De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (3)

- Par l'auteur HDS Marcs75 -
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Récit libertin : De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (3)
près avoir baisé Mme Allier comme une véritable salope, j’ai continué de travailler sur le dallage de sa terrasse. Elle est allée se doucher comme je lui avait demandé, et s’était rhabillée plus sagement. Vers 18 heures, son ami Paul est arrivé, une bouteille de champagne à la main. Du haut de ses 70 ans, il n’avait pas l’air d’un mal dominant, et je me suis dit que ses lèvres pulpeuses seraient parfaites pour me nettoyer la queue, la prochaine fois que je baiserai sa compagne devant lui. En le voyant, ma cliente s’est empourprée, le souvenir de son après-midi lui revenant en mémoire. De mon côté, j’étais aux anges, jouissant de ma position de force, profitant de l’ignorance de l’un et de la soumission de l’autre. J’ai hésité à imposer à Madame Allier de m’inviter à rester pour l’apéro, mais j’avais d’autres projet pour la soirée, et je me devais de rentrer au plus vite. En partant, j’ai demandé à Jeanne de me raccompagner. Une fois dans le vestibule, je l’ai plaquée contre le mur, glissant une main sous sa jupe dans sa chatte humide.

— Putain, t’as pas remis de culotte, t’es vraiment une salope. Je te baiserai bien à nouveau mais ma femme va s’inquiéter. Demain matin, je dois passer chez un client, mais mon neveu arrivera avant moi pour commencer. Je tiens à ce que tu l’accueilles comme il se doit, compris ?

— Oui, compris.

Mes doigts s’activent dans sa chatte déjà bien trempée.

— Oui qui ?

— Mmm… oui maître.

— Jeanne, qu’est-ce que tu fais ? demande la voix de Paul depuis le salon

— Je…MMMM j’arriiiiiiiive mmm arrêtez, s’il vous plaît, maître.

— J’aurais bien aimé te torturer davantage mais je dois filer, à demain.

Je sors mes doigts et les fourre dans la bouche de ma nouvelle soumise qui les suce instantanément, je la gratifie d’une tape sur la jour et sors de la maison.



Le lendemain matin, mon neveu Diego arrive à 7h30 devant la porte de Mme Allier. Elle lui ouvre la porte, vêtue d’une robe marron très moulante, avec une large ceinture de cuir noir qui lui barre les hanches et une paire de bas auto-fixant noirs. Le haut de la robe moule sa grosse poitrine et laisse pointer deux gros tétons, si bien qu’elle ne semble pas porter de soutien-gorge. Poli et intimidé, mon neveu se laisse guider jusqu’à la terrasse.



— Voilà, votre oncle a commencé hier à poser les premières dalles, je crois qu’il en rester 2-3 à poser avant d’aller chercher les autres sur la pelouse, près de la remise, je vous montrerai. Souhaitez-vous un café ?

— Je…oui, avec plaisir, réponds Diego, bien élevé.

En moins d’un quart d’heure, il a posé les quelques dalles qu’il restait et rejoint ma cliente dans la cuisine. Elle lui sert une grande tasse de café et s’installe en face de lui jambes croisées, le bas de sa robe légèrement relevé, dévoilant le liseré en dentelle de ses bas.

— Alors jeune homme, comme cela vous aidez votre oncle pour vous faire un peu de sous pendant les vacances ? Vous avez quel âge, 16, 17 ans ?

— J’ai 18 ans, et j’ai arrêté l’école après le bac, je suis en CAP électricité, mais j’aide mon oncle sur ses chantiers pour me faire un peu d’argent.

— C’est bien courageux de votre part. et vous vous appelez ?

Jeanne décroise les jambes, et les recroise dans l’autre sens. Ses mains tremblantes trahissent sa nervosité et son excitation.

— Je m’appelle Diego. Merci pour le café, mais il est un peu chaud, je devrais peut-être retourner travailler en attendant qu’il refroidisse.

— Tu as tout le temps, réponds-elle en posant une main sur sa cuisse et en se penchant vers lui, ses seins balançant sous le fin tissu de la robe. Tu veux que je rajoute de l’eau fraîche ? Veux-tu du sucre, des gâteaux ?

— Pas de gâteau, merci, mais je veux bien volontiers un peu d’eau fraîche et un carré de sucre.

Madame Allier se lève et va vers l’évier, tournant le dos à mon neveu qui ne se prive pas pour mater son petit cul. Elle ouvre le tiroir sous l’évier et se penche ostensiblement en avant pour prendre la carafe. Sa robe remonte juste sous la naissance de ses fesses, offrant à Diego une vue délicieuse. La carafe pleine, elle se redresse et ouvre un placard au-dessus des plaques de cuisson, où sont remisées les denrées non périssables. Du haut de ses 1m64, elle n’arrive pas à atteindre l’étagère du sucre, d’où la présence dans la cuisine d’un petit tabouret qu’elle fait glisser d’un bout à l’autre du plan de travail pour accéder aux objets hors de portée.

Mais profitant de la présence d’un beau et jeune garçon, elle préfère se mettre sur la pointe des pieds, feindre son échec et appeler Diego à la rescousse.

— Diego, je suis désolé de vous embêter, mais pouvez-vous m’attraper la boite à sucre, s’il vous plaît ?

Il se lève et vient se placer derrière Madame Allier qui tend toujours le bras vers le haut.

— Il est juste là, à côté de la farine. Vous le voyez ?

Diego se presse contre elle pour l’aider à atteindre le précieux sésame. Profitant de la situation, Jeanne recule et colle ses fesses contre le sexe du jeune homme, Il ne se laisse pas impressionner et s’avance un peu plus, la plaquant contre le plan de travail. Il pourrait prendre le sucre mais profite un peu plus de la situation, se frottant contre ces fesses accueillantes, avant d’attraper le pot et de libérer Madame Allier. Elle a senti toute la force et la fougue du jeune homme, et excitée par les évènements de la veille et mon injonction de prendre soin de mon neveu, elle en veut plus. Se rasseyant, elle garde les jambes écartées permettant au jeune pervers, faisant mine de faire tomber sa cuillère, de jeter un œil entre ses cuisses.

Le café avalé, Jeanne se lève et guide Diego sur la terrasse.

— Donc voilà, voici la dalle de béton qu’il faut couvrir, suivez-moi, je vais vous montrer où votre oncle a entreposé les autres.

Volontairement ou non, Jeanne croise les jambes en marchant devant mon neveu, faisant balancer ses hanches de droite à gauche avec une grâce féline qui fait bouillir les hormones du jeune garçon.

— Les dalles sont entreposées ici, sur la pelouse à côté de la piscine. Vous pouvez l’utiliser à votre guise, d’ailleurs, vu la chaleur qu’il fait. Votre oncle a laissé ses outils dans le garage hier, je vais vous guider.

Ils descendent la pente douce qui mène au sous-sol, abritant deux garages et la cave à vin.

— Tenez, les outils sont ici, il y a aussi des toilettes, et un douche. Je ne l’ai pas utilisée depuis l’été dernier, j’espère que les tuyaux n’ont pas gelé, attendez…

Elle ouvre le mitigeur, mais rien ne se passe, eau chaude, eau froide, rien.

— Ah mince, ça a dû geler.

Au moment où elle entre dans le bac à douche pour regarder de plus près, un jet d’eau glacée tombe du plafonnier, trempant madame Allier jusqu’aux os.

Sa robe déjà bien moulante est collée à sa poitrine, épousant chaque relief de sa peau.

—Putain de merde, je suis trempée ! Saloperie de plomberie !

A son plus grand étonnement, Diego s’avance vers elle et lui glisse un doigt entre les cuisses.

— Et là aussi, vous êtes trempée ?

— Je.. quoi ? comment ? Qu’est-ce que vous faites, jeune homme, je ne vous permets pas !

— Arrête de faire ta mijaurée, je vois clair dans ton jeu, salope ! la manière ton tu te déhanches depuis une demi-heure, la manière dont tu me regardes, tu as les yeux qui crient braguette ! Et puis, tu crois que je ne t’ai pas senti te frotter pendant que je t’aidais à attraper le sucre. Tu l’as bien sentie, ma bite, hein, et bien tu vas mieux la sentir, viens.

Joignant le geste à la parole, Diego attrape Jeanne par les hanches et la colle contre lui. Ses vêtements détrempés gouttent sur le carrelage du garage. Il prend la main de la bourgeoise et la colle sur son sexe, par-dessus son short synthétique. Il l’attrape par le cou et lui susurre à l’oreille avant de lui rouler une énorme pelle.

— Je suis certain que tu n’en pas jamais vu d’aussi grosse !

— Mmm oui, c’est vrai qu’elle a l’air bien grosse, mon cochon, tu me la montres ?

— C’est qu’elle se dévergonde, la vieille. Allez, fous toi à poil.

Obéissante, Madame Allier retire la robe avec difficulté. En effet, le tissu humide colle à sa peau comme une ventouse, et elle peine à s’en séparer. Elle la laisse tomber à ses pieds et se tient debout devant Diego. Son soutien-gorge en dentelle noire est un push-up à balconnets ouverts qui laissent pointer ses tétons surmontés de larges aréoles brunes. Elle porte également une culotte fendue qui laisse dépasser deux lèvres lisses et roses. Le jeune garçon reste interdit un instant, laissant la pauvre Jeanne suspendue à son jugement. Ce dernier finit par tomber, sans appel.

— Putain t’est sacrément bonne ! tu me fais bander comme un âne, mets-toi à genou, je suis certain que tu meurs d’envie de la prendre en bouche.

Soulagée et impatiente, la Bourgeoise se met à genou, et fait tomber le short et le boxer de mon neveu à mi-mollets. Un chibre de 21 cm, long et fini est catapulté vers le haut, par effet élastique, bifflant au passage le visage de ma cliente. Elle reste sans voix devant ce sexe impressionnant.

— Alors ? Il te plait ? Je t’avais bien dit que t’en avais pas vu de si gros ! Allez, qu’est-ce que tu attends.

Jeanne l’attrape à la base d’une main ferme et le branle vigoureusement, continuant d’apprécier sa longueur. Il lui faut le prendre à deux mains pour en recouvrer presque la totalité de la hampe. Diego a également un pubis de jeune homme broussailleux et d’un noir de jais, et de longues couilles imberbes qui pendantes à près de 10cm de leur base. Appliquée comme la veille, Jeanne suce le gland circoncis du jeune homme qui prend la tête entre ses mains et lui imprime la cadence. Elle qui pensait en le voyant arriver avoir affaire à un jeune puceau, elle se trompe lourdement, pour son plus grand plaisir. La bite de Diego, plus longue que la mienne, même si moins épaisse, s’enfonce au fond de la gorge de ma cliente, dont la salive, stimulée par ce traitement brutal mousse au bord de ses lèvres et coule sur ses seins. Ses yeux s’emplissent de larme qui font couler son mascara sur ses joues. Diego lui bouche le nez pour l’empêcher de respirer tout en continuant de pilonner sa gorge. De la bile sort par ses hauts leu cœur et se mélange à la salive qui dégouline sur son cou. Son visage est défiguré par le mascara, elle a une vraie tête de salope.

— Allez, ça suffit, je vais te baiser maintenant ! Mets-toi debout, les mains sur le mur.

Elle se redresse et pose les mains sur la paroi vitrée de la douche. Diego écarte ses jambes et pose une main sur ses reins pour la forcer à se cambrer davantage.

— Allez, cambre, toi, chienne, je veux que tu me montres comment tu accueilles une vraie queue.

— Oh, oui, vas-y donne-moi ta queue, je suis une bonne chienne, hein ?

— Ta gueule et encaisse, je vais te faire beugler, tout le village va t’entendre.

Il pose les mains sur les hanches de madame Allier et entre en elle d’un coup sec.

— Aie salaud, tu aurais pu me lubrifier un peu

— Tu te fois de moi, tu dégoulines de mouille, allez, fermes-la maintenant.

Ses coups de reins sont puissants, et ses mains fermes sur les hanches de la pauvre bourgeoise qui se voit culbutée comme jamais. Sa bouche ne laisse échapper que des gémissements étouffées, alors que ses seins s’écrasent sur la vitre de la douche.

— Putain, t’est une vraie pute toi, tu couines comme une truie. Viens ici, je vais te faire jouir sur ma queue.

Diego retourne ma cliente et, plaçant ses mains sous ses hanches, la soulève et l’empale sur lui. Le sexe de 21cm disparait dans la chatte béante alors qu’il la fait aller et venir sur lui, en la portant. Impressionnée, la bourgoise, fendue en deux par cette épée de sang et de chair, hurle son plaisir, griffant le dos de son amant de ses ongles manucurés.

— Oh oui mon salaud, tu me fais jouir, putain c’est bon je vais en mettre partouuuuuuuuut

Elle presse la tête du bel éphèbe contre ses seins, et Diego lui mord violement le téton, la faisant jouir de plus belle. Ne pouvant se contrôler, elle éclabousse le ventre du jeune maçon et le carrelage d’un puissant jet de cyprine.

— T’es une véritable salope, une chienne à bite, toi, si mon oncle savait que sa cliente était si perverse…

— Oh, mais ne t’inquiètes pas, ton oncle est au courant, et il m’a bien baisé hier…

— D’ailleurs, n’avions-nous pas convenu de certaines règles entre nous Jeanne ?

Ils se retournent tous deux, surpris de m’apercevoir dans l’encadrement de la porte du garage, bras croisés, campés sur mes appuis.

— Diego, rhabilles toi, trou du cul, et retournes bosser, je ne te payes pas à faire ça.

Prise d’un élan de folie, encore ivre de son orgasme, Madame Allier se laisse aller à me répondre effrontément :

— Ta gueule, vient plutôt me baiser, et suis l’exemple de ton neveu ! Au lieu de le traiter de trou du cul, viens plutôt t’occuper du mien, il n’attend que ça !

- Tu veux de la queue, c’est ça ? et bien tu vas en avoir, ma belle, je te le garantis. Toute la ville va y passer.

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