De passage Ep05
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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De passage Ep05
De passage Ep05
La matinée qu'on nous réservait était tranquille. On prenait le petit déjeuner Thierry et moi le préparions. Rocco ne perdait pas le nord, et il en profitait pour se faire servir.
Avec son pote Sammy ils s'installaient confortablement à la table du salon, les jambes bien allongées sous la table et la queue victorieuse. C'est peut être pour ça que Thierry et moi ne parvenions pas vraiment à garder notre calme.
Ma queue comme la sienne réagissait à les voir bouger avec tant de tranquillité, à voir leurs grosses queues se balancer. Nous avions tous les deux une érection particulièrement violente, elle était confinée et c'est peut ça qui donnait cette sensation de violence dans nos cages.
On jouait au jeu de la soumission, pas comme je l'avais prévu mais on jouait. Ils prenaient leur petit déjeuner dans le salon et nous on buvait notre café dans la cuisine. J'étais dégoûté !
Ils ont discuté longuement à table puis nos ont appelé pour les habillé. En fait c'était pour que Thierry les habille, moi j'étais toujours interdit de câlin, j'étais même interdit de contact tactile. Je ne devais pas toucher de la peau, caresser de la peau. Je vous jure qu'à ce moment, j'avais la haine. Mais c'est moi qui avait imaginé les règles, que pouvais-je dire ?
J'ai vraiment des idées à la con quand je m'y mets moi !
Le reste de la journée se passait d'une manière tout à fait normal. On faisait du tourisme, on faisait visiter la région à Thierry. Personne ne pouvait deviner l'enfer que nous vivions. Bon là je parle pour moi. D'accord je ne peut rien dire mais parce que l'idée est de moi mais j'ai quand même le droit de dire que j'ai des idées à la con … et que c'est l'enfer.
On faisait aussi du lèche vitrine, on se prélassait à la terrasse des cafés. Attention on n'était pas des soumis. Ni Thierry ni moi n'étions au service de nos deux hôtes. On n'était pas leurs esclaves.
Rocco et Sammy nous ont laissé presque toute la journée. On était en extérieur, on serait bien obligé de nous tenir correctement. Le soir on se retrouvait tous les quatre chez Rocco. Sammy nous invitait dans un restau qu'il connaissait bien.
Il avait réservé assez tard, je ne trouvais pas ça très pratique surtout que quand dix heures sonnaient, on commençait tous à avoir faim. Je me sentais soulagé quand on arrivait.
On avait attendu en prenant un petit apéro dans un bar, puis dans un autre, puis dans un autre et là je ne sais plus exactement combien de bars on avait fait ! J'avais faim et j'étais un peu ivre, mon copain Thierry était dans le même état.
Ma queue restait calme,par moment je flashais sur le cul d'un mec ou sur son entre-jambe et elle se manifestait mais ça ne durait pas. De toutes façons, rien ne paraissait, Thierry ne me cachait pas qu'il était lui aussi dans cet état mais pour lui non plus rien ne paraissait.
Sammy faisait du free-balling et ça se voyait. Il avait une grosse queue et on voyait bien sa position avec ses couilles sous le tissus de son pantalon. C'était joli à voir mais un peu stimulant, aussi je préférais éviter de trop regarder.
Rocco lui arborait simplement toujours la même bosse, bien ferme, bien visible mais comment je vous le disais, c'est pas pour rien qu'on l'avait surnommé Rocco justement.
Rapidement l'ambiance se détendait. Un petit apéro de rien du tout, et hop. Je basculais dans une légère ivresse. C'était le ver de trop.
On a bien mangé, et on commençait vraiment à avoir faim. Sammy et le patron du bar se connaissaient, il nous avait installé dans un petit salon un peu en retrait du reste de la salle. Nous ne remarquions même pas que la salle avait été nettoyée après le départ des derniers clients. En fait les derniers, c'étaient nous.
Sammy se retournait vers Thierry.
– Toi qui a l'air de t'ennuyer tu vas te rendre utile.
– Et je fais quoi ? Demandait Thierry.
A ce moment le cuisinier du restaurant arrivait, il s'était changé.
– Et bien tu vas donner un petit plaisir à notre cuisinier, ce sera une manière de le remercier d'avoir préparé ce merveilleux repas.
Thierry restait sans réagir pendant quelques instant, il ne s'y attendait pas. Le cuisinier ouvrait lentement son pantalon et le baissait sur ses genoux. Il était lui aussi bien gaulé.
Je me demandais si en fait, ceux qui ont une grosse queue ne se concertaient pas pour former comme un club.
Le cuisinier venait se placer juste devant Thierry, et lui lançait.
– Allez, montre moi ce que tu sais faire.
Thierry ne le faisait pas répéter, il se penchait sur la queue du cuisto. Il la caressait doucement et l'admirait, elle était belle et en prenant du volume elle devenait vraiment énorme. Il était encore plus gros que Rocco. Je ne vous dis pas mais ma queue protestait instantanément.
Sans rien dire, et surtout sans réclamer ( ça c'était interdit ), je regardait mes camarades qui se caressaient l'entre jambe. Le patron du restau lui aussi se caressait les couilles.
Thierry était juste à côté de moi et j'étais aux première loges pour ce qui est du spectacle. Thierry savait faire, je l'avais déjà vu à l’œuvre. C'est sans difficulté qu'il avalait la queue du cuisto. Celui-ci avait même l'air surpris, agréablement surpris mais surpris.
– Tu fais ça bien toi ! Lui disait-il.
Thierry, encouragé semblait redoubler d’efforts. Le cuisinier lui appuyait sur la tête et Thierry encaissait, rapidement son visage s'écrasait sur le ventre de son client, son nez s'enfonçait bien à fond dans le ventre du cuisinier.
D'ailleurs je me demandais si c'était à cause de cela qu'il ne pouvait plus respirer, plus qu'à cause du gros truc qu'il avait dans la gorge.
Je bavais d'envie, je me serais bien pris cette bite dans le cul. Je ne devais pas réclamer, et de toutes façon je n'aurai droit à rien. C'est ce qui était prévu, c'était la règle que j'avais proposé. J'aurais mieux fait de me casser la jambe le jour ou j'avais eu cette idée stupide. Sur le coup ça m'avait paru une bonne idée. C'était censé créer un manque, une frustration et je vous jure que là, ça marchait très bien.
Thierry reculait son visage, le cuisto le laissait faire, sa queue ressortait et il respirait fort. Il ne cachait pas son plaisir. Au début il ne faisait rien ou presque puis il se lâchait. Il appuyait alors avec force sur l'arrière de la tête de Thierry, puis avec une certaine violence et en même temps il donnait des coups de bassin bien décidés.
Thierry ne résistait pas, il laissait faire, il restait seulement concentré avec une seule idée en tête. Faire plaisir au cuisinier, et à voir le visage ravis de celui-ci, ça marchait bien.
Les coups de bassin contre le visage de Thierry se répétaient avec régularité, de plus en plus vite. De temps en temps il faisait une pause, il ne bougeait plus et laissait juste son gland dans la bouche de Thierry. À d'autres moments il gardait le visage de Thierry bien écrasé contre son ventre et sa queue bien plantée dans la gorge de Thierry. Il ne lâchait alors que quand ce dernier manifestait qu'il étouffait.
C'était rassurant, au moins il ne voulait pas le tuer mais juste abuser de lui. On aurait pu imaginer de mauvaises intentions.
Pendant je ne sais combien de temps, le cuisto lui limait la bouche, le baisait littéralement par la bouche. Thierry faisait des bruits bizarres, il pleurait aussi mais ça devait être l'effort. Il n'avait aucune raison d'être triste. Depuis deux jours deux fous furieux abusait de lui sans lui donner de plaisir donc tout allait bien !
J'ai comme un doute sur la dernière phrase que je viens d'écrire là …
Enfin bref. Tout ça pour dire que moi aussi j'aurais bien aimé que quelqu'un abuse un peu moi. Car il ne faudrait pas l'oublier, j'étais toujours là quand il y en avait un qui jouissait, j'étais toujours là quand il y en avait un qui se faisait sucer, j'étais toujours là quand il y en avait un qui défonçait un cul ou se faisait défoncer le cul mais … Je n'avais pas le droit de toucher et personne ne me touchait !
Le jeu de la frustration que j'avais imaginé était devenu un piège dans lequel je m'engluais. Et franchement, je commençais à ne plus aimer du tout. Ma queue protestait encore une fois, c'est tout ce qu'elle pouvait faire. Protester sans espoir. Protester et me laisser dans une situation de frustration.
Le cuisinier s'agitait plus vite, puis plus vite encore, son ventre s'écrasait sur le nez de Thierry, s'éloignait puis revenait encore plus fort. Thierry arrivait toujours à respirer donc tout allait bien. Il faisait du bruit avec sa bouche, il faisait un bruit bizarre. Puis c'est le cuisinier qui à son tour faisait des bruits bizarres. Des gémissements de plaisir. Là au moins on pouvait identifier le bruit que c'était.
Il continuait à limer la bouche de mon pote Thierry, c'est là que je voyais couler un liquide blanc et épais de sa bouche. En même temps le cuisinier faisait un large sourire satisfait et poussait un gémissement de plaisir, un long gémissement de plaisir …
Quand il se retirait, sa queue commençait à se ramollir mais restait superbe, dégoulinant de salive et de sperme. Des gouttes de sperme coulaient toujours sur la commissure des lèvres de Thierry. Et le cuisto affichait un air heureux.
Il ne fallait que quelques secondes pour le patron du restaurant prenait la place de son chef, et quelques secondes supplémentaires pour que sa queue se retrouve dans la bouche de mon pote Thierry.
Il fatiguait le pauvre Thierry, il fatiguait mais on ne lui demandait rien, et surtout pas son avis. Le boss prenait la tête de Thierry entre ses mains, la tenait fermement et la tirait vers lui. Il bandait et sa queue entrait direct bien au fond de la gorge de Thierry.
Le pauvre pleurait, il ne tentait pas de se dégager, il m'avait dit qu'il aimait sucer et qu'il y prenait un vrai plaisir. J'avais quand même un léger doute à ce moment précis, il avait salle mine, il pleurait, on aurait dit qu'il avait un coquard, deux même peut être.
Il bavait et la queue du patron du restau glissait avec facilité dans la gorge de Thierry. Il ne semblait pas vraiment apprécier le pauvre Thierry mais il continuait sans se plaindre. Et il devait faire ça bien si on en croyait la tête du boss.
Il finissait pas s'énerver le boss et tirait la tête de Thierry avec violence, il enfonçait sa queue bien à fond, il repoussait Thierry et recommençait de plus en plus vite. De nouveau Thierry faisait des bruits bizarres et le boss gémissait de plaisir, il criait et finalement il hurlait de plaisir.
Thierry laissait couler une grosse dose de sperme de sa bouche, là, il n'avalait pas. Là il était rassasié, il n'en pouvait plus, mais il s'était engagé dans cette aventure, ce défit et il tenait le coup. Je suis sûr que si Rocco et Sammy s'étaient présentés, il les aurait sucé, même s'il lui aurait fallu se déboîter la mâchoire.
Le patron du restau se retirait et Thierry toussait et crachait. J'avais regardé la scène de près, j'étais juste à côté de Thierry mais personne ne m'avait touché. Ma queue protestait comme jamais, elle me faisait mal mais je ne laissait rien paraître.
J'étais en manque, à chaque seconde de plus j'étais en manque un peu plus. Et je prenais conscience qu'il restait encore presque toute la semaine.
Je ne vous dirais pas que Thierry à pris du plaisir, on ne peut pas jouir en suçant une queue, et encore moins deux quand ça se passe dans ces conditions. Thierry avait mal à la mâchoire, j'avais mal à la queue. Remarquez il avait peut être mal aux deux ?
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La matinée qu'on nous réservait était tranquille. On prenait le petit déjeuner Thierry et moi le préparions. Rocco ne perdait pas le nord, et il en profitait pour se faire servir.
Avec son pote Sammy ils s'installaient confortablement à la table du salon, les jambes bien allongées sous la table et la queue victorieuse. C'est peut être pour ça que Thierry et moi ne parvenions pas vraiment à garder notre calme.
Ma queue comme la sienne réagissait à les voir bouger avec tant de tranquillité, à voir leurs grosses queues se balancer. Nous avions tous les deux une érection particulièrement violente, elle était confinée et c'est peut ça qui donnait cette sensation de violence dans nos cages.
On jouait au jeu de la soumission, pas comme je l'avais prévu mais on jouait. Ils prenaient leur petit déjeuner dans le salon et nous on buvait notre café dans la cuisine. J'étais dégoûté !
Ils ont discuté longuement à table puis nos ont appelé pour les habillé. En fait c'était pour que Thierry les habille, moi j'étais toujours interdit de câlin, j'étais même interdit de contact tactile. Je ne devais pas toucher de la peau, caresser de la peau. Je vous jure qu'à ce moment, j'avais la haine. Mais c'est moi qui avait imaginé les règles, que pouvais-je dire ?
J'ai vraiment des idées à la con quand je m'y mets moi !
Le reste de la journée se passait d'une manière tout à fait normal. On faisait du tourisme, on faisait visiter la région à Thierry. Personne ne pouvait deviner l'enfer que nous vivions. Bon là je parle pour moi. D'accord je ne peut rien dire mais parce que l'idée est de moi mais j'ai quand même le droit de dire que j'ai des idées à la con … et que c'est l'enfer.
On faisait aussi du lèche vitrine, on se prélassait à la terrasse des cafés. Attention on n'était pas des soumis. Ni Thierry ni moi n'étions au service de nos deux hôtes. On n'était pas leurs esclaves.
Rocco et Sammy nous ont laissé presque toute la journée. On était en extérieur, on serait bien obligé de nous tenir correctement. Le soir on se retrouvait tous les quatre chez Rocco. Sammy nous invitait dans un restau qu'il connaissait bien.
Il avait réservé assez tard, je ne trouvais pas ça très pratique surtout que quand dix heures sonnaient, on commençait tous à avoir faim. Je me sentais soulagé quand on arrivait.
On avait attendu en prenant un petit apéro dans un bar, puis dans un autre, puis dans un autre et là je ne sais plus exactement combien de bars on avait fait ! J'avais faim et j'étais un peu ivre, mon copain Thierry était dans le même état.
Ma queue restait calme,par moment je flashais sur le cul d'un mec ou sur son entre-jambe et elle se manifestait mais ça ne durait pas. De toutes façons, rien ne paraissait, Thierry ne me cachait pas qu'il était lui aussi dans cet état mais pour lui non plus rien ne paraissait.
Sammy faisait du free-balling et ça se voyait. Il avait une grosse queue et on voyait bien sa position avec ses couilles sous le tissus de son pantalon. C'était joli à voir mais un peu stimulant, aussi je préférais éviter de trop regarder.
Rocco lui arborait simplement toujours la même bosse, bien ferme, bien visible mais comment je vous le disais, c'est pas pour rien qu'on l'avait surnommé Rocco justement.
Rapidement l'ambiance se détendait. Un petit apéro de rien du tout, et hop. Je basculais dans une légère ivresse. C'était le ver de trop.
On a bien mangé, et on commençait vraiment à avoir faim. Sammy et le patron du bar se connaissaient, il nous avait installé dans un petit salon un peu en retrait du reste de la salle. Nous ne remarquions même pas que la salle avait été nettoyée après le départ des derniers clients. En fait les derniers, c'étaient nous.
Sammy se retournait vers Thierry.
– Toi qui a l'air de t'ennuyer tu vas te rendre utile.
– Et je fais quoi ? Demandait Thierry.
A ce moment le cuisinier du restaurant arrivait, il s'était changé.
– Et bien tu vas donner un petit plaisir à notre cuisinier, ce sera une manière de le remercier d'avoir préparé ce merveilleux repas.
Thierry restait sans réagir pendant quelques instant, il ne s'y attendait pas. Le cuisinier ouvrait lentement son pantalon et le baissait sur ses genoux. Il était lui aussi bien gaulé.
Je me demandais si en fait, ceux qui ont une grosse queue ne se concertaient pas pour former comme un club.
Le cuisinier venait se placer juste devant Thierry, et lui lançait.
– Allez, montre moi ce que tu sais faire.
Thierry ne le faisait pas répéter, il se penchait sur la queue du cuisto. Il la caressait doucement et l'admirait, elle était belle et en prenant du volume elle devenait vraiment énorme. Il était encore plus gros que Rocco. Je ne vous dis pas mais ma queue protestait instantanément.
Sans rien dire, et surtout sans réclamer ( ça c'était interdit ), je regardait mes camarades qui se caressaient l'entre jambe. Le patron du restau lui aussi se caressait les couilles.
Thierry était juste à côté de moi et j'étais aux première loges pour ce qui est du spectacle. Thierry savait faire, je l'avais déjà vu à l’œuvre. C'est sans difficulté qu'il avalait la queue du cuisto. Celui-ci avait même l'air surpris, agréablement surpris mais surpris.
– Tu fais ça bien toi ! Lui disait-il.
Thierry, encouragé semblait redoubler d’efforts. Le cuisinier lui appuyait sur la tête et Thierry encaissait, rapidement son visage s'écrasait sur le ventre de son client, son nez s'enfonçait bien à fond dans le ventre du cuisinier.
D'ailleurs je me demandais si c'était à cause de cela qu'il ne pouvait plus respirer, plus qu'à cause du gros truc qu'il avait dans la gorge.
Je bavais d'envie, je me serais bien pris cette bite dans le cul. Je ne devais pas réclamer, et de toutes façon je n'aurai droit à rien. C'est ce qui était prévu, c'était la règle que j'avais proposé. J'aurais mieux fait de me casser la jambe le jour ou j'avais eu cette idée stupide. Sur le coup ça m'avait paru une bonne idée. C'était censé créer un manque, une frustration et je vous jure que là, ça marchait très bien.
Thierry reculait son visage, le cuisto le laissait faire, sa queue ressortait et il respirait fort. Il ne cachait pas son plaisir. Au début il ne faisait rien ou presque puis il se lâchait. Il appuyait alors avec force sur l'arrière de la tête de Thierry, puis avec une certaine violence et en même temps il donnait des coups de bassin bien décidés.
Thierry ne résistait pas, il laissait faire, il restait seulement concentré avec une seule idée en tête. Faire plaisir au cuisinier, et à voir le visage ravis de celui-ci, ça marchait bien.
Les coups de bassin contre le visage de Thierry se répétaient avec régularité, de plus en plus vite. De temps en temps il faisait une pause, il ne bougeait plus et laissait juste son gland dans la bouche de Thierry. À d'autres moments il gardait le visage de Thierry bien écrasé contre son ventre et sa queue bien plantée dans la gorge de Thierry. Il ne lâchait alors que quand ce dernier manifestait qu'il étouffait.
C'était rassurant, au moins il ne voulait pas le tuer mais juste abuser de lui. On aurait pu imaginer de mauvaises intentions.
Pendant je ne sais combien de temps, le cuisto lui limait la bouche, le baisait littéralement par la bouche. Thierry faisait des bruits bizarres, il pleurait aussi mais ça devait être l'effort. Il n'avait aucune raison d'être triste. Depuis deux jours deux fous furieux abusait de lui sans lui donner de plaisir donc tout allait bien !
J'ai comme un doute sur la dernière phrase que je viens d'écrire là …
Enfin bref. Tout ça pour dire que moi aussi j'aurais bien aimé que quelqu'un abuse un peu moi. Car il ne faudrait pas l'oublier, j'étais toujours là quand il y en avait un qui jouissait, j'étais toujours là quand il y en avait un qui se faisait sucer, j'étais toujours là quand il y en avait un qui défonçait un cul ou se faisait défoncer le cul mais … Je n'avais pas le droit de toucher et personne ne me touchait !
Le jeu de la frustration que j'avais imaginé était devenu un piège dans lequel je m'engluais. Et franchement, je commençais à ne plus aimer du tout. Ma queue protestait encore une fois, c'est tout ce qu'elle pouvait faire. Protester sans espoir. Protester et me laisser dans une situation de frustration.
Le cuisinier s'agitait plus vite, puis plus vite encore, son ventre s'écrasait sur le nez de Thierry, s'éloignait puis revenait encore plus fort. Thierry arrivait toujours à respirer donc tout allait bien. Il faisait du bruit avec sa bouche, il faisait un bruit bizarre. Puis c'est le cuisinier qui à son tour faisait des bruits bizarres. Des gémissements de plaisir. Là au moins on pouvait identifier le bruit que c'était.
Il continuait à limer la bouche de mon pote Thierry, c'est là que je voyais couler un liquide blanc et épais de sa bouche. En même temps le cuisinier faisait un large sourire satisfait et poussait un gémissement de plaisir, un long gémissement de plaisir …
Quand il se retirait, sa queue commençait à se ramollir mais restait superbe, dégoulinant de salive et de sperme. Des gouttes de sperme coulaient toujours sur la commissure des lèvres de Thierry. Et le cuisto affichait un air heureux.
Il ne fallait que quelques secondes pour le patron du restaurant prenait la place de son chef, et quelques secondes supplémentaires pour que sa queue se retrouve dans la bouche de mon pote Thierry.
Il fatiguait le pauvre Thierry, il fatiguait mais on ne lui demandait rien, et surtout pas son avis. Le boss prenait la tête de Thierry entre ses mains, la tenait fermement et la tirait vers lui. Il bandait et sa queue entrait direct bien au fond de la gorge de Thierry.
Le pauvre pleurait, il ne tentait pas de se dégager, il m'avait dit qu'il aimait sucer et qu'il y prenait un vrai plaisir. J'avais quand même un léger doute à ce moment précis, il avait salle mine, il pleurait, on aurait dit qu'il avait un coquard, deux même peut être.
Il bavait et la queue du patron du restau glissait avec facilité dans la gorge de Thierry. Il ne semblait pas vraiment apprécier le pauvre Thierry mais il continuait sans se plaindre. Et il devait faire ça bien si on en croyait la tête du boss.
Il finissait pas s'énerver le boss et tirait la tête de Thierry avec violence, il enfonçait sa queue bien à fond, il repoussait Thierry et recommençait de plus en plus vite. De nouveau Thierry faisait des bruits bizarres et le boss gémissait de plaisir, il criait et finalement il hurlait de plaisir.
Thierry laissait couler une grosse dose de sperme de sa bouche, là, il n'avalait pas. Là il était rassasié, il n'en pouvait plus, mais il s'était engagé dans cette aventure, ce défit et il tenait le coup. Je suis sûr que si Rocco et Sammy s'étaient présentés, il les aurait sucé, même s'il lui aurait fallu se déboîter la mâchoire.
Le patron du restau se retirait et Thierry toussait et crachait. J'avais regardé la scène de près, j'étais juste à côté de Thierry mais personne ne m'avait touché. Ma queue protestait comme jamais, elle me faisait mal mais je ne laissait rien paraître.
J'étais en manque, à chaque seconde de plus j'étais en manque un peu plus. Et je prenais conscience qu'il restait encore presque toute la semaine.
Je ne vous dirais pas que Thierry à pris du plaisir, on ne peut pas jouir en suçant une queue, et encore moins deux quand ça se passe dans ces conditions. Thierry avait mal à la mâchoire, j'avais mal à la queue. Remarquez il avait peut être mal aux deux ?
A suivre
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