De la cage au salon

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : De la cage au salon Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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De la cage au salon
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°580) - De la cage au salon -
Rien n’excitait autant soumis Endymion MDE, que ce glissement vers l’abnégation totale et cette transformation progressive à vouloir appartenir pour ne plus s’appartenir, n’être rien d’autre que ce que le Maître voulait qu’il soit. Heureusement pour lui d’ailleurs, cette force mentale lui permettait de supporter les douloureux traitements imposés par Monsieur le Marquis d’Evans et l’entrainait inexorablement entre extase et ravissement, suscitant de sublimes frémissements de tout son corps pourtant bien meurtri. Il pendait au bout de ce fil d’acier dans ce cocon métallique telle une araignée au bout de son fil de soie et patientait docilement, presque immobile, perclus de douleur, son corps totalement ankylosé. Il avait mis son esprit au repos, ne pensait plus à rien, il éprouvait seulement la satisfaction d’être le centre d’intérêt, l’objet de tous les honneurs : Délicatement épicé par son imagination et l’appréhension qu’il pouvait y puiser, son excitation montait ! Comme pris dans une danse, soumis Endymion MDE pouvait alors progressivement s’abandonner à la musique de ses sensations, en savourant de se laisser guider en confiance. Il ne fut pas mécontent, tout de même, d’entrapercevoir Monsieur CharlEd entrer, accompagné de soumise Laïs MDE, tenue courbée et par les cheveux. Elle avait bien du mal à se déplacer avec ces fers aux pieds et ces chaines qui l’entravaient. Sans lâcher sa chevelure, il la fit se redresser et tenir droite, près de là où était enfermé le chien mâle soumis MDE. Une fois debout, il l’entraina sous la cage et lui montra le cul de soumis Endymion MDE. Il glissa même gaillardement son index dans cette rondelle offerte, allant même à imprimer des mouvements de rotation dans ce cul, pour distendre un peu plus encore les sphincters déjà bien souples du chien soumis MDE. Sans lâcher le trou de l’esclave mâle, Monsieur CharlEd s’adressa à soumis Laïs MDE :
- Ta petite langue de chienne va venir lubrifier cette rondelle, regarde comme cette salope s’ouvre bien !

En effet, le cul de soumis Endymion MDE s’ouvrait bien, il faut dire qu’il avait trouvé une position à peu près soutenable. Ses lobes fessiers reposaient sur deux barreaux d’acier du fond de la cage, mais cette posture, et le poids de son corps lui écartait son fion, puisque placé dans le vide de l’espacement des deux barreaux. La langue gourmande de soumise Laïs MDE n’avait donc aucun mal à darder ce trou, à se glisser à l’intérieur de cette cavité chaude et humide, à brouter cet orifice avec une détermination à toute épreuve. Avec une telle avidité, l’esclave mâle MDE ne put garder pour lui ses ressentis jouissifs, il se mit à gémir telle une vraie chienne en chaleur.

- Ca suffit !

Monsieur CharlEd attrapa la chevelure soumise Laïs MDE pour dégager sa bouche du cul de soumis Endymion MDE, d’ailleurs un gros « splaaach » remonta jusqu’aux oreilles de soumis Endymion MDE tant la pression de cette bouche sur sa corolle intime la ventousait. Debout, tête inclinée vers le sol, soumise Laïs MDE avait spontanément adopté la posture d’attente. Elle n’attendit pas très longtemps d’ailleurs, à peine installée, elle reçut un nouvel ordre.

- Ecarte les cuisses et dégage ce gode qui te pénètre la chatte !

soumis Endymion MDE n’avait pas remarqué l’objet tant il était enfoncé en elle. Soumise Laïs MDE s’inclina un tant soit peu, de sa main gauche plaquée sur son pubis, elle s’écarta les grandes lèvres de sa vulve, de son pouce et majeur droit, elle extirpa le gode de son sexe ruisselant. L’objet en question était impressionnant tant par sa circonférence que par sa longueur. Comment soumise Laïs MDE avait-elle pu contenir en elle un tel objet ? Au bout de ses doigts, elle tenait le sextoy à la verticale, il était dégoulinant de sa cyprine. Voyant ça, Monsieur le Vicomte d’Evans tout sourire attrapa délicatement le gode par sa base, demanda à soumise Laïs MDE de bien relever la tête, de regarder le plafond et d’ouvrir grand la bouche. Il ajusta la base du gode dans la bouche grande ouverte de la chienne soumise MDE, lui exigeant de le tenir serré entre ses dents.

- Quel beau spectacle tu me donnes petite chienne ! Ecarte toi un peu plus, plie un peu les jambes et cambre bien tes reins !

Monsieur CharlEd était passé derrière soumise Laïs MDE, ses doigts glissaient sur sa fente dilatée et trempée à la recherche de son clitoris érigé, il le branla un tant soit peu entre deux de ses doigts :
- Ecoute moi bien petite chienne, si tu remplis bien la mission que je vais te confier, tu pourras te branler devant moi et te faire jouir ! (Monsieur le Vicomte se tut un instant, puis d’une voix plus ferme, il reprit) Tu vas aller planter ce gode couvert de ta mouille dans le cul de cette salope (il indiquait d’un doigt soumis Endymion MDE), Tu vas le lui enfoncer bien à fond, puis le retirer complètement pour le lui réintroduire à chaque fois que je cinglerai ton fessier avec cette sublime cravache ! As-tu bien compris petite chienne ?

Soumise Laïs MDE émettait un son en hochant quelque peu la tête en signe d’acquiescement, elle fut empoignée par un bras et approché sous le chien mâle soumis suspendu. Lui, sursauta au contact du gode sur sa rondelle qui céda rapidement sous la pression. Il sentit l’énorme objet glisser inexorablement en lui jusqu’à cogner le fond de son rectum, jusqu’à ce qu’il sente le nez de soumise Laïs MDE lui frotter le périnée. Elle, mordant à pleines dents la bite en latex, recula pour dégager totalement l’objet. Un premier coup de cravache tomba sur sa croupe et de nouveau le gode pénétrait lentement mais surement soumis Endymion MDE. Afin de faciliter le travail de soumise Laïs MDE, dixit Monsieur le Vicomte, il avait attrapé la chaine pendante des couilles de l’esclave mâle, et tirait sur celle-ci, à chaque fois que le chien mâle soumis se faisait enfourner et la relâchait à chaque fois que le gode se retirait de ses entrailles. Dépouillés de toute pudeur et de bienséance, les deux esclaves MDE s’abandonnaient à la curiosité d’un regard exigeant, l’orifice du mâle s’ouvrait encore jusqu’à devenir un trou obscènement béant, les couilles malmenées étaient étirées douloureusement, le cul cinglé de la femelle MDE était en feu. Chacun gémissait et geignait : une douce alchimie transformant une réalité presque banale en ces Nobles Lieux en une complainte poétique et miraculeuse… Le sexe ne rendait pas entièrement aveugle, il possédait néanmoins les facultés de désinhiber et d’occulter l’environnement et ses participants. Personne n’avait vu Monsieur le Marquis d’Evans installé confortablement dans l’un de ces confortables fauteuils. Les jambes écartées, il assistait au spectacle discrètement alors qu’une soumise MDE le suçait et le masturbait allégrement.

Les deux esclaves MDE se concentraient sur l’activité imposée et tous leurs sens se trouvaient enivrés. La douleur était ignorée, les gestes étaient magnifiés, les sensations décuplées et tout apparaissait teint d’érotisme, malgré la dégradante épreuve subie. Incapable et interdit de mouvement, n’ayant plus à se soucier de ce qu’il devait faire, dire, toucher ou regarder, soumis Endymion MDE, dans le plaisir, obéissait et acceptait le traitement. Il était dans l’équivoque, une ambivalence produite par la satisfaction de s’offrir, à son plaisir personnel, et l’espoir placé dans la réalisation de ses propres vœux secrets, conjugués à l’excitation générale, repoussant ainsi toutes limites, justifiant son existence qui prenait forme et réalité… Repoussant la chienne femelle qui lui prodiguait une sublime fellation, Monsieur le Marquis d’Evans s’était levé et rapproché de Ses deux esclaves MDE. Il les caressa longuement, l’un et l’autre. Ainsi il leur exprimait sa fierté et son plaisir de les posséder et l’un et l’autre, tel un cadeau qu’il recevait d’eux se livrant à Lui. Il savourait cette possession, aimait en vérifier la réalité, la véracité et la solidité. Il se délectait, bien sûr, du plaisir sexuel d’abandon qu’il lisait dans leur soumission. Il se réjouissait de les voir se tenir dans des postures dégradantes, accomplissant des actes ou adoptant des attitudes avilissantes. Il aimait les voir s’épanouir et grandir dans ce contexte où les instincts primaires n’étaient qu’exacerbés… Dans le quart d’heure qui suivit et après avoir baisé et enculé à même le sol en levrette le cul de soumise Laïs MDE, soumis Endymion MDE avait été extirpé de la cage et posé au sol en chien de fusil. Il ne parvenait plus à tenir debout, il ne parvenait plus à réagir, il se sentait vaincu, totalement… Le Maître pour lui faire admettre plus encore l’idée, venait de poser son pied sur son visage. Sa chaussure lui écrasait les joues et déformait ses lèvres.

- Qu’attends-tu chien pour honorer le Maître, pour le remercier ?

Dans un ultime effort, soumis Endymion MDE se retourna tant bien que mal et glissa humblement et sincèrement sa langue sous les semelles des souliers vernis de Monsieur le Marquis d’Evans, alors que, un peu plus loin, devant Monsieur CharlEd, soumise Laïs MDE, debout, avait eu l’autorisation de se branler énergiquement en exprimant largement, son plaisir puis son orgasme… Le chien soumis fut ensuite nourrit, lavé, pansé, et autorisé à prendre un peu de repos sur le lit. Il sombra instantanément, tant il était éreinté… Il fut réveillé en sursaut, quatre bonnes heures après son endormissement, par Monsieur Walter qui lui attachait une laisse à son collier et lui dénouait les mains de derrière son dos.

- A quatre pattes, chien !

Encore groggy, dans le brouillard le plus complet, soumis Endymion MDE avançait en quadrupédie tiré par le Majordome dans le long et luxueux couloir du premier étage du Château. Monsieur Walter ouvrit la porte du petit salon et tira encore sur la laisse de soumis Endymion MDE pour le faire entrer. Là se trouvaient Installés confortablement dans des petits fauteuils crapaud, le Maître, un verre de cognac à la main qui écoutait attentivement un couple de Dominant lui narrer une histoire. L’homme arrêta son monologue un instant, lorsqu’il vit l’esclave MDE approcher. Monsieur Walter détacha la laisse et ordonna discrètement au chien soumis de s’approcher du Maître. Toujours à quatre pattes, soumis Endymion MDE avança encore, silencieusement, discrètement, tel un félin. Lorsqu’il fut à portée de main de Monsieur le Marquis d’Evans celui-ci l’attrapa par son collier et le fit positionner entre ses jambes écartées.

- Je vous en prie, très cher ami, poursuivez votre histoire !

L’homme reprit son monologue, alors que Monsieur le Marquis dégrafait la braguette de son pantalon de costume gris et dégageait son sexe tendu de dessous son boxer. Il attrapa Son chien soumis par le visage et lui pressant les deux joues, jusqu’à l’entrainer vers Sa Verge érigée.

- Suce-moi ! Souffla-t-il subrepticement à soumis Endymion MDE, (puis s’adressant à son hôte) - Je vous en prie, continuer l’histoire de cet Alex devenu Rex !

Alors l’homme reprit son discours :
- Suite à son dépucelage anal, Rex connu une période folle de découvertes dans sa nouvelle sexualité…
soumis Endymion MDE en chien soumis discret n’écoutait plus ce qu’il se disait, il se bornait et se concentrait sur le plaisir à donner au Maître. Délicatement, il lui pompait son dard turgescent, léchait son gland, titillait son frein, avalait ce sexe, le laissait se dérober de sa bouche pour mieux l’engloutir encore. Le Maître, lui restait de marbre, contenait son plaisir sans l’exprimer ni le montrer, quand bien même soumis Endymion MDE s’enrageait sur cette queue si dure désormais. Fallait-il s’en inquiéter ? Le chien soumis MDE leva les yeux en direction de ceux du Maître, rien sur son visage n’exprimait une once d’un plaisir quelconque, Monsieur le Marquis d’Evans restait stoïque, se bornant à écouter son interlocuteur sans se laisser divertir ! Toujours bouche empalée sur ce pieux, soumis Endymion MDE sentit soudainement les mains du Maître se poser sur sa tête, sa bite se frayait un profond passage pour se loger en fond de gorge, puis juste au même moment soumis Endymion MDE perçut une petite tension musculaire venant des entrailles du Maître, suivi de plusieurs jets violents de sperme tapissant son palais et inondant sa bouche. Là encore, pas un gémissement, pas un soupir, rien… Monsieur le Marquis avait éjaculé abondamment, en toute discrétion, maitrisant parfaitement la situation. Comment parvenait-il à dompter ses orgasmes ? Le chien soumis MDE se léchait encore les babines pour ne rien perdre de cette précieuse et divine liqueur, lorsque Monsieur le Marquis fit un signe discret à Son Majordome. Walter attrapa le chien soumis par son collier et l’entraina ainsi à l’extérieur du petit salon. Une fois dans le couloir, il lui refixa la laisse à son collier et le remmena à quatre pattes dans cette fastueuse chambre, qui pour le chien soumis MDE, s’apparentait plutôt à une prison dorée.

Juste avant de rentrer dans celle-ci, Monsieur le Majordome tira fort sur la laisse, pour faire comprendre à soumis Endymion MDE qu’il devait se lever, s’il ne voulait pas être étranglé… A peine fut-il debout, qu’il fut poussé tout contre la cloison séparant la chambre du couloir.

- Mains contre le mur, dos cambré, cuisses écartées ! lui ordonna Monsieur Walter
La posture ressemblait à celle utilisée pour des fouilles corporelles, et la fouille qu’allait subir soumis Endymion MDE allait être profonde, pénétrante, bien obscène. En hâte, Monsieur Walter avait baissé son pantalon à mi-cuisses, attrapé sa queue déjà tendue pour la pointer sur l’orifice intime du chien soumis MDE. D’un trait il l’avait emboité, et maintenant l’enculait sauvagement.

- Il y a bien longtemps que tu n’avais pris ma queue salope !
- Oui Monsieur- Tu la sens bien te fendre le cul ?
- Oh…Oh oui Monsieur.
- Tu n’es qu’une chienne, n’est-ce pas ?
- Oh… Ah… Oh ouiiii je ne suis, oh oui Monsieur je ne suis qu’une chienne
La sodomie perdura un long moment, parfois sous le regard amusé de certains gardes passant par-là, jusqu’au moment où le Majordome donna un puissant et ultime coup de reins faisant tituber l’enculé. Il éjaculait violemment entre les reins de soumis Endymion MDE en le traitant de salope, de pute, de chienne en chaleur bonne à être baiser ainsi ...

(A suivre…)

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Texte coquin : De la cage au salon
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