De vrais amis 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De vrais amis 3
Les mains baladeuses de Justine s'emparent des lobes charnus de Mathilde et commencent un malaxage redoutable. Malgré la grosseur des seins, Justine réussit à les raffermir. Les bouts larges et épais deviennent énormes. Au travers du tissu, les deux voyeurs regardent les bouts prendre encore du volume. Justine retire ses mains, prend Mathilde par la main et la fait lever. Comme une somnambule, Mathilde se lève et suit son amie jusqu'à une natte étendue sur l'herbe. Avant de la basculer sur le tapis tressé, elle lui retire sa nuisette. Mathilde ne réagit pas, elle semble dans un autre monde.
Une fois allongée, Justine, s'agenouille à côté d'elle et commence à lui donner des baisers sur tout le corps. Mathilde défaille, jamais une femme ne l'a touchée de cette façon. La douceur des lèvres sur sa peau laiteuse, la font frissonner. Lentement, la bouche approche du centre de tous les plaisirs. La langue passe plusieurs fois sur le nombril qu'elle tente de fouiller. Cet attouchement, inhabituel, fait cabrer Mathilde.
Georges, pense que Mathilde, ne doit pas être dans un état normal, car elle se livre sans rechigner à une femme, qui bien décidée de jouer avec son corps.
Elle qui n'est pas lesbienne et pas très emballée, par les pénétrations de son mari, tout cela le Laisse sans voix.
Marc regarde les deux amantes avec intérêt, c'est la première fois que sa femme se donne à un autre personne.
Souvent, ils ont parlé de faire l'amour avec plusieurs personnes, mais jusqu'à-la ce n'était qu'un fantasme, mais cela semble se concrétiser.
Georges s'approche du duo, il se place derrière Justine qui en étant penchée sur Mathilde, ne cesse de lui embrasser chaque parcelle de peau. Sa croupe est relevée, Georges retrousse la nuisette sur les reins de Justine et avant d'entreprendre quoi que ce soit, admire la chute des reins.
Puis avec douceur, il fait glisser ses mains sur le fessier bien rebondit, ses doigts tremblants glissent dans le large sillon. À chaque passage des visiteurs sur son œillet, Justine se contracte. Marc veut, lui aussi, sa part du gâteau, il retire son short et son slip, sa verge est dressée comme un mât. Il s'approche de Mathilde qui geint doucement sous les attouchements de plus en plus précis de Justine. Il agite sa verge devant les yeux de Mathilde. Ses yeux restent un moment fixés sur le manche de chair. Georges lui demande :
-Suce-la verge ma chérie, suce-la, profite de ce moment exceptionnel !
Mathilde n'ose ouvrir la bouche, Marc doit lui frotter le gland sur les lèvres pour qu'enfin, elle se décide à gober le gland. D'habitude avec son mari, elle rechigne à faire des choses comme ça. Mais là, elle s'évertue à faire une fellation fantastique. Georges est émerveillé de voir sa femme enfin ce lâcher. Il se dit que les vacances ont du bon.
La bouche de Mathilde, sur le gland, fait un tel bruit d'aspiration que son mari, l'encourage :
-Oui, ma chérie suce bien, oui continue comme ça !
Soudain, Mathilde recrache le gland, en poussant un gémissement. Justine vient de lui enfoncer sa langue dans le vagin et se met à le fouiller profondément. Mathilde, tremblante, re-saisit la verge de marc et reprend en bouche le gland qu'elle avait délaissé. C'est avec une rage folle qu'elle suce et tète l'engin violacé. Une première giclée manque de l'étouffer, elle repousse brutalement Marc. Elle pince les lèvres, elle ne veut cracher le sperme qu'elle a en bouche, mais son mari la stoppe :
-Ne fais pas ça, avale ma chérie, avale !
Elle qui ne veut jamais goûter à la semence, eh bien là, elle en avale une quantité impressionnante. Justine lui aspire le clito, pour Mathilde, c'est le summum du bonheur, une terrible jouissance la fait cabrer. Elle reste un instant sans bouger, Marc en profite pour lui redonner son manche à sucer, Mathilde et devenue une autre femme, elle suce et tète la bite de Marc en la branlant doucement. Georges, caresse avec de plus en plus de précision, l'anus de Justine, il appuie dessus pour en tester la résistance. Puis approche ses doigts de la chatte dégoulinante. Un à un, il les enfonce jusqu'à la dernière phalange.
Il commence un petit va-et-vient en faisant faire à ses doigts des demi-rotations. Justine se cabre en s'écartant de Mathilde, elle gémit sous les assauts des doigts de son amant. Marc sent que la sève monte dans sa tige, il repousse Mathilde et prend place entre ses cuisses. Il enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans le ventre de Mathilde, qui se cabre en poussant un long râle. Elle s'accroche à lui en disant :
-Oui, oui, tape fort, fais-moi mal, oh putain comme c'est bon, vas-y n'arrête pas, bourre-moi, bourre-moi à fond, oh, je vais mourir mon chéri !
Georges amène Justine au point de non-retour, elle pousse un hurlement en jouissant. Rapidement, il retire ses doigts et les remplace pas sa bite. Il défonce Justine comme un soudard, à chaque coup de reins, elle sursaute en poussant un gémissement, elle adore la levrette.
Le pilonnage qu'impose Marc est féroce, Mathilde croit, passer sous un rouleau compresseur tellement c'est violent. La verge puissante voyage sans faire une halte dans la gaine brûlante.
Tout en forant Justine, Georges regarde sa femme. Jamais il ne l'a vue aussi excitée, elle s'agite sur le pieu plein de vie, en gémissant :
-Oh Marc, fais-moi mal plus fort mon chéri !
Une jouissance terrible la fait cabrer, Marc donne des coups de pilon comme un sauvage. À chaque coup qu'il assène, Mathilde pousse un :
Oui, oui !
Marc répand enfin sa semence dans le corps brûlant de Justine, et lui dit :
-Georges ce que ta femme est bonne, un vrai volcan !
Marc se retire, il s'allonge sur le sol et dit :
-Viens sur moi ma chérie, empale-toi bien à fond sur ma queue !
C'est en titubant, que Mathilde enjambe Marc, elle saisit maladroite sa queue gluante et s'empale dessus. Comme prise d'une crise d'hystérie, Mathilde s'agite sur la bite épaisse qui lui laboure le ventre. Elle marmonne des mots, presque inaudibles. Son corps monte et descend sur la bite véloce de son amant, en prenant encore de la vitesse.
Georges fait cabrer Justine, en la faisant jouir comme une damnée. Comme une machine, il pilonne Justine sans quitter des yeux sa femme qui délire sur la bite de marc. Justine pousse un hurlement inhumain et explose de jouissance, Marc serre les dents, car le rythme qu'impose son amante est phénoménal. Il lui tire sur les hanches et lui remplit encore la chatte de son sperme visqueux.
Sans prévenir, Georges retire sa bite du temple de Vénus, pour la planter dans celui de Sodome. Justine pousse un hurlement. Georges pousse pour bien posséder analement Justine, il se permet sur Justine, ce que sa femme lui a toujours refusée. Mathilde quasiment anéantit, pour les nombreuses jouissances qu'elle a subies. Tourne sa tête vers le couple emboité. Elle se pince les lèvres en voyant son mari sodomiser grave son amie. péniblement, elle se désaccouple et s'approche du couple. Sa démarche n'est pas sûre, elle se laisse tomber devant les copulateurs.
Elle regarde avec intérêt la bite de son mari, voyager dans la gaine étroite de Justine qui gémit de plaisir. Soudain Un cri fait sursauter Mathilde, Justine est secouée par une jouissance anale terrible, qui la fait tomber sur l'herbe. Elle entraine dans sa chute Georges qui reprend son assaut rectal. Enfin, il arrive à ses fins, il déverse un flot de sperme dans l'intestin de son amie, qui ne cesse de geindre.
Georges retire son membre du fondement, il regarde sa femme et prend la décision de lui offrir sa queue gluante. Mathilde, pas frustrée par cet acte qu'avant elle aurait qualifié d'indécent, saisit la bite encore raide, et en la décalottant la gobe. Jamais son mari n'a subi une telle fellation, Mathilde se décarcasse à sucer et téter le gland marbré qui rejette encore quelques perles de rosées. Mathilde se surpasse, Georges ne peut retenir une puissante giclée. Mathilde retient sa respiration et avale la crème onctueuse que son mari lui offre.
Enfin, elle délaisse la verge pour reprendre ses esprits.
Une fois allongée, Justine, s'agenouille à côté d'elle et commence à lui donner des baisers sur tout le corps. Mathilde défaille, jamais une femme ne l'a touchée de cette façon. La douceur des lèvres sur sa peau laiteuse, la font frissonner. Lentement, la bouche approche du centre de tous les plaisirs. La langue passe plusieurs fois sur le nombril qu'elle tente de fouiller. Cet attouchement, inhabituel, fait cabrer Mathilde.
Georges, pense que Mathilde, ne doit pas être dans un état normal, car elle se livre sans rechigner à une femme, qui bien décidée de jouer avec son corps.
Elle qui n'est pas lesbienne et pas très emballée, par les pénétrations de son mari, tout cela le Laisse sans voix.
Marc regarde les deux amantes avec intérêt, c'est la première fois que sa femme se donne à un autre personne.
Souvent, ils ont parlé de faire l'amour avec plusieurs personnes, mais jusqu'à-la ce n'était qu'un fantasme, mais cela semble se concrétiser.
Georges s'approche du duo, il se place derrière Justine qui en étant penchée sur Mathilde, ne cesse de lui embrasser chaque parcelle de peau. Sa croupe est relevée, Georges retrousse la nuisette sur les reins de Justine et avant d'entreprendre quoi que ce soit, admire la chute des reins.
Puis avec douceur, il fait glisser ses mains sur le fessier bien rebondit, ses doigts tremblants glissent dans le large sillon. À chaque passage des visiteurs sur son œillet, Justine se contracte. Marc veut, lui aussi, sa part du gâteau, il retire son short et son slip, sa verge est dressée comme un mât. Il s'approche de Mathilde qui geint doucement sous les attouchements de plus en plus précis de Justine. Il agite sa verge devant les yeux de Mathilde. Ses yeux restent un moment fixés sur le manche de chair. Georges lui demande :
-Suce-la verge ma chérie, suce-la, profite de ce moment exceptionnel !
Mathilde n'ose ouvrir la bouche, Marc doit lui frotter le gland sur les lèvres pour qu'enfin, elle se décide à gober le gland. D'habitude avec son mari, elle rechigne à faire des choses comme ça. Mais là, elle s'évertue à faire une fellation fantastique. Georges est émerveillé de voir sa femme enfin ce lâcher. Il se dit que les vacances ont du bon.
La bouche de Mathilde, sur le gland, fait un tel bruit d'aspiration que son mari, l'encourage :
-Oui, ma chérie suce bien, oui continue comme ça !
Soudain, Mathilde recrache le gland, en poussant un gémissement. Justine vient de lui enfoncer sa langue dans le vagin et se met à le fouiller profondément. Mathilde, tremblante, re-saisit la verge de marc et reprend en bouche le gland qu'elle avait délaissé. C'est avec une rage folle qu'elle suce et tète l'engin violacé. Une première giclée manque de l'étouffer, elle repousse brutalement Marc. Elle pince les lèvres, elle ne veut cracher le sperme qu'elle a en bouche, mais son mari la stoppe :
-Ne fais pas ça, avale ma chérie, avale !
Elle qui ne veut jamais goûter à la semence, eh bien là, elle en avale une quantité impressionnante. Justine lui aspire le clito, pour Mathilde, c'est le summum du bonheur, une terrible jouissance la fait cabrer. Elle reste un instant sans bouger, Marc en profite pour lui redonner son manche à sucer, Mathilde et devenue une autre femme, elle suce et tète la bite de Marc en la branlant doucement. Georges, caresse avec de plus en plus de précision, l'anus de Justine, il appuie dessus pour en tester la résistance. Puis approche ses doigts de la chatte dégoulinante. Un à un, il les enfonce jusqu'à la dernière phalange.
Il commence un petit va-et-vient en faisant faire à ses doigts des demi-rotations. Justine se cabre en s'écartant de Mathilde, elle gémit sous les assauts des doigts de son amant. Marc sent que la sève monte dans sa tige, il repousse Mathilde et prend place entre ses cuisses. Il enfonce sa bite jusqu'aux couilles dans le ventre de Mathilde, qui se cabre en poussant un long râle. Elle s'accroche à lui en disant :
-Oui, oui, tape fort, fais-moi mal, oh putain comme c'est bon, vas-y n'arrête pas, bourre-moi, bourre-moi à fond, oh, je vais mourir mon chéri !
Georges amène Justine au point de non-retour, elle pousse un hurlement en jouissant. Rapidement, il retire ses doigts et les remplace pas sa bite. Il défonce Justine comme un soudard, à chaque coup de reins, elle sursaute en poussant un gémissement, elle adore la levrette.
Le pilonnage qu'impose Marc est féroce, Mathilde croit, passer sous un rouleau compresseur tellement c'est violent. La verge puissante voyage sans faire une halte dans la gaine brûlante.
Tout en forant Justine, Georges regarde sa femme. Jamais il ne l'a vue aussi excitée, elle s'agite sur le pieu plein de vie, en gémissant :
-Oh Marc, fais-moi mal plus fort mon chéri !
Une jouissance terrible la fait cabrer, Marc donne des coups de pilon comme un sauvage. À chaque coup qu'il assène, Mathilde pousse un :
Oui, oui !
Marc répand enfin sa semence dans le corps brûlant de Justine, et lui dit :
-Georges ce que ta femme est bonne, un vrai volcan !
Marc se retire, il s'allonge sur le sol et dit :
-Viens sur moi ma chérie, empale-toi bien à fond sur ma queue !
C'est en titubant, que Mathilde enjambe Marc, elle saisit maladroite sa queue gluante et s'empale dessus. Comme prise d'une crise d'hystérie, Mathilde s'agite sur la bite épaisse qui lui laboure le ventre. Elle marmonne des mots, presque inaudibles. Son corps monte et descend sur la bite véloce de son amant, en prenant encore de la vitesse.
Georges fait cabrer Justine, en la faisant jouir comme une damnée. Comme une machine, il pilonne Justine sans quitter des yeux sa femme qui délire sur la bite de marc. Justine pousse un hurlement inhumain et explose de jouissance, Marc serre les dents, car le rythme qu'impose son amante est phénoménal. Il lui tire sur les hanches et lui remplit encore la chatte de son sperme visqueux.
Sans prévenir, Georges retire sa bite du temple de Vénus, pour la planter dans celui de Sodome. Justine pousse un hurlement. Georges pousse pour bien posséder analement Justine, il se permet sur Justine, ce que sa femme lui a toujours refusée. Mathilde quasiment anéantit, pour les nombreuses jouissances qu'elle a subies. Tourne sa tête vers le couple emboité. Elle se pince les lèvres en voyant son mari sodomiser grave son amie. péniblement, elle se désaccouple et s'approche du couple. Sa démarche n'est pas sûre, elle se laisse tomber devant les copulateurs.
Elle regarde avec intérêt la bite de son mari, voyager dans la gaine étroite de Justine qui gémit de plaisir. Soudain Un cri fait sursauter Mathilde, Justine est secouée par une jouissance anale terrible, qui la fait tomber sur l'herbe. Elle entraine dans sa chute Georges qui reprend son assaut rectal. Enfin, il arrive à ses fins, il déverse un flot de sperme dans l'intestin de son amie, qui ne cesse de geindre.
Georges retire son membre du fondement, il regarde sa femme et prend la décision de lui offrir sa queue gluante. Mathilde, pas frustrée par cet acte qu'avant elle aurait qualifié d'indécent, saisit la bite encore raide, et en la décalottant la gobe. Jamais son mari n'a subi une telle fellation, Mathilde se décarcasse à sucer et téter le gland marbré qui rejette encore quelques perles de rosées. Mathilde se surpasse, Georges ne peut retenir une puissante giclée. Mathilde retient sa respiration et avale la crème onctueuse que son mari lui offre.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos commentaires qui m'encouragent.
belle série - merci !
Voilà des amis partageurs et coquins !
Linsee, votre imagination est sans fin, ni interdit...
Vivement une suite où les 2 femmes pourraient connaitre une dp ...
Lolo
Linsee, votre imagination est sans fin, ni interdit...
Vivement une suite où les 2 femmes pourraient connaitre une dp ...
Lolo