De l'épistolaire au réel..."tu m'appartiens désormais"
Récit érotique écrit par AdultR [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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De l'épistolaire au réel..."tu m'appartiens désormais"
Quels bouillonnements !!!
En deux rencontres, nous avions déjà franchit bien des étapes intéressantes…
Le plus beau restait à venir pourtant .
La fois suivante, j’avais envie d’essayer d’aller encore un peu plus loin dans la découverte de nos limites. Explorer, partager les arcades de la soumission avec ma belle.
Elle qui ne se met que rarement en jupe ou en robe, je lui avais demandé de faire une exception et de venir en jupe ou robe et de mettre des jolis dessous.
Lorsque je la vis, je su qu’elle avait fait envie de me plaire et voulais également pousser mon avantage le plus possible.
Je décidais de diriger les débats et de m’installer dans la peau du maître de celui qui dicte. M’ayant avoué qu’elle aimais que je joues à « l’amant »… c’est à dire au maître dans son langage, je ne lui laissais pas le temps de s’installer dans la chambre prenant l’initiative d’entrée, je l’embrassais à pleine bouche, heureux de retrouver son parfum et la douceur de ses lèvres. Sans avertissement, je lui agrippais les cheveux et tirais sa tête vers l’arrière en lui disant :
-« Aujourd’hui tu m’obéis. Tu te laisses faire ok ? »
-« Oui d’accord ».
Sans la laisser me déshabiller, je lui enlevais ses vêtements un a un et lui caressais tendrement les seins en l’embrassant, alternant quelques morsures douces de sa bouche. Je me mis à lui presser les seins puis à lui vriller les pointes… ces pointes, toujours dressées, gorgées de sang, prêtes aux baisers, aux morsures …
Elle grimaça un peu puis cria
-« AÏE !»
-« TAIS TOI !, laisse moi faire ! Tu es a moi aujourd’hui tu m’as compris ? »
-« oui j’ai compris tu vas obéir ok ? »
-« Oui »
-« DIS LE !!! »
-« Je vais t’obéir »
-« bien alors mets toi à genoux et défais mon jean. »
Elle s’activa sur ma ceinture, mes boutons pour sortir mon sexe, qui prenait déjà de belles proportions.
Elle voulu le prendre dans sa bouche sans attendre. Je la retins en la regardant dans les yeux :
-« Ne touches à rien laisse toi faire. »
Je lui passais le gland sur le visage puis sur les lèvres ne la laissant pas me prendre.
-« Non ne mets pas les mains, juste la langue, lèche moi ! »
Elle sorti la langue et suivi toute la longueur de ma tige jusqu’au gland.
Je savourais la douceur de cette caresse que je guidais doucement et me réjouissais de sa docilité. Je voulais savoir si elle me suivrait sur ce chemin… Je ne fus pas déçu.
Elle se contentait de faire ce que je lui demandais.
-« Laisse tes mains tranquille, met les dans ton dos. »
Elle s’exécuta immédiatement et continua à me lécher.
-« Tu as envie de me sucer la bitte ? »
-« Oui »
-« Dis le moi, fais des phrases. »
En rougissant, elle osa répéter :
-« J’ai envie de te sucer »
-« de me sucer quoi ? le doigt ? »
-« non le sexe »
-« Tu as envie de me sucer la quoi ? »
rouge de confusion elle dit doucement :
-« La bitte »
-« Bien tu veux aussi être ma soumise ? »
-« Oui »
-« FAIS DES PHRASES !!! »
-« Oui j’ai envie d’être ta soumise »
-« Et ? »
-« Et de te sucer la bitte »
-« Voila qui est beaucoup mieux. »
Je pris ma bitte dans la main droite et lui pris la nuque dans l’autre.
Je l’attirais doucement vers cette tige impatiente de franchir l’entrée de ses lèvres pulpeuses. Elle ouvrit la bouche .
-« tire la langue ! »
Elle fit ce que je demandais et je posais mon gland sur sa langue sortie. Elle referma ses lèvres sur ma queue et commença à aller et venir sur ma tige. Je m’enfonçais doucement dans cette bouche consentante. Soudain, j’eus envie de la sentir moins volontaire. J’eus aimé la forcer un peu, bien que je n’aime pas du tout les viols. Je me trouvais en position de maître avec cette si belle femme agenouillée, soumise.
J’enfonçais un peu plus ma queue. Elle eut un hoquet de surprise cherchant à se retirer. Je la maintins avec mes deux mains derrière sa tête mais sans aller trop loin car j’avais vu qu’elle n’aimait pas prendre ma bitte au fond de la bouche près de la gorge. Je la forçais tout de même un peu et vis qu’elle se laissait tout de même un peu faire.
Elle parvint à sortir mon sexe de sa bouche, mais ne fit aucun commentaire et repris sa fellation essayant de ne pas aller trop loin.
Ayant longtemps profité de ses prestations buccales, je décidais qu’il était temps pour moi, d’aller visiter l’intérieur douillet de son corps.
-« Mets toi en levrette je vais te prendre »
Sans un mot, elle s’installa à quatre pattes sur le lit. Je vins derrière elle et fis courir ma bitte le long de sa raie .
-« Ouvre tes fesses avec les mains ».
Sans attendre, elle pris une fesse dans chaque main et m’ouvris son cul.
J’admirais sa chatte qui suintait déjà et son petit trou plus si vierge. Elle était à ma disposition silencieuse attendant la suite. Pensant que j’allais entrer dans sa chatte, elle semblait sereine.
J’avais eut, dans un premier temps envie de lui prendre la chatte mais devant ce spectacle d’abandon, je pris le parti de la surprendre un peu en lui prenant le cul sans le lui dire pour voir si elle allait accepter sans broncher que je dispose de son corps à ma guise.
Je fis glisser mon engin, le long de ses fesses faisant mine de vouloir pénétrer son sexe ouvert et qui palpitait doucement dans l’attente de cet hommage qu’elle semblait tant apprécier.
Je glissais le bout de mon gland entre les petites lèvres. Elle soupira doucement. Je ressorti complètement avant de le remettre exactement à la même place.
Elle voyait que je voulais jouer de ses sens et l’agacer un peu et elle se laissa aller.
Je refis le même manège plusieurs fois comme pour la mettre en confiance, tester sa patience et sa docilité.
Je l’embrassais tendrement sur le dos et décidais de glisser doucement vers sa chatte ouverte et luisante de désirs puis de descendre encore vers cet œillet sombre qui se serrait maintenant comme pour échapper à cette caresse si inhabituelle pour elle.
Devant cette réaction de recul, je lui claquais les fesses à plusieurs reprises, elle sursauta et cria mais ne elle restait en position. Je repris ma caresse linguale vers son trou serré et j’y posais ma langue tournoyant autour de l’anneau. J’ouvris un peu plus les fesses déjà écartées par ses mains … qu’elle n’avait pas ôtées… et j’entrais ma langue en elle. Elle soupira longuement.
-« Tu aime ?
–« J’ai pas l’habitude »
-« laisse toi faire »
Je repris les lubriques avancées de ma langue dans son cul et senti qu’elle se détendait peu à peu. Avec mes doigts, je caressais les contours de ses lèvres refusant à mes doigts l’accès de son intérieur trempé qui pourtant n’attendait que ça !!!
Après un long moment, je me redressais et posais mon gland sur son cul sans plus de cérémonie. Je n’avais pas voulu de l’effet de surprise, mais de son consentement tacite et donc silencieux. Elle me laissa diriger les choses, mais je voulais qu’elle me donne son consentement verbal avant.
-« Tu veux que je te prenne le cul ? »
-« Oui… si tu veux. »
-« Non, tu ne m’as pas compris dis moi si tu en as envie toi ! »
Elle ne répondit pas tout de suite alors je lui claquais de nouveau les fesses.
-« HE BEN, DIS MOI TU EN AS ENVIE ? »
-« Oui ! »
-« DIS LE !!! »
-« j’en ai envie »
-« ENVIE DE QUOI ???? »
-« … envie que tu me prennes comme tu veux «
-« c-à-d ? par le cul ? »
-« oui »
-« ALORS DEMANDE LE MOI !!! »
-« Prend moi par le cul »
Je ne voyais pas son visage, mais je savais qu’elle devait être rouge de confusion.
Je décidais de la faire rougir encore un peu :
-« Tu es sure que tu en as envie ? dis le moi !!!! »
-« Oui, j’en suis sure, prend moi par le cul »
Je lui re-claquais les fesses une paire de fois
-« C’est bien ma soumise ».
Je poussais doucement contre son cul qui s’ouvrit comme la fois précédente… Lentement, sans résistance. Elle soufflait de plus en plus fort sous l’intrusion de ma bitte qui avançait inexorablement jusqu’au fond de cet orifice qu’elle n’offrait qu’à moi et pour la deuxième fois seulement.
J’imprimais un rythme d’abord lent, puis de plus en plus rapide pour voir si elle allait me laisser faire comme je l’entendais.
Elle se laissait faire complètement, j’étais aux anges et l’embrassais sur le dos, caressant ses seins ou le côté de son corps.
Je me retins de jouir voulant comme la dernière fois qu’elle jouisse avant moi. Je me retirais donc avant d’aller me nettoyer et de la contourner avant de lui présenter ma bitte à sucer… ce qu’elle fit immédiatement le visage détendu et avec cette excitante expression de soumission qui lui va si bien… je la trouvais extrêmement belle et désirable.
Je refis le tour pour me poster dans son dos et la prendre, cette foi-ci sans ménagement, par surprise et par la chatte.
Elle sursauta et émis un petit cri de surprise en se laissant aller à cette intromission vigoureuse et presque brutale.
-« HOOOOOOOOOOOOOOO putain mais que c’est bon !!!! »
-« Tu veux que je continue ? »
-« OUIIIIIIIIIIIIIII »
-« Comme je veux ? »
-« OUIIIIIIIIII »
Je me retirais de cette chatte si douce et remontais pour de nouveau l’enculer.
-« HUMMMM » fit-elle.
Je sentais qu’elle s’abandonnait mais qu’elle était un peu déçu que je pris le parti de changer d’orifice.
-« Dis moi que tu m’appartiens ma tendre »
-« … »
-« ALLEZ DIS LE !!! »
-« … »
-« DIS QUE TU ES TOUTE A MOI … QUE TU M’APPARTIENS !!! »
-« Oui, je t’appartiens »
-« Tu es toute à moi ? »
-« Oui, je suis toute à toi, je t’appartiens. »
Mon cœur fit un bond dans ma poitrine et je me délectais de ce moment d’intense abandon.
Je lui claquais de nouveau les fesses.
-« C’est bien ma chérie, tu es à moi désormais. »
Je me retirais pour aller me laver un peu et je revenais m’allonger sur le lit
.-« viens t’empaler sur moi, tu l’as bien mérité ma douce »
Elle vint me chevaucher et se mit ma bite dans la chatte sans attendre. Je savourais cet instant d’impatience et d’envie dont elle faisait preuve.
Elle pris le rythme qu’elle voulait pour prendre son pied comme elle en avait envie et elle se remit à miauler et vouloir me griffer.
Je lui pris les poignets.
-« Ne mors pas laisse toi aller sans me mordre ou me griffer »
Elle ne m’écoutait plus, elle n’était déjà plus en mesure de se contrôler et voulait quand même me griffer et me mordre. Je ne parvins qu’à limiter les dégâts dans cette furie dévastatrice qui la prenait lorsque le plaisir l’envahissait…
J’adore la voir dans cet état et je me délectais de ses yeux fous et cette jouissance dont nous étions les maîtres d’œuvre.
Son plaisir s’éteignit tout doucement, mais je n’avais pas encore jouis.
Je la mis sur le dos lui mis les jambes sur mes épaules et entrepris de lui reprendre … le cul pour y jouir encore une fois.
Ma bitte bien callée dans les chairs ouvertes et consentante, s’activait pour laisser monter ce plaisir de mes jambes à mon dos et qui redescendait si vite vers mon sexe avant d’exploser dans un râle rauque … extatique … amoureux…
Elle m’accompagnait dans mes mouvements et m’embrassa lorsque j’eus fini de jouir en elle.
-« Tu sais que j’aimerais beaucoup jouir dans ta bouche maintenant que tu m’as donné ta chatte et ton cul ? »
-« Houla… je sais pas si je pourrais, je ne l’ai jamais fais… j’ai peur de pas aimer »
-« En venant aujourd’hui, tu savais très bien que je jouirais dans ton cul non ? »
-« Oui, je le savais »
-« … Et tu sais très bien que la prochaine fois, je vais jouir dans ta bouche »
-« Je crois que ça va être difficile, je n’y arriverais pas »
-« Tais toi, je ne suis pas en train de te demander ton avis. Je suis en train de t’informer que la prochaine fois, je jouirais dans ta bouche et tu accepteras parce que tu … ??? »
-« Parce que je t’appartiens ? »
-« Oui c’est exactement ça, tu es à moi, tu m’appartiens. »
Je savais que cette séance en appelait d’autres encore plus chaudes, et qui nous entraineraient vers d’autre contrées inexplorées…
Je vous en dirais plus la prochaine fois …
En deux rencontres, nous avions déjà franchit bien des étapes intéressantes…
Le plus beau restait à venir pourtant .
La fois suivante, j’avais envie d’essayer d’aller encore un peu plus loin dans la découverte de nos limites. Explorer, partager les arcades de la soumission avec ma belle.
Elle qui ne se met que rarement en jupe ou en robe, je lui avais demandé de faire une exception et de venir en jupe ou robe et de mettre des jolis dessous.
Lorsque je la vis, je su qu’elle avait fait envie de me plaire et voulais également pousser mon avantage le plus possible.
Je décidais de diriger les débats et de m’installer dans la peau du maître de celui qui dicte. M’ayant avoué qu’elle aimais que je joues à « l’amant »… c’est à dire au maître dans son langage, je ne lui laissais pas le temps de s’installer dans la chambre prenant l’initiative d’entrée, je l’embrassais à pleine bouche, heureux de retrouver son parfum et la douceur de ses lèvres. Sans avertissement, je lui agrippais les cheveux et tirais sa tête vers l’arrière en lui disant :
-« Aujourd’hui tu m’obéis. Tu te laisses faire ok ? »
-« Oui d’accord ».
Sans la laisser me déshabiller, je lui enlevais ses vêtements un a un et lui caressais tendrement les seins en l’embrassant, alternant quelques morsures douces de sa bouche. Je me mis à lui presser les seins puis à lui vriller les pointes… ces pointes, toujours dressées, gorgées de sang, prêtes aux baisers, aux morsures …
Elle grimaça un peu puis cria
-« AÏE !»
-« TAIS TOI !, laisse moi faire ! Tu es a moi aujourd’hui tu m’as compris ? »
-« oui j’ai compris tu vas obéir ok ? »
-« Oui »
-« DIS LE !!! »
-« Je vais t’obéir »
-« bien alors mets toi à genoux et défais mon jean. »
Elle s’activa sur ma ceinture, mes boutons pour sortir mon sexe, qui prenait déjà de belles proportions.
Elle voulu le prendre dans sa bouche sans attendre. Je la retins en la regardant dans les yeux :
-« Ne touches à rien laisse toi faire. »
Je lui passais le gland sur le visage puis sur les lèvres ne la laissant pas me prendre.
-« Non ne mets pas les mains, juste la langue, lèche moi ! »
Elle sorti la langue et suivi toute la longueur de ma tige jusqu’au gland.
Je savourais la douceur de cette caresse que je guidais doucement et me réjouissais de sa docilité. Je voulais savoir si elle me suivrait sur ce chemin… Je ne fus pas déçu.
Elle se contentait de faire ce que je lui demandais.
-« Laisse tes mains tranquille, met les dans ton dos. »
Elle s’exécuta immédiatement et continua à me lécher.
-« Tu as envie de me sucer la bitte ? »
-« Oui »
-« Dis le moi, fais des phrases. »
En rougissant, elle osa répéter :
-« J’ai envie de te sucer »
-« de me sucer quoi ? le doigt ? »
-« non le sexe »
-« Tu as envie de me sucer la quoi ? »
rouge de confusion elle dit doucement :
-« La bitte »
-« Bien tu veux aussi être ma soumise ? »
-« Oui »
-« FAIS DES PHRASES !!! »
-« Oui j’ai envie d’être ta soumise »
-« Et ? »
-« Et de te sucer la bitte »
-« Voila qui est beaucoup mieux. »
Je pris ma bitte dans la main droite et lui pris la nuque dans l’autre.
Je l’attirais doucement vers cette tige impatiente de franchir l’entrée de ses lèvres pulpeuses. Elle ouvrit la bouche .
-« tire la langue ! »
Elle fit ce que je demandais et je posais mon gland sur sa langue sortie. Elle referma ses lèvres sur ma queue et commença à aller et venir sur ma tige. Je m’enfonçais doucement dans cette bouche consentante. Soudain, j’eus envie de la sentir moins volontaire. J’eus aimé la forcer un peu, bien que je n’aime pas du tout les viols. Je me trouvais en position de maître avec cette si belle femme agenouillée, soumise.
J’enfonçais un peu plus ma queue. Elle eut un hoquet de surprise cherchant à se retirer. Je la maintins avec mes deux mains derrière sa tête mais sans aller trop loin car j’avais vu qu’elle n’aimait pas prendre ma bitte au fond de la bouche près de la gorge. Je la forçais tout de même un peu et vis qu’elle se laissait tout de même un peu faire.
Elle parvint à sortir mon sexe de sa bouche, mais ne fit aucun commentaire et repris sa fellation essayant de ne pas aller trop loin.
Ayant longtemps profité de ses prestations buccales, je décidais qu’il était temps pour moi, d’aller visiter l’intérieur douillet de son corps.
-« Mets toi en levrette je vais te prendre »
Sans un mot, elle s’installa à quatre pattes sur le lit. Je vins derrière elle et fis courir ma bitte le long de sa raie .
-« Ouvre tes fesses avec les mains ».
Sans attendre, elle pris une fesse dans chaque main et m’ouvris son cul.
J’admirais sa chatte qui suintait déjà et son petit trou plus si vierge. Elle était à ma disposition silencieuse attendant la suite. Pensant que j’allais entrer dans sa chatte, elle semblait sereine.
J’avais eut, dans un premier temps envie de lui prendre la chatte mais devant ce spectacle d’abandon, je pris le parti de la surprendre un peu en lui prenant le cul sans le lui dire pour voir si elle allait accepter sans broncher que je dispose de son corps à ma guise.
Je fis glisser mon engin, le long de ses fesses faisant mine de vouloir pénétrer son sexe ouvert et qui palpitait doucement dans l’attente de cet hommage qu’elle semblait tant apprécier.
Je glissais le bout de mon gland entre les petites lèvres. Elle soupira doucement. Je ressorti complètement avant de le remettre exactement à la même place.
Elle voyait que je voulais jouer de ses sens et l’agacer un peu et elle se laissa aller.
Je refis le même manège plusieurs fois comme pour la mettre en confiance, tester sa patience et sa docilité.
Je l’embrassais tendrement sur le dos et décidais de glisser doucement vers sa chatte ouverte et luisante de désirs puis de descendre encore vers cet œillet sombre qui se serrait maintenant comme pour échapper à cette caresse si inhabituelle pour elle.
Devant cette réaction de recul, je lui claquais les fesses à plusieurs reprises, elle sursauta et cria mais ne elle restait en position. Je repris ma caresse linguale vers son trou serré et j’y posais ma langue tournoyant autour de l’anneau. J’ouvris un peu plus les fesses déjà écartées par ses mains … qu’elle n’avait pas ôtées… et j’entrais ma langue en elle. Elle soupira longuement.
-« Tu aime ?
–« J’ai pas l’habitude »
-« laisse toi faire »
Je repris les lubriques avancées de ma langue dans son cul et senti qu’elle se détendait peu à peu. Avec mes doigts, je caressais les contours de ses lèvres refusant à mes doigts l’accès de son intérieur trempé qui pourtant n’attendait que ça !!!
Après un long moment, je me redressais et posais mon gland sur son cul sans plus de cérémonie. Je n’avais pas voulu de l’effet de surprise, mais de son consentement tacite et donc silencieux. Elle me laissa diriger les choses, mais je voulais qu’elle me donne son consentement verbal avant.
-« Tu veux que je te prenne le cul ? »
-« Oui… si tu veux. »
-« Non, tu ne m’as pas compris dis moi si tu en as envie toi ! »
Elle ne répondit pas tout de suite alors je lui claquais de nouveau les fesses.
-« HE BEN, DIS MOI TU EN AS ENVIE ? »
-« Oui ! »
-« DIS LE !!! »
-« j’en ai envie »
-« ENVIE DE QUOI ???? »
-« … envie que tu me prennes comme tu veux «
-« c-à-d ? par le cul ? »
-« oui »
-« ALORS DEMANDE LE MOI !!! »
-« Prend moi par le cul »
Je ne voyais pas son visage, mais je savais qu’elle devait être rouge de confusion.
Je décidais de la faire rougir encore un peu :
-« Tu es sure que tu en as envie ? dis le moi !!!! »
-« Oui, j’en suis sure, prend moi par le cul »
Je lui re-claquais les fesses une paire de fois
-« C’est bien ma soumise ».
Je poussais doucement contre son cul qui s’ouvrit comme la fois précédente… Lentement, sans résistance. Elle soufflait de plus en plus fort sous l’intrusion de ma bitte qui avançait inexorablement jusqu’au fond de cet orifice qu’elle n’offrait qu’à moi et pour la deuxième fois seulement.
J’imprimais un rythme d’abord lent, puis de plus en plus rapide pour voir si elle allait me laisser faire comme je l’entendais.
Elle se laissait faire complètement, j’étais aux anges et l’embrassais sur le dos, caressant ses seins ou le côté de son corps.
Je me retins de jouir voulant comme la dernière fois qu’elle jouisse avant moi. Je me retirais donc avant d’aller me nettoyer et de la contourner avant de lui présenter ma bitte à sucer… ce qu’elle fit immédiatement le visage détendu et avec cette excitante expression de soumission qui lui va si bien… je la trouvais extrêmement belle et désirable.
Je refis le tour pour me poster dans son dos et la prendre, cette foi-ci sans ménagement, par surprise et par la chatte.
Elle sursauta et émis un petit cri de surprise en se laissant aller à cette intromission vigoureuse et presque brutale.
-« HOOOOOOOOOOOOOOO putain mais que c’est bon !!!! »
-« Tu veux que je continue ? »
-« OUIIIIIIIIIIIIIII »
-« Comme je veux ? »
-« OUIIIIIIIIII »
Je me retirais de cette chatte si douce et remontais pour de nouveau l’enculer.
-« HUMMMM » fit-elle.
Je sentais qu’elle s’abandonnait mais qu’elle était un peu déçu que je pris le parti de changer d’orifice.
-« Dis moi que tu m’appartiens ma tendre »
-« … »
-« ALLEZ DIS LE !!! »
-« … »
-« DIS QUE TU ES TOUTE A MOI … QUE TU M’APPARTIENS !!! »
-« Oui, je t’appartiens »
-« Tu es toute à moi ? »
-« Oui, je suis toute à toi, je t’appartiens. »
Mon cœur fit un bond dans ma poitrine et je me délectais de ce moment d’intense abandon.
Je lui claquais de nouveau les fesses.
-« C’est bien ma chérie, tu es à moi désormais. »
Je me retirais pour aller me laver un peu et je revenais m’allonger sur le lit
.-« viens t’empaler sur moi, tu l’as bien mérité ma douce »
Elle vint me chevaucher et se mit ma bite dans la chatte sans attendre. Je savourais cet instant d’impatience et d’envie dont elle faisait preuve.
Elle pris le rythme qu’elle voulait pour prendre son pied comme elle en avait envie et elle se remit à miauler et vouloir me griffer.
Je lui pris les poignets.
-« Ne mors pas laisse toi aller sans me mordre ou me griffer »
Elle ne m’écoutait plus, elle n’était déjà plus en mesure de se contrôler et voulait quand même me griffer et me mordre. Je ne parvins qu’à limiter les dégâts dans cette furie dévastatrice qui la prenait lorsque le plaisir l’envahissait…
J’adore la voir dans cet état et je me délectais de ses yeux fous et cette jouissance dont nous étions les maîtres d’œuvre.
Son plaisir s’éteignit tout doucement, mais je n’avais pas encore jouis.
Je la mis sur le dos lui mis les jambes sur mes épaules et entrepris de lui reprendre … le cul pour y jouir encore une fois.
Ma bitte bien callée dans les chairs ouvertes et consentante, s’activait pour laisser monter ce plaisir de mes jambes à mon dos et qui redescendait si vite vers mon sexe avant d’exploser dans un râle rauque … extatique … amoureux…
Elle m’accompagnait dans mes mouvements et m’embrassa lorsque j’eus fini de jouir en elle.
-« Tu sais que j’aimerais beaucoup jouir dans ta bouche maintenant que tu m’as donné ta chatte et ton cul ? »
-« Houla… je sais pas si je pourrais, je ne l’ai jamais fais… j’ai peur de pas aimer »
-« En venant aujourd’hui, tu savais très bien que je jouirais dans ton cul non ? »
-« Oui, je le savais »
-« … Et tu sais très bien que la prochaine fois, je vais jouir dans ta bouche »
-« Je crois que ça va être difficile, je n’y arriverais pas »
-« Tais toi, je ne suis pas en train de te demander ton avis. Je suis en train de t’informer que la prochaine fois, je jouirais dans ta bouche et tu accepteras parce que tu … ??? »
-« Parce que je t’appartiens ? »
-« Oui c’est exactement ça, tu es à moi, tu m’appartiens. »
Je savais que cette séance en appelait d’autres encore plus chaudes, et qui nous entraineraient vers d’autre contrées inexplorées…
Je vous en dirais plus la prochaine fois …
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Les avis des lecteurs
Délicieux récit!