De retour chez Béa et Jim
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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De retour chez Béa et Jim
Cela fait maintenant deux, trois semaines que Lise et moi menons une vie normale, normale comme une femme avec son amant, en simple couple, amoureux, se donnant l’un à l’autre tous les plaisirs possibles.
Mais ce qu’il faut savoir c’est que Lise est également une libertine des plus avertie. Elle est capable d’être dominatrice, soumise, au gré de ses envies, avec d’autres hommes, la plupart du temps devant moi.
Je sens bien que ça la démange ces derniers temps, elle est préoccupée, fougueuse et je me doute qu’elle a envie de nouvelles aventures.
Nous sommes d’alertes sexagénaires, bien conservés, Lise plaît énormément. Et comme vous vous en doutez elle est d’une sexualité très active et particulièrement imaginative.
Pour faire plaisir à la belle je recontacte un couple que nous connaissons bien maintenant : Béa et Jim. Ils sont un peu plus jeunes que nous, tiennent un sex shop et sont des vrais artistes en libertinage. C’est Jim qui a initié Lise à la soumission.
Je lui explique que Lise est chaude en ce moment, qu’elle aimerait qu’il lui monte un petit scénario pour une belle soirée érotique. Je lui précise que j’aimerais être de la partie et pas seulement voyeur comme souvent.
Deux jours après il me rappelle, on a rendez vous chez eux pour une belle soirée me dit-il. Lise est ravie de cette invitation, elle me saute au cou et m’embrasse fougueusement, comme elle seule sait le faire.
Nous voilà chez Béa et Jim, c’est Béa qui nous accueille, toujours aussi belle, une robe longue, noire, fendue, un joli décolleté qui laisse apparaître ses seins arrogants, dressés. Je perçois déjà les mamelons tendus sous le tissu fin.
Jim toujours aussi élégant, pantalon de toile gris, de fines chaussures de marque, un t shirt moulant, quelques poils qui s’en échappent.
Lise est en robe courte, cuir. Sa poitrine est largement dévoilée par un décolleté profond et sa robe se termine par une bande de cuir autour du cou, comme un collier ou une laisse, c’est très équivoque mais je sais que c’est intentionnel de sa part. Elle a des escarpins très hauts.
Il y a un autre homme au salon, un black, grand, musclé, très jeune, très beau. Lise est toute émoustillée en le voyant, elle ne s’en doutait pas. Il s’appelle Romain. Un charme fou.
On sert à boire, Jim s’accapare Lise, d’entrée de jeu, il se met à côté d’elle et commence à la câliner, discrètement d’abord mais très vite il commence à lui caresser les seins par-dessus e décolleté et les cuisses à travers le cuir de la robe. Je bande aussi sec, c’est mon trip, Lise le sait bien, son regard vers moi me dit que ça l’excite davantage encore.
Béa s’est rapprochée de Romain et entreprend de le caresser, ses mains se glissent sous la chemise, lui, il plonge carrément les siennes dans l’échancrure de son décolleté et entreprend de lui masser les seins de ses grandes mains.
Je me sens un peu con, tout seul. Mon sexe est tendu dans mon pantalon, Lise s’en amuse beaucoup, Béa me sourit aussi en massant ostensiblement la bosse sur le pantalon de son amant du soir.
Jim se lève, prend Lise par la main et lui dit « Nous avons une jolie surprise pour toi, ce soir. »
Il l’emmène dans une pièce que nous connaissons déjà, un peu spéciale, équipée pour le plaisir. Au milieu se trouve une grande couche, un tissu rouge vif la recouvre, je remarque tout de suite les lanières qui sont aux quatre coins. Elles sont nouvelles.
Jim fait pivoter Lise et commence à la caresser partout, le dos, son ventre, les bras, les cuisses, sa poitrine volumineuse qui plaît tellement. Elle pousse un soupir de plaisir, ferme les yeux et se laisse faire. Béa lâche son étalon et vient aider son mari, ils déshabillent Lise, doucement, la couvrant de baisers et de caresses, elle frémit sans arrêt, me regarde, regarde le black qui lui sourit. Elle lève les bras pour offrir tous les recoins de son corps. Ça devient magique, Béa a mis de la musique douce, la lumière est tamisée, changeante, une belle ambiance s’installe.
Ils allongent Lise sur le lit, Béa l’entrave subtilement entre deux caresses, la voilà nue sur le lit, bras et jambes écartés, offerte, sans défense. Nous sommes tous les quatre autour d’elle et Jim nous encourage à la caresser, encore et encore, il insiste, juste des caresses.
Au bout d’un moment je sens que Lise n’en peut plus, elle voudrait plus, elle commence à se trémousser dans tous les sens, les mamelons de ses gros seins dressés, je vois les lèvres de sa chatte toutes gonflées. Elle respire fort, la bouche entrouverte, les narines palpitantes. « J’ai envie de jouir prenez-moi » crie-t-elle en s’agitant.
Jim se déshabille, Romain l’imite, je fais pareil. Puis c’est au tour de Béa, toujours aussi désirable, avec ses jolies fesses rondes, des seins durs et dressés. Je connais la bite épaisse de Jim, son corps musclé, poilu, au goût de Lise. Romain est tout simplement beau, musclé à souhait, jeune, totalement imberbe, et un sexe à faire pâlir. Gros, veiné, un gland déjà luisant bien épais. Plus gros que celui de Jim.
Lise nous jette des regards d’envie, Jim prend la main de sa femme, d’un air convenu. Béa monte sur la couche et commence à onduler autour, puis très vite sur le corps de Lise. Elle s’allonge sur elle et se frotte contre son corps. Un peu perdue Lise me regarde, je lui souris et elle s’abandonne à cette caresse nouvelle pour elle. Elle sent les seins de Béa sur ses mamelles, le ventre de Béa sur le sien. C’est nouveau ces contacts entre deux femelles.
Les gros seins de Lise sont écrasés, pressés par les deux mamelles dures, tendues, gonflées de Béa. Celle ci en joue, frotte ses tétons dressés contre les épais mamelons de Lise. Elles s’excitent bien toutes les deux.
Romain commence à se masturber doucement, je l’imite aussitôt, terriblement troublé par le spectacle.
Béa nous regarde, elle fait deux tendres bisous à sa copine puis se relève. Lise pousse un petit grognement de frustration, elle n’en peut plus de désir, des gouttes de plaisir perlent aux lèvres de sa jolie chatte, je la sens tendue comme un arc.
Béa prend son Romain par la main et ils s’éclipsent dans la pièce à côté.
Je regarde Jim, il sourit et recommence à caresser Lise, mais très vite ses doigts vont lui masser ses gros seins, il les malaxe, pince et tire les tétons. Il connaît Lise et sait comment elle apprécie.
Il m’invite à lui caresser l’intérieur des cuisses et plus encore. Je promène mes doigts, mes mains contre la vulve de ma chérie, elle lance son bassin vers l’avant, elle veut davantage. Mais je ne fais rien de plus, que des caresses sur sa fente, autour, sur son mont de Venus glabre, son ventre.
Un regard de Jim me fait comprendre qu’il veut la soumettre encore un peu à cette douce frustration.
De la pièce à côté parviennent des petits cris de Béa, des soupirs, d’autres petits bruits sans équivoque. Lise devient folle, mais c’est le jeu du moment, ma queue est dure comme la pierre, je profite intensément de l’instant.
Jim s’approche de moi et me souffle à l’oreille d’aller la lécher, doucement, sans plus, longtemps. Ravi, je m’exécute. Je viens m’allonger entre les belles jambes de Lise, je pose mes deux mains sur l’intérieur de ses cuisses et je viens embrasser son sexe ruisselant de désir. Elle coule déjà bien fort, je m’enivre de son parfum, ma langue vient doucement tournoyer sur les lèvres de sa chatte. Je fais des incursions dans son vagin pour recueillir le nectar que j’apprécie tellement. J’entends Lise crier son bonheur, cris très vite étouffés par la verge que Jim vient de lui fourrer dans la bouche. Lise l’a déjà sucé à plusieurs reprises, elle connaît la teneur de ce sexe puissant. Je perçois ses grognements de plaisir, Jim est agenouillé sur son visage et lui baise la bouche bien profond. Fidèle aux consignes je suce et je lèche ma belle, la maintenant au bord de l’orgasme, elle en devient folle, se débat dans ses liens sans pouvoir forcer le destin, elle est à notre merci.
Jim m’ordonne « Vas-y baise là maintenant, à toi l’honneur. »
Ravi, je me relève, me mets à genoux entre les cuisses ouvertes. Malgré la grosse queue de Jim au fond de sa gorge, elle me lance un regard d’amour, de plaisir intense au moment où je la pénètre. Elle est douce, ouverte, ma queue entre en elle sans problème. C’est bon, c’est chaud, c’est accueillant, je suis aux anges. Je commence à la baiser doucement, son bassin m’accompagne à chacun de mes coups de reins, c’est fantastique. Je la prends fougueusement maintenant, ne quittant pas des yeux la verge de Jim qui s’enfonce sans pitié au fond de sa gorge.
Jim se dégage, me fait signe de me pousser. « On change de place » me dit-i.
Je vais me mettre sur le visage de Lise, je lui propose mes couilles bien gonflées, elle les gobe sans hésitations alors que Jim enfonce sans ménagement sa queue bien épaisse au fond de sa chatte. Lise hurle de bonheur, Jim la défonce sans ménagement et moi, pris par l’excitation, j’enfonce ma queue raide au fond de la bouche qui ne demande que cela.
De la pièce d’à côté nous parviennent les cris de plaisir de Béa, les claquements secs de deux corps qui se cognent dans une harmonie parfaite. Je suis dans un état second difficile à décrire, heureux, fier de Lise, de moi, transporté à l’idée du plaisir qu’on procure à ma belle.
Jim pilonne Lise sans ménagement à présent, elle se fait défoncer par ce gars puissant, à la bite épaisse qui la prend sans arrêt.
Je me dégage et vais me coucher tout contre elle, je l’enlace et lui colle ma bouche contre la sienne, nos langues se cherchent, se trouvent et ne se quittent plus, c’est bon d’être en quelque sorte associé de cette façon à son plaisir. Elle jouit fort, les orgasmes se succèdent. D’un ultime coup de rein, Jim se libère et vient se finir contre son ventre. D’abondantes coulées de sperme viennent s’étaler sur elle. Tout doucement elle s’apaise. Elle caresse son ventre, étalant ainsi le sperme de son amant. Nos yeux ne se quittent plus, elle me sourit, soupire et me murmure « A toi maintenant, prends moi, aime moi ! »
Jim s’est éclipsé, à la douche, je suppose. Je m’allonge doucement sur elle, les liens se sont quelque peu relâchés pour qu’elle relève ses cuisses.
Je rentre en elle, je lui saisis les fesses pour mieux la maintenir contre moi. Ma bouche, ma langue trouve la sienne, je l’embrasse furieusement et je la baise comme un fou.
Mon désir pour elle décuple ma fougue, c’est fantastique, je ne me reconnais plus.
Nous sommes plaqués l’un à l’autre, ne formons plus qu’un corps dans une harmonie parfaite.
Je voudrais que jamais cela ne s’arrête, je suis sur un nuage, Lise en dessous de moi se colle à mon corps, accompagne mes coups de reins, le plaisir partagé est intense.
J’explose en elle, sauvagement, elle tremble, s’accroche encore davantage puis s’abandonne.
Nos bouches se désunissent enfin, elle sourit, soupire « Mon Dieu, comme c’était bon… ».
Je reprends doucement mes esprits, Jim, Béa et Romain sont autour du lit, ils étaient là à nous regarder. Tous les trois nous sourient, un vrai sourire, un de ceux qui font chaud au cœur et à l’âme.
Je me relève, mort, j’ai du mal à me remettre debout, Jim vient à la rescousse.
Béa est en train de détacher ma Lise, doucement, elles prennent leur temps les filles.
Lise se pelotonne contre son amie, elles partent sous la douche, bras dessus, bras dessous.
Nous finissons la soirée tous les cinq, au salon de Jim et Béa, un moment d’une intense complicité. Lise se colle contre moi, me câline, je lui rends cette tendresse. elle tient à montrer à tous les liens qui nous unissent tous les deux et je lui en suis infiniment reconnaissant.
Mais ce qu’il faut savoir c’est que Lise est également une libertine des plus avertie. Elle est capable d’être dominatrice, soumise, au gré de ses envies, avec d’autres hommes, la plupart du temps devant moi.
Je sens bien que ça la démange ces derniers temps, elle est préoccupée, fougueuse et je me doute qu’elle a envie de nouvelles aventures.
Nous sommes d’alertes sexagénaires, bien conservés, Lise plaît énormément. Et comme vous vous en doutez elle est d’une sexualité très active et particulièrement imaginative.
Pour faire plaisir à la belle je recontacte un couple que nous connaissons bien maintenant : Béa et Jim. Ils sont un peu plus jeunes que nous, tiennent un sex shop et sont des vrais artistes en libertinage. C’est Jim qui a initié Lise à la soumission.
Je lui explique que Lise est chaude en ce moment, qu’elle aimerait qu’il lui monte un petit scénario pour une belle soirée érotique. Je lui précise que j’aimerais être de la partie et pas seulement voyeur comme souvent.
Deux jours après il me rappelle, on a rendez vous chez eux pour une belle soirée me dit-il. Lise est ravie de cette invitation, elle me saute au cou et m’embrasse fougueusement, comme elle seule sait le faire.
Nous voilà chez Béa et Jim, c’est Béa qui nous accueille, toujours aussi belle, une robe longue, noire, fendue, un joli décolleté qui laisse apparaître ses seins arrogants, dressés. Je perçois déjà les mamelons tendus sous le tissu fin.
Jim toujours aussi élégant, pantalon de toile gris, de fines chaussures de marque, un t shirt moulant, quelques poils qui s’en échappent.
Lise est en robe courte, cuir. Sa poitrine est largement dévoilée par un décolleté profond et sa robe se termine par une bande de cuir autour du cou, comme un collier ou une laisse, c’est très équivoque mais je sais que c’est intentionnel de sa part. Elle a des escarpins très hauts.
Il y a un autre homme au salon, un black, grand, musclé, très jeune, très beau. Lise est toute émoustillée en le voyant, elle ne s’en doutait pas. Il s’appelle Romain. Un charme fou.
On sert à boire, Jim s’accapare Lise, d’entrée de jeu, il se met à côté d’elle et commence à la câliner, discrètement d’abord mais très vite il commence à lui caresser les seins par-dessus e décolleté et les cuisses à travers le cuir de la robe. Je bande aussi sec, c’est mon trip, Lise le sait bien, son regard vers moi me dit que ça l’excite davantage encore.
Béa s’est rapprochée de Romain et entreprend de le caresser, ses mains se glissent sous la chemise, lui, il plonge carrément les siennes dans l’échancrure de son décolleté et entreprend de lui masser les seins de ses grandes mains.
Je me sens un peu con, tout seul. Mon sexe est tendu dans mon pantalon, Lise s’en amuse beaucoup, Béa me sourit aussi en massant ostensiblement la bosse sur le pantalon de son amant du soir.
Jim se lève, prend Lise par la main et lui dit « Nous avons une jolie surprise pour toi, ce soir. »
Il l’emmène dans une pièce que nous connaissons déjà, un peu spéciale, équipée pour le plaisir. Au milieu se trouve une grande couche, un tissu rouge vif la recouvre, je remarque tout de suite les lanières qui sont aux quatre coins. Elles sont nouvelles.
Jim fait pivoter Lise et commence à la caresser partout, le dos, son ventre, les bras, les cuisses, sa poitrine volumineuse qui plaît tellement. Elle pousse un soupir de plaisir, ferme les yeux et se laisse faire. Béa lâche son étalon et vient aider son mari, ils déshabillent Lise, doucement, la couvrant de baisers et de caresses, elle frémit sans arrêt, me regarde, regarde le black qui lui sourit. Elle lève les bras pour offrir tous les recoins de son corps. Ça devient magique, Béa a mis de la musique douce, la lumière est tamisée, changeante, une belle ambiance s’installe.
Ils allongent Lise sur le lit, Béa l’entrave subtilement entre deux caresses, la voilà nue sur le lit, bras et jambes écartés, offerte, sans défense. Nous sommes tous les quatre autour d’elle et Jim nous encourage à la caresser, encore et encore, il insiste, juste des caresses.
Au bout d’un moment je sens que Lise n’en peut plus, elle voudrait plus, elle commence à se trémousser dans tous les sens, les mamelons de ses gros seins dressés, je vois les lèvres de sa chatte toutes gonflées. Elle respire fort, la bouche entrouverte, les narines palpitantes. « J’ai envie de jouir prenez-moi » crie-t-elle en s’agitant.
Jim se déshabille, Romain l’imite, je fais pareil. Puis c’est au tour de Béa, toujours aussi désirable, avec ses jolies fesses rondes, des seins durs et dressés. Je connais la bite épaisse de Jim, son corps musclé, poilu, au goût de Lise. Romain est tout simplement beau, musclé à souhait, jeune, totalement imberbe, et un sexe à faire pâlir. Gros, veiné, un gland déjà luisant bien épais. Plus gros que celui de Jim.
Lise nous jette des regards d’envie, Jim prend la main de sa femme, d’un air convenu. Béa monte sur la couche et commence à onduler autour, puis très vite sur le corps de Lise. Elle s’allonge sur elle et se frotte contre son corps. Un peu perdue Lise me regarde, je lui souris et elle s’abandonne à cette caresse nouvelle pour elle. Elle sent les seins de Béa sur ses mamelles, le ventre de Béa sur le sien. C’est nouveau ces contacts entre deux femelles.
Les gros seins de Lise sont écrasés, pressés par les deux mamelles dures, tendues, gonflées de Béa. Celle ci en joue, frotte ses tétons dressés contre les épais mamelons de Lise. Elles s’excitent bien toutes les deux.
Romain commence à se masturber doucement, je l’imite aussitôt, terriblement troublé par le spectacle.
Béa nous regarde, elle fait deux tendres bisous à sa copine puis se relève. Lise pousse un petit grognement de frustration, elle n’en peut plus de désir, des gouttes de plaisir perlent aux lèvres de sa jolie chatte, je la sens tendue comme un arc.
Béa prend son Romain par la main et ils s’éclipsent dans la pièce à côté.
Je regarde Jim, il sourit et recommence à caresser Lise, mais très vite ses doigts vont lui masser ses gros seins, il les malaxe, pince et tire les tétons. Il connaît Lise et sait comment elle apprécie.
Il m’invite à lui caresser l’intérieur des cuisses et plus encore. Je promène mes doigts, mes mains contre la vulve de ma chérie, elle lance son bassin vers l’avant, elle veut davantage. Mais je ne fais rien de plus, que des caresses sur sa fente, autour, sur son mont de Venus glabre, son ventre.
Un regard de Jim me fait comprendre qu’il veut la soumettre encore un peu à cette douce frustration.
De la pièce à côté parviennent des petits cris de Béa, des soupirs, d’autres petits bruits sans équivoque. Lise devient folle, mais c’est le jeu du moment, ma queue est dure comme la pierre, je profite intensément de l’instant.
Jim s’approche de moi et me souffle à l’oreille d’aller la lécher, doucement, sans plus, longtemps. Ravi, je m’exécute. Je viens m’allonger entre les belles jambes de Lise, je pose mes deux mains sur l’intérieur de ses cuisses et je viens embrasser son sexe ruisselant de désir. Elle coule déjà bien fort, je m’enivre de son parfum, ma langue vient doucement tournoyer sur les lèvres de sa chatte. Je fais des incursions dans son vagin pour recueillir le nectar que j’apprécie tellement. J’entends Lise crier son bonheur, cris très vite étouffés par la verge que Jim vient de lui fourrer dans la bouche. Lise l’a déjà sucé à plusieurs reprises, elle connaît la teneur de ce sexe puissant. Je perçois ses grognements de plaisir, Jim est agenouillé sur son visage et lui baise la bouche bien profond. Fidèle aux consignes je suce et je lèche ma belle, la maintenant au bord de l’orgasme, elle en devient folle, se débat dans ses liens sans pouvoir forcer le destin, elle est à notre merci.
Jim m’ordonne « Vas-y baise là maintenant, à toi l’honneur. »
Ravi, je me relève, me mets à genoux entre les cuisses ouvertes. Malgré la grosse queue de Jim au fond de sa gorge, elle me lance un regard d’amour, de plaisir intense au moment où je la pénètre. Elle est douce, ouverte, ma queue entre en elle sans problème. C’est bon, c’est chaud, c’est accueillant, je suis aux anges. Je commence à la baiser doucement, son bassin m’accompagne à chacun de mes coups de reins, c’est fantastique. Je la prends fougueusement maintenant, ne quittant pas des yeux la verge de Jim qui s’enfonce sans pitié au fond de sa gorge.
Jim se dégage, me fait signe de me pousser. « On change de place » me dit-i.
Je vais me mettre sur le visage de Lise, je lui propose mes couilles bien gonflées, elle les gobe sans hésitations alors que Jim enfonce sans ménagement sa queue bien épaisse au fond de sa chatte. Lise hurle de bonheur, Jim la défonce sans ménagement et moi, pris par l’excitation, j’enfonce ma queue raide au fond de la bouche qui ne demande que cela.
De la pièce d’à côté nous parviennent les cris de plaisir de Béa, les claquements secs de deux corps qui se cognent dans une harmonie parfaite. Je suis dans un état second difficile à décrire, heureux, fier de Lise, de moi, transporté à l’idée du plaisir qu’on procure à ma belle.
Jim pilonne Lise sans ménagement à présent, elle se fait défoncer par ce gars puissant, à la bite épaisse qui la prend sans arrêt.
Je me dégage et vais me coucher tout contre elle, je l’enlace et lui colle ma bouche contre la sienne, nos langues se cherchent, se trouvent et ne se quittent plus, c’est bon d’être en quelque sorte associé de cette façon à son plaisir. Elle jouit fort, les orgasmes se succèdent. D’un ultime coup de rein, Jim se libère et vient se finir contre son ventre. D’abondantes coulées de sperme viennent s’étaler sur elle. Tout doucement elle s’apaise. Elle caresse son ventre, étalant ainsi le sperme de son amant. Nos yeux ne se quittent plus, elle me sourit, soupire et me murmure « A toi maintenant, prends moi, aime moi ! »
Jim s’est éclipsé, à la douche, je suppose. Je m’allonge doucement sur elle, les liens se sont quelque peu relâchés pour qu’elle relève ses cuisses.
Je rentre en elle, je lui saisis les fesses pour mieux la maintenir contre moi. Ma bouche, ma langue trouve la sienne, je l’embrasse furieusement et je la baise comme un fou.
Mon désir pour elle décuple ma fougue, c’est fantastique, je ne me reconnais plus.
Nous sommes plaqués l’un à l’autre, ne formons plus qu’un corps dans une harmonie parfaite.
Je voudrais que jamais cela ne s’arrête, je suis sur un nuage, Lise en dessous de moi se colle à mon corps, accompagne mes coups de reins, le plaisir partagé est intense.
J’explose en elle, sauvagement, elle tremble, s’accroche encore davantage puis s’abandonne.
Nos bouches se désunissent enfin, elle sourit, soupire « Mon Dieu, comme c’était bon… ».
Je reprends doucement mes esprits, Jim, Béa et Romain sont autour du lit, ils étaient là à nous regarder. Tous les trois nous sourient, un vrai sourire, un de ceux qui font chaud au cœur et à l’âme.
Je me relève, mort, j’ai du mal à me remettre debout, Jim vient à la rescousse.
Béa est en train de détacher ma Lise, doucement, elles prennent leur temps les filles.
Lise se pelotonne contre son amie, elles partent sous la douche, bras dessus, bras dessous.
Nous finissons la soirée tous les cinq, au salon de Jim et Béa, un moment d’une intense complicité. Lise se colle contre moi, me câline, je lui rends cette tendresse. elle tient à montrer à tous les liens qui nous unissent tous les deux et je lui en suis infiniment reconnaissant.
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