De collègue de travail à sex-friends (Partie 2)
Récit érotique écrit par Godot [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De collègue de travail à sex-friends (Partie 2)
Après ce petit moment intime avec Annabelle, ma collègue de travail, je n'avais qu'une envie, retourner la voir pour lui proposer de retourner dans cette salle des archives mais tout compte fait, je trouvais plus excitant le fait de lui laisser la contrôle de la situation afin de voir jusqu'où elle comptait aller. Je me concentrais du coup sur mon travail surtout que cette petite escapade coquine m'avait fait prendre du retard sur un dossier important m'obligeant à rester plus longtemps que je ne le souhaitais au bureau. Alors que j'avançais plutôt bien, j'entendis mon téléphone vibrer, signe que je venais de recevoir un SMS.
« Tu es chez toi mon coquin ? » M'envoya Annabelle.
« Non, toujours au bureau ma belle ».
« Moi aussi je fais des heures supp mais sur mon lit... »
« C'est à dire ? » Lui demandais-je.
« Je suis sur mon lit entrain de me caresser tout en ayant mon string à mon nez, j'adore l'odeur des hommes et particulièrement ton odeur... ».
Et voilà, je pouvais dire adieu à ma concentration concernant mon dossier à terminer, car elle avait bien entendu toute mon attention.
« Et il n'y a que mon odeur que tu aimes ? »
« Oh que non, j'adore ta bite également, tu n'imagines pas à quel point j'ai hâte d'y re-goûter demain ! »
J'avais des images plein la tête et je ne pouvais que regretter de ne pas être avec elle.
« D'ailleurs, je suis certaine qu'elle est bien dure avec mes messages... »
Suite à cet SMS, je me dirigeais vers les WC pour prendre en photo mon sexe qui déformait mon caleçon afin de lui montrer qu'effectivement, elle avait raison.
« Hum... J'ai tellement envie de baisser ton caleçon et te sucer... D'ailleurs, tu ne veux pas m'envoyer une photo de ta bite ? »
« Continues de me chauffer et tu auras ce que tu voudras ! ». Lui envoyais-je, très content d'avoir pris la main sur la situation cette fois-ci.
Je reçu alors plusieurs photos où l'on voyait Annabelle se doigter accompagner de cet sms :
« J'ai hâte que tu puisses remplacer mes doigts... »
« Tu m'excites tellement ! ». Lui envoyais-je.
« Ah ! J'ai donc droit à ma récompense ! »
Elle avait raison. Du coup, assis sur ma chaise de bureau en étant quasi couché, je relevais ma chemise pour lui montrer le bout de ma bite qui dépassait de mon pantalon à Annabelle, accompagnait de ce message :
« Je m'imagine mettre ma main derrière ta tête tout en te demandant de venir lécher ma bite. Tu descends et commences doucement à sucer ce morceaux de bite. »
« Et après t'avoir donné la meilleure fellation de ta vie, je finis par être récompensé en étant recouverte de ton sperme... J'en ai tellement envie ! »
« Et dire qu'à mon arrivé dans la boite, je te pensais coincé! »
« Ca te choque de me savoir aussi cochonne ? »
« Non, j'adore ça ! »
« On va bien s'amuser tous les deux ! »
Après avoir passé toute une nuit à lutter contre l'envie de me masturber, je retrouvais Annabelle le lendemain au bureau. Dès son arrivée, elle vint me voir et me dit à l'oreille en faisant semblant de me faire la bise :
- A 11h30, on se retrouve devant la machine à café.
J'avais hâte d'y être ! Mais juste après son départ, je fus obligé de me rendre au toilette. Alors que j'allais refermer la porte, Annabelle m'empêcha de la refermer et s'y glissa à l'intérieur me laissant bouche bée.
- Ne t'en fais pas, personne ne m'a vu, ils sont tous entrain de prendre un café ou de fumer une cigarette, heureusement en plus qu'il n'y a pas encore grand monde à cette heure-ci.
Tout en me disant cela pour me rassurer, elle baissa son pantalon puis son string. Je la fis alors se mettre dans l’angle du fonds, puis elle releva une jambe pour poser son pied sur le réservoir et avoir les cuisses bien ouvertes.
- Allez, branle toi devant moi ! Me dit-elle d'un ton autoritaire.
Je baissais mon pantalon et mon caleçon jusqu'à mes chevilles. Puis, je m’assis sur la cuvette, à contre sens, face au mur, face à elle. Je me branlais tout en l’admirant entrain d'en faire de même.
- C’est trop bon de te voir te branler !
Lui dis-je avant de rajouter.
- J'adore le bruit de tes doigts dans ton jus, suce les, goûte ta mouille !
Elle porta alors sa main à sa bouche me laissant la possibilité d'enfin pouvoir goûter à son nectar. Je la dévorais comme un animal avant de m'y détacher afin que l'on puisse reprendre notre activité solitaire tout en s'admirant.
- Va falloir que j'arrête car je ne vais pas tarder à venir !
Pour seule réponse, je vis Annabelle s’asseoir face à moi la bouche grande ouverte et tirant la langue. Le message étant plus que clair, j'accélérais mes mouvements de masturbation au dessus d'elle pendant qu'elle continuait de se caresser. Ne tenant plus, je lâchais un premier jet de sperme dans sa bouche. Elle avala alors aussitôt mon sexe pour garder tout mon jus. Les joues gonflées sur ma verge, je me vidais dans sa bouche. Elle pris son temps pour avaler mon sperme tout en continuant à me sucer délicatement, me rendant mon sexe aussi propre qu'avant nos ébats.
Une fois habillais, j'ouvris délicatement la porte pour m'assurer qu'il n'y avait personne dans le couloir, puis avant de refermer, j'entendis Annabelle me dire :
- A tout à l'heure !
A 11h30, je me rendis dans la salle de détente pour rejoindre Annabelle, celle-ci était déjà présente.
- Alors, on fait quoi ma belle ?
- Rien du tout.
- Ah bon ? Lui dis-je surpris et déçu.
- Je pense tellement à toi depuis ce matin que je n'ai pas réussi à avancer. Et je n'ai qu'une envie, celle qu'on baise tous les deux ! Du coup, ce soir, pars 5 minutes après moi et rejoins moi chez moi, voici mon adresse.
Il était maintenant (enfin) l’heure d'y aller, pas question de faire des heures supplémentaires cette fois-ci. Après avoir attendu 5 grosses minutes après la départ d'Annabelle pour ne pas éveiller les soupçons, je quittais à mon tour le bureau. Cette dernière m'attendait au coin de la rue pour aller chez elle. Heureusement que son appartement n’était pas très loin car l’excitation était de plus en plus forte. A peine arrivé chez elle, on s'embrassa fougueusement, tout en se déshabillant mutuellement.
On se dirigea vers son lit où je la fis s'allonger pour pouvoir m'occuper d'elle. Je descendis le long de son corps en l’embrassant d’abord dans le cou, puis sur sa poitrine, son ventre, pour arriver sur son sexe. Après avoir retirais son string, je pouvais de nouveau lécher son jolie sexe rasé qui était déjà bien humide. Je passais ma langue le long de ses lèvres mais également sur son clitoris. Pour accompagner ma langue, je rentrais un doigt dans sa fente. Elle avait l’air d’apprécier, poussant de petits cris à chaque va-et-viens, j'accélérais le mouvement. Alors que je la sentais se raidir, j’accélérais encore le rythme mais elle me repoussa.
- Prends moi tout de suite !
Tout en me disant ça, elle se plaça au bord du lit, ses cuisses autour de ma taille. J’avançais mon sexe vers le sien, tout en caressant ses lèvres avec mon gland dans un premier temps pendant qu'elle se trémoussait dans tous les sens. Puis, je guidais mon pénis vers l’entrée de son intimité. Je fus aussitôt enveloppé par la chaleur douce et humide de son corps. Je m’enfonçais lentement jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir. Dans un premier temps, mes va-et-viens étaient assez lent.
- Tu es tellement excitante !
Il était maintenant temps d'accélérer la cadence, je m’appliquais dès lors à la pilonner avec entrain. Elle sursautait sous mes coups de boutoir en gémissant de plus en plus en malaxant en même temps ses seins.
Je demandais ensuite à Annabelle de changer de position, elle se plaça à 4 pattes pour que je puisse la pénétrer en levrette. J’avais à présent une vue magnifique sur ses fesses. Fesses que je ne cessais d’admirer toute la journée au boulot. Après quelques minutes, je sentais la jouissance monter en moi. Presque malgré moi, j’accélérais encore mes va-et-vient. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, Florence criait son plaisir tout en m’invectivant. Je finis par me retirer d'elle avant d'enlever le préservatif de mon sexe. J’éjaculais alors sur le haut de ses fesses de longue giclée de sperme, tout en grognant comme une bête sauvage. On s’allongea l'un sur l'autre pour s’embrasser durant de nombreuses minutes.
- Je pense qu'il faudrait qu'on prenne une petite douche. Dis-je à Annabelle.
- Très bonne idée !
Je suivis donc ma collègue jusqu’à sa salle de bain où elle m'y emmena en me prenant par la verge. Après avoir fait en sorte que l'eau soit à température, on entra tous les deux dans la cabine. Qu’il était agréable de voir ses seins ruisselants ! C'était d'abord à mon tour, elle commençait par ma nuque, puis mon torse, avant de descendre sur mes jambes en prenant soin de ne pas effleurer mon pénis. Ensuite elle me fit me retourner afin de me frotter le dos, avant de me savonner les fesses, glissant sa main entre les deux et savonnant bien ma rondelle. Elle me prit alors mes testicules dans le but de les malaxer pour enfin s'occuper tendrement de mon sexe.
Je pris ensuite le savon pour m'occuper d'elle, je commençais par le dos en descendant jusqu’aux fesses, avant qu'elle ne se retourne pour que je puisse m'occuper de sa poitrine et plus précisément de ses tétons.
- Je crois que ma chatte est jalouse !
Alors que je pris de nouveau le savon, elle me l'arracha des mains.
- Non non, tu n'as pas besoin de savon pour cette zone !
Ayant compris ce qu'elle souhaitait, je m'accroupis devant elle afin de lécher goulûment le sexe d'Annabelle. Mes pouces vinrent se poser de chaque côté de son sexe, une légère pression de mes doigts suffirent à faire éclore sa fleur. Ma langue se posa alors sur son puits et remonta jusqu’à son bouton.
- Ta langue est un délice ! Me dit-elle.
Je me concentrais maintenant sur son bouton, tournoyant autour comme un fou, elle ne pouvait plus retenir ses gémissements qui se muaient en un cri rauque alors que j'aspirais et mordillais ce bouton, c’est à ce moment précis que je sentis qu'elle venir de jouir.
Du coup, avec ma langue j'en profitais pour boire son jus à même la source, je m’immisçais de ce fait le plus loin possible en elle, tournant dans son sexe et l’aspirant. Alors qu'elle plaça ses mains autour de ma tête comme pour m'empêcha d'y retirer ma bouche de son entrejambe, je repris mes grand coup de langue pour me délecter un maximum du jus qui avait glissé de son antre.
Après ce magnifique moment, on sortit tous les deux au restaurant. Alors que nous commencions à manger, je sentis la jambe d'Annabelle se coller à la mienne. Elle me caressait ainsi doucement. Après mettre rapproché d'elle, je décidais de mettre discrètement ma main sous la nappe afin de caresser l'une de ses cuisses tandis qu'elle me regardait avec délice. Remontant sa jupe, je découvris avec surprise qu’elle n’avait pas mis de culotte ! Je caressais alors doucement son clito. Le repas se poursuivit, et au moment du dessert, je sentis sa main s’aventurer sur ma bite à travers mon pantalon. Une fois de retour chez elle, alors que mes mains se firent très baladeuses, Annabelle me surpris en les repoussants.
- Non, tu n'es pas encore suffisamment en forme pour ce que j'ai prévu, alors ce soir, on va dormir.
Même si j'étais déçu, elle avait raison, un peu de repos ne pouvais pas me faire de mal. En plein milieu de la nuit, je fus réveillé par une drôle de sensation, j’ouvris les yeux et je vis alors Annabelle en train de me masturber. Celle-ci c'était même changé, elle portait une nuisette en dentelle assez transparente.
- Ah ! Tu es enfin réveillé !
- Oui mais ne t'arrête pas ! Lui dis-je
- Prend moi la bouche ! Répliqua t-elle tout en continuant de me masturber.
- Quoi ?
- Ma bouche est à toi !
Je m’approchais d'elle pour l’embrasser. Elle me rendit mon baiser. J'adorais sentir le goût des lèvres de ma collègue. Nos langues commencèrent à se mélanger pendant qu'elle me caressait mon torse. Après s'être longuement embrassé, je mis mon pénis dans sa bouche pour débuter de lent va-et-vient afin de ne pas lui faire mal. Même si Annabelle manquait de vomir au début, elle parvint à accueillir ma bite. Je gardais le même rythme un petit moment avant de l'accélérer en entrant de plus en plus dans sa bouche. Je sentais le fond de sa gorge à chaque coup, Annabelle ne semblant pas gênée, j'en profitais du coup pour rester quelques secondes au fond de sa gorge en lui maintenant la tête. C'était la toute première fois qu'on me faisait une gorge profonde et j'adorais cette sensation.
Je finis par retirer ma bite de sa bouche afin qu'elle puisse reprendre son souffle et parce que je souhaitais de nouveau la pénétrer. Alors que je pris la boite de préservatif sur sa table de chevet, elle m'arrêta.
- Je suis clean, et toi ?
- Aussi.
- Alors pas de capote, j'ai envie de te sentir éjaculer ton sperme chaud en moi !
Avant de la pénétrer, Je léchais de nouveau son petit bouton avant d'en profiter pour introduire un doigt dans sa chatte, puis un deuxième. Ses gémissements se firent un peu plus fort alors qu'elle commençait à mouiller abondamment. Je vins alors me placer entre ses jambes. On s’embrassa un peu et tout doucement j’insérais ma bite dans son vagin. J’y allais avec douceur et tendresse pour qu’elle puisse sentir chaque centimètre de moi s'enfoncer en elle. De son coté, elle me serrait contre elle avec ses bras et ses jambes tout en me griffant le dos. Mon sexe allait et venait en elle en un mouvement de piston régulier et puissant. Je continuais en accélérant mes mouvements jusqu'à arriver au moment fatidique, j’éjaculais alors abondamment en elle. Epuisé, on ne put que s'écrouler de fatigue et s'endormir l'un contre l'autre.
« Tu es chez toi mon coquin ? » M'envoya Annabelle.
« Non, toujours au bureau ma belle ».
« Moi aussi je fais des heures supp mais sur mon lit... »
« C'est à dire ? » Lui demandais-je.
« Je suis sur mon lit entrain de me caresser tout en ayant mon string à mon nez, j'adore l'odeur des hommes et particulièrement ton odeur... ».
Et voilà, je pouvais dire adieu à ma concentration concernant mon dossier à terminer, car elle avait bien entendu toute mon attention.
« Et il n'y a que mon odeur que tu aimes ? »
« Oh que non, j'adore ta bite également, tu n'imagines pas à quel point j'ai hâte d'y re-goûter demain ! »
J'avais des images plein la tête et je ne pouvais que regretter de ne pas être avec elle.
« D'ailleurs, je suis certaine qu'elle est bien dure avec mes messages... »
Suite à cet SMS, je me dirigeais vers les WC pour prendre en photo mon sexe qui déformait mon caleçon afin de lui montrer qu'effectivement, elle avait raison.
« Hum... J'ai tellement envie de baisser ton caleçon et te sucer... D'ailleurs, tu ne veux pas m'envoyer une photo de ta bite ? »
« Continues de me chauffer et tu auras ce que tu voudras ! ». Lui envoyais-je, très content d'avoir pris la main sur la situation cette fois-ci.
Je reçu alors plusieurs photos où l'on voyait Annabelle se doigter accompagner de cet sms :
« J'ai hâte que tu puisses remplacer mes doigts... »
« Tu m'excites tellement ! ». Lui envoyais-je.
« Ah ! J'ai donc droit à ma récompense ! »
Elle avait raison. Du coup, assis sur ma chaise de bureau en étant quasi couché, je relevais ma chemise pour lui montrer le bout de ma bite qui dépassait de mon pantalon à Annabelle, accompagnait de ce message :
« Je m'imagine mettre ma main derrière ta tête tout en te demandant de venir lécher ma bite. Tu descends et commences doucement à sucer ce morceaux de bite. »
« Et après t'avoir donné la meilleure fellation de ta vie, je finis par être récompensé en étant recouverte de ton sperme... J'en ai tellement envie ! »
« Et dire qu'à mon arrivé dans la boite, je te pensais coincé! »
« Ca te choque de me savoir aussi cochonne ? »
« Non, j'adore ça ! »
« On va bien s'amuser tous les deux ! »
Après avoir passé toute une nuit à lutter contre l'envie de me masturber, je retrouvais Annabelle le lendemain au bureau. Dès son arrivée, elle vint me voir et me dit à l'oreille en faisant semblant de me faire la bise :
- A 11h30, on se retrouve devant la machine à café.
J'avais hâte d'y être ! Mais juste après son départ, je fus obligé de me rendre au toilette. Alors que j'allais refermer la porte, Annabelle m'empêcha de la refermer et s'y glissa à l'intérieur me laissant bouche bée.
- Ne t'en fais pas, personne ne m'a vu, ils sont tous entrain de prendre un café ou de fumer une cigarette, heureusement en plus qu'il n'y a pas encore grand monde à cette heure-ci.
Tout en me disant cela pour me rassurer, elle baissa son pantalon puis son string. Je la fis alors se mettre dans l’angle du fonds, puis elle releva une jambe pour poser son pied sur le réservoir et avoir les cuisses bien ouvertes.
- Allez, branle toi devant moi ! Me dit-elle d'un ton autoritaire.
Je baissais mon pantalon et mon caleçon jusqu'à mes chevilles. Puis, je m’assis sur la cuvette, à contre sens, face au mur, face à elle. Je me branlais tout en l’admirant entrain d'en faire de même.
- C’est trop bon de te voir te branler !
Lui dis-je avant de rajouter.
- J'adore le bruit de tes doigts dans ton jus, suce les, goûte ta mouille !
Elle porta alors sa main à sa bouche me laissant la possibilité d'enfin pouvoir goûter à son nectar. Je la dévorais comme un animal avant de m'y détacher afin que l'on puisse reprendre notre activité solitaire tout en s'admirant.
- Va falloir que j'arrête car je ne vais pas tarder à venir !
Pour seule réponse, je vis Annabelle s’asseoir face à moi la bouche grande ouverte et tirant la langue. Le message étant plus que clair, j'accélérais mes mouvements de masturbation au dessus d'elle pendant qu'elle continuait de se caresser. Ne tenant plus, je lâchais un premier jet de sperme dans sa bouche. Elle avala alors aussitôt mon sexe pour garder tout mon jus. Les joues gonflées sur ma verge, je me vidais dans sa bouche. Elle pris son temps pour avaler mon sperme tout en continuant à me sucer délicatement, me rendant mon sexe aussi propre qu'avant nos ébats.
Une fois habillais, j'ouvris délicatement la porte pour m'assurer qu'il n'y avait personne dans le couloir, puis avant de refermer, j'entendis Annabelle me dire :
- A tout à l'heure !
A 11h30, je me rendis dans la salle de détente pour rejoindre Annabelle, celle-ci était déjà présente.
- Alors, on fait quoi ma belle ?
- Rien du tout.
- Ah bon ? Lui dis-je surpris et déçu.
- Je pense tellement à toi depuis ce matin que je n'ai pas réussi à avancer. Et je n'ai qu'une envie, celle qu'on baise tous les deux ! Du coup, ce soir, pars 5 minutes après moi et rejoins moi chez moi, voici mon adresse.
Il était maintenant (enfin) l’heure d'y aller, pas question de faire des heures supplémentaires cette fois-ci. Après avoir attendu 5 grosses minutes après la départ d'Annabelle pour ne pas éveiller les soupçons, je quittais à mon tour le bureau. Cette dernière m'attendait au coin de la rue pour aller chez elle. Heureusement que son appartement n’était pas très loin car l’excitation était de plus en plus forte. A peine arrivé chez elle, on s'embrassa fougueusement, tout en se déshabillant mutuellement.
On se dirigea vers son lit où je la fis s'allonger pour pouvoir m'occuper d'elle. Je descendis le long de son corps en l’embrassant d’abord dans le cou, puis sur sa poitrine, son ventre, pour arriver sur son sexe. Après avoir retirais son string, je pouvais de nouveau lécher son jolie sexe rasé qui était déjà bien humide. Je passais ma langue le long de ses lèvres mais également sur son clitoris. Pour accompagner ma langue, je rentrais un doigt dans sa fente. Elle avait l’air d’apprécier, poussant de petits cris à chaque va-et-viens, j'accélérais le mouvement. Alors que je la sentais se raidir, j’accélérais encore le rythme mais elle me repoussa.
- Prends moi tout de suite !
Tout en me disant ça, elle se plaça au bord du lit, ses cuisses autour de ma taille. J’avançais mon sexe vers le sien, tout en caressant ses lèvres avec mon gland dans un premier temps pendant qu'elle se trémoussait dans tous les sens. Puis, je guidais mon pénis vers l’entrée de son intimité. Je fus aussitôt enveloppé par la chaleur douce et humide de son corps. Je m’enfonçais lentement jusqu’à la garde, lui arrachant un râle de plaisir. Dans un premier temps, mes va-et-viens étaient assez lent.
- Tu es tellement excitante !
Il était maintenant temps d'accélérer la cadence, je m’appliquais dès lors à la pilonner avec entrain. Elle sursautait sous mes coups de boutoir en gémissant de plus en plus en malaxant en même temps ses seins.
Je demandais ensuite à Annabelle de changer de position, elle se plaça à 4 pattes pour que je puisse la pénétrer en levrette. J’avais à présent une vue magnifique sur ses fesses. Fesses que je ne cessais d’admirer toute la journée au boulot. Après quelques minutes, je sentais la jouissance monter en moi. Presque malgré moi, j’accélérais encore mes va-et-vient. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, Florence criait son plaisir tout en m’invectivant. Je finis par me retirer d'elle avant d'enlever le préservatif de mon sexe. J’éjaculais alors sur le haut de ses fesses de longue giclée de sperme, tout en grognant comme une bête sauvage. On s’allongea l'un sur l'autre pour s’embrasser durant de nombreuses minutes.
- Je pense qu'il faudrait qu'on prenne une petite douche. Dis-je à Annabelle.
- Très bonne idée !
Je suivis donc ma collègue jusqu’à sa salle de bain où elle m'y emmena en me prenant par la verge. Après avoir fait en sorte que l'eau soit à température, on entra tous les deux dans la cabine. Qu’il était agréable de voir ses seins ruisselants ! C'était d'abord à mon tour, elle commençait par ma nuque, puis mon torse, avant de descendre sur mes jambes en prenant soin de ne pas effleurer mon pénis. Ensuite elle me fit me retourner afin de me frotter le dos, avant de me savonner les fesses, glissant sa main entre les deux et savonnant bien ma rondelle. Elle me prit alors mes testicules dans le but de les malaxer pour enfin s'occuper tendrement de mon sexe.
Je pris ensuite le savon pour m'occuper d'elle, je commençais par le dos en descendant jusqu’aux fesses, avant qu'elle ne se retourne pour que je puisse m'occuper de sa poitrine et plus précisément de ses tétons.
- Je crois que ma chatte est jalouse !
Alors que je pris de nouveau le savon, elle me l'arracha des mains.
- Non non, tu n'as pas besoin de savon pour cette zone !
Ayant compris ce qu'elle souhaitait, je m'accroupis devant elle afin de lécher goulûment le sexe d'Annabelle. Mes pouces vinrent se poser de chaque côté de son sexe, une légère pression de mes doigts suffirent à faire éclore sa fleur. Ma langue se posa alors sur son puits et remonta jusqu’à son bouton.
- Ta langue est un délice ! Me dit-elle.
Je me concentrais maintenant sur son bouton, tournoyant autour comme un fou, elle ne pouvait plus retenir ses gémissements qui se muaient en un cri rauque alors que j'aspirais et mordillais ce bouton, c’est à ce moment précis que je sentis qu'elle venir de jouir.
Du coup, avec ma langue j'en profitais pour boire son jus à même la source, je m’immisçais de ce fait le plus loin possible en elle, tournant dans son sexe et l’aspirant. Alors qu'elle plaça ses mains autour de ma tête comme pour m'empêcha d'y retirer ma bouche de son entrejambe, je repris mes grand coup de langue pour me délecter un maximum du jus qui avait glissé de son antre.
Après ce magnifique moment, on sortit tous les deux au restaurant. Alors que nous commencions à manger, je sentis la jambe d'Annabelle se coller à la mienne. Elle me caressait ainsi doucement. Après mettre rapproché d'elle, je décidais de mettre discrètement ma main sous la nappe afin de caresser l'une de ses cuisses tandis qu'elle me regardait avec délice. Remontant sa jupe, je découvris avec surprise qu’elle n’avait pas mis de culotte ! Je caressais alors doucement son clito. Le repas se poursuivit, et au moment du dessert, je sentis sa main s’aventurer sur ma bite à travers mon pantalon. Une fois de retour chez elle, alors que mes mains se firent très baladeuses, Annabelle me surpris en les repoussants.
- Non, tu n'es pas encore suffisamment en forme pour ce que j'ai prévu, alors ce soir, on va dormir.
Même si j'étais déçu, elle avait raison, un peu de repos ne pouvais pas me faire de mal. En plein milieu de la nuit, je fus réveillé par une drôle de sensation, j’ouvris les yeux et je vis alors Annabelle en train de me masturber. Celle-ci c'était même changé, elle portait une nuisette en dentelle assez transparente.
- Ah ! Tu es enfin réveillé !
- Oui mais ne t'arrête pas ! Lui dis-je
- Prend moi la bouche ! Répliqua t-elle tout en continuant de me masturber.
- Quoi ?
- Ma bouche est à toi !
Je m’approchais d'elle pour l’embrasser. Elle me rendit mon baiser. J'adorais sentir le goût des lèvres de ma collègue. Nos langues commencèrent à se mélanger pendant qu'elle me caressait mon torse. Après s'être longuement embrassé, je mis mon pénis dans sa bouche pour débuter de lent va-et-vient afin de ne pas lui faire mal. Même si Annabelle manquait de vomir au début, elle parvint à accueillir ma bite. Je gardais le même rythme un petit moment avant de l'accélérer en entrant de plus en plus dans sa bouche. Je sentais le fond de sa gorge à chaque coup, Annabelle ne semblant pas gênée, j'en profitais du coup pour rester quelques secondes au fond de sa gorge en lui maintenant la tête. C'était la toute première fois qu'on me faisait une gorge profonde et j'adorais cette sensation.
Je finis par retirer ma bite de sa bouche afin qu'elle puisse reprendre son souffle et parce que je souhaitais de nouveau la pénétrer. Alors que je pris la boite de préservatif sur sa table de chevet, elle m'arrêta.
- Je suis clean, et toi ?
- Aussi.
- Alors pas de capote, j'ai envie de te sentir éjaculer ton sperme chaud en moi !
Avant de la pénétrer, Je léchais de nouveau son petit bouton avant d'en profiter pour introduire un doigt dans sa chatte, puis un deuxième. Ses gémissements se firent un peu plus fort alors qu'elle commençait à mouiller abondamment. Je vins alors me placer entre ses jambes. On s’embrassa un peu et tout doucement j’insérais ma bite dans son vagin. J’y allais avec douceur et tendresse pour qu’elle puisse sentir chaque centimètre de moi s'enfoncer en elle. De son coté, elle me serrait contre elle avec ses bras et ses jambes tout en me griffant le dos. Mon sexe allait et venait en elle en un mouvement de piston régulier et puissant. Je continuais en accélérant mes mouvements jusqu'à arriver au moment fatidique, j’éjaculais alors abondamment en elle. Epuisé, on ne put que s'écrouler de fatigue et s'endormir l'un contre l'autre.
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