De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (7)

- Par l'auteur HDS Marcs75 -
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Récit libertin : De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De bourgoise à souillon - Ma rencontre avec Jeanne (7)
Je suis allongé sur un matelas en mousse qui ne doit pas mesure plus de cinq centimètres d’épaisseur. J’essaye de m’étirer mes mains sont liées dans mon dos. Mon cœur s’accélère, une goutte de sueur perle sur ma tempe. Comment ai-je pu en arriver là. Je tire sur mes liens. Peine perdue. Je regarde la pièce autour de moi. C’est une cave sombre, un soupirail laisse filtrer la lumière de la pleine lune. Les murs de bétons sont nus. Une mare d’eau stagnante occupe un coin de la pièce. Est-ce seulement de l’eau ? J’entends les couinements d’un rongeur qui rôle autour de moi. CLIC. Un rai de lumière filtre par la porte. Des bruits de pas descendent l’escalier. Lourds, pesés. Mon tortionnaire semble prendre tout son temps avant de se révéler à moi. Mon angoisse grandit. Je regarde mon entrejambe et me rends compte que je suis nu comme un ver. La porte s’ouvre. La silhouette empâtée de Paul se révèle à moi. Son visage est barré d’un sourire carnassier. Merde ! il se plante face à moi, pose ses mains sur ses hanches, son ventre proéminent projeté en avant.
— Bonjour, Victor, je vois que tu es réveillé, petite merde !

Je me réveille en sursaut, trempé de sueur. Jeanne, nue, me tourne le dos. Paul est allongé sur le sien, son visage pris dans le masque qu’il porte la nuit pour lutter contre l’apnée du sommeil. Je m’assieds sur le bord du lit, laisse quelques secondes à mon palpitant pour calmer son rythme infernal et prends mon téléphone. 4h00. Je vais prendre une douche. L’eau tiède me remet les idées en place. Quel rêve atroce ! Je me sèche en vitesse et retourne dans la chambre. La couette a glissé sur le côté, dévoilant à ma vue les fesses laiteuses de Jeanne dans le clair de lune. Cela me donne des idées. Je porte mon index à ma bouche, l’humecte, écarte les fesses de ma soumise, et l’insère dans son con endormi. Toujours dans les bras de Morphée, son périnée est relâché, et je m’introduis aisément. Je masse en cercles réguliers les parois souples de son vagin qui s’humidifie rapidement et se dilate sous mes caresses. Mon majeur s’invite à la fête et s’introduit à son tour. Jeanne gémit dans son sommeil. Mon excitation est à son comble. Je crache dans ma main et tartine mon sexe de salive et le présente à l’entrée de son con qui dégouline déjà de désir. Je pouce et mon gland violacé disparait entre ses lèvres glabres et rosée. Je m’enfonce un peu plus, ce qui a pour effet de réveiller ma soumise.
— Mmm ? qu’est-ce que… houuuuuu…. Qu’est-ce que tu fais ?
— Depuis quand est-ce que tu me tutoie, chienne ? Dis-je en la récompensant d’une fessée qui imprime la marque de mes doigts en rouge sur son cul blanc.
— OH mais c’est bon, ça… mmm c’est tout serré…
— T’inquiètes, je vais bien te démonter, salope, je vais te faire couiner comme une truie !
Sur ce je m’enfonce un peu plus profondément en elle. Ma préparation a beau aider, sa chatte souple se dilate et épouse la forme de mon sexe veineux et Mme Allier peine à réprimer ses cris de douleurs sous les coups de butoir de ma queue.
— Oh putain ce qu’elle est grosse je la sens me remplir… doucement, maitre, ménagez-moi.
— Oh que non, je ne vais pas te ménager, je vais te besogner comme tu le mérites ! Regarde-moi ton cocu de mari avec sa machinerie infernale, il fait peine à voir. Suce-le pendant que je te baise !
— Oui maitre, tout de suite maitre.
Elle prend en main le sexe de Paul et commence à l’astiquer et mettre le gland en bouche. Elle est à quatre pattes sur le lit, moi à genoux derrière elle. Je me relève, et me met sur mes pieds, et m’accroupis pour la dominer entièrement et pouvoir m’enfoncer plus profondément en elle. Mes couilles claquent contre sa chatte, et chaque fois que je m’enfonce en elle, je tire ses hanches vers moi pour l’enculer du mieux possible. Elle beugle son plaisir à en réveiller Paul, alors je pousse sa tête sur la bite de son ami pour la faire taire. Ses cris sont étouffés dans la broussaille grise entourant la queue fripée qui peine à se dresser. Il se réveille dans un ronflement et arrache le masque de son visage.
— Jeanne qu’est-ce que tu fais ?
— Tu ne vois pas ce qu’elle fait, pauvre idiot ? Elle te suce pendant que je la démonte ! Putain c’est bon, elle a un bon cul de salope, ta femme, une chatte bien chaude et accueillante !
— Ooooh putain vous me déchirez, maître, mais qu’est-ce que c’est bon, je sens que je coule de bonheur.
— Ta gueule et suce le ce pauvre cocu, il a du mal à se réveiller.
Le sexe de Paul se décide finalement à sortir de sa torpeur sous les coups de langue de Jeanne.
— Mmm c’est bon chatte, j’adore ce réveil, dit-il.
— Si tu crois que tu vas y avoir le droit tous les matins, tu te trompes, mon pauvre. Ce n’est qu’un cadeau que je te fais pour sceller le fait que je te prends ta femme.
— Ce n’est pas ma femme.
Laissant Paul à ses réflexions, je me concentre sur ma soumise. Je vois ses gros seins balloter au rythme de mes coups de rein, et cela m’excite énormément. Je sens que la sauce ne va pas tarder à monter, aussi intensifié-je mes mouvements pour que ma salope jouisse en même temps que moi.
— Maitre, je sens que ça vient…
— Laisse-toi aller, ma belle, je vais jouir dans ta chatte, moi aussi.
Je la besogne de toutes mes forces et je la sens traversée d’un orgasme fulgurant en même temps que je me vide en elle.
— MMM c’est bon je jouis, je jouis mon dieu.
C’en est trop pour Paul qui se déverse sur le visage et dans la bouche de Jeanne à son tour.
— Oh putain, chatte, qu’est-ce que tu suce bien….
Nous finissons notre orgasme collectif et reprenons notre souffle. Je vais le tour du lit et présente mon sexe à Paul.
— Nettoie-le.
— Mais… enfin…
— Ta gueule, connard ! Je te signale que je t’ai laissé jouir dans la bouche de ma pute, donc ne fais pas ta mijaurée.
— Je.. je ne suis pas gay.
— Ça tombe bien, moi non plus.
Je prends ta tête et enfonce ma bite dans sa bouche. Il a un haut le cœur. Il tente de résister mais finit par se résigner. Je sens sa langue lapper les restes de semence mélangées au jus de ma soumise. Il semble apprécier et commence même à me sucer le gland. Je l’interromps.
— Oh, je ne t’ai pas demandé de prendre du plaisir non plus, va nettoyer le con de Jeanne, maintenant.
Elle se met à quatre pattes et lui présente son postérieur ouvert et suintant de sperme.
— Non, pas comme ça. Paul, allonge-toi sur le sol, et Jeanne, assied-toi sur lui.
Ils s’exécutent. Paul s’allonge et elle lui présente son cul.
— Nettoie-bien tout. Même dedans. Et lèche-lui le cul, aussi, je suis certain qu’elle aime ça.
La langue de Paul collecte les humeurs de ma soumise et les nettoie jusqu’à la dernière goutte. Mme Allier gémit sous les caresses de son ami qui lui récure la chatte et lui titille le fondement. Une fois propre, nous nous recouchons tous les trois dans le grand lit et je sombre immédiatement dans un sommeil sans rêve.

Je suis réveillé par la caresse des rayons du soleil sur mon corps. Jeanne dort à côté de moi, nue, un sourire béat sur son visage endormi. Paul a disparu mais j’entends des bruits provenant du rez-de chaussée. Je réveille ma soumise.
— Réveille-toi, soumise, j’ai envie de pisser.
— Que… quoi ? répond-t-elle dans un demi-sommeil.
— Allez ! files dans la douche.
Elle se lève tant bien que mal et me suit dans la salle de bain. Je lui demande de s’agenouiller dans le bac de douche.
— Qu’est-ce que vous comptez faire, maître ?
— Rien de plus que de te rappeler ta condition, soumise. Tu vas me servir d’urinoir, ce matin.
Je dirige le jet tiède sur ses seins et les arrose à tour de rôle. Les tétons de Jeanne se dressent sous le contact du liquide doré. Je l’hydrate ainsi pendant près d’une minute, elle se laisse faire, complètement livrée à mes désirs. Lorsque j’en termine je la relève et l’embrasse à pleine bouche.
— C’est bien. Tu es sage, docile. J’ai de grands projets pour toi. Lave—moi, maintenant.
— Oui, maître.

Une fois propres, nous descendons à la cuisine. Paul a fait chauffer le café et beurré les tartines pour trois. Jeanne, nue, arbore fièrement son collier de cuir, témoin de son appartenance. Je questionne Paul.
— Pourquoi as-tu mis trois assiettes ?
— Je pensais que… tu déjeunerais avec nous, non ?
— Bien sûr que si, mais je ne pense pas que Jeanne souhaitera manger à table, n’est-ce pas, chienne ?
Jeanne semble surprise, mais comprends ce que je veux dire.
— Je… non… bien sûr que non, je ne pense pas mériter ce privilège.
— Bien. Mets-toi à quatre pattes. Où ai-je mis ta laisse.
Je sors la laisse de ma poche et l’accroche à l’anneau du collier de Jeanne. Je la fais marcher ainsi dans le salon sous le regard ébahi de Paul. Je décide de clarifier les choses.
— Voilà, Jeanne est ma soumise désormais. Elle a accepté d’obéir au moindre de mes désirs. A partir d’aujourd’hui, je suis son seul et unique maître. Cela signifie que tu n’auras plus le droit de la toucher sans mon consentement. Est-ce que c’est clair ?
— On ne peut plus clair, répondit-il, sans sembler réellement comprendre la portée de mes propos.
— Bien. Il est possible que je fasse venir ici des hommes pour la baiser à tour de rôle. Tu pourras rester et regarder aussi, mais tu n’auras pas de droit de la toucher. Sauf si te t’y autorise, d’accord ?
— Entendu.
— Aussi, je veux que tu tiennes la maison. En tant que soumise, Jeanne n’aura plus le temps de s’occuper des taches ménagères. Ce sera ton rôle. Compris ?
— Je m’y plierai selon vos désirs.
— Une dernière chose. Comme tu l’as si bien fait hier et cette nuit, je souhaite que tu nous nettoie après chaque partie de baise. Tu seras notre petite fée du logis et tu prendras bien soin de maintenir nos sexes propres à tout moment. Si nous hôtes le souhaitent également, tu devras les nettoyer eux aussi. Me suis-je bien fait comprendre ?
Cette dernière partie semble ne pas plaire à Paul mais il l’accepte finalement. Je ne pensais pas le faire plier si facilement. Au fond, peut-être rêvait-il lui aussi d’être soumis à un mâle dominant.
— Bien, donne une gamelle à ma chienne, je crois qu’elle a soif. A table, les folies de cette nuit m’ont ouvert l’appétit !
Je fais déambuler Madame Allier à quatre pattes dans le salon sous le regard ébahi de Paul. Je lui flatte la croupe d’une tape légère, et la place face à la gamelle.
— Bon appétit, chienne. Paul et moi allons déjeuner. Si tu es sage, nous te laisserons lécher nos assiettes.
Nous déjeunons en silence, Paul me regarde à moitié terrorisé, ne sachant trop comment initier la conversation.
— Donc… vous… vous comptez vous installer ici, m…m…maître ?
— Non. Mais je compte passer régulièrement m’occuper de ma soumise. Car ce n’est pas toi avec ta demi-molle tout fripée qui risque de la satisfaire. Jeanne est une salope, une véritable chienne nymphomane qui a de gros besoins, et je vais m’occuper de les satisfaire. N’est-ce pas, Jeanne.
— Oui, maitre.
Le déjeuner terminé, je balade ma soumise dans le salon. Elle me dit.
— Maître ! j’ai une demande à vous faire
— Oui ?
— J’ai la vessie pleine, je sens que je ne vais plus tenir. Pouvez-vous me libérer pour aller aux toilettes.
— Tu n’as pas besoin de toilettes, tu es une vraie chienne. Viens, allons dans le jardin où tu pourras te soulager.
J’ouvre la porte vitrée du salon et lui fait traverser la terrasse à quatre pattes jusqu’à un coin de pelouse.
— Voilà, chienne, soulage-toi.
— Comment ? ici ? Mais…
— Silence et obéis, sinon je devrais te punir.
— Mais enfin je ne vais pas faire ça.
— Bien. Comme tu le souhaite. Mets-toi sur le dos.
— Comment ?
— Sur le dos !
Elle s’exécute, et je lui fourre deux doigts dans la bouche.
— Suce !
Elle les lèche avec application. J’écarte ses cuisses et glisse trois doigts d’un coup dans sa chatte.
— Oh Victor, qu’est-ce que vous faites ?
— Tu refuses de pisser comme une chienne, je vais te faire jouir comme une salope et on va voir si tu arrives à te retenir.
Je fais aller mes doigts vers la paroi antérieur de son vagin, je sens les parois internes de son clitoris se gonfler de désir, mais je palpe aussi sa vessie pleine à craquer. En la massant ainsi, elle ne devrait pas tenir plus de quelques minutes. Je sens son visage se crisper pour éviter de me pisser sur la main.
— Alors chienne, t’aime ça être sur les dos, les pattes écartées, à te faire cajoler par ton maitre, putain qu’est-ce que t’es bonne je vais te bouffer les seins !
Je prends un sein énorme, bien ferme, et mords dans le téton. Jeanne laisse échapper un cri. Le téton se dresse. Ma langue tourne autour, suce, aspire, titille, l’autre sein semble demander le même traitement, mais je le délaisse volontairement, pour augmenter la frustration de ma soumise. Mes doigts s’activent toujours dans sa chatte trempée, je sens Jeanne se contorsionner pour tenter de contenir les vagues d’orgasme qui montent petit à petit en elle.
— Arrêtez, STOP, maître je vous en supplie.
— TU vas jouir, salope, c’est un ordre.
L’ordre agit sur son cerveau comme un déclic, ses barrières mentales s’abaissent soudainement, ses sphincters se relâche, sa cavité est soudain envahie par les vagues successives de l’orgasme. N’en pouvant plus, Jeanne écarte les cuisses et laisse échapper un long jet jaune d’or qui vient inonder ma main et mon bras avant de disparaitre dans l’herbe.
— Oh putain ça fait du bien, je n’en pouvais plus. Vous êtes vraiment tordu, maître.
— Plus que tu ne le crois. Bouffe-moi le cul, salope, j’en ai envie !
— Il est propre ?
— Évidemment !
Je retire mon Jean et m’assied sur le visage de ma soumise. Mes couilles pendent sur son nez, elle les lèche une à une, avant d’aventurer sa langue un peu plus bas. Ma collerette rose est toute propre, elle la caresse du bout de la langue, en faire le tour, avant de lécher les poils qui habillent mon anus. Timidement d’abord, pour de plus en plus aventureuse, elle force l’entrée de mon sphincter et s’aventure à l’intérieur. C’est un délice, je bande comme un cochon. Je m’assieds un peu plus sur son visage pour qu’elle puisse entrer un peu plus profondément. Mes couilles bouchent ses narines, elle manque de s’étouffer. Je me relève alors.
— Ça suffit ! t’aime ça lécher des culs, hein, salope !
— Oh oui maître, j’adore, mais seulement s’ils sont propres.
— C’est ta limite et je la respecterai. Rentrons dans la chambre, je suis fatigué et j’aurais bien besoin d’un massage.
— Comme vous le voudrez, maître.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
1 maitre est sensé proteger sa soumise si il baise d'autres femmes , il y a 1 risque de refourguer 1 merde à l'une d'entre elles !!!



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