De délicieuses vacances (partie 3)
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2019 dans la catégorie Plus on est
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De délicieuses vacances (partie 3)
Tiré par les deux filles, je rentrai dans la tente. A genoux, tous les trois, sur le matelas gonflable, on s’embrassa fiévreusement à tour de rôle, avant qu’elles ne me poussent pour m’allonger.
« On va rater le feu d’artifice ! protestai-je. »
« C’est ici qu’il va y avoir le vrai feu d’artifice, répliqua Katherine. »
Je voulus protester, mais elles ne m’en laissèrent pas le temps. Elles vinrent sur moi, et tandis que l’une m’embrassa le cou, l’autre m’embrassa la bouche. Je cessai aussitôt de protester. Katherine, moi et notre amie Suédoise, poursuivions nos vacances ensemble. On était venus ici, à quelques kilomètres de notre camping, pour assister au feu d’artifice qui allait avoir lieu pour ce 14 Juillet. Seulement, les filles avaient très vite eu d’autres projets, et je m’étais résigné à les suivre sous la tente dans laquelle on allai passer la nuit.
Il faut dire que j’y gagnais au change : toutes les deux étaient odieusement sexy. Toutes les deux étaient de taille moyenne, même si la Suédoise était légèrement plus grande que Katherine, elles avaient toutes les deux de longs et beaux cheveux, noirs pour Katherine, blonds dorés pour la Suédoise. Leur corps à tous les deux était affolant, fin, sportif, et pourvu de formes généreuses. Un bon 95C, pour Katherine, ainsi qu’un fessier de rêve, probablement le plus beau cul que j’aie jamais vu. Quant à la Suédoise, elle avait une plus grosse poitrine, et un fessier des plus satisfaisants, même si pas aussi beau que celui de Kat. Enfin, et je dois dire que c’est ce que je préférais chez elle : elles avaient toutes les deux des visages d’ange, avec de beaux yeux noisettes côté Katherine, et de magnifiques yeux bleus pour la Suédoise.
Bref, je passais de délicieuses vacances en compagnie de ces deux bombes atomiques, et cette soirée s’annonçait comme une nouvelle partie très chaude.
La Suédoise prit l’initiative. Elle vint se mettre à califourchon sur moi, et me retira mon jean. Katherine pendant ce temps, se mit dans son dos, et lui embrassa la nuque, tout en la débarrassant de son propre pantalon. La Suédoise me retira mon caleçon, tandis que Katherine lui retirait son shorty. Après quoi, la belle Blonde, s’empala sur moi avec un cri, et commença de puissants va-et-vient. Je poussai un cri de plaisir, tandis que ses hanches se mirent à me percuter avec force, mon sexe coulissant en elle au rythme de ses assauts. Pendant ce temps, Katherine embrassait la nuque de la Suédoise, et lui massait ses seins à travers son t-shirt. Elle lui murmurait des choses à l’oreille, en suédois, et cela semblait doper la Blonde, qui me baisait avec de plus en plus d’ardeur et de sauvagerie. Je prenais un pied colossal : la Suédoise me baisait hyper bien, et voir Katherine l’asticoter était des plus plaisants. Je poussai des râles de plaisir, tandis que la Suédoise elle se mettait à gémir de plus en plus.
Au bout de longues et délicieuses minutes, la Suédoise et Katherine échangèrent. Cet fut à présent Kat qui me chevaucha, enchaînant les coups de reins de plus en plus forts. Elle me souriait tout en me baisant, et me griffait le torse pour me stimuler. Pendant ce temps, la Suédoise était derrière elle, et la doigtait avec frénésie. Ça n’empêchait pas la belle brune de me faire suffisamment de bien pour que je me sente défaillir. Elle me regardait droit dans les yeux en souriant d’un air vicieux, pendant que je me tortillais sous ses assauts.
Elles continuèrent ce manège pendant un bon moment : l’une après autre, elles me baisaient, chacune leur tour, pendant que l’autre prenait soin de sa copine. Moi dans cette histoire, je n’étais qu’un sex-toy, un jouet que les deux belles se partageaient et utilisaient à leur guise. A chaque fois que l’une d’entre elle s’empalait sur moi, elle allait encore plus vite et plus fort que la précédente, comme si elles se livraient une sorte de compétition. J’étais ballotté de tous côtés, mordu, griffé, giflé, baisé, mais bordel qu’est-ce que j’adorais ça ! En une demi-heure, la Suédoise eut trois orgasmes, Katherine deux, tandis que moi, je devais serrer les dents pour tenir autant que possible.
Je vis qu’elles se parlaient entre elles, et semblaient parler de moi. Comme elles parlaient en suédois, je ne comprenais rien.
« Qu’est-ce que vous dîtes ? demandai-je. »
Katherine était sur moi, entrain de me baiser. Elle me sourit et dit.
« On se dit que t’es vraiment un bon garçon de te laisser baiser comme ça, et de tenir si longtemps. »
Je poussai un cri, parce qu’elle venait de me donner un coup de rein particulièrement bon.
« J’ai le choix, peut être ? »
« Non… mais on va quand même te récompenser. »
Elle se retira et recula, arrêtant de me baiser.
« Je vois pas trop la récompense, là… grognai-je. »
« Râle pas ! Tu vas voir. »
Elles me firent me redresser… et se mirent à quatre pattes toutes les deux.
« On s’offre à toi mon grand, viens nous baiser. »
Je fus surpris d’entendre Katherine dire ça, mais ne me fis pas prier. Je la saisis par les hanches, et la pris aussitôt dans une brûlante levrette, lui assénant de puissants coups de reins, admirant son fessier de rêve subir mes assauts, tandis que tout son corps se cambrait. Je lui claquai les fesses, tout en caressant le dos de la Suédoise, qui elle, embrassait Katherine. Je continuais de pilonner la brune comme ça pendant un bon moment, avant de passer à la Suédoise. Je la pris également en levrette, et repris mes va-et-vient, aussi puissamment que possible, arrachant de grands cris à la Blonde. Pendant ce temps, Katherine l’embrassait tandis que moi, je claquais leurs petits culs à chacune. Cette fantastique séquence, se poursuivit encore pendant plusieurs dizaines de minutes, j’avais ces deux bombes à disposition, et passait de l’une à l’autre au gré de mes envies. Elles s’embrassaient avec passion, tandis que les baisais avec ferveur. J’aurais voulu prolonger ce moment encore, et encore, mais il fallut bien jouir, à un moment ou un autre, et c’est ce que je finis par faire. J’explosai dans un orgasme dévastateur, arrosant le cul de ces deux magnifiques créatures.
On se réveilla le lendemain matin, un peu patraques. Forcément, on avait pas beaucoup dormi. Je me levai le premier, et quittai la tente, pour admirer le lever du soleil. Il pointait au loin, rougeoyant, embrasant les quelques nuages matinaux. La brume qui montait et se colorait donnait un aspect magnifique au paysage devant moi. Katherine émergea à son tour de la tente, et vint m’enlacer par derrière, commençant à m’embrasser la nuque. Elle se fit plus pressante, glissant ses mains dans mon caleçon, et intensifiant ses baisers.
« Kat ! grognai-je, je veux regarder le lever du soleil. »
« Il se lève tous les jours, répliqua-t-elle. »
« Et nous on baise plusieurs fois par jour ! »
« Oui, mais c’est plus intéressant… »
Elle me tira à l’intérieur de la tente, et je fus obligé de la suivre. La Suédoise s’était rendormie, et respirait doucement. Katherine se mit à quatre pattes à côté d’elle, et lança :
« Viens me prendre, mon grand ! »
Comment résister à ce cul, venu des cieux, qui était tendu vers moi en offrande ? Je m’agenouillai derrière elle, la saisit par les hanches, et la prit avec force. Elle poussa un petit cri, et je me mis à la baiser en levrette. Katherine ne s’offrait pas souvent à moi, comme ça, il fallait que j’en profite. Je lui donnai de puissants coups de reins, m’enfonçant en elle avec délice, la faisant gémir comme une chienne. C’était vraiment bon, d’admirer Katherine à quatre pattes, entrain de subir mes assauts, c’était rare, et tellement excitant ! Je me mis à claquer ses fesses à plusieurs reprises, savourant ses petits cris aigus, puis lui tirai sa longue chevelure brune, histoire de me sentir parfaitement dominant. Je lui donnai plusieurs gros coups de reins, qui la firent crier à pleine voix, et je la saisis par la nuque, pour l’obliger à bouger la tête comme je l’entendais. Je la pris comme ça pendant un long moment, savourant cet instant où c’était moi qui la baisais et pas l’inverse. Puis, elle me dit :
« Allonge-toi, maintenant. »
« Quoi ? »
J’étais surpris, et un peu déçu… moi qui croyais qu’elle avait décidé de se comporter en soumise avec moi…
« Je t’ai laissé me baiser, maintenant c’est mon tour. Allonge-toi, ajouta-t-elle d’un ton autoritaire. »
Presque automatiquement, je me retirai d’elle, et docilement je m’allongeai. Je me rendis compte, alors, qu’elle n’avait qu’à hausser le ton pour que je lui obéisse aussitôt. Katherine vint sur moi avec un petit sourire satisfait, et je compris alors qu’elle devait penser la même chose que moi : elle m’avait bien dressé.
Elle s’empala sur mon sexe avec une grimace de plaisir, puis, elle démarra de puissants va-et-vient. Le plaisir monta aussitôt en moi, balayant tout regret qu’elle ne m’ait pas laissé dominer plus longtemps. Elle allait d’emblée à un rythme très élevé, son corps de rêve s’activant sur moi, de même que sa chevelure brune qui suivait le mouvement de ses coups de reins. A chaque coup qu’elle faisait, mon sexe vibrait de plaisir, mon corps se raidissait, et ma vue se brouillait. Je ne tardai pas à lâcher des râles de plaisir, tandis que Katherine me souriait d’un air satisfait, heureuse de me baiser si bien. Elle se mit à me griffer le torse, pour me stimuler, et sans doute pour se venger de mes abus de tout à l’heure. Je lui donnai une claque sur ses fesses rebondies, et elle répliqua par une gifle bien sentie. Je poussai un grognement de douleur, et elle me lança un sourire provocateur. Je voulus me redresser, mais elle me saisit par les épaules, et me plaqua au sol, avant d’accélérer soudainement. Le plaisir grimpa augmenta encore, pour nous deux, et après un ultime coup de rein de sa part, on explosa tous les deux dans un orgasme démentiel, qui nous fit crier à pleine voix.
Épuises, mais comblés, on s’allongea, et on se rendormit paisiblement.
POV Katherine
Debout sur la terrasse de bois devant notre chalet, je contemplai la forêt de pins qui s’étalait devant chez nous. J’adorais sentir l’odeur de ces arbres, et observer la nature tranquille et immobile, écouter les oiseaux, et le bruit des cigales. J’étais toujours en pleine contemplation, lorsque soudain, je sentis deux bras s’enrouler autour de moi. Deux mains se pressèrent contre mes seins, et les malaxèrent à travers mon débardeur, tandis qu’un corps se collait contre mon dos, et qu’un souffle chaud se faisait sentir sur ma nuque.
Je n’eus pas besoin de me retourner pour savoir que c’était la Suédoise. Je frissonnai d’excitation, tandis que la belle se fit plus pressante, pétrissant ma poitrine avec entrain. Elle se mit ensuite à m’embrasser la nuque, parcourant mon cou, mes épaules, mordillant mon oreille, tout en se frottant contre moi langoureusement. Je poussai un doux gémissement, sentant l’excitation monter, et monter en moi. Lorsqu’elle se mit à me caresser les cuisses d’une main, tandis que l’autre rentra carrément dans mon décolleté pour me masser les seins directement, j’explosai comme une cocotte minute mise trop longtemps sous pression.
Je me retournai d’un coup, et saisit la Suédoise avant de la repousser sur toute la terrasse, pour la faire ensuite entrer dans le salon, où je la plaquais, sauvagement contre le mur le plus proche. Là je me collai contre elle, et l’embrassai avec furie.
Du coin de l’oeil, je vis dans le miroir que nous offrions un spectacle incroyablement sexy : elle avec sa chevelure blonde dorée et en débardeur blanc, moi avec mes cheveux noirs, et mon débardeur de la même couleur, on offrait un contraste saisissant entre clarté et obscurité. Ça devait être très excitant à observer, dommage qu’il n’y ait personne avec nous en ce moment…
La Suédoise me saisit par la nuque, et me serra contre elle, renforçant notre étreinte. Je pressai ma poitrine contre la sienne, et me trémoussai de façon à ce que nos deux paires d’obus se frottent l’une contre l’autre délicieusement. Les sensations électriques qui nous parcourent alors nous firent gémir en plein baiser.
Je saisis la Suédoise par la ceinture de son mini-short, et l’entraînant dans la chambre la plus proche, je la jetai sur le lit, et elle s’y étala avec un petit gémissement. Me tenant debout devant le lit, je retirai tous mes vêtements, puis lui ordonnai en suédois :
« Déshabille-toi. »
Elle s’exécuta aussitôt. Je poussai un petit grondement d’excitation en admirant une fois de plus son corps de folie. Je me jetai bien vite sur elle. Toutes les deux nues, on se mêla l’une et l’autre, chacun de nous dévorant le corps de l’autre, se tournant, se retournant, passant tantôt au dessus, tantôt au dessous. A un moment, je la coinçai contre le matelas, et lui dévorai sa poitrine, enfouissant carrément ma tête dedans, tout en lui tenant les mains, et frissonnant en la sentant se débattre. A un autre moment, j’étais allongée sur le côté, elle derrière moi, me doigtait furieusement d’une main, tout en pétrissant ma poitrine de l’autre. Je gémissais et me tortillais doucement, savourant son habilité. A un autre moment, elle était agenouillée sur le matelas, se tenant contre la tête du lit, et moi j’étais derrière, lui doigtant le cul en la tenant par l’épaule, l’obligeant à cambrer son corps de rêve, tandis que j’allais et venais dans son petit trou, la faisant gémir de plus en plus fort. A un autre moment, j’étais allongée sur le lit, et elle me faisait un délicieux cuni, sa langue passant et repassant, encore et encore sur mon intimité. Je finis par la saisir aux cheveux, et dirigeai ce cuni, l’obligeant à aller au rythme que je voulais, à rester sur mon intimité aussi longtemps que je le désirai. Au final, je la renversai, et me mis à la chevaucher, comme si c’était un mec, frottant mon intimité contre la sienne. Très excitée, j’allais à fond sur elle, la tenant par le cou, lui administrant des coups de reins puissants, et savourant de la voir se tordre de plaisir, gémir, et voir ses beaux yeux bleus chavirer à cause de ce que je lui faisais. Moi même je prenais un sacré pied, gémissant, et sentant mon cerveau fondre sous le plaisir. Lorsque ma respiration s’accéléra, et que la Suédoise avait le corps cambré par le plaisir, j’accélérai soudainement, la fit exploser dans un orgasme ravageur.
POV Narrateur
La voiture se gara, dans un crissement de pneu sur les graviers dépassant du sable. On venait de se garer sur le parking de la plage, prêts pour une après midi sur le chable chaud. Je regardai mes deux compagnes, et sentis un tressaillement dans mon caleçon : elles étaient toutes les deux odieusement sexy. Katherine portait un mini-short en jean, et au dessus un bikini noir qui dévoilait largement son beau 95C et son ventre plat. La Suédoise, elle, portait un bikini bleu, qui mettait à merveille son corps de déesse en valeur. Elle était assise à l'arrière, et à chaque fois que je jetais un coup d'oeil dans le rétroviseur, je pouvais l'admirer. Entre elle, et Katherine assise à côté de moi, je peux vous dire que j'avais sacrément chaud… D'ailleurs, j'avais pas envie de quitter cette voiture aux vitres teintées, où personne ne pouvait nous voir…
« Tout va bien mon grand ? gloussa Katherine. »
Je sursautai.
« Oh ! Euh… oui. C'est juste que… »
Je les désignais toutes les deux d'un geste de la main.
« J'ai… du mal à me concentrer. »
Katherine eut un petit rire, et traduisit à la Suédoise, qui rit à son tour. Elle se pencha vers moi et me dit quelque chose en suédois, en me tirant par le bras. J'avais beau ne pas comprendre un mot de suédois, je compris parfaitement ce qu'elle voulait, et ne me fis pas prier. Je me levai, et la rejoignis sur la banquette arrière. Bouillonnant d'excitation à la vue de son corps, je me jetai sur elle, et l'embrassai langoureusement. Elle enroula ses bras autour de mon cou, et me rendit mon baiser. Nos langues tournèrent et se croisèrent, tandis que nos lèvres s'entremêlaient dans un ballet fiévreux. Elle me poussa en arrière, me colla contre le dossier de la banquette, et vint à cheval sur moi, pressant sa poitrine imposante contre mon torse, tout en accélérant le rythme de son baiser. Je posai les mains sur ses belles fesses, et me mis à les masser avec délectation, tout en la collant bien contre moi, savourant le contact de sa peau douce contre la mienne. La Suédoise me laissa faire un moment, puis me saisit les poignets, et les plaqua contre le dossier de la banquette. Elle me mordit le menton, avec un petit sourire provocateur. Je fis un mouvement pour me rebeller, histoire de rappeler qui était l'homme quand même, mais Katherine me dit aussitôt :
« Non mon chéri, tu te laisses faire. Laisse notre belle Blonde te baiser, sinon je viens te corriger. »
Je poussai un grognement, et acceptait de me laisser faire, tandis que la Suédoise me retirait mon short maillot de bains, ainsi que son bas de bikini, avant de s'empaler sur moi avec un gémissement. Je poussai moi même un grognement de plaisir, qui se transforma en un cri, lorsqu'elle se mit à me chevaucher avec énergie. Elle me tenait par les épaules, me plaquant contre le dossier de la banquette, et bondissait et rebondissait sur mon sexe, sa chevelure dorée tombant en cascade tout autour d'elle, ses yeux bleus plantés dans les miens comme pour me défier. Je sus aussitôt submergé par le plaisir, et par réflexe, j'attrapai ses hanches, comme pour me rattraper à quelque chose. J'accompagnai ses mouvements, l'aidant à bondir sur moi, renforçant le rythme et l'ardeur de cette baise. Le superbe corps de la Suédoise, en action, se couvrit bientôt de sueur, tout comme le mien. La chaleur était étouffante, et pourtant elle continuait à me baiser, encore et encore, toujours avec cette ardeur et cette détermination inébranlables. Tout ça était beaucoup trop bon, le plaisir me faisait perdre la tête, mon corps entier était parcouru de spasmes, et entre la chaleur de la voiture, et de notre baise, j'avais l'impression de fondre littéralement. Je changeai alors d'attitude : au lieu de me servir de mes mains posées sur les hanches de la Suédoise pour l'aider à me baiser plus fort et plus vite, je m'en servis pour la ralentir, histoire de reprendre un peu mes esprits.
La belle réagit aussitôt : elle me saisit les poignets, et les plaqua à nouveau contre le dossier de la banquette. Puis, elle retira son haut de bikini, libérant sa volumineuse poitrine. J'eus à peine le temps de l'admirer, que déjà, elle me saisissait par les cheveux, et m'enfonçait la tête entre ses seins. A moitié étouffé, j'en profitais néanmoins pour les dévorer avec avidité, tandis que la Suédoise se mit à m'asséner des coups de reins terribles, allant d'avant en arrière à fond, bien décidée visiblement à me finir. Ça ne rata pas : je sentis aussitôt le plaisir monter dangereusement en moi, et avoir la tête dans ses seins n'aidait pas à me contenir. Je ne tardai pas à pousser des cris étouffés par sa poitrine, qui l'incitèrent à accélérer encore. Alors que j'étais aux portes de l'orgasme, elle me tira par les cheveux, ramenant ma tête en arrière, pour pouvoir me toiser d'un air dominateur. Elle accéléra encore le rythme bougeant son corps comme une déesse, ses yeux toujours fichés dans les miens. Je tâchai de tenir le plus longtemps possible, et serrai les dents pour ne pas jouir tout de suite, mais sous la pression de ses coups de reins dévastateurs, je fuis incapable de me retenir plus longtemps, et finis par me déverser en elle, dans un frisson, orgasmique.
Satisfaite, elle me retira d'elle, et me repoussa d'un geste négligeant, comme on fait lorsqu'on se débarrasse d'un objet devenu inutile. Elle avait un petit sourire satisfait qui fit songer à quel point j'étais dominé par mes deux belles pendant ces vacances…
Je n'eus pas vraiment le temps de m'apitoyer sur mon sort (ce qui aurait été un peu hypocrite de toutes façons). Katherine nous rejoignit sur la banquette arrière. Elle me tourna ostensiblement le dos, et à genoux sur la banquette, elle embrassa avec ferveur la belle Suédoise, qui lui rendit son baiser, posant ses deux mains sur les épaules de la brune.
Je me calai bien et admirai un moment le spectacle : le cul parfait de Katherine tendu à quelques centimètres de mon visage, la Suédoise qui lui caressait les hanches, Katherine qui lui malaxait les seins, pendant que leurs visages semblaient fusionner, leurs bouches se mêlant étroitement et furieusement, tandis que la chevelure dorée de l'une se mélangeait avec les cheveux noirs de l'autre. Le tout se déroulait dans un concert de gémissements et de petits cris aigus qui ne pouvaient que m'exciter à fond.
Je ne fus pas long à retrouver toute ma vigueur, et à retourner dans la danse. Je me redressai, et d'un coup sec, je retirai le mini-short en jean de Katherine, puis son bas de bikini. Trop occupée à embrasser avidement la Blonde, elle ne réagit pas, alors j'en profitai pour la prendre en levrette d'un coup sec. Katherine poussa un gémissement, mais je ne comptai pas m'arrêter là. Je la saisis par les hanches avec fermeté, et me mis à la baiser en levrette comme un fou, laissant libre cours à mon excitation toute retrouvée. Je lui donnai de puissants coups de reins qui la propulsaient en avant, et lui arrachaient de grands cris de plaisir. La vue de son cul parfait me donnait des ailes, de même que la sensation d'être celui qui baise l'autre, sentiment que j'avais rarement avec Katherine. Je la saisis par les épaules, pour l'obliger à bien se cambrer, et lui mis un enchaînement de va-et-vient qui me firent gronder de plaisir, et elle, trembler de tout son être.
La Suédoise se mit à la doigter, ce qui la rendit encore plus folle. Katherine gémissait, se tortillait, et était prise de spasmes. Prise en sandwich entre moi et la Suédoise, elle devait vivre un infernal délice. Son attitude dopait ma vigueur et mon agressivité, et je redoublai la puissance de mes coups de reins, tandis que la Suédoise intensifia son doigtage. Elle me lança par dessus l'épaule de Katherine un sourire complice : pour une fois, on était unis. A nous deux, on dominait totalement la brune, et on en faisait notre chose. Je dénouai les lacets de son maillot de bains, et la Suédoise se jeta sur ses seins qu'elle dévora. Je saisis la fille du nord par ses cheveux blonds pour l'obliger à intensifier ses mouvements de bouche. Pendant ce temps, je donnai à Katherine de puissants coups de reins de bas en haut, qui la soulevaient légèrement. Je me sentais à présent incroyablement dominant, à baiser Kat en levrette, tout en me servant d'une autre pour qu'elle lui dévore les seins. Et je ne vous raconte pas le spectacle que c'était, de voir le visage angélique de la Suédoise, pressé contre les magnifiques seins de Katherine, sa bouche pulpeuse s'activant à les dévorer, tandis que moi je contrôlais le tout, avec en prime les gémissements de la brune qui retentissaient à mes oreilles, le tout en ayant ma bite loin en elle qui la ramonait encore et encore ! Quel spectacle ! Quel pied !
Ça ne pouvait pas durer indéfiniment : j'explosai dans un orgasme ravageur en même temps que Katherine, qui s'effondra dans mes bras dans un hurlement aigu, pendant que je me déversai en elle. Tremblant de la tête aux pieds, épuisé et sonné, je me mis seulement en devoir de laisser Katherine s'étendre sur la banquette, et de venir dévorer l'intimité de la Suédoise, dans un brûlant cuni, qui eut tôt fait (l'excitation de ce qu'on venait de faire aidant) de jouir dans un second orgasme bien mérité.
On resta un moment dans la voiture, essoufflés, comblés. La chaleur finit par devenir insupportable, et après s'être rhabillés, on sortit dehors pour aller sur la plage. Une fois arrivés, on se vautra sur les tapis de plage, et on resta un long moment, étendus au soleil à récupérer après cette incroyable baise.
Katherine fut la première à pleine se remettre, et alla se baigner, nous laissant, la Suédoise et moi seuls sur la plage. Au bout d'un moment, je commençais à me rétablir moi aussi, mais n'avais pas envie de me baigner. En fait, mon regard était inexorablement attiré par la belle Blonde à côté de moi. Elle était de nouveau en bikini, et son corps de rêve ainsi dévoilé commençait à sérieusement me chauffer… Je me levai et lui donnai un léger coup de pied. Elle me regarda d'un air surpris, et je lui indiquai du menton les dunes qui surplombaient la plage. Elle comprit le message, et se leva en souriant.
Main dans la main, on escalada la dune et poursuivîmes notre route jusqu'à être à l'abri des regards. J'ouvrais la marche, la Suédoise me suivait. Lorsque nous fûmes totalement isolés, je fus soudain poussé en avant, par la Suédoise. Je me retournai, un peu surpris, et elle se jeta sur moi, me faisant tomber au sol. Elle se mit à m'embrasser avec ferveur, frottant son corps de rêve contre le mien, avant de descendre sur mon torse dont elle dévora soigneusement les pectoraux, avant de descendre encore, et de passer sa langue entre mes abdos.
Je voulus réagir, mais lorsque je fis le geste de me redresser, la Suédoise me recala aussitôt, me plaquant contre le sable. Elle me retira ensuite mon maillot de bains, avec toujours cette détermination féroce que montraient ces filles à avoir mon sexe. Elle me prit en bouche, et démarra une délicieuse fellation, allant et venant, pressant ma hampe avec ses lèvres pulpeuses. Je poussai un râle de plaisir, qui la fit sourire de contentement, heureuse visiblement de me faire du bien. Elle se mit à jouer de sa langue, la faisant courir le long de mes veines, ce qui me fit me raidir, et planter mes doigts dans le sable, comme pour contenir un éventuel orgasme. Elle sourit à nouveau, et se mit à accélérer le rythme, me faisant carrément crier, tandis qu'elle me pompait, encore et encore, tout en malaxant mes boules avec ses doigts. Lorsqu'elle se mit à me lécher le gland, je dus déployer de gros efforts pour ne pas jouir sur le champ.
La Suédoise se redressa, au moment où mon plaisir en était à son point culminant. Elle voulait peut être me torturer, ou alors craignait que je ne jouisse trop tôt… Dans tous les cas, je me redressai soudainement, et la plaquai à son tour contre le sable, revenant au-dessus. Je lui retira prestement son bikini, la dénudant fébrilement, puis, dans un frisson de plaisir, je la pénétrai et la pris en missionnaire.
Elle poussa un petit cri, qui m'excita tellement que je vis littéralement rouge. Je me mis à la défoncer, la baisant comme un sauvage, la culbutant férocement contre le sable, tout en lui malaxant ses gros seins. Elles se tortillait, gémissait, me criait des trucs en suédois, et tout ça ne faisait que me rendre encore plus animal, et me pousser à y aller plus fort encore. Je finis par lui apporter un premier orgasme, qui la fit se convulser sur le sable de plaisir, mais ça ne me calma pas, au contraire. J'accélérai encore l'allure, prolongeant encore son orgasme, la faisant pousser des cris aigus et désespérés. Lorsqu'elle eut un deuxième orgasme, je lui accordai quelques secondes de répit… avant de la retourner, et de la prendre férocement en levrette. Je ne sais pas ce que j'avais, mais j'étais plus excité que jamais, à sauter cette bombe suédoise, sous ce soleil de plomb, au milieu des hautes herbes de la dune.
La tenant fermement par les hanches, j'allais et venais rapidement, m'enfonçant loin en elle. Ma belle Suédoise semblait prendre un pied énorme. Elle était incapable de se tenir sur ses mains, et et s'effondrait en avant, la tête sur le sable. Pris d'une envie, je lui redressai le cul, la faisant se tenir presque à 90°, et la baisant plus sauvagement que jamais, tout en la surplombant. Ainsi, j'allais plus loin en elle que jamais, fondant littéralement de plaisir. La Suédoise elle ne gémissait même plus : sa bouche était ouverte, et un son continu en jaillissait, témoin de son extase. Sentant que l'orgasme était imminent, j'accélérai encore, dirigé par les frissons de plus en plus intenses que je ressentais. Je finis par aboutir, et me déversai en elle dans une explosion libératrice, tandis qu'un tremblement dans son fessier m'annonçait qu'elle aussi avait joui.
Je m'effondrai sur le sable, haletant, en sueur, mais tellement satisfait.
On resta un moment, étendus sur le sable avant de se relever, et de partir main dans la main vers la plage. Katherine nous y attendait, et en nous voyant arriver, elle fronça les sourcils.
« Où vous étiez ? me demanda-t-elle. »
« Là haut, lui répondis-je avec un sourire légèrement moqueur. »
« Vous baisez sans moi, maintenant ? »
« Faut croire. »
Elle eut une moue boudeuse.
« Pas juste ! J'aurais pas dit non à une petite séance torride, moi. »
« La prochaine fois, lui dis-je avec un clin d'oeil. »POV Suédoise
Je marchais vers la voiture, en sifflotant joyeusement. Qu'est-ce que j'étais bien avec mes deux français ! Je passai vraiment de délicieuses vacances, peut être les meilleures de ma vie, en tout cas niveau sexe c'était sûr. Il était 18h, la plupart des vacanciers quittaient la plage, mais nous avions décidé de rester. J'avais, cependant, envie de reposer mon chapeau à la voiture, car le soleil déclinant, il ne me servait plus à rien.
Je venais de poser mon chapeau, et de refermer la voiture, quand soudain, je sentis deux mains me saisir les hanches, et de douces lèvres venir embrasser ma nuque. Je frissonnai, tandis que les mains de Katherine vinrent saisir mes seins, et les malaxer à travers mon bikini. Je collai mon fessier contre son intimité, et me mis à frotter l'un contre l'autre. Katherine poussa un grondement d'excitation, et m'ordonna en suédois :
« Ouvre la voiture. »
Je m'exécutai aussitôt.
« Va sur le siège passager. »
Autant obéir. Je m'installai sur le siège, et Katherine vint me rejoindre dessus, avant de refermer la portière. On était désormais à l'abri des regards. La belle française me regardait avec intensité, et j'eus brusquement l'impression d'être une gazelle face à une lionne.
En me souriant, elle enfonça deux doigts dans mon intimité, sans même se soucier de retirer mon bas de bikini. Je poussai un gémissement, lorsqu'elle se mit à aller et venir, me doigtant avec passion. Elle se pencha sur moi, et m'embrassa, sans pour autant ralentir le rythme de ses doigts. Je lui rendis son baiser, goûtant à la douceur de ses lèvres, tout en la prenant par la tête, pour l'attirer contre moi, et renforcer notre étreinte. Nos deux corps collés l'un contre l'autre nous offrait une incroyable sensation de douceur, et de chaleur, tandis que notre baiser devenait de plus en plu sauvage, Katherine me mordillant même les lèvres. En même temps, elle accélérait le rythme de ses doigts, me faisant fondre littéralement de plaisir. Elle y alla si fort, que je dus rompre le baiser, et m'abandonner sur le dossier du siège.
Mais alors que j'étais à l'apogée de mon plaisir, Katherine s'interrompit soudainement. Je n'eus pas le temps d'être frustrée cependant, car aussitôt, elle retira mon bas de bikini ainsi que le sien, et vint se frotter contre moi. Elle se mit à me chevaucher, comme elle l'aurait fait avec un mec, se déhanchant sur moi de façon endiablée, me tenant par le cou et me regardant droit dans les yeux. Je poussai des petits gémissements, sous l'effet de nos intimités qui se frottaient l'une contre l'autre, qui déclenchaient des tourbillons de plaisir en moi. Elle abaissa encore plus le dossier du siège, pour me mettre en position plus allongée, et accentua ses déhanchés. Elle se remit à me malaxer les seins, tout en me baisant fortement. Je poussai un petit cri, et lui massai les fesses, appréciant leur fermeté. Katherine se pencha sur moi et me mordit le menton. J'en haletai d'excitation, tandis que la brune tenait son visage à quelques centimètres du mien. M'observant de près pour guetter mes réactions, elle se mit à me doigter en même temps qu'elle continuait de me chevaucher, me titillant le clito. Aussitôt, je sentis mon corps se raidir, le plaisir me fit perdre la tête, et, au final, j'explosai dans un orgasme démentiel. Elle ne tarda pas à me rejoindre, et nous poussâmes toutes les deux des cris d'extase.
POV Narrateur
Je regardais d'un air mauvais les autres vacanciers. Le soleil se couchait, la plage était quasiment vide, et Katherine, la Suédoise et moi n'attendions que d'être totalement seuls pour pouvoir enfin baiser salement. Il s'était passé plusieurs heures depuis ma partie de jambe en l'air avec la Suédoise dans les dunes, et j'avais plus envie que jamais. Mais les maudits vacanciers qui étaient eux aussi sur la plage, ne voulaient pas partir. Ils ne devaient pas remarquer que tous les trois, on les regardait d'un œil noir.
Quand ceux qui étaient là partirent, d'autres arrivèrent, et au final, on dut attendre tellement longtemps, qu'il faisait nuit noire, quand enfin la plage fut déserte. J'étais un peu déçu, pensant qu'on allait pas baiser tous les trois sur la plage pour notre dernier jour, mais Katherine se leva, et dit un truc en suédois, avant d'ajouter à mon intention :
« Un bain de minuit, ça te dit, mon grand ? »
Je bondis aussitôt sur mes pieds, ce qui la fit rire. On se lança tous les trois vers la mer, et son se jeta dans l'eau. Bien évidemment, nos bikinis étaient restés sur la plage… Je nageai un moment dans l'eau, me laissant culbuter par les vagues, admirant la mer, qui reflétait la lune et les étoiles. J'aurais presque pu rester là à admirer le paysage, mais les deux sirènes qui m'accompagnaient avaient d'autres projets…
Katherine jaillit de l'eau juste en face de moi, et enroula ses bras autour de mon cou. Totalement nue, les cheveux trempés dégageant son visage angélique, le corps ruisselant d'eau qui scintillait à la lumière de la lune Elle était tellement belle ! Et quand la Suédoise surgit dans mon dos, elle aussi magnifique à en mourir avec ses cheveux dorés trempés et ses yeux bleus qui brillaient plus fort que jamais, je me dis que vraiment j'avais été béni des dieux pendant ces vacances, pour avoir eu la chance de me taper encore et encore d'aussi belles créatures.
Katherine m'embrassa langoureusement, et je lui rendis son baiser avec passion, savourant la douceur et le goût sucré de ses lèvres, tandis que dans mon dos, la Suédoise collait son corps de rêve contre le mien, et m'embrassait la nuque. Je bandai quasiment instantanément, et Katherine, l'ayant senti, vint se jucher et s'empaler sur moi. Elle commença à se déhancher dans l'eau, provoquant de gros remous, et des vagues de plaisir en moi. Pendant ce temps, dans mon dos, la Suédoise m'embrassait avec de plus en plus de ferveur, et enroulant ses bras autour de moi, elle me massa les boules, en même temps que Katherine se démenait sur moi. Le plaisir me submergea et je rejetai la tête en arrière, poussant un cri de plaisir. Je me redressai ensuite, et saisis les fesses de Katherine, et l'aidai à amplifier le mouvement de ses hanches, rendant la baise encore plus délicieuse. La belle brune se mit à gémir, et se tenant à mes épaules, elle se mit à bondir et rebondir sur moi, me faisant totalement chavirer. La Suédoise elle se fit plus pressante en me massant les boules, et ça me fit voir rouge, tant le plaisir devenait intense. Je me débattis, désirant les baiser sauvagement comme l'excitation qui me prenait le commandait, mais les deux belles me saisirent, et renforcèrent leur étreinte pour que je reste immobile. J'avais la sensation d'être un pauvre marin capturé par deux sirènes. D'autant plus qu'elles se mirent à me dévorer, la Suédoise m'embrassant avec passion chaque centimètre carré de mon dos, de mes épaules et de ma nuque, tandis que Katherine m'embrassait furieusement en plein sur la bouche, ses mains fourrageant mes cheveux, tandis que ses hanches s'agitaient à un rythme diabolique. Lorsqu'elle rompit le baiser, j'étais hors d'haleine, et vibrant de plaisir. Katherine se déchaîna sur moi, me chevauchant férocement, jusqu'à ce que je jouisse dans un cri de mâle en rut.
Sonné, je m'effondrai dans l'eau et flottai un moment, contemplant le ciel étoilé en me laissant bercer par la mer, savourant mon orgasme. Pendant ce temps, les deux sirènes qui m'accompagnaient, n'étant pas repues, se jetèrent l'une sur l'autre.
Elles s'enlacèrent, et s'embrassèrent avec furie. Le spectacle de cette magnifique brune et cette superbe blonde, cheveux trempés, corps ruisselants d'eau, enlacées étroitement qui s'entre-dévoraient me rendit toute ma vigueur. J'attendis néanmoins un moment avant de les rejoindre, les laissant se faire du bien entre filles. Katherine doigtait la Suédoise tout en l'embrassant, tandis que celle-ci pressait sa poitrine contre celle de la brune. Chacune faisait gémir l'autre, et ce doux concert de petits cris vint s'ajouter au bruit de la mer. Katherine accéléra le rythme de ses doigts, tenant en même temps la Blonde par l'épaule, pour qu'elle reste bien en place. Celle-ci rompit leur baiser, et rejeta la tête en arrière, poussant un cri d'extase qui tira un sourire satisfait à Katherine. Elle saisit la Suédoise au cou, histoire de pouvoir plonger ses beaux yeux sombres dans les beaux yeux bleus de son amante, et accéléra encore le rythme, la doigtant comme une possédée. En quelques minutes, la Suédoise eut un orgasme. Katherine la relâcha, et la belle blonde s'effondra dans l'eau, comme moi tout à l'heure.
Ce fut à cet instant, que je décidai de retourner dans la danse. Je saisis la Suédoise, encore sonnée par son orgasme, et sans plus perdre de temps, je la pénétrai, et la pris en missionnaire dans l'eau. Elle poussa un gémissement, qui s'intensifia lorsque je démarrai de puissants va-et-vient, la culbutant férocement dans l'eau. Katherine vint derrière moi, et m'enlaça, me griffant le torse, me mordant la nuque, tout en me murmurant des encouragements, pour que je baise la Suédoise toujours plus vite, et toujours plus fort. La pauvre scandinave n'en pouvait plus d'être à nouveau baisée juste après son orgasme, les sensations étaient trop fortes, trop délicieuses, et elle se démenait comme une diablesse, au point de souvent boire la tasse. Décidé à la finir au plus vite, je me mis à accélérer comme un fou furieux, la pilonnant sauvagement, tapant le fond de son intimité, frémissant de plaisir à chaque fois. La Suédoise ne put en supporter plus longtemps, et explosa dans un orgasme démentiel, en criant à fond.
Je me retirai d'elle, et me tournai vers Katherine, légèrement haletant. On se dévisagea un moment, puis on se jeta l'un sur l'autre, pleins de passion et d'envie. On s'embrassa furieusement, et je la pénétrai. Elle poussa un gémissement, en sentant mon sexe entrer en elle, et je me mis à aller et venir, la baisant dans l'eau, en la tenant par les hanches. J'y allai à un rythme élevé, et elle commença à vaciller, comme si elle allait s'effondrer dans l'eau, mais soudain, elle me saisit par la nuque, grimpa sur moi en se servant de ses jambes, et se mit à aller et venir sur moi, avec une passion ardente. Elle était incroyable à voir : suspendue à ma nuque, au-dessus de la surface de l'eau, me chevauchant en l'air avec autant d'aisance que si on était confortablement installés sur un matelas. A mon tour je me sentis chavirer, et lorsqu'elle me servit son éternel sourire narquois, je craquai et jouis, me déversant en elle dans un cri.
On aurait pu penser qu'après tout ça, les deux belles seraient rassasiées. Mais il n'en n'était rien. Katherine et la Suédoise me poussèrent vers le bord de l'eau. Elles me forcèrent à m'allonger sur le sable, juste sur la rive de la mer, et vinrent sur moi.
Elles m'embrassèrent toutes les deux, se régalant de mon corps. Je voulus me redresser, elles me repoussèrent toutes les deux, me clouant sur le sable. Elles repartirent à l'assaut de mon corps, Katherine m'embrassant la bouche, le visage, le cou, tandis que la Suédoise m'embrassait le torse et le ventre. Ce fut elle, qui, ensuite, prit mon sexe en bouche, et commença à me pomper, me faisant me raidir, et lâcher un râle de plaisir. Katherine la rejoignit, et me pompa de concert avec elle. Je me tortillai de plaisir, plantai mes doigts dans le sable, et serrai les dents, pour tâcher de ne pas jouir trop vite. Elles finirent par s'interrompre, et se redressèrent. Elles discutèrent un moment en suédois, puis la Blonde, vint s'empaler sur mon sexe, poussant un petit gémissement. Elle démarra des puissants va-et-vient, allant et venant férocement sur moi, me culbutant contre le sable, tout en me tenant fermement par le torse. Je me sentis décoller, le plaisir me vrilla le cerveau, et je me mis à pousser des râles de plaisir.
La Suédoise allait et venait sans s'interrompre, me regardant d'un air sauvage, se délectant de me voir cloué au sol, pris au piège comme une proie qu'elle aurait capturé. Elle accéléra encore l'allure, me baisant si fort que j'en fus ballotté sur le sable. La Suédoise continua sa chevauchée fantastique encore et encore, jusqu'à ce que ses gémissements deviennent de plus en plus stridents, et que son corps soit si tendu par le plaisir qui la travaillait qu'on aurait dit la corde d'un arc. Alors elle fit une série de petits mouvements circulaires, tout en se doigtant le clito. Elle rejeta la tête en arrière et poussa un hurlement, avant de jouir sans aucune retenue, explosant sur moi et se laissant tomber sur le sable, son beau visage angélique marqué par le plaisir. Moi je n'avais pas encore joui, mais était au bord de l'implosion, et n'en pouvais plus de tant de plaisir.
« A mon tour ! s'écria Katherine. »
« Non ! laissez moi me reprendre un peu ! »
« La ferme esclave ! répliqua Katherine. »
Elle s'empala sur moi, et sans la moindre pitié, se mit à me chevaucher comme une folle. Aussitôt, je sentis un plaisir monstre m'envahir, et poussai un cri pitoyable, qui tira à Katherine un sourire narquois. Elle accentua la puissance de ses coups de reins, ses hanches percutant les miennes avec force, me procurant une insupportable sensation de vertige, tant ce qu'elle me faisait était bon. Elle planta ses ongles dans mon torse, et tout en me baisant, se pencha vers moi pour me regarder bien droit dans les yeux, me faisant sentir, par son attitude, que j'étais à sa merci. Les minutes passaient, et elle continuait de me baiser, encore et encore, inlassablement, et moi, cloué au sol, je subissais, avec un plaisir croissant.
La Suédoise se contenta pendant un bon moment de nous regarder, puis décida soudain de participer. Elle vint s'asseoir sur mon visage, et fit danser son merveilleux cul sur moi, m'obligeant à lécher son intimité. Pendant ce temps, elle embrassait Katherine, et les deux magnifiques créatures se carressaient et se frottaient l'une contre l'autre. Si un promeneur passait par là, il aurait eu une vision de rêve : deux belles sirènes s'embrassant avec ferveur à la lueur de la lune, tout en malmenant un « pauvre » gars dont elle se servait comme d'un jouet.
Quant à moi, je décidai que puisque je n'étais qu'un sex-toy entre les griffes de ces deux belles, autant en être un efficace. Je m'attachais donc à procurer à la Suédoise un cuni des plus délicieux, faisant tournoyer ma langue, léchant et aspirant son clito. J'eus la satisfaction de bien vite l'entendre gémir et la sentir tremble au-dessus de moi. Quant à Katherine, elle continuait de littéralement me démonter, me donnant des coups de reins si sauvages, que j'en vibrais à chaque fois, mais serrant les fesses de la Suédoise pour m'aider à tenir, je tâchai de repousser au maximum le moment où j'allais jouir, histoire de faire durer encore et encore cet instant merveilleux.
De longues et délicieuses minutes passèrent. Je perdais la notion du temps, tout ce qui comptait pour moi, c'était bouffer l'intimité de la Suédoise, encore et encore, tout en encaissant aussi bien que possible les coups de reins de Katherine. On se faisait tous les trois un bien fou, Katherine en me chevauchant, moi en léchant la Blonde, et la Blonde et Katherine s'embrassant et se caressant entre elles. Nous gémissions et vibrions tous les trois, nos corps se raidissaient, comme proches de l'explosion, et nous nous couvrions de sueur malgré le froid de la nuit. Notre triangle infernal et délicieux était probablement l'une des plus délicieuses choses que j'aie jamais faites, et ça ne pouvait finir que d'une seule manière : le plaisir nous submergea tous les trois, et chacun de nous eut un délicieux orgasme, qui fit crier les deux belles, et me fit me déverser en Katherine dans une sensation de vertige digne des meilleurs grands huit.
Les deux belles s'effondrèrent sur le sable, haletantes, aussi ivres de plaisir que moi. On se pelotonna les uns contre les autres, et on resta un moment étendus sur le sable, regardant le ciel étoilé.
C'était la parfaite fin pour d'aussi délicieuses vacances.
Voilà c'est la fin de cette histoire, je suis désolé d'avoir mis autant de temps à écrire la suite, j'espère que vous l'apprécierez.
« On va rater le feu d’artifice ! protestai-je. »
« C’est ici qu’il va y avoir le vrai feu d’artifice, répliqua Katherine. »
Je voulus protester, mais elles ne m’en laissèrent pas le temps. Elles vinrent sur moi, et tandis que l’une m’embrassa le cou, l’autre m’embrassa la bouche. Je cessai aussitôt de protester. Katherine, moi et notre amie Suédoise, poursuivions nos vacances ensemble. On était venus ici, à quelques kilomètres de notre camping, pour assister au feu d’artifice qui allait avoir lieu pour ce 14 Juillet. Seulement, les filles avaient très vite eu d’autres projets, et je m’étais résigné à les suivre sous la tente dans laquelle on allai passer la nuit.
Il faut dire que j’y gagnais au change : toutes les deux étaient odieusement sexy. Toutes les deux étaient de taille moyenne, même si la Suédoise était légèrement plus grande que Katherine, elles avaient toutes les deux de longs et beaux cheveux, noirs pour Katherine, blonds dorés pour la Suédoise. Leur corps à tous les deux était affolant, fin, sportif, et pourvu de formes généreuses. Un bon 95C, pour Katherine, ainsi qu’un fessier de rêve, probablement le plus beau cul que j’aie jamais vu. Quant à la Suédoise, elle avait une plus grosse poitrine, et un fessier des plus satisfaisants, même si pas aussi beau que celui de Kat. Enfin, et je dois dire que c’est ce que je préférais chez elle : elles avaient toutes les deux des visages d’ange, avec de beaux yeux noisettes côté Katherine, et de magnifiques yeux bleus pour la Suédoise.
Bref, je passais de délicieuses vacances en compagnie de ces deux bombes atomiques, et cette soirée s’annonçait comme une nouvelle partie très chaude.
La Suédoise prit l’initiative. Elle vint se mettre à califourchon sur moi, et me retira mon jean. Katherine pendant ce temps, se mit dans son dos, et lui embrassa la nuque, tout en la débarrassant de son propre pantalon. La Suédoise me retira mon caleçon, tandis que Katherine lui retirait son shorty. Après quoi, la belle Blonde, s’empala sur moi avec un cri, et commença de puissants va-et-vient. Je poussai un cri de plaisir, tandis que ses hanches se mirent à me percuter avec force, mon sexe coulissant en elle au rythme de ses assauts. Pendant ce temps, Katherine embrassait la nuque de la Suédoise, et lui massait ses seins à travers son t-shirt. Elle lui murmurait des choses à l’oreille, en suédois, et cela semblait doper la Blonde, qui me baisait avec de plus en plus d’ardeur et de sauvagerie. Je prenais un pied colossal : la Suédoise me baisait hyper bien, et voir Katherine l’asticoter était des plus plaisants. Je poussai des râles de plaisir, tandis que la Suédoise elle se mettait à gémir de plus en plus.
Au bout de longues et délicieuses minutes, la Suédoise et Katherine échangèrent. Cet fut à présent Kat qui me chevaucha, enchaînant les coups de reins de plus en plus forts. Elle me souriait tout en me baisant, et me griffait le torse pour me stimuler. Pendant ce temps, la Suédoise était derrière elle, et la doigtait avec frénésie. Ça n’empêchait pas la belle brune de me faire suffisamment de bien pour que je me sente défaillir. Elle me regardait droit dans les yeux en souriant d’un air vicieux, pendant que je me tortillais sous ses assauts.
Elles continuèrent ce manège pendant un bon moment : l’une après autre, elles me baisaient, chacune leur tour, pendant que l’autre prenait soin de sa copine. Moi dans cette histoire, je n’étais qu’un sex-toy, un jouet que les deux belles se partageaient et utilisaient à leur guise. A chaque fois que l’une d’entre elle s’empalait sur moi, elle allait encore plus vite et plus fort que la précédente, comme si elles se livraient une sorte de compétition. J’étais ballotté de tous côtés, mordu, griffé, giflé, baisé, mais bordel qu’est-ce que j’adorais ça ! En une demi-heure, la Suédoise eut trois orgasmes, Katherine deux, tandis que moi, je devais serrer les dents pour tenir autant que possible.
Je vis qu’elles se parlaient entre elles, et semblaient parler de moi. Comme elles parlaient en suédois, je ne comprenais rien.
« Qu’est-ce que vous dîtes ? demandai-je. »
Katherine était sur moi, entrain de me baiser. Elle me sourit et dit.
« On se dit que t’es vraiment un bon garçon de te laisser baiser comme ça, et de tenir si longtemps. »
Je poussai un cri, parce qu’elle venait de me donner un coup de rein particulièrement bon.
« J’ai le choix, peut être ? »
« Non… mais on va quand même te récompenser. »
Elle se retira et recula, arrêtant de me baiser.
« Je vois pas trop la récompense, là… grognai-je. »
« Râle pas ! Tu vas voir. »
Elles me firent me redresser… et se mirent à quatre pattes toutes les deux.
« On s’offre à toi mon grand, viens nous baiser. »
Je fus surpris d’entendre Katherine dire ça, mais ne me fis pas prier. Je la saisis par les hanches, et la pris aussitôt dans une brûlante levrette, lui assénant de puissants coups de reins, admirant son fessier de rêve subir mes assauts, tandis que tout son corps se cambrait. Je lui claquai les fesses, tout en caressant le dos de la Suédoise, qui elle, embrassait Katherine. Je continuais de pilonner la brune comme ça pendant un bon moment, avant de passer à la Suédoise. Je la pris également en levrette, et repris mes va-et-vient, aussi puissamment que possible, arrachant de grands cris à la Blonde. Pendant ce temps, Katherine l’embrassait tandis que moi, je claquais leurs petits culs à chacune. Cette fantastique séquence, se poursuivit encore pendant plusieurs dizaines de minutes, j’avais ces deux bombes à disposition, et passait de l’une à l’autre au gré de mes envies. Elles s’embrassaient avec passion, tandis que les baisais avec ferveur. J’aurais voulu prolonger ce moment encore, et encore, mais il fallut bien jouir, à un moment ou un autre, et c’est ce que je finis par faire. J’explosai dans un orgasme dévastateur, arrosant le cul de ces deux magnifiques créatures.
On se réveilla le lendemain matin, un peu patraques. Forcément, on avait pas beaucoup dormi. Je me levai le premier, et quittai la tente, pour admirer le lever du soleil. Il pointait au loin, rougeoyant, embrasant les quelques nuages matinaux. La brume qui montait et se colorait donnait un aspect magnifique au paysage devant moi. Katherine émergea à son tour de la tente, et vint m’enlacer par derrière, commençant à m’embrasser la nuque. Elle se fit plus pressante, glissant ses mains dans mon caleçon, et intensifiant ses baisers.
« Kat ! grognai-je, je veux regarder le lever du soleil. »
« Il se lève tous les jours, répliqua-t-elle. »
« Et nous on baise plusieurs fois par jour ! »
« Oui, mais c’est plus intéressant… »
Elle me tira à l’intérieur de la tente, et je fus obligé de la suivre. La Suédoise s’était rendormie, et respirait doucement. Katherine se mit à quatre pattes à côté d’elle, et lança :
« Viens me prendre, mon grand ! »
Comment résister à ce cul, venu des cieux, qui était tendu vers moi en offrande ? Je m’agenouillai derrière elle, la saisit par les hanches, et la prit avec force. Elle poussa un petit cri, et je me mis à la baiser en levrette. Katherine ne s’offrait pas souvent à moi, comme ça, il fallait que j’en profite. Je lui donnai de puissants coups de reins, m’enfonçant en elle avec délice, la faisant gémir comme une chienne. C’était vraiment bon, d’admirer Katherine à quatre pattes, entrain de subir mes assauts, c’était rare, et tellement excitant ! Je me mis à claquer ses fesses à plusieurs reprises, savourant ses petits cris aigus, puis lui tirai sa longue chevelure brune, histoire de me sentir parfaitement dominant. Je lui donnai plusieurs gros coups de reins, qui la firent crier à pleine voix, et je la saisis par la nuque, pour l’obliger à bouger la tête comme je l’entendais. Je la pris comme ça pendant un long moment, savourant cet instant où c’était moi qui la baisais et pas l’inverse. Puis, elle me dit :
« Allonge-toi, maintenant. »
« Quoi ? »
J’étais surpris, et un peu déçu… moi qui croyais qu’elle avait décidé de se comporter en soumise avec moi…
« Je t’ai laissé me baiser, maintenant c’est mon tour. Allonge-toi, ajouta-t-elle d’un ton autoritaire. »
Presque automatiquement, je me retirai d’elle, et docilement je m’allongeai. Je me rendis compte, alors, qu’elle n’avait qu’à hausser le ton pour que je lui obéisse aussitôt. Katherine vint sur moi avec un petit sourire satisfait, et je compris alors qu’elle devait penser la même chose que moi : elle m’avait bien dressé.
Elle s’empala sur mon sexe avec une grimace de plaisir, puis, elle démarra de puissants va-et-vient. Le plaisir monta aussitôt en moi, balayant tout regret qu’elle ne m’ait pas laissé dominer plus longtemps. Elle allait d’emblée à un rythme très élevé, son corps de rêve s’activant sur moi, de même que sa chevelure brune qui suivait le mouvement de ses coups de reins. A chaque coup qu’elle faisait, mon sexe vibrait de plaisir, mon corps se raidissait, et ma vue se brouillait. Je ne tardai pas à lâcher des râles de plaisir, tandis que Katherine me souriait d’un air satisfait, heureuse de me baiser si bien. Elle se mit à me griffer le torse, pour me stimuler, et sans doute pour se venger de mes abus de tout à l’heure. Je lui donnai une claque sur ses fesses rebondies, et elle répliqua par une gifle bien sentie. Je poussai un grognement de douleur, et elle me lança un sourire provocateur. Je voulus me redresser, mais elle me saisit par les épaules, et me plaqua au sol, avant d’accélérer soudainement. Le plaisir grimpa augmenta encore, pour nous deux, et après un ultime coup de rein de sa part, on explosa tous les deux dans un orgasme démentiel, qui nous fit crier à pleine voix.
Épuises, mais comblés, on s’allongea, et on se rendormit paisiblement.
POV Katherine
Debout sur la terrasse de bois devant notre chalet, je contemplai la forêt de pins qui s’étalait devant chez nous. J’adorais sentir l’odeur de ces arbres, et observer la nature tranquille et immobile, écouter les oiseaux, et le bruit des cigales. J’étais toujours en pleine contemplation, lorsque soudain, je sentis deux bras s’enrouler autour de moi. Deux mains se pressèrent contre mes seins, et les malaxèrent à travers mon débardeur, tandis qu’un corps se collait contre mon dos, et qu’un souffle chaud se faisait sentir sur ma nuque.
Je n’eus pas besoin de me retourner pour savoir que c’était la Suédoise. Je frissonnai d’excitation, tandis que la belle se fit plus pressante, pétrissant ma poitrine avec entrain. Elle se mit ensuite à m’embrasser la nuque, parcourant mon cou, mes épaules, mordillant mon oreille, tout en se frottant contre moi langoureusement. Je poussai un doux gémissement, sentant l’excitation monter, et monter en moi. Lorsqu’elle se mit à me caresser les cuisses d’une main, tandis que l’autre rentra carrément dans mon décolleté pour me masser les seins directement, j’explosai comme une cocotte minute mise trop longtemps sous pression.
Je me retournai d’un coup, et saisit la Suédoise avant de la repousser sur toute la terrasse, pour la faire ensuite entrer dans le salon, où je la plaquais, sauvagement contre le mur le plus proche. Là je me collai contre elle, et l’embrassai avec furie.
Du coin de l’oeil, je vis dans le miroir que nous offrions un spectacle incroyablement sexy : elle avec sa chevelure blonde dorée et en débardeur blanc, moi avec mes cheveux noirs, et mon débardeur de la même couleur, on offrait un contraste saisissant entre clarté et obscurité. Ça devait être très excitant à observer, dommage qu’il n’y ait personne avec nous en ce moment…
La Suédoise me saisit par la nuque, et me serra contre elle, renforçant notre étreinte. Je pressai ma poitrine contre la sienne, et me trémoussai de façon à ce que nos deux paires d’obus se frottent l’une contre l’autre délicieusement. Les sensations électriques qui nous parcourent alors nous firent gémir en plein baiser.
Je saisis la Suédoise par la ceinture de son mini-short, et l’entraînant dans la chambre la plus proche, je la jetai sur le lit, et elle s’y étala avec un petit gémissement. Me tenant debout devant le lit, je retirai tous mes vêtements, puis lui ordonnai en suédois :
« Déshabille-toi. »
Elle s’exécuta aussitôt. Je poussai un petit grondement d’excitation en admirant une fois de plus son corps de folie. Je me jetai bien vite sur elle. Toutes les deux nues, on se mêla l’une et l’autre, chacun de nous dévorant le corps de l’autre, se tournant, se retournant, passant tantôt au dessus, tantôt au dessous. A un moment, je la coinçai contre le matelas, et lui dévorai sa poitrine, enfouissant carrément ma tête dedans, tout en lui tenant les mains, et frissonnant en la sentant se débattre. A un autre moment, j’étais allongée sur le côté, elle derrière moi, me doigtait furieusement d’une main, tout en pétrissant ma poitrine de l’autre. Je gémissais et me tortillais doucement, savourant son habilité. A un autre moment, elle était agenouillée sur le matelas, se tenant contre la tête du lit, et moi j’étais derrière, lui doigtant le cul en la tenant par l’épaule, l’obligeant à cambrer son corps de rêve, tandis que j’allais et venais dans son petit trou, la faisant gémir de plus en plus fort. A un autre moment, j’étais allongée sur le lit, et elle me faisait un délicieux cuni, sa langue passant et repassant, encore et encore sur mon intimité. Je finis par la saisir aux cheveux, et dirigeai ce cuni, l’obligeant à aller au rythme que je voulais, à rester sur mon intimité aussi longtemps que je le désirai. Au final, je la renversai, et me mis à la chevaucher, comme si c’était un mec, frottant mon intimité contre la sienne. Très excitée, j’allais à fond sur elle, la tenant par le cou, lui administrant des coups de reins puissants, et savourant de la voir se tordre de plaisir, gémir, et voir ses beaux yeux bleus chavirer à cause de ce que je lui faisais. Moi même je prenais un sacré pied, gémissant, et sentant mon cerveau fondre sous le plaisir. Lorsque ma respiration s’accéléra, et que la Suédoise avait le corps cambré par le plaisir, j’accélérai soudainement, la fit exploser dans un orgasme ravageur.
POV Narrateur
La voiture se gara, dans un crissement de pneu sur les graviers dépassant du sable. On venait de se garer sur le parking de la plage, prêts pour une après midi sur le chable chaud. Je regardai mes deux compagnes, et sentis un tressaillement dans mon caleçon : elles étaient toutes les deux odieusement sexy. Katherine portait un mini-short en jean, et au dessus un bikini noir qui dévoilait largement son beau 95C et son ventre plat. La Suédoise, elle, portait un bikini bleu, qui mettait à merveille son corps de déesse en valeur. Elle était assise à l'arrière, et à chaque fois que je jetais un coup d'oeil dans le rétroviseur, je pouvais l'admirer. Entre elle, et Katherine assise à côté de moi, je peux vous dire que j'avais sacrément chaud… D'ailleurs, j'avais pas envie de quitter cette voiture aux vitres teintées, où personne ne pouvait nous voir…
« Tout va bien mon grand ? gloussa Katherine. »
Je sursautai.
« Oh ! Euh… oui. C'est juste que… »
Je les désignais toutes les deux d'un geste de la main.
« J'ai… du mal à me concentrer. »
Katherine eut un petit rire, et traduisit à la Suédoise, qui rit à son tour. Elle se pencha vers moi et me dit quelque chose en suédois, en me tirant par le bras. J'avais beau ne pas comprendre un mot de suédois, je compris parfaitement ce qu'elle voulait, et ne me fis pas prier. Je me levai, et la rejoignis sur la banquette arrière. Bouillonnant d'excitation à la vue de son corps, je me jetai sur elle, et l'embrassai langoureusement. Elle enroula ses bras autour de mon cou, et me rendit mon baiser. Nos langues tournèrent et se croisèrent, tandis que nos lèvres s'entremêlaient dans un ballet fiévreux. Elle me poussa en arrière, me colla contre le dossier de la banquette, et vint à cheval sur moi, pressant sa poitrine imposante contre mon torse, tout en accélérant le rythme de son baiser. Je posai les mains sur ses belles fesses, et me mis à les masser avec délectation, tout en la collant bien contre moi, savourant le contact de sa peau douce contre la mienne. La Suédoise me laissa faire un moment, puis me saisit les poignets, et les plaqua contre le dossier de la banquette. Elle me mordit le menton, avec un petit sourire provocateur. Je fis un mouvement pour me rebeller, histoire de rappeler qui était l'homme quand même, mais Katherine me dit aussitôt :
« Non mon chéri, tu te laisses faire. Laisse notre belle Blonde te baiser, sinon je viens te corriger. »
Je poussai un grognement, et acceptait de me laisser faire, tandis que la Suédoise me retirait mon short maillot de bains, ainsi que son bas de bikini, avant de s'empaler sur moi avec un gémissement. Je poussai moi même un grognement de plaisir, qui se transforma en un cri, lorsqu'elle se mit à me chevaucher avec énergie. Elle me tenait par les épaules, me plaquant contre le dossier de la banquette, et bondissait et rebondissait sur mon sexe, sa chevelure dorée tombant en cascade tout autour d'elle, ses yeux bleus plantés dans les miens comme pour me défier. Je sus aussitôt submergé par le plaisir, et par réflexe, j'attrapai ses hanches, comme pour me rattraper à quelque chose. J'accompagnai ses mouvements, l'aidant à bondir sur moi, renforçant le rythme et l'ardeur de cette baise. Le superbe corps de la Suédoise, en action, se couvrit bientôt de sueur, tout comme le mien. La chaleur était étouffante, et pourtant elle continuait à me baiser, encore et encore, toujours avec cette ardeur et cette détermination inébranlables. Tout ça était beaucoup trop bon, le plaisir me faisait perdre la tête, mon corps entier était parcouru de spasmes, et entre la chaleur de la voiture, et de notre baise, j'avais l'impression de fondre littéralement. Je changeai alors d'attitude : au lieu de me servir de mes mains posées sur les hanches de la Suédoise pour l'aider à me baiser plus fort et plus vite, je m'en servis pour la ralentir, histoire de reprendre un peu mes esprits.
La belle réagit aussitôt : elle me saisit les poignets, et les plaqua à nouveau contre le dossier de la banquette. Puis, elle retira son haut de bikini, libérant sa volumineuse poitrine. J'eus à peine le temps de l'admirer, que déjà, elle me saisissait par les cheveux, et m'enfonçait la tête entre ses seins. A moitié étouffé, j'en profitais néanmoins pour les dévorer avec avidité, tandis que la Suédoise se mit à m'asséner des coups de reins terribles, allant d'avant en arrière à fond, bien décidée visiblement à me finir. Ça ne rata pas : je sentis aussitôt le plaisir monter dangereusement en moi, et avoir la tête dans ses seins n'aidait pas à me contenir. Je ne tardai pas à pousser des cris étouffés par sa poitrine, qui l'incitèrent à accélérer encore. Alors que j'étais aux portes de l'orgasme, elle me tira par les cheveux, ramenant ma tête en arrière, pour pouvoir me toiser d'un air dominateur. Elle accéléra encore le rythme bougeant son corps comme une déesse, ses yeux toujours fichés dans les miens. Je tâchai de tenir le plus longtemps possible, et serrai les dents pour ne pas jouir tout de suite, mais sous la pression de ses coups de reins dévastateurs, je fuis incapable de me retenir plus longtemps, et finis par me déverser en elle, dans un frisson, orgasmique.
Satisfaite, elle me retira d'elle, et me repoussa d'un geste négligeant, comme on fait lorsqu'on se débarrasse d'un objet devenu inutile. Elle avait un petit sourire satisfait qui fit songer à quel point j'étais dominé par mes deux belles pendant ces vacances…
Je n'eus pas vraiment le temps de m'apitoyer sur mon sort (ce qui aurait été un peu hypocrite de toutes façons). Katherine nous rejoignit sur la banquette arrière. Elle me tourna ostensiblement le dos, et à genoux sur la banquette, elle embrassa avec ferveur la belle Suédoise, qui lui rendit son baiser, posant ses deux mains sur les épaules de la brune.
Je me calai bien et admirai un moment le spectacle : le cul parfait de Katherine tendu à quelques centimètres de mon visage, la Suédoise qui lui caressait les hanches, Katherine qui lui malaxait les seins, pendant que leurs visages semblaient fusionner, leurs bouches se mêlant étroitement et furieusement, tandis que la chevelure dorée de l'une se mélangeait avec les cheveux noirs de l'autre. Le tout se déroulait dans un concert de gémissements et de petits cris aigus qui ne pouvaient que m'exciter à fond.
Je ne fus pas long à retrouver toute ma vigueur, et à retourner dans la danse. Je me redressai, et d'un coup sec, je retirai le mini-short en jean de Katherine, puis son bas de bikini. Trop occupée à embrasser avidement la Blonde, elle ne réagit pas, alors j'en profitai pour la prendre en levrette d'un coup sec. Katherine poussa un gémissement, mais je ne comptai pas m'arrêter là. Je la saisis par les hanches avec fermeté, et me mis à la baiser en levrette comme un fou, laissant libre cours à mon excitation toute retrouvée. Je lui donnai de puissants coups de reins qui la propulsaient en avant, et lui arrachaient de grands cris de plaisir. La vue de son cul parfait me donnait des ailes, de même que la sensation d'être celui qui baise l'autre, sentiment que j'avais rarement avec Katherine. Je la saisis par les épaules, pour l'obliger à bien se cambrer, et lui mis un enchaînement de va-et-vient qui me firent gronder de plaisir, et elle, trembler de tout son être.
La Suédoise se mit à la doigter, ce qui la rendit encore plus folle. Katherine gémissait, se tortillait, et était prise de spasmes. Prise en sandwich entre moi et la Suédoise, elle devait vivre un infernal délice. Son attitude dopait ma vigueur et mon agressivité, et je redoublai la puissance de mes coups de reins, tandis que la Suédoise intensifia son doigtage. Elle me lança par dessus l'épaule de Katherine un sourire complice : pour une fois, on était unis. A nous deux, on dominait totalement la brune, et on en faisait notre chose. Je dénouai les lacets de son maillot de bains, et la Suédoise se jeta sur ses seins qu'elle dévora. Je saisis la fille du nord par ses cheveux blonds pour l'obliger à intensifier ses mouvements de bouche. Pendant ce temps, je donnai à Katherine de puissants coups de reins de bas en haut, qui la soulevaient légèrement. Je me sentais à présent incroyablement dominant, à baiser Kat en levrette, tout en me servant d'une autre pour qu'elle lui dévore les seins. Et je ne vous raconte pas le spectacle que c'était, de voir le visage angélique de la Suédoise, pressé contre les magnifiques seins de Katherine, sa bouche pulpeuse s'activant à les dévorer, tandis que moi je contrôlais le tout, avec en prime les gémissements de la brune qui retentissaient à mes oreilles, le tout en ayant ma bite loin en elle qui la ramonait encore et encore ! Quel spectacle ! Quel pied !
Ça ne pouvait pas durer indéfiniment : j'explosai dans un orgasme ravageur en même temps que Katherine, qui s'effondra dans mes bras dans un hurlement aigu, pendant que je me déversai en elle. Tremblant de la tête aux pieds, épuisé et sonné, je me mis seulement en devoir de laisser Katherine s'étendre sur la banquette, et de venir dévorer l'intimité de la Suédoise, dans un brûlant cuni, qui eut tôt fait (l'excitation de ce qu'on venait de faire aidant) de jouir dans un second orgasme bien mérité.
On resta un moment dans la voiture, essoufflés, comblés. La chaleur finit par devenir insupportable, et après s'être rhabillés, on sortit dehors pour aller sur la plage. Une fois arrivés, on se vautra sur les tapis de plage, et on resta un long moment, étendus au soleil à récupérer après cette incroyable baise.
Katherine fut la première à pleine se remettre, et alla se baigner, nous laissant, la Suédoise et moi seuls sur la plage. Au bout d'un moment, je commençais à me rétablir moi aussi, mais n'avais pas envie de me baigner. En fait, mon regard était inexorablement attiré par la belle Blonde à côté de moi. Elle était de nouveau en bikini, et son corps de rêve ainsi dévoilé commençait à sérieusement me chauffer… Je me levai et lui donnai un léger coup de pied. Elle me regarda d'un air surpris, et je lui indiquai du menton les dunes qui surplombaient la plage. Elle comprit le message, et se leva en souriant.
Main dans la main, on escalada la dune et poursuivîmes notre route jusqu'à être à l'abri des regards. J'ouvrais la marche, la Suédoise me suivait. Lorsque nous fûmes totalement isolés, je fus soudain poussé en avant, par la Suédoise. Je me retournai, un peu surpris, et elle se jeta sur moi, me faisant tomber au sol. Elle se mit à m'embrasser avec ferveur, frottant son corps de rêve contre le mien, avant de descendre sur mon torse dont elle dévora soigneusement les pectoraux, avant de descendre encore, et de passer sa langue entre mes abdos.
Je voulus réagir, mais lorsque je fis le geste de me redresser, la Suédoise me recala aussitôt, me plaquant contre le sable. Elle me retira ensuite mon maillot de bains, avec toujours cette détermination féroce que montraient ces filles à avoir mon sexe. Elle me prit en bouche, et démarra une délicieuse fellation, allant et venant, pressant ma hampe avec ses lèvres pulpeuses. Je poussai un râle de plaisir, qui la fit sourire de contentement, heureuse visiblement de me faire du bien. Elle se mit à jouer de sa langue, la faisant courir le long de mes veines, ce qui me fit me raidir, et planter mes doigts dans le sable, comme pour contenir un éventuel orgasme. Elle sourit à nouveau, et se mit à accélérer le rythme, me faisant carrément crier, tandis qu'elle me pompait, encore et encore, tout en malaxant mes boules avec ses doigts. Lorsqu'elle se mit à me lécher le gland, je dus déployer de gros efforts pour ne pas jouir sur le champ.
La Suédoise se redressa, au moment où mon plaisir en était à son point culminant. Elle voulait peut être me torturer, ou alors craignait que je ne jouisse trop tôt… Dans tous les cas, je me redressai soudainement, et la plaquai à son tour contre le sable, revenant au-dessus. Je lui retira prestement son bikini, la dénudant fébrilement, puis, dans un frisson de plaisir, je la pénétrai et la pris en missionnaire.
Elle poussa un petit cri, qui m'excita tellement que je vis littéralement rouge. Je me mis à la défoncer, la baisant comme un sauvage, la culbutant férocement contre le sable, tout en lui malaxant ses gros seins. Elles se tortillait, gémissait, me criait des trucs en suédois, et tout ça ne faisait que me rendre encore plus animal, et me pousser à y aller plus fort encore. Je finis par lui apporter un premier orgasme, qui la fit se convulser sur le sable de plaisir, mais ça ne me calma pas, au contraire. J'accélérai encore l'allure, prolongeant encore son orgasme, la faisant pousser des cris aigus et désespérés. Lorsqu'elle eut un deuxième orgasme, je lui accordai quelques secondes de répit… avant de la retourner, et de la prendre férocement en levrette. Je ne sais pas ce que j'avais, mais j'étais plus excité que jamais, à sauter cette bombe suédoise, sous ce soleil de plomb, au milieu des hautes herbes de la dune.
La tenant fermement par les hanches, j'allais et venais rapidement, m'enfonçant loin en elle. Ma belle Suédoise semblait prendre un pied énorme. Elle était incapable de se tenir sur ses mains, et et s'effondrait en avant, la tête sur le sable. Pris d'une envie, je lui redressai le cul, la faisant se tenir presque à 90°, et la baisant plus sauvagement que jamais, tout en la surplombant. Ainsi, j'allais plus loin en elle que jamais, fondant littéralement de plaisir. La Suédoise elle ne gémissait même plus : sa bouche était ouverte, et un son continu en jaillissait, témoin de son extase. Sentant que l'orgasme était imminent, j'accélérai encore, dirigé par les frissons de plus en plus intenses que je ressentais. Je finis par aboutir, et me déversai en elle dans une explosion libératrice, tandis qu'un tremblement dans son fessier m'annonçait qu'elle aussi avait joui.
Je m'effondrai sur le sable, haletant, en sueur, mais tellement satisfait.
On resta un moment, étendus sur le sable avant de se relever, et de partir main dans la main vers la plage. Katherine nous y attendait, et en nous voyant arriver, elle fronça les sourcils.
« Où vous étiez ? me demanda-t-elle. »
« Là haut, lui répondis-je avec un sourire légèrement moqueur. »
« Vous baisez sans moi, maintenant ? »
« Faut croire. »
Elle eut une moue boudeuse.
« Pas juste ! J'aurais pas dit non à une petite séance torride, moi. »
« La prochaine fois, lui dis-je avec un clin d'oeil. »POV Suédoise
Je marchais vers la voiture, en sifflotant joyeusement. Qu'est-ce que j'étais bien avec mes deux français ! Je passai vraiment de délicieuses vacances, peut être les meilleures de ma vie, en tout cas niveau sexe c'était sûr. Il était 18h, la plupart des vacanciers quittaient la plage, mais nous avions décidé de rester. J'avais, cependant, envie de reposer mon chapeau à la voiture, car le soleil déclinant, il ne me servait plus à rien.
Je venais de poser mon chapeau, et de refermer la voiture, quand soudain, je sentis deux mains me saisir les hanches, et de douces lèvres venir embrasser ma nuque. Je frissonnai, tandis que les mains de Katherine vinrent saisir mes seins, et les malaxer à travers mon bikini. Je collai mon fessier contre son intimité, et me mis à frotter l'un contre l'autre. Katherine poussa un grondement d'excitation, et m'ordonna en suédois :
« Ouvre la voiture. »
Je m'exécutai aussitôt.
« Va sur le siège passager. »
Autant obéir. Je m'installai sur le siège, et Katherine vint me rejoindre dessus, avant de refermer la portière. On était désormais à l'abri des regards. La belle française me regardait avec intensité, et j'eus brusquement l'impression d'être une gazelle face à une lionne.
En me souriant, elle enfonça deux doigts dans mon intimité, sans même se soucier de retirer mon bas de bikini. Je poussai un gémissement, lorsqu'elle se mit à aller et venir, me doigtant avec passion. Elle se pencha sur moi, et m'embrassa, sans pour autant ralentir le rythme de ses doigts. Je lui rendis son baiser, goûtant à la douceur de ses lèvres, tout en la prenant par la tête, pour l'attirer contre moi, et renforcer notre étreinte. Nos deux corps collés l'un contre l'autre nous offrait une incroyable sensation de douceur, et de chaleur, tandis que notre baiser devenait de plus en plu sauvage, Katherine me mordillant même les lèvres. En même temps, elle accélérait le rythme de ses doigts, me faisant fondre littéralement de plaisir. Elle y alla si fort, que je dus rompre le baiser, et m'abandonner sur le dossier du siège.
Mais alors que j'étais à l'apogée de mon plaisir, Katherine s'interrompit soudainement. Je n'eus pas le temps d'être frustrée cependant, car aussitôt, elle retira mon bas de bikini ainsi que le sien, et vint se frotter contre moi. Elle se mit à me chevaucher, comme elle l'aurait fait avec un mec, se déhanchant sur moi de façon endiablée, me tenant par le cou et me regardant droit dans les yeux. Je poussai des petits gémissements, sous l'effet de nos intimités qui se frottaient l'une contre l'autre, qui déclenchaient des tourbillons de plaisir en moi. Elle abaissa encore plus le dossier du siège, pour me mettre en position plus allongée, et accentua ses déhanchés. Elle se remit à me malaxer les seins, tout en me baisant fortement. Je poussai un petit cri, et lui massai les fesses, appréciant leur fermeté. Katherine se pencha sur moi et me mordit le menton. J'en haletai d'excitation, tandis que la brune tenait son visage à quelques centimètres du mien. M'observant de près pour guetter mes réactions, elle se mit à me doigter en même temps qu'elle continuait de me chevaucher, me titillant le clito. Aussitôt, je sentis mon corps se raidir, le plaisir me fit perdre la tête, et, au final, j'explosai dans un orgasme démentiel. Elle ne tarda pas à me rejoindre, et nous poussâmes toutes les deux des cris d'extase.
POV Narrateur
Je regardais d'un air mauvais les autres vacanciers. Le soleil se couchait, la plage était quasiment vide, et Katherine, la Suédoise et moi n'attendions que d'être totalement seuls pour pouvoir enfin baiser salement. Il s'était passé plusieurs heures depuis ma partie de jambe en l'air avec la Suédoise dans les dunes, et j'avais plus envie que jamais. Mais les maudits vacanciers qui étaient eux aussi sur la plage, ne voulaient pas partir. Ils ne devaient pas remarquer que tous les trois, on les regardait d'un œil noir.
Quand ceux qui étaient là partirent, d'autres arrivèrent, et au final, on dut attendre tellement longtemps, qu'il faisait nuit noire, quand enfin la plage fut déserte. J'étais un peu déçu, pensant qu'on allait pas baiser tous les trois sur la plage pour notre dernier jour, mais Katherine se leva, et dit un truc en suédois, avant d'ajouter à mon intention :
« Un bain de minuit, ça te dit, mon grand ? »
Je bondis aussitôt sur mes pieds, ce qui la fit rire. On se lança tous les trois vers la mer, et son se jeta dans l'eau. Bien évidemment, nos bikinis étaient restés sur la plage… Je nageai un moment dans l'eau, me laissant culbuter par les vagues, admirant la mer, qui reflétait la lune et les étoiles. J'aurais presque pu rester là à admirer le paysage, mais les deux sirènes qui m'accompagnaient avaient d'autres projets…
Katherine jaillit de l'eau juste en face de moi, et enroula ses bras autour de mon cou. Totalement nue, les cheveux trempés dégageant son visage angélique, le corps ruisselant d'eau qui scintillait à la lumière de la lune Elle était tellement belle ! Et quand la Suédoise surgit dans mon dos, elle aussi magnifique à en mourir avec ses cheveux dorés trempés et ses yeux bleus qui brillaient plus fort que jamais, je me dis que vraiment j'avais été béni des dieux pendant ces vacances, pour avoir eu la chance de me taper encore et encore d'aussi belles créatures.
Katherine m'embrassa langoureusement, et je lui rendis son baiser avec passion, savourant la douceur et le goût sucré de ses lèvres, tandis que dans mon dos, la Suédoise collait son corps de rêve contre le mien, et m'embrassait la nuque. Je bandai quasiment instantanément, et Katherine, l'ayant senti, vint se jucher et s'empaler sur moi. Elle commença à se déhancher dans l'eau, provoquant de gros remous, et des vagues de plaisir en moi. Pendant ce temps, dans mon dos, la Suédoise m'embrassait avec de plus en plus de ferveur, et enroulant ses bras autour de moi, elle me massa les boules, en même temps que Katherine se démenait sur moi. Le plaisir me submergea et je rejetai la tête en arrière, poussant un cri de plaisir. Je me redressai ensuite, et saisis les fesses de Katherine, et l'aidai à amplifier le mouvement de ses hanches, rendant la baise encore plus délicieuse. La belle brune se mit à gémir, et se tenant à mes épaules, elle se mit à bondir et rebondir sur moi, me faisant totalement chavirer. La Suédoise elle se fit plus pressante en me massant les boules, et ça me fit voir rouge, tant le plaisir devenait intense. Je me débattis, désirant les baiser sauvagement comme l'excitation qui me prenait le commandait, mais les deux belles me saisirent, et renforcèrent leur étreinte pour que je reste immobile. J'avais la sensation d'être un pauvre marin capturé par deux sirènes. D'autant plus qu'elles se mirent à me dévorer, la Suédoise m'embrassant avec passion chaque centimètre carré de mon dos, de mes épaules et de ma nuque, tandis que Katherine m'embrassait furieusement en plein sur la bouche, ses mains fourrageant mes cheveux, tandis que ses hanches s'agitaient à un rythme diabolique. Lorsqu'elle rompit le baiser, j'étais hors d'haleine, et vibrant de plaisir. Katherine se déchaîna sur moi, me chevauchant férocement, jusqu'à ce que je jouisse dans un cri de mâle en rut.
Sonné, je m'effondrai dans l'eau et flottai un moment, contemplant le ciel étoilé en me laissant bercer par la mer, savourant mon orgasme. Pendant ce temps, les deux sirènes qui m'accompagnaient, n'étant pas repues, se jetèrent l'une sur l'autre.
Elles s'enlacèrent, et s'embrassèrent avec furie. Le spectacle de cette magnifique brune et cette superbe blonde, cheveux trempés, corps ruisselants d'eau, enlacées étroitement qui s'entre-dévoraient me rendit toute ma vigueur. J'attendis néanmoins un moment avant de les rejoindre, les laissant se faire du bien entre filles. Katherine doigtait la Suédoise tout en l'embrassant, tandis que celle-ci pressait sa poitrine contre celle de la brune. Chacune faisait gémir l'autre, et ce doux concert de petits cris vint s'ajouter au bruit de la mer. Katherine accéléra le rythme de ses doigts, tenant en même temps la Blonde par l'épaule, pour qu'elle reste bien en place. Celle-ci rompit leur baiser, et rejeta la tête en arrière, poussant un cri d'extase qui tira un sourire satisfait à Katherine. Elle saisit la Suédoise au cou, histoire de pouvoir plonger ses beaux yeux sombres dans les beaux yeux bleus de son amante, et accéléra encore le rythme, la doigtant comme une possédée. En quelques minutes, la Suédoise eut un orgasme. Katherine la relâcha, et la belle blonde s'effondra dans l'eau, comme moi tout à l'heure.
Ce fut à cet instant, que je décidai de retourner dans la danse. Je saisis la Suédoise, encore sonnée par son orgasme, et sans plus perdre de temps, je la pénétrai, et la pris en missionnaire dans l'eau. Elle poussa un gémissement, qui s'intensifia lorsque je démarrai de puissants va-et-vient, la culbutant férocement dans l'eau. Katherine vint derrière moi, et m'enlaça, me griffant le torse, me mordant la nuque, tout en me murmurant des encouragements, pour que je baise la Suédoise toujours plus vite, et toujours plus fort. La pauvre scandinave n'en pouvait plus d'être à nouveau baisée juste après son orgasme, les sensations étaient trop fortes, trop délicieuses, et elle se démenait comme une diablesse, au point de souvent boire la tasse. Décidé à la finir au plus vite, je me mis à accélérer comme un fou furieux, la pilonnant sauvagement, tapant le fond de son intimité, frémissant de plaisir à chaque fois. La Suédoise ne put en supporter plus longtemps, et explosa dans un orgasme démentiel, en criant à fond.
Je me retirai d'elle, et me tournai vers Katherine, légèrement haletant. On se dévisagea un moment, puis on se jeta l'un sur l'autre, pleins de passion et d'envie. On s'embrassa furieusement, et je la pénétrai. Elle poussa un gémissement, en sentant mon sexe entrer en elle, et je me mis à aller et venir, la baisant dans l'eau, en la tenant par les hanches. J'y allai à un rythme élevé, et elle commença à vaciller, comme si elle allait s'effondrer dans l'eau, mais soudain, elle me saisit par la nuque, grimpa sur moi en se servant de ses jambes, et se mit à aller et venir sur moi, avec une passion ardente. Elle était incroyable à voir : suspendue à ma nuque, au-dessus de la surface de l'eau, me chevauchant en l'air avec autant d'aisance que si on était confortablement installés sur un matelas. A mon tour je me sentis chavirer, et lorsqu'elle me servit son éternel sourire narquois, je craquai et jouis, me déversant en elle dans un cri.
On aurait pu penser qu'après tout ça, les deux belles seraient rassasiées. Mais il n'en n'était rien. Katherine et la Suédoise me poussèrent vers le bord de l'eau. Elles me forcèrent à m'allonger sur le sable, juste sur la rive de la mer, et vinrent sur moi.
Elles m'embrassèrent toutes les deux, se régalant de mon corps. Je voulus me redresser, elles me repoussèrent toutes les deux, me clouant sur le sable. Elles repartirent à l'assaut de mon corps, Katherine m'embrassant la bouche, le visage, le cou, tandis que la Suédoise m'embrassait le torse et le ventre. Ce fut elle, qui, ensuite, prit mon sexe en bouche, et commença à me pomper, me faisant me raidir, et lâcher un râle de plaisir. Katherine la rejoignit, et me pompa de concert avec elle. Je me tortillai de plaisir, plantai mes doigts dans le sable, et serrai les dents, pour tâcher de ne pas jouir trop vite. Elles finirent par s'interrompre, et se redressèrent. Elles discutèrent un moment en suédois, puis la Blonde, vint s'empaler sur mon sexe, poussant un petit gémissement. Elle démarra des puissants va-et-vient, allant et venant férocement sur moi, me culbutant contre le sable, tout en me tenant fermement par le torse. Je me sentis décoller, le plaisir me vrilla le cerveau, et je me mis à pousser des râles de plaisir.
La Suédoise allait et venait sans s'interrompre, me regardant d'un air sauvage, se délectant de me voir cloué au sol, pris au piège comme une proie qu'elle aurait capturé. Elle accéléra encore l'allure, me baisant si fort que j'en fus ballotté sur le sable. La Suédoise continua sa chevauchée fantastique encore et encore, jusqu'à ce que ses gémissements deviennent de plus en plus stridents, et que son corps soit si tendu par le plaisir qui la travaillait qu'on aurait dit la corde d'un arc. Alors elle fit une série de petits mouvements circulaires, tout en se doigtant le clito. Elle rejeta la tête en arrière et poussa un hurlement, avant de jouir sans aucune retenue, explosant sur moi et se laissant tomber sur le sable, son beau visage angélique marqué par le plaisir. Moi je n'avais pas encore joui, mais était au bord de l'implosion, et n'en pouvais plus de tant de plaisir.
« A mon tour ! s'écria Katherine. »
« Non ! laissez moi me reprendre un peu ! »
« La ferme esclave ! répliqua Katherine. »
Elle s'empala sur moi, et sans la moindre pitié, se mit à me chevaucher comme une folle. Aussitôt, je sentis un plaisir monstre m'envahir, et poussai un cri pitoyable, qui tira à Katherine un sourire narquois. Elle accentua la puissance de ses coups de reins, ses hanches percutant les miennes avec force, me procurant une insupportable sensation de vertige, tant ce qu'elle me faisait était bon. Elle planta ses ongles dans mon torse, et tout en me baisant, se pencha vers moi pour me regarder bien droit dans les yeux, me faisant sentir, par son attitude, que j'étais à sa merci. Les minutes passaient, et elle continuait de me baiser, encore et encore, inlassablement, et moi, cloué au sol, je subissais, avec un plaisir croissant.
La Suédoise se contenta pendant un bon moment de nous regarder, puis décida soudain de participer. Elle vint s'asseoir sur mon visage, et fit danser son merveilleux cul sur moi, m'obligeant à lécher son intimité. Pendant ce temps, elle embrassait Katherine, et les deux magnifiques créatures se carressaient et se frottaient l'une contre l'autre. Si un promeneur passait par là, il aurait eu une vision de rêve : deux belles sirènes s'embrassant avec ferveur à la lueur de la lune, tout en malmenant un « pauvre » gars dont elle se servait comme d'un jouet.
Quant à moi, je décidai que puisque je n'étais qu'un sex-toy entre les griffes de ces deux belles, autant en être un efficace. Je m'attachais donc à procurer à la Suédoise un cuni des plus délicieux, faisant tournoyer ma langue, léchant et aspirant son clito. J'eus la satisfaction de bien vite l'entendre gémir et la sentir tremble au-dessus de moi. Quant à Katherine, elle continuait de littéralement me démonter, me donnant des coups de reins si sauvages, que j'en vibrais à chaque fois, mais serrant les fesses de la Suédoise pour m'aider à tenir, je tâchai de repousser au maximum le moment où j'allais jouir, histoire de faire durer encore et encore cet instant merveilleux.
De longues et délicieuses minutes passèrent. Je perdais la notion du temps, tout ce qui comptait pour moi, c'était bouffer l'intimité de la Suédoise, encore et encore, tout en encaissant aussi bien que possible les coups de reins de Katherine. On se faisait tous les trois un bien fou, Katherine en me chevauchant, moi en léchant la Blonde, et la Blonde et Katherine s'embrassant et se caressant entre elles. Nous gémissions et vibrions tous les trois, nos corps se raidissaient, comme proches de l'explosion, et nous nous couvrions de sueur malgré le froid de la nuit. Notre triangle infernal et délicieux était probablement l'une des plus délicieuses choses que j'aie jamais faites, et ça ne pouvait finir que d'une seule manière : le plaisir nous submergea tous les trois, et chacun de nous eut un délicieux orgasme, qui fit crier les deux belles, et me fit me déverser en Katherine dans une sensation de vertige digne des meilleurs grands huit.
Les deux belles s'effondrèrent sur le sable, haletantes, aussi ivres de plaisir que moi. On se pelotonna les uns contre les autres, et on resta un moment étendus sur le sable, regardant le ciel étoilé.
C'était la parfaite fin pour d'aussi délicieuses vacances.
Voilà c'est la fin de cette histoire, je suis désolé d'avoir mis autant de temps à écrire la suite, j'espère que vous l'apprécierez.
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