De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (3)
Récit érotique écrit par Marcs75 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (3)
Je demande à madame Allier de me suivre jusqu’à sa chambre. Diego, frustré de ne pas avoir joui, s’est remis au travail à contre-cœur. Elle se tient devant moi, nue, luisante de sueur et de cyprine.
— Alors comme ça tu te fais baiser par mon neveu en mon absence et sans MON autorisation ? Pour qui te prends-tu ?
— Mais.. maitre, vous m’aviez dit d’être une bonne hôte pour lui, alors j’ai pensé…
— Et depuis quand t’autorises-tu à penser à ma place ? Tu es à moi maintenant, ma chose, ma soumise, et tu n’as plus besoin de penser. Tout ce que tu as à faire c’est…
— Obéir ?
— Obéir. Maintenant je vais devoir te punir.
— Punissez-moi, maitre, je l’ai certainement mérité, que puis-je faire pour vous.
Je ne peux masquer l’excitation que me procure la vision de cette bourgeoise soumise à genoux, nue dans sa chambre. Je baisse ma braguette et sors ma queue. Je n’ai pas pris de douche depuis la veille, et j’ai travaillé durement toute la matinée, aussi ma queue sent fort la transpiration et le foutre séché. Mme Allier grimaçe lorsque l’odeur parvient à ses narines, mais accepte sa punition et enfourne ma queue dans sa gorge humide. Je ne peux réprimer un grognement de plaisir.
— Mmm t’es bonne tu sais. Mais je ne t’ai pas demandé de me sucer. Qui t’as dit de prendre des initiatives.
Elle s’interrompt, surprise
— Personne…c’est jusque que je pensais… comme vous l’aviez…
— Encore une fois, arrête de penser. Viens plutôt me bouffer le cul, salope.
Je m’allonge sur le dos et relève mes jambes. Mon cul est au bord du lit, ma rondelle faisant face à ma soumise. D’abord hésitante, elle caresse mes cuisses de ses doigts, et approche son visage de mon fondement poilu. Sa langue tatônne, cherche dans le taillis broussailleux les remis rosés de mon anus. Elle le trouve finalement, et commence à en faire le tour. Rapidement débarrassé de sa sueur par la salive de ma soumise, il a un petit gout sucré. J’ai l’impression qu’elle apprécie le traitement qu’elle me donne. Sa langue va de mon cul à mes couilles, tourne, et s’insère légèrement dans l’ouverture qui se dilate sous son traitement de faveur.
— Branle ma queue avec ta main libre.
Elle s’exécute, et va et vient sur ma hampe alors que sa langue s’enfonce au fond de mon cul.
— Putain c’est bon, salope, je suis sur que tu mouilles, mets-y un doigt.
Son doigt délicat trouve son chemin et vient titiller ma prostate alors que sa langue s’active désormais sur mon frein et mon gland. Je ne vais pas tenir très longtemps. Sa main serre la base de ma bite pour en retarder l’éjaculation au maximum. Ma prostate est sur le point d’exploser sous ses caresses.
— Mmm on dirait que tu sais te faire pardonner, soumise, je vais te récompenser d’une bonne dose de sperme.
Mon orgasme est long, les vagues de spermes s’étalent sur le front et les lunette de madame Allier, qui langue pendante, tente de ne pas en perdre un millilitre. Son doigt dans mon fondement appuie sur ma prostate pour la vider comme on presse un citron, et un nouvel orgasme me foudroie. Je prends sa tête à deux mains et l’enfonce sur ma queue pour me vider dans le fond de sa gorge. Elle réprime un haut le cœur et ravale sa salive mélangée à mon foutre brulant.
— C’est bien, chienne. Maintenant, va dans la douche, je vais te nettoyer.
Elle s’exécute, et allume le robinet pour faire chauffer l’eau.
— Arrête ça tout de suite et mets-toi à genoux.
— Mais.
— Pas de mais. Fais ce que je te dis.
— Bien, monsieur Maras.
Elle coupe l’eau et s’agenouille dans le bac de douche. Son visage est maculé de foutre, ses lunettes sont troubles. Je pointe ma queue devant elle.
— Ferme les yeux. Je vais t’offrir une douche. Une douche dorée.
— Mais.
Un jet puissant sort de mon méat. Ma soumise semble vouloir protester, mais elle n’ose ouvrir la bouche au risque de voir le liquide jaunâtre entrer entre ses jolies lèvres. Elle reste donc immobile, soumise et résignée. Je m’applique à nettoyer avec application le sperme qui macule son visage et ses seins. Les trainées blanchâtres se mélangent à la pisse et coulent sur sa peau laiteuse. Une fois que j’ai fini, je lui demande de me nettoyer la queue. Elle le fait sans rechigner.
— Bien, maintenant que tu es propre, habilles-toi. Je vais t’emmener en ville. Il est temps de te trouver une tenue appropriée.
— Mais…
Un simple regard suffit.
— Tu as cinq minutes.
Je redescends superviser le travail de Diego. J’en profite pour récolter son appréciation de ma nouvelle soumise.
— C’est une vraie salope, elle m’a chauffé comme jamais, et avait vraiment envie de bite. Tu aurais pu me laisser finir, Tonton, je suis vraiment frustré, maintenant.
— Une prochaine fois peut-être. Si tu veux, quand nous serons partis, je te laisserai monter dans sa chambre et choisir un sous-vêtement dans lequel tu pourras te vider. Je me ferais un plaisir de l’obliger à le porter, lundi, au boulot.
— T’es vraiment taré, Tonton ! Comment peux-tu avoir un esprit aussi tordu ?
— Tu n’as encore rien vu. Ah, la voilà.
Mme allier m’attendait au bas de l’escalier. Elle portait une jupe en cuir courte dévoilant le liseré en dentelle de ses bas auto-fixant noirs, et en haut un petit top transparent aux motifs léopards honteusement décolleté, fermé sur le devant par un petit nœud. Elle portait bien évidemment son collier de perles de bourgeoise et des boucles d’oreille assorties. La discrète odeur de pisse qui émanait d’elle me confirma qu’elle m’avait obéi et n’avait pas pris d’autre douche que celle que je lui avais généreusement offerte. Je la fais monter à l’avant de ma camionnette.
C’est un utilitaire avec trois places à l’avant. La cabine est sale, avec des restes de nourriture, un magazine porno abandonné par un de mes employés et des mouchoirs usagés. Je sens que ma bourgeoise est quelque peu rebutée par ce qu’elle voit, mais, en bonne soumise. Elle ne dit rien. Elle s’assit à côté de la fenêtre et laisse vide la place entre nous.
— Je te fais peur, c’est ça ? Viens te rapprocher de moi, ma belle.
— C’est que… je suis un peu malade en voiture, et j’aimerai être proche de la fenêtre pour avoir de l’air.
— En voiture, c’est comme en bateau. Pour ne pas avoir la nausée, il faut être occupé. Viens ici, tu vas passer les vitesses.
Elle s’approche et prend en main le manche de cuir.
— Non. Pas comme ça. Mets-toi dessus.
— Comment ? Mais ça ne vas jamais rentrer ?
— Ta gueule, je suis sûr que t’es trempée.
J’écarte ses cuisses et passe une main sur sa fente lisse, confirmant ma théorie. Elle n’a même pas mis de culotte.
— Qu’est-ce que je disais. Plus c’est sale, et plus ça t’excite ! T’est vraiment une sacrée chienne. Tiens, je vais le lubrifier pour toi.
Je crache sur le levier de vitesses et lui demande de s’installer dessus. La position est assez inconfortable, et l’embout assez large, mais la chatte de Mme Allier, humide à souhait et dilatée par la queue de Diego fini par l’accueillir totalement. Elle gémit.
— Tu vois je savais que tu en étais capable ! Au retour, je te demanderai de te le mettre dans le cul. Allez, enclenche la première, on y va.
Ma soumise finit par aimer ce traitement et me demande de passer les vitesses plus régulièrement, pour sentir le levier s’enfoncer dans ses parois alors qu’elle le manipule tantôt à gauche, à droite en avant ou en arrière. Je la conduis à travers la ville jusqu’à un petit sex-shop situé en périphérie. C’est un endroit plutôt glauque à la devanture sale. Il fait encore plein jour et il y a du monde dans la rue. Les hommes jettent des regards au magasin mais personne n’ose y entrer. Je sens le rouge monter aux joues de madame Allier lorsqu’elle comprend mon intention. Je lui demande d’abandonner le manche du levier de vitesse et de traverser la rue pour y entrer. Je sens sa réticence, mais sa soumission a finalement le dessus sur son appréhension initiale… Nous entrons.
— Alors comme ça tu te fais baiser par mon neveu en mon absence et sans MON autorisation ? Pour qui te prends-tu ?
— Mais.. maitre, vous m’aviez dit d’être une bonne hôte pour lui, alors j’ai pensé…
— Et depuis quand t’autorises-tu à penser à ma place ? Tu es à moi maintenant, ma chose, ma soumise, et tu n’as plus besoin de penser. Tout ce que tu as à faire c’est…
— Obéir ?
— Obéir. Maintenant je vais devoir te punir.
— Punissez-moi, maitre, je l’ai certainement mérité, que puis-je faire pour vous.
Je ne peux masquer l’excitation que me procure la vision de cette bourgeoise soumise à genoux, nue dans sa chambre. Je baisse ma braguette et sors ma queue. Je n’ai pas pris de douche depuis la veille, et j’ai travaillé durement toute la matinée, aussi ma queue sent fort la transpiration et le foutre séché. Mme Allier grimaçe lorsque l’odeur parvient à ses narines, mais accepte sa punition et enfourne ma queue dans sa gorge humide. Je ne peux réprimer un grognement de plaisir.
— Mmm t’es bonne tu sais. Mais je ne t’ai pas demandé de me sucer. Qui t’as dit de prendre des initiatives.
Elle s’interrompt, surprise
— Personne…c’est jusque que je pensais… comme vous l’aviez…
— Encore une fois, arrête de penser. Viens plutôt me bouffer le cul, salope.
Je m’allonge sur le dos et relève mes jambes. Mon cul est au bord du lit, ma rondelle faisant face à ma soumise. D’abord hésitante, elle caresse mes cuisses de ses doigts, et approche son visage de mon fondement poilu. Sa langue tatônne, cherche dans le taillis broussailleux les remis rosés de mon anus. Elle le trouve finalement, et commence à en faire le tour. Rapidement débarrassé de sa sueur par la salive de ma soumise, il a un petit gout sucré. J’ai l’impression qu’elle apprécie le traitement qu’elle me donne. Sa langue va de mon cul à mes couilles, tourne, et s’insère légèrement dans l’ouverture qui se dilate sous son traitement de faveur.
— Branle ma queue avec ta main libre.
Elle s’exécute, et va et vient sur ma hampe alors que sa langue s’enfonce au fond de mon cul.
— Putain c’est bon, salope, je suis sur que tu mouilles, mets-y un doigt.
Son doigt délicat trouve son chemin et vient titiller ma prostate alors que sa langue s’active désormais sur mon frein et mon gland. Je ne vais pas tenir très longtemps. Sa main serre la base de ma bite pour en retarder l’éjaculation au maximum. Ma prostate est sur le point d’exploser sous ses caresses.
— Mmm on dirait que tu sais te faire pardonner, soumise, je vais te récompenser d’une bonne dose de sperme.
Mon orgasme est long, les vagues de spermes s’étalent sur le front et les lunette de madame Allier, qui langue pendante, tente de ne pas en perdre un millilitre. Son doigt dans mon fondement appuie sur ma prostate pour la vider comme on presse un citron, et un nouvel orgasme me foudroie. Je prends sa tête à deux mains et l’enfonce sur ma queue pour me vider dans le fond de sa gorge. Elle réprime un haut le cœur et ravale sa salive mélangée à mon foutre brulant.
— C’est bien, chienne. Maintenant, va dans la douche, je vais te nettoyer.
Elle s’exécute, et allume le robinet pour faire chauffer l’eau.
— Arrête ça tout de suite et mets-toi à genoux.
— Mais.
— Pas de mais. Fais ce que je te dis.
— Bien, monsieur Maras.
Elle coupe l’eau et s’agenouille dans le bac de douche. Son visage est maculé de foutre, ses lunettes sont troubles. Je pointe ma queue devant elle.
— Ferme les yeux. Je vais t’offrir une douche. Une douche dorée.
— Mais.
Un jet puissant sort de mon méat. Ma soumise semble vouloir protester, mais elle n’ose ouvrir la bouche au risque de voir le liquide jaunâtre entrer entre ses jolies lèvres. Elle reste donc immobile, soumise et résignée. Je m’applique à nettoyer avec application le sperme qui macule son visage et ses seins. Les trainées blanchâtres se mélangent à la pisse et coulent sur sa peau laiteuse. Une fois que j’ai fini, je lui demande de me nettoyer la queue. Elle le fait sans rechigner.
— Bien, maintenant que tu es propre, habilles-toi. Je vais t’emmener en ville. Il est temps de te trouver une tenue appropriée.
— Mais…
Un simple regard suffit.
— Tu as cinq minutes.
Je redescends superviser le travail de Diego. J’en profite pour récolter son appréciation de ma nouvelle soumise.
— C’est une vraie salope, elle m’a chauffé comme jamais, et avait vraiment envie de bite. Tu aurais pu me laisser finir, Tonton, je suis vraiment frustré, maintenant.
— Une prochaine fois peut-être. Si tu veux, quand nous serons partis, je te laisserai monter dans sa chambre et choisir un sous-vêtement dans lequel tu pourras te vider. Je me ferais un plaisir de l’obliger à le porter, lundi, au boulot.
— T’es vraiment taré, Tonton ! Comment peux-tu avoir un esprit aussi tordu ?
— Tu n’as encore rien vu. Ah, la voilà.
Mme allier m’attendait au bas de l’escalier. Elle portait une jupe en cuir courte dévoilant le liseré en dentelle de ses bas auto-fixant noirs, et en haut un petit top transparent aux motifs léopards honteusement décolleté, fermé sur le devant par un petit nœud. Elle portait bien évidemment son collier de perles de bourgeoise et des boucles d’oreille assorties. La discrète odeur de pisse qui émanait d’elle me confirma qu’elle m’avait obéi et n’avait pas pris d’autre douche que celle que je lui avais généreusement offerte. Je la fais monter à l’avant de ma camionnette.
C’est un utilitaire avec trois places à l’avant. La cabine est sale, avec des restes de nourriture, un magazine porno abandonné par un de mes employés et des mouchoirs usagés. Je sens que ma bourgeoise est quelque peu rebutée par ce qu’elle voit, mais, en bonne soumise. Elle ne dit rien. Elle s’assit à côté de la fenêtre et laisse vide la place entre nous.
— Je te fais peur, c’est ça ? Viens te rapprocher de moi, ma belle.
— C’est que… je suis un peu malade en voiture, et j’aimerai être proche de la fenêtre pour avoir de l’air.
— En voiture, c’est comme en bateau. Pour ne pas avoir la nausée, il faut être occupé. Viens ici, tu vas passer les vitesses.
Elle s’approche et prend en main le manche de cuir.
— Non. Pas comme ça. Mets-toi dessus.
— Comment ? Mais ça ne vas jamais rentrer ?
— Ta gueule, je suis sûr que t’es trempée.
J’écarte ses cuisses et passe une main sur sa fente lisse, confirmant ma théorie. Elle n’a même pas mis de culotte.
— Qu’est-ce que je disais. Plus c’est sale, et plus ça t’excite ! T’est vraiment une sacrée chienne. Tiens, je vais le lubrifier pour toi.
Je crache sur le levier de vitesses et lui demande de s’installer dessus. La position est assez inconfortable, et l’embout assez large, mais la chatte de Mme Allier, humide à souhait et dilatée par la queue de Diego fini par l’accueillir totalement. Elle gémit.
— Tu vois je savais que tu en étais capable ! Au retour, je te demanderai de te le mettre dans le cul. Allez, enclenche la première, on y va.
Ma soumise finit par aimer ce traitement et me demande de passer les vitesses plus régulièrement, pour sentir le levier s’enfoncer dans ses parois alors qu’elle le manipule tantôt à gauche, à droite en avant ou en arrière. Je la conduis à travers la ville jusqu’à un petit sex-shop situé en périphérie. C’est un endroit plutôt glauque à la devanture sale. Il fait encore plein jour et il y a du monde dans la rue. Les hommes jettent des regards au magasin mais personne n’ose y entrer. Je sens le rouge monter aux joues de madame Allier lorsqu’elle comprend mon intention. Je lui demande d’abandonner le manche du levier de vitesse et de traverser la rue pour y entrer. Je sens sa réticence, mais sa soumission a finalement le dessus sur son appréhension initiale… Nous entrons.
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