De puceau à lope
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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De puceau à lope
Je vais d’abord te baiser car en te voyant je n’ai pensé qu’à ça et puis tu pourras dormir. Demain tu taffes à la toupie et moi je ne serais pas là il faut que je règle certaines choses. Notre fric va servir. Tu préviendras tes vieux que tu as un autre chantier plus loin et que tu ne rentreras pas souvent.
Il est resté assis, écartant les cuisses je ne tenais que par sa queue gorgée de sang hors du slip il entrait facile et des doigts il pressait et pinçait mes tétons me faisant frémir. Branle-toi, moi je vais te faire sauter sur ma bite. Retiens-toi tu gicleras en même temps que moi. Mes doigts glissaient sur ma bite qui mouillait d’envie et quand j’ai senti son sexe grossir j’ai giclé devant moi.
-Bien cette fois dodo, allonges toi je fermerais derrière, je passerais tout à l’heure avant les autres te réveiller et te faire manger. Je ferme derrière-moi si tu veux pisser fait ça dans la douche. Tu as une couverture militaire dans le placard.
L’Algeco n’avait que des fenêtres opaques et on sentait le sexe d’homme. Je n’ai pas pensé à mes fringues et me suis allongé sur le lit, le matelas n’était pas épais et sans dormir je rêvais à ce qui venait de se passer. Surtout d’avoir servi sexuellement des mecs inconnus n’en connaissant pas plus que leurs bites avant et après. Je bandais d’y penser mais me branler seul sans le black ou un autre mec m’a paru stupide et je ne me suis que caressé, des tétons au fesses et au cul en passant par la bite. Mon anus était plus sensible mais aussi bâillait en le touchant.
J’ai fini par m’endormir et eu la désagréable impression de ne pas avoir dormi quand il a ouvert la porte. J’ai eu le réflexe de cacher mon sexe avant de sourire. Il me connaissait mieux que moi.
-Va pisser t’es ridicule bandé comme ça !
J’ai dû arroser la cloison avant de débander. Il avait posé un croissant au beurre et s’est servi du gobelet de la thermos pour servir du café.
Habille-toi ils vont arriver, le chef en premier. Moi je te laisse il faut que je retrouve mes contacts et un lieu pour toi. Le café fini tu sors et tu attends avec les autres.
J’ai avalé le croissant en même temps que je m’habillais et bu le café. Je suis sorti. J’étais le premier mais le chef est arrivé et a distribué les taches. Comme prévu j’ai eu la toupie et son tuyau à vider aux endroits désignés. Mine de rien ce n’est pas simple et dur à diriger.
Au klaxon je me suis arrêté et un jeune m’a donné un peu de son sandwich.
-C’est toi la lopette dont ils parlent tous ?
Surement oui j’aime la bite.
-Et tu bosses ici où il n’y a que des mecs ?
Ben c’est le premier taf que je trouve.
-Du côté mâle t’es servi moi je les aime mais dans ton style. Fin et mignon.
Merci t’es cool. T’es baiseur ou baisé ?
-Dépend avec qui. Toi, je pourrais les deux. Mais la pause se fini. On parle après ?
Si tu veux en attendant mon mec. J’ai fait de petits boulots par ci par là jusqu’à la fin de journée. Je suis sorti du chantier mon mec attendait un peu plus loin et le jeune me suivait.
-C’est qui le mec derrière toi ?
Un pote du chantier.
-Gay ?
Oui, recto verso. Il veut voir la marchandise.
-Facile ça. Ouvre ta braguette et sors ton bout !
-Non ce n’est pas ce que je veux mais le voir nu.
- Bon t’as du pot, j’ai trouvé une baraque abandonnée avec une belle cave. J’ai des potes qui vont arriver mais tu pourras le voir avant. Ce n’est pas loin. Il t’a fait flasher ce petit PD ?
-Belle gueule oui mais il faut voir.
On avançait en parlant et il s’est arrêté devant une baraque abandonnée. Entre et va au fond la seule fenêtre ouverte est là. Tu pourras lui montrer tes appâts.
La pièce sentait le moisi mais j’ai assez vite ôté le tee-shirt et descendu mon jean. Glissant sur mes cuisses et sans mon slip resté dans ma poche j’étais nu.
Le jeune a tourné autour de moi. Je bandais, gland recouvert par le prépuce.
Tourne-toi et attrapes tes chevilles avec tes mains. Ecarte les cuisses.
Mignon mais on ne voit pas son anus.
C’est prévu de lui raser les fesses.
Tailler un peu le pubis en pointe ça fera lopette.
Ok mais toi t’es comment.
Plus de poils du tout cul et sexe, j’aime baiser les mecs, leur faire des trucs qui sont douloureux mais sans traces. Il a avancé la main et saisi mes couilles, les pressant.
J’ai eu un petit cri.
Ce genre là mais partout !
Et toi tu aimes la queue comme lui ?
Jeunes et belles oui mais peu poilues. Il a baissé son froc, montré son sexe sans aucuns poils. Je peux vous le laisser pour que vos potes se vident, en sucer et me faire baiser par le genre que j’ai décrit et je m’occuperais de lui après. Seul !
Mais t’es qui en fait.
Le fils de l’entrepreneur et je dois bosser pour tout connaître.
Waouh ! Du beau linge.
-Bof je f ais ce que je veux surtout ! Voilà tes potes qui arrivent.
En effet j’entendais les rires gras de plusieurs mecs. Ils étaient quatre dont un jeune, pas loin de 18ans
où de peu dépassé.
Vous avez pris votre temps.
-C’est la faute du jeune il ne voulait pas venir mais mate la bosse dans son jean ! Il faut qu’il se purge ! T’as pris de l’avance il est déjà nu. Et l’autre c’est qui ?
T’occupe il baise ce qui lui plaît et se fait sauter par celui qui lui plaira. Mais il faut déjà débroussailler la lopette. On est tombé d’accord lui et moi que ses fesses doivent être lisse pour qu’on voit son cul sans poils et une taille de son pubis le fera plus jeune encore.
Ok on va s’en occuper tout de suite. Lopette, allonge-toi sur la table, fesses en l’air. Ouvre bien les cuisses. L’un a sorti une tondeuse à batterie, deux autres ont écartés mes fesses et j’ai senti les vibrations sur ma peau, tout près de l’anus et jusqu’au scrotum et autour. J’ai eu froid quand ils ont mis de la mousse et rasé au rasoir à main vibrant.
Tu as une peau de bébé. Touche-toi.
En effet je ne sentais plus d’obstacle pileux et mon trou à bites devait être visible.
-On l’essaye de suite avant de faire le devant.
Ok mais toi tu y vas ta queue n’est pas énorme ! Juste un coup pour le plaisir, joui vite ne te gêne pas
Le mec n’y a pas mis de manière et a craché sur mon trou pour se glisser dans mon anus Il devait être en manque car il a joui très vite.
-Tourne toi on va faire le devant. Il a maté le mec nouveau. Tu le veux comment ?
-En triangle, bas sur le pubis et rien sur les côtés. Surtout moins touffu que sa queue soit bien visible. J’aime voir bander une chienne quand je la prends par devant.
On devrait se mettre tous à poil avant histoire qu’il sache à quoi s’attendre.
Il y en avait de très belles qui allaient surement me faire crier et un mec curieusement déjà rasé le gland pointé dépassait à peine du prépuce. Vachement bien monté et tronche de minet. J’ai bien remarqué les regards du fils du patron sur lui. Moi je ne voyais que les têtes et de côté les bites, le rasoir à pile taillait dans mes poils, dégrossissant la touffe avant de faire comme le mec demandait.
-Tu veux qu’on voie les couilles ?
-Ouais bonne idée. En plus il sait ce qui l’attend et bande comme une folle. Les couilles ont aussi été tondues puis le rasoir à main a donné les derniers coups pour faire propre.
-Lève-toi et frotte pour faire tomber les petits poils coupés.
Cette fois je les voyais tous en parfait état de marche et j’ai récompensé le raseur en me penchant sur sa tige. J’ai reçu une claque sur les fesses.
Ecarte les, ton trou du cul est fait pour être une chatte. Et ouvre-les à deux mains. J’étais sur le bord de la table bandant comme un fou ou folle comme ils disaient et j’ai senti glisser dans le jus du premier une bite plus grosse et un ventre poilu appuyer pour aller au plus profond. Il m’a ramoné un bon moment. La table pas très large a permis à un autre de me tendre sa queue que j’ai sucé malgré l’odeur de foutre qu’elle dégageait.
Placé comme j’étais j’ai vu le mec totalement imberbe se faire sucer par le fils du patron avant de grogner quand une grosse queue m’a pénétré.
Elle est bien ouverte, tout juste un grognement ! Ma femme gueule pire que lui. Je m’en vais te le ramoner à lui éclater la chatte. Il n’y est pas allé avec douceur mais me tenant par les reins il me bourrait totalement sans pitié ma chatte de mec. Putain t’es une bonne toi. Gueule quand ta bouche est libre.
Pour crier, j’ai crié entre chaque bouffée d’air sans pine dans la bouche. Je ne savais plus trop où j’étais quand il s’est retiré encore giclant. Je ne voyais plus le mec sans poils ni le fils du patron mais je sentais l’air passer entre les lèvres de mon anus. J’ai satisfait les autres de la bouche, mon cul était nase, trop ouvert pour servir et ça leur a plu. J’avais avalé autant de sperme que la dernière fois et le cul défoncé. Il y a eu une discussion entre le black et le fils du patron. Le ton est un peu monté avant qu’il sorte une liasse de billets me laissant nu avec le fils et le mec sans poils.
Il est resté assis, écartant les cuisses je ne tenais que par sa queue gorgée de sang hors du slip il entrait facile et des doigts il pressait et pinçait mes tétons me faisant frémir. Branle-toi, moi je vais te faire sauter sur ma bite. Retiens-toi tu gicleras en même temps que moi. Mes doigts glissaient sur ma bite qui mouillait d’envie et quand j’ai senti son sexe grossir j’ai giclé devant moi.
-Bien cette fois dodo, allonges toi je fermerais derrière, je passerais tout à l’heure avant les autres te réveiller et te faire manger. Je ferme derrière-moi si tu veux pisser fait ça dans la douche. Tu as une couverture militaire dans le placard.
L’Algeco n’avait que des fenêtres opaques et on sentait le sexe d’homme. Je n’ai pas pensé à mes fringues et me suis allongé sur le lit, le matelas n’était pas épais et sans dormir je rêvais à ce qui venait de se passer. Surtout d’avoir servi sexuellement des mecs inconnus n’en connaissant pas plus que leurs bites avant et après. Je bandais d’y penser mais me branler seul sans le black ou un autre mec m’a paru stupide et je ne me suis que caressé, des tétons au fesses et au cul en passant par la bite. Mon anus était plus sensible mais aussi bâillait en le touchant.
J’ai fini par m’endormir et eu la désagréable impression de ne pas avoir dormi quand il a ouvert la porte. J’ai eu le réflexe de cacher mon sexe avant de sourire. Il me connaissait mieux que moi.
-Va pisser t’es ridicule bandé comme ça !
J’ai dû arroser la cloison avant de débander. Il avait posé un croissant au beurre et s’est servi du gobelet de la thermos pour servir du café.
Habille-toi ils vont arriver, le chef en premier. Moi je te laisse il faut que je retrouve mes contacts et un lieu pour toi. Le café fini tu sors et tu attends avec les autres.
J’ai avalé le croissant en même temps que je m’habillais et bu le café. Je suis sorti. J’étais le premier mais le chef est arrivé et a distribué les taches. Comme prévu j’ai eu la toupie et son tuyau à vider aux endroits désignés. Mine de rien ce n’est pas simple et dur à diriger.
Au klaxon je me suis arrêté et un jeune m’a donné un peu de son sandwich.
-C’est toi la lopette dont ils parlent tous ?
Surement oui j’aime la bite.
-Et tu bosses ici où il n’y a que des mecs ?
Ben c’est le premier taf que je trouve.
-Du côté mâle t’es servi moi je les aime mais dans ton style. Fin et mignon.
Merci t’es cool. T’es baiseur ou baisé ?
-Dépend avec qui. Toi, je pourrais les deux. Mais la pause se fini. On parle après ?
Si tu veux en attendant mon mec. J’ai fait de petits boulots par ci par là jusqu’à la fin de journée. Je suis sorti du chantier mon mec attendait un peu plus loin et le jeune me suivait.
-C’est qui le mec derrière toi ?
Un pote du chantier.
-Gay ?
Oui, recto verso. Il veut voir la marchandise.
-Facile ça. Ouvre ta braguette et sors ton bout !
-Non ce n’est pas ce que je veux mais le voir nu.
- Bon t’as du pot, j’ai trouvé une baraque abandonnée avec une belle cave. J’ai des potes qui vont arriver mais tu pourras le voir avant. Ce n’est pas loin. Il t’a fait flasher ce petit PD ?
-Belle gueule oui mais il faut voir.
On avançait en parlant et il s’est arrêté devant une baraque abandonnée. Entre et va au fond la seule fenêtre ouverte est là. Tu pourras lui montrer tes appâts.
La pièce sentait le moisi mais j’ai assez vite ôté le tee-shirt et descendu mon jean. Glissant sur mes cuisses et sans mon slip resté dans ma poche j’étais nu.
Le jeune a tourné autour de moi. Je bandais, gland recouvert par le prépuce.
Tourne-toi et attrapes tes chevilles avec tes mains. Ecarte les cuisses.
Mignon mais on ne voit pas son anus.
C’est prévu de lui raser les fesses.
Tailler un peu le pubis en pointe ça fera lopette.
Ok mais toi t’es comment.
Plus de poils du tout cul et sexe, j’aime baiser les mecs, leur faire des trucs qui sont douloureux mais sans traces. Il a avancé la main et saisi mes couilles, les pressant.
J’ai eu un petit cri.
Ce genre là mais partout !
Et toi tu aimes la queue comme lui ?
Jeunes et belles oui mais peu poilues. Il a baissé son froc, montré son sexe sans aucuns poils. Je peux vous le laisser pour que vos potes se vident, en sucer et me faire baiser par le genre que j’ai décrit et je m’occuperais de lui après. Seul !
Mais t’es qui en fait.
Le fils de l’entrepreneur et je dois bosser pour tout connaître.
Waouh ! Du beau linge.
-Bof je f ais ce que je veux surtout ! Voilà tes potes qui arrivent.
En effet j’entendais les rires gras de plusieurs mecs. Ils étaient quatre dont un jeune, pas loin de 18ans
où de peu dépassé.
Vous avez pris votre temps.
-C’est la faute du jeune il ne voulait pas venir mais mate la bosse dans son jean ! Il faut qu’il se purge ! T’as pris de l’avance il est déjà nu. Et l’autre c’est qui ?
T’occupe il baise ce qui lui plaît et se fait sauter par celui qui lui plaira. Mais il faut déjà débroussailler la lopette. On est tombé d’accord lui et moi que ses fesses doivent être lisse pour qu’on voit son cul sans poils et une taille de son pubis le fera plus jeune encore.
Ok on va s’en occuper tout de suite. Lopette, allonge-toi sur la table, fesses en l’air. Ouvre bien les cuisses. L’un a sorti une tondeuse à batterie, deux autres ont écartés mes fesses et j’ai senti les vibrations sur ma peau, tout près de l’anus et jusqu’au scrotum et autour. J’ai eu froid quand ils ont mis de la mousse et rasé au rasoir à main vibrant.
Tu as une peau de bébé. Touche-toi.
En effet je ne sentais plus d’obstacle pileux et mon trou à bites devait être visible.
-On l’essaye de suite avant de faire le devant.
Ok mais toi tu y vas ta queue n’est pas énorme ! Juste un coup pour le plaisir, joui vite ne te gêne pas
Le mec n’y a pas mis de manière et a craché sur mon trou pour se glisser dans mon anus Il devait être en manque car il a joui très vite.
-Tourne toi on va faire le devant. Il a maté le mec nouveau. Tu le veux comment ?
-En triangle, bas sur le pubis et rien sur les côtés. Surtout moins touffu que sa queue soit bien visible. J’aime voir bander une chienne quand je la prends par devant.
On devrait se mettre tous à poil avant histoire qu’il sache à quoi s’attendre.
Il y en avait de très belles qui allaient surement me faire crier et un mec curieusement déjà rasé le gland pointé dépassait à peine du prépuce. Vachement bien monté et tronche de minet. J’ai bien remarqué les regards du fils du patron sur lui. Moi je ne voyais que les têtes et de côté les bites, le rasoir à pile taillait dans mes poils, dégrossissant la touffe avant de faire comme le mec demandait.
-Tu veux qu’on voie les couilles ?
-Ouais bonne idée. En plus il sait ce qui l’attend et bande comme une folle. Les couilles ont aussi été tondues puis le rasoir à main a donné les derniers coups pour faire propre.
-Lève-toi et frotte pour faire tomber les petits poils coupés.
Cette fois je les voyais tous en parfait état de marche et j’ai récompensé le raseur en me penchant sur sa tige. J’ai reçu une claque sur les fesses.
Ecarte les, ton trou du cul est fait pour être une chatte. Et ouvre-les à deux mains. J’étais sur le bord de la table bandant comme un fou ou folle comme ils disaient et j’ai senti glisser dans le jus du premier une bite plus grosse et un ventre poilu appuyer pour aller au plus profond. Il m’a ramoné un bon moment. La table pas très large a permis à un autre de me tendre sa queue que j’ai sucé malgré l’odeur de foutre qu’elle dégageait.
Placé comme j’étais j’ai vu le mec totalement imberbe se faire sucer par le fils du patron avant de grogner quand une grosse queue m’a pénétré.
Elle est bien ouverte, tout juste un grognement ! Ma femme gueule pire que lui. Je m’en vais te le ramoner à lui éclater la chatte. Il n’y est pas allé avec douceur mais me tenant par les reins il me bourrait totalement sans pitié ma chatte de mec. Putain t’es une bonne toi. Gueule quand ta bouche est libre.
Pour crier, j’ai crié entre chaque bouffée d’air sans pine dans la bouche. Je ne savais plus trop où j’étais quand il s’est retiré encore giclant. Je ne voyais plus le mec sans poils ni le fils du patron mais je sentais l’air passer entre les lèvres de mon anus. J’ai satisfait les autres de la bouche, mon cul était nase, trop ouvert pour servir et ça leur a plu. J’avais avalé autant de sperme que la dernière fois et le cul défoncé. Il y a eu une discussion entre le black et le fils du patron. Le ton est un peu monté avant qu’il sorte une liasse de billets me laissant nu avec le fils et le mec sans poils.
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