De la suite dans les idées - histoire érotique

Il était 18 heures.
Je rôdais dans la ville depuis les premières heures du jour. Il ne faisait pas chaud, j'avais passé ma journée a marcher et me réchauffer dans les stations de métro.
J'hésitais a rentrer chez le gars. La nuit n'allait pas être facile dehors.
J'arrivais chez lui, hésitais encore un peu, puis je sonnais, il ouvrait.
Il m'accueillait comme si je lui rendais une simple visite, on mangeait, on discutait de tout et de rien. Vers 21 heures j'allais prendre une douche, au retour il était allongé a poil dans son canapé, sa queue en main. En 24h, j'avais tourné un bouton dans ma tête, cela était devenu presque une banalité. Je m'approchais de lui, me mettais a genoux et commençais a le sucer.
"Lèche moi le couilles pendant que j'enfile ma capote" Me dit il.
Je m'exécutais , je comprenais que le moment était venu de me faire enculer. Il me laissa a genoux au sol, me pencha en avant et en appui sur le canapé, vint derrière moi.
Il passa du lubrifiant sur sa queue, baissa mon caleçon dans me l'enlever.
Présenta sa queue a l'entrée de mon cul et me pénétra doucement.
J'avais imaginé une douleur insupportable mais ce n'était pas le cas. Il me baisa une dizaine de minute. Il poussa un gros gémissement au moment ou il jouissait. Cela me fît bizarre d 'entendre un gars prendre du plaisir alors qu'il avait sa queue au fond de mon cul.
Il ne dit rien après, se contenta d 'aller se coucher.
Le lendemain, il allait bosser, me faisait partir, me dit de revenir a partir de 19h. Cela dura deux semaines. Sur ses 15 jours passé, il me baisa 10 fois.
Fallait que les choses changent. Je devais me tirer de la.
J'allais sur le net pour essayer de me trouver un job et repartir a zéro.
Je m'inscrivais a nouveau dans quelques intérims. Rien ne bougeait , j'allais discuter la journée sur des salons de tchat et un gars vint me parler. 40 ans, l'air bon chic bon genre.
Au fil de la discussion, il me parlait de ses fantasmes avec des mecs et fini par me proposer 200 euros pour un plan cul a l'hôtel. Je devais me comporter en mec avec lui pendant qu'il ferait la femme. J'avais du mal a croire que ca pouvait être sérieux.
J'avais accepté de me faire baiser pour être logé, nourri, blanchi. Voila que maintenant j'allais faire la pute. J'étais partagé entre la honte et l'excitation de me faire 200 euros.
Je décidais d'aller au RDV. Je n'y croyais pas trop. A l'heure exacte, le gars était la. On alla dans un hôtel de passe a 5 minutes de la. Y entrer, passer a la réception fût un des moments les plus honteux de ma vie. La chambre était kitsch a mort, le gars se déshabilla, moi aussi, il alla sur le lit s'entendre sur le dos. J'étais censé faire le mec mais la première chose qu'il me demanda fût de le sucer. Je vint entre ses jambes et prit sa petite queue en bouche.
Il cracha son sperme 15 secondes plus tard.
Il se redressa, remit ses vêtements. Je fît pareil. Il alla dans sa poche et prit des billets qu'il me fila. Les 200 euros était la. On sortait de l'hôtel, il alla dans la direction opposée de moi.
" Je te contacte bientôt, on se refait ca" Dit il en s 'éloignant.
Je venais de gagner 200 euros en 15secondes. Je zappais de mon esprit le fait que j'avais du m'afficher et laisser toute dignité sur le trottoir pour ce prix.
J'allais tout de suite dans une grande surface m'acheter des vêtements. Ceux que je portais, ceux du gars qui me logeait contre avantage en nature me dégoutait. Je dépensais 50 ou 60 euros de vêtements et j'allais de suite dans un cyber café, sur un site de tchat et j'allais sans hésiter sur un salon gay avec comme pseudo " escortboybxl". C'était presque officiel, j'étais maintenant une pute.
En une heure, je me retrouvais avec un nouveau rendez vous. Je ne pensais même pas au danger. Le truc avec les gens qui cherchent des rencontres avec des escortes, c'est qu'ils sont généralement seul et qu'ils ont besoin de compagnie. Normalement l'escorte se dira qu'il perd du temps mais dans ma situation, c'était totalement gagnant. Je prenais du fric et je passais une soirée voir une nuit au chaud.
Le gars cette fois avec la cinquantaine et plutôt repoussant a mon sens, sans vouloir être méchant. 170CM, 135 kilos, grosse barbe.
Je me retrouvais chez lui, on buvait, on fumait. La soirée passait, la nuit avançait.
A 3 heures du matin, j'allais faire ce pourquoi il me payait 60 euros. Le pomper.
Il resta debout, je me mis a genoux devant lui. Je baissait son slip pour libérer sa queue, pas longue, mais grosse. L'alcool me rendait plus chaud, je le suçais goulûment, j'aimais presque ca. Ses deux mains me tiraient les cheveux.
" Suce moi bien, oui vas y, combien pour la mettre dans ton cul ?"
"Tu as une capote ? " demandais-je.
"Non mais je suis safe"
Il n'était pas question de me laisser baiser sans capote, il acceptait le fait. Je continuais de le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse. Il se retira de ma bouche et m'envoya une giclée de sperme au visage.
il me donna les 60 euros et me dit que vu l'heure tardive, je pouvais rester sur le canapé.
Qu'es ce que cela changeait d 'avant ? Pas grand chose au final a part l'argent et l'argent est le nerf de la guerre.
Je m'en allais au matin, il me dit qu'il me contacterait bientôt et que cette fois il aurait des capotes. J'allais déjeuner dans un café. Mon activité était glauque mais voila que je redevenais quelqu'un de normal, en apparence.
Je me prenais deux nuits d 'hôtels a 35 euros et bien sur, je filais au cyber pour me trouver un client. J'étais chaque fois surpris de la vitesse a laquelle je trouvais quelqu'un.
Pendant 2 mois entier, je baisais tout les jours pour l'argent. Avec des nouveaux , avec des clients qui était devenu régulier.
Des plans a trois ou je prenais dans le cul et suçais l'autre en même temps. Des plans ou je devais juste me branler devant un gars, des plans ou je baisais un trav. Des vieux qui me suçaient. Des mecs qui ne bandaient pas et qui me demandaient de baiser leurs femmes devant eux.
En deux mois, j'avais récolté plus de 6000 euros, une fortune pour moi. Je me prenais un petit appartement, je refaisais ma garde robe et je continuais mon activité.
6 mois passaient encore, j'avais maintenant l'air au top.
Un jour, par hasard, je croisais mon ex copine et cela me rappela aussitôt a quel point l'on reste fragile.
Elle me demanda ce que je faisais, me dit que j'avais l'air en forme. Elle avait apprit ma tentative de suicide au medoc'.
Je répondais que je bossais dans les assurances, que j'avais un chouette appartement en ville, que la tentative de suicide était bien loin derrière moi. Elle me demanda si j'avais une copine, elle était toujours avec son mec de l'époque, elle était dans sa dernière année d'étude. En partant, elle me proposa de passer chez elle, chez ses parents qui étaient en vacances. Pour discuter a l'aise...
J'acceptais l'invitation. Je la connaissais assez pour savoir que si elle m'invitait, c'était avec une idée derrière la tête. Si elle voulait que la baise une fois, je la baiserais sans soucis avec un sentiment de vengeance total. Si elle voulait que la baise je n'allais surement pas lui faire l'amour... J'allais la défoncer comme une grosse pute.
" Rendez vous a 20 heures ok ?"
"ok"

A suivre