De cocufiage à complicité
Récit érotique écrit par Passions_secrètes [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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De cocufiage à complicité
Corinne regardait l’écran de son ordinateur avec un mélange de nervosité et d’excitation. Depuis plusieurs semaines, elle échangeait des messages avec un homme qu’elle avait rencontré sur un site d’histoires érotiques. Tout avait commencé innocemment. Après son expérience candauliste avec Nicolas, elle avait ressenti un vide. Ce moment intense partagé avec un autre homme, sous le regard approbateur de son mari, avait éveillé en elle une soif de nouveauté, une envie d’explorer plus loin ses désirs.
Son mari avait été d’accord avec cette première expérience. Pourtant, quelque chose l’avait retenue d’aller plus loin avec lui dans cette voie. Peut-être était-ce la peur de l’intimité que cela nécessitait ou le fait que leur relation avait toujours été basée sur une certaine normalité. Corinne se sentait piégée entre son amour pour lui et ses désirs qui la poussaient toujours plus loin. C’est dans ce contexte qu’elle avait trouvé cet homme sur internet.
Il s’appelait Alain, ou du moins c’est ainsi qu’il se présentait. Âgé de 65 ans, il vivait seul dans le sud de la France. Ses récits, empreints d’une perversion délibérée, la laissaient souvent le souffle court. Ils échangeaient des histoires où l’interdit et la transgression prenaient une place centrale. Les mots crus, les scénarios osés, tout cela l’excitait d’une manière qu’elle n’avait jamais connue auparavant.
Elle savait que ce qu’elle faisait était risqué. Chaque fois qu’elle allumait son ordinateur et ouvrait la messagerie pour lire les dernières lettres d’Alain, elle sentait cette culpabilité croissante. Elle aimait son mari, il n’y avait aucun doute là-dessus. Mais cette double vie virtuelle devenait de plus en plus importante pour elle. L’adrénaline que lui procuraient ces échanges lui rappelait qu’elle était encore capable de désirs puissants, de sensations inédites.
Un soir, alors que son mari était sorti pour un dîner d’affaires, Corinne se retrouva seule, plongée dans ses pensées. Elle s’installa devant son ordinateur, une coupe de vin à la main, et relut les derniers messages d’Alain. Ils parlaient d’une rencontre. Cette idée, qui la terrifiait au début, devenait de plus en plus séduisante. Chaque mot qu’il écrivait était empreint de cette assurance et de cette expérience qu’elle avait toujours admirée chez les hommes plus âgés. Il savait comment la toucher, comment stimuler son imagination, sans jamais être trop pressant.
« J’aimerais te voir. Je pense que tu en as aussi envie, Corinne. Nous pourrions passer un moment ensemble, loin de tout. Je te laisserais prendre ton temps, choisir le moment parfait. Tu sais où me trouver. »
Ces mots résonnaient dans sa tête depuis plusieurs jours. Elle savait qu’elle devait en parler à Nicolas, mais elle ne savait pas comment aborder le sujet. Leur première expérience avait été une ouverture à une nouvelle dimension de leur relation, mais cela restait contrôlé, géré dans un cadre défini ensemble. Là, elle agissait seule, dans l’ombre, et cela la rongeait de l’intérieur.
Elle se leva de son fauteuil et se regarda dans le miroir. À 40 ans passés, elle se trouvait encore désirable. Ses cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules, et son corps, bien que marqué par le temps, gardait des courbes qui attiraient les regards. Mais ce n’était pas seulement son apparence physique qui la préoccupait. C’était cette nouvelle facette d’elle-même qu’elle découvrait, cette femme avide de sensations fortes, de transgressions. Elle savait que cela la dépassait.
Corinne retourna à son bureau, les mains tremblantes, et se connecta. Il y avait un nouveau message d’Alain.
« Je pense à toi. À nous. Chaque mot que tu écris me fait t’imaginer encore plus belle, encore plus désirable. N’aie pas peur de ce que tu ressens. Nous sommes faits pour explorer ces envies, ces perversions. La vie est trop courte pour les ignorer. »
Elle soupira en lisant ces lignes. Comment pouvait-elle lui résister ? Mais plus encore, comment pouvait-elle cacher cela à Nicolas ? Depuis leur première aventure, il n’avait rien soupçonné. Leur vie quotidienne semblait inchangée, même si elle se sentait de plus en plus distante. Il ne se rendait pas compte que quelque chose avait changé en elle, que ce qu’ils avaient commencé ensemble avait réveillé en elle des désirs profonds, presque inavouables.
Plus elle y pensait, plus elle se sentait piégée. Alain représentait une porte vers une nouvelle aventure, une expérience qu’elle ne pourrait jamais partager avec Nicolas sans briser quelque chose entre eux. Et pourtant, elle savait qu’elle ne pouvait plus revenir en arrière. Chaque jour, elle sentait le besoin de lui répondre, de plonger encore plus profondément dans ce jeu.
Alors qu’elle hésitait à répondre au message, elle entendit la porte d’entrée. Nicolas était rentré plus tôt que prévu. Paniquée, elle ferma rapidement son ordinateur et alla l’accueillir, essayant de masquer son trouble.
« Tout s’est bien passé ? » demanda-t-elle en l’embrassant.
« Oui, c’était une longue journée, je suis épuisé. Et toi, comment s’est passé ta soirée ? »
« Rien de spécial, j’ai juste lu un peu et regardé la télévision. » Mentir à Nicolas devenait de plus en plus difficile. Le poids de cette double vie commençait à la ronger.
Ils s’installèrent ensemble sur le canapé, Nicolas posant sa main sur la cuisse de Corinne. Habituellement, elle aimait ces moments de proximité, mais ce soir-là, elle se sentait distante, presque étrangère. Les mots d’Alain résonnaient dans sa tête, l’attirant comme un aimant vers une vérité qu’elle ne pouvait ignorer.
L’Emprise Grandissait…
Corinne, assise devant son ordinateur, regardait son reflet flou dans l’écran noir. Depuis quelques semaines, elle était sous l’emprise d’Alain, cet homme de 65 ans rencontré sur un site d’histoires érotiques. Tout avait commencé par des échanges innocents, mais aujourd’hui, elle se sentait piégée dans une spirale d’obéissance et de perversion. Ses doigts tremblaient légèrement tandis qu’elle rassemblait son courage pour faire ce qu’il lui demandait à nouveau. Elle était nerveuse, mais l’excitation la paralysait aussi.
Lui, à l’autre bout de la France, prenait son temps, comme il aimait le faire. Il savait qu’il avait le contrôle, et cela lui plaisait. Ses messages étaient souvent remplis de sous-entendus, calculés, mais surtout chargés de ce ton dominateur qui la faisait frémir.
“Allume la caméra, Corinne.”
Le ton de son message était clair, un ordre masqué sous une apparente douceur. Chaque fois qu’elle lisait ses mots, elle sentait un mélange de honte et de désir monter en elle. Jamais elle n’aurait imaginé se retrouver dans une situation pareille, obéissant aux moindres caprices d’un homme qu’elle ne connaissait que par l’intermédiaire d’un écran. Elle hésitait toujours, mais elle finissait par céder. Elle alluma la caméra.
“Déshabille-toi lentement.”
Elle savait que la prochaine étape serait celle-ci. Ses mains, légèrement moites, commencèrent à défaire le premier bouton de sa chemise. Le cœur battant, elle sentit une vague de chaleur l’envahir. Chaque geste, chaque mouvement était contrôlé par lui, même s’il n’était pas là. L’idée de se dévoiler ainsi devant lui la remplissait de honte, mais aussi d’un plaisir intense et inavouable.
Alain la regardait, ses yeux perçants fixés sur l’écran. Même à travers la distance, elle sentait son regard la dévorer. Sa voix résonnait dans sa tête, un murmure qu’elle avait fini par attendre avec impatience.
“Montre-moi cette peau. Je veux tout voir.”
Elle se mordit la lèvre, son souffle se faisant plus court à mesure qu’elle retirait sa chemise. Conformément aux autres consignes elle se masturbait sous le regard de cet homme. Son clitoris était dur et brûlant, sa chatte suintait de cyprine. Elle se sentait exposée, vulnérable, mais aussi étrangement puissante, sachant qu’il la désirait, même à distance. Elle devenait sa chose, sa pute! Pendant que son mari ignorait tout.
Alain aimait jouer avec elle. Il aimait la faire attendre, la tester. Il connaissait l’effet qu’il avait sur elle et s’en délectait. Ce n’était pas seulement l’acte de la voir nue qui l’excitait, mais le pouvoir qu’il exerçait sur son esprit, sur ses désirs les plus secrets.
“Pense à moi quand tu es avec lui. Fais comme je te le dis, et n’oublie jamais que tu m’appartiens à ces moments-là.”
C’était là la vraie perversion d’Alain. Il ne se contentait pas de la regarder se déshabiller devant lui. Il s’immisçait dans sa vie conjugale, dans ses moments d’intimité avec Nicolas. Il la contrôlait même lorsque son mari la touchait. Alain la poussait à agir selon ses désirs, ce soir là il lui imposa de sucer Nicolas et lui introduire un doigt dans l anus au moment de son orgasme. Cette première fois qu’elle avait suivi ses instructions, elle s’était sentie terriblement coupable. Nicolas, allongé à côté d’elle, ne soupçonnait rien. Il pensait que Corinne était simplement plus audacieuse qu’à l’habitude. Mais en réalité, chaque geste qu’elle faisait était dirigé par Alain. Chaque baiser, chaque caresse avait été commandé. Ce n’était plus à Nicolas qu’elle pensait, mais à cet homme, à Alain, qui tirait les ficelles de sa sexualité à distance.
“Ce soir, tu ne laveras pas ta chatte, fais la sentir à ton homme et porte cette lingerie noire que tu m’as montrée la dernière fois. Je veux que tu sois parfaite pour moi, même si c’est lui qui te touche.”
Elle obéissait. À chaque fois. Elle portait les sous-vêtements qu’il lui avait décrits, elle adoptait son niveau d hygiène pour lui.
Cette excitation perverse de savoir qu’elle trahissait Nicolas tout en étant avec lui. Ce soir là, elle prit soins de ne pas se laver, allongea son homme et lui fit renifler sa chatte, délicatement, son odeur rendit fou d excitation son mari. L amant donnait une sexualité nouvelle au couple. Voyant l excitation de son mari rapidement Corinne joui dans sa bouche expulsant un jet de cyprine , son mari bu tout, ils n en revenaient pas tous les deux.
Il y avait une intensité nouvelle dans leurs ébats, une intensité qui venait du fait qu’Alain, même absent, était omniprésent dans la pièce. Elle imaginait qu’il observait, qu’il contrôlait.
Elle se sentait honteuse après chaque rencontre avec Nicolas. Mais Alain la rattrapait toujours. Il savait qu’elle culpabilisait, qu’elle luttait contre cette emprise qu’il avait sur elle. Et c’est précisément ce qu’il utilisait contre elle.
“Tu es à moi, Corinne. Chaque fois que tu fais ce que je te demande, tu te rapproches un peu plus de moi. Tu le sais, n’est-ce pas ?”
Elle savait. Chaque ordre, chaque demande la plongeait un peu plus profondément dans ce jeu pervers. Mais elle était incapable d’arrêter. Alain la possédait d’une manière qu’elle n’aurait jamais imaginée. Elle se sentait tiraillée entre la réalité de sa vie avec Nicolas et cette nouvelle dimension excitante qu’elle vivait avec Alain, même si c’était à distance.
L’arrivée inattendue
Les jours s’étaient écoulés avec une régularité étrange pour Corinne. Elle continuait de répondre aux messages d’Alain, tout en maintenant une façade tranquille auprès de Nicolas. Chaque interaction avec Alain la faisait plonger plus profondément dans cet univers de transgression et de désirs interdits, mais elle se disait que tant que tout restait à distance, elle pouvait encore contrôler la situation. Pourtant, cette illusion de contrôle allait s’effondrer rapidement.
Un vendredi matin, alors que Corinne se préparait pour sa journée habituelle, elle reçut un message inattendu de la part d’Alain. Ce n’était pas comme les autres. Il ne s’agissait pas d’une demande ou d’une consigne érotique. Non, cette fois, il annonçait sa venue dans la région. Elle relut le message plusieurs fois, incapable de croire ce qu’elle voyait.
“Je serai dans ta région ce week-end. J’aimerais te voir en personne. Es-tu prête, Corinne ? Nous ne pouvons plus nous cacher derrière des écrans.”
Le cœur de Corinne battait à tout rompre. La panique montait en elle. Jamais elle n’avait envisagé qu’il viendrait jusqu’à elle, dans sa ville, à proximité de sa maison, de son mari, de sa vie. Elle avait toujours pensé que cette relation virtuelle resterait à distance, un fantasme sans conséquence réelle. Maintenant, Alain franchissait cette frontière invisible qu’elle avait tant tenu à préserver.
Le week-end arriva rapidement, et Corinne se trouvait déchirée entre l’excitation et l’angoisse. Elle se répétait qu’elle devait l’ignorer, ne pas répondre à son message, mais elle ne pouvait s’empêcher d’être tentée. Alain savait comment appuyer sur ses failles, comment la manipuler pour qu’elle se laisse aller. Il la connaissait mieux qu’elle-même à présent.
Samedi après-midi, alors que Nicolas était sorti pour faire des courses, Corinne reçut un autre message.
“Je suis ici. Juste à quelques rues de chez toi. Viens me rejoindre.”
Elle sentit la sueur froide couler dans son dos. Il était là, si près d’elle. L’idée de le voir en personne l’effrayait, mais elle ne pouvait ignorer le désir qui montait en elle. Il n’était plus question d’un simple échange de mots ou de photos. Tout allait devenir réel.
Elle se dirigea vers la porte d’entrée, tremblante, hésitant à franchir ce pas irréversible. Sa tête était pleine de questions. Devait-elle lui résister, le rejeter ? Ou allait-elle céder, comme elle l’avait fait à chaque fois qu’il l’avait manipulée, peu à peu, à distance ? Ses pieds la conduisirent presque malgré elle dans les rues calmes du quartier.
Lorsqu’elle arriva au point de rendez-vous, elle le vit. Alain l’attendait à l’angle d’une rue, habillé avec élégance. Il la regardait, son visage marqué par l’âge mais empreint de cette assurance déstabilisante qui avait toujours exercé un pouvoir sur elle. Il s’approcha lentement, chaque pas amplifiant la tension palpable entre eux.
“Alors, Corinne, es-tu prête à franchir cette dernière étape ?” demanda-t-il d’une voix calme mais pleine de sous-entendus.
Corinne ne put que hocher la tête, ses pensées tourbillonnant dans un mélange de culpabilité et de désir. Alain sourit doucement, posant sa main sur son bras, et elle ressentit à la fois un choc et une vague de chaleur envahir son corps. La réalité était bien différente de leurs échanges virtuels. Sa présence physique avait une intensité qu’elle n’avait pas anticipée.
“Je savais que tu viendrais,” murmura-t-il en la guidant doucement vers une ruelle plus isolée. Ses gestes étaient lents, calculés. Il savait exactement comment jouer avec elle, comment éveiller ses peurs et ses envies simultanément.
“Tu m’as dit tellement de choses sur toi, sur tes désirs. Maintenant, je veux que tu les vives pleinement, ici, avec moi,” poursuivit-il en la fixant intensément, capturant son regard, la privant de tout échappatoire.
Ils continuèrent à marcher ensemble jusqu’à un petit hôtel discret, niché à l’écart des regards. Corinne savait qu’en entrant dans cet endroit, elle franchirait une barrière qu’elle ne pourrait jamais retraverser. Elle se sentait piégée par ses propres désirs, par cette emprise qu’Alain avait sur elle. Pourtant, elle ne fit rien pour s’en défaire.
Alain ouvrit la porte de la chambre d’hôtel avec calme, l’invitant à entrer. Le silence qui régnait dans cet espace clos lui parut assourdissant. Corinne sentait son cœur battre dans ses tempes. Elle voulait fuir, retourner auprès de Nicolas, mais l’attraction exercée par Alain était trop forte. Son emprise était devenue presque physique.
Il s’approcha lentement d’elle, caressant doucement son bras avant de l’enlacer, murmurant des mots qu’elle ne saisissait qu’à moitié, tant elle était en proie à ses propres tourments. Ses gestes étaient doux, mais empreints d’une autorité indéniable. Elle se sentait à la fois terrifiée et enivrée par la situation.
“Ne pense plus à rien, Corinne,” lui murmura-t-il. “Laisse-toi aller. Laisse-moi te guider.T es ma pute désormais ”
Sans aucun ménagement, il l agenouilla et lui enfila son sexe épais dans la bouche. Corinne se sentait objet, elle adorait ça. Elle se mit à le sucer goulûment avec beaucoup d attention, elle avait tellement désirée cette queue.
Il voulait de la bestialité pour ce premier rendez vous. Il mit Corinne en levrette et la besogna comme un animal, rapidement sans s occuper de son plaisir, il se vida entièrement dans Corinne, déclenchant instantanément un orgasme lorsqu elle sentit le liquide chaud en elle.
Dans un mot il se rhabilla, laissant comme dernière consigne: “tu vas tout raconter à ton mari en rentrant”
La Confession
Corinne était rentrée de l’hôtel, l’esprit troublé. La culotte remplie de fouttre, puant la mouille et le sperme. Ce qu’elle avait vécu avec Alain dépassait tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Le poids de l’expérience s’abattait sur elle, mais un autre sentiment venait brouiller sa culpabilité : l’excitation de ce qu’elle s’apprêtait à faire.
Alain ne s’était pas contenté de la pousser à franchir la barrière physique de leur relztion. Il voulait qu’elle raconte tout à Nicolas, sans rien cacher, dans les moindres détails. Ce n’était plus seulement une question de contrôle physique, mais une domination complète de son esprit. Et, étrangement, cette idée la fascinait.
Assise dans leur salon, un verre de vin à la main, Corinne regardait Nicolas qui s’affairait à la cuisine. L’image était tellement normale, si familière, qu’elle en avait presque le vertige. Comment allait-elle pouvoir lui dire ? Pourtant, une partie d’elle savait que c’était ce qu’elle voulait. Elle voulait voir sa réaction, voir jusqu’où cette aventure pourrait les emmener tous les deux.
Après le dîner, alors qu’ils étaient installés sur le canapé, un silence lourd s’installa entre eux. Corinne sentit que c’était le moment. Elle devait le faire maintenant, ou elle ne le ferait jamais.
« Nicolas, je dois te parler de quelque chose d’important. » Sa voix tremblait légèrement, mais elle tenta de rester calme.
Il posa son verre, son regard se teintant de curiosité. « Qu’est-ce qui se passe ? Tu as l’air troublée. »
Elle prit une profonde inspiration. « Il y a quelque chose que je t’ai caché. Quelque chose qui m’est arrivé récemment… et je dois tout te dire. »
Nicolas fronça les sourcils, visiblement inquiet. « Quoi donc ? Tu sais que tu peux tout me dire. »
Corinne baissa les yeux, cherchant ses mots. « Je suis allée voir quelqu’un. Un homme. Je l’ai rencontré en ligne, et il est venu ici, dans notre région. » Elle sentait l’air se charger de tension. « Nous nous sommes vus à l’hôtel… et j’ai fait ce que tu n’imaginerais jamais. »
Il la regarda sans un mot, son expression se transformant lentement, passant de l’incrédulité à quelque chose de plus complexe, plus profond. Un mélange de surprise et, à sa grande surprise, d’excitation. Corinne se sentait prise dans un tourbillon d’émotions, mais elle continua, racontant chaque détail de cette rencontre avec Alain. Elle décrivit ce qu’ils avaient fait, ses gestes, ses mots, la manière dont il l’avait guidée, et la manière dont elle s’était abandonnée à lui, précisant qu elle avait été prise sans capote, sa culotte en était encore souillee.
Nicolas ne l’interrompit pas une seule fois, mais son regard changeait à mesure qu’elle parlait. Il écoutait avec une attention particulière, comme s’il vivait l’histoire à travers elle. Corinne pouvait voir que ses mots éveillaient quelque chose en lui, une curiosité morbide mêlée à une intense fascination.
« Et maintenant ? » demanda-t-il d’une voix plus rauque que d’habitude. « Qu’est-ce que ça veut dire pour nous ? »
Corinne sentit un poids se lever de ses épaules. Elle avait tout avoué, et à sa grande surprise, cela l’avait libérée plutôt que détruite. « Je ne sais pas, » répondit-elle honnêtement. « Mais je sais que je ne peux plus revenir en arrière. Alain m’a demandé de tout te dire. Il voulait que tu saches, que tu fasses partie de ça, d’une certaine manière. »
Nicolas resta silencieux pendant un long moment, ses pensées visiblement agitées. Puis, lentement, un sourire s’étira sur ses lèvres. « Cela t’a excité, pas vrai ? De faire ça avec lui, de me raconter tout ça maintenant. »
Corinne hocha la tête, incapable de parler, mais ses yeux disaient tout.
Regarde ça m a fait bandé. Montre moi cette culotte souillée. Il enleva la culotte de sa femme renifla son odeur et mangea cette chatte dégoulinant encore du sperme de cet amant. Corinne jouit rapidement de la situation elle se sentait envie plus chienne.
« Alors peut-être que nous devons continuer. » Il se pencha vers elle, posant une main sur sa cuisse. « Peut-être que nous devrions trouver d’autres hommes sur les sites de récits erotiques. D’autres expériences à partager. Si cela nous fait du bien… pourquoi pas ? »
Corinne fut prise de court par sa réaction, mais elle sentit une chaleur grandir en elle. L’idée d’aller encore plus loin, de repousser encore plus de limites, avec l’approbation de Nicolas cette fois, l’excitait au-delà de tout.
Les jours qui suivirent, Nicolas devint actif dans cette nouvelle quête. Il parcourut les mêmes sites qu’elle avait utilisés, cherchant des profils, discutant avec des hommes qui pourraient correspondre à leurs envies. Ils prenaient ces décisions ensemble, renforçant un lien entre eux qu’elle n’avait jamais imaginé possible.
Ps: Nicolas est toujours en recherche bratilis@proton.me
Son mari avait été d’accord avec cette première expérience. Pourtant, quelque chose l’avait retenue d’aller plus loin avec lui dans cette voie. Peut-être était-ce la peur de l’intimité que cela nécessitait ou le fait que leur relation avait toujours été basée sur une certaine normalité. Corinne se sentait piégée entre son amour pour lui et ses désirs qui la poussaient toujours plus loin. C’est dans ce contexte qu’elle avait trouvé cet homme sur internet.
Il s’appelait Alain, ou du moins c’est ainsi qu’il se présentait. Âgé de 65 ans, il vivait seul dans le sud de la France. Ses récits, empreints d’une perversion délibérée, la laissaient souvent le souffle court. Ils échangeaient des histoires où l’interdit et la transgression prenaient une place centrale. Les mots crus, les scénarios osés, tout cela l’excitait d’une manière qu’elle n’avait jamais connue auparavant.
Elle savait que ce qu’elle faisait était risqué. Chaque fois qu’elle allumait son ordinateur et ouvrait la messagerie pour lire les dernières lettres d’Alain, elle sentait cette culpabilité croissante. Elle aimait son mari, il n’y avait aucun doute là-dessus. Mais cette double vie virtuelle devenait de plus en plus importante pour elle. L’adrénaline que lui procuraient ces échanges lui rappelait qu’elle était encore capable de désirs puissants, de sensations inédites.
Un soir, alors que son mari était sorti pour un dîner d’affaires, Corinne se retrouva seule, plongée dans ses pensées. Elle s’installa devant son ordinateur, une coupe de vin à la main, et relut les derniers messages d’Alain. Ils parlaient d’une rencontre. Cette idée, qui la terrifiait au début, devenait de plus en plus séduisante. Chaque mot qu’il écrivait était empreint de cette assurance et de cette expérience qu’elle avait toujours admirée chez les hommes plus âgés. Il savait comment la toucher, comment stimuler son imagination, sans jamais être trop pressant.
« J’aimerais te voir. Je pense que tu en as aussi envie, Corinne. Nous pourrions passer un moment ensemble, loin de tout. Je te laisserais prendre ton temps, choisir le moment parfait. Tu sais où me trouver. »
Ces mots résonnaient dans sa tête depuis plusieurs jours. Elle savait qu’elle devait en parler à Nicolas, mais elle ne savait pas comment aborder le sujet. Leur première expérience avait été une ouverture à une nouvelle dimension de leur relation, mais cela restait contrôlé, géré dans un cadre défini ensemble. Là, elle agissait seule, dans l’ombre, et cela la rongeait de l’intérieur.
Elle se leva de son fauteuil et se regarda dans le miroir. À 40 ans passés, elle se trouvait encore désirable. Ses cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules, et son corps, bien que marqué par le temps, gardait des courbes qui attiraient les regards. Mais ce n’était pas seulement son apparence physique qui la préoccupait. C’était cette nouvelle facette d’elle-même qu’elle découvrait, cette femme avide de sensations fortes, de transgressions. Elle savait que cela la dépassait.
Corinne retourna à son bureau, les mains tremblantes, et se connecta. Il y avait un nouveau message d’Alain.
« Je pense à toi. À nous. Chaque mot que tu écris me fait t’imaginer encore plus belle, encore plus désirable. N’aie pas peur de ce que tu ressens. Nous sommes faits pour explorer ces envies, ces perversions. La vie est trop courte pour les ignorer. »
Elle soupira en lisant ces lignes. Comment pouvait-elle lui résister ? Mais plus encore, comment pouvait-elle cacher cela à Nicolas ? Depuis leur première aventure, il n’avait rien soupçonné. Leur vie quotidienne semblait inchangée, même si elle se sentait de plus en plus distante. Il ne se rendait pas compte que quelque chose avait changé en elle, que ce qu’ils avaient commencé ensemble avait réveillé en elle des désirs profonds, presque inavouables.
Plus elle y pensait, plus elle se sentait piégée. Alain représentait une porte vers une nouvelle aventure, une expérience qu’elle ne pourrait jamais partager avec Nicolas sans briser quelque chose entre eux. Et pourtant, elle savait qu’elle ne pouvait plus revenir en arrière. Chaque jour, elle sentait le besoin de lui répondre, de plonger encore plus profondément dans ce jeu.
Alors qu’elle hésitait à répondre au message, elle entendit la porte d’entrée. Nicolas était rentré plus tôt que prévu. Paniquée, elle ferma rapidement son ordinateur et alla l’accueillir, essayant de masquer son trouble.
« Tout s’est bien passé ? » demanda-t-elle en l’embrassant.
« Oui, c’était une longue journée, je suis épuisé. Et toi, comment s’est passé ta soirée ? »
« Rien de spécial, j’ai juste lu un peu et regardé la télévision. » Mentir à Nicolas devenait de plus en plus difficile. Le poids de cette double vie commençait à la ronger.
Ils s’installèrent ensemble sur le canapé, Nicolas posant sa main sur la cuisse de Corinne. Habituellement, elle aimait ces moments de proximité, mais ce soir-là, elle se sentait distante, presque étrangère. Les mots d’Alain résonnaient dans sa tête, l’attirant comme un aimant vers une vérité qu’elle ne pouvait ignorer.
L’Emprise Grandissait…
Corinne, assise devant son ordinateur, regardait son reflet flou dans l’écran noir. Depuis quelques semaines, elle était sous l’emprise d’Alain, cet homme de 65 ans rencontré sur un site d’histoires érotiques. Tout avait commencé par des échanges innocents, mais aujourd’hui, elle se sentait piégée dans une spirale d’obéissance et de perversion. Ses doigts tremblaient légèrement tandis qu’elle rassemblait son courage pour faire ce qu’il lui demandait à nouveau. Elle était nerveuse, mais l’excitation la paralysait aussi.
Lui, à l’autre bout de la France, prenait son temps, comme il aimait le faire. Il savait qu’il avait le contrôle, et cela lui plaisait. Ses messages étaient souvent remplis de sous-entendus, calculés, mais surtout chargés de ce ton dominateur qui la faisait frémir.
“Allume la caméra, Corinne.”
Le ton de son message était clair, un ordre masqué sous une apparente douceur. Chaque fois qu’elle lisait ses mots, elle sentait un mélange de honte et de désir monter en elle. Jamais elle n’aurait imaginé se retrouver dans une situation pareille, obéissant aux moindres caprices d’un homme qu’elle ne connaissait que par l’intermédiaire d’un écran. Elle hésitait toujours, mais elle finissait par céder. Elle alluma la caméra.
“Déshabille-toi lentement.”
Elle savait que la prochaine étape serait celle-ci. Ses mains, légèrement moites, commencèrent à défaire le premier bouton de sa chemise. Le cœur battant, elle sentit une vague de chaleur l’envahir. Chaque geste, chaque mouvement était contrôlé par lui, même s’il n’était pas là. L’idée de se dévoiler ainsi devant lui la remplissait de honte, mais aussi d’un plaisir intense et inavouable.
Alain la regardait, ses yeux perçants fixés sur l’écran. Même à travers la distance, elle sentait son regard la dévorer. Sa voix résonnait dans sa tête, un murmure qu’elle avait fini par attendre avec impatience.
“Montre-moi cette peau. Je veux tout voir.”
Elle se mordit la lèvre, son souffle se faisant plus court à mesure qu’elle retirait sa chemise. Conformément aux autres consignes elle se masturbait sous le regard de cet homme. Son clitoris était dur et brûlant, sa chatte suintait de cyprine. Elle se sentait exposée, vulnérable, mais aussi étrangement puissante, sachant qu’il la désirait, même à distance. Elle devenait sa chose, sa pute! Pendant que son mari ignorait tout.
Alain aimait jouer avec elle. Il aimait la faire attendre, la tester. Il connaissait l’effet qu’il avait sur elle et s’en délectait. Ce n’était pas seulement l’acte de la voir nue qui l’excitait, mais le pouvoir qu’il exerçait sur son esprit, sur ses désirs les plus secrets.
“Pense à moi quand tu es avec lui. Fais comme je te le dis, et n’oublie jamais que tu m’appartiens à ces moments-là.”
C’était là la vraie perversion d’Alain. Il ne se contentait pas de la regarder se déshabiller devant lui. Il s’immisçait dans sa vie conjugale, dans ses moments d’intimité avec Nicolas. Il la contrôlait même lorsque son mari la touchait. Alain la poussait à agir selon ses désirs, ce soir là il lui imposa de sucer Nicolas et lui introduire un doigt dans l anus au moment de son orgasme. Cette première fois qu’elle avait suivi ses instructions, elle s’était sentie terriblement coupable. Nicolas, allongé à côté d’elle, ne soupçonnait rien. Il pensait que Corinne était simplement plus audacieuse qu’à l’habitude. Mais en réalité, chaque geste qu’elle faisait était dirigé par Alain. Chaque baiser, chaque caresse avait été commandé. Ce n’était plus à Nicolas qu’elle pensait, mais à cet homme, à Alain, qui tirait les ficelles de sa sexualité à distance.
“Ce soir, tu ne laveras pas ta chatte, fais la sentir à ton homme et porte cette lingerie noire que tu m’as montrée la dernière fois. Je veux que tu sois parfaite pour moi, même si c’est lui qui te touche.”
Elle obéissait. À chaque fois. Elle portait les sous-vêtements qu’il lui avait décrits, elle adoptait son niveau d hygiène pour lui.
Cette excitation perverse de savoir qu’elle trahissait Nicolas tout en étant avec lui. Ce soir là, elle prit soins de ne pas se laver, allongea son homme et lui fit renifler sa chatte, délicatement, son odeur rendit fou d excitation son mari. L amant donnait une sexualité nouvelle au couple. Voyant l excitation de son mari rapidement Corinne joui dans sa bouche expulsant un jet de cyprine , son mari bu tout, ils n en revenaient pas tous les deux.
Il y avait une intensité nouvelle dans leurs ébats, une intensité qui venait du fait qu’Alain, même absent, était omniprésent dans la pièce. Elle imaginait qu’il observait, qu’il contrôlait.
Elle se sentait honteuse après chaque rencontre avec Nicolas. Mais Alain la rattrapait toujours. Il savait qu’elle culpabilisait, qu’elle luttait contre cette emprise qu’il avait sur elle. Et c’est précisément ce qu’il utilisait contre elle.
“Tu es à moi, Corinne. Chaque fois que tu fais ce que je te demande, tu te rapproches un peu plus de moi. Tu le sais, n’est-ce pas ?”
Elle savait. Chaque ordre, chaque demande la plongeait un peu plus profondément dans ce jeu pervers. Mais elle était incapable d’arrêter. Alain la possédait d’une manière qu’elle n’aurait jamais imaginée. Elle se sentait tiraillée entre la réalité de sa vie avec Nicolas et cette nouvelle dimension excitante qu’elle vivait avec Alain, même si c’était à distance.
L’arrivée inattendue
Les jours s’étaient écoulés avec une régularité étrange pour Corinne. Elle continuait de répondre aux messages d’Alain, tout en maintenant une façade tranquille auprès de Nicolas. Chaque interaction avec Alain la faisait plonger plus profondément dans cet univers de transgression et de désirs interdits, mais elle se disait que tant que tout restait à distance, elle pouvait encore contrôler la situation. Pourtant, cette illusion de contrôle allait s’effondrer rapidement.
Un vendredi matin, alors que Corinne se préparait pour sa journée habituelle, elle reçut un message inattendu de la part d’Alain. Ce n’était pas comme les autres. Il ne s’agissait pas d’une demande ou d’une consigne érotique. Non, cette fois, il annonçait sa venue dans la région. Elle relut le message plusieurs fois, incapable de croire ce qu’elle voyait.
“Je serai dans ta région ce week-end. J’aimerais te voir en personne. Es-tu prête, Corinne ? Nous ne pouvons plus nous cacher derrière des écrans.”
Le cœur de Corinne battait à tout rompre. La panique montait en elle. Jamais elle n’avait envisagé qu’il viendrait jusqu’à elle, dans sa ville, à proximité de sa maison, de son mari, de sa vie. Elle avait toujours pensé que cette relation virtuelle resterait à distance, un fantasme sans conséquence réelle. Maintenant, Alain franchissait cette frontière invisible qu’elle avait tant tenu à préserver.
Le week-end arriva rapidement, et Corinne se trouvait déchirée entre l’excitation et l’angoisse. Elle se répétait qu’elle devait l’ignorer, ne pas répondre à son message, mais elle ne pouvait s’empêcher d’être tentée. Alain savait comment appuyer sur ses failles, comment la manipuler pour qu’elle se laisse aller. Il la connaissait mieux qu’elle-même à présent.
Samedi après-midi, alors que Nicolas était sorti pour faire des courses, Corinne reçut un autre message.
“Je suis ici. Juste à quelques rues de chez toi. Viens me rejoindre.”
Elle sentit la sueur froide couler dans son dos. Il était là, si près d’elle. L’idée de le voir en personne l’effrayait, mais elle ne pouvait ignorer le désir qui montait en elle. Il n’était plus question d’un simple échange de mots ou de photos. Tout allait devenir réel.
Elle se dirigea vers la porte d’entrée, tremblante, hésitant à franchir ce pas irréversible. Sa tête était pleine de questions. Devait-elle lui résister, le rejeter ? Ou allait-elle céder, comme elle l’avait fait à chaque fois qu’il l’avait manipulée, peu à peu, à distance ? Ses pieds la conduisirent presque malgré elle dans les rues calmes du quartier.
Lorsqu’elle arriva au point de rendez-vous, elle le vit. Alain l’attendait à l’angle d’une rue, habillé avec élégance. Il la regardait, son visage marqué par l’âge mais empreint de cette assurance déstabilisante qui avait toujours exercé un pouvoir sur elle. Il s’approcha lentement, chaque pas amplifiant la tension palpable entre eux.
“Alors, Corinne, es-tu prête à franchir cette dernière étape ?” demanda-t-il d’une voix calme mais pleine de sous-entendus.
Corinne ne put que hocher la tête, ses pensées tourbillonnant dans un mélange de culpabilité et de désir. Alain sourit doucement, posant sa main sur son bras, et elle ressentit à la fois un choc et une vague de chaleur envahir son corps. La réalité était bien différente de leurs échanges virtuels. Sa présence physique avait une intensité qu’elle n’avait pas anticipée.
“Je savais que tu viendrais,” murmura-t-il en la guidant doucement vers une ruelle plus isolée. Ses gestes étaient lents, calculés. Il savait exactement comment jouer avec elle, comment éveiller ses peurs et ses envies simultanément.
“Tu m’as dit tellement de choses sur toi, sur tes désirs. Maintenant, je veux que tu les vives pleinement, ici, avec moi,” poursuivit-il en la fixant intensément, capturant son regard, la privant de tout échappatoire.
Ils continuèrent à marcher ensemble jusqu’à un petit hôtel discret, niché à l’écart des regards. Corinne savait qu’en entrant dans cet endroit, elle franchirait une barrière qu’elle ne pourrait jamais retraverser. Elle se sentait piégée par ses propres désirs, par cette emprise qu’Alain avait sur elle. Pourtant, elle ne fit rien pour s’en défaire.
Alain ouvrit la porte de la chambre d’hôtel avec calme, l’invitant à entrer. Le silence qui régnait dans cet espace clos lui parut assourdissant. Corinne sentait son cœur battre dans ses tempes. Elle voulait fuir, retourner auprès de Nicolas, mais l’attraction exercée par Alain était trop forte. Son emprise était devenue presque physique.
Il s’approcha lentement d’elle, caressant doucement son bras avant de l’enlacer, murmurant des mots qu’elle ne saisissait qu’à moitié, tant elle était en proie à ses propres tourments. Ses gestes étaient doux, mais empreints d’une autorité indéniable. Elle se sentait à la fois terrifiée et enivrée par la situation.
“Ne pense plus à rien, Corinne,” lui murmura-t-il. “Laisse-toi aller. Laisse-moi te guider.T es ma pute désormais ”
Sans aucun ménagement, il l agenouilla et lui enfila son sexe épais dans la bouche. Corinne se sentait objet, elle adorait ça. Elle se mit à le sucer goulûment avec beaucoup d attention, elle avait tellement désirée cette queue.
Il voulait de la bestialité pour ce premier rendez vous. Il mit Corinne en levrette et la besogna comme un animal, rapidement sans s occuper de son plaisir, il se vida entièrement dans Corinne, déclenchant instantanément un orgasme lorsqu elle sentit le liquide chaud en elle.
Dans un mot il se rhabilla, laissant comme dernière consigne: “tu vas tout raconter à ton mari en rentrant”
La Confession
Corinne était rentrée de l’hôtel, l’esprit troublé. La culotte remplie de fouttre, puant la mouille et le sperme. Ce qu’elle avait vécu avec Alain dépassait tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Le poids de l’expérience s’abattait sur elle, mais un autre sentiment venait brouiller sa culpabilité : l’excitation de ce qu’elle s’apprêtait à faire.
Alain ne s’était pas contenté de la pousser à franchir la barrière physique de leur relztion. Il voulait qu’elle raconte tout à Nicolas, sans rien cacher, dans les moindres détails. Ce n’était plus seulement une question de contrôle physique, mais une domination complète de son esprit. Et, étrangement, cette idée la fascinait.
Assise dans leur salon, un verre de vin à la main, Corinne regardait Nicolas qui s’affairait à la cuisine. L’image était tellement normale, si familière, qu’elle en avait presque le vertige. Comment allait-elle pouvoir lui dire ? Pourtant, une partie d’elle savait que c’était ce qu’elle voulait. Elle voulait voir sa réaction, voir jusqu’où cette aventure pourrait les emmener tous les deux.
Après le dîner, alors qu’ils étaient installés sur le canapé, un silence lourd s’installa entre eux. Corinne sentit que c’était le moment. Elle devait le faire maintenant, ou elle ne le ferait jamais.
« Nicolas, je dois te parler de quelque chose d’important. » Sa voix tremblait légèrement, mais elle tenta de rester calme.
Il posa son verre, son regard se teintant de curiosité. « Qu’est-ce qui se passe ? Tu as l’air troublée. »
Elle prit une profonde inspiration. « Il y a quelque chose que je t’ai caché. Quelque chose qui m’est arrivé récemment… et je dois tout te dire. »
Nicolas fronça les sourcils, visiblement inquiet. « Quoi donc ? Tu sais que tu peux tout me dire. »
Corinne baissa les yeux, cherchant ses mots. « Je suis allée voir quelqu’un. Un homme. Je l’ai rencontré en ligne, et il est venu ici, dans notre région. » Elle sentait l’air se charger de tension. « Nous nous sommes vus à l’hôtel… et j’ai fait ce que tu n’imaginerais jamais. »
Il la regarda sans un mot, son expression se transformant lentement, passant de l’incrédulité à quelque chose de plus complexe, plus profond. Un mélange de surprise et, à sa grande surprise, d’excitation. Corinne se sentait prise dans un tourbillon d’émotions, mais elle continua, racontant chaque détail de cette rencontre avec Alain. Elle décrivit ce qu’ils avaient fait, ses gestes, ses mots, la manière dont il l’avait guidée, et la manière dont elle s’était abandonnée à lui, précisant qu elle avait été prise sans capote, sa culotte en était encore souillee.
Nicolas ne l’interrompit pas une seule fois, mais son regard changeait à mesure qu’elle parlait. Il écoutait avec une attention particulière, comme s’il vivait l’histoire à travers elle. Corinne pouvait voir que ses mots éveillaient quelque chose en lui, une curiosité morbide mêlée à une intense fascination.
« Et maintenant ? » demanda-t-il d’une voix plus rauque que d’habitude. « Qu’est-ce que ça veut dire pour nous ? »
Corinne sentit un poids se lever de ses épaules. Elle avait tout avoué, et à sa grande surprise, cela l’avait libérée plutôt que détruite. « Je ne sais pas, » répondit-elle honnêtement. « Mais je sais que je ne peux plus revenir en arrière. Alain m’a demandé de tout te dire. Il voulait que tu saches, que tu fasses partie de ça, d’une certaine manière. »
Nicolas resta silencieux pendant un long moment, ses pensées visiblement agitées. Puis, lentement, un sourire s’étira sur ses lèvres. « Cela t’a excité, pas vrai ? De faire ça avec lui, de me raconter tout ça maintenant. »
Corinne hocha la tête, incapable de parler, mais ses yeux disaient tout.
Regarde ça m a fait bandé. Montre moi cette culotte souillée. Il enleva la culotte de sa femme renifla son odeur et mangea cette chatte dégoulinant encore du sperme de cet amant. Corinne jouit rapidement de la situation elle se sentait envie plus chienne.
« Alors peut-être que nous devons continuer. » Il se pencha vers elle, posant une main sur sa cuisse. « Peut-être que nous devrions trouver d’autres hommes sur les sites de récits erotiques. D’autres expériences à partager. Si cela nous fait du bien… pourquoi pas ? »
Corinne fut prise de court par sa réaction, mais elle sentit une chaleur grandir en elle. L’idée d’aller encore plus loin, de repousser encore plus de limites, avec l’approbation de Nicolas cette fois, l’excitait au-delà de tout.
Les jours qui suivirent, Nicolas devint actif dans cette nouvelle quête. Il parcourut les mêmes sites qu’elle avait utilisés, cherchant des profils, discutant avec des hommes qui pourraient correspondre à leurs envies. Ils prenaient ces décisions ensemble, renforçant un lien entre eux qu’elle n’avait jamais imaginé possible.
Ps: Nicolas est toujours en recherche bratilis@proton.me
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que c’est mauvais
Déjà lu et relu. Un peu d’imagination
Déjà lu et relu. Un peu d’imagination
La complicité au sein du couple est bien décrite. Une montée en puissance du candaulisme!
Encore une histoire d’une femme souhaitant se faire humilier et devenir un sextoy sur pied … et un mari caudaliste … j’imagine bien la suite : le mari devient un dominé soumis et bi !!!!! Que d’imagination!!! alex H
J'ai adoré la lente montée de l'excitation de Corinne sous l'emprise d'Alain. Récit très excitant, très bien écrit, presque sans faute de français. La réaction de Nicolas aurait mérité, à mon humble avis, une description plus progressive que "ça m'a fait bander...il mangea cette chatte". Merci pour ce récit que j'ai lu en respectant le slogan de l'auteur. Très impatient de lire le prochain épisode, idéalement avec le candaulisme de Nicolas à son apogée.
@lectrice: Le wokisme chez HDS
Ah bon c'est existant de prendre des risques et de niquer sans capotes pour risquer de ramener 1 merde d'IST. En plus en quoi doit t'elle obeir , le mec n'a pas à donner d'ordre , il doit rester à sa place de sextoy !!!
Je ne comprendrais jamais ces femmes qui cherchent des mecs pour niquer et se laissent écraser , la femme est libre de faire ce qu'elle veut et non de se faire imposer quoi que ce soit par 1 pseudo dominateur au final 1 sextoy sur pattes !!!
Je ne comprendrais jamais ces femmes qui cherchent des mecs pour niquer et se laissent écraser , la femme est libre de faire ce qu'elle veut et non de se faire imposer quoi que ce soit par 1 pseudo dominateur au final 1 sextoy sur pattes !!!
Très excitant de redécouvrir cette période, je me plais à poser tout ça par écrit. Le réel enlaçant le fantasme!
Très excitant
J’ai bandé comme jamais … vite une suite