Danse, l’éveil du désir - histoire érotique

Voilà déjà quelques temps que je danse. J’adore danser. Très jeune, j’ai fait du classique, pendant une dizaine d’années. Il y a quelques années je me suis mise à la danse tahitienne. Et récemment, je me suis prise de passion pour les danses latines : merengue, bachata, salsa !! Ma préférence est la bachata. Je danse aussi le zouk et j’apprends peu à peu la kizomba, une danse chaude, qui nous vient directement d’Angola. Elle peut se danser à la angolaise comme dit, en marquant les temps assez rapidement ou à la façon cap verdienne, plus lent, plus langoureux.

Oui, je sais, je devrais en venir au fait… Et bien voilà, quand on danse, on rencontre plein de monde, on crée du lien social. Avec certaines personnes, on ressent une forte connection. Quand vous dansez la kizomba, vous êtes comme dans une bulle, connectés avec tous les autres couples de la piste de danse, c’est un peu un état d’esprit où tout le monde se sent bien, ferme les yeux en se laissant guider sur le tempo, un deux ou bien un deux trois. Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous propose de continuer cette lecture, avec un petit son bien agréable, celui de Nelson Freidas, rebound chick. Ainsi, vous pourrez vous inspirez de l’ambiance.
Alors voilà, c’est parti je suis sur la piste de danse et pour l’occasion ce soir, j’ai décidé de sortir le grand jeu. Je suis donc vêtue d’une petite robe rouge, très moulante, bien que peu décolleté et qui m’arrive à mi cuisse avec des bas chairs et des petites chaussures de danse, à talons bien sûr noirs et rouge pour rester dans le ton. Sans oublier les dessous, j’ai choisi pour l’occasion un ensemble rouge à dentelle, un soutien-gorge peu rembourré et un petit string rouge assorti. Je me suis fait de jolies anglaises sur mes cheveux blonds que j’ai attaché négligemment n’en laissant qu’une partie retombé, ainsi la moitié de ma nuque se retrouve nue. Je ne suis presque pas maquillée, j’ai juste mis un joli rouge à lèvre rouge avec un peu de gloss. Je ne passe pas inaperçue, les habitués me salue et bizarrement tous veulent danser avec moi. Mais voilà, ce soir, je suis venue pour danser avec un homme en particulier : 1m75, éducateur sportif, prof de danse, antillais, pas besoin de vous faire un dessin. Il est charmant, c’est un dragueur, tout le monde ici le sait mais bon je suis attirée comme un aimant alors que faire ?!

Se laisser tenter bien sûr… ah j’oubliais il s’appelle Francesco (prononcé le à l’italienne « fránchesco », sa mère est d’origine italienne…son père et bien je vous laisse deviner…) Il s’approche, me fait la bise avec un grand sourire et m’invite à danser. Il murmure sensuellement à l’oreille que je suis charmante.

Nous commençons à nous déhancher, tout se déroule parfaitement bien, nous fermons les yeux, nous sentons nos corps qui se connectent. Sa jambe entre les miennes m’indiquent le rythme à suivre et sa main plaquée contre mon bas de dos me donner le mouvement que doit suivre mon bassin. Tout le monde nous regarde, les gens ici le connaissent bien et ils commencent à lui dire, allez allez, tu peux faire mieux que ça… C’est alors que au fur et à mesure, l’assurance grandit, la confiance est établi par un étrange lien mystique et voilà une première glissade, très réussie. Un rapprochement, un autre corps à corps puis un porté à droite puis à gauche. Nous faisons le spectacle. J’avoue, j’adore ça. Je me sens toute légère avec lui. Nos corps sont en parfaite harmonie même si des fois, je fais un ou deux cafouillages au niveau des pieds, l’illusion est parfaite, personne ne voit rien !
Tête contre tête, il me murmure des mots doux à l’oreille. Il me dit qu’il craque complètement sur moi et ce dès le premier jour, qu’il voudrait danser avec moi encore et encore. Je sens sa transpiration, son souffle dans mon cou, mon cœur s’accélère, droite, gauche et de nouveau il me plaque contre lui. Je sens son bassin qui ondule en cadence, je sens aussi que mon string commence à être bien mouillé. La tension sexuelle qui se dégage me met un peu mal à l’aise mais l’excitation est telle.
Et me voilà partie en transe, dans mes rêves… il me fait fantasmer, je suis trempée, nos corps sont en nage. Je rêve qu’il m’embrasse passionnément. Je veux le sentir encore plus, mais le sentir encore plus, cela voudrait dire… oh mon dieu, je me sens tellement faible, je ne sens plus mon corps. La soirée arrive à sa fin et je suis dans tout mes états pourtant nous n’avons fait que danser. Il me glisse à l’oreille qu’il veut me revoir au plus vite, je lui laisse donc mon numéro et décide de rentrer. Après tout, on est lundi, demain, boulot et puis je le connais à peine.
Sur le chemin du retour, mille et une questions me taraudent l’esprit : pourquoi ? Rentrer seule ? Tremper comme je le suis ?exciter de la sorte. Je sens que je vais avoir du mal à m’endormir ce soir. En arrivant chez moi, en effet, impossible de dormir, je me remémore la soirée, ces danses endiablées avec Francesco. Alors voilà, j’enlève mes talons, glisse lentement mes bas, enlève ma robe. Puis je dégrafe mon soutien-gorge, laissant alors pointer mes seins dont les tétons sont tout durs de par ce mélange chaud froid, ma peau frissonne, je sens encore le corps de Francesco contre le mien. Je décide d’enlever mon string, et de commencer à me caresser car à présent que je suis seule, je vais me lâcher

j'ai commencé par me caresser les seins, mes tétons qui pointaient, j'étais tellement chaude... Je commence donc par faire glisser mes doigts que je viens de sucer abondamment. Je me malaxe la poitrine, je commence à gémir car mes seins sont sensibles à tous ce qui s'effleure dessus. Puis j'ai fait glisser mon index le long de ma chatte, mon clito était tellement sensible que j'ai gémi en priant pour jouir vite et fort !! Mais mon majeur s’est posé sur mon clito, mais l’envie de me faire prendre était si forte. Je pensais à Francesco, j’imaginais son gros membre alors j’ai pris la décision de prendre mon " black mamba " mon meilleurs ami. C'est sur que je préfère la chair fraîche mais quand on a rien sous la main et bien voilà qui fera l’affaire.

Je suce ma bite silliconée que je viens de fixer pour mieux la gober, je caresse un sein et ma chatte en même temps, je dégouline. J’introduit alors mon vibro bien chaud dans ma chatte, tout doucement d'abord puis....de plus en plus loin, de plus en plus fort, je sentais ce gland cogner au fond de ma chatte, le vibro glissait vite tellement j'étais chaude et mouillée ! c’était tellement bon

Je commençais à gémir de plus en plus fort, puis à crier littéralement, avec un main qui m’écrasait le sein pour sentir mon corps, mon désir et, tout en continuant à me pilonner la chatte en pensant à Francesco, j'aurais tellement aimé que ce soit sa grosse queue qui me fourre à ce moment là !! Ma chatte était toute dilatée, humide, mon clito gonflé, mes seins tendus...hum...

La main sur mes seins et l'autre qui faisait des mouvements de va et viens de plus en plus intenses...C'était si bon, je criais de plaisir, je sentais la jouissance arriver...J'ai fini par exploser dans un immense orgasme, le vibro bien fourré au fond de ma petite chatte, humm... un délice, une vraie ptite salope !!

J'ai souri de plaisir...j'étais détendue et heureuse, mais un peu frustrée de ne pas avoir été baisée par un vrai homme ! Cependant, peut-être que la prochaine fois, il me prendra, d’une certaine façon je l’espère même si ça ne serait pas très raisonnable.
Une suite bientÔt…