De puceau à lope 3
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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De puceau à lope 3
Il est temps que l’on s’appelle par nos prénoms. Toi je sais c’est Éric et lui c’est Serge, moi c’est Gaël. Les rôles changent peu. Éric reste une chienne qui va s’habiller mais toujours sans slip. Serge et moi on se rhabille et on va tous dans la maison que m’a laissé mon père.
Le trajet n’était pas long il y avait un bus et le temps qu’il arrive Gael devant moi avait déboutonné ma braguette et fourrageait mon entrejambe, tirant sur le prépuce à fond. Serge de côté matait et a ri en m’entendant couiner de douleur. Le bus arrivé je n’ai pas eu le temps de la refermer mais il n’y avait pas grand monde. La ligne passait dans un quartier chic oui on est tous descendus. Un peu de marche et on arrivait. La maison n’était pas grande mais le jardin était vaste. Une fois le portail refermé Serge m’a regardé. Quand tu es ici t’es nu ! Tu as un petit appentis ou tu déposes tes fringues que tu prends quand tu dois sortir. Aller obéis. Je t’ai acheté au black et tu n’es plus qu’à la disposition de mes vices.
En entendant ses mots j’ai eu la trique de ma vie, bien visible nu avec le peu de poils.
-Suis nous on va aller directement dans la cave par l’extérieur.
Un escalier descendait les quelques marches et il a ouvert le verrou. Une fois allumé, toute une partie était un vaste donjon. Au mur, accroché divers objets me rendait fou à voir. Tu vas attendre là. Tends les bras je vais fixer des menottes en cuir. Aide-moi Serge et fait de même à l’autre poignet.
Une fois fait, ils ont relié les poignets à une chaine qui me permettait de faire le tour de la pièce mais pas de toucher aux objets. On te laisse admirer ma collection, enfin, une partie. Ils sont sortis par une autre porte et sans doute montés à l’étage. Mes yeux allaient vers les objets connus ou non de différentes tailles et certain calibre. D’autres dont j’ignorais l’usage m’intriguaient. Tous étaient affolant ou m’affolaient sans me faire débander.
J’entendais des bruits venant du haut et des cris mais étouffés par le sol entre l’étage et moi. Enfin le silence interrompu par des bruits de verres frappés. Ils devaient boire. Moi j’avais avalé pas mal de sperme et j’avais encore le goût dans la bouche. Enfin il y a eu du bruit dans l’escalier, Gael est entré un collier de cuir noir au cou. Il avait une chaînette tendue sur son ventre, reliée à son sac de couilles, ça m’a fait drôle puis je me suis rappelé qu’il avait dit être recto verso comme Serge.
-Tu as eu le temps de voir ma collection perso ? Tu bandes toujours ? T’es plus qu’une lopette, Un vrai clébard. On va te passer une cagoule en latex tu ne verras plus rien mais nous on verra tout.
La tête a eu du mal à passer mais je ne voyais pas du tout de lumière. J’ai senti en même temps le cliquetis d’une chaîne et l’anneau passer en force autour de mes couilles, puis d’un coup un poids qui devait être attaché à l’anneau a chu entre les cuisses me faisant crier de surprise. Arrêté au niveau des mollets, ils m’ont fait bouger, le poids me cognait mais tirait surtout sur mon sac. Une main s’est posée sur ma bite dressée et une voix (pas celle de mon maître) a déclaré que j’allais être branlé tout en étant enculé. La main s’est retirée quand j’ai été pris par derrière et j’ai senti un objet curieux se refermer sur la tige de la bite, au ras du gland. J’ai surtout senti des picots en latex entourer ma queue et ce manchon a secoué ma queue. Ne pouvant qu’à peine bouger, maintenu par la queue dans mes fesses. Ce truc me rendait dingue, tout à la fois irritant et excitant. Douloureux mais aussi donnant des frissons à chaque mouvement.
Je ne savais plus mais j’étais dans l’état entre le plaisir et la douleur où on ne se connaît plus. Derrière j’étais superbement enculé et devant, branlé avec douleur et excitation. J’ai joui, secoué de tout le corps. Sans voir ou je giclais. La main n’a cessé qu’une fois la tige dans le cul dégorgée de jus en moi. Un d’eux a appuyé sur ma tête et je me suis mis à genoux et l’odeur d’une bite, propre mais qui mouille m’a guidé sur le gland que j’ai sucé jusqu’à avoir la moëlle.
Ils m’ont relevé et ôté la cagoule. Surpris j’ai découvert un autre mec nu qui se marrait. Attaché à une croix. Un drôle de collier lui fermait la bouche
Gael m’a fixé, Je ne peux pas tous vous héberger mais toi tu restes, Luc aussi mais Serge va repartir et revenir nous voir pour son plaisir et le nôtre. Luc, monte à la cuisine nous préparer un reconstituant on va boire un verre au salon avec Serge avant qu’il parte. Tu nous rejoindras quand tu auras mis la bouffe en route.
Au salon un fauteuil et une chaise. Ils se sont assis et Serge m’a fait signe de se mettre allongé sur ses cuisses, fesses en l’air. Tu n’as pas pu te retenir de jouir tu mérites une bonne fessée. Vingt coups je pense. Trente a dit Gael.
Serge n’a pas attendu et a commencé à frapper mes fesses, un coup d’un côté un coup de l’autre. Au début c’est amusant mais ça devient vite cuisant et j’ai gigoté des jambes, bandant en même temps. Nus tous les deux j’ai senti que Serge aussi réagissait. A la fin j’avais les fesses rougies mais on bandait tous les deux !
Gael qui se branlait à côté avait les yeux fixés sur mes fesses et surement mon anus bien visible sans ses poils.
Assieds-toi à l’envers sur la chaise et tend tes fesses. Cambre-toi que je t’encule d’un coup !
Assis j’avais les couilles posées sur la paille de la chaise et je n’ai pu retenir un cri malgré tout ce que mon cul avait subi. Gael a joué un moment en aller-retour juste dans l’entrée de mon cul, ne prévenant pas quand il donnait un coup de rein au fond. J’ai joui sur la chaise, la paille frottait mes boules. Gael ne s’est pas arrêté pour ça labourant mon cul.
J’ai compris peu après en tordant le cou que Luc derrière lui prenait son plaisir dans les fesses de Gael. Serge lui était parti. Gael a eu un spasme dans mes fesses et s’est décollé de moi.
On mange car Luc a du tout préparer et on descend à la cave. Toi tu t’assois sur la chaise ou tu as joui. Je n’ai pas posé de questions et j’ai mangé de bon appétit. Je suis allé faire la vaisselle et au retour Gael m’a menotté les mains dans le dos avant de se baisser et voyant que je ne bandais pas a fait passer un anneau assez large autour de mes couilles puis poussant et pressant a fait passer le gland dans l’anneau, tirant sur la peau du prépuce. Là j’ai vu ce qu’il tenait dans les mains. Une sorte de bite grillagée avec un tube qu’il a inséré dans le trou de ma bite engageant le grillage creux sur ma queue. Il a bloqué le système par une mini serrure à clé. Il a eu un sourire. Tu ne jouiras pas facilement. Venez, on descend.
Je n’avais pas l’air fier avec pour seul appareil ma queue emprisonnée et mes couilles qui frottaient entre mes cuisses. Le mec était toujours là attaché sur la croix avec ce collier étrange qui retenait un gode dans sa bouche. De plus près le gode était fait de boules de différentes tailles. Lui était nu et bandait comme un fou en nous voyant. Surtout en regardant mon sexe en cage. Sur son gland une goutte perlait. Gael l’a à peine touché que son sexe a sursauté. Tu voudrais jouir chienne ?
-Hon Hon.
On va te détacher mais tu te rappelles les pointes dans le collier, alors obéis.
Une fois les attaches ôtées il m’a fixé, montrant sa bite. J’ai compris qu’il était fou d’envie et je me suis accroupi pour le soulager ce qu’il a apprécié, tendant sa tige raide au maximum.
Le mec s’est précipité sur moi bite en avant vers mes fesses mais le collier l’a retenu d’un coup sec.
Tu n’as pas besoin de ta bite pour jouir bâtard. Sers-toi du gode serré par ta mâchoire.
Plus docile mais bandant quand même il a fixé ma rondelle et engagé le gode dans mes fesses. La première boule était petite mais les suivantes en plus en plus grosses et j’ai couiné mais je ne sais lequel a mis entre mes lèvres, derrière mes dents un anneau attaché dans le cou et m’a baisé la bouche. M’empêchant de couiner. Dans mes fesses je ne sais pas ou il en était mais il me ramonait l’anus et je sentais ses lèvres entre mes fesses. C’est dans cet état que ma queue emprisonnée a eu un petit spasme puis d’autres ont suivis. J’ai réalisé que je jouissais. Le mec dans mes fesses s’est retiré pour se branler et j’ai eu une dose de sperme dans la bouche, vite avalée.
Bâtard retourne à ta place tu pourras jouir attaché. J’ai senti un vide quand il s’est retiré et j’ai pu me relever après avoir léché mon sperme sur le sol.
En me relevant j’ai vu Gael tout sourire,
Tu as donné l’impression d’aimer, tu as laissé des traces. On remonte voir Luc. Mais je vais ôter au moins la cage en laissant l’anneau. Aller grimpe Serge s’occupera du bâtard.
Luc nous a non seulement vus mais sentis. Filez à la douche vous puez le cul et le sperme.
A la douche j’ai découvert en nous savonnant que Gael était très souple aussi de l’anus. Il a eu un sourire quand j’ai passé les doigts entre ses fesses.
Je t’ai averti je suis recto-verso, sado maso mais pas extrême.
Et tu me classes comment après ce qui vient de se passer ?
Disons que tu es maso léger, car se faire enculer et jouir sans se toucher avec une cage c’est pas mal. On verra cette nuit si tu supportes plus.
Le trajet n’était pas long il y avait un bus et le temps qu’il arrive Gael devant moi avait déboutonné ma braguette et fourrageait mon entrejambe, tirant sur le prépuce à fond. Serge de côté matait et a ri en m’entendant couiner de douleur. Le bus arrivé je n’ai pas eu le temps de la refermer mais il n’y avait pas grand monde. La ligne passait dans un quartier chic oui on est tous descendus. Un peu de marche et on arrivait. La maison n’était pas grande mais le jardin était vaste. Une fois le portail refermé Serge m’a regardé. Quand tu es ici t’es nu ! Tu as un petit appentis ou tu déposes tes fringues que tu prends quand tu dois sortir. Aller obéis. Je t’ai acheté au black et tu n’es plus qu’à la disposition de mes vices.
En entendant ses mots j’ai eu la trique de ma vie, bien visible nu avec le peu de poils.
-Suis nous on va aller directement dans la cave par l’extérieur.
Un escalier descendait les quelques marches et il a ouvert le verrou. Une fois allumé, toute une partie était un vaste donjon. Au mur, accroché divers objets me rendait fou à voir. Tu vas attendre là. Tends les bras je vais fixer des menottes en cuir. Aide-moi Serge et fait de même à l’autre poignet.
Une fois fait, ils ont relié les poignets à une chaine qui me permettait de faire le tour de la pièce mais pas de toucher aux objets. On te laisse admirer ma collection, enfin, une partie. Ils sont sortis par une autre porte et sans doute montés à l’étage. Mes yeux allaient vers les objets connus ou non de différentes tailles et certain calibre. D’autres dont j’ignorais l’usage m’intriguaient. Tous étaient affolant ou m’affolaient sans me faire débander.
J’entendais des bruits venant du haut et des cris mais étouffés par le sol entre l’étage et moi. Enfin le silence interrompu par des bruits de verres frappés. Ils devaient boire. Moi j’avais avalé pas mal de sperme et j’avais encore le goût dans la bouche. Enfin il y a eu du bruit dans l’escalier, Gael est entré un collier de cuir noir au cou. Il avait une chaînette tendue sur son ventre, reliée à son sac de couilles, ça m’a fait drôle puis je me suis rappelé qu’il avait dit être recto verso comme Serge.
-Tu as eu le temps de voir ma collection perso ? Tu bandes toujours ? T’es plus qu’une lopette, Un vrai clébard. On va te passer une cagoule en latex tu ne verras plus rien mais nous on verra tout.
La tête a eu du mal à passer mais je ne voyais pas du tout de lumière. J’ai senti en même temps le cliquetis d’une chaîne et l’anneau passer en force autour de mes couilles, puis d’un coup un poids qui devait être attaché à l’anneau a chu entre les cuisses me faisant crier de surprise. Arrêté au niveau des mollets, ils m’ont fait bouger, le poids me cognait mais tirait surtout sur mon sac. Une main s’est posée sur ma bite dressée et une voix (pas celle de mon maître) a déclaré que j’allais être branlé tout en étant enculé. La main s’est retirée quand j’ai été pris par derrière et j’ai senti un objet curieux se refermer sur la tige de la bite, au ras du gland. J’ai surtout senti des picots en latex entourer ma queue et ce manchon a secoué ma queue. Ne pouvant qu’à peine bouger, maintenu par la queue dans mes fesses. Ce truc me rendait dingue, tout à la fois irritant et excitant. Douloureux mais aussi donnant des frissons à chaque mouvement.
Je ne savais plus mais j’étais dans l’état entre le plaisir et la douleur où on ne se connaît plus. Derrière j’étais superbement enculé et devant, branlé avec douleur et excitation. J’ai joui, secoué de tout le corps. Sans voir ou je giclais. La main n’a cessé qu’une fois la tige dans le cul dégorgée de jus en moi. Un d’eux a appuyé sur ma tête et je me suis mis à genoux et l’odeur d’une bite, propre mais qui mouille m’a guidé sur le gland que j’ai sucé jusqu’à avoir la moëlle.
Ils m’ont relevé et ôté la cagoule. Surpris j’ai découvert un autre mec nu qui se marrait. Attaché à une croix. Un drôle de collier lui fermait la bouche
Gael m’a fixé, Je ne peux pas tous vous héberger mais toi tu restes, Luc aussi mais Serge va repartir et revenir nous voir pour son plaisir et le nôtre. Luc, monte à la cuisine nous préparer un reconstituant on va boire un verre au salon avec Serge avant qu’il parte. Tu nous rejoindras quand tu auras mis la bouffe en route.
Au salon un fauteuil et une chaise. Ils se sont assis et Serge m’a fait signe de se mettre allongé sur ses cuisses, fesses en l’air. Tu n’as pas pu te retenir de jouir tu mérites une bonne fessée. Vingt coups je pense. Trente a dit Gael.
Serge n’a pas attendu et a commencé à frapper mes fesses, un coup d’un côté un coup de l’autre. Au début c’est amusant mais ça devient vite cuisant et j’ai gigoté des jambes, bandant en même temps. Nus tous les deux j’ai senti que Serge aussi réagissait. A la fin j’avais les fesses rougies mais on bandait tous les deux !
Gael qui se branlait à côté avait les yeux fixés sur mes fesses et surement mon anus bien visible sans ses poils.
Assieds-toi à l’envers sur la chaise et tend tes fesses. Cambre-toi que je t’encule d’un coup !
Assis j’avais les couilles posées sur la paille de la chaise et je n’ai pu retenir un cri malgré tout ce que mon cul avait subi. Gael a joué un moment en aller-retour juste dans l’entrée de mon cul, ne prévenant pas quand il donnait un coup de rein au fond. J’ai joui sur la chaise, la paille frottait mes boules. Gael ne s’est pas arrêté pour ça labourant mon cul.
J’ai compris peu après en tordant le cou que Luc derrière lui prenait son plaisir dans les fesses de Gael. Serge lui était parti. Gael a eu un spasme dans mes fesses et s’est décollé de moi.
On mange car Luc a du tout préparer et on descend à la cave. Toi tu t’assois sur la chaise ou tu as joui. Je n’ai pas posé de questions et j’ai mangé de bon appétit. Je suis allé faire la vaisselle et au retour Gael m’a menotté les mains dans le dos avant de se baisser et voyant que je ne bandais pas a fait passer un anneau assez large autour de mes couilles puis poussant et pressant a fait passer le gland dans l’anneau, tirant sur la peau du prépuce. Là j’ai vu ce qu’il tenait dans les mains. Une sorte de bite grillagée avec un tube qu’il a inséré dans le trou de ma bite engageant le grillage creux sur ma queue. Il a bloqué le système par une mini serrure à clé. Il a eu un sourire. Tu ne jouiras pas facilement. Venez, on descend.
Je n’avais pas l’air fier avec pour seul appareil ma queue emprisonnée et mes couilles qui frottaient entre mes cuisses. Le mec était toujours là attaché sur la croix avec ce collier étrange qui retenait un gode dans sa bouche. De plus près le gode était fait de boules de différentes tailles. Lui était nu et bandait comme un fou en nous voyant. Surtout en regardant mon sexe en cage. Sur son gland une goutte perlait. Gael l’a à peine touché que son sexe a sursauté. Tu voudrais jouir chienne ?
-Hon Hon.
On va te détacher mais tu te rappelles les pointes dans le collier, alors obéis.
Une fois les attaches ôtées il m’a fixé, montrant sa bite. J’ai compris qu’il était fou d’envie et je me suis accroupi pour le soulager ce qu’il a apprécié, tendant sa tige raide au maximum.
Le mec s’est précipité sur moi bite en avant vers mes fesses mais le collier l’a retenu d’un coup sec.
Tu n’as pas besoin de ta bite pour jouir bâtard. Sers-toi du gode serré par ta mâchoire.
Plus docile mais bandant quand même il a fixé ma rondelle et engagé le gode dans mes fesses. La première boule était petite mais les suivantes en plus en plus grosses et j’ai couiné mais je ne sais lequel a mis entre mes lèvres, derrière mes dents un anneau attaché dans le cou et m’a baisé la bouche. M’empêchant de couiner. Dans mes fesses je ne sais pas ou il en était mais il me ramonait l’anus et je sentais ses lèvres entre mes fesses. C’est dans cet état que ma queue emprisonnée a eu un petit spasme puis d’autres ont suivis. J’ai réalisé que je jouissais. Le mec dans mes fesses s’est retiré pour se branler et j’ai eu une dose de sperme dans la bouche, vite avalée.
Bâtard retourne à ta place tu pourras jouir attaché. J’ai senti un vide quand il s’est retiré et j’ai pu me relever après avoir léché mon sperme sur le sol.
En me relevant j’ai vu Gael tout sourire,
Tu as donné l’impression d’aimer, tu as laissé des traces. On remonte voir Luc. Mais je vais ôter au moins la cage en laissant l’anneau. Aller grimpe Serge s’occupera du bâtard.
Luc nous a non seulement vus mais sentis. Filez à la douche vous puez le cul et le sperme.
A la douche j’ai découvert en nous savonnant que Gael était très souple aussi de l’anus. Il a eu un sourire quand j’ai passé les doigts entre ses fesses.
Je t’ai averti je suis recto-verso, sado maso mais pas extrême.
Et tu me classes comment après ce qui vient de se passer ?
Disons que tu es maso léger, car se faire enculer et jouir sans se toucher avec une cage c’est pas mal. On verra cette nuit si tu supportes plus.
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