DE DECOUVERTES EN DECOUVERTES
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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DE DECOUVERTES EN DECOUVERTES
Il y a longtemps que je voulais écrire cette histoire et libérer ainsi ma conscience
sur qui elle a pesé pendant de nombreuses années. Depuis pratiquement quinze ans, je
la considérais comme une chose taboue. Je n’ai jamais osé la dévoiler à mon mari, en
onze ans de vie commune. Je me suis toujours sentie mal à l’aise face à ce sujet, mais
un jour j’ai pu la raconter à mon meilleur ami.
— Tu te fais un monde de choses qui sont naturelles.
— Tu en es sûr ?
— Si je te le dis, c’est que tu n’es pas la première à qui c’est arrivé ! Mais toi
seule crois que c’est mal. Tout le monde ou presque joue à des petits jeux sexuels
étant jeune…
Il a su dédramatiser la chose, et aujourd’hui je l’accepte et regrette même de ne pas
être allée plus loin.
Tout a commencé un été, chez ma marraine. Roland, son fils, m’a coincée dans la
chambre où je dormais pour me donner un baiser et glisser sa main dans ma petite
culotte. Le lendemain c’était dans le garage. Là, il a voulu voir le fruit défendu… Je
ne voulais pas mais la menace m’a fait changer d’avis et, à sa guise, il a pu me
caresser et mettre ses doigts curieux dans mon minou. J’aimais ça… Malheureusement,
les vacances étaient toujours trop courtes.
L’été suivant, mes parents décidèrent de partir une semaine en vacances chez des amis
en Auvergne. Cette visite ne me plaisait guère, et je décidai plutôt de me rendre
quelques jours chez ma marraine en Provence. J’étais folle de joie et pour diverses
raisons, comme vous pouvez le deviner. Ils avaient déménagé depuis quelques mois dans
ce petit mas entouré de cigales.
— Roland, tu veux bien me faire visiter ? Votre nouvelle maison à l’air superbe !
— Oui, bien sûr, je vais même te montrer ta chambre.
Nous avons terminé la visite par sa chambre qui se trouvait sous les toits… Pour y
monter, il fallait escalader une échelle droite contre le mur.
— C’est une superbe planque ici, ma mère n’ose pas monter.
Nous avons écouté un peu de musique tout en discutant et en regardant des photos de
notre enfance. J’avais envie, comme l’année dernière, qu’il se passe quelque chose
entre nous et soudain, assis à côté de moi sur le lit, il m’effleura la main et me
demanda :
— Est-ce que je peux t’embrasser ?
Évidemment, je n’attendais que ça. Avoir la sensation d’un baiser sur mes lèvres… Son
baiser fut tendre et passionné, sa langue rencontra la mienne et je ne pus dire
combien de temps cela avait pu durer. Ses mains caressaient mes seins à travers mon
tee-shirt, nous étions transportés. Mais une voix nous annonça l’heure du repas et,
tout en rigolant, nous redescendîmes rejoindre les adultes.
Comme chaque soir, pour m’endormir, je me suis imaginé des choses, tout en glissant ma
main dans ma petite culotte et mes doigts dans mon intimité, recherchant le plaisir…
Mais cette fois-ci, le héros, c’était Roland ! Je l’imaginais me déshabiller
délicatement, se pencher sur mes seins pour les baiser du bout des lèvres. Ses mains
me les caressaient, sa bouche glissait doucement sur mon corps, mon entrejambe sentait
des picotements de désir, ma cyprine commençait à couler entre mes lèvres encore
innocentes. Alors, il descendait de plus en plus vers la cité interdite, encore cachée
par mon petit bout de coton blanc… Mais très vite, je me retrouvais nue, allongée sur
son lit, totalement abandonnée à ses caresses et à ses baisers.
Mes doigts jouaient une course folle pour gagner la jouissance qui ne tardait jamais à
venir, ne me laissant pas aller plus loin dans mes songes, tant j’avais déjà pris du
plaisir, et je pouvais enfin sombrer dans un sommeil profond, espérant pouvoir vivre
la suite dans mes rêves.
Tous les jours, nous profitions de quelques instants pour nous bécoter, cachés dans
chaque recoin de la maison ou du jardin, profitant d’une promenade en ville, ou en
allant chercher le pain.
Le dernier jour, les vacances de ses parents se terminant aussi, ils partirent pour le
travail vers huit heures trente. Quant à moi, une fois levée et douchée, je me
prélassais dehors pour bronzer, espérant au plus profond de moi que Roland ferait son
apparition, pour enfin nous embrasser sans devoir nous cacher. J’étais donc allongée
au bord de la piscine. Mises à part les cigales, je me sentais seule au monde,
tellement c’était calme et reposant.
Vers dix heures, je sentis une ombre au-dessus de moi. Curieuse, j’ouvris les yeux et
vis Roland qui me regardait tout en souriant… D’un coup je fus dans l’eau. Il m’y
rejoignit aussitôt et s’approcha de moi, pour me prendre dans ses bras et m’embrasser.
Serrée très fort contre lui, je sentais son corps frémir.
Roland avait trois ans de plus que moi et j’étais fière qu’un beau garçon comme lui
s’intéresse à moi. Étant très réservée, je n’avais aucun copain garçon. À cet âge, les
garçons préfèrent les filles qui aiment se faire remarquer, elles sont peut-être plus
consentantes à leurs yeux. Notre étreinte se faisait de plus en plus folle… Alors,
prenant conscience qu’on pourrait être vus, il me prit par la main :
— Suis-moi, on va dans ma chambre.
Une fois en haut, il ferma la porte à clef derrière lui et s’approcha de moi pour
reprendre son étreinte. Que c’était bon de se sentir désirée ! Ses mains caressaient
mon corps, quand je sentis mon haut de maillot tomber. J’étais à demi-nue devant lui,
pourtant ce n’était pas la première fois, je l’avais déjà été un an auparavant dans le
garage et quelques jours plus tot.
Mon cœur battait la chamade, j’avais envie de sentir sa main glisser dans mon bikini.
Il m’entraîna sur son lit, nos deux corps collés l’un à l’autre. Pourtant, quelque
chose en lui avait changé. Je le trouvais moins tendre. C’est alors qu’il me repoussa
et je le vis retirer son maillot de bain. C’était la première fois de ma vie que je
voyais un sexe d’homme et je fus surprise de découvrir son anatomie. Il dut le
remarquer. Il me saisit la main pour la déposer sur sa verge.
— Caresse-la !
Ce que je fis très maladroitement, je pense. C’était chaud, dur. Voyant mon
hésitation, il posa sa main sur la mienne pour me montrer la marche à suivre. Sa verge
se libérait de sa prison de peau pour aller s’y recacher et ainsi de suite. Au bout de
quelques minutes, il lâcha ma main pour me saisir la tête et la diriger vers son
pénis.
— Suce, vas-y !
J’entrepris donc de mettre son sexe dans ma bouche. Sa main, toujours sur ma tête, me
dérangeait. J’obéis donc à son désir, faisant des va-et-vient de ma bouche sur son
sexe. Par moments, son gland venait tout au fond de ma bouche et je sentais des haut-
le-cœur me secouer… Mais Roland ne semblait pas s’en soucier. Et d’un coup, sans
comprendre ce qui venait de se passer, je me suis retrouvée avec un liquide bizarre
dans la bouche, que je me suis empressée d’avaler tant il me dégoûtait. Revenu d’un
coup à la réalité, Roland s’est vite excusé auprès de moi, me demandant de recracher.
Mais c’était trop tard ! Vexée, je me suis sauvée, sans récupérer mes affaires, malgré
ses appels. Ne connaissant rien à l’anatomie de l’homme, j’ai cru qu’il m’avait uriné
dans la bouche.
Après m’être longuement rincé la bouche pour me retirer ce goût atroce, j’ai enfilé un
tee-shirt et je me suis réfugiée dans un coin du jardin, assise par terre, la tête
entre les jambes, pleurant sur mon sort. Roland me cherchait. Je ne bougeais pas, pour
qu’il ne me trouve pas, mais ses pas se rapprochèrent de moi, et son ombre me fit
frissonner. Il s’accroupit face à moi, voulut prendre ma main que je lui retirai.
Alors il la posa sur mes genoux. Je frissonnais de peur mais une étrange sensation de
désir me secouait, me disait d’avoir confiance en lui. Il m’aida à me relever et me
serra dans ses bras :
— Excuse-moi, mais tu m’as tellement fait du bien que je n’ai pu me retenir.
— Ne t’inquiète pas, ce n’est rien. J’ai été surprise et vexée, mais je ne t’en veux
pas.
Nous avons essayé de passer la journée comme si de rien n’était, et le soir même je
fis mes adieux à mes hôtes, triste de quitter ma marraine et la magnifique région,
mais ravie de m’éloigner de son fils car, malgré mes paroles je lui en voulais
énormément.
De retour chez moi, je repensais sans cesse aux doux songes que je me faisais avant de
m’endormir, et je me rendis compte que ma réalité avait été très différente. Même si
j’avais été très excitée par la situation, et que j’y avais pris du plaisir, j’ai
préféré ne garder en mémoire que ce qui m’avait déplu, car je me sentais coupable.
Aujourd’hui, je sais que ce n’était pas de l’urine et j’ai honte de mon ignorance.
J’étais une jeune fille sage sur certains points… J’ai eu longtemps du mal à faire une
fellation. Je ne supportais pas les mains sur ma tête, pas même celles de mon mari.
Aujourd’hui, je vis une vie nouvelle avec un homme merveilleux qui m’a fait découvrir
le sexe que je prenais pour une corvée conjugale. J’en suis même devenue une accro,
avec lui uniquement ! Je me fais un plaisir de lui sucer le sexe et de l’emmener
jusqu’au plaisir final, même si j’ai encore quelquefois des haut-le-cœur quand sa
jouissance me remplit la bouche. Mais le principal est que je lui ai fait prendre son
pied.
Souvent nous parlons de cette époque avec Roland et imaginons ce qui aurait pu se
passer si j’étais restée. Je lui aurais certainement permis de prendre ma virginité,
ou simplement de me caresser et de me lécher à son tour pour me donner un intense
plaisir.
sur qui elle a pesé pendant de nombreuses années. Depuis pratiquement quinze ans, je
la considérais comme une chose taboue. Je n’ai jamais osé la dévoiler à mon mari, en
onze ans de vie commune. Je me suis toujours sentie mal à l’aise face à ce sujet, mais
un jour j’ai pu la raconter à mon meilleur ami.
— Tu te fais un monde de choses qui sont naturelles.
— Tu en es sûr ?
— Si je te le dis, c’est que tu n’es pas la première à qui c’est arrivé ! Mais toi
seule crois que c’est mal. Tout le monde ou presque joue à des petits jeux sexuels
étant jeune…
Il a su dédramatiser la chose, et aujourd’hui je l’accepte et regrette même de ne pas
être allée plus loin.
Tout a commencé un été, chez ma marraine. Roland, son fils, m’a coincée dans la
chambre où je dormais pour me donner un baiser et glisser sa main dans ma petite
culotte. Le lendemain c’était dans le garage. Là, il a voulu voir le fruit défendu… Je
ne voulais pas mais la menace m’a fait changer d’avis et, à sa guise, il a pu me
caresser et mettre ses doigts curieux dans mon minou. J’aimais ça… Malheureusement,
les vacances étaient toujours trop courtes.
L’été suivant, mes parents décidèrent de partir une semaine en vacances chez des amis
en Auvergne. Cette visite ne me plaisait guère, et je décidai plutôt de me rendre
quelques jours chez ma marraine en Provence. J’étais folle de joie et pour diverses
raisons, comme vous pouvez le deviner. Ils avaient déménagé depuis quelques mois dans
ce petit mas entouré de cigales.
— Roland, tu veux bien me faire visiter ? Votre nouvelle maison à l’air superbe !
— Oui, bien sûr, je vais même te montrer ta chambre.
Nous avons terminé la visite par sa chambre qui se trouvait sous les toits… Pour y
monter, il fallait escalader une échelle droite contre le mur.
— C’est une superbe planque ici, ma mère n’ose pas monter.
Nous avons écouté un peu de musique tout en discutant et en regardant des photos de
notre enfance. J’avais envie, comme l’année dernière, qu’il se passe quelque chose
entre nous et soudain, assis à côté de moi sur le lit, il m’effleura la main et me
demanda :
— Est-ce que je peux t’embrasser ?
Évidemment, je n’attendais que ça. Avoir la sensation d’un baiser sur mes lèvres… Son
baiser fut tendre et passionné, sa langue rencontra la mienne et je ne pus dire
combien de temps cela avait pu durer. Ses mains caressaient mes seins à travers mon
tee-shirt, nous étions transportés. Mais une voix nous annonça l’heure du repas et,
tout en rigolant, nous redescendîmes rejoindre les adultes.
Comme chaque soir, pour m’endormir, je me suis imaginé des choses, tout en glissant ma
main dans ma petite culotte et mes doigts dans mon intimité, recherchant le plaisir…
Mais cette fois-ci, le héros, c’était Roland ! Je l’imaginais me déshabiller
délicatement, se pencher sur mes seins pour les baiser du bout des lèvres. Ses mains
me les caressaient, sa bouche glissait doucement sur mon corps, mon entrejambe sentait
des picotements de désir, ma cyprine commençait à couler entre mes lèvres encore
innocentes. Alors, il descendait de plus en plus vers la cité interdite, encore cachée
par mon petit bout de coton blanc… Mais très vite, je me retrouvais nue, allongée sur
son lit, totalement abandonnée à ses caresses et à ses baisers.
Mes doigts jouaient une course folle pour gagner la jouissance qui ne tardait jamais à
venir, ne me laissant pas aller plus loin dans mes songes, tant j’avais déjà pris du
plaisir, et je pouvais enfin sombrer dans un sommeil profond, espérant pouvoir vivre
la suite dans mes rêves.
Tous les jours, nous profitions de quelques instants pour nous bécoter, cachés dans
chaque recoin de la maison ou du jardin, profitant d’une promenade en ville, ou en
allant chercher le pain.
Le dernier jour, les vacances de ses parents se terminant aussi, ils partirent pour le
travail vers huit heures trente. Quant à moi, une fois levée et douchée, je me
prélassais dehors pour bronzer, espérant au plus profond de moi que Roland ferait son
apparition, pour enfin nous embrasser sans devoir nous cacher. J’étais donc allongée
au bord de la piscine. Mises à part les cigales, je me sentais seule au monde,
tellement c’était calme et reposant.
Vers dix heures, je sentis une ombre au-dessus de moi. Curieuse, j’ouvris les yeux et
vis Roland qui me regardait tout en souriant… D’un coup je fus dans l’eau. Il m’y
rejoignit aussitôt et s’approcha de moi, pour me prendre dans ses bras et m’embrasser.
Serrée très fort contre lui, je sentais son corps frémir.
Roland avait trois ans de plus que moi et j’étais fière qu’un beau garçon comme lui
s’intéresse à moi. Étant très réservée, je n’avais aucun copain garçon. À cet âge, les
garçons préfèrent les filles qui aiment se faire remarquer, elles sont peut-être plus
consentantes à leurs yeux. Notre étreinte se faisait de plus en plus folle… Alors,
prenant conscience qu’on pourrait être vus, il me prit par la main :
— Suis-moi, on va dans ma chambre.
Une fois en haut, il ferma la porte à clef derrière lui et s’approcha de moi pour
reprendre son étreinte. Que c’était bon de se sentir désirée ! Ses mains caressaient
mon corps, quand je sentis mon haut de maillot tomber. J’étais à demi-nue devant lui,
pourtant ce n’était pas la première fois, je l’avais déjà été un an auparavant dans le
garage et quelques jours plus tot.
Mon cœur battait la chamade, j’avais envie de sentir sa main glisser dans mon bikini.
Il m’entraîna sur son lit, nos deux corps collés l’un à l’autre. Pourtant, quelque
chose en lui avait changé. Je le trouvais moins tendre. C’est alors qu’il me repoussa
et je le vis retirer son maillot de bain. C’était la première fois de ma vie que je
voyais un sexe d’homme et je fus surprise de découvrir son anatomie. Il dut le
remarquer. Il me saisit la main pour la déposer sur sa verge.
— Caresse-la !
Ce que je fis très maladroitement, je pense. C’était chaud, dur. Voyant mon
hésitation, il posa sa main sur la mienne pour me montrer la marche à suivre. Sa verge
se libérait de sa prison de peau pour aller s’y recacher et ainsi de suite. Au bout de
quelques minutes, il lâcha ma main pour me saisir la tête et la diriger vers son
pénis.
— Suce, vas-y !
J’entrepris donc de mettre son sexe dans ma bouche. Sa main, toujours sur ma tête, me
dérangeait. J’obéis donc à son désir, faisant des va-et-vient de ma bouche sur son
sexe. Par moments, son gland venait tout au fond de ma bouche et je sentais des haut-
le-cœur me secouer… Mais Roland ne semblait pas s’en soucier. Et d’un coup, sans
comprendre ce qui venait de se passer, je me suis retrouvée avec un liquide bizarre
dans la bouche, que je me suis empressée d’avaler tant il me dégoûtait. Revenu d’un
coup à la réalité, Roland s’est vite excusé auprès de moi, me demandant de recracher.
Mais c’était trop tard ! Vexée, je me suis sauvée, sans récupérer mes affaires, malgré
ses appels. Ne connaissant rien à l’anatomie de l’homme, j’ai cru qu’il m’avait uriné
dans la bouche.
Après m’être longuement rincé la bouche pour me retirer ce goût atroce, j’ai enfilé un
tee-shirt et je me suis réfugiée dans un coin du jardin, assise par terre, la tête
entre les jambes, pleurant sur mon sort. Roland me cherchait. Je ne bougeais pas, pour
qu’il ne me trouve pas, mais ses pas se rapprochèrent de moi, et son ombre me fit
frissonner. Il s’accroupit face à moi, voulut prendre ma main que je lui retirai.
Alors il la posa sur mes genoux. Je frissonnais de peur mais une étrange sensation de
désir me secouait, me disait d’avoir confiance en lui. Il m’aida à me relever et me
serra dans ses bras :
— Excuse-moi, mais tu m’as tellement fait du bien que je n’ai pu me retenir.
— Ne t’inquiète pas, ce n’est rien. J’ai été surprise et vexée, mais je ne t’en veux
pas.
Nous avons essayé de passer la journée comme si de rien n’était, et le soir même je
fis mes adieux à mes hôtes, triste de quitter ma marraine et la magnifique région,
mais ravie de m’éloigner de son fils car, malgré mes paroles je lui en voulais
énormément.
De retour chez moi, je repensais sans cesse aux doux songes que je me faisais avant de
m’endormir, et je me rendis compte que ma réalité avait été très différente. Même si
j’avais été très excitée par la situation, et que j’y avais pris du plaisir, j’ai
préféré ne garder en mémoire que ce qui m’avait déplu, car je me sentais coupable.
Aujourd’hui, je sais que ce n’était pas de l’urine et j’ai honte de mon ignorance.
J’étais une jeune fille sage sur certains points… J’ai eu longtemps du mal à faire une
fellation. Je ne supportais pas les mains sur ma tête, pas même celles de mon mari.
Aujourd’hui, je vis une vie nouvelle avec un homme merveilleux qui m’a fait découvrir
le sexe que je prenais pour une corvée conjugale. J’en suis même devenue une accro,
avec lui uniquement ! Je me fais un plaisir de lui sucer le sexe et de l’emmener
jusqu’au plaisir final, même si j’ai encore quelquefois des haut-le-cœur quand sa
jouissance me remplit la bouche. Mais le principal est que je lui ai fait prendre son
pied.
Souvent nous parlons de cette époque avec Roland et imaginons ce qui aurait pu se
passer si j’étais restée. Je lui aurais certainement permis de prendre ma virginité,
ou simplement de me caresser et de me lécher à son tour pour me donner un intense
plaisir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très touchante cette histoire. Ilyama
Belle histoire qui montre que parfois on se fait un monde d'une chose par ignorance. On
a commencé étant amis à se raconter des histoires de cul. Et quand s'est devenu plus
intime il n'y avait pas de tabous à priori, ce fut la totale dès la première fois et ça
continue depuis lors ...
a commencé étant amis à se raconter des histoires de cul. Et quand s'est devenu plus
intime il n'y avait pas de tabous à priori, ce fut la totale dès la première fois et ça
continue depuis lors ...