De Julien à Julien, les premiers émois ( chapitre 1)
Récit érotique écrit par Alucard85 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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De Julien à Julien, les premiers émois ( chapitre 1)
Le réveil fut un peu spécial. Je me retrouvais nu dans mon lit, j'ai rêvé de Maureen, de talons, de robes. Je ne comprends plus du tout ce qu'il m'arrive. Je suis un garçon pourtant, j'aime les filles, enfin peut être un peu trop, bon bref j'ai un autre souci.
Maureen a créé elle-même un Facebook de moi en fille et m'as donné les codes. Julia Tepit. On voit des photos de moi dans le parc, avec elle, son copain et Justine. C'est fou on ne me reconnait presque pas, enfin un peu. Je parcours le profil rapidement. Elle a ajouté que j'étais célibataire, que j'habitais en Vendée et que j'étudiais à Fontenay le Comte. Apparemment j'aime les sorties entre copine, la mode et le maquillage. Au fur et à mesure que je parcours ce Facebook de mon alter-égo féminin ma petite queue se lève. C'est vrai qu'elle n'est pas très grande mais bon. Ma main parcourt mes jambes lisses. Je rougis rapidement et j'ai une envie de me masturber, mais je ne peux pas, je n'ai pas le temps.
Je dois aller aider ma mère à faire les courses. J'enfile un pantalon et un teeshirt malgré la chaleur de l'été, je n'ai pas envie elle voit mes jambes lisses et encore moins les traces de bronzages laissés par le soutien-gorge. Je dois avouer que ce n'est vraiment pas passionnant mais j'ai toujours le droit à un cadeau, souvent un vêtement. Pendant que ma mère se dirige vers le rayon charcuterie, je parcours les rayons hommes. Rien ne me plait cette fois-ci.
En parcourant les rayons, je vois au loin une robe magnifique. Le tissu est tout doux, je l'imagine déjà sur mes jambes. Je me mords le coin des lèvres et dans mon caleçon ma petite queue se dresse rapidement. Et merde, non je ne peux pas lui demander ça. Ma main parcourt le tissu blanc qui forme un bustier avant de devenir bleu au niveau du bas de la robe. Elle doit arriver mi-cuisse.
Je sursaute quand ma mère me touche l'épaule :
— Et bien Julien, tu as choisi mon lapin, j'ai fini moi. Tiens tu veux une robe pour ta petite chérie ou pour toi ?
— Arrête ce n'est pas drôle. Ça ne t'intéresse pas, c'est ma vie privée.
Oui comme toutes les mamans la mienne n'échappent pas à la règle, elle a qu'une hâte que je trouve une copine. C'est vrai que je ne lui en ai pas ramené beaucoup. Je suis encore puceau et ça commence à me travailler.
— Bon dépêche-toi je vais chez Nathalie après, choisit ce que tu veux.
— Oui oui c'est bon. Je me dépêche.
Je me dirige vers le rayon homme et prend simplement une sorte de chemise blanche classique. En arrivant au chariot de ma mère je remarque que dans le caddie il y a la robe que je touchais. Qui me faisait de l'effet. Je ne dis rien. Et ma mère me sourit en me faisant un clin d'œil. Si elle savait.
Arrivé à la maison, je dépose ma chemise dans ma chambre et vérifie le Facebook de Julia. Tiens un nouvel évènement. Je suis ami avec Maureen, elle abuse ah-ah, tiens elle m'invite chez elle à une petite après-midi piscine. Bon pourquoi pas, qu'est ce qui peut mal se passer. Même si j'ai envie que ça dérape je stresse. Avant d'y aller je me rase les jambes une nouvelle fois et le corps entier. J'adore cette sensation. J'espère qu'il n'y aura pas Thomas cette fois.
Sur mon scooter je repense à la robe, à maman, à Maureen, au parc avec Justine et je n'arrive pas à ne pas bander. J'ai tellement envie putain. Arrivé là-bas, je découvre Maureen en bikini blanc, seule dans l'eau qui me lance un grand sourire pour que je vienne lui faire la bise. Elle est quand même sexy, il a de la chance Thomas. Je m'approche est là je me sens basculé, elle me tire dans l'eau.
— AHHHH non, tu abuses je suis trempé.
Elle s'approche est m'enserre de ses bras, je sens sa peau mouillée sur mon teeshirt, ses seins sur mon torse. Je rougis rapidement, mon érection ne me quitte plus.
— Bonjour Julia, hihi, comment ça va depuis hier ? Bah quoi, tu as dit tu venais pour une après-midi piscine je croyais que tu étais prête.
— Oui enfin je ne me suis même pas mis en maillot ni rien et arrête de me parler au féminin, ça me gêne hum.
— Ahah c'est pour rigoler et je sais que tu aimes bien enfin que ça ne te gêne pas, à ce que m'a dit Justine.
Elle me fait un clin d'œil en montrant mon sexe. Je suis tout rouge. Je sais plus où me mettre.
— Tiens va te changer dans le petit cabanon, je t'ai laissé ton maillot là-bas, Julia.
— Je n'ai pas le droit au mien c'est ça ? Je la regarde si belle, ses fesses moulées dans le bikini. Je m'imagine bien dans un maillot comme ça, hum non pas maintenant enfin.
— Ahah, bah il faut bien que tu remplisses ton Facebook puis ça t'allait si bien hier aller, fait moi plaisir.
Je ne peux rien lui refuser. Elle sait jouer de ses charmes. Je me dirige dans le cabanon et poser sur une chaise blanche en plastique je trouve un bikini jaune moutarde. Le haut est assez échancré, mais en forme de bandeau, heureusement je n'ai pas de seins moi, le bas quant à lui est assez court et limite string. Je rougis, je bande déjà seulement à l'idée de l'imaginer sur ma peau.
Non in ne faut pas mince. Je décide de sortir ma petite queue, pour la faire réduire. Je commence à me masturber, les images se mélangent, la robe, Maureen, Thomas, le bikini. Et très rapidement je jouis sur le sol. Je me dépêche de cacher cela et enfile le bikini. Je rougis en enfilant le bandeau qui met en valeur mon ventre et mes hanches. Le bas lui fait ressortir mes fesses rondes, la ficelle entre dans ma raie et mon petit sexe mou se colle entre mes cuisses. Je fais presque illusion je rigole. Il y a seulement mes cheveux courts qui dénotent mais bon.
Je sors en me cachant le corps avec la serviette. Le soleil tape sur ma peau lisse, mes jambes, mes épaules nues. Maureen me regarde et sourit
— Bon en attendant tes cheveux poussent, va falloir trouver des subterfuges, tiens prends ça.
Elle m'envoie un petit chapeau en paille rose saumon, du rouge à lèvres et du mascara waterproof. En me regardant dans le reflet de la baie vitrée, je souris. Je ressemble vraiment à une fille. Enfin non. Je me ressens bizarre, perdu, fragile. Maureen se rapproche et me fait un câlin. Nos peaux se touchent. Sa peau lisse et mouillée, la mienne est sèche, ses seins sur les miens. Je suis une nouvelle fois rouge comme une pivoine.
— Bah alors on va se baigner, je suis trop contente, tu es un peu comme ma sœur que je n'ai pas ahah.
Qu'est-ce que j'imaginais, bien sûr que je ne pourrais pas être son mec. Je saute avec elle dans l'eau, l'après-midi passe assez vite finalement. J'en oublie le bikini, la tenue, les formes de Maureen. Après tout je suis sa sœur alors bon. Après avoir nagé, on s'installe sur un transat, pour lire parler. Mais avec la fatigue d'hier, les émotions je m'endors assez rapidement.
L'heure tourne et nous sommes réveillés par des bruits qui arrivent. Des rires et de la musique. Je rougis en ouvrant les yeux et réveillant Maureen rapidement. Devant nous se trouve son frère qui a 19 ans et ses copains. Je suis totalement paniqué. Le soleil tape sur ma peau, je suis en bikini, maquillée, mais surtout un garçon déguisé devant quatre mecs virils.
Maureen se réveille et rigole, me chuchotant à l'oreille de ne pas agir bizarrement et simplement de faire semblant d'être Julia une amie. Je ne suis pas bien.
— Putain Marc, tu fais chier on se reposais nous tu es un connard, tu abuses.
— Ah pardon on t'ava... On ne vous avait pas vu. C'est qui ta copine ?
Il s'approche, il est torse nu, musclé, viril. Je le regarde en rougissant. Cachant un peu mon visage mon corps sous la serviette, mais on voit mes jambes, mon cul, mon ventre. Il vient me faire la bise comme si c'était normal, sans rien dire d'autres.
— Salut moi c'est Marc, je suis le frère de Maureen, je ne t'avais jamais vu toi, tu es mignonne ahah. Jolie jambes.
Je me sens impuissant ou impuissante. Sa main est posée sur mon épaule. J'ai les jambes qui lui touchent presque le ventre. Je sens sa peau, son odeur. Je déglutis un peu.
— Euh oui je viens d'arriver, je suis la cousine de Julien et je merci Marc. Dis-je en bredouillant.
Je sens que ma réponse le satisfait, il part en laissant trainer sa main le long de mes cuisses. Je rougis et sens sous la serviette que je recommence à bander comme une gaule du matin. Maureen me regarde et sourit en me susurrant, tu vois tu t'en es sorti comme une chef, une vraie guerrière.
On se lève rapidement et je me dépêche à me changer et sortir par derrière en promettant à Maureen que j'allais laisser pousser mes cheveux. En scooter mon érection ne s'arrête plus. Tout se mélange, sa main sur mes cuisses, mes jambes, Maureen.
En rentrant à la maison. Maman m'a laissé un mot, la pizza est dans le frigo, avec ton père on ne rentre pas avant cette nuit. Je me retrouve seul. Je regarde mon téléphone et découvre que j'ai eu plusieurs ajouts d'ami, à la suite des nouvelles photos publiées par Maureen en maillot de bain. C'est vrai qu'on a posé comme des bimbos. Mon cul est même plus bombé que celui de Maureen. C'est vrai que c'est drôle et terriblement excitant. J'accepte tout le monde, je ne les connais pas, des hommes en grande partie.
En entrant dans ma chambre, je découvre la robe du magasin étendue sur mon lit. Dans mon état, je suis perdu, tout se mélange. Je la regarde. Ma queue se dresse une nouvelle fois, j'ai envie de me masturber. Je réfléchis et si je mettais la robe ?
En me déshabillant je découvre ma peau bronzée, les marques du maillot de bain. Ma petite queue dressée devant le miroir. J'enfile rapidement la robe. Elle est à ma taille. Elle m'arrive mi-cuisse. Mes jambes tannées par le soleil ressortent avec le blanc de la robe. J'enfile des converses, les seuls chaussures unisexe que j'ai, mais avec la robe ça ne va pas.
En quelques secondes, comme hypnotisés par la tenue, la sensation sur ma peau. Je me retrouve dans le salon à attraper une paire de sandales ouvertes de ma mère, des talons compensés et des lacets qui s'enroulent sur la cheville et le tibia.
Après quelques efforts, je suis en trans, perdu dans le plaisir. Dans cette robe, c'est talon trop petit pour moi mais quelle sensation. Je prends des photos de mes jambes, mes pieds, ma courbure. J'ai chaud. Sous la robe je bande comme jamais je n'ai bandé, je sens que je suis en train de mouiller.
En même temps les commentaires sous mes photos s'activent, des commentaires graveleux disant que je suis une belle petite sissy. Un travesti sexy. Des commentaires disant qu'ils veulent s'occuper de moi. Je rougis. Ma main est auto-guidé parcourant mon corps. Sans trop comprendre comment je me retrouve dans le jardin et je commence à sortir par le petit portillon de chez moi. Me voilà sorti de chez moi en fille. Me touchant, en talon et en robe, roulant du cul, regardant tous les commentaires. Des bulles de discussions s'ouvrent. Je me masturbe, la sur le bord de la route. Je n'ose pas répondre aux hommes. Surtout que Maureen peut tout voir.
Un homme m'appelle sur Messenger. Je réponds en soufflant. La vidéo est enclenchée, il a la trentaine une barbe, torse nu.
— Salut Julia, tu as l'air super belle, tu me vois ? Fais-moi voir tes jolies jambes.
Je panique est raccroche. Pour répondre à sa demande je poste des photos de ma sortie nocturnes, de mes jambes, mes chaussures, ma robe. Sans mon visage. Je ne pense pas à ce que Maureen va dire. L'homme, il s'appelle Domi Nique, me rappelle. Je décroche.
— Hum Julia, j'adore tes jambes au clair de lune, dit moi où tu es je te rejoins, je suis sûr tu as envie de gouter à ma queue.
Je ne raccroche pas tout de suite. Il m'arrive quoi putain. Je me sens comme perdu, entrainé dans un tourbillon de plaisir.
— Je t'entends souffler, tu te masturbes Julia ? Dit le moi, dit le que tu masturbes, moi aussi je le fais sur tes photos là.
C'est au moment où sur son écran apparait sa queue presque trois fois plus grosse que la mienne que je raccroche et jouit sur le sol, sur le bord de la route.
L'excitation est immense, je pousse même pour la première fois un petit cri de plaisir. Le sperme coulant sur le sol et ma cuisse lisse et bronzée. Je souffle et retourne à la maison totalement perdu et vidé. Je ne comprends pas ce que je fais, qui je suis, ce qui se passe.
Tout ce que je sais c'est que demain je dois retourner au lycée. C'est bientôt le percent et j'ai des doutes sur le fait que j'y trouverais une copine
Maureen a créé elle-même un Facebook de moi en fille et m'as donné les codes. Julia Tepit. On voit des photos de moi dans le parc, avec elle, son copain et Justine. C'est fou on ne me reconnait presque pas, enfin un peu. Je parcours le profil rapidement. Elle a ajouté que j'étais célibataire, que j'habitais en Vendée et que j'étudiais à Fontenay le Comte. Apparemment j'aime les sorties entre copine, la mode et le maquillage. Au fur et à mesure que je parcours ce Facebook de mon alter-égo féminin ma petite queue se lève. C'est vrai qu'elle n'est pas très grande mais bon. Ma main parcourt mes jambes lisses. Je rougis rapidement et j'ai une envie de me masturber, mais je ne peux pas, je n'ai pas le temps.
Je dois aller aider ma mère à faire les courses. J'enfile un pantalon et un teeshirt malgré la chaleur de l'été, je n'ai pas envie elle voit mes jambes lisses et encore moins les traces de bronzages laissés par le soutien-gorge. Je dois avouer que ce n'est vraiment pas passionnant mais j'ai toujours le droit à un cadeau, souvent un vêtement. Pendant que ma mère se dirige vers le rayon charcuterie, je parcours les rayons hommes. Rien ne me plait cette fois-ci.
En parcourant les rayons, je vois au loin une robe magnifique. Le tissu est tout doux, je l'imagine déjà sur mes jambes. Je me mords le coin des lèvres et dans mon caleçon ma petite queue se dresse rapidement. Et merde, non je ne peux pas lui demander ça. Ma main parcourt le tissu blanc qui forme un bustier avant de devenir bleu au niveau du bas de la robe. Elle doit arriver mi-cuisse.
Je sursaute quand ma mère me touche l'épaule :
— Et bien Julien, tu as choisi mon lapin, j'ai fini moi. Tiens tu veux une robe pour ta petite chérie ou pour toi ?
— Arrête ce n'est pas drôle. Ça ne t'intéresse pas, c'est ma vie privée.
Oui comme toutes les mamans la mienne n'échappent pas à la règle, elle a qu'une hâte que je trouve une copine. C'est vrai que je ne lui en ai pas ramené beaucoup. Je suis encore puceau et ça commence à me travailler.
— Bon dépêche-toi je vais chez Nathalie après, choisit ce que tu veux.
— Oui oui c'est bon. Je me dépêche.
Je me dirige vers le rayon homme et prend simplement une sorte de chemise blanche classique. En arrivant au chariot de ma mère je remarque que dans le caddie il y a la robe que je touchais. Qui me faisait de l'effet. Je ne dis rien. Et ma mère me sourit en me faisant un clin d'œil. Si elle savait.
Arrivé à la maison, je dépose ma chemise dans ma chambre et vérifie le Facebook de Julia. Tiens un nouvel évènement. Je suis ami avec Maureen, elle abuse ah-ah, tiens elle m'invite chez elle à une petite après-midi piscine. Bon pourquoi pas, qu'est ce qui peut mal se passer. Même si j'ai envie que ça dérape je stresse. Avant d'y aller je me rase les jambes une nouvelle fois et le corps entier. J'adore cette sensation. J'espère qu'il n'y aura pas Thomas cette fois.
Sur mon scooter je repense à la robe, à maman, à Maureen, au parc avec Justine et je n'arrive pas à ne pas bander. J'ai tellement envie putain. Arrivé là-bas, je découvre Maureen en bikini blanc, seule dans l'eau qui me lance un grand sourire pour que je vienne lui faire la bise. Elle est quand même sexy, il a de la chance Thomas. Je m'approche est là je me sens basculé, elle me tire dans l'eau.
— AHHHH non, tu abuses je suis trempé.
Elle s'approche est m'enserre de ses bras, je sens sa peau mouillée sur mon teeshirt, ses seins sur mon torse. Je rougis rapidement, mon érection ne me quitte plus.
— Bonjour Julia, hihi, comment ça va depuis hier ? Bah quoi, tu as dit tu venais pour une après-midi piscine je croyais que tu étais prête.
— Oui enfin je ne me suis même pas mis en maillot ni rien et arrête de me parler au féminin, ça me gêne hum.
— Ahah c'est pour rigoler et je sais que tu aimes bien enfin que ça ne te gêne pas, à ce que m'a dit Justine.
Elle me fait un clin d'œil en montrant mon sexe. Je suis tout rouge. Je sais plus où me mettre.
— Tiens va te changer dans le petit cabanon, je t'ai laissé ton maillot là-bas, Julia.
— Je n'ai pas le droit au mien c'est ça ? Je la regarde si belle, ses fesses moulées dans le bikini. Je m'imagine bien dans un maillot comme ça, hum non pas maintenant enfin.
— Ahah, bah il faut bien que tu remplisses ton Facebook puis ça t'allait si bien hier aller, fait moi plaisir.
Je ne peux rien lui refuser. Elle sait jouer de ses charmes. Je me dirige dans le cabanon et poser sur une chaise blanche en plastique je trouve un bikini jaune moutarde. Le haut est assez échancré, mais en forme de bandeau, heureusement je n'ai pas de seins moi, le bas quant à lui est assez court et limite string. Je rougis, je bande déjà seulement à l'idée de l'imaginer sur ma peau.
Non in ne faut pas mince. Je décide de sortir ma petite queue, pour la faire réduire. Je commence à me masturber, les images se mélangent, la robe, Maureen, Thomas, le bikini. Et très rapidement je jouis sur le sol. Je me dépêche de cacher cela et enfile le bikini. Je rougis en enfilant le bandeau qui met en valeur mon ventre et mes hanches. Le bas lui fait ressortir mes fesses rondes, la ficelle entre dans ma raie et mon petit sexe mou se colle entre mes cuisses. Je fais presque illusion je rigole. Il y a seulement mes cheveux courts qui dénotent mais bon.
Je sors en me cachant le corps avec la serviette. Le soleil tape sur ma peau lisse, mes jambes, mes épaules nues. Maureen me regarde et sourit
— Bon en attendant tes cheveux poussent, va falloir trouver des subterfuges, tiens prends ça.
Elle m'envoie un petit chapeau en paille rose saumon, du rouge à lèvres et du mascara waterproof. En me regardant dans le reflet de la baie vitrée, je souris. Je ressemble vraiment à une fille. Enfin non. Je me ressens bizarre, perdu, fragile. Maureen se rapproche et me fait un câlin. Nos peaux se touchent. Sa peau lisse et mouillée, la mienne est sèche, ses seins sur les miens. Je suis une nouvelle fois rouge comme une pivoine.
— Bah alors on va se baigner, je suis trop contente, tu es un peu comme ma sœur que je n'ai pas ahah.
Qu'est-ce que j'imaginais, bien sûr que je ne pourrais pas être son mec. Je saute avec elle dans l'eau, l'après-midi passe assez vite finalement. J'en oublie le bikini, la tenue, les formes de Maureen. Après tout je suis sa sœur alors bon. Après avoir nagé, on s'installe sur un transat, pour lire parler. Mais avec la fatigue d'hier, les émotions je m'endors assez rapidement.
L'heure tourne et nous sommes réveillés par des bruits qui arrivent. Des rires et de la musique. Je rougis en ouvrant les yeux et réveillant Maureen rapidement. Devant nous se trouve son frère qui a 19 ans et ses copains. Je suis totalement paniqué. Le soleil tape sur ma peau, je suis en bikini, maquillée, mais surtout un garçon déguisé devant quatre mecs virils.
Maureen se réveille et rigole, me chuchotant à l'oreille de ne pas agir bizarrement et simplement de faire semblant d'être Julia une amie. Je ne suis pas bien.
— Putain Marc, tu fais chier on se reposais nous tu es un connard, tu abuses.
— Ah pardon on t'ava... On ne vous avait pas vu. C'est qui ta copine ?
Il s'approche, il est torse nu, musclé, viril. Je le regarde en rougissant. Cachant un peu mon visage mon corps sous la serviette, mais on voit mes jambes, mon cul, mon ventre. Il vient me faire la bise comme si c'était normal, sans rien dire d'autres.
— Salut moi c'est Marc, je suis le frère de Maureen, je ne t'avais jamais vu toi, tu es mignonne ahah. Jolie jambes.
Je me sens impuissant ou impuissante. Sa main est posée sur mon épaule. J'ai les jambes qui lui touchent presque le ventre. Je sens sa peau, son odeur. Je déglutis un peu.
— Euh oui je viens d'arriver, je suis la cousine de Julien et je merci Marc. Dis-je en bredouillant.
Je sens que ma réponse le satisfait, il part en laissant trainer sa main le long de mes cuisses. Je rougis et sens sous la serviette que je recommence à bander comme une gaule du matin. Maureen me regarde et sourit en me susurrant, tu vois tu t'en es sorti comme une chef, une vraie guerrière.
On se lève rapidement et je me dépêche à me changer et sortir par derrière en promettant à Maureen que j'allais laisser pousser mes cheveux. En scooter mon érection ne s'arrête plus. Tout se mélange, sa main sur mes cuisses, mes jambes, Maureen.
En rentrant à la maison. Maman m'a laissé un mot, la pizza est dans le frigo, avec ton père on ne rentre pas avant cette nuit. Je me retrouve seul. Je regarde mon téléphone et découvre que j'ai eu plusieurs ajouts d'ami, à la suite des nouvelles photos publiées par Maureen en maillot de bain. C'est vrai qu'on a posé comme des bimbos. Mon cul est même plus bombé que celui de Maureen. C'est vrai que c'est drôle et terriblement excitant. J'accepte tout le monde, je ne les connais pas, des hommes en grande partie.
En entrant dans ma chambre, je découvre la robe du magasin étendue sur mon lit. Dans mon état, je suis perdu, tout se mélange. Je la regarde. Ma queue se dresse une nouvelle fois, j'ai envie de me masturber. Je réfléchis et si je mettais la robe ?
En me déshabillant je découvre ma peau bronzée, les marques du maillot de bain. Ma petite queue dressée devant le miroir. J'enfile rapidement la robe. Elle est à ma taille. Elle m'arrive mi-cuisse. Mes jambes tannées par le soleil ressortent avec le blanc de la robe. J'enfile des converses, les seuls chaussures unisexe que j'ai, mais avec la robe ça ne va pas.
En quelques secondes, comme hypnotisés par la tenue, la sensation sur ma peau. Je me retrouve dans le salon à attraper une paire de sandales ouvertes de ma mère, des talons compensés et des lacets qui s'enroulent sur la cheville et le tibia.
Après quelques efforts, je suis en trans, perdu dans le plaisir. Dans cette robe, c'est talon trop petit pour moi mais quelle sensation. Je prends des photos de mes jambes, mes pieds, ma courbure. J'ai chaud. Sous la robe je bande comme jamais je n'ai bandé, je sens que je suis en train de mouiller.
En même temps les commentaires sous mes photos s'activent, des commentaires graveleux disant que je suis une belle petite sissy. Un travesti sexy. Des commentaires disant qu'ils veulent s'occuper de moi. Je rougis. Ma main est auto-guidé parcourant mon corps. Sans trop comprendre comment je me retrouve dans le jardin et je commence à sortir par le petit portillon de chez moi. Me voilà sorti de chez moi en fille. Me touchant, en talon et en robe, roulant du cul, regardant tous les commentaires. Des bulles de discussions s'ouvrent. Je me masturbe, la sur le bord de la route. Je n'ose pas répondre aux hommes. Surtout que Maureen peut tout voir.
Un homme m'appelle sur Messenger. Je réponds en soufflant. La vidéo est enclenchée, il a la trentaine une barbe, torse nu.
— Salut Julia, tu as l'air super belle, tu me vois ? Fais-moi voir tes jolies jambes.
Je panique est raccroche. Pour répondre à sa demande je poste des photos de ma sortie nocturnes, de mes jambes, mes chaussures, ma robe. Sans mon visage. Je ne pense pas à ce que Maureen va dire. L'homme, il s'appelle Domi Nique, me rappelle. Je décroche.
— Hum Julia, j'adore tes jambes au clair de lune, dit moi où tu es je te rejoins, je suis sûr tu as envie de gouter à ma queue.
Je ne raccroche pas tout de suite. Il m'arrive quoi putain. Je me sens comme perdu, entrainé dans un tourbillon de plaisir.
— Je t'entends souffler, tu te masturbes Julia ? Dit le moi, dit le que tu masturbes, moi aussi je le fais sur tes photos là.
C'est au moment où sur son écran apparait sa queue presque trois fois plus grosse que la mienne que je raccroche et jouit sur le sol, sur le bord de la route.
L'excitation est immense, je pousse même pour la première fois un petit cri de plaisir. Le sperme coulant sur le sol et ma cuisse lisse et bronzée. Je souffle et retourne à la maison totalement perdu et vidé. Je ne comprends pas ce que je fais, qui je suis, ce qui se passe.
Tout ce que je sais c'est que demain je dois retourner au lycée. C'est bientôt le percent et j'ai des doutes sur le fait que j'y trouverais une copine
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