De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (6)
Récit érotique écrit par Marcs75 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (6)
Après la sortie du couple, je demande au vendeur s’il existe des cabines qui passent des films pornos. Il me dit que oui, elles sont au sous-sol, mais qu’à cette heure, il n’y a personne, et qu’il serait beaucoup plus agréable pour ma soumise que nous venions à l’heure du déjeuner, où il y a plus de monde. Je comprends alors que les cabines sont équipées de Glory Hole. Je décide que ça suffit pour aujourd’hui et que ma soumise sera initiée à cette pratique plus tard. Nous remercions le vendeur et remontons dans la camionnette.
— Alors, comment as-tu apprécié ta première expérience exhibitionniste et ta première séance de baise en public.
— Je… Je ne pensais pas y prendre autant de plaisir. C’est à la fois dégradant, mais aussi gratifiant de voir mon corps ainsi exposé, et terriblement excitant.
— C’est bien, je vois que ton éducation est sur la bonne voie.
— C’est-à-dire que… c’est tellement plus simple de savoir que toutes les décisions sont entre vos mains, maître. Je n’ai rien à penser, rien à décider, juste à obéir et profiter de l’instant présent.
— Et c’est là même le fondement de la soumission. Ton maître sait ce qui est bon pour toi et il n’ira jamais au-delà de tes limites. A ce propos, nous n’avons jamais défini de safe word.
— Qu’est-ce que c’est ?
— Un mot, connu de nous seul, qui me fera savoir qu’une situation dépasse ta tolérance, ou alors que tu ne te sens pas confortable à faire telle action ou à rester dans telle situation.
— Ah oui. C’est bien. Très important même.
— C’est nécessaire. Que proposes-tu ?
— Et bien, je dirais… Que pensez-vous de « rôti » ? Car c’est en me brûlant sur ce satané rôti au four que nous nous sommes… rapprochés.
— C’est un très bon choix, dis-je en souriant. Va pour rôti.
— Maître ?
— Oui Jeanne ?
— Je dois vous avouer une chose…
— Dis-moi. Tu peux tout me dire, tu sais. Il n’y a pas de jugement entre nous.
— Tout à l’heure… la bite du jeune vendeur… Elle était si petite… je n’ai rien senti.
— Je sais, et cela fait partie de ton éducation. Je voulais que tu saches que je vais de donner à des dizaines, peut être des centaines d’hommes. Et ton rôle sera de leur vider les couilles, quelle que soit la taille de celles-ci ou de leur sexe. Tu comprends ?
— Oui. Mais c’est à cause de Diego, je crois. Sa bite est tellement grande… elle m’a complètement dilatée. Le pauvre rouquin ne touchait pas les bords. D’ailleurs…
Elle plonge une main entre ses cuisses et en retire le préservatif que le vendeur avait perdu à l’intérieur. Heureusement, il est vide.
— Ne t’inquiète pas pour lui, il a eu sa dose de plaisir. Et cette femme, tu as aimé lui bouffer la chatte ?
— Pas trop. Pour tout vous dire, j’aime surtout les bites. Les bites poilues comme la vôtre.
Nous arrivons devant chez elle. Elle est toujours dans la tenue de cuir en latex, ses seins ouverts. C’est la fin d’après-midi, et même si elle se trouve au bout de l’allée, un voisin pourrait la surprendre dans cette tenue. Elle traverse en vitesse l’espace qui sépare ma voiture de sa porte d’entrée. Je la suis, emportant avec moi le reste de nos achats.
— Tu peux aller te doucher. Et savonne-toi bien, tu es une véritable souillon, tu sens la bite, la chatte et l’urine à deux mètres à la ronde. A partir de maintenant, je vais prendre ton joli collier de perles, et le remplacer par le collier en cuir avec l’anneau qui marque ton appartenance. Tu devras le porter tous les jours, toute la journée. Je t’autorise à le retirer le soir en te couchant. C’est tout.
— Mais…
— Pas de mais.
— Au travail aussi ?
— A part si tu travailles la nuit dans ton lit, oui. Je ne comprends pas… ma demande n’était pas assez claire peut-être ? Préfères-tu que je fasse entrer cette idée dans ton crâne de chienne d’une manière plus…. Brutale ?
— Non maître, il n’en est nul besoin. Je ferais comme vous avez demandé, maître.
— C’est bien. Allez, files maintenant. Je reviendrais lundi avec le reste de mes employés.
— Avec Diego ?
Je perçois l’envie dans ses yeux et une lueur de désir brille dans sa pupille.
— Peut-être.
— Dites, à propos de Diego…
— Oui ?
— Aura-t-il le droit de me baiser à nouveau ? Je suis restée sur ma faim, tout à l’heure.
— Nous verrons, si tu es sage.
— Je serais sage comme une image.
— Allez, files maintenant. Ah oui j’oubliais.
— Quoi ?
— Tu as interdiction de te toucher, ni de te faire baiser par qui que ce soit pendant le week-end. Si Paul a envie, tu droit trouver un moyen de le soulager sans le laisser te toucher, c’est bien clair ? Tu es à moi, maintenant. A moi seul.
— Ne vous inquiétez pas, maître, Paul n’a jamais envie.
Je souris et m’en vais chercher Diego pour le raccompagner chez ma sœur.
Alors que je le dépose, je me rends compte que j’ai oublié mon téléphone chez Mme Allier. Je fais demi-tour et gare ma camionnette dans l’allée. La voiture de Paul est déjà garée. Je frappe à la porte. Il m’ouvre.
— M. Maras, quel bonheur de vous revoir, que nous vaut l’honneur de votre visite.
— Désolé de vous déranger, je ne serais pas long, j’ai simplement oublié mon téléphone.
— Oh mais entrez, faites comme chez vous ! Jeanne est encore sous la douche, je crois. Vous faites quoi ce week-end ?
— Pas grand-chose, ma femme est chez sa mère pour deux jours.
— Venez diner chez nous, samedi soir, me dit Paul.
— Non, je ne voudrais pas déranger…
— Mais puisque je vous invite ! Cela nous ferait plaisir, avec tout ce que vous faites pour Jeanne, nous vous devons bien ça !
S’il savait ce que je fais pour sa femme, ce cocu en rougirait jusqu’aux oreilles, mais je suppose qu’il pense simplement au fait que mes hommes ont fait de sa terrasse une priorité. J’accepte finalement.
Le lendemain, je sonne à la porte de Mme Allier à 19h15. J’ai mis pour l’occasion une chemise blanche et troqué mon short pour un pantalon bleu marine. Paul m’ouvre en short et chemisette.
— Jeanne ne devrait pas tarder, elle finit de se pomponner, c’est qu’elle est coquette ! Installons-nous dans le salon. Ça la fera venir.
— Je vous suis, monsieur Allier.
— Houlà, du calme, mon garçon, déjà, tu peux me tutoyer, ça me rajeunira, et puis appelle moi Paul, Jeanne et moi ne sommes pas mariés. Tu veux boire quelque chose ?
— D’accord… Paul, un Ricard, si tu as ?
— Un Ricard, c’est parti ! Ah chatte, tu es là. Mazette, tu t’es mise sur ton 31 ! j’ai l’air d’un plouc à côté de vous deux.
Jeanne descend l’escalier, montée sur des escarpins noirs. Elle porte des bas noirs attachés par un porte-jarretelle dont les attaches dépassent tellement sa jupe en cuir est courte. Le haut est un corset bustier à balconnet en dentelle noire des plus décolletés qui réhausse son imposante poitrine. Elle a mis le collier de cuir que je lui ai intimé de porter, et l’a dissimulé sous un élégant ruban noir. Elle n’a pas lésiné sur le maquillage, ce qui montre qu’elle a décidé de me séduire, ce soir. Et bien ma belle, tu veux jouer ? Alors jouons. Alors qu’elle s’avance pour me faire une bise discrète, je glisse une main sous sa jupe et caresses ses fesses. Je lui chuchote à l’oreille « tu es très bandante, j’ai envie de te sauter »
— Je suis à votre disposition, maître, réponds-elle docilement. Paul, qu’est-ce que c’est que ces boissons, nous avions dit champagne.
— Ah merde, j’ai oublié, c’est que Victor m’a demandé…
— Ne l’appelle pas comme ça, c’est Monsieur Maras, je suis sa cliente, je te rappelle.
— Ne vous inquiétez pas, Jeanne, je l’ai autorisé à m’appeler Victor. Je prendrais un champagne après, nous avons toute la soirée.
Jeanne est assise à côté de moi dans le canapé, Paul en face de nous. Dès qu’il a le dos tourné, j’en profite pour caresse les cuisses de ma soumise, qui ne se fais pas prier et les écartes volontiers.
— Chatte, vraiment ? je demande.
— C’est notre petit surnom, répond-elle gênée.
— Voyons si il est bien trouvé…
En effet, elle mouille abondamment et l’alcool ne va pas pour arranger les choses. Nous passons à table. L’ambiance est détendue, Jeanne apporte le plat, alors qu’elle se penche au-dessus de moi pour me servir, je glisse une main sous sa jupe et caresse ses lèvres humides, elle laisse échapper un cri, Paul ne se rend compte de rien. Elle s’assied à mon côté et me lance un regard de reproche. Pour toute réponse, je déboutonne mon pantalon et sors mon sexe tendu. Il faut dire que cette situation est des plus excitantes, avec le mari cocu juste sous mes yeux. Jeanne regarde mon sexe avec une horreur mêlée d’envie et me supplie de le ranger. Au contraire, je prends sa main et la pose dessus. Elle commence à me branler d’une main tout en mangeant de l’autre. La mienne va et vient entre ses cuisses ouvertes et sa jupe est relevée au maximum. Si seulement elle avait mis le plug que je lui ai offert, elle aurait gémi à chaque mouvement. Au bout d’un temps, j’en ai assez.
— Fini la veuve poignet, cocotte, fais-moi une pipe !
— Mais enfin… Paul !
— Trouve une excuse !
Jeanne fait tomber sa fourchette et disparait sous la table. Ses lères se referment sur mon gland, et je sens la chaleur de sa bouche et de sa langue délicieuse. Je poursuis ma conversation avec Paul, mais peine à me concentrer sur ce qu’il dit. Au bout d’un certain temps, il demande
— Jeanne, ma chatte chérie, qu’est-ce que tu fabriques ? tu as besoin d’aide pour ta fourchette ?
— Elle se relève, un filet de bave dégoulinant au coin de sa lèvre, la fourchette dans la main.
— Non, ça y est, je l’ai trouvée.
— J’étais au bord de l’orgasme… qui t’as dit d’arrêter ? Tu vas me le payer !
A la fin du repas, nous retournons au salon et prenons un café alors que la troisième bouteille de champagne se vide. Je décide alors de prendre congé de mes hôtes.
— Ah non, vous n’allez pas repartir ! Avec ce qui a été bu, c’est imprudent ! N’est-ce pas, Paul ?
— Elle a raison, vous n’allez pas conduire dans cet état.
— Restez donc pour la nuit, en plus, personne ne vous attend !
— Par contre, chatte, la chambre d’amis n’est pas disponible, le lit est en réparation.
— Ah mais c’est vrai, suis-je sotte ! j’avais complètement oublié.
— Ne vous inquiétez pas, je me contenterai du canapé !
— Oh non certainement pas, dit Jeanne
— Je te le déconseille vivement, ajouta Paul. J’y ai passé quelques nuits, lorsque Jeanne et moi étions fâchés, et mon dos s’en souvient encore. Notre lit est assez grand pour trois, ce n’est que l’affaire d’une nuit.
— Mais oui, nous nous serrerons un peu, ajoute-t-elle. En tout bien tout honneur !
— Si vous insistez !
— Oui, c’est pour le mieux. Pendant que vous finissez vos verres, je vais me changer, cette tenue n’est pas la plus… confortable.
Je suis un peu gêné de cette situation, mais je me dis que j’arriverai à en tirer profit, et puis, je trouve que l’alcool a bien dévergondé ma soumise qui se montre des plus entreprenantes. Elle redescendit vêtue d’une nuisette noire transparente.
— Venez, Victor, je vous montre la douche. Paul, veux-tu être bon de débarrasser ?
Nous montons à l’étage, elle me montre la salle de bain, qui comporte une douche ainsi qu’une baignoire.
— Je vais vous chercher une serviette.
— Pas si vite, dis-je en me collant à elle et en commençant à pétrir ses seins.
— Pas tout de suite, plus tard, douchez-vous vite, et revenez.
Je me douche en vitesse et redescend, je vois Jeanne à genoux, de dos, tandis que Paul béat est sur le canapé, son short baissé au niveau de ses genoux. Décidément, l’alcool a excité ma soumise, je remonte et fait du bruit avant de redescendre. Paul a eu le temps de se rhabiller et elle rougit devant mon regard sévère.
— On va au lit, dit-elle en me prenant la main. Toi, avant de nous rejoindre, range le salon, fais la vaisselle, ferme les volets et douche-toi aussi.
Nous montons. Elle ouvre le lit et retire sa nuisette. Elle est nue devant moi. Elle s’alonge sur le dos, bras en arrière, jambes écartées et me dit :
— Venez vite, maître, j’ai envie de vous !
Et moi aussi j’ai envie d’elle. Je retire mon T-shirt, fait glisser mon caleçon, et m’allonge sur le lit, la tête entre ses cuisses. Ma langue lèche son con humide, sinon détrempé de désir, et elle se laisse aller à glousser de satisfaction. Mes mains remontent, caressent son ventre et viennent enserrer sa poitrine ferme aux tétons érigés. Elle ondule sous mes caresses, je sens son orgasme monter.
— Non, arrêtez, maître, je ne veux pas jouir tout de suite, torturez-moi un peu, faites monter le désir.
J’arrête donc mon cunnilingus et me colle à elle. Mon sexe lubrifié de pré-sperme entre sans difficulté dans sa chatte trempée. Je me cale au fond de cette caverne humide. C’est délicieux.
— Mmm oui, maître, baisez-moi, je suis à vous, mais s’il vous plait, je ne veux pas que vous éjaculiez.
On entend dans la salle de bain, l’eau qui s’arrête de couler. Jeanne me demande de ressortir, elle s’allonge sur le côté, relève une jambe et me dit.
— Mettez-vous de côté derrière mois. Collez-vous à moi.
Je me mets derrière elle, en cuillère.
— C’est bien, maintenant, entrez en moi.
Je m’insère, elle serre les muscles de son plancher pelvien pour épouser la forme de mon sexe… C’est délicieux. Elle tire le drap pour cacher nos corps, baisse la lumière, la porte s’ouvre…
Paul entre nu. L’âge a laissé des traces sur son corps. Ventru, sa poitrine est couverte de poils blancs, ses pectoraux ne sont plus que deux seins qui pendent tristement sur son ventre, et son sexe disparaît presque complètement dans une toison grise fournie et mal entretenue. Il soulève le draps et s’allonge face à Jeanne. Il remarque qu’elle est nue elle aussi.
— Jeanne qu’est-ce que tu fais !
— Ne t’inquiète pas, je crois qu’il dort déjà comme un bébé. Occupe-toi plutôt de mes seins, mes bouts sont froids. Tu vois, il ne réagit même pas, je t’avais dit qu’il dormait.
Elle contracte les muscles de son périnée à intervalles réguliers et masse délicieusement mon pieu enfoncée en elle. Je ne bouge pas, et la tiens pas les hanches, pour ne pas qu’elle s’échappe et que je reste bien au fond d’elle.
— Jeanne tu as beaucoup trop bu. Qu’est-ce qui te prend ?
— Arrête de faire ta prude, dit-elle, je suis certain que tu aimes ça, de devoir le faire en cachette devant un inconnu.
Elle glisse une main entre les cuisses de son ami.
— Mais Paul, tu bandes ! Incroyable, je le savais ! Mmm coquin, caresse mon ventre, pendant que Victor s’occupe de mes seins.
Elle prend ma main de sa hanche et la pose sur son sein..
— Tenez, un téton qui a froid, oui, voilà, sentez comme il est dur.
Je fais mine de bouger dans mon sommeil, pince le téton et malaxe ce sein qui m’est offert, sous les yeux ébahis de Paul.
— Mais c’est que notre hôte est somnambule, on dirait, dit-elle. Mmm c’est bien Paul, comme ça, caresse mon ventre, oui, c’est bon…
Elle serre un peu plus les cuisses sur mon sexe, je suis sur le point de faire valser la couette et de la prendre sauvagement, là, devant lui.
— Mmm oui, un peu plus bas, vois comme je suis trempée…
Paul obéit, et ses caresses descende vers le mont de Vénus glabre de ma soumise et comme elle relève un peu la jambe, il atteint son clitoris gorgé de plaisir. Elle gémit, je m’enfonce un peu plus en elle. Il tente de glisser un doigt entre ses lèvres, et alors, il sent mon sexe en elle.
— Mais, mais…
Il comprend tout à coup. Il reste de marbre. C’est finalement Jeanne qui rompt le silence.
— Je n’en peux plus, baisez-moi, Monsieur Maras, oui, prenez-moi, et toi Paul, branle-toi en nous regardant !
Je ne me laisse pas prier. Je relève les cuisses de Jeanne d’une main et m’enfonce profondément d’un mouvement de bassin, elle lâche un cri de plaisir, alors que déjà, je la pilonne avec vigueur. Paul, toujours estomaqué, ne se rend pas compte que sa main va et vient sur son sexe bandé.
— C’est ça, branle-toi, vieux pervers, et regarde comme je baise ta Chatte. Je vais lui donne ce qu’elle mérite et te montrer ce que c’est qu’un femme prise et qui jouit. A quatre pattes !
Jeanne s’exécute et me présente ses fesses larges et rebondies. Je les claque brutalement et les fait rougir, avant de la prendre par les hanches et de m’enfoncer en elle. Mes couilles claquent sur ses lèvres alors que je la besogne virilement. Elle regarde Paul dans les yeux, ses seins ballonnant au rythme de mes coups de reins.
— Regardes-bien, Paul, regardes comme il me baise ! Je suis sa chienne, sa chose, il fait ce qu’il veut de moi… Mmm je sens l’orgasme monter, je vais jouir, oh ouiiiii putain ce que c’est bon de se faire baiser par un étalon.
C’en est trop pour Paul qui ne peut plus se retenir et jouit dans sa main en même temps que son amante. Un jet vient s’écraser sur la joue de ma soumise qui le balaye d’un doigt qu’elle porte ensuite à sa bouche. Sa chatte dégouline de mouille le long de ses cuisses et vient tremper les draps. Je sens que moi aussi je ne vais pas tarder. J’enfonce mon pouce dans son fondement et accélère mes va et vient.
— Mmm oui, regardes Paul, regardes comme il me prépare le petit trou, il m’a enculée, l’autre jour, tu te rends compte ? Ce n’est pas toi qui en serais capable.
— Fermes ta gueule, salope et encaisse, je vais tout décharger dans ta chatte !
— Mmm oui, comme ça c’est bon, remplis-moi, remplis-moi, je suis ta truie bonne pour une saillie.
Elle contracte à nouveau les parois souples de son vagin et c’en est trop pour moi, j’éjacule à grandes giclées de foutre en elle alors qu’elle jouis de nouveau.
— C’est bien, chienne. Maintenant viens m’astiquer la bite. Et toi, Paul, occupes toi de lui nettoyer le minou.
— Quoi ? Comment, mais vous venez de…
— Fermes ta gueule et obéis, si tu ne veux pas que je te force à me lustrer le dard !
Dégoûté mais résigné, Paul s’agenouille alors que Jeanne vient se placer au-dessus de la tête, cuisses écartées. Elle dégouline abondamment du mélange de nos humeurs, et Paul lappe consciencieusement jusqu’à la dernière goutte de liquide qui sort de la chatte de sa Chatte. Il lui nettoie ensuite les cuisses.
— Va te rincer la bouche, maintenant, et rejoins-nous. Il est temps de dormir.
— Alors, comment as-tu apprécié ta première expérience exhibitionniste et ta première séance de baise en public.
— Je… Je ne pensais pas y prendre autant de plaisir. C’est à la fois dégradant, mais aussi gratifiant de voir mon corps ainsi exposé, et terriblement excitant.
— C’est bien, je vois que ton éducation est sur la bonne voie.
— C’est-à-dire que… c’est tellement plus simple de savoir que toutes les décisions sont entre vos mains, maître. Je n’ai rien à penser, rien à décider, juste à obéir et profiter de l’instant présent.
— Et c’est là même le fondement de la soumission. Ton maître sait ce qui est bon pour toi et il n’ira jamais au-delà de tes limites. A ce propos, nous n’avons jamais défini de safe word.
— Qu’est-ce que c’est ?
— Un mot, connu de nous seul, qui me fera savoir qu’une situation dépasse ta tolérance, ou alors que tu ne te sens pas confortable à faire telle action ou à rester dans telle situation.
— Ah oui. C’est bien. Très important même.
— C’est nécessaire. Que proposes-tu ?
— Et bien, je dirais… Que pensez-vous de « rôti » ? Car c’est en me brûlant sur ce satané rôti au four que nous nous sommes… rapprochés.
— C’est un très bon choix, dis-je en souriant. Va pour rôti.
— Maître ?
— Oui Jeanne ?
— Je dois vous avouer une chose…
— Dis-moi. Tu peux tout me dire, tu sais. Il n’y a pas de jugement entre nous.
— Tout à l’heure… la bite du jeune vendeur… Elle était si petite… je n’ai rien senti.
— Je sais, et cela fait partie de ton éducation. Je voulais que tu saches que je vais de donner à des dizaines, peut être des centaines d’hommes. Et ton rôle sera de leur vider les couilles, quelle que soit la taille de celles-ci ou de leur sexe. Tu comprends ?
— Oui. Mais c’est à cause de Diego, je crois. Sa bite est tellement grande… elle m’a complètement dilatée. Le pauvre rouquin ne touchait pas les bords. D’ailleurs…
Elle plonge une main entre ses cuisses et en retire le préservatif que le vendeur avait perdu à l’intérieur. Heureusement, il est vide.
— Ne t’inquiète pas pour lui, il a eu sa dose de plaisir. Et cette femme, tu as aimé lui bouffer la chatte ?
— Pas trop. Pour tout vous dire, j’aime surtout les bites. Les bites poilues comme la vôtre.
Nous arrivons devant chez elle. Elle est toujours dans la tenue de cuir en latex, ses seins ouverts. C’est la fin d’après-midi, et même si elle se trouve au bout de l’allée, un voisin pourrait la surprendre dans cette tenue. Elle traverse en vitesse l’espace qui sépare ma voiture de sa porte d’entrée. Je la suis, emportant avec moi le reste de nos achats.
— Tu peux aller te doucher. Et savonne-toi bien, tu es une véritable souillon, tu sens la bite, la chatte et l’urine à deux mètres à la ronde. A partir de maintenant, je vais prendre ton joli collier de perles, et le remplacer par le collier en cuir avec l’anneau qui marque ton appartenance. Tu devras le porter tous les jours, toute la journée. Je t’autorise à le retirer le soir en te couchant. C’est tout.
— Mais…
— Pas de mais.
— Au travail aussi ?
— A part si tu travailles la nuit dans ton lit, oui. Je ne comprends pas… ma demande n’était pas assez claire peut-être ? Préfères-tu que je fasse entrer cette idée dans ton crâne de chienne d’une manière plus…. Brutale ?
— Non maître, il n’en est nul besoin. Je ferais comme vous avez demandé, maître.
— C’est bien. Allez, files maintenant. Je reviendrais lundi avec le reste de mes employés.
— Avec Diego ?
Je perçois l’envie dans ses yeux et une lueur de désir brille dans sa pupille.
— Peut-être.
— Dites, à propos de Diego…
— Oui ?
— Aura-t-il le droit de me baiser à nouveau ? Je suis restée sur ma faim, tout à l’heure.
— Nous verrons, si tu es sage.
— Je serais sage comme une image.
— Allez, files maintenant. Ah oui j’oubliais.
— Quoi ?
— Tu as interdiction de te toucher, ni de te faire baiser par qui que ce soit pendant le week-end. Si Paul a envie, tu droit trouver un moyen de le soulager sans le laisser te toucher, c’est bien clair ? Tu es à moi, maintenant. A moi seul.
— Ne vous inquiétez pas, maître, Paul n’a jamais envie.
Je souris et m’en vais chercher Diego pour le raccompagner chez ma sœur.
Alors que je le dépose, je me rends compte que j’ai oublié mon téléphone chez Mme Allier. Je fais demi-tour et gare ma camionnette dans l’allée. La voiture de Paul est déjà garée. Je frappe à la porte. Il m’ouvre.
— M. Maras, quel bonheur de vous revoir, que nous vaut l’honneur de votre visite.
— Désolé de vous déranger, je ne serais pas long, j’ai simplement oublié mon téléphone.
— Oh mais entrez, faites comme chez vous ! Jeanne est encore sous la douche, je crois. Vous faites quoi ce week-end ?
— Pas grand-chose, ma femme est chez sa mère pour deux jours.
— Venez diner chez nous, samedi soir, me dit Paul.
— Non, je ne voudrais pas déranger…
— Mais puisque je vous invite ! Cela nous ferait plaisir, avec tout ce que vous faites pour Jeanne, nous vous devons bien ça !
S’il savait ce que je fais pour sa femme, ce cocu en rougirait jusqu’aux oreilles, mais je suppose qu’il pense simplement au fait que mes hommes ont fait de sa terrasse une priorité. J’accepte finalement.
Le lendemain, je sonne à la porte de Mme Allier à 19h15. J’ai mis pour l’occasion une chemise blanche et troqué mon short pour un pantalon bleu marine. Paul m’ouvre en short et chemisette.
— Jeanne ne devrait pas tarder, elle finit de se pomponner, c’est qu’elle est coquette ! Installons-nous dans le salon. Ça la fera venir.
— Je vous suis, monsieur Allier.
— Houlà, du calme, mon garçon, déjà, tu peux me tutoyer, ça me rajeunira, et puis appelle moi Paul, Jeanne et moi ne sommes pas mariés. Tu veux boire quelque chose ?
— D’accord… Paul, un Ricard, si tu as ?
— Un Ricard, c’est parti ! Ah chatte, tu es là. Mazette, tu t’es mise sur ton 31 ! j’ai l’air d’un plouc à côté de vous deux.
Jeanne descend l’escalier, montée sur des escarpins noirs. Elle porte des bas noirs attachés par un porte-jarretelle dont les attaches dépassent tellement sa jupe en cuir est courte. Le haut est un corset bustier à balconnet en dentelle noire des plus décolletés qui réhausse son imposante poitrine. Elle a mis le collier de cuir que je lui ai intimé de porter, et l’a dissimulé sous un élégant ruban noir. Elle n’a pas lésiné sur le maquillage, ce qui montre qu’elle a décidé de me séduire, ce soir. Et bien ma belle, tu veux jouer ? Alors jouons. Alors qu’elle s’avance pour me faire une bise discrète, je glisse une main sous sa jupe et caresses ses fesses. Je lui chuchote à l’oreille « tu es très bandante, j’ai envie de te sauter »
— Je suis à votre disposition, maître, réponds-elle docilement. Paul, qu’est-ce que c’est que ces boissons, nous avions dit champagne.
— Ah merde, j’ai oublié, c’est que Victor m’a demandé…
— Ne l’appelle pas comme ça, c’est Monsieur Maras, je suis sa cliente, je te rappelle.
— Ne vous inquiétez pas, Jeanne, je l’ai autorisé à m’appeler Victor. Je prendrais un champagne après, nous avons toute la soirée.
Jeanne est assise à côté de moi dans le canapé, Paul en face de nous. Dès qu’il a le dos tourné, j’en profite pour caresse les cuisses de ma soumise, qui ne se fais pas prier et les écartes volontiers.
— Chatte, vraiment ? je demande.
— C’est notre petit surnom, répond-elle gênée.
— Voyons si il est bien trouvé…
En effet, elle mouille abondamment et l’alcool ne va pas pour arranger les choses. Nous passons à table. L’ambiance est détendue, Jeanne apporte le plat, alors qu’elle se penche au-dessus de moi pour me servir, je glisse une main sous sa jupe et caresse ses lèvres humides, elle laisse échapper un cri, Paul ne se rend compte de rien. Elle s’assied à mon côté et me lance un regard de reproche. Pour toute réponse, je déboutonne mon pantalon et sors mon sexe tendu. Il faut dire que cette situation est des plus excitantes, avec le mari cocu juste sous mes yeux. Jeanne regarde mon sexe avec une horreur mêlée d’envie et me supplie de le ranger. Au contraire, je prends sa main et la pose dessus. Elle commence à me branler d’une main tout en mangeant de l’autre. La mienne va et vient entre ses cuisses ouvertes et sa jupe est relevée au maximum. Si seulement elle avait mis le plug que je lui ai offert, elle aurait gémi à chaque mouvement. Au bout d’un temps, j’en ai assez.
— Fini la veuve poignet, cocotte, fais-moi une pipe !
— Mais enfin… Paul !
— Trouve une excuse !
Jeanne fait tomber sa fourchette et disparait sous la table. Ses lères se referment sur mon gland, et je sens la chaleur de sa bouche et de sa langue délicieuse. Je poursuis ma conversation avec Paul, mais peine à me concentrer sur ce qu’il dit. Au bout d’un certain temps, il demande
— Jeanne, ma chatte chérie, qu’est-ce que tu fabriques ? tu as besoin d’aide pour ta fourchette ?
— Elle se relève, un filet de bave dégoulinant au coin de sa lèvre, la fourchette dans la main.
— Non, ça y est, je l’ai trouvée.
— J’étais au bord de l’orgasme… qui t’as dit d’arrêter ? Tu vas me le payer !
A la fin du repas, nous retournons au salon et prenons un café alors que la troisième bouteille de champagne se vide. Je décide alors de prendre congé de mes hôtes.
— Ah non, vous n’allez pas repartir ! Avec ce qui a été bu, c’est imprudent ! N’est-ce pas, Paul ?
— Elle a raison, vous n’allez pas conduire dans cet état.
— Restez donc pour la nuit, en plus, personne ne vous attend !
— Par contre, chatte, la chambre d’amis n’est pas disponible, le lit est en réparation.
— Ah mais c’est vrai, suis-je sotte ! j’avais complètement oublié.
— Ne vous inquiétez pas, je me contenterai du canapé !
— Oh non certainement pas, dit Jeanne
— Je te le déconseille vivement, ajouta Paul. J’y ai passé quelques nuits, lorsque Jeanne et moi étions fâchés, et mon dos s’en souvient encore. Notre lit est assez grand pour trois, ce n’est que l’affaire d’une nuit.
— Mais oui, nous nous serrerons un peu, ajoute-t-elle. En tout bien tout honneur !
— Si vous insistez !
— Oui, c’est pour le mieux. Pendant que vous finissez vos verres, je vais me changer, cette tenue n’est pas la plus… confortable.
Je suis un peu gêné de cette situation, mais je me dis que j’arriverai à en tirer profit, et puis, je trouve que l’alcool a bien dévergondé ma soumise qui se montre des plus entreprenantes. Elle redescendit vêtue d’une nuisette noire transparente.
— Venez, Victor, je vous montre la douche. Paul, veux-tu être bon de débarrasser ?
Nous montons à l’étage, elle me montre la salle de bain, qui comporte une douche ainsi qu’une baignoire.
— Je vais vous chercher une serviette.
— Pas si vite, dis-je en me collant à elle et en commençant à pétrir ses seins.
— Pas tout de suite, plus tard, douchez-vous vite, et revenez.
Je me douche en vitesse et redescend, je vois Jeanne à genoux, de dos, tandis que Paul béat est sur le canapé, son short baissé au niveau de ses genoux. Décidément, l’alcool a excité ma soumise, je remonte et fait du bruit avant de redescendre. Paul a eu le temps de se rhabiller et elle rougit devant mon regard sévère.
— On va au lit, dit-elle en me prenant la main. Toi, avant de nous rejoindre, range le salon, fais la vaisselle, ferme les volets et douche-toi aussi.
Nous montons. Elle ouvre le lit et retire sa nuisette. Elle est nue devant moi. Elle s’alonge sur le dos, bras en arrière, jambes écartées et me dit :
— Venez vite, maître, j’ai envie de vous !
Et moi aussi j’ai envie d’elle. Je retire mon T-shirt, fait glisser mon caleçon, et m’allonge sur le lit, la tête entre ses cuisses. Ma langue lèche son con humide, sinon détrempé de désir, et elle se laisse aller à glousser de satisfaction. Mes mains remontent, caressent son ventre et viennent enserrer sa poitrine ferme aux tétons érigés. Elle ondule sous mes caresses, je sens son orgasme monter.
— Non, arrêtez, maître, je ne veux pas jouir tout de suite, torturez-moi un peu, faites monter le désir.
J’arrête donc mon cunnilingus et me colle à elle. Mon sexe lubrifié de pré-sperme entre sans difficulté dans sa chatte trempée. Je me cale au fond de cette caverne humide. C’est délicieux.
— Mmm oui, maître, baisez-moi, je suis à vous, mais s’il vous plait, je ne veux pas que vous éjaculiez.
On entend dans la salle de bain, l’eau qui s’arrête de couler. Jeanne me demande de ressortir, elle s’allonge sur le côté, relève une jambe et me dit.
— Mettez-vous de côté derrière mois. Collez-vous à moi.
Je me mets derrière elle, en cuillère.
— C’est bien, maintenant, entrez en moi.
Je m’insère, elle serre les muscles de son plancher pelvien pour épouser la forme de mon sexe… C’est délicieux. Elle tire le drap pour cacher nos corps, baisse la lumière, la porte s’ouvre…
Paul entre nu. L’âge a laissé des traces sur son corps. Ventru, sa poitrine est couverte de poils blancs, ses pectoraux ne sont plus que deux seins qui pendent tristement sur son ventre, et son sexe disparaît presque complètement dans une toison grise fournie et mal entretenue. Il soulève le draps et s’allonge face à Jeanne. Il remarque qu’elle est nue elle aussi.
— Jeanne qu’est-ce que tu fais !
— Ne t’inquiète pas, je crois qu’il dort déjà comme un bébé. Occupe-toi plutôt de mes seins, mes bouts sont froids. Tu vois, il ne réagit même pas, je t’avais dit qu’il dormait.
Elle contracte les muscles de son périnée à intervalles réguliers et masse délicieusement mon pieu enfoncée en elle. Je ne bouge pas, et la tiens pas les hanches, pour ne pas qu’elle s’échappe et que je reste bien au fond d’elle.
— Jeanne tu as beaucoup trop bu. Qu’est-ce qui te prend ?
— Arrête de faire ta prude, dit-elle, je suis certain que tu aimes ça, de devoir le faire en cachette devant un inconnu.
Elle glisse une main entre les cuisses de son ami.
— Mais Paul, tu bandes ! Incroyable, je le savais ! Mmm coquin, caresse mon ventre, pendant que Victor s’occupe de mes seins.
Elle prend ma main de sa hanche et la pose sur son sein..
— Tenez, un téton qui a froid, oui, voilà, sentez comme il est dur.
Je fais mine de bouger dans mon sommeil, pince le téton et malaxe ce sein qui m’est offert, sous les yeux ébahis de Paul.
— Mais c’est que notre hôte est somnambule, on dirait, dit-elle. Mmm c’est bien Paul, comme ça, caresse mon ventre, oui, c’est bon…
Elle serre un peu plus les cuisses sur mon sexe, je suis sur le point de faire valser la couette et de la prendre sauvagement, là, devant lui.
— Mmm oui, un peu plus bas, vois comme je suis trempée…
Paul obéit, et ses caresses descende vers le mont de Vénus glabre de ma soumise et comme elle relève un peu la jambe, il atteint son clitoris gorgé de plaisir. Elle gémit, je m’enfonce un peu plus en elle. Il tente de glisser un doigt entre ses lèvres, et alors, il sent mon sexe en elle.
— Mais, mais…
Il comprend tout à coup. Il reste de marbre. C’est finalement Jeanne qui rompt le silence.
— Je n’en peux plus, baisez-moi, Monsieur Maras, oui, prenez-moi, et toi Paul, branle-toi en nous regardant !
Je ne me laisse pas prier. Je relève les cuisses de Jeanne d’une main et m’enfonce profondément d’un mouvement de bassin, elle lâche un cri de plaisir, alors que déjà, je la pilonne avec vigueur. Paul, toujours estomaqué, ne se rend pas compte que sa main va et vient sur son sexe bandé.
— C’est ça, branle-toi, vieux pervers, et regarde comme je baise ta Chatte. Je vais lui donne ce qu’elle mérite et te montrer ce que c’est qu’un femme prise et qui jouit. A quatre pattes !
Jeanne s’exécute et me présente ses fesses larges et rebondies. Je les claque brutalement et les fait rougir, avant de la prendre par les hanches et de m’enfoncer en elle. Mes couilles claquent sur ses lèvres alors que je la besogne virilement. Elle regarde Paul dans les yeux, ses seins ballonnant au rythme de mes coups de reins.
— Regardes-bien, Paul, regardes comme il me baise ! Je suis sa chienne, sa chose, il fait ce qu’il veut de moi… Mmm je sens l’orgasme monter, je vais jouir, oh ouiiiii putain ce que c’est bon de se faire baiser par un étalon.
C’en est trop pour Paul qui ne peut plus se retenir et jouit dans sa main en même temps que son amante. Un jet vient s’écraser sur la joue de ma soumise qui le balaye d’un doigt qu’elle porte ensuite à sa bouche. Sa chatte dégouline de mouille le long de ses cuisses et vient tremper les draps. Je sens que moi aussi je ne vais pas tarder. J’enfonce mon pouce dans son fondement et accélère mes va et vient.
— Mmm oui, regardes Paul, regardes comme il me prépare le petit trou, il m’a enculée, l’autre jour, tu te rends compte ? Ce n’est pas toi qui en serais capable.
— Fermes ta gueule, salope et encaisse, je vais tout décharger dans ta chatte !
— Mmm oui, comme ça c’est bon, remplis-moi, remplis-moi, je suis ta truie bonne pour une saillie.
Elle contracte à nouveau les parois souples de son vagin et c’en est trop pour moi, j’éjacule à grandes giclées de foutre en elle alors qu’elle jouis de nouveau.
— C’est bien, chienne. Maintenant viens m’astiquer la bite. Et toi, Paul, occupes toi de lui nettoyer le minou.
— Quoi ? Comment, mais vous venez de…
— Fermes ta gueule et obéis, si tu ne veux pas que je te force à me lustrer le dard !
Dégoûté mais résigné, Paul s’agenouille alors que Jeanne vient se placer au-dessus de la tête, cuisses écartées. Elle dégouline abondamment du mélange de nos humeurs, et Paul lappe consciencieusement jusqu’à la dernière goutte de liquide qui sort de la chatte de sa Chatte. Il lui nettoie ensuite les cuisses.
— Va te rincer la bouche, maintenant, et rejoins-nous. Il est temps de dormir.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Alors personnelement jaime moi beaucoup la tournure des evenements. Je trouve bien que le mari se soumette aussi. L'humiliation qu'ils ressentieront ne sera que plus grande si elle est partagée entre le couple.
Chère lectrice, merci de votre retour, et de partager votre avis aussi tranché soit-il. Je suis navré que la tournure des évènements vous déplaise, mais je suis à l'écoute et ouvert pour discuter si vous le souhaitez, d'une approche qui conviendrai davantage à vos fantasmes, n'hésitez donc pas à m'écrire. Bonne journée
Calmez vous vous ne savez pas encore où l’histoire va aller
Encore 1 histoire de cocu content qui finira avec 1 bite en cage, sa femme sera pretée à tout le quartier comme 1 pute et non 1 soumise le tout sans capotes !!!
Décidement question imagination c'est toujours pareil : cocu content ou cocu soumis et la femme se laisse marcher dessus.
Elle se plaint de son mari mais au lieu de se plaindre elle tape du poing sur la table ou elle divorce !!! Ah beh non elle préfère le confort offert par le pognon de son mari le tout assaisoné d'un pseudo dominant !!!!
Décidement question imagination c'est toujours pareil : cocu content ou cocu soumis et la femme se laisse marcher dessus.
Elle se plaint de son mari mais au lieu de se plaindre elle tape du poing sur la table ou elle divorce !!! Ah beh non elle préfère le confort offert par le pognon de son mari le tout assaisoné d'un pseudo dominant !!!!