badauds qui se promenaient. Heureusement, il faisait très froid, et il y avait peu de spectateurs. Malheureusement, une bande de fêtards sortaient d’un bar, et ils se sont mis à courir à côté du train en poussant des cris et des sifflements.
J’essayais de me débattre pour lui échapper mais, après un court instant, de petites vibrations de plaisir ont traversé mon corps. Il ne fallut pas longtemps avant que mon trouble atteigne un niveau qui m’empêche de me défendre, et je savais que j'allais jouir à nouveau. J'ai coopérer jusqu'à ce que je sente le premier jaillissement brûlant de son sperme gicler en moi.
Pour la première fois de ma vie, j'ai senti les muscles de ma chatte se contracter pour attraper une bite et la retenir. Ils se contractaient et se détendaient tout autour de sa tige, et à chaque fois, un énorme flot de sperme chaud m’aspergeait profondément. C'était différent de tout ce que j'avais vécu auparavant. À chaque vague, mes reins se soulevaient à sa rencontre. Lorsqu’il a fini, je pataugeais dans une mare de sperme et je suffoquais comme un poisson hors de l'eau.
Quand il s'est retiré, je me suis assise pour reprendre mes esprits. Nous n’étions plus qu’à quelques minutes de notre destination. Les garçons regardaient des vidéos sur leurs téléphones. J'ai demandé à voir, et ils m'ont montré un clip de ma petite personne en pleine baise, complètement empalée et délirante.
Je me suis levée pour me rhabiller, et le trop-plein de sperme a immédiatement coulé à l'intérieur de mes cuisses. J'étais si pleine de foutre. Je me suis rapidement rhabillée, sans pouvoir retrouver ma culotte. J'ai donné mon numéro de portable à l’un deux en lui demandant de me faire passer les vidéos. J’ai essayé de réparer les dégâts avec un paquet de mouchoirs en papiers, et j’ai roulé en boule le dernier pour le fourrer dans ma chatte, en espérant arrêter les fuites.
À ce moment, mon premier lascar, qui avait retrouvé toute sa forme, m'a brusquement penchée en avant et s’est dégrafé. Soulevant mon manteau et ma jupe, il a exposé mon cul avant de me prendre sans plus de cérémonie, sa bite enfonçant profondément le mouchoir en papier dans ma chatte.
Même dans cette position, je pouvais voir que le train entrait en gare. Il a continué de me baiser, même lorsque ses copains ont ouvert la porte et sont sortis sur la plate-forme. Avec la porte grande ouverte et le train arrêté, il a continué de me baiser pendant encore deux minutes avant d’éjaculer en moi. Terminé, il s’est retiré, il a rangé sa bite, puis refermé le zip, et il est sorti.
A peine étais-je sortie du train, que j'ai vu mon mari venir à ma rencontre, en croisant mes trois voyous. Une fois rentrés au chaud dans la voiture, il m'a demandé si j’avais passé une agréable journée, et si j'avais fait bon voyage. Bien sûr, il m'a dit qu'il n’aimait pas me voir voyager seule à une heure aussi tardive.
Je lui ai répondu qu’il avait tout à fait raison, d’ailleurs les trois jeunes canailles qu’il avait croisés sur le quai de gare, m’avaient violée à tour de rôle.
Il m'a regardé avec un grand sourire : « Ouais, c’est çà, bien sûr ! » Puis : « C'est quelque chose que je paierais pour voir »
Apparemment, il ne me croyait pas. J'avais bien sûr ma chatte dégoulinante de sperme pour prouver mes dires. Mes pensées ont été occupées par mon portable qui bipait. Plusieurs messages vidéos arrivaient. Le titre du premier était « notre gang a baisé une bourgeoise ». Peut-être qu'une fois rentrés à la maison, j'alimenterai son fantasme en lui permettant de visionner mes exploits, ou peut-être que non.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toutes ces histoires se ressemblent pour beaucoup c est vulgaire se faire baiser par de la racaille ce n est pas la meilleur façon de montrer la fidélité des femmes blanches pour les arabes nos femmes sont toutes des putes et ils leur arrive d avoir raison malheureusement.
Encore ce fantasme de certains maris ou certaines femmes heureusement minoritaires de baiser avec un noir et pourquoi pas avec un bouc il ni a pas de différence les deux sont bêtes et ils pues décidément malgré deux milles ans de civilisation certains et certaines se complaisent dans la fenge.Quelle humanité pour demain ça fait peur.